Urbanisme
Démarches d’urbanisme
Quand faire votre demande ?
Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.
Ai-je le droit ?
Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.
- PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
- 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire
Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.
Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.
- 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire
Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).
Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :
- 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
- Bassin > 100 m² = Permis de construire
Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut
- Permis de construire peu importe la superficie du bassin
Emprise au sol
= Projection verticale au sol de la construction
Surface de plancher
= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur
Quand recourir à un architecte ?
- Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
- Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
- Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
- Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
- Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher
Quelles formalités à accomplir ?
Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) – Licenciement économique
Lorsque l’employeur licencie au moins 10 salariés sur une période de 30 jours dans une entreprise d’au moins 50 salariés, il doit mettre en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).
Comment est mis en place un PSE ? Avec qui le négocier ? Quelles mesures doit-il contenir ? L’administration vérifie-t-elle le PSE ?
Nous vous présentons les informations à retenir.
L’employeur peut mettre en place le PSE par accord collectif ou par décision unilatérale. Il est libre d’engager ou non des négociations.
La procédure diffère en fonction du choix de l’employeur.
Licenciement économique
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
La mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail.
L’employeur doit afficher sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
Non, le CSE n’est pas consulté sur les mesures figurant dans le PSE.
L’accord PSE doit être signé par les syndicats représentatifs ayant recueilli au moins 50 % des suffrages exprimés au 1er tour des dernières élections professionnelles du CSE.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
L’employeur doit informer la Dreets de l’engagement de négociation pour un accord PSE.
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
À la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets valide l’accord PSE, celui-ci s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de valider l’accord, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement. Il est adressé dans un délai d’1 mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision de validation elle-même (par exemple : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE.
Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges.
La contestation peut porter sur les motifs suivants :
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
Oui, la mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Oui, le document unilatéral élaboré par l’employeur en l’absence d’accord collectif est soumis à la consultation du CSE sur l’ensemble des éléments qu’il contient. Le CSE rend un avis sur le PSE.
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail. L’employeur affiche sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
A la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets homologue le PSE, il s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de d’homologuer le PSE, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement et est adressé dans un délai d’un mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision d’homologation elle-même (ex. : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE. Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges. La contestation peut porter sur les motifs suivants :La contestation peut porter sur les motifs suivants :
- Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE)
Source : Ministère chargé du travail
- Code du travail : articles L1233-61 à L1233-64
Contenu, mise en place obligatoire et bilan du PSE - Code du travail : articles L1233-26 et L1233-27
Contenu du PSE et mise en place obligatoire du PSE - Code du travail : articles L1233-11 à L1233-14
Validité de l’accord présence d’un délégué syndical - Code du travail : articles L2232-24 à L2232-26
Validité de l’accord entreprises d’au moins 50 salariés - Code du travail : articles L1233-28 à L1233-33
Consultation du CSE article L1233-30 du Code du travail - Code du travail : articles L1233-57 à L1233-57-8
validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14
Validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14-4
Bilan transmis à la Dreets - arrêté du 03 avril 2014 relatif au bilan du PSE à transmettre à la Dreest
Bilan transmis à la Dreets - Code du travail : article L1235-7-1
Contestation du PSE devant le tribunal administratif
Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) – Licenciement économique
Lorsque l’employeur licencie au moins 10 salariés sur une période de 30 jours dans une entreprise d’au moins 50 salariés, il doit mettre en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).
Comment est mis en place un PSE ? Avec qui le négocier ? Quelles mesures doit-il contenir ? L’administration vérifie-t-elle le PSE ?
Nous vous présentons les informations à retenir.
L’employeur peut mettre en place le PSE par accord collectif ou par décision unilatérale. Il est libre d’engager ou non des négociations.
La procédure diffère en fonction du choix de l’employeur.
Licenciement économique
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
La mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail.
L’employeur doit afficher sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
Non, le CSE n’est pas consulté sur les mesures figurant dans le PSE.
L’accord PSE doit être signé par les syndicats représentatifs ayant recueilli au moins 50 % des suffrages exprimés au 1er tour des dernières élections professionnelles du CSE.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
L’employeur doit informer la Dreets de l’engagement de négociation pour un accord PSE.
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
À la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets valide l’accord PSE, celui-ci s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de valider l’accord, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement. Il est adressé dans un délai d’1 mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision de validation elle-même (par exemple : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE.
Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges.
La contestation peut porter sur les motifs suivants :
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
Oui, la mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Oui, le document unilatéral élaboré par l’employeur en l’absence d’accord collectif est soumis à la consultation du CSE sur l’ensemble des éléments qu’il contient. Le CSE rend un avis sur le PSE.
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail. L’employeur affiche sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
A la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets homologue le PSE, il s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de d’homologuer le PSE, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement et est adressé dans un délai d’un mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision d’homologation elle-même (ex. : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE. Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges. La contestation peut porter sur les motifs suivants :La contestation peut porter sur les motifs suivants :
- Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE)
Source : Ministère chargé du travail
- Code du travail : articles L1233-61 à L1233-64
Contenu, mise en place obligatoire et bilan du PSE - Code du travail : articles L1233-26 et L1233-27
Contenu du PSE et mise en place obligatoire du PSE - Code du travail : articles L1233-11 à L1233-14
Validité de l’accord présence d’un délégué syndical - Code du travail : articles L2232-24 à L2232-26
Validité de l’accord entreprises d’au moins 50 salariés - Code du travail : articles L1233-28 à L1233-33
Consultation du CSE article L1233-30 du Code du travail - Code du travail : articles L1233-57 à L1233-57-8
validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14
Validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14-4
Bilan transmis à la Dreets - arrêté du 03 avril 2014 relatif au bilan du PSE à transmettre à la Dreest
Bilan transmis à la Dreets - Code du travail : article L1235-7-1
Contestation du PSE devant le tribunal administratif
Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) – Licenciement économique
Lorsque l’employeur licencie au moins 10 salariés sur une période de 30 jours dans une entreprise d’au moins 50 salariés, il doit mettre en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).
Comment est mis en place un PSE ? Avec qui le négocier ? Quelles mesures doit-il contenir ? L’administration vérifie-t-elle le PSE ?
Nous vous présentons les informations à retenir.
L’employeur peut mettre en place le PSE par accord collectif ou par décision unilatérale. Il est libre d’engager ou non des négociations.
La procédure diffère en fonction du choix de l’employeur.
Licenciement économique
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
La mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail.
L’employeur doit afficher sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
Non, le CSE n’est pas consulté sur les mesures figurant dans le PSE.
L’accord PSE doit être signé par les syndicats représentatifs ayant recueilli au moins 50 % des suffrages exprimés au 1er tour des dernières élections professionnelles du CSE.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
L’employeur doit informer la Dreets de l’engagement de négociation pour un accord PSE.
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
À la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets valide l’accord PSE, celui-ci s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de valider l’accord, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement. Il est adressé dans un délai d’1 mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision de validation elle-même (par exemple : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE.
Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges.
La contestation peut porter sur les motifs suivants :
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
Oui, la mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Oui, le document unilatéral élaboré par l’employeur en l’absence d’accord collectif est soumis à la consultation du CSE sur l’ensemble des éléments qu’il contient. Le CSE rend un avis sur le PSE.
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail. L’employeur affiche sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
A la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets homologue le PSE, il s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de d’homologuer le PSE, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement et est adressé dans un délai d’un mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision d’homologation elle-même (ex. : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE. Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges. La contestation peut porter sur les motifs suivants :La contestation peut porter sur les motifs suivants :
- Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE)
Source : Ministère chargé du travail
- Code du travail : articles L1233-61 à L1233-64
Contenu, mise en place obligatoire et bilan du PSE - Code du travail : articles L1233-26 et L1233-27
Contenu du PSE et mise en place obligatoire du PSE - Code du travail : articles L1233-11 à L1233-14
Validité de l’accord présence d’un délégué syndical - Code du travail : articles L2232-24 à L2232-26
Validité de l’accord entreprises d’au moins 50 salariés - Code du travail : articles L1233-28 à L1233-33
Consultation du CSE article L1233-30 du Code du travail - Code du travail : articles L1233-57 à L1233-57-8
validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14
Validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14-4
Bilan transmis à la Dreets - arrêté du 03 avril 2014 relatif au bilan du PSE à transmettre à la Dreest
Bilan transmis à la Dreets - Code du travail : article L1235-7-1
Contestation du PSE devant le tribunal administratif
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) – Licenciement économique
Lorsque l’employeur licencie au moins 10 salariés sur une période de 30 jours dans une entreprise d’au moins 50 salariés, il doit mettre en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).
Comment est mis en place un PSE ? Avec qui le négocier ? Quelles mesures doit-il contenir ? L’administration vérifie-t-elle le PSE ?
Nous vous présentons les informations à retenir.
L’employeur peut mettre en place le PSE par accord collectif ou par décision unilatérale. Il est libre d’engager ou non des négociations.
La procédure diffère en fonction du choix de l’employeur.
Licenciement économique
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
La mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail.
L’employeur doit afficher sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
Non, le CSE n’est pas consulté sur les mesures figurant dans le PSE.
L’accord PSE doit être signé par les syndicats représentatifs ayant recueilli au moins 50 % des suffrages exprimés au 1er tour des dernières élections professionnelles du CSE.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
L’employeur doit informer la Dreets de l’engagement de négociation pour un accord PSE.
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
À la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets valide l’accord PSE, celui-ci s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de valider l’accord, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement. Il est adressé dans un délai d’1 mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision de validation elle-même (par exemple : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE.
Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges.
La contestation peut porter sur les motifs suivants :
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
Oui, la mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Oui, le document unilatéral élaboré par l’employeur en l’absence d’accord collectif est soumis à la consultation du CSE sur l’ensemble des éléments qu’il contient. Le CSE rend un avis sur le PSE.
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail. L’employeur affiche sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
A la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets homologue le PSE, il s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de d’homologuer le PSE, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement et est adressé dans un délai d’un mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision d’homologation elle-même (ex. : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE. Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges. La contestation peut porter sur les motifs suivants :La contestation peut porter sur les motifs suivants :
- Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE)
Source : Ministère chargé du travail
- Code du travail : articles L1233-61 à L1233-64
Contenu, mise en place obligatoire et bilan du PSE - Code du travail : articles L1233-26 et L1233-27
Contenu du PSE et mise en place obligatoire du PSE - Code du travail : articles L1233-11 à L1233-14
Validité de l’accord présence d’un délégué syndical - Code du travail : articles L2232-24 à L2232-26
Validité de l’accord entreprises d’au moins 50 salariés - Code du travail : articles L1233-28 à L1233-33
Consultation du CSE article L1233-30 du Code du travail - Code du travail : articles L1233-57 à L1233-57-8
validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14
Validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14-4
Bilan transmis à la Dreets - arrêté du 03 avril 2014 relatif au bilan du PSE à transmettre à la Dreest
Bilan transmis à la Dreets - Code du travail : article L1235-7-1
Contestation du PSE devant le tribunal administratif
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) – Licenciement économique
Lorsque l’employeur licencie au moins 10 salariés sur une période de 30 jours dans une entreprise d’au moins 50 salariés, il doit mettre en place un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).
Comment est mis en place un PSE ? Avec qui le négocier ? Quelles mesures doit-il contenir ? L’administration vérifie-t-elle le PSE ?
Nous vous présentons les informations à retenir.
L’employeur peut mettre en place le PSE par accord collectif ou par décision unilatérale. Il est libre d’engager ou non des négociations.
La procédure diffère en fonction du choix de l’employeur.
Licenciement économique
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
La mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail.
L’employeur doit afficher sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
Non, le CSE n’est pas consulté sur les mesures figurant dans le PSE.
L’accord PSE doit être signé par les syndicats représentatifs ayant recueilli au moins 50 % des suffrages exprimés au 1er tour des dernières élections professionnelles du CSE.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
L’employeur doit informer la Dreets de l’engagement de négociation pour un accord PSE.
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
À la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets valide l’accord PSE, celui-ci s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de valider l’accord, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement. Il est adressé dans un délai d’1 mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision de validation elle-même (par exemple : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE.
Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges.
La contestation peut porter sur les motifs suivants :
Le PSE est un ensemble de mesures destinées à éviter les licenciements économiques ou en limiter le nombre.
Le PSE doit prévoir des mesures de reclassement en France pour les salariés dont le licenciement est envisagé.
Oui, la mise en place d’un PSE est obligatoire dans les entreprises d’au moins 50 salariés lorsque l’entreprise envisage d’effectuer un licenciement économique d’au moins 10 salariés sur une période de 30 jours.
Actions visant au reclassement interne en France des salariés, sur des emplois relevant de la même catégorie d’emplois ou équivalents à ceux qu’ils occupent (ou, sous réserve de l’accord écrit des salariés concernés, sur des emplois de catégorie inférieure)
Actions favorisant la reprise de tout ou partie des activités en vue d’éviter la fermeture d’un ou de plusieurs établissements
Créations d’activités nouvelles par l’entreprise
Actions favorisant le reclassement externe à l’entreprise (notamment par le soutien à la réactivation du bassin d’emploi)
Actions de soutien à la création d’activités nouvelles ou à la reprise d’activités existantes par les salariés
Actions de formation, de validation des acquis de l’expérience (VAE) ou de reconversion de nature à faciliter le reclassement interne ou externe des salariés sur des emplois équivalents
Mesures de réduction ou d’aménagement du temps de travail et des mesures de réduction du volume des heures supplémentaires réalisées de manière régulière
Conditions de mise en œuvre du congé de reclassement ou du contrat de sécurisation professionnelle (CSP)
Plan de reclassement visant notamment les salariés âgés ou les salariés présentant des caractéristiques sociales ou de qualification rendant leur réinsertion professionnelle particulièrement difficile
Primes d’incitation au départ volontaire
Mesures pouvant tenir compte des problèmes spécifiques de certains salariés et notamment des personnes handicapées et des femmes enceintes
Actions de bilan-évaluation destinées à permettre aux intéressés de mieux se situer sur le marché de l’emploi en fonction de leurs capacités professionnelles acquises et potentielles
Le PSE prévoit les mesures suivantes :
Le PSE peut également prévoir des mesures facultatives comme par exemple :
Oui, le document unilatéral élaboré par l’employeur en l’absence d’accord collectif est soumis à la consultation du CSE sur l’ensemble des éléments qu’il contient. Le CSE rend un avis sur le PSE.
Le PSE est porté à la connaissance des salariés par tout moyen sur le lieu de travail. L’employeur affiche sur le lieu de travail les éventuelles propositions de la Dreets en vue d’améliorer le PSE et sa réponse motivée à ces observations.
- Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)
Nombre de réunions de la commission de suivi
Nombre de mobilités/reclassements internes (au sein de l’entreprise, l’UES ou le groupe auquel appartient l’entreprise)
Nombre de départs volontaires (dont le nombre de salariés de 57 ans et plus)
Nombre de salariés licenciés pour motif économique (dont ceux de 57 ans et plus)
Nombre d’adhésions aux dispositifs d’accompagnement (CSP, congé de reclassement ou de mobilité)
-
Mesures d’accompagnement à la mobilité externe :
Mise en place d’une antenne emploi ou d’une cellule de reclassement chargées d’accompagner les salariés
Nombre de personnes ayant bénéficié d’une action de formation ou d’une VAE
Nombre d’aides à la création ou à la reprise d’entreprise
Nombre d’aides à la mobilité géographique
Nombre de bénéficiaires de l’allocation temporaire dégressive ou de l’indemnité complémentaire en cas de reclassement dans un emploi moins rémunéré
Nombre de personnes en CDI (dont ceux dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes ayant créé ou repris une entreprise (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD / CTT de 6 mois et plus (dont dans les 6 premiers mois)
Nombre de personnes en CDD/CTT de moins de 6 mois (dont dans les 6 premiers mois)
Ceux qui sont dans une autre situation : formation, retraite, préretraites d’entreprise, recherche d’un emploi
Transmission des documents à la Dreets
Tous les documents et informations relatifs au PSE doivent être transmis par l’employeur tout au long de la procédure via le Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO).
La Dreets peut formuler des propositions d’amélioration du PSE et des observations tout au long de la procédure de PSE.
A la fin de la procédure, le PSE doit être transmis via RUPCO.
Vérification du PSE par la Dreets
Lorsque la Dreets homologue le PSE, il s’applique. L’employeur peut mettre en place le PSE et notifier les licenciements.
Lorsque la Dreets refuse de d’homologuer le PSE, l’employeur doit apporter les modifications nécessaires. Il consulte à nouveau le CSE et présente une nouvelle demande. L’employeur ne peut pas notifier les licenciements.
Transmission du bilan de mise en œuvre du PSE à la Dreets
L’employeur doit établir et adresser à la Dreets un bilan de la mise en œuvre effective du plan de sauvegarde de l’emploi.
Ce bilan est réalisé à la fin de la mise en œuvre des mesures de reclassement et est adressé dans un délai d’un mois après cette date à la Dreets compétente par voie dématérialisée.
Connaître le contenu du bilan du PSE à adresser à la Dreets
Le bilan doit contenir les éléments suivants :
L’employeur doit également décrire la situation des personnes à l’issue du plan de sauvegarde de l’emploi. Il doit notamment préciser les éléments suivants :
Décision d’homologation elle-même (ex. : formalisme)
Accord du PSE
Contenu du PSE
Oui, le salarié ou les syndicats peuvent contester le PSE. Le tribunal administratif est compétent pour régler les litiges. La contestation peut porter sur les motifs suivants :La contestation peut porter sur les motifs suivants :
- Plan de sauvegarde de l’emploi (PSE)
Source : Ministère chargé du travail
- Code du travail : articles L1233-61 à L1233-64
Contenu, mise en place obligatoire et bilan du PSE - Code du travail : articles L1233-26 et L1233-27
Contenu du PSE et mise en place obligatoire du PSE - Code du travail : articles L1233-11 à L1233-14
Validité de l’accord présence d’un délégué syndical - Code du travail : articles L2232-24 à L2232-26
Validité de l’accord entreprises d’au moins 50 salariés - Code du travail : articles L1233-28 à L1233-33
Consultation du CSE article L1233-30 du Code du travail - Code du travail : articles L1233-57 à L1233-57-8
validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14
Validation, homologation du PSE par la Dreets - Code du travail : article D1233-14-4
Bilan transmis à la Dreets - arrêté du 03 avril 2014 relatif au bilan du PSE à transmettre à la Dreest
Bilan transmis à la Dreets - Code du travail : article L1235-7-1
Contestation du PSE devant le tribunal administratif
Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.
Faire sa demande en ligne
Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.
La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr
Contact
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Services municipaux
Service Développement Territorial
Horaires : Du lundi au vendredi
8h30 – 12h / 13h30 – 17h
Fermé le mardi