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Formalités administratives
Certificat d’immatriculation
Que faire en cas de litige lié à la location d’un logement ?
En cas de conflit au sujet d’un logement du secteur privé loué avec un bail d’habitation, il est parfois obligatoire d’engager une conciliation auprès d’un tiers (par exemple, conciliateur de justice) avant de pouvoir saisir le juge, si nécessaire. Selon le type de litige (sur le bail, le loyer, l’état des lieux …), propriétaire et locataire doivent respecter des délais pour agir. Nous vous expliquons.
Location immobilière : contrat de location (bail)
Pour être considéré comme logement meublé , le logement à louer doit comporter au minimum certains meubles.
La liste des meubles indispensables dépend de la date de signature du bail.
La démarche à faire dépend du montant du litige :
Le bail doit respecter des règles spécifiques (contenu, documents en annexe…).
En cas de litige, la démarche à faire dépend du montant du litige :
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation (étape obligatoire)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, vous devez engager une conciliation auprès d’un conciliateur de justice (démarche gratuite).
3. Saisir le juge
Vous devez saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Vous avez 3 ans pour le faire, après l’apparition du litige.
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation (étape facultative)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, il peut être utile d’engager une conciliation auprès d’un conciliateur de justice.
Elle est toujours gratuite.
3. Saisir le juge
Vous devez saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Vous avez 3 ans pour le faire, après l’apparition du litige.
En cas de litige sur le montant du complément de loyer, il est obligatoire d’engager une conciliation, pour pouvoir ensuite saisir le juge, si nécessaire.
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, photos…).
2. Conciliation (étape obligatoire)
Le locataire doit obligatoirement saisir la commission départementale de conciliation (CDC) avant de recourir au juge.
Il doit saisir la CDC dans un délai de 3 mois après la signature du bail.
La procédure est gratuite.
Devant la CDC, c’est au propriétaire de prouver que le complément de loyer est justifié. il doit apporter la preuve que le logement présente des caractéristiques particulières de confort ou de localisation, par comparaison avec les logements de la même catégorie situés dans le même secteur géographique.
Si la CDC parvient à un accord, le montant du loyer est celui fixé par le document de conciliation délivré par la CDC. Ce nouveau montant s’applique à partir de la date d’entrée en vigueur du bail.
Si le désaccord persiste, le locataire a 3 mois à partir de la réception de l’avis de la CDC pour demander au juge des contentieux de la protection d’annuler ou de diminuer le complément de loyer.
3. Saisir le juge
Si le désaccord persiste en dépit de l’intervention de la CDC, le locataire doit saisir le tribunal dans un délai de 3 mois après avoir reçu l’avis de la commission de conciliation. Il peut saisir le juge des contentieux de la protection d’une demande d’annulation ou de diminution du complément de loyer.
Le loyer (tenant compte d’un éventuel complément de loyer) fixé par le juge s’applique à partir de la date d’entrée en vigueur du bail (effet rétroactif).
la commission départementale de conciliation (démarche gratuite)
ou un conciliateur de justice (démarche gratuite).
la commission départementale de conciliation (démarche gratuite)
ou un conciliateur de justice (démarche gratuite).
En cas de litige, la démarche à faire dépend du montant du litige.
1. Courrier recommandé (démarche facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
Par exemple, si le dépôt de garantie n’est pas rendu par le propriétaire dans le délai pour le faire, le locataire peut rédiger son courrier selon ce modèle :
2. Conciliation (étape obligatoire)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, vous devez engager une conciliation auprès de :
3. Saisir le juge
En cas d’échec de la conciliation, il faut saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué. Il faut saisir le juge dans un délai de 3 ans à partir du jour où le dépôt de garantie aurait dû être versé.
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
Par exemple, si le dépôt de garantie n’est pas rendu par le propriétaire dans le délai pour le faire, le locataire peut rédiger son courrier selon ce modèle :
2. Conciliation (étape facultative)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, il peut être utile d’engager une conciliation auprès de :
Elle est toujours gratuite.
3. Saisir le juge
Il faut saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Il faut saisir le juge dans un délai de 3 ans à partir du jour où le dépôt de garantie aurait dû être versé.
En cas de litige, la démarche à faire dépend du montant du litige :
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation (étape obligatoire)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, vous devez engager une conciliation auprès d’un conciliateur de justice (démarche gratuite).
3. Saisir le juge
Vous devez saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Vous avez 3 ans pour le faire, après l’apparition du litige.
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation (étape facultative)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, il peut être utile d’engager une conciliation auprès d’un conciliateur de justice.
Elle est toujours gratuite.
3. Saisir le juge
Vous devez saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Vous avez 3 ans pour le faire, après l’apparition du litige.
- Signaler au bailleur (propriétaire ou agence immobilière) la non décence du logement loué
- Histologe : pour signaler aux services de l’État les signes de non décence du logement loué
Travaux de mise en conformité que le propriétaire s’engage à effectuer
Délais de réalisation de ces travaux.
Le logement fait partie d’un immeuble en copropriété
Le propriétaire démontre que, bien qu’ayant proposé en assemblée générale de la copropriété des travaux dans les parties communes ou sur les équipements communs, et qu’en dépit de la réalisation de travaux dans les parties privatives, il n’a pu parvenir à un niveau de consommation énergétique inférieur au seuil maximal.
Le propriétaire (ou l’agence immobilière) doit fournir au locataire un logement décent.
Si le logement n’est pas décent, le locataire doit indiquer au propriétaire (ou à l’agence immobilière) les signes de non-conformité du logement aux critères de décence. Il est recommandé de le faire par écrit, et d’envoyer cette lettre par courrier recommandé avec avis de réception. Pour cela, il peut utiliser ce modèle de lettre :
Selon le département où se trouve le logement, le locataire peut signaler les signes de non-décence du logement sur Histologe , afin d’obtenir un accompagnement des services de l’État dans sa démarche auprès du propriétaire (ou de l’agence immobilière) :
La suite dépend de la réponse du propriétaire (ou de l’agence immobilière) :
Le locataire doit faire préciser au propriétaire, par lettre recommandée avec accusé de réception, les informations suivantes :
Le locataire doit mettre en demeure le propriétaire de réaliser les travaux de mise en conformité, par lettre recommandée avec accusé de réception.
Après un délai de 2 mois, si la mise en demeure est restée sans réponse ou si le désaccord persiste, le locataire (ou le propriétaire) peut saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Si le juge constate que le logement ne satisfait pas aux normes de décence, il peut déterminer les travaux à réaliser et le délai pour les faire. Il peut réduire le montant du loyer ou suspendre, avec ou sans consignation, son paiement et la durée du bail jusqu’à la réalisation de ces travaux.
Mais lorsque la non-décence concerne la performance énergétique du logement et que le bail a été signé, renouvelé ou tacitement reconduit depuis 2023, le juge ne peut pas ordonner de mesure visant à respecter un seuil maximal de consommation d’énergie finale, lorsque les 2 conditions suivantes sont réunies :
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
En général, lorsque le logement est mis en location pour la 1re fois, le propriétaire fixe librement le loyer.
Mais dans certaines communes, le loyer ne doit pas dépasser un montant maximum. Il s’agit des communes suivantes :
Le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 15 juillet 2022, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er mars 2020, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er novembre 2020, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er juillet 2022, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er décembre 2021, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er juin 2021, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 25 novembre 2025, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Soit le logement se situe à Paris, Lille (Hellemmes, Lomme), Montpellier, Bordeaux, Lyon et Villeurbanne, Montpellier, Bordeaux ou dans les communes d’Est Ensemble ou de Plaine Commune
Soit le logement se situe dans une autre commune, située en zone tendue
Soit le logement se situe dans une autre commune, qui n’est pas située en zone tenue
- Savoir si un logement est situé en zone tendue (préavis du locataire et encadrement des loyers)
lorsqu’il n’a pas été révisé au cours des 12 mois précédents
lorsque certains travaux ont été réalisés depuis le départ de l’ancien locataire
lorsqu’il est sous-évalué
La commission départementale de conciliation (CDC) dont dépend le logement (démarche est gratuite)
Ou directement le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement.
lorsqu’il n’a pas été révisé au cours des 12 mois précédents
lorsque certains travaux ont été réalisés depuis le départ de l’ancien locataire
lorsqu’il est sous-évalué
La commission départementale de conciliation (CDC) dont dépend le logement (démarche est gratuite)
Ou directement le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement.
lorsqu’il n’a pas été révisé au cours des 12 mois précédents
lorsque certains travaux ont été réalisés depuis le départ de l’ancien locataire
lorsqu’il est sous-évalué
La commission départementale de conciliation (CDC) dont dépend le logement (démarche est gratuite)
Ou directement le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement.
lorsqu’il n’a pas été révisé au cours des 12 mois précédents
lorsque certains travaux ont été réalisés depuis le départ de l’ancien locataire
lorsqu’il est sous-évalué
La commission départementale de conciliation (CDC) dont dépend le logement (démarche est gratuite)
Ou directement le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement.
lorsqu’il n’a pas été révisé au cours des 12 mois précédents
lorsque certains travaux ont été réalisés depuis le départ de l’ancien locataire
lorsqu’il est sous-évalué
La commission départementale de conciliation (CDC) dont dépend le logement (démarche est gratuite)
Ou directement le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement.
lorsqu’il n’a pas été révisé au cours des 12 mois précédents
lorsque certains travaux ont été réalisés depuis le départ de l’ancien locataire
lorsqu’il est sous-évalué
La commission départementale de conciliation (CDC) dont dépend le logement (démarche est gratuite)
Ou directement le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement.
lorsqu’il n’a pas été révisé au cours des 12 mois précédents
lorsque certains travaux ont été réalisés depuis le départ de l’ancien locataire
lorsqu’il est sous-évalué
La commission départementale de conciliation (CDC) dont dépend le logement (démarche est gratuite)
Ou directement le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement.
lorsqu’il n’a pas été révisé au cours des 12 mois précédents
lorsque certains travaux ont été réalisés depuis le départ de l’ancien locataire
lorsqu’il est sous-évalué
La commission départementale de conciliation (CDC) dont dépend le logement (démarche est gratuite)
Ou directement le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement.
Les règles à appliquer lorsque le logement est de nouveau loué à un locataire après être resté inoccupé pendant moins de 18 mois dépendent de la commune où se situe le logement.
Il existe plusieurs cas de figure :
Pour savoir si votre commune est située en zone tendue, vous pouvez utiliser ce simulateur :
Le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois d’inoccupation peut être augmenté dans certains cas seulement :
Mais le nouveau loyer de base ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le nouveau loyer dépasse le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail, le locataire peut le contester en envoyant au propriétaire (ou à l’agence immobilière) une lettre recommandée avec accusé de réception.
En cas d’échec, il peut saisir :
Depuis décembre 2021, le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois d’inoccupation peut être augmenté dans certains cas seulement :
Mais le nouveau loyer de base ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Pour connaître le loyer de référence :
Si le nouveau loyer dépasse le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail, le locataire peut le contester en envoyant au propriétaire (ou à l’agence immobilière) une lettre recommandée avec accusé de réception.
En cas d’échec, il peut saisir :
Le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois d’inoccupation peut être augmenté dans certains cas seulement :
Mais le nouveau loyer de base ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Pour connaître le loyer de référence :
Si le nouveau loyer dépasse le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail, le locataire peut le contester en envoyant au propriétaire (ou à l’agence immobilière) une lettre recommandée avec accusé de réception.
En cas d’échec, il peut saisir :
Depuis novembre 2021, le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois d’inoccupation peut être augmenté dans certains cas seulement :
Mais le nouveau loyer de base ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Pour connaître le loyer de référence :
Si le nouveau loyer dépasse le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail, le locataire peut le contester en envoyant au propriétaire (ou à l’agence immobilière) une lettre recommandée avec accusé de réception.
En cas d’échec, il peut saisir :
Depuis le 1er juin 2021, Le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois d’inoccupation peut être augmenté dans certains cas seulement :
Mais le nouveau loyer de base ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Pour connaître le loyer de référence majoré :
Si le nouveau loyer dépasse le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail, le locataire peut le contester en envoyant au propriétaire (ou à l’agence immobilière) une lettre recommandée avec accusé de réception.
En cas d’échec, il peut saisir :
Depuis le 1er juillet 2022, le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois d’inoccupation peut être augmenté dans certains cas seulement :
Mais le nouveau loyer de base ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Pour connaître le loyer de référence majoré :
Si le nouveau loyer dépasse le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail, le locataire peut le contester en envoyant au propriétaire (ou à l’agence immobilière) une lettre recommandée avec accusé de réception.
En cas d’échec, il peut saisir :
Depuis le 15 juillet 2022, le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois d’inoccupation peut être augmenté dans certains cas seulement :
Mais le nouveau loyer de base ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Pour connaître le loyer de référence :
Si le nouveau loyer dépasse le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail, le locataire peut le contester en envoyant au propriétaire (ou à l’agence immobilière) une lettre recommandée avec accusé de réception.
En cas d’échec, il peut saisir :
Depuis le 25 novembre 2025, le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois d’inoccupation peut être augmenté dans certains cas seulement :
Mais le nouveau loyer de base ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Pour connaître le loyer de référence :
Si le nouveau loyer dépasse le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail, le locataire peut le contester en envoyant au propriétaire (ou à l’agence immobilière) une lettre recommandée avec accusé de réception.
En cas d’échec, il peut saisir :
Le loyer d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois de vacance peut être augmenté dans certaines cas seulement et sous certaines conditions.
Le loyer d’un logement remis sur le marché après avoir été inoccupé (plus ou moins de 18 mois) peut être augmenté librement.
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
Soit par lettre recommandée avec accusé de réception
Soit par acte de commissaire de justice (anciennement acte d’huissier de justice)
Soit lui être remise en main propre contre récépissé ou émargement
Intégralité de l’article 140 VI de la loi du 23 novembre 2018
Montant du loyer proposé et le loyer de référence majoré ayant servi à le déterminer
En général, lorsque le logement est reloué après être resté inoccupé pendant moins de 18 mois, le propriétaire fixe librement le loyer.
Mais dans certaines communes, le loyer ne doit pas dépasser un montant maximum. Il s’agit des communes suivantes :
Le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er mars 2020, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er novembre 2020, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er juillet 2022, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 15 juillet 2022, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er décembre 2021, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 1er juin 2021, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
Depuis le 25 novembre 2025, le loyer de base (montant du loyer hors charges et hors complément de loyer) ne doit pas dépasser le loyer de référence majoré en vigueur à la date de signature du bail.
Si le loyer de base dépasse le loyer de référence majoré , le locataire peut demander une diminution de loyer au propriétaire ( action en diminution de loyer ).
Le locataire peut adresser cette proposition au propriétaire :
La proposition doit contenir les éléments suivants :
Si ce n’est pas le cas, le locataire a 1 mois à partir de la date de prise d’effet du bail pour adresser au propriétaire par courrier recommandé avec accusé de réception une mise en demeure de le faire.
Le propriétaire a 1 mois pour répondre à partir de la date de réception de la proposition du locataire.
En l’absence de réponse ou en cas de refus du propriétaire dans ce délai, le locataire peut saisir dans les 2 mois suivants le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, pour obtenir une diminution du loyer, si nécessaire.
- Contester le montant d’une révision de loyer en cours de bail
1. Mise en demeure
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou son représenatnt), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures…).
Par exemple, si le propriétaire a fait une erreur de calcul, le locataire peut contester l’augmentation annuelle du loyer par ce type de courrier :
2. Conciliation
Si le litige persiste en dépit de la mise en demeure, il est possible d’engager une conciliation avec l’aide de la commission départementale de conciliation (CDC) ou d’un conciliateur de justice. Lorsque le montant du litige est inférieur ou égal à 5 000 € , cette conciliation est obligatoire pour pouvoir ensuite éventuellement saisir le juge.
La CDC doit être saisie par lettre recommandée avec accusé de réception.
Cette lettre doit être adressée à la CDC du département où est situé le logement concerné.
Pour connaître les coordonnées de la CDC :
Pour trouver un conciliateur de justice :
3. Saisir le juge
En cas de litige sur une révision annuelle de loyer, vous avez 1 an pour saisir le juge des contentieux de la protection à partir de la date de révision du loyer.
Paris
Bordeaux
Est Ensemble
Lille, Hellemmes et Lomme
Lyon et Villeurbanne
Montpellier
Plaine Commune
Pays basque (bail signé depuis le 25 novembre 2024).
Une action en diminution de loyer peut être engagée pour un logement situé dans les communes ou groupements de communes suivants :
Lorsque le loyer de base (hors charges et hors complément de loyer) inscrit dans le bail est supérieur au loyer de référence majoré, le locataire peut proposer au propriétaire de diminuer le loyer de base. Le locataire doit faire cette proposition au moins 5 mois avant l’échéance du bail.
4 mois avant la fin du bail, en cas d’absence de réponse ou de refus du propriétaire, le locataire doit saisir la commission départementale de de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement. Si la conciliation échoue, le locataire peut saisir le juge des contentieux de la protection avant l’échéance du bail.
à Paris, Lille (Hellemmes, Lomme), Plaine commune, Est Ensemble, Lyon et Villeurbanne, Montpellier, Bordeaux, et au Pays Basque depuis le 25 novembre 2024
dans une commune en zone tendue
dans une autre commune (hors zone tendue)
- Savoir si un logement est situé en zone tendue (préavis du locataire et encadrement des loyers)
Lorsque le propriétaire estime que le loyer du logement loué vide est manifestement sous-évalué, il peut proposer au locataire un nouveau loyer plus élevé.
Le locataire peut accepter ou refuser.
En cas de désaccord persistant, la procédure à respecter dépend de la localisation du logement :
Pour vérifier si la commune est située en zone tendue :
Le propriétaire peut engager une action en réévaluation du loyer dès lors que le loyer est inférieur au loyer de référence minoré en vigueur à la date de proposition. La proposition doit être faite au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut contester l’action en réévaluation de loyer , en fournissant au propriétaire 6 références de loyer de logements comparables situés dans le même groupe d’immeuble ou dans un autre groupe d’immeuble aux caractéristiques similaires et situé dans la même zone géographique.
En cas de désaccord ou sans réponse 4 mois avant l’échéance du bail, le locataire ou le propriétaire doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Le propriétaire peut engager une action en réévaluation du loyer dès lors que le loyer est inférieur au loyer de référence minoré en vigueur à la date de proposition. La proposition doit être faite au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut contester l’action en réévaluation de loyer , en fournissant au propriétaire 6 références de loyer de logements comparables situés dans le même groupe d’immeuble ou dans un autre groupe d’immeuble aux caractéristiques similaires et situé dans la même zone géographique.
En cas de désaccord ou sans réponse 4 mois avant l’échéance du bail, le locataire ou le propriétaire doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Le propriétaire peut engager une action en réévaluation du loyer dès lors que le loyer est inférieur au loyer de référence minoré en vigueur à la date de proposition. La proposition doit être faite au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut contester l’action en réévaluation de loyer , en fournissant au propriétaire 6 références de loyer de logements comparables situés dans le même groupe d’immeuble ou dans un autre groupe d’immeuble aux caractéristiques similaires et situé dans la même zone géographique.
En cas de désaccord ou sans réponse 4 mois avant l’échéance du bail, le locataire ou le propriétaire doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Le propriétaire peut engager une action en réévaluation du loyer dès lors que le loyer est inférieur au loyer de référence minoré en vigueur à la date de proposition. La proposition doit être faite au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut contester l’action en réévaluation de loyer , en fournissant au propriétaire 6 références de loyer de logements comparables situés dans le même groupe d’immeuble ou dans un autre groupe d’immeuble aux caractéristiques similaires et situé dans la même zone géographique.
En cas de désaccord ou sans réponse 4 mois avant l’échéance du bail, le locataire ou le propriétaire doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Le propriétaire peut engager une action en réévaluation du loyer dès lors que le loyer est inférieur au loyer de référence minoré en vigueur à la date de proposition. La proposition doit être faite au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut contester l’action en réévaluation de loyer , en fournissant au propriétaire 6 références de loyer de logements comparables situés dans le même groupe d’immeuble ou dans un autre groupe d’immeuble aux caractéristiques similaires et situé dans la même zone géographique.
En cas de désaccord ou sans réponse 4 mois avant l’échéance du bail, le locataire ou le propriétaire doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Le propriétaire peut engager une action en réévaluation du loyer dès lors que le loyer est inférieur au loyer de référence minoré en vigueur à la date de proposition. La proposition doit être faite au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut contester l’action en réévaluation de loyer , en fournissant au propriétaire 6 références de loyer de logements comparables situés dans le même groupe d’immeuble ou dans un autre groupe d’immeuble aux caractéristiques similaires et situé dans la même zone géographique.
En cas de désaccord ou sans réponse 4 mois avant l’échéance du bail, le locataire ou le propriétaire doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Le propriétaire peut engager une action en réévaluation du loyer dès lors que le loyer est inférieur au loyer de référence minoré en vigueur à la date de proposition. La proposition doit être faite au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Pour connaître le loyer de référence :
Le locataire peut contester l’action en réévaluation de loyer , en fournissant au propriétaire 6 références de loyer de logements comparables situés dans le même groupe d’immeuble ou dans un autre groupe d’immeuble aux caractéristiques similaires et situé dans la même zone géographique.
En cas de désaccord ou sans réponse 4 mois avant l’échéance du bail, le locataire ou le propriétaire doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Le propriétaire peut engager une action en réévaluation du loyer dès lors que le loyer est inférieur au loyer de référence minoré en vigueur à la date de proposition. La proposition doit être faite au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut contester l’action en réévaluation de loyer , en fournissant au propriétaire 6 référence de loyer de logements comparables situés dans le même groupe d’immeuble ou dans un autre groupe d’immeuble aux caractéristiques similaires et situé dans la même zone géographique.
En cas de désaccord ou sans réponse 4 mois avant l’échéance du bail, le locataire ou le propriétaire doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC). La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Si le propriétaire estime que le loyer du logement loué vide est manifestement sous-évalué, il peut proposer au locataire un nouveau loyer plus élevé. Le propriétaire doit faire cette proposition au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Pour accepter la proposition d’augmentation du propriétaire, le locataire doit lui faire parvenir son accord écrit au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut refuser l’augmentation proposée. Pour cela, il doit envoyer un courrier au propriétaire, au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail.
Si le locataire refuse ou ne répond pas au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail, le propriétaire (ou le locataire) doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC) pour trouver un accord sur le prix. La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Lorsque le propriétaire estime que le loyer est manifestement sous-évalué, il peut proposer au locataire un nouveau loyer plus élevé. Le propriétaire doit faire cette proposition au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Pour accepter la proposition d’augmentation du propriétaire, le locataire doit lui faire parvenir son accord écrit au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut refuser l’augmentation proposée. Pour cela, il doit envoyer un courrier à son propriétaire, au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail.
Si le locataire refuse ou ne répond pas au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail, le propriétaire (ou le locataire) peut saisir la commission départementale de conciliation (CDC) pour trouver un accord sur le prix (procédure gratuite).
Si le désaccord persiste en dépit de l’intervention de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
aux impayés de loyer ou de charges (des délais sont à respecter)
à la souscription d’une assurance habitation
à une expulsion
Réparations incombant au propriétaire ou au locataire. Attention, en cas de litige d’un montant supérieur à 5 000 € , il faut obligatoirement saisir la commission départementale de conciliation (CDC) ou un conciliateur de justice, pour ensuite pouvoir saisir le juge.
Préavis (congé) donné par le propriétaire ou le locataire
Fixation du montant du nouveau loyer en cas de bail de sortie de la loi de 48 .
Il s’agit de tous les litiges entre un locataire et son propriétaire (ou à son représentant, notamment une agence immobilière), notamment ceux liés :
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec un courrier, il peut être utile de saisir la commission départementale de conciliation.
La CDC est notamment compétente en matière de :
La conciliation est toujours gratuite.
3. Saisir le juge
D’une manière générale, tout litige lié une location immobilière relève de la compétence du juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Le juge doit être saisi dans un délai de 3 ans après l’apparition du litige.
L’outre-mer désigne ici la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique, La Réunion, Mayotte.
Pour être considéré comme logement meublé , le logement à louer doit comporter au minimum certains meubles.
La liste des meubles indispensables dépend de la date de signature du bail.
La démarche à faire dépend du montant du litige :
Le bail doit respecter des règles spécifiques (contenu, documents en annexe…).
En cas de litige, la démarche à faire dépend du montant du litige :
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation (étape obligatoire)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, vous devez engager une conciliation auprès d’un conciliateur de justice (démarche gratuite).
3. Saisir le juge
Vous devez saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Vous avez 3 ans pour le faire, après l’apparition du litige.
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation (étape facultative)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, il peut être utile d’engager une conciliation auprès d’un conciliateur de justice.
Elle est toujours gratuite.
3. Saisir le juge
Vous devez saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Vous avez 3 ans pour le faire, après l’apparition du litige.
la commission départementale de conciliation (démarche gratuite)
ou un conciliateur de justice (démarche gratuite).
la commission départementale de conciliation (démarche gratuite)
ou un conciliateur de justice (démarche gratuite).
En cas de litige, la démarche à faire dépend du montant du litige.
1. Courrier recommandé (démarche facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
Par exemple, si le dépôt de garantie n’est pas rendu par le propriétaire dans le délai pour le faire, le locataire peut rédiger son courrier selon ce modèle :
2. Conciliation (étape obligatoire)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, vous devez engager une conciliation auprès de :
3. Saisir le juge
En cas d’échec de la conciliation, il faut saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué. Il faut saisir le juge dans un délai de 3 ans à partir du jour où le dépôt de garantie aurait dû être versé.
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
Par exemple, si le dépôt de garantie n’est pas rendu par le propriétaire dans le délai pour le faire, le locataire peut rédiger son courrier selon ce modèle :
2. Conciliation (étape facultative)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, il peut être utile d’engager une conciliation auprès de :
Elle est toujours gratuite.
3. Saisir le juge
Il faut saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Il faut saisir le juge dans un délai de 3 ans à partir du jour où le dépôt de garantie aurait dû être versé.
En cas de litige, la démarche à faire dépend du montant du litige :
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation (étape obligatoire)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, vous devez engager une conciliation auprès d’un conciliateur de justice (démarche gratuite).
3. Saisir le juge
Vous devez saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Vous avez 3 ans pour le faire, après l’apparition du litige.
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation (étape facultative)
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec le courrier recommandé, il peut être utile d’engager une conciliation auprès d’un conciliateur de justice.
Elle est toujours gratuite.
3. Saisir le juge
Vous devez saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Vous avez 3 ans pour le faire, après l’apparition du litige.
- Signaler au bailleur (propriétaire ou agence immobilière) la non décence du logement loué
- Histologe : pour signaler aux services de l’État les signes de non décence du logement loué
Travaux de mise en conformité que le propriétaire s’engage à effectuer
Délais de réalisation de ces travaux.
Le propriétaire (ou l’agence immobilière) doit fournir au locataire un logement décent.
Si le logement n’est pas décent, le locataire doit indiquer au propriétaire (ou à l’agence immobilière) les signes de non-conformité du logement aux critères de décence. Il est recommandé de le faire par écrit, et d’envoyer cette lettre par courrier recommandé avec avis de réception. Pour cela, il peut utiliser ce modèle de lettre :
Selon le département où se trouve le logement, le locataire peut signaler les signes de non-décence du logement sur Histologe , afin d’obtenir un accompagnement des services de l’État dans sa démarche auprès du propriétaire (ou de l’agence immobilière) :
La suite dépend de la réponse du propriétaire (ou de l’agence immobilière) :
Le locataire doit faire préciser au propriétaire, par lettre recommandée avec accusé de réception, les informations suivantes :
Le locataire doit mettre en demeure le propriétaire de réaliser les travaux de mise en conformité, par lettre recommandée avec accusé de réception.
Après un délai de 2 mois, si la mise en demeure est restée sans réponse ou si le désaccord persiste, le locataire (ou le propriétaire) peut saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Si le juge constate que le logement ne satisfait pas aux normes de décence, il peut déterminer les travaux à réaliser et le délai pour les faire. Il peut réduire le montant du loyer ou suspendre, avec ou sans consignation, son paiement et la durée du bail jusqu’à la réalisation de ces travaux.
Soit le logement se situe dans une autre commune, située en zone tendue
Soit le logement se situe dans une autre commune, qui n’est pas située en zone tenue
- Savoir si un logement est situé en zone tendue (préavis du locataire et encadrement des loyers)
Les règles à appliquer lorsque le logement est de nouveau loué à un locataire après être resté inoccupé pendant moins de 18 mois dépendent de la commune où se situe le logement.
Il existe plusieurs cas de figure :
Pour savoir si votre commune est située en zone tendue, vous pouvez utiliser ce simulateur :
Le loyer d’un logement remis sur le marché après moins de 18 mois de vacance peut être augmenté dans certaines cas seulement et sous certaines conditions.
Le loyer d’un logement remis sur le marché après avoir été inoccupé (plus ou moins de 18 mois) peut être augmenté librement.
- Contester le montant d’une révision de loyer en cours de bail
1. Mise en demeure
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou son représenatnt), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures…).
Par exemple, si le propriétaire a fait une erreur de calcul, le locataire peut contester l’augmentation annuelle du loyer par ce type de courrier :
2. Conciliation
Si le litige persiste en dépit de la mise en demeure, il est possible d’engager une conciliation avec l’aide de la commission départementale de conciliation (CDC) ou d’un conciliateur de justice. Lorsque le montant du litige est inférieur ou égal à 5 000 € , cette conciliation est obligatoire pour pouvoir ensuite éventuellement saisir le juge.
La CDC doit être saisie par lettre recommandée avec accusé de réception.
Cette lettre doit être adressée à la CDC du département où est situé le logement concerné.
Pour connaître les coordonnées de la CDC :
Pour trouver un conciliateur de justice :
3. Saisir le juge
En cas de litige sur une révision annuelle de loyer, vous avez 1 an pour saisir le juge des contentieux de la protection à partir de la date de révision du loyer.
à Paris, Lille (Hellemmes, Lomme), Plaine commune, Est Ensemble, Lyon et Villeurbanne, Montpellier, Bordeaux, et au Pays Basque depuis le 25 novembre 2024
dans une commune en zone tendue
dans une autre commune (hors zone tendue)
- Savoir si un logement est situé en zone tendue (préavis du locataire et encadrement des loyers)
Lorsque le propriétaire estime que le loyer du logement loué vide est manifestement sous-évalué, il peut proposer au locataire un nouveau loyer plus élevé.
Le locataire peut accepter ou refuser.
En cas de désaccord persistant, la procédure à respecter dépend de la localisation du logement :
Pour vérifier si la commune est située en zone tendue :
Si le propriétaire estime que le loyer du logement loué vide est manifestement sous-évalué, il peut proposer au locataire un nouveau loyer plus élevé. Le propriétaire doit faire cette proposition au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Pour accepter la proposition d’augmentation du propriétaire, le locataire doit lui faire parvenir son accord écrit au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut refuser l’augmentation proposée. Pour cela, il doit envoyer un courrier au propriétaire, au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail.
Si le locataire refuse ou ne répond pas au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail, le propriétaire (ou le locataire) doit saisir la commission départementale de conciliation (CDC) pour trouver un accord sur le prix. La CDC intervient gratuitement.
En cas d’échec de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
Lorsque le propriétaire estime que le loyer est manifestement sous-évalué, il peut proposer au locataire un nouveau loyer plus élevé. Le propriétaire doit faire cette proposition au moins 6 mois avant l’échéance du bail.
Pour accepter la proposition d’augmentation du propriétaire, le locataire doit lui faire parvenir son accord écrit au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail.
Le locataire peut refuser l’augmentation proposée. Pour cela, il doit envoyer un courrier à son propriétaire, au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail.
Si le locataire refuse ou ne répond pas au plus tard 4 mois avant l’échéance du bail, le propriétaire (ou le locataire) peut saisir la commission départementale de conciliation (CDC) pour trouver un accord sur le prix (procédure gratuite).
Si le désaccord persiste en dépit de l’intervention de la CDC, il est possible de saisir le juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement, à la condition de le faire avant l’échéance du bail.
aux impayés de loyer ou de charges (des délais sont à respecter)
à la souscription d’une assurance habitation
à une expulsion
Réparations incombant au propriétaire ou au locataire. Attention, en cas de litige d’un montant supérieur à 5 000 € , il faut obligatoirement saisir la commission départementale de conciliation (CDC) ou un conciliateur de justice, pour ensuite pouvoir saisir le juge.
Préavis (congé) donné par le propriétaire ou le locataire
Fixation du montant du nouveau loyer en cas de bail de sortie de la loi de 48 .
Il s’agit de tous les litiges entre un locataire et son propriétaire (ou à son représentant, notamment une agence immobilière), notamment ceux liés :
1. Courrier recommandé (étape facultative)
Si vous ne parvenez pas à parler à votre locataire ou à votre propriétaire (ou à son représentant), vous pouvez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
Le courrier doit décrire les faits le plus précisément possible.
Vous devez y joindre des documents pour appuyer votre propos (textes de loi, règlement, factures, photos…).
2. Conciliation
Si vous n’obtenez pas gain de cause avec un courrier, il peut être utile de saisir la commission départementale de conciliation.
La CDC est notamment compétente en matière de :
La conciliation est toujours gratuite.
3. Saisir le juge
D’une manière générale, tout litige lié une location immobilière relève de la compétence du juge des contentieux de la protection du tribunal dont dépend le logement loué.
Le juge doit être saisi dans un délai de 3 ans après l’apparition du litige.
- Dans quel cas saisir la commission départementale de conciliation (CDC) ?
- Quel est le délai de prescription d’une dette de loyer ou de charges locatives ?
- Quel tarif s’applique en cas de recours à un huissier (à présent appelé commissaire de justice) dans un litige locatif ?
- Qui est responsable des dégradations dans un logement en cours de location ?
- Qu’est-ce qu’un logement d’habitation meublé ?
- Consignez votre loyer en cas de litige avec votre propriétaire
Source : Caisse des dépôts et consignations (CDC)
- Savoir si un logement est situé en zone tendue (préavis du locataire et encadrement des loyers)
Simulateur
- Contester le montant d’une révision de loyer en cours de bail
Modèle de document
- Demander le remboursement du dépôt de garantie non restitué
Modèle de document
- Paris : estimer les loyers de référence (bail signé depuis juillet 2019)
Simulateur
- Territoire d’Est Ensemble : estimer les loyers de référence
Simulateur
- Lille, Hellemmes et Lomme : estimer les loyers de référence (bail signé depuis mars 2020)
Simulateur
- Lyon et Villeurbanne : tester mon loyer (bail signé depuis novembre 2021)
Simulateur
- Montpellier : estimer les loyers de référence (bail signé depuis juillet 2022)
Outil de recherche
- Territoire de Plaine Commune : estimer les loyers de référence (bail signé depuis juin 2021)
Simulateur
- Pays basque : estimer les loyers de référence pour un bail signé depuis le 25 novembre 2024
Simulateur
- Code de procédure civile : articles 42 à 48
Compétence territoriale du tribunal : article 44 - Loi n°89-462 du 6 juillet 1989 sur les rapports locatifs : article 7-1
Délai de saisine du juge (cas général) - Décret n°2017-1198 du 27 juillet 2017 sur l’évolution de certains loyers (d’août 2017 au 31 juillet 2025)
Logement inoccupés durant moins de 18 mois - Loi n° 89-462 du 6 juillet 1989 sur les rapports locatifs : article 18
Zone tendue : alinéa 3 - Loi n°2018-1021 du 23 novembre 2018 sur l’évolution du logement, de l’aménagement et du numérique : article 140
À Paris, Lille (Hellemmes, Lomme), Lyon et Villeurbanne, Montpellier, Est Ensemble, Plaine commune, Bordeaux, Pays Basque