Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Association de locataires

Vous souhaitez savoir quel est le but d’une association de locataires, par qui elle peut être créée, quels sont les missions des représentants envers le bailleur social, si elle peut agir en justice… ? Nous vous donnons les informations utiles.

    Dans le secteur locatif social (hébergement à loyer modéré par exemple), les associations de locataires représentent et défendent l’intérêt des locataires auprès des bailleurs sociaux.

    Elle participe à des instances de concertation (moment d’échange et de discussion) sur les différents aspects de la gestion des immeubles et sur les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des locataires.

    L’association est créée par les locataires pour un immeuble, un groupe d’immeubles ou pour tout le patrimoine d’un même bailleur social.

    La création d’une association de locataires répond aux mêmes exigences que les associations loi 1901.

    Les associations de locataires doivent œuvrer dans le domaine du logement, dans le secteur locatif social. Elles ne doivent pas poursuivre des intérêts collectifs qui seraient en contradiction avec les objectifs du logement social. Elles doivent être indépendantes de tout parti politique ou organisation philosophique, confessionnelle, ethnique ou raciale.

    Comme toute association, l’association de locataires est tenue de déclarer en préfecture sa création, puis les modifications de ses statuts et le changement de ses représentants.

    L’association de locataires peut être affiliée (appartenir) à une association nationale. C’est au cours de l’assemblée générale constitutive que les membres délibèrent sur son affiliation (association) ou non à une organisation nationale.

    Dans un immeuble ou groupe d’immeubles, une association de locataires est représentative si elle remplit l’une des 2 conditions suivantes :

    C’est uniquement, une fois que l’une de ces 2 conditions est remplie, que l’association peut représenter les locataires.

    Les associations représentatives de locataires désignent au bailleur social, et, s’il y a lieu, au syndic de copropriété, par lettre recommandée avec accusé de réception, le nom de 3 représentants maximum choisis parmi les locataires.

    Ces représentants ont accès aux documents concernant le calcul et l’évolution des charges locatives.

    À la demande des représentants, le bailleur social ou, s’il y a lieu, l’administrateur de la copropriété (par exemple : le syndic) les consulte tous les 6 mois sur les différents aspects de la gestion de l’immeuble ou du groupe d’immeubles.

    Dans chaque bâtiment d’habitation, un panneau d’affichage, donnant notamment des informations sur le logement, l’habitat, les travaux, est mis à la disposition des associations dans un lieu de passage des locataires.

    Dans les immeubles, soumis au statut de la copropriété, le syndic de la copropriété les informe de la date, de l’heure, du lieu et de l’ordre du jour de l’assemblée générale de copropriété. Les associations peuvent y assister et formuler des observations sur les questions inscrites à l’ordre du jour.

    Les décisions prises en assemblée des copropriétaires et relatives à l’entretien de l’immeuble et aux travaux font l’objet d’un procès-verbal synthétique, affiché dans les parties communes de l’immeuble.

    Le bailleur social qui envisage une opération d’amélioration, ayant une incidence sur les loyers ou les charges locatives, ou de construction-démolition, doit mener une concertation (moment d’échange et de discussion) avec les représentants des locataires.

    La concertation porte sur les points suivants :

    • Consistance et coût des travaux

    • Répercussion prévisible sur les loyers ou les charges locatives

    • Conditions de leur réalisation

    • Opportunité de créer un local collectif résidentiel

    • Conditions de relogement des locataires, s’il y a lieu (notamment pour les opérations de construction-démolition).

    Une fois le projet élaboré et avant le début de l’opération, le bailleur dresse un bilan de la concertation qui comporte l’avis motivé des représentants des locataires. Il en informe les locataires réunis à cet effet. .

    Le plan de concertation locative définit les conditions pratiques de l’échange entre le bailleur social et les associations de locataires.

    Il instaure un ou plusieurs conseils de concertation locative et prévoit des moyens matériels et financiers attribuées aux représentants des locataires.

    Le conseil de concertation locative est consulté sur toutes les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des habitants de l’immeuble ou des ensembles immobiliers concernés.

    Le plan de concertation locative couvre l’ensemble du patrimoine du bailleur social. Il est élaboré avec les représentants des associations de locataires représentatives et les représentants des locataires élus au sein de leur conseil d’administration.

    Les bailleurs sociaux, représentés à la Commission nationale de concertation, peuvent conclure avec une ou plusieurs associations de locataires des accords collectifs locaux portant sur tout ou partie de leur patrimoine.

    Ces accords portent notamment sur les points suivants :

    • Suppléments de loyers

    • Maîtrise de l’évolution des charges récupérables

    • Grille de vétusté

    • Amélioration et entretien des logements et des parties communes

    • Locaux résidentiels à usage commun.

Associations reconnues représentatives

    Association de locataires

    Vous souhaitez savoir quel est le but d’une association de locataires, par qui elle peut être créée, quels sont les missions des représentants envers le bailleur social, si elle peut agir en justice… ? Nous vous donnons les informations utiles.

      Dans le secteur locatif social (hébergement à loyer modéré par exemple), les associations de locataires représentent et défendent l’intérêt des locataires auprès des bailleurs sociaux.

      Elle participe à des instances de concertation (moment d’échange et de discussion) sur les différents aspects de la gestion des immeubles et sur les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des locataires.

      L’association est créée par les locataires pour un immeuble, un groupe d’immeubles ou pour tout le patrimoine d’un même bailleur social.

      La création d’une association de locataires répond aux mêmes exigences que les associations loi 1901.

      Les associations de locataires doivent œuvrer dans le domaine du logement, dans le secteur locatif social. Elles ne doivent pas poursuivre des intérêts collectifs qui seraient en contradiction avec les objectifs du logement social. Elles doivent être indépendantes de tout parti politique ou organisation philosophique, confessionnelle, ethnique ou raciale.

      Comme toute association, l’association de locataires est tenue de déclarer en préfecture sa création, puis les modifications de ses statuts et le changement de ses représentants.

      L’association de locataires peut être affiliée (appartenir) à une association nationale. C’est au cours de l’assemblée générale constitutive que les membres délibèrent sur son affiliation (association) ou non à une organisation nationale.

      Dans un immeuble ou groupe d’immeubles, une association de locataires est représentative si elle remplit l’une des 2 conditions suivantes :

      C’est uniquement, une fois que l’une de ces 2 conditions est remplie, que l’association peut représenter les locataires.

      Les associations représentatives de locataires désignent au bailleur social, et, s’il y a lieu, au syndic de copropriété, par lettre recommandée avec accusé de réception, le nom de 3 représentants maximum choisis parmi les locataires.

      Ces représentants ont accès aux documents concernant le calcul et l’évolution des charges locatives.

      À la demande des représentants, le bailleur social ou, s’il y a lieu, l’administrateur de la copropriété (par exemple : le syndic) les consulte tous les 6 mois sur les différents aspects de la gestion de l’immeuble ou du groupe d’immeubles.

      Dans chaque bâtiment d’habitation, un panneau d’affichage, donnant notamment des informations sur le logement, l’habitat, les travaux, est mis à la disposition des associations dans un lieu de passage des locataires.

      Dans les immeubles, soumis au statut de la copropriété, le syndic de la copropriété les informe de la date, de l’heure, du lieu et de l’ordre du jour de l’assemblée générale de copropriété. Les associations peuvent y assister et formuler des observations sur les questions inscrites à l’ordre du jour.

      Les décisions prises en assemblée des copropriétaires et relatives à l’entretien de l’immeuble et aux travaux font l’objet d’un procès-verbal synthétique, affiché dans les parties communes de l’immeuble.

      Le bailleur social qui envisage une opération d’amélioration, ayant une incidence sur les loyers ou les charges locatives, ou de construction-démolition, doit mener une concertation (moment d’échange et de discussion) avec les représentants des locataires.

      La concertation porte sur les points suivants :

      • Consistance et coût des travaux

      • Répercussion prévisible sur les loyers ou les charges locatives

      • Conditions de leur réalisation

      • Opportunité de créer un local collectif résidentiel

      • Conditions de relogement des locataires, s’il y a lieu (notamment pour les opérations de construction-démolition).

      Une fois le projet élaboré et avant le début de l’opération, le bailleur dresse un bilan de la concertation qui comporte l’avis motivé des représentants des locataires. Il en informe les locataires réunis à cet effet. .

      Le plan de concertation locative définit les conditions pratiques de l’échange entre le bailleur social et les associations de locataires.

      Il instaure un ou plusieurs conseils de concertation locative et prévoit des moyens matériels et financiers attribuées aux représentants des locataires.

      Le conseil de concertation locative est consulté sur toutes les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des habitants de l’immeuble ou des ensembles immobiliers concernés.

      Le plan de concertation locative couvre l’ensemble du patrimoine du bailleur social. Il est élaboré avec les représentants des associations de locataires représentatives et les représentants des locataires élus au sein de leur conseil d’administration.

      Les bailleurs sociaux, représentés à la Commission nationale de concertation, peuvent conclure avec une ou plusieurs associations de locataires des accords collectifs locaux portant sur tout ou partie de leur patrimoine.

      Ces accords portent notamment sur les points suivants :

      • Suppléments de loyers

      • Maîtrise de l’évolution des charges récupérables

      • Grille de vétusté

      • Amélioration et entretien des logements et des parties communes

      • Locaux résidentiels à usage commun.

    Associations reconnues représentatives

      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

      Association de locataires

      Vous souhaitez savoir quel est le but d’une association de locataires, par qui elle peut être créée, quels sont les missions des représentants envers le bailleur social, si elle peut agir en justice… ? Nous vous donnons les informations utiles.

        Dans le secteur locatif social (hébergement à loyer modéré par exemple), les associations de locataires représentent et défendent l’intérêt des locataires auprès des bailleurs sociaux.

        Elle participe à des instances de concertation (moment d’échange et de discussion) sur les différents aspects de la gestion des immeubles et sur les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des locataires.

        L’association est créée par les locataires pour un immeuble, un groupe d’immeubles ou pour tout le patrimoine d’un même bailleur social.

        La création d’une association de locataires répond aux mêmes exigences que les associations loi 1901.

        Les associations de locataires doivent œuvrer dans le domaine du logement, dans le secteur locatif social. Elles ne doivent pas poursuivre des intérêts collectifs qui seraient en contradiction avec les objectifs du logement social. Elles doivent être indépendantes de tout parti politique ou organisation philosophique, confessionnelle, ethnique ou raciale.

        Comme toute association, l’association de locataires est tenue de déclarer en préfecture sa création, puis les modifications de ses statuts et le changement de ses représentants.

        L’association de locataires peut être affiliée (appartenir) à une association nationale. C’est au cours de l’assemblée générale constitutive que les membres délibèrent sur son affiliation (association) ou non à une organisation nationale.

        Dans un immeuble ou groupe d’immeubles, une association de locataires est représentative si elle remplit l’une des 2 conditions suivantes :

        C’est uniquement, une fois que l’une de ces 2 conditions est remplie, que l’association peut représenter les locataires.

        Les associations représentatives de locataires désignent au bailleur social, et, s’il y a lieu, au syndic de copropriété, par lettre recommandée avec accusé de réception, le nom de 3 représentants maximum choisis parmi les locataires.

        Ces représentants ont accès aux documents concernant le calcul et l’évolution des charges locatives.

        À la demande des représentants, le bailleur social ou, s’il y a lieu, l’administrateur de la copropriété (par exemple : le syndic) les consulte tous les 6 mois sur les différents aspects de la gestion de l’immeuble ou du groupe d’immeubles.

        Dans chaque bâtiment d’habitation, un panneau d’affichage, donnant notamment des informations sur le logement, l’habitat, les travaux, est mis à la disposition des associations dans un lieu de passage des locataires.

        Dans les immeubles, soumis au statut de la copropriété, le syndic de la copropriété les informe de la date, de l’heure, du lieu et de l’ordre du jour de l’assemblée générale de copropriété. Les associations peuvent y assister et formuler des observations sur les questions inscrites à l’ordre du jour.

        Les décisions prises en assemblée des copropriétaires et relatives à l’entretien de l’immeuble et aux travaux font l’objet d’un procès-verbal synthétique, affiché dans les parties communes de l’immeuble.

        Le bailleur social qui envisage une opération d’amélioration, ayant une incidence sur les loyers ou les charges locatives, ou de construction-démolition, doit mener une concertation (moment d’échange et de discussion) avec les représentants des locataires.

        La concertation porte sur les points suivants :

        • Consistance et coût des travaux

        • Répercussion prévisible sur les loyers ou les charges locatives

        • Conditions de leur réalisation

        • Opportunité de créer un local collectif résidentiel

        • Conditions de relogement des locataires, s’il y a lieu (notamment pour les opérations de construction-démolition).

        Une fois le projet élaboré et avant le début de l’opération, le bailleur dresse un bilan de la concertation qui comporte l’avis motivé des représentants des locataires. Il en informe les locataires réunis à cet effet. .

        Le plan de concertation locative définit les conditions pratiques de l’échange entre le bailleur social et les associations de locataires.

        Il instaure un ou plusieurs conseils de concertation locative et prévoit des moyens matériels et financiers attribuées aux représentants des locataires.

        Le conseil de concertation locative est consulté sur toutes les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des habitants de l’immeuble ou des ensembles immobiliers concernés.

        Le plan de concertation locative couvre l’ensemble du patrimoine du bailleur social. Il est élaboré avec les représentants des associations de locataires représentatives et les représentants des locataires élus au sein de leur conseil d’administration.

        Les bailleurs sociaux, représentés à la Commission nationale de concertation, peuvent conclure avec une ou plusieurs associations de locataires des accords collectifs locaux portant sur tout ou partie de leur patrimoine.

        Ces accords portent notamment sur les points suivants :

        • Suppléments de loyers

        • Maîtrise de l’évolution des charges récupérables

        • Grille de vétusté

        • Amélioration et entretien des logements et des parties communes

        • Locaux résidentiels à usage commun.

      Associations reconnues représentatives

        Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

        Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

        Association de locataires

        Vous souhaitez savoir quel est le but d’une association de locataires, par qui elle peut être créée, quels sont les missions des représentants envers le bailleur social, si elle peut agir en justice… ? Nous vous donnons les informations utiles.

          Dans le secteur locatif social (hébergement à loyer modéré par exemple), les associations de locataires représentent et défendent l’intérêt des locataires auprès des bailleurs sociaux.

          Elle participe à des instances de concertation (moment d’échange et de discussion) sur les différents aspects de la gestion des immeubles et sur les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des locataires.

          L’association est créée par les locataires pour un immeuble, un groupe d’immeubles ou pour tout le patrimoine d’un même bailleur social.

          La création d’une association de locataires répond aux mêmes exigences que les associations loi 1901.

          Les associations de locataires doivent œuvrer dans le domaine du logement, dans le secteur locatif social. Elles ne doivent pas poursuivre des intérêts collectifs qui seraient en contradiction avec les objectifs du logement social. Elles doivent être indépendantes de tout parti politique ou organisation philosophique, confessionnelle, ethnique ou raciale.

          Comme toute association, l’association de locataires est tenue de déclarer en préfecture sa création, puis les modifications de ses statuts et le changement de ses représentants.

          L’association de locataires peut être affiliée (appartenir) à une association nationale. C’est au cours de l’assemblée générale constitutive que les membres délibèrent sur son affiliation (association) ou non à une organisation nationale.

          Dans un immeuble ou groupe d’immeubles, une association de locataires est représentative si elle remplit l’une des 2 conditions suivantes :

          C’est uniquement, une fois que l’une de ces 2 conditions est remplie, que l’association peut représenter les locataires.

          Les associations représentatives de locataires désignent au bailleur social, et, s’il y a lieu, au syndic de copropriété, par lettre recommandée avec accusé de réception, le nom de 3 représentants maximum choisis parmi les locataires.

          Ces représentants ont accès aux documents concernant le calcul et l’évolution des charges locatives.

          À la demande des représentants, le bailleur social ou, s’il y a lieu, l’administrateur de la copropriété (par exemple : le syndic) les consulte tous les 6 mois sur les différents aspects de la gestion de l’immeuble ou du groupe d’immeubles.

          Dans chaque bâtiment d’habitation, un panneau d’affichage, donnant notamment des informations sur le logement, l’habitat, les travaux, est mis à la disposition des associations dans un lieu de passage des locataires.

          Dans les immeubles, soumis au statut de la copropriété, le syndic de la copropriété les informe de la date, de l’heure, du lieu et de l’ordre du jour de l’assemblée générale de copropriété. Les associations peuvent y assister et formuler des observations sur les questions inscrites à l’ordre du jour.

          Les décisions prises en assemblée des copropriétaires et relatives à l’entretien de l’immeuble et aux travaux font l’objet d’un procès-verbal synthétique, affiché dans les parties communes de l’immeuble.

          Le bailleur social qui envisage une opération d’amélioration, ayant une incidence sur les loyers ou les charges locatives, ou de construction-démolition, doit mener une concertation (moment d’échange et de discussion) avec les représentants des locataires.

          La concertation porte sur les points suivants :

          • Consistance et coût des travaux

          • Répercussion prévisible sur les loyers ou les charges locatives

          • Conditions de leur réalisation

          • Opportunité de créer un local collectif résidentiel

          • Conditions de relogement des locataires, s’il y a lieu (notamment pour les opérations de construction-démolition).

          Une fois le projet élaboré et avant le début de l’opération, le bailleur dresse un bilan de la concertation qui comporte l’avis motivé des représentants des locataires. Il en informe les locataires réunis à cet effet. .

          Le plan de concertation locative définit les conditions pratiques de l’échange entre le bailleur social et les associations de locataires.

          Il instaure un ou plusieurs conseils de concertation locative et prévoit des moyens matériels et financiers attribuées aux représentants des locataires.

          Le conseil de concertation locative est consulté sur toutes les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des habitants de l’immeuble ou des ensembles immobiliers concernés.

          Le plan de concertation locative couvre l’ensemble du patrimoine du bailleur social. Il est élaboré avec les représentants des associations de locataires représentatives et les représentants des locataires élus au sein de leur conseil d’administration.

          Les bailleurs sociaux, représentés à la Commission nationale de concertation, peuvent conclure avec une ou plusieurs associations de locataires des accords collectifs locaux portant sur tout ou partie de leur patrimoine.

          Ces accords portent notamment sur les points suivants :

          • Suppléments de loyers

          • Maîtrise de l’évolution des charges récupérables

          • Grille de vétusté

          • Amélioration et entretien des logements et des parties communes

          • Locaux résidentiels à usage commun.

        Associations reconnues représentatives

          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

          Association de locataires

          Vous souhaitez savoir quel est le but d’une association de locataires, par qui elle peut être créée, quels sont les missions des représentants envers le bailleur social, si elle peut agir en justice… ? Nous vous donnons les informations utiles.

            Dans le secteur locatif social (hébergement à loyer modéré par exemple), les associations de locataires représentent et défendent l’intérêt des locataires auprès des bailleurs sociaux.

            Elle participe à des instances de concertation (moment d’échange et de discussion) sur les différents aspects de la gestion des immeubles et sur les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des locataires.

            L’association est créée par les locataires pour un immeuble, un groupe d’immeubles ou pour tout le patrimoine d’un même bailleur social.

            La création d’une association de locataires répond aux mêmes exigences que les associations loi 1901.

            Les associations de locataires doivent œuvrer dans le domaine du logement, dans le secteur locatif social. Elles ne doivent pas poursuivre des intérêts collectifs qui seraient en contradiction avec les objectifs du logement social. Elles doivent être indépendantes de tout parti politique ou organisation philosophique, confessionnelle, ethnique ou raciale.

            Comme toute association, l’association de locataires est tenue de déclarer en préfecture sa création, puis les modifications de ses statuts et le changement de ses représentants.

            L’association de locataires peut être affiliée (appartenir) à une association nationale. C’est au cours de l’assemblée générale constitutive que les membres délibèrent sur son affiliation (association) ou non à une organisation nationale.

            Dans un immeuble ou groupe d’immeubles, une association de locataires est représentative si elle remplit l’une des 2 conditions suivantes :

            C’est uniquement, une fois que l’une de ces 2 conditions est remplie, que l’association peut représenter les locataires.

            Les associations représentatives de locataires désignent au bailleur social, et, s’il y a lieu, au syndic de copropriété, par lettre recommandée avec accusé de réception, le nom de 3 représentants maximum choisis parmi les locataires.

            Ces représentants ont accès aux documents concernant le calcul et l’évolution des charges locatives.

            À la demande des représentants, le bailleur social ou, s’il y a lieu, l’administrateur de la copropriété (par exemple : le syndic) les consulte tous les 6 mois sur les différents aspects de la gestion de l’immeuble ou du groupe d’immeubles.

            Dans chaque bâtiment d’habitation, un panneau d’affichage, donnant notamment des informations sur le logement, l’habitat, les travaux, est mis à la disposition des associations dans un lieu de passage des locataires.

            Dans les immeubles, soumis au statut de la copropriété, le syndic de la copropriété les informe de la date, de l’heure, du lieu et de l’ordre du jour de l’assemblée générale de copropriété. Les associations peuvent y assister et formuler des observations sur les questions inscrites à l’ordre du jour.

            Les décisions prises en assemblée des copropriétaires et relatives à l’entretien de l’immeuble et aux travaux font l’objet d’un procès-verbal synthétique, affiché dans les parties communes de l’immeuble.

            Le bailleur social qui envisage une opération d’amélioration, ayant une incidence sur les loyers ou les charges locatives, ou de construction-démolition, doit mener une concertation (moment d’échange et de discussion) avec les représentants des locataires.

            La concertation porte sur les points suivants :

            • Consistance et coût des travaux

            • Répercussion prévisible sur les loyers ou les charges locatives

            • Conditions de leur réalisation

            • Opportunité de créer un local collectif résidentiel

            • Conditions de relogement des locataires, s’il y a lieu (notamment pour les opérations de construction-démolition).

            Une fois le projet élaboré et avant le début de l’opération, le bailleur dresse un bilan de la concertation qui comporte l’avis motivé des représentants des locataires. Il en informe les locataires réunis à cet effet. .

            Le plan de concertation locative définit les conditions pratiques de l’échange entre le bailleur social et les associations de locataires.

            Il instaure un ou plusieurs conseils de concertation locative et prévoit des moyens matériels et financiers attribuées aux représentants des locataires.

            Le conseil de concertation locative est consulté sur toutes les mesures relatives aux conditions d’habitat et au cadre de vie des habitants de l’immeuble ou des ensembles immobiliers concernés.

            Le plan de concertation locative couvre l’ensemble du patrimoine du bailleur social. Il est élaboré avec les représentants des associations de locataires représentatives et les représentants des locataires élus au sein de leur conseil d’administration.

            Les bailleurs sociaux, représentés à la Commission nationale de concertation, peuvent conclure avec une ou plusieurs associations de locataires des accords collectifs locaux portant sur tout ou partie de leur patrimoine.

            Ces accords portent notamment sur les points suivants :

            • Suppléments de loyers

            • Maîtrise de l’évolution des charges récupérables

            • Grille de vétusté

            • Amélioration et entretien des logements et des parties communes

            • Locaux résidentiels à usage commun.

          Associations reconnues représentatives

            Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

            Faire sa demande en ligne

            Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
            Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

            La cellule urbanisme reste votre interlocuteur privilégié pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à la solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

            Contact