Les mardis 24 et 31 décembre, les différents sites de la mairie fermeront 1h plus tôt. 15h : Fermeture du Centre Aquarécréatif | 16h : Fermeture des services de l'hôtel de ville, des services techniques, service culturel et musée | 16h30 : Fermeture des accueils de loisirs Genêts et P'tits Pelauds | 17h : Fermeture des services de la maison de l'enfance.
Urbanisme
Démarches d’urbanisme
Quand faire votre demande ?
Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.
Ai-je le droit ?
Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.
- PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
- 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire
Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.
Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.
- 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire
Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).
Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :
- 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
- Bassin > 100 m² = Permis de construire
Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut
- Permis de construire peu importe la superficie du bassin
Emprise au sol
= Projection verticale au sol de la construction
Surface de plancher
= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur
Quand recourir à un architecte ?
- Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
- Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
- Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
- Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
- Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher
Quelles formalités à accomplir ?
Départ négocié en cas de difficultés économiques
L’employeur qui connaît des difficultés économiques dans son entreprise peut proposer à un ou plusieurs salariés la rupture négociée du contrat de travail. Le contrat de travail est rompu sans procédure de licenciement. L’employeur et le salarié se mettent d’accord sur les conditions de la rupture du contrat de travail. Le salarié touche-t-il des indemnités de fin de contrat ? Peut-il prétendre au chômage ? Nous vous présentons les informations à retenir.
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC)
Le départ négocié du salarié, dans un contexte de difficulté economique dans l’entreprise, constitue une rupture amiable d’un contrat de travail.
Il nécessite l’accord de l’employeur et du salarié.
Le départ négocié ne doit pas être confondu avec les possibilités de rupture suivantes :
Plan de départs volontaires (PDV)
La rupture négociée du contrat de travail est possible dans les situations suivantes :
soit de manière générale, par affichage dans les locaux de l’entreprise ou par diffusion sur le réseau intranet de l’entreprise
soit de manière individualisée.
Appel au volontariat
Après l’adoption du plan de départs volontaires, l’employeur lance un appel au volontariat au personnel de l’entreprise.
Aucune procédure n’est imposée par la loi.
Cet appel peut toutefois être réalisé
Traitement des candidatures
L’employeur examine les candidatures reçues. Il sélectionne les candidats en respectant les critères définis dans le plan.
Forme de la rupture du contrat de travail
Une fois la candidature du salarié acceptée, la rupture du contrat de travail intervient d’un commun accord entre l’employeur et le salarié.
Il s’agit d’une rupture amiable du contrat . Ce n’est pas un licenciement ou une rupture conventionnelle.
Aucun formalisme n’est imposé par la loi. En pratique, les parties concluent par écrit une convention de rupture décrivant les conséquences de la rupture (indemnité de rupture, priorité de réembauche, sort de la clause de non-concurrence, etc.).
Oui. Le salarié percoit une indemnité de rupture. Son montant est au moins égal à celui de l’indemnité légale de licenciement.
Cette indemnité est fixé d’un commun accord entre l’employeur et le salarié, ou par un accord collectif.
Le salarié a également droit à l’indemnité compensatrice de congés payés s’il n’a pas pu bénéficier de la totalité du congé auquel il avait droit à la date de rupture de son contrat.
Oui. Le salarié qui quitte l’entreprise dans le cadre d’un départ volontaire, issu d’un plan de sauvegarde de l’emploi ou d’un accord collectif, bénéficie de la priorité de réembauche.
L’employeur remet les documents suivants au salarié :
Non. Le salarié volontaire au départ, qui a conclu un accord de rupture amiable de son contrat, ne peut pas contester le motif économique de la rupture de son contrat de travail.
Il ne peut également pas contester l’application des critères d’ordre des licenciements.
Oui. Le salarié peut percevoir une allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions lui permettant d’en bénéficier.
Rupture du contrat de travail dans le secteur privé
- Pour une information complémentaire sur le versement des indemnités chômage :
France Travail (anciennement Pôle emploi)
- Code du travail : article L1233-3
Définition du motif économique de licenciement - Code du travail : article L1237-17
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences
Départ négocié en cas de difficultés économiques
L’employeur qui connaît des difficultés économiques dans son entreprise peut proposer à un ou plusieurs salariés la rupture négociée du contrat de travail. Le contrat de travail est rompu sans procédure de licenciement. L’employeur et le salarié se mettent d’accord sur les conditions de la rupture du contrat de travail. Le salarié touche-t-il des indemnités de fin de contrat ? Peut-il prétendre au chômage ? Nous vous présentons les informations à retenir.
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC)
Le départ négocié du salarié, dans un contexte de difficulté economique dans l’entreprise, constitue une rupture amiable d’un contrat de travail.
Il nécessite l’accord de l’employeur et du salarié.
Le départ négocié ne doit pas être confondu avec les possibilités de rupture suivantes :
Plan de départs volontaires (PDV)
La rupture négociée du contrat de travail est possible dans les situations suivantes :
soit de manière générale, par affichage dans les locaux de l’entreprise ou par diffusion sur le réseau intranet de l’entreprise
soit de manière individualisée.
Appel au volontariat
Après l’adoption du plan de départs volontaires, l’employeur lance un appel au volontariat au personnel de l’entreprise.
Aucune procédure n’est imposée par la loi.
Cet appel peut toutefois être réalisé
Traitement des candidatures
L’employeur examine les candidatures reçues. Il sélectionne les candidats en respectant les critères définis dans le plan.
Forme de la rupture du contrat de travail
Une fois la candidature du salarié acceptée, la rupture du contrat de travail intervient d’un commun accord entre l’employeur et le salarié.
Il s’agit d’une rupture amiable du contrat . Ce n’est pas un licenciement ou une rupture conventionnelle.
Aucun formalisme n’est imposé par la loi. En pratique, les parties concluent par écrit une convention de rupture décrivant les conséquences de la rupture (indemnité de rupture, priorité de réembauche, sort de la clause de non-concurrence, etc.).
Oui. Le salarié percoit une indemnité de rupture. Son montant est au moins égal à celui de l’indemnité légale de licenciement.
Cette indemnité est fixé d’un commun accord entre l’employeur et le salarié, ou par un accord collectif.
Le salarié a également droit à l’indemnité compensatrice de congés payés s’il n’a pas pu bénéficier de la totalité du congé auquel il avait droit à la date de rupture de son contrat.
Oui. Le salarié qui quitte l’entreprise dans le cadre d’un départ volontaire, issu d’un plan de sauvegarde de l’emploi ou d’un accord collectif, bénéficie de la priorité de réembauche.
L’employeur remet les documents suivants au salarié :
Non. Le salarié volontaire au départ, qui a conclu un accord de rupture amiable de son contrat, ne peut pas contester le motif économique de la rupture de son contrat de travail.
Il ne peut également pas contester l’application des critères d’ordre des licenciements.
Oui. Le salarié peut percevoir une allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions lui permettant d’en bénéficier.
Rupture du contrat de travail dans le secteur privé
- Pour une information complémentaire sur le versement des indemnités chômage :
France Travail (anciennement Pôle emploi)
- Code du travail : article L1233-3
Définition du motif économique de licenciement - Code du travail : article L1237-17
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences
Départ négocié en cas de difficultés économiques
L’employeur qui connaît des difficultés économiques dans son entreprise peut proposer à un ou plusieurs salariés la rupture négociée du contrat de travail. Le contrat de travail est rompu sans procédure de licenciement. L’employeur et le salarié se mettent d’accord sur les conditions de la rupture du contrat de travail. Le salarié touche-t-il des indemnités de fin de contrat ? Peut-il prétendre au chômage ? Nous vous présentons les informations à retenir.
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC)
Le départ négocié du salarié, dans un contexte de difficulté economique dans l’entreprise, constitue une rupture amiable d’un contrat de travail.
Il nécessite l’accord de l’employeur et du salarié.
Le départ négocié ne doit pas être confondu avec les possibilités de rupture suivantes :
Plan de départs volontaires (PDV)
La rupture négociée du contrat de travail est possible dans les situations suivantes :
soit de manière générale, par affichage dans les locaux de l’entreprise ou par diffusion sur le réseau intranet de l’entreprise
soit de manière individualisée.
Appel au volontariat
Après l’adoption du plan de départs volontaires, l’employeur lance un appel au volontariat au personnel de l’entreprise.
Aucune procédure n’est imposée par la loi.
Cet appel peut toutefois être réalisé
Traitement des candidatures
L’employeur examine les candidatures reçues. Il sélectionne les candidats en respectant les critères définis dans le plan.
Forme de la rupture du contrat de travail
Une fois la candidature du salarié acceptée, la rupture du contrat de travail intervient d’un commun accord entre l’employeur et le salarié.
Il s’agit d’une rupture amiable du contrat . Ce n’est pas un licenciement ou une rupture conventionnelle.
Aucun formalisme n’est imposé par la loi. En pratique, les parties concluent par écrit une convention de rupture décrivant les conséquences de la rupture (indemnité de rupture, priorité de réembauche, sort de la clause de non-concurrence, etc.).
Oui. Le salarié percoit une indemnité de rupture. Son montant est au moins égal à celui de l’indemnité légale de licenciement.
Cette indemnité est fixé d’un commun accord entre l’employeur et le salarié, ou par un accord collectif.
Le salarié a également droit à l’indemnité compensatrice de congés payés s’il n’a pas pu bénéficier de la totalité du congé auquel il avait droit à la date de rupture de son contrat.
Oui. Le salarié qui quitte l’entreprise dans le cadre d’un départ volontaire, issu d’un plan de sauvegarde de l’emploi ou d’un accord collectif, bénéficie de la priorité de réembauche.
L’employeur remet les documents suivants au salarié :
Non. Le salarié volontaire au départ, qui a conclu un accord de rupture amiable de son contrat, ne peut pas contester le motif économique de la rupture de son contrat de travail.
Il ne peut également pas contester l’application des critères d’ordre des licenciements.
Oui. Le salarié peut percevoir une allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions lui permettant d’en bénéficier.
Rupture du contrat de travail dans le secteur privé
- Pour une information complémentaire sur le versement des indemnités chômage :
France Travail (anciennement Pôle emploi)
- Code du travail : article L1233-3
Définition du motif économique de licenciement - Code du travail : article L1237-17
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Départ négocié en cas de difficultés économiques
L’employeur qui connaît des difficultés économiques dans son entreprise peut proposer à un ou plusieurs salariés la rupture négociée du contrat de travail. Le contrat de travail est rompu sans procédure de licenciement. L’employeur et le salarié se mettent d’accord sur les conditions de la rupture du contrat de travail. Le salarié touche-t-il des indemnités de fin de contrat ? Peut-il prétendre au chômage ? Nous vous présentons les informations à retenir.
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC)
Le départ négocié du salarié, dans un contexte de difficulté economique dans l’entreprise, constitue une rupture amiable d’un contrat de travail.
Il nécessite l’accord de l’employeur et du salarié.
Le départ négocié ne doit pas être confondu avec les possibilités de rupture suivantes :
Plan de départs volontaires (PDV)
La rupture négociée du contrat de travail est possible dans les situations suivantes :
soit de manière générale, par affichage dans les locaux de l’entreprise ou par diffusion sur le réseau intranet de l’entreprise
soit de manière individualisée.
Appel au volontariat
Après l’adoption du plan de départs volontaires, l’employeur lance un appel au volontariat au personnel de l’entreprise.
Aucune procédure n’est imposée par la loi.
Cet appel peut toutefois être réalisé
Traitement des candidatures
L’employeur examine les candidatures reçues. Il sélectionne les candidats en respectant les critères définis dans le plan.
Forme de la rupture du contrat de travail
Une fois la candidature du salarié acceptée, la rupture du contrat de travail intervient d’un commun accord entre l’employeur et le salarié.
Il s’agit d’une rupture amiable du contrat . Ce n’est pas un licenciement ou une rupture conventionnelle.
Aucun formalisme n’est imposé par la loi. En pratique, les parties concluent par écrit une convention de rupture décrivant les conséquences de la rupture (indemnité de rupture, priorité de réembauche, sort de la clause de non-concurrence, etc.).
Oui. Le salarié percoit une indemnité de rupture. Son montant est au moins égal à celui de l’indemnité légale de licenciement.
Cette indemnité est fixé d’un commun accord entre l’employeur et le salarié, ou par un accord collectif.
Le salarié a également droit à l’indemnité compensatrice de congés payés s’il n’a pas pu bénéficier de la totalité du congé auquel il avait droit à la date de rupture de son contrat.
Oui. Le salarié qui quitte l’entreprise dans le cadre d’un départ volontaire, issu d’un plan de sauvegarde de l’emploi ou d’un accord collectif, bénéficie de la priorité de réembauche.
L’employeur remet les documents suivants au salarié :
Non. Le salarié volontaire au départ, qui a conclu un accord de rupture amiable de son contrat, ne peut pas contester le motif économique de la rupture de son contrat de travail.
Il ne peut également pas contester l’application des critères d’ordre des licenciements.
Oui. Le salarié peut percevoir une allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions lui permettant d’en bénéficier.
Rupture du contrat de travail dans le secteur privé
- Pour une information complémentaire sur le versement des indemnités chômage :
France Travail (anciennement Pôle emploi)
- Code du travail : article L1233-3
Définition du motif économique de licenciement - Code du travail : article L1237-17
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Départ négocié en cas de difficultés économiques
L’employeur qui connaît des difficultés économiques dans son entreprise peut proposer à un ou plusieurs salariés la rupture négociée du contrat de travail. Le contrat de travail est rompu sans procédure de licenciement. L’employeur et le salarié se mettent d’accord sur les conditions de la rupture du contrat de travail. Le salarié touche-t-il des indemnités de fin de contrat ? Peut-il prétendre au chômage ? Nous vous présentons les informations à retenir.
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC)
Le départ négocié du salarié, dans un contexte de difficulté economique dans l’entreprise, constitue une rupture amiable d’un contrat de travail.
Il nécessite l’accord de l’employeur et du salarié.
Le départ négocié ne doit pas être confondu avec les possibilités de rupture suivantes :
Plan de départs volontaires (PDV)
La rupture négociée du contrat de travail est possible dans les situations suivantes :
soit de manière générale, par affichage dans les locaux de l’entreprise ou par diffusion sur le réseau intranet de l’entreprise
soit de manière individualisée.
Appel au volontariat
Après l’adoption du plan de départs volontaires, l’employeur lance un appel au volontariat au personnel de l’entreprise.
Aucune procédure n’est imposée par la loi.
Cet appel peut toutefois être réalisé
Traitement des candidatures
L’employeur examine les candidatures reçues. Il sélectionne les candidats en respectant les critères définis dans le plan.
Forme de la rupture du contrat de travail
Une fois la candidature du salarié acceptée, la rupture du contrat de travail intervient d’un commun accord entre l’employeur et le salarié.
Il s’agit d’une rupture amiable du contrat . Ce n’est pas un licenciement ou une rupture conventionnelle.
Aucun formalisme n’est imposé par la loi. En pratique, les parties concluent par écrit une convention de rupture décrivant les conséquences de la rupture (indemnité de rupture, priorité de réembauche, sort de la clause de non-concurrence, etc.).
Oui. Le salarié percoit une indemnité de rupture. Son montant est au moins égal à celui de l’indemnité légale de licenciement.
Cette indemnité est fixé d’un commun accord entre l’employeur et le salarié, ou par un accord collectif.
Le salarié a également droit à l’indemnité compensatrice de congés payés s’il n’a pas pu bénéficier de la totalité du congé auquel il avait droit à la date de rupture de son contrat.
Oui. Le salarié qui quitte l’entreprise dans le cadre d’un départ volontaire, issu d’un plan de sauvegarde de l’emploi ou d’un accord collectif, bénéficie de la priorité de réembauche.
L’employeur remet les documents suivants au salarié :
Non. Le salarié volontaire au départ, qui a conclu un accord de rupture amiable de son contrat, ne peut pas contester le motif économique de la rupture de son contrat de travail.
Il ne peut également pas contester l’application des critères d’ordre des licenciements.
Oui. Le salarié peut percevoir une allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions lui permettant d’en bénéficier.
Rupture du contrat de travail dans le secteur privé
- Pour une information complémentaire sur le versement des indemnités chômage :
France Travail (anciennement Pôle emploi)
- Code du travail : article L1233-3
Définition du motif économique de licenciement - Code du travail : article L1237-17
Accord collectif portant gestion prévisionnelle des emplois et des compétences
Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.
Faire sa demande en ligne
Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.
La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr
Contact
-
Services municipaux
Service Développement Territorial
Horaires : Du lundi au vendredi
8h30 – 12h / 13h30 – 17h
Fermé le mardi