Les mardis 24 et 31 décembre, les différents sites de la mairie fermeront 1h plus tôt. 15h : Fermeture du Centre Aquarécréatif | 16h : Fermeture des services de l'hôtel de ville, des services techniques, service culturel et musée | 16h30 : Fermeture des accueils de loisirs Genêts et P'tits Pelauds | 17h : Fermeture des services de la maison de l'enfance.
Urbanisme
Démarches d’urbanisme
Quand faire votre demande ?
Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.
Ai-je le droit ?
Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.
- PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
- 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire
Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.
Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.
- 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire
Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).
Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :
- 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
- Bassin > 100 m² = Permis de construire
Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut
- Permis de construire peu importe la superficie du bassin
Emprise au sol
= Projection verticale au sol de la construction
Surface de plancher
= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur
Quand recourir à un architecte ?
- Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
- Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
- Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
- Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
- Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher
Quelles formalités à accomplir ?
Quels sont les droits du salarié dont le contrat de travail est suspendu ?
Le contrat de travail du salarié peut être suspendu temporairement (en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité ou d’adoption, par exemple). Le salarié bénéficie de certains droits, dans certaines situations, pendant la suspension de son contrat (indemnités et acquisition de congés payés, par exemple). Nous vous présentons les informations à connaître.
La suspension du contrat de travail fait que le contrat du salarié cesse de manière temporaire, sans pour autant occasionner la rupture définitive du contrat.
Durant cette suspension, le salarié ne travaille pas et il ne reçoit pas de salaire de la part de son employeur.
La suspension du contrat de travail peut être décidée à l’initiative du salarié : par exemples, en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité, d’un congé de paternité et d’accueil de l’enfant, d’un congé d’adoption, d’un congé de mobilité volontaire sécurisée.
La suspension du contrat de travail peut aussi être décidée par l’employeur : par exemples, en raison d’une mise à pied, d’une fermeture temporaire de l’entreprise, de recours à l’activité partielle.
Maladie (indemnités versées par la Sécurité sociale ou indemnités complémentaires versées par l’employeur)
Congé lié au compte épargne-temps (CET).
Le salarié n’est pas rémunéré pendant la durée de suspension de son contrat de travail.
Toutefois, il peut percevoir des indemnités dans les situations suivantes :
Selon certaines situations, le salarié peut bénéficier d’actions de formation.
C’est notamment le cas pendant un arrêt maladie (selon l’accord du médecin traitant) ou une période de chômage partiel.
Congé lié au compte épargne-temps (CET)
Congé pour événements familiaux
Arrêt de travail à la suite d’une maladie d’origine non professionnelle
Arrêt de travail à la suite d’un accident du travail, de trajet ou d’une maladie professionnelle.
La période de suspension est prise en compte pour le calcul des congés payés pendant :
À son retour dans l’entreprise, le salarié doit retrouver son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rémunération au moins équivalente à son emploi précédent.
La durée de suspension du contrat de travail est assimilée à une période de temps de travail effectif pour la détermination des droits à l’ancienneté du salarié.
Le salarié conserve ses droits à l’intéressement, s’ils existent dans l’entreprise.
Soit à la fin du congé de maternité ou du congé d’adoption
Soit dans les 2 mois suivant la naissance de l’enfant ou l’arrivée au foyer de l’enfant
Oui, durant la période de suspension de son contrat de travail, le salarié peut démissionner.
L’obligation d’effectuer un préavis varie selon la situation du salarié.
Le salarié doit effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
La salariée n’a pas à effectuer de préavis si sa démission intervient pendant sa grossesse.
Aucune procédure légale n’est imposée à la salariée pour informer l’employeur de sa volonté de rompre le contrat de travail.
Cependant, pour prévenir tout litige, la salariée enceinte peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
La salariée ou le salarié n’a pas de préavis à effectuer si sa démission intervient pour élever son enfant.
La salariée ou le salarié peut démissionner :
La salariée ou le salarié doit informer son employeur au moins 15 jours avant la date envisagée de rupture du contrat de travail.
Pour prévenir tout litige, la salariée ou le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le salarié en congé pour création d’entreprise doit informer son employeur de sa volonté de rompre son contrat de travail au moins 3 mois avant la date de fin de son congé (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).
Pour prévenir tout litige, le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.
Le salarié doit alors effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
Pendant la suspension de son contrat de travail, le salarié ne peut pas être licencié.
Toutefois, l’employeur peut rompre le contrat du salarié en cas de faute grave ou d’impossibilité de maintenir son emploi pour un motif autre que la suspension de son contrat de travail.
Contrats de travail dans le secteur privé
- Code du travail : articles L1226-7 à L1226-9-1
Suspension du contrat et protection contre la rupture - Code du travail : article L1225-34
Démission pendant la grossesse - Code du travail : articles L3142-117 et L3142-118
Conditions, durée, demande du salarié, réponse de l’employeur, situation du salarié, au terme du congé ou du temps partiel (champ de la négociation collective))
Quels sont les droits du salarié dont le contrat de travail est suspendu ?
Le contrat de travail du salarié peut être suspendu temporairement (en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité ou d’adoption, par exemple). Le salarié bénéficie de certains droits, dans certaines situations, pendant la suspension de son contrat (indemnités et acquisition de congés payés, par exemple). Nous vous présentons les informations à connaître.
La suspension du contrat de travail fait que le contrat du salarié cesse de manière temporaire, sans pour autant occasionner la rupture définitive du contrat.
Durant cette suspension, le salarié ne travaille pas et il ne reçoit pas de salaire de la part de son employeur.
La suspension du contrat de travail peut être décidée à l’initiative du salarié : par exemples, en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité, d’un congé de paternité et d’accueil de l’enfant, d’un congé d’adoption, d’un congé de mobilité volontaire sécurisée.
La suspension du contrat de travail peut aussi être décidée par l’employeur : par exemples, en raison d’une mise à pied, d’une fermeture temporaire de l’entreprise, de recours à l’activité partielle.
Maladie (indemnités versées par la Sécurité sociale ou indemnités complémentaires versées par l’employeur)
Congé lié au compte épargne-temps (CET).
Le salarié n’est pas rémunéré pendant la durée de suspension de son contrat de travail.
Toutefois, il peut percevoir des indemnités dans les situations suivantes :
Selon certaines situations, le salarié peut bénéficier d’actions de formation.
C’est notamment le cas pendant un arrêt maladie (selon l’accord du médecin traitant) ou une période de chômage partiel.
Congé lié au compte épargne-temps (CET)
Congé pour événements familiaux
Arrêt de travail à la suite d’une maladie d’origine non professionnelle
Arrêt de travail à la suite d’un accident du travail, de trajet ou d’une maladie professionnelle.
La période de suspension est prise en compte pour le calcul des congés payés pendant :
À son retour dans l’entreprise, le salarié doit retrouver son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rémunération au moins équivalente à son emploi précédent.
La durée de suspension du contrat de travail est assimilée à une période de temps de travail effectif pour la détermination des droits à l’ancienneté du salarié.
Le salarié conserve ses droits à l’intéressement, s’ils existent dans l’entreprise.
Soit à la fin du congé de maternité ou du congé d’adoption
Soit dans les 2 mois suivant la naissance de l’enfant ou l’arrivée au foyer de l’enfant
Oui, durant la période de suspension de son contrat de travail, le salarié peut démissionner.
L’obligation d’effectuer un préavis varie selon la situation du salarié.
Le salarié doit effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
La salariée n’a pas à effectuer de préavis si sa démission intervient pendant sa grossesse.
Aucune procédure légale n’est imposée à la salariée pour informer l’employeur de sa volonté de rompre le contrat de travail.
Cependant, pour prévenir tout litige, la salariée enceinte peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
La salariée ou le salarié n’a pas de préavis à effectuer si sa démission intervient pour élever son enfant.
La salariée ou le salarié peut démissionner :
La salariée ou le salarié doit informer son employeur au moins 15 jours avant la date envisagée de rupture du contrat de travail.
Pour prévenir tout litige, la salariée ou le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le salarié en congé pour création d’entreprise doit informer son employeur de sa volonté de rompre son contrat de travail au moins 3 mois avant la date de fin de son congé (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).
Pour prévenir tout litige, le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.
Le salarié doit alors effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
Pendant la suspension de son contrat de travail, le salarié ne peut pas être licencié.
Toutefois, l’employeur peut rompre le contrat du salarié en cas de faute grave ou d’impossibilité de maintenir son emploi pour un motif autre que la suspension de son contrat de travail.
Contrats de travail dans le secteur privé
- Code du travail : articles L1226-7 à L1226-9-1
Suspension du contrat et protection contre la rupture - Code du travail : article L1225-34
Démission pendant la grossesse - Code du travail : articles L3142-117 et L3142-118
Conditions, durée, demande du salarié, réponse de l’employeur, situation du salarié, au terme du congé ou du temps partiel (champ de la négociation collective))
Quels sont les droits du salarié dont le contrat de travail est suspendu ?
Le contrat de travail du salarié peut être suspendu temporairement (en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité ou d’adoption, par exemple). Le salarié bénéficie de certains droits, dans certaines situations, pendant la suspension de son contrat (indemnités et acquisition de congés payés, par exemple). Nous vous présentons les informations à connaître.
La suspension du contrat de travail fait que le contrat du salarié cesse de manière temporaire, sans pour autant occasionner la rupture définitive du contrat.
Durant cette suspension, le salarié ne travaille pas et il ne reçoit pas de salaire de la part de son employeur.
La suspension du contrat de travail peut être décidée à l’initiative du salarié : par exemples, en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité, d’un congé de paternité et d’accueil de l’enfant, d’un congé d’adoption, d’un congé de mobilité volontaire sécurisée.
La suspension du contrat de travail peut aussi être décidée par l’employeur : par exemples, en raison d’une mise à pied, d’une fermeture temporaire de l’entreprise, de recours à l’activité partielle.
Maladie (indemnités versées par la Sécurité sociale ou indemnités complémentaires versées par l’employeur)
Congé lié au compte épargne-temps (CET).
Le salarié n’est pas rémunéré pendant la durée de suspension de son contrat de travail.
Toutefois, il peut percevoir des indemnités dans les situations suivantes :
Selon certaines situations, le salarié peut bénéficier d’actions de formation.
C’est notamment le cas pendant un arrêt maladie (selon l’accord du médecin traitant) ou une période de chômage partiel.
Congé lié au compte épargne-temps (CET)
Congé pour événements familiaux
Arrêt de travail à la suite d’une maladie d’origine non professionnelle
Arrêt de travail à la suite d’un accident du travail, de trajet ou d’une maladie professionnelle.
La période de suspension est prise en compte pour le calcul des congés payés pendant :
À son retour dans l’entreprise, le salarié doit retrouver son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rémunération au moins équivalente à son emploi précédent.
La durée de suspension du contrat de travail est assimilée à une période de temps de travail effectif pour la détermination des droits à l’ancienneté du salarié.
Le salarié conserve ses droits à l’intéressement, s’ils existent dans l’entreprise.
Soit à la fin du congé de maternité ou du congé d’adoption
Soit dans les 2 mois suivant la naissance de l’enfant ou l’arrivée au foyer de l’enfant
Oui, durant la période de suspension de son contrat de travail, le salarié peut démissionner.
L’obligation d’effectuer un préavis varie selon la situation du salarié.
Le salarié doit effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
La salariée n’a pas à effectuer de préavis si sa démission intervient pendant sa grossesse.
Aucune procédure légale n’est imposée à la salariée pour informer l’employeur de sa volonté de rompre le contrat de travail.
Cependant, pour prévenir tout litige, la salariée enceinte peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
La salariée ou le salarié n’a pas de préavis à effectuer si sa démission intervient pour élever son enfant.
La salariée ou le salarié peut démissionner :
La salariée ou le salarié doit informer son employeur au moins 15 jours avant la date envisagée de rupture du contrat de travail.
Pour prévenir tout litige, la salariée ou le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le salarié en congé pour création d’entreprise doit informer son employeur de sa volonté de rompre son contrat de travail au moins 3 mois avant la date de fin de son congé (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).
Pour prévenir tout litige, le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.
Le salarié doit alors effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
Pendant la suspension de son contrat de travail, le salarié ne peut pas être licencié.
Toutefois, l’employeur peut rompre le contrat du salarié en cas de faute grave ou d’impossibilité de maintenir son emploi pour un motif autre que la suspension de son contrat de travail.
Contrats de travail dans le secteur privé
- Code du travail : articles L1226-7 à L1226-9-1
Suspension du contrat et protection contre la rupture - Code du travail : article L1225-34
Démission pendant la grossesse - Code du travail : articles L3142-117 et L3142-118
Conditions, durée, demande du salarié, réponse de l’employeur, situation du salarié, au terme du congé ou du temps partiel (champ de la négociation collective))
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Quels sont les droits du salarié dont le contrat de travail est suspendu ?
Le contrat de travail du salarié peut être suspendu temporairement (en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité ou d’adoption, par exemple). Le salarié bénéficie de certains droits, dans certaines situations, pendant la suspension de son contrat (indemnités et acquisition de congés payés, par exemple). Nous vous présentons les informations à connaître.
La suspension du contrat de travail fait que le contrat du salarié cesse de manière temporaire, sans pour autant occasionner la rupture définitive du contrat.
Durant cette suspension, le salarié ne travaille pas et il ne reçoit pas de salaire de la part de son employeur.
La suspension du contrat de travail peut être décidée à l’initiative du salarié : par exemples, en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité, d’un congé de paternité et d’accueil de l’enfant, d’un congé d’adoption, d’un congé de mobilité volontaire sécurisée.
La suspension du contrat de travail peut aussi être décidée par l’employeur : par exemples, en raison d’une mise à pied, d’une fermeture temporaire de l’entreprise, de recours à l’activité partielle.
Maladie (indemnités versées par la Sécurité sociale ou indemnités complémentaires versées par l’employeur)
Congé lié au compte épargne-temps (CET).
Le salarié n’est pas rémunéré pendant la durée de suspension de son contrat de travail.
Toutefois, il peut percevoir des indemnités dans les situations suivantes :
Selon certaines situations, le salarié peut bénéficier d’actions de formation.
C’est notamment le cas pendant un arrêt maladie (selon l’accord du médecin traitant) ou une période de chômage partiel.
Congé lié au compte épargne-temps (CET)
Congé pour événements familiaux
Arrêt de travail à la suite d’une maladie d’origine non professionnelle
Arrêt de travail à la suite d’un accident du travail, de trajet ou d’une maladie professionnelle.
La période de suspension est prise en compte pour le calcul des congés payés pendant :
À son retour dans l’entreprise, le salarié doit retrouver son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rémunération au moins équivalente à son emploi précédent.
La durée de suspension du contrat de travail est assimilée à une période de temps de travail effectif pour la détermination des droits à l’ancienneté du salarié.
Le salarié conserve ses droits à l’intéressement, s’ils existent dans l’entreprise.
Soit à la fin du congé de maternité ou du congé d’adoption
Soit dans les 2 mois suivant la naissance de l’enfant ou l’arrivée au foyer de l’enfant
Oui, durant la période de suspension de son contrat de travail, le salarié peut démissionner.
L’obligation d’effectuer un préavis varie selon la situation du salarié.
Le salarié doit effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
La salariée n’a pas à effectuer de préavis si sa démission intervient pendant sa grossesse.
Aucune procédure légale n’est imposée à la salariée pour informer l’employeur de sa volonté de rompre le contrat de travail.
Cependant, pour prévenir tout litige, la salariée enceinte peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
La salariée ou le salarié n’a pas de préavis à effectuer si sa démission intervient pour élever son enfant.
La salariée ou le salarié peut démissionner :
La salariée ou le salarié doit informer son employeur au moins 15 jours avant la date envisagée de rupture du contrat de travail.
Pour prévenir tout litige, la salariée ou le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le salarié en congé pour création d’entreprise doit informer son employeur de sa volonté de rompre son contrat de travail au moins 3 mois avant la date de fin de son congé (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).
Pour prévenir tout litige, le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.
Le salarié doit alors effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
Pendant la suspension de son contrat de travail, le salarié ne peut pas être licencié.
Toutefois, l’employeur peut rompre le contrat du salarié en cas de faute grave ou d’impossibilité de maintenir son emploi pour un motif autre que la suspension de son contrat de travail.
Contrats de travail dans le secteur privé
- Code du travail : articles L1226-7 à L1226-9-1
Suspension du contrat et protection contre la rupture - Code du travail : article L1225-34
Démission pendant la grossesse - Code du travail : articles L3142-117 et L3142-118
Conditions, durée, demande du salarié, réponse de l’employeur, situation du salarié, au terme du congé ou du temps partiel (champ de la négociation collective))
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Quels sont les droits du salarié dont le contrat de travail est suspendu ?
Le contrat de travail du salarié peut être suspendu temporairement (en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité ou d’adoption, par exemple). Le salarié bénéficie de certains droits, dans certaines situations, pendant la suspension de son contrat (indemnités et acquisition de congés payés, par exemple). Nous vous présentons les informations à connaître.
La suspension du contrat de travail fait que le contrat du salarié cesse de manière temporaire, sans pour autant occasionner la rupture définitive du contrat.
Durant cette suspension, le salarié ne travaille pas et il ne reçoit pas de salaire de la part de son employeur.
La suspension du contrat de travail peut être décidée à l’initiative du salarié : par exemples, en raison d’un arrêt maladie, d’un congé de maternité, d’un congé de paternité et d’accueil de l’enfant, d’un congé d’adoption, d’un congé de mobilité volontaire sécurisée.
La suspension du contrat de travail peut aussi être décidée par l’employeur : par exemples, en raison d’une mise à pied, d’une fermeture temporaire de l’entreprise, de recours à l’activité partielle.
Maladie (indemnités versées par la Sécurité sociale ou indemnités complémentaires versées par l’employeur)
Congé lié au compte épargne-temps (CET).
Le salarié n’est pas rémunéré pendant la durée de suspension de son contrat de travail.
Toutefois, il peut percevoir des indemnités dans les situations suivantes :
Selon certaines situations, le salarié peut bénéficier d’actions de formation.
C’est notamment le cas pendant un arrêt maladie (selon l’accord du médecin traitant) ou une période de chômage partiel.
Congé lié au compte épargne-temps (CET)
Congé pour événements familiaux
Arrêt de travail à la suite d’une maladie d’origine non professionnelle
Arrêt de travail à la suite d’un accident du travail, de trajet ou d’une maladie professionnelle.
La période de suspension est prise en compte pour le calcul des congés payés pendant :
À son retour dans l’entreprise, le salarié doit retrouver son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rémunération au moins équivalente à son emploi précédent.
La durée de suspension du contrat de travail est assimilée à une période de temps de travail effectif pour la détermination des droits à l’ancienneté du salarié.
Le salarié conserve ses droits à l’intéressement, s’ils existent dans l’entreprise.
Soit à la fin du congé de maternité ou du congé d’adoption
Soit dans les 2 mois suivant la naissance de l’enfant ou l’arrivée au foyer de l’enfant
Oui, durant la période de suspension de son contrat de travail, le salarié peut démissionner.
L’obligation d’effectuer un préavis varie selon la situation du salarié.
Le salarié doit effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
La salariée n’a pas à effectuer de préavis si sa démission intervient pendant sa grossesse.
Aucune procédure légale n’est imposée à la salariée pour informer l’employeur de sa volonté de rompre le contrat de travail.
Cependant, pour prévenir tout litige, la salariée enceinte peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
La salariée ou le salarié n’a pas de préavis à effectuer si sa démission intervient pour élever son enfant.
La salariée ou le salarié peut démissionner :
La salariée ou le salarié doit informer son employeur au moins 15 jours avant la date envisagée de rupture du contrat de travail.
Pour prévenir tout litige, la salariée ou le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le salarié en congé pour création d’entreprise doit informer son employeur de sa volonté de rompre son contrat de travail au moins 3 mois avant la date de fin de son congé (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).
Pour prévenir tout litige, le salarié peut informer son employeur par lettre avec RAR de sa volonté de démissionner.
Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.
Le salarié doit alors effectuer un préavis sauf dispense de son employeur.
Pendant la suspension de son contrat de travail, le salarié ne peut pas être licencié.
Toutefois, l’employeur peut rompre le contrat du salarié en cas de faute grave ou d’impossibilité de maintenir son emploi pour un motif autre que la suspension de son contrat de travail.
Contrats de travail dans le secteur privé
- Code du travail : articles L1226-7 à L1226-9-1
Suspension du contrat et protection contre la rupture - Code du travail : article L1225-34
Démission pendant la grossesse - Code du travail : articles L3142-117 et L3142-118
Conditions, durée, demande du salarié, réponse de l’employeur, situation du salarié, au terme du congé ou du temps partiel (champ de la négociation collective))
Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.
Faire sa demande en ligne
Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.
La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr
Contact
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Services municipaux
Service Développement Territorial
Horaires : Du lundi au vendredi
8h30 – 12h / 13h30 – 17h
Fermé le mardi