Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ?

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Qu’est-ce qu’une clause de non-concurrence ?

La clause de non-concurrence est une clause insérée par votre employeur dans votre contrat de travail. Elle vise à limiter votre liberté d’exercer, après la rupture de votre contrat, des fonctions équivalentes chez un concurrent de votre employeur ou à votre propre compte. Nous vous présentons les informations à connaître.

    La clause de non-concurrence n’est pas définie par la loi, mais elle a été encadrée par des décisions de justice, c’est-à-dire par la jurisprudence .

    La clause doit être écrite dans le contrat de travail (ou prévue dans la convention collective à la date de la signature du contrat).

    La clause est applicable uniquement si elle veille à protéger les intérêts légitimes de l’entreprise de votre employeur (si vous êtes en contact direct avec la clientèle de votre entreprise, par exemple).

    La clause ne doit pas avoir pour effet de vous empêcher de trouver un emploi dans une autre entreprise.

    Pour qu’elle soit applicable, la clause de non-concurrence doit répondre à certains critères cumulatifs définis qui conditionnent sa validité :

    • Elle doit être limitée dans le temps (sa durée ne doit pas être excessive)

    • Elle doit être limitée dans l’espace (une zone géographique doit être prévue)

    • Elle doit être liée à une activité spécifiquement visée (coiffeur par exemple)

    • Elle doit comporter une contrepartie financière pour le salarié

    En cas de non-respect d’un de ces critères, la clause de non-concurrence n’est pas valable.

    La clause de non-concurrence s’applique :

    • Soit à la date effective de la fin de votre contrat de travail (à l’issue de la période de préavis)

    • Soit lors de votre départ de l’entreprise (en cas de dispense de préavis)

    Contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    Oui, une contrepartie financière (ou indemnité compensatrice) vous est versée, après la rupture de votre contrat de travail, par votre employeur en cas d’application d’une clause de non-concurrence.

    En contrepartie de cette indemnité, vous vous engagez à ne pas faire concurrence à votre ancien employeur à la fin de votre contrat de travail.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence, votre employeur peut interrompre le versement de la contrepartie financière. Votre employeur doit prouver que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    À noter

    En cas de départ à la retraite à la fin de votre contrat de travail, votre employeur doit lever la clause de non-concurrence dans le délai prévu dans votre contrat de travail ou dans la convention collective. En l’absence de retrait de la clause avant votre départ de l’entreprise, le paiement de la contrepartie financière vous est dû.

    Montant de la contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    La contrepartie financière vous est due dès lors que la clause de non-concurrence est applicable (même si vous êtes licencié pour faute grave ou si vous démissionnez).

    Son montant est défini par l’employeur et le salarié dans le contrat de travail.

    Cette contrepartie peut prendre la forme :

    • Soit d’un capital (sous la forme d’un versement unique)

    • Soit d’une rente (c’est-à-dire une prime versée en une seule fois ou périodiquement)

    À noter

    La contrepartie financière est soumise à l’impôt sur le revenu et est saisissable en tant que partie du salaire.

    Elle doit vous être versée après la rupture de votre contrat de travail et non pendant son exécution.

    La contrepartie doit être raisonnable : une contrepartie dérisoire équivaut à une absence de contrepartie financière et n’est donc pas valable, selon la jurisprudence.

    Rappel

    La clause de non-concurrence et la contrepartie financière qui l’accompagne ne sont pas définies pas la loi. Elles sont librement consenties entre le salarié et l’employeur. Seule la jurisprudence a encadré leur application.

    Oui, votre employeur peut renoncer à appliquer la clause de non-concurrence :

    • Soit dans les conditions éventuellement prévues dans votre contrat de travail ou par une convention collective ou par un accord d’entreprise

    • Soit avec votre accord si rien n’est prévu dans votre contrat de travail ou la convention collective ou l’accord d’entreprise

    La renonciation doit être claire et non sujette à interprétation par l’employeur ou le salarié.

    De plus, elle doit vous être notifiée par lettre avec  RAR  si la convention collective ou le contrat de travail le prévoit.

    Attention

    votre employeur est tenu de respecter les conditions de renonciation prévues par votre contrat de travail ou les dispositions conventionnelles si elles existent.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence à la fin de votre contrat de travail avec votre ancien employeur, le paiement de la contrepartie financière peut être annulé.

    C’est à votre ancien employeur d’apporter la preuve auprès du juge que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    De plus, le juge peut vous condamner à verser des dommages et intérêts à votre employeur et à lui rembourser tout ou partie de la contrepartie financière en raison du préjudice commis.

    Si votre employeur ne respecte pas la clause ou ne vous verse pas la contrepartie financière à la fin de votre contrat de travail, vous n’êtes plus obligé de respecter la clause de non-concurrence.

    À noter

    L’employeur ne peut pas se dégager de son obligation financière en décidant de renoncer unilatéralement à la clause sauf si des dispositions conventionnelles ou le contrat de travail l’ont prévu.

    Il vous revient d’apporter la preuve auprès du conseil de prud’hommes (CPH) que votre ancien employeur ne respecte pas la clause de non-concurrence.

    Vous pouvez recourir à un avocat pour vous présenter à l’audience du CPH, mais cela n’est pas obligatoire. Vous pouvez vous présenter seul ou vous faire assister d’un défenseur syndical.

    De plus, le CPH peut condamner votre employeur à vous verser des dommages et intérêts en réparation du préjudice subi.

    À noter

    L’employeur reste tenu de verser la contrepartie financières durant toute la période prévue par la clause de non-concurrence.

Contrats de travail dans le secteur privé

Qu’est-ce qu’une clause de non-concurrence ?

La clause de non-concurrence est une clause insérée par votre employeur dans votre contrat de travail. Elle vise à limiter votre liberté d’exercer, après la rupture de votre contrat, des fonctions équivalentes chez un concurrent de votre employeur ou à votre propre compte. Nous vous présentons les informations à connaître.

    La clause de non-concurrence n’est pas définie par la loi, mais elle a été encadrée par des décisions de justice, c’est-à-dire par la jurisprudence .

    La clause doit être écrite dans le contrat de travail (ou prévue dans la convention collective à la date de la signature du contrat).

    La clause est applicable uniquement si elle veille à protéger les intérêts légitimes de l’entreprise de votre employeur (si vous êtes en contact direct avec la clientèle de votre entreprise, par exemple).

    La clause ne doit pas avoir pour effet de vous empêcher de trouver un emploi dans une autre entreprise.

    Pour qu’elle soit applicable, la clause de non-concurrence doit répondre à certains critères cumulatifs définis qui conditionnent sa validité :

    • Elle doit être limitée dans le temps (sa durée ne doit pas être excessive)

    • Elle doit être limitée dans l’espace (une zone géographique doit être prévue)

    • Elle doit être liée à une activité spécifiquement visée (coiffeur par exemple)

    • Elle doit comporter une contrepartie financière pour le salarié

    En cas de non-respect d’un de ces critères, la clause de non-concurrence n’est pas valable.

    La clause de non-concurrence s’applique :

    • Soit à la date effective de la fin de votre contrat de travail (à l’issue de la période de préavis)

    • Soit lors de votre départ de l’entreprise (en cas de dispense de préavis)

    Contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    Oui, une contrepartie financière (ou indemnité compensatrice) vous est versée, après la rupture de votre contrat de travail, par votre employeur en cas d’application d’une clause de non-concurrence.

    En contrepartie de cette indemnité, vous vous engagez à ne pas faire concurrence à votre ancien employeur à la fin de votre contrat de travail.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence, votre employeur peut interrompre le versement de la contrepartie financière. Votre employeur doit prouver que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    À noter

    En cas de départ à la retraite à la fin de votre contrat de travail, votre employeur doit lever la clause de non-concurrence dans le délai prévu dans votre contrat de travail ou dans la convention collective. En l’absence de retrait de la clause avant votre départ de l’entreprise, le paiement de la contrepartie financière vous est dû.

    Montant de la contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    La contrepartie financière vous est due dès lors que la clause de non-concurrence est applicable (même si vous êtes licencié pour faute grave ou si vous démissionnez).

    Son montant est défini par l’employeur et le salarié dans le contrat de travail.

    Cette contrepartie peut prendre la forme :

    • Soit d’un capital (sous la forme d’un versement unique)

    • Soit d’une rente (c’est-à-dire une prime versée en une seule fois ou périodiquement)

    À noter

    La contrepartie financière est soumise à l’impôt sur le revenu et est saisissable en tant que partie du salaire.

    Elle doit vous être versée après la rupture de votre contrat de travail et non pendant son exécution.

    La contrepartie doit être raisonnable : une contrepartie dérisoire équivaut à une absence de contrepartie financière et n’est donc pas valable, selon la jurisprudence.

    Rappel

    La clause de non-concurrence et la contrepartie financière qui l’accompagne ne sont pas définies pas la loi. Elles sont librement consenties entre le salarié et l’employeur. Seule la jurisprudence a encadré leur application.

    Oui, votre employeur peut renoncer à appliquer la clause de non-concurrence :

    • Soit dans les conditions éventuellement prévues dans votre contrat de travail ou par une convention collective ou par un accord d’entreprise

    • Soit avec votre accord si rien n’est prévu dans votre contrat de travail ou la convention collective ou l’accord d’entreprise

    La renonciation doit être claire et non sujette à interprétation par l’employeur ou le salarié.

    De plus, elle doit vous être notifiée par lettre avec  RAR  si la convention collective ou le contrat de travail le prévoit.

    Attention

    votre employeur est tenu de respecter les conditions de renonciation prévues par votre contrat de travail ou les dispositions conventionnelles si elles existent.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence à la fin de votre contrat de travail avec votre ancien employeur, le paiement de la contrepartie financière peut être annulé.

    C’est à votre ancien employeur d’apporter la preuve auprès du juge que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    De plus, le juge peut vous condamner à verser des dommages et intérêts à votre employeur et à lui rembourser tout ou partie de la contrepartie financière en raison du préjudice commis.

    Si votre employeur ne respecte pas la clause ou ne vous verse pas la contrepartie financière à la fin de votre contrat de travail, vous n’êtes plus obligé de respecter la clause de non-concurrence.

    À noter

    L’employeur ne peut pas se dégager de son obligation financière en décidant de renoncer unilatéralement à la clause sauf si des dispositions conventionnelles ou le contrat de travail l’ont prévu.

    Il vous revient d’apporter la preuve auprès du conseil de prud’hommes (CPH) que votre ancien employeur ne respecte pas la clause de non-concurrence.

    Vous pouvez recourir à un avocat pour vous présenter à l’audience du CPH, mais cela n’est pas obligatoire. Vous pouvez vous présenter seul ou vous faire assister d’un défenseur syndical.

    De plus, le CPH peut condamner votre employeur à vous verser des dommages et intérêts en réparation du préjudice subi.

    À noter

    L’employeur reste tenu de verser la contrepartie financières durant toute la période prévue par la clause de non-concurrence.

Contrats de travail dans le secteur privé

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

Qu’est-ce qu’une clause de non-concurrence ?

La clause de non-concurrence est une clause insérée par votre employeur dans votre contrat de travail. Elle vise à limiter votre liberté d’exercer, après la rupture de votre contrat, des fonctions équivalentes chez un concurrent de votre employeur ou à votre propre compte. Nous vous présentons les informations à connaître.

    La clause de non-concurrence n’est pas définie par la loi, mais elle a été encadrée par des décisions de justice, c’est-à-dire par la jurisprudence .

    La clause doit être écrite dans le contrat de travail (ou prévue dans la convention collective à la date de la signature du contrat).

    La clause est applicable uniquement si elle veille à protéger les intérêts légitimes de l’entreprise de votre employeur (si vous êtes en contact direct avec la clientèle de votre entreprise, par exemple).

    La clause ne doit pas avoir pour effet de vous empêcher de trouver un emploi dans une autre entreprise.

    Pour qu’elle soit applicable, la clause de non-concurrence doit répondre à certains critères cumulatifs définis qui conditionnent sa validité :

    • Elle doit être limitée dans le temps (sa durée ne doit pas être excessive)

    • Elle doit être limitée dans l’espace (une zone géographique doit être prévue)

    • Elle doit être liée à une activité spécifiquement visée (coiffeur par exemple)

    • Elle doit comporter une contrepartie financière pour le salarié

    En cas de non-respect d’un de ces critères, la clause de non-concurrence n’est pas valable.

    La clause de non-concurrence s’applique :

    • Soit à la date effective de la fin de votre contrat de travail (à l’issue de la période de préavis)

    • Soit lors de votre départ de l’entreprise (en cas de dispense de préavis)

    Contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    Oui, une contrepartie financière (ou indemnité compensatrice) vous est versée, après la rupture de votre contrat de travail, par votre employeur en cas d’application d’une clause de non-concurrence.

    En contrepartie de cette indemnité, vous vous engagez à ne pas faire concurrence à votre ancien employeur à la fin de votre contrat de travail.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence, votre employeur peut interrompre le versement de la contrepartie financière. Votre employeur doit prouver que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    À noter

    En cas de départ à la retraite à la fin de votre contrat de travail, votre employeur doit lever la clause de non-concurrence dans le délai prévu dans votre contrat de travail ou dans la convention collective. En l’absence de retrait de la clause avant votre départ de l’entreprise, le paiement de la contrepartie financière vous est dû.

    Montant de la contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    La contrepartie financière vous est due dès lors que la clause de non-concurrence est applicable (même si vous êtes licencié pour faute grave ou si vous démissionnez).

    Son montant est défini par l’employeur et le salarié dans le contrat de travail.

    Cette contrepartie peut prendre la forme :

    • Soit d’un capital (sous la forme d’un versement unique)

    • Soit d’une rente (c’est-à-dire une prime versée en une seule fois ou périodiquement)

    À noter

    La contrepartie financière est soumise à l’impôt sur le revenu et est saisissable en tant que partie du salaire.

    Elle doit vous être versée après la rupture de votre contrat de travail et non pendant son exécution.

    La contrepartie doit être raisonnable : une contrepartie dérisoire équivaut à une absence de contrepartie financière et n’est donc pas valable, selon la jurisprudence.

    Rappel

    La clause de non-concurrence et la contrepartie financière qui l’accompagne ne sont pas définies pas la loi. Elles sont librement consenties entre le salarié et l’employeur. Seule la jurisprudence a encadré leur application.

    Oui, votre employeur peut renoncer à appliquer la clause de non-concurrence :

    • Soit dans les conditions éventuellement prévues dans votre contrat de travail ou par une convention collective ou par un accord d’entreprise

    • Soit avec votre accord si rien n’est prévu dans votre contrat de travail ou la convention collective ou l’accord d’entreprise

    La renonciation doit être claire et non sujette à interprétation par l’employeur ou le salarié.

    De plus, elle doit vous être notifiée par lettre avec  RAR  si la convention collective ou le contrat de travail le prévoit.

    Attention

    votre employeur est tenu de respecter les conditions de renonciation prévues par votre contrat de travail ou les dispositions conventionnelles si elles existent.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence à la fin de votre contrat de travail avec votre ancien employeur, le paiement de la contrepartie financière peut être annulé.

    C’est à votre ancien employeur d’apporter la preuve auprès du juge que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    De plus, le juge peut vous condamner à verser des dommages et intérêts à votre employeur et à lui rembourser tout ou partie de la contrepartie financière en raison du préjudice commis.

    Si votre employeur ne respecte pas la clause ou ne vous verse pas la contrepartie financière à la fin de votre contrat de travail, vous n’êtes plus obligé de respecter la clause de non-concurrence.

    À noter

    L’employeur ne peut pas se dégager de son obligation financière en décidant de renoncer unilatéralement à la clause sauf si des dispositions conventionnelles ou le contrat de travail l’ont prévu.

    Il vous revient d’apporter la preuve auprès du conseil de prud’hommes (CPH) que votre ancien employeur ne respecte pas la clause de non-concurrence.

    Vous pouvez recourir à un avocat pour vous présenter à l’audience du CPH, mais cela n’est pas obligatoire. Vous pouvez vous présenter seul ou vous faire assister d’un défenseur syndical.

    De plus, le CPH peut condamner votre employeur à vous verser des dommages et intérêts en réparation du préjudice subi.

    À noter

    L’employeur reste tenu de verser la contrepartie financières durant toute la période prévue par la clause de non-concurrence.

Contrats de travail dans le secteur privé

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

Qu’est-ce qu’une clause de non-concurrence ?

La clause de non-concurrence est une clause insérée par votre employeur dans votre contrat de travail. Elle vise à limiter votre liberté d’exercer, après la rupture de votre contrat, des fonctions équivalentes chez un concurrent de votre employeur ou à votre propre compte. Nous vous présentons les informations à connaître.

    La clause de non-concurrence n’est pas définie par la loi, mais elle a été encadrée par des décisions de justice, c’est-à-dire par la jurisprudence .

    La clause doit être écrite dans le contrat de travail (ou prévue dans la convention collective à la date de la signature du contrat).

    La clause est applicable uniquement si elle veille à protéger les intérêts légitimes de l’entreprise de votre employeur (si vous êtes en contact direct avec la clientèle de votre entreprise, par exemple).

    La clause ne doit pas avoir pour effet de vous empêcher de trouver un emploi dans une autre entreprise.

    Pour qu’elle soit applicable, la clause de non-concurrence doit répondre à certains critères cumulatifs définis qui conditionnent sa validité :

    • Elle doit être limitée dans le temps (sa durée ne doit pas être excessive)

    • Elle doit être limitée dans l’espace (une zone géographique doit être prévue)

    • Elle doit être liée à une activité spécifiquement visée (coiffeur par exemple)

    • Elle doit comporter une contrepartie financière pour le salarié

    En cas de non-respect d’un de ces critères, la clause de non-concurrence n’est pas valable.

    La clause de non-concurrence s’applique :

    • Soit à la date effective de la fin de votre contrat de travail (à l’issue de la période de préavis)

    • Soit lors de votre départ de l’entreprise (en cas de dispense de préavis)

    Contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    Oui, une contrepartie financière (ou indemnité compensatrice) vous est versée, après la rupture de votre contrat de travail, par votre employeur en cas d’application d’une clause de non-concurrence.

    En contrepartie de cette indemnité, vous vous engagez à ne pas faire concurrence à votre ancien employeur à la fin de votre contrat de travail.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence, votre employeur peut interrompre le versement de la contrepartie financière. Votre employeur doit prouver que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    À noter

    En cas de départ à la retraite à la fin de votre contrat de travail, votre employeur doit lever la clause de non-concurrence dans le délai prévu dans votre contrat de travail ou dans la convention collective. En l’absence de retrait de la clause avant votre départ de l’entreprise, le paiement de la contrepartie financière vous est dû.

    Montant de la contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    La contrepartie financière vous est due dès lors que la clause de non-concurrence est applicable (même si vous êtes licencié pour faute grave ou si vous démissionnez).

    Son montant est défini par l’employeur et le salarié dans le contrat de travail.

    Cette contrepartie peut prendre la forme :

    • Soit d’un capital (sous la forme d’un versement unique)

    • Soit d’une rente (c’est-à-dire une prime versée en une seule fois ou périodiquement)

    À noter

    La contrepartie financière est soumise à l’impôt sur le revenu et est saisissable en tant que partie du salaire.

    Elle doit vous être versée après la rupture de votre contrat de travail et non pendant son exécution.

    La contrepartie doit être raisonnable : une contrepartie dérisoire équivaut à une absence de contrepartie financière et n’est donc pas valable, selon la jurisprudence.

    Rappel

    La clause de non-concurrence et la contrepartie financière qui l’accompagne ne sont pas définies pas la loi. Elles sont librement consenties entre le salarié et l’employeur. Seule la jurisprudence a encadré leur application.

    Oui, votre employeur peut renoncer à appliquer la clause de non-concurrence :

    • Soit dans les conditions éventuellement prévues dans votre contrat de travail ou par une convention collective ou par un accord d’entreprise

    • Soit avec votre accord si rien n’est prévu dans votre contrat de travail ou la convention collective ou l’accord d’entreprise

    La renonciation doit être claire et non sujette à interprétation par l’employeur ou le salarié.

    De plus, elle doit vous être notifiée par lettre avec  RAR  si la convention collective ou le contrat de travail le prévoit.

    Attention

    votre employeur est tenu de respecter les conditions de renonciation prévues par votre contrat de travail ou les dispositions conventionnelles si elles existent.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence à la fin de votre contrat de travail avec votre ancien employeur, le paiement de la contrepartie financière peut être annulé.

    C’est à votre ancien employeur d’apporter la preuve auprès du juge que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    De plus, le juge peut vous condamner à verser des dommages et intérêts à votre employeur et à lui rembourser tout ou partie de la contrepartie financière en raison du préjudice commis.

    Si votre employeur ne respecte pas la clause ou ne vous verse pas la contrepartie financière à la fin de votre contrat de travail, vous n’êtes plus obligé de respecter la clause de non-concurrence.

    À noter

    L’employeur ne peut pas se dégager de son obligation financière en décidant de renoncer unilatéralement à la clause sauf si des dispositions conventionnelles ou le contrat de travail l’ont prévu.

    Il vous revient d’apporter la preuve auprès du conseil de prud’hommes (CPH) que votre ancien employeur ne respecte pas la clause de non-concurrence.

    Vous pouvez recourir à un avocat pour vous présenter à l’audience du CPH, mais cela n’est pas obligatoire. Vous pouvez vous présenter seul ou vous faire assister d’un défenseur syndical.

    De plus, le CPH peut condamner votre employeur à vous verser des dommages et intérêts en réparation du préjudice subi.

    À noter

    L’employeur reste tenu de verser la contrepartie financières durant toute la période prévue par la clause de non-concurrence.

Contrats de travail dans le secteur privé

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

Qu’est-ce qu’une clause de non-concurrence ?

La clause de non-concurrence est une clause insérée par votre employeur dans votre contrat de travail. Elle vise à limiter votre liberté d’exercer, après la rupture de votre contrat, des fonctions équivalentes chez un concurrent de votre employeur ou à votre propre compte. Nous vous présentons les informations à connaître.

    La clause de non-concurrence n’est pas définie par la loi, mais elle a été encadrée par des décisions de justice, c’est-à-dire par la jurisprudence .

    La clause doit être écrite dans le contrat de travail (ou prévue dans la convention collective à la date de la signature du contrat).

    La clause est applicable uniquement si elle veille à protéger les intérêts légitimes de l’entreprise de votre employeur (si vous êtes en contact direct avec la clientèle de votre entreprise, par exemple).

    La clause ne doit pas avoir pour effet de vous empêcher de trouver un emploi dans une autre entreprise.

    Pour qu’elle soit applicable, la clause de non-concurrence doit répondre à certains critères cumulatifs définis qui conditionnent sa validité :

    • Elle doit être limitée dans le temps (sa durée ne doit pas être excessive)

    • Elle doit être limitée dans l’espace (une zone géographique doit être prévue)

    • Elle doit être liée à une activité spécifiquement visée (coiffeur par exemple)

    • Elle doit comporter une contrepartie financière pour le salarié

    En cas de non-respect d’un de ces critères, la clause de non-concurrence n’est pas valable.

    La clause de non-concurrence s’applique :

    • Soit à la date effective de la fin de votre contrat de travail (à l’issue de la période de préavis)

    • Soit lors de votre départ de l’entreprise (en cas de dispense de préavis)

    Contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    Oui, une contrepartie financière (ou indemnité compensatrice) vous est versée, après la rupture de votre contrat de travail, par votre employeur en cas d’application d’une clause de non-concurrence.

    En contrepartie de cette indemnité, vous vous engagez à ne pas faire concurrence à votre ancien employeur à la fin de votre contrat de travail.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence, votre employeur peut interrompre le versement de la contrepartie financière. Votre employeur doit prouver que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    À noter

    En cas de départ à la retraite à la fin de votre contrat de travail, votre employeur doit lever la clause de non-concurrence dans le délai prévu dans votre contrat de travail ou dans la convention collective. En l’absence de retrait de la clause avant votre départ de l’entreprise, le paiement de la contrepartie financière vous est dû.

    Montant de la contrepartie financière (ou indemnité compensatrice)

    La contrepartie financière vous est due dès lors que la clause de non-concurrence est applicable (même si vous êtes licencié pour faute grave ou si vous démissionnez).

    Son montant est défini par l’employeur et le salarié dans le contrat de travail.

    Cette contrepartie peut prendre la forme :

    • Soit d’un capital (sous la forme d’un versement unique)

    • Soit d’une rente (c’est-à-dire une prime versée en une seule fois ou périodiquement)

    À noter

    La contrepartie financière est soumise à l’impôt sur le revenu et est saisissable en tant que partie du salaire.

    Elle doit vous être versée après la rupture de votre contrat de travail et non pendant son exécution.

    La contrepartie doit être raisonnable : une contrepartie dérisoire équivaut à une absence de contrepartie financière et n’est donc pas valable, selon la jurisprudence.

    Rappel

    La clause de non-concurrence et la contrepartie financière qui l’accompagne ne sont pas définies pas la loi. Elles sont librement consenties entre le salarié et l’employeur. Seule la jurisprudence a encadré leur application.

    Oui, votre employeur peut renoncer à appliquer la clause de non-concurrence :

    • Soit dans les conditions éventuellement prévues dans votre contrat de travail ou par une convention collective ou par un accord d’entreprise

    • Soit avec votre accord si rien n’est prévu dans votre contrat de travail ou la convention collective ou l’accord d’entreprise

    La renonciation doit être claire et non sujette à interprétation par l’employeur ou le salarié.

    De plus, elle doit vous être notifiée par lettre avec  RAR  si la convention collective ou le contrat de travail le prévoit.

    Attention

    votre employeur est tenu de respecter les conditions de renonciation prévues par votre contrat de travail ou les dispositions conventionnelles si elles existent.

    Si vous ne respectez pas les conditions d’application de la clause de non-concurrence à la fin de votre contrat de travail avec votre ancien employeur, le paiement de la contrepartie financière peut être annulé.

    C’est à votre ancien employeur d’apporter la preuve auprès du juge que vous ne respectez pas la clause de non-concurrence.

    De plus, le juge peut vous condamner à verser des dommages et intérêts à votre employeur et à lui rembourser tout ou partie de la contrepartie financière en raison du préjudice commis.

    Si votre employeur ne respecte pas la clause ou ne vous verse pas la contrepartie financière à la fin de votre contrat de travail, vous n’êtes plus obligé de respecter la clause de non-concurrence.

    À noter

    L’employeur ne peut pas se dégager de son obligation financière en décidant de renoncer unilatéralement à la clause sauf si des dispositions conventionnelles ou le contrat de travail l’ont prévu.

    Il vous revient d’apporter la preuve auprès du conseil de prud’hommes (CPH) que votre ancien employeur ne respecte pas la clause de non-concurrence.

    Vous pouvez recourir à un avocat pour vous présenter à l’audience du CPH, mais cela n’est pas obligatoire. Vous pouvez vous présenter seul ou vous faire assister d’un défenseur syndical.

    De plus, le CPH peut condamner votre employeur à vous verser des dommages et intérêts en réparation du préjudice subi.

    À noter

    L’employeur reste tenu de verser la contrepartie financières durant toute la période prévue par la clause de non-concurrence.

Contrats de travail dans le secteur privé

Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

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