Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Confiscation du véhicule

Risquez-vous la confiscation de votre véhicule à la suite d’une infraction au code la route ? Qui prend la décision ? Comment la contester ? Nous vous indiquons les principales règles à connaître sur la confiscation d’un véhicule.

    Selon la gravité de l’infraction, le code de la route prévoit une peine de confiscation facultative ou obligatoire.

    Le juge peut prononcer la confiscation de votre véhicule si vous avez commis l’une des infractions routières suivantes :

      Le juge doit prononcer la confiscation de votre véhicule si vous commettez l’une des infractions suivantes :

      • Récidive de conduite sous l’empire d’un état alcoolique

      • Récidive de conduite en état d’ivresse

      • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’état d’alcoolémie

      • Récidive de conduite après usage de stupéfiants

      • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’usage de stupéfiants

      • Récidive de conduite d’un véhicule non équipé d’un système d’anti-démarrage, malgré une interdiction prononcée par un juge à la suite d’une condamnation pour alcool au volant

      • Récidive de refus d’obtempérer

      • Refus d’obtempérer en cas de circonstances aggravantes

      • Récidive de grand excès de vitesse  (égal ou supérieur à 50km/h de la vitesse maximale autorisée)

      • Homicide involontaire commis à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

      • Blessures involontaires commises à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

      • Conduite d’un véhicule avec un faux permis de conduire

      • Conduite d’un véhicule malgré une décision judiciaire de suspension, d’annulation ou d’interdiction d’obtenir la délivrance du permis

      • Rodéo motorisé

      Toutefois, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision. Par exemple, en raison des circonstances de l’infraction, de votre personnalité, de la valeur du véhicule, des conséquences d’une confiscation sur les conditions de vie de vos proches.

        À noter

        La confiscation du véhicule s’applique uniquement si vous êtes déclaré coupable de l’infraction qui vous est reprochée.

        En principe, la confiscation concerne le véhicule dont vous vous êtes servi pour commettre l’infraction et dont vous êtes propriétaire.

        Toutefois, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, ou d’un rodéo motorisé, la confiscation peut concerner le véhicule dont vous avez la libre disposition, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi.

        De plus, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, la confiscation peut concerner plusieurs de vos véhicules.

        Connaître la règle applicable si le véhicule est en copropriété

        La confiscation peut s’appliquer à un véhicule en copropriété.

        Toutefois lorsque le copropriétaire concerné est connu, il doit avoir été mis en mesure de présenter ses observations, à l’audience ou par écrit, pour faire valoir ses droits et sa bonne foi.

        Le copropriétaire peut demander la restitution du véhicule si les 2 conditions suivantes sont remplies :

        • Il n’a pas été informé de la procédure et n’a pas pu présenter ses observations

        • La décision de confiscation est devenue définitive

        Il doit saisir le tribunal concerné d’un incident contentieux pour demander la restitution du véhicule.

        Vous pouvez demander au juge d’être dispensé de la confiscation en présentant des arguments et des justificatifs.

        En effet, même si l’infraction commise est punie par la confiscation obligatoire du véhicule, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision.

        Par exemple, vous pouvez indiquer au juge que le véhicule est indispensable à votre activité professionnelle.

        Toutefois, le juge n’est pas obligé de tenir compte de votre demande.

        Si le juge prononce la relaxe, vous récupérez votre véhicule.

        Si le juge vous déclare coupable sans ordonner la confiscation du véhicule, celui-ci vous est restitué.

        Si le juge vous déclare coupable et ordonne la confiscation du véhicule, celui-ci devient la propriété de l’État et sera remis au Domaine pour être vendu, affecté à un service de l’État ou détruit.

        Si le véhicule a été mis en fourrière, connaître la règle pour le remboursement des frais

        En cas de décision de relaxe ayant un caractère définitif, vous pouvez demander le remboursement des frais de fourrière au titre des frais de justice.

        Vous devez faire la demande dans un délai de 6 mois à compter de la date à laquelle la décision de relaxe est devenue définitive.

        La demande se fait par déclaration au greffe contre récépissé ou par lettre recommandée avec  AR .

        Joignez à votre demande les documents suivants :

        • Copie de la décision de relaxe

        • Justificatif du paiement des frais d’enlèvement et de garde en fourrière

        Le montant du remboursement est calculé en fonction des tarifs des frais d’enlèvement et des frais de garde.

        Le remboursement des frais concerne uniquement la période avant la décision de mainlevée de la mise en fourrière.

          Si le tribunal a ordonné l’immobilisation du véhicule, vous récupérez le véhicule à la fin de la durée de l’immobilisation fixée par le tribunal contre paiement des frais de fourrière.

          Vous ne pouvez pas demander le remboursement des frais de fourrière.

            Vous pouvez contester la confiscation du véhicule en faisant appel de la décision dans un délai de 10 jours à partir du prononcé de la décision à l’audience.

            Le délai de 10 jours court à partir de la notification de la décision si vous n’étiez pas présent ni représenté par un avocat à l’audience.

            Refuser de remettre le véhicule confisqué est un délit puni par une peine de prison de 2 ans maximum et par une amende de 30 000 € maximum.

            Les mêmes sanctions s’appliquent en cas de destruction ou de tentative de destruction du véhicule confisqué.

          Confiscation du véhicule

          Risquez-vous la confiscation de votre véhicule à la suite d’une infraction au code la route ? Qui prend la décision ? Comment la contester ? Nous vous indiquons les principales règles à connaître sur la confiscation d’un véhicule.

            Selon la gravité de l’infraction, le code de la route prévoit une peine de confiscation facultative ou obligatoire.

            Le juge peut prononcer la confiscation de votre véhicule si vous avez commis l’une des infractions routières suivantes :

              Le juge doit prononcer la confiscation de votre véhicule si vous commettez l’une des infractions suivantes :

              • Récidive de conduite sous l’empire d’un état alcoolique

              • Récidive de conduite en état d’ivresse

              • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’état d’alcoolémie

              • Récidive de conduite après usage de stupéfiants

              • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’usage de stupéfiants

              • Récidive de conduite d’un véhicule non équipé d’un système d’anti-démarrage, malgré une interdiction prononcée par un juge à la suite d’une condamnation pour alcool au volant

              • Récidive de refus d’obtempérer

              • Refus d’obtempérer en cas de circonstances aggravantes

              • Récidive de grand excès de vitesse  (égal ou supérieur à 50km/h de la vitesse maximale autorisée)

              • Homicide involontaire commis à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

              • Blessures involontaires commises à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

              • Conduite d’un véhicule avec un faux permis de conduire

              • Conduite d’un véhicule malgré une décision judiciaire de suspension, d’annulation ou d’interdiction d’obtenir la délivrance du permis

              • Rodéo motorisé

              Toutefois, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision. Par exemple, en raison des circonstances de l’infraction, de votre personnalité, de la valeur du véhicule, des conséquences d’une confiscation sur les conditions de vie de vos proches.

                À noter

                La confiscation du véhicule s’applique uniquement si vous êtes déclaré coupable de l’infraction qui vous est reprochée.

                En principe, la confiscation concerne le véhicule dont vous vous êtes servi pour commettre l’infraction et dont vous êtes propriétaire.

                Toutefois, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, ou d’un rodéo motorisé, la confiscation peut concerner le véhicule dont vous avez la libre disposition, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi.

                De plus, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, la confiscation peut concerner plusieurs de vos véhicules.

                Connaître la règle applicable si le véhicule est en copropriété

                La confiscation peut s’appliquer à un véhicule en copropriété.

                Toutefois lorsque le copropriétaire concerné est connu, il doit avoir été mis en mesure de présenter ses observations, à l’audience ou par écrit, pour faire valoir ses droits et sa bonne foi.

                Le copropriétaire peut demander la restitution du véhicule si les 2 conditions suivantes sont remplies :

                • Il n’a pas été informé de la procédure et n’a pas pu présenter ses observations

                • La décision de confiscation est devenue définitive

                Il doit saisir le tribunal concerné d’un incident contentieux pour demander la restitution du véhicule.

                Vous pouvez demander au juge d’être dispensé de la confiscation en présentant des arguments et des justificatifs.

                En effet, même si l’infraction commise est punie par la confiscation obligatoire du véhicule, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision.

                Par exemple, vous pouvez indiquer au juge que le véhicule est indispensable à votre activité professionnelle.

                Toutefois, le juge n’est pas obligé de tenir compte de votre demande.

                Si le juge prononce la relaxe, vous récupérez votre véhicule.

                Si le juge vous déclare coupable sans ordonner la confiscation du véhicule, celui-ci vous est restitué.

                Si le juge vous déclare coupable et ordonne la confiscation du véhicule, celui-ci devient la propriété de l’État et sera remis au Domaine pour être vendu, affecté à un service de l’État ou détruit.

                Si le véhicule a été mis en fourrière, connaître la règle pour le remboursement des frais

                En cas de décision de relaxe ayant un caractère définitif, vous pouvez demander le remboursement des frais de fourrière au titre des frais de justice.

                Vous devez faire la demande dans un délai de 6 mois à compter de la date à laquelle la décision de relaxe est devenue définitive.

                La demande se fait par déclaration au greffe contre récépissé ou par lettre recommandée avec  AR .

                Joignez à votre demande les documents suivants :

                • Copie de la décision de relaxe

                • Justificatif du paiement des frais d’enlèvement et de garde en fourrière

                Le montant du remboursement est calculé en fonction des tarifs des frais d’enlèvement et des frais de garde.

                Le remboursement des frais concerne uniquement la période avant la décision de mainlevée de la mise en fourrière.

                  Si le tribunal a ordonné l’immobilisation du véhicule, vous récupérez le véhicule à la fin de la durée de l’immobilisation fixée par le tribunal contre paiement des frais de fourrière.

                  Vous ne pouvez pas demander le remboursement des frais de fourrière.

                    Vous pouvez contester la confiscation du véhicule en faisant appel de la décision dans un délai de 10 jours à partir du prononcé de la décision à l’audience.

                    Le délai de 10 jours court à partir de la notification de la décision si vous n’étiez pas présent ni représenté par un avocat à l’audience.

                    Refuser de remettre le véhicule confisqué est un délit puni par une peine de prison de 2 ans maximum et par une amende de 30 000 € maximum.

                    Les mêmes sanctions s’appliquent en cas de destruction ou de tentative de destruction du véhicule confisqué.

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                  Confiscation du véhicule

                  Risquez-vous la confiscation de votre véhicule à la suite d’une infraction au code la route ? Qui prend la décision ? Comment la contester ? Nous vous indiquons les principales règles à connaître sur la confiscation d’un véhicule.

                    Selon la gravité de l’infraction, le code de la route prévoit une peine de confiscation facultative ou obligatoire.

                    Le juge peut prononcer la confiscation de votre véhicule si vous avez commis l’une des infractions routières suivantes :

                      Le juge doit prononcer la confiscation de votre véhicule si vous commettez l’une des infractions suivantes :

                      • Récidive de conduite sous l’empire d’un état alcoolique

                      • Récidive de conduite en état d’ivresse

                      • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’état d’alcoolémie

                      • Récidive de conduite après usage de stupéfiants

                      • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’usage de stupéfiants

                      • Récidive de conduite d’un véhicule non équipé d’un système d’anti-démarrage, malgré une interdiction prononcée par un juge à la suite d’une condamnation pour alcool au volant

                      • Récidive de refus d’obtempérer

                      • Refus d’obtempérer en cas de circonstances aggravantes

                      • Récidive de grand excès de vitesse  (égal ou supérieur à 50km/h de la vitesse maximale autorisée)

                      • Homicide involontaire commis à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

                      • Blessures involontaires commises à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

                      • Conduite d’un véhicule avec un faux permis de conduire

                      • Conduite d’un véhicule malgré une décision judiciaire de suspension, d’annulation ou d’interdiction d’obtenir la délivrance du permis

                      • Rodéo motorisé

                      Toutefois, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision. Par exemple, en raison des circonstances de l’infraction, de votre personnalité, de la valeur du véhicule, des conséquences d’une confiscation sur les conditions de vie de vos proches.

                        À noter

                        La confiscation du véhicule s’applique uniquement si vous êtes déclaré coupable de l’infraction qui vous est reprochée.

                        En principe, la confiscation concerne le véhicule dont vous vous êtes servi pour commettre l’infraction et dont vous êtes propriétaire.

                        Toutefois, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, ou d’un rodéo motorisé, la confiscation peut concerner le véhicule dont vous avez la libre disposition, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi.

                        De plus, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, la confiscation peut concerner plusieurs de vos véhicules.

                        Connaître la règle applicable si le véhicule est en copropriété

                        La confiscation peut s’appliquer à un véhicule en copropriété.

                        Toutefois lorsque le copropriétaire concerné est connu, il doit avoir été mis en mesure de présenter ses observations, à l’audience ou par écrit, pour faire valoir ses droits et sa bonne foi.

                        Le copropriétaire peut demander la restitution du véhicule si les 2 conditions suivantes sont remplies :

                        • Il n’a pas été informé de la procédure et n’a pas pu présenter ses observations

                        • La décision de confiscation est devenue définitive

                        Il doit saisir le tribunal concerné d’un incident contentieux pour demander la restitution du véhicule.

                        Vous pouvez demander au juge d’être dispensé de la confiscation en présentant des arguments et des justificatifs.

                        En effet, même si l’infraction commise est punie par la confiscation obligatoire du véhicule, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision.

                        Par exemple, vous pouvez indiquer au juge que le véhicule est indispensable à votre activité professionnelle.

                        Toutefois, le juge n’est pas obligé de tenir compte de votre demande.

                        Si le juge prononce la relaxe, vous récupérez votre véhicule.

                        Si le juge vous déclare coupable sans ordonner la confiscation du véhicule, celui-ci vous est restitué.

                        Si le juge vous déclare coupable et ordonne la confiscation du véhicule, celui-ci devient la propriété de l’État et sera remis au Domaine pour être vendu, affecté à un service de l’État ou détruit.

                        Si le véhicule a été mis en fourrière, connaître la règle pour le remboursement des frais

                        En cas de décision de relaxe ayant un caractère définitif, vous pouvez demander le remboursement des frais de fourrière au titre des frais de justice.

                        Vous devez faire la demande dans un délai de 6 mois à compter de la date à laquelle la décision de relaxe est devenue définitive.

                        La demande se fait par déclaration au greffe contre récépissé ou par lettre recommandée avec  AR .

                        Joignez à votre demande les documents suivants :

                        • Copie de la décision de relaxe

                        • Justificatif du paiement des frais d’enlèvement et de garde en fourrière

                        Le montant du remboursement est calculé en fonction des tarifs des frais d’enlèvement et des frais de garde.

                        Le remboursement des frais concerne uniquement la période avant la décision de mainlevée de la mise en fourrière.

                          Si le tribunal a ordonné l’immobilisation du véhicule, vous récupérez le véhicule à la fin de la durée de l’immobilisation fixée par le tribunal contre paiement des frais de fourrière.

                          Vous ne pouvez pas demander le remboursement des frais de fourrière.

                            Vous pouvez contester la confiscation du véhicule en faisant appel de la décision dans un délai de 10 jours à partir du prononcé de la décision à l’audience.

                            Le délai de 10 jours court à partir de la notification de la décision si vous n’étiez pas présent ni représenté par un avocat à l’audience.

                            Refuser de remettre le véhicule confisqué est un délit puni par une peine de prison de 2 ans maximum et par une amende de 30 000 € maximum.

                            Les mêmes sanctions s’appliquent en cas de destruction ou de tentative de destruction du véhicule confisqué.

                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                          Confiscation du véhicule

                          Risquez-vous la confiscation de votre véhicule à la suite d’une infraction au code la route ? Qui prend la décision ? Comment la contester ? Nous vous indiquons les principales règles à connaître sur la confiscation d’un véhicule.

                            Selon la gravité de l’infraction, le code de la route prévoit une peine de confiscation facultative ou obligatoire.

                            Le juge peut prononcer la confiscation de votre véhicule si vous avez commis l’une des infractions routières suivantes :

                              Le juge doit prononcer la confiscation de votre véhicule si vous commettez l’une des infractions suivantes :

                              • Récidive de conduite sous l’empire d’un état alcoolique

                              • Récidive de conduite en état d’ivresse

                              • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’état d’alcoolémie

                              • Récidive de conduite après usage de stupéfiants

                              • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’usage de stupéfiants

                              • Récidive de conduite d’un véhicule non équipé d’un système d’anti-démarrage, malgré une interdiction prononcée par un juge à la suite d’une condamnation pour alcool au volant

                              • Récidive de refus d’obtempérer

                              • Refus d’obtempérer en cas de circonstances aggravantes

                              • Récidive de grand excès de vitesse  (égal ou supérieur à 50km/h de la vitesse maximale autorisée)

                              • Homicide involontaire commis à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

                              • Blessures involontaires commises à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

                              • Conduite d’un véhicule avec un faux permis de conduire

                              • Conduite d’un véhicule malgré une décision judiciaire de suspension, d’annulation ou d’interdiction d’obtenir la délivrance du permis

                              • Rodéo motorisé

                              Toutefois, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision. Par exemple, en raison des circonstances de l’infraction, de votre personnalité, de la valeur du véhicule, des conséquences d’une confiscation sur les conditions de vie de vos proches.

                                À noter

                                La confiscation du véhicule s’applique uniquement si vous êtes déclaré coupable de l’infraction qui vous est reprochée.

                                En principe, la confiscation concerne le véhicule dont vous vous êtes servi pour commettre l’infraction et dont vous êtes propriétaire.

                                Toutefois, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, ou d’un rodéo motorisé, la confiscation peut concerner le véhicule dont vous avez la libre disposition, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi.

                                De plus, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, la confiscation peut concerner plusieurs de vos véhicules.

                                Connaître la règle applicable si le véhicule est en copropriété

                                La confiscation peut s’appliquer à un véhicule en copropriété.

                                Toutefois lorsque le copropriétaire concerné est connu, il doit avoir été mis en mesure de présenter ses observations, à l’audience ou par écrit, pour faire valoir ses droits et sa bonne foi.

                                Le copropriétaire peut demander la restitution du véhicule si les 2 conditions suivantes sont remplies :

                                • Il n’a pas été informé de la procédure et n’a pas pu présenter ses observations

                                • La décision de confiscation est devenue définitive

                                Il doit saisir le tribunal concerné d’un incident contentieux pour demander la restitution du véhicule.

                                Vous pouvez demander au juge d’être dispensé de la confiscation en présentant des arguments et des justificatifs.

                                En effet, même si l’infraction commise est punie par la confiscation obligatoire du véhicule, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision.

                                Par exemple, vous pouvez indiquer au juge que le véhicule est indispensable à votre activité professionnelle.

                                Toutefois, le juge n’est pas obligé de tenir compte de votre demande.

                                Si le juge prononce la relaxe, vous récupérez votre véhicule.

                                Si le juge vous déclare coupable sans ordonner la confiscation du véhicule, celui-ci vous est restitué.

                                Si le juge vous déclare coupable et ordonne la confiscation du véhicule, celui-ci devient la propriété de l’État et sera remis au Domaine pour être vendu, affecté à un service de l’État ou détruit.

                                Si le véhicule a été mis en fourrière, connaître la règle pour le remboursement des frais

                                En cas de décision de relaxe ayant un caractère définitif, vous pouvez demander le remboursement des frais de fourrière au titre des frais de justice.

                                Vous devez faire la demande dans un délai de 6 mois à compter de la date à laquelle la décision de relaxe est devenue définitive.

                                La demande se fait par déclaration au greffe contre récépissé ou par lettre recommandée avec  AR .

                                Joignez à votre demande les documents suivants :

                                • Copie de la décision de relaxe

                                • Justificatif du paiement des frais d’enlèvement et de garde en fourrière

                                Le montant du remboursement est calculé en fonction des tarifs des frais d’enlèvement et des frais de garde.

                                Le remboursement des frais concerne uniquement la période avant la décision de mainlevée de la mise en fourrière.

                                  Si le tribunal a ordonné l’immobilisation du véhicule, vous récupérez le véhicule à la fin de la durée de l’immobilisation fixée par le tribunal contre paiement des frais de fourrière.

                                  Vous ne pouvez pas demander le remboursement des frais de fourrière.

                                    Vous pouvez contester la confiscation du véhicule en faisant appel de la décision dans un délai de 10 jours à partir du prononcé de la décision à l’audience.

                                    Le délai de 10 jours court à partir de la notification de la décision si vous n’étiez pas présent ni représenté par un avocat à l’audience.

                                    Refuser de remettre le véhicule confisqué est un délit puni par une peine de prison de 2 ans maximum et par une amende de 30 000 € maximum.

                                    Les mêmes sanctions s’appliquent en cas de destruction ou de tentative de destruction du véhicule confisqué.

                                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                  Confiscation du véhicule

                                  Risquez-vous la confiscation de votre véhicule à la suite d’une infraction au code la route ? Qui prend la décision ? Comment la contester ? Nous vous indiquons les principales règles à connaître sur la confiscation d’un véhicule.

                                    Selon la gravité de l’infraction, le code de la route prévoit une peine de confiscation facultative ou obligatoire.

                                    Le juge peut prononcer la confiscation de votre véhicule si vous avez commis l’une des infractions routières suivantes :

                                      Le juge doit prononcer la confiscation de votre véhicule si vous commettez l’une des infractions suivantes :

                                      • Récidive de conduite sous l’empire d’un état alcoolique

                                      • Récidive de conduite en état d’ivresse

                                      • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’état d’alcoolémie

                                      • Récidive de conduite après usage de stupéfiants

                                      • Récidive de refus de se soumettre aux vérifications destinées à établir l’usage de stupéfiants

                                      • Récidive de conduite d’un véhicule non équipé d’un système d’anti-démarrage, malgré une interdiction prononcée par un juge à la suite d’une condamnation pour alcool au volant

                                      • Récidive de refus d’obtempérer

                                      • Refus d’obtempérer en cas de circonstances aggravantes

                                      • Récidive de grand excès de vitesse  (égal ou supérieur à 50km/h de la vitesse maximale autorisée)

                                      • Homicide involontaire commis à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

                                      • Blessures involontaires commises à l’occasion de la conduite d’un véhicule en cas de circonstances aggravantes

                                      • Conduite d’un véhicule avec un faux permis de conduire

                                      • Conduite d’un véhicule malgré une décision judiciaire de suspension, d’annulation ou d’interdiction d’obtenir la délivrance du permis

                                      • Rodéo motorisé

                                      Toutefois, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision. Par exemple, en raison des circonstances de l’infraction, de votre personnalité, de la valeur du véhicule, des conséquences d’une confiscation sur les conditions de vie de vos proches.

                                        À noter

                                        La confiscation du véhicule s’applique uniquement si vous êtes déclaré coupable de l’infraction qui vous est reprochée.

                                        En principe, la confiscation concerne le véhicule dont vous vous êtes servi pour commettre l’infraction et dont vous êtes propriétaire.

                                        Toutefois, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, ou d’un rodéo motorisé, la confiscation peut concerner le véhicule dont vous avez la libre disposition, sous réserve des droits du propriétaire de bonne foi.

                                        De plus, en cas de condamnation à la suite d’un refus d’obtempérer, la confiscation peut concerner plusieurs de vos véhicules.

                                        Connaître la règle applicable si le véhicule est en copropriété

                                        La confiscation peut s’appliquer à un véhicule en copropriété.

                                        Toutefois lorsque le copropriétaire concerné est connu, il doit avoir été mis en mesure de présenter ses observations, à l’audience ou par écrit, pour faire valoir ses droits et sa bonne foi.

                                        Le copropriétaire peut demander la restitution du véhicule si les 2 conditions suivantes sont remplies :

                                        • Il n’a pas été informé de la procédure et n’a pas pu présenter ses observations

                                        • La décision de confiscation est devenue définitive

                                        Il doit saisir le tribunal concerné d’un incident contentieux pour demander la restitution du véhicule.

                                        Vous pouvez demander au juge d’être dispensé de la confiscation en présentant des arguments et des justificatifs.

                                        En effet, même si l’infraction commise est punie par la confiscation obligatoire du véhicule, le juge peut ne pas prononcer la peine de confiscation à condition de motiver sa décision.

                                        Par exemple, vous pouvez indiquer au juge que le véhicule est indispensable à votre activité professionnelle.

                                        Toutefois, le juge n’est pas obligé de tenir compte de votre demande.

                                        Si le juge prononce la relaxe, vous récupérez votre véhicule.

                                        Si le juge vous déclare coupable sans ordonner la confiscation du véhicule, celui-ci vous est restitué.

                                        Si le juge vous déclare coupable et ordonne la confiscation du véhicule, celui-ci devient la propriété de l’État et sera remis au Domaine pour être vendu, affecté à un service de l’État ou détruit.

                                        Si le véhicule a été mis en fourrière, connaître la règle pour le remboursement des frais

                                        En cas de décision de relaxe ayant un caractère définitif, vous pouvez demander le remboursement des frais de fourrière au titre des frais de justice.

                                        Vous devez faire la demande dans un délai de 6 mois à compter de la date à laquelle la décision de relaxe est devenue définitive.

                                        La demande se fait par déclaration au greffe contre récépissé ou par lettre recommandée avec  AR .

                                        Joignez à votre demande les documents suivants :

                                        • Copie de la décision de relaxe

                                        • Justificatif du paiement des frais d’enlèvement et de garde en fourrière

                                        Le montant du remboursement est calculé en fonction des tarifs des frais d’enlèvement et des frais de garde.

                                        Le remboursement des frais concerne uniquement la période avant la décision de mainlevée de la mise en fourrière.

                                          Si le tribunal a ordonné l’immobilisation du véhicule, vous récupérez le véhicule à la fin de la durée de l’immobilisation fixée par le tribunal contre paiement des frais de fourrière.

                                          Vous ne pouvez pas demander le remboursement des frais de fourrière.

                                            Vous pouvez contester la confiscation du véhicule en faisant appel de la décision dans un délai de 10 jours à partir du prononcé de la décision à l’audience.

                                            Le délai de 10 jours court à partir de la notification de la décision si vous n’étiez pas présent ni représenté par un avocat à l’audience.

                                            Refuser de remettre le véhicule confisqué est un délit puni par une peine de prison de 2 ans maximum et par une amende de 30 000 € maximum.

                                            Les mêmes sanctions s’appliquent en cas de destruction ou de tentative de destruction du véhicule confisqué.

                                          Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                          Faire sa demande en ligne

                                          Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                          Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                          La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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