Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Nationalité française d’un enfant adopté

Vous adoptez un enfant étranger et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est adopté par adoption simple ou par adoption plénière.

L’adoption crée un lien de filiation entre l’adoptant et l’adopté. Elle peut être simple ou plénière.

Dans le cas de l’adoption simple, l’adopté conserve tous ses liens avec sa famille d’origine.

Dans le cas de l’adoption plénière, l’adopté a une nouvelle filiation qui remplace celle d’origine.

Nationalité française

L’adoption simple ne modifie pas la nationalité de l’adopté. Ainsi, pour avoir la nationalité française, il faut faire une déclaration de nationalité française.

    Les conditions varient selon que l’adoptant réside en France ou à l’étranger.

    L’adopté doit remplir les conditions suivantes :

    • Être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française

    • Résider en France avec l’adoptant.

    L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

      L’adopté doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française. Il doit résider avec l’adoptant.

      L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

        À savoir

        Si l’enfant adopté ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

        La demande est faite sur papier libre.

        L’enfant adopté est convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

        Le représentant légal de l’enfant adopté date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

        Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

        Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

        Documents à fournir

        Les documents à fournir sont les suivants :

        • Demande de nationalité française sur papier libre

          La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

        • Copie certifiée conforme du jugement d’adoption.

        Concernant l’adopté :

        • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

        • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

        • Justificatif de domicile

        • Photographie d’identité récente

        • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

        Concernant l’adoptant :

        • Copie intégrale de l’acte de naissance

        • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

        • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

        Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

        Consignes sur les documents à fournir

        Traduction

        Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

        Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

        Légalisation ou apostille

        Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

        La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

        Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

        Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

        Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

          La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

          Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

          Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

          Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

            Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

            Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

            La notification indique comment faire un recours.

            L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

            Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

            En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant adopté est enregistrée d’office (acceptée).

            La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

            Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

            Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

            À savoir

            L’adopté peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

            Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

            Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité française dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

            Il peut également contester la déclaration de nationalité française en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

          Un enfant mineur adopté sous la forme plénière par un Français est français par filiation.

          Il est considéré comme français dès sa naissance.

            Un enfant mineur adopté sous la forme plénière est français par filiation si l’un de ses parents adoptifs est français.

            Il est considéré comme français dès sa naissance.

            À savoir

            Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

              Il est considéré comme français dès sa naissance.

              Un enfant mineur, né d’un parent étranger et qui est adopté sous la forme plénière par l’époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de ce parent étranger, est français par filiation si l’adoptant est de nationalité française.

              À savoir

              Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                Nationalité française d’un enfant adopté

                Vous adoptez un enfant étranger et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est adopté par adoption simple ou par adoption plénière.

                L’adoption crée un lien de filiation entre l’adoptant et l’adopté. Elle peut être simple ou plénière.

                Dans le cas de l’adoption simple, l’adopté conserve tous ses liens avec sa famille d’origine.

                Dans le cas de l’adoption plénière, l’adopté a une nouvelle filiation qui remplace celle d’origine.

                Nationalité française

                L’adoption simple ne modifie pas la nationalité de l’adopté. Ainsi, pour avoir la nationalité française, il faut faire une déclaration de nationalité française.

                  Les conditions varient selon que l’adoptant réside en France ou à l’étranger.

                  L’adopté doit remplir les conditions suivantes :

                  • Être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française

                  • Résider en France avec l’adoptant.

                  L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

                    L’adopté doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française. Il doit résider avec l’adoptant.

                    L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

                      À savoir

                      Si l’enfant adopté ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

                      La demande est faite sur papier libre.

                      L’enfant adopté est convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                      Le représentant légal de l’enfant adopté date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                      Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                      Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                      Documents à fournir

                      Les documents à fournir sont les suivants :

                      • Demande de nationalité française sur papier libre

                        La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                      • Copie certifiée conforme du jugement d’adoption.

                      Concernant l’adopté :

                      • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                      • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                      • Justificatif de domicile

                      • Photographie d’identité récente

                      • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                      Concernant l’adoptant :

                      • Copie intégrale de l’acte de naissance

                      • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

                      • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

                      Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                      Consignes sur les documents à fournir

                      Traduction

                      Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                      Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                      Légalisation ou apostille

                      Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                      La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                      Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                      Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                        La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

                        Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                        Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                        Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                          Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

                          Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                          La notification indique comment faire un recours.

                          L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                          Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                          En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant adopté est enregistrée d’office (acceptée).

                          La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                          Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                          Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                          À savoir

                          L’adopté peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                          Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                          Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité française dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                          Il peut également contester la déclaration de nationalité française en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                        Un enfant mineur adopté sous la forme plénière par un Français est français par filiation.

                        Il est considéré comme français dès sa naissance.

                          Un enfant mineur adopté sous la forme plénière est français par filiation si l’un de ses parents adoptifs est français.

                          Il est considéré comme français dès sa naissance.

                          À savoir

                          Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                            Il est considéré comme français dès sa naissance.

                            Un enfant mineur, né d’un parent étranger et qui est adopté sous la forme plénière par l’époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de ce parent étranger, est français par filiation si l’adoptant est de nationalité française.

                            À savoir

                            Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                              Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                              Nationalité française d’un enfant adopté

                              Vous adoptez un enfant étranger et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est adopté par adoption simple ou par adoption plénière.

                              L’adoption crée un lien de filiation entre l’adoptant et l’adopté. Elle peut être simple ou plénière.

                              Dans le cas de l’adoption simple, l’adopté conserve tous ses liens avec sa famille d’origine.

                              Dans le cas de l’adoption plénière, l’adopté a une nouvelle filiation qui remplace celle d’origine.

                              Nationalité française

                              L’adoption simple ne modifie pas la nationalité de l’adopté. Ainsi, pour avoir la nationalité française, il faut faire une déclaration de nationalité française.

                                Les conditions varient selon que l’adoptant réside en France ou à l’étranger.

                                L’adopté doit remplir les conditions suivantes :

                                • Être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française

                                • Résider en France avec l’adoptant.

                                L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

                                  L’adopté doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française. Il doit résider avec l’adoptant.

                                  L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

                                    À savoir

                                    Si l’enfant adopté ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

                                    La demande est faite sur papier libre.

                                    L’enfant adopté est convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                                    Le représentant légal de l’enfant adopté date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                                    Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                                    Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                                    Documents à fournir

                                    Les documents à fournir sont les suivants :

                                    • Demande de nationalité française sur papier libre

                                      La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                                    • Copie certifiée conforme du jugement d’adoption.

                                    Concernant l’adopté :

                                    • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                                    • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                                    • Justificatif de domicile

                                    • Photographie d’identité récente

                                    • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                                    Concernant l’adoptant :

                                    • Copie intégrale de l’acte de naissance

                                    • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

                                    • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

                                    Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                                    Consignes sur les documents à fournir

                                    Traduction

                                    Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                                    Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                                    Légalisation ou apostille

                                    Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                                    La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                                    Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                                    Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                                    Où s’adresser ?

                                     Tribunal judiciaire 

                                    Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                                      La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

                                      Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                                      Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                                      Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                                        Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

                                        Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                                        La notification indique comment faire un recours.

                                        L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                                        Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                                        En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant adopté est enregistrée d’office (acceptée).

                                        La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                                        Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                                        Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                                        À savoir

                                        L’adopté peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                                        Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                                        Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité française dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                                        Il peut également contester la déclaration de nationalité française en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                                      Un enfant mineur adopté sous la forme plénière par un Français est français par filiation.

                                      Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                        Un enfant mineur adopté sous la forme plénière est français par filiation si l’un de ses parents adoptifs est français.

                                        Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                        À savoir

                                        Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                                          Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                          Un enfant mineur, né d’un parent étranger et qui est adopté sous la forme plénière par l’époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de ce parent étranger, est français par filiation si l’adoptant est de nationalité française.

                                          À savoir

                                          Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                                            Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                            Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                            Nationalité française d’un enfant adopté

                                            Vous adoptez un enfant étranger et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est adopté par adoption simple ou par adoption plénière.

                                            L’adoption crée un lien de filiation entre l’adoptant et l’adopté. Elle peut être simple ou plénière.

                                            Dans le cas de l’adoption simple, l’adopté conserve tous ses liens avec sa famille d’origine.

                                            Dans le cas de l’adoption plénière, l’adopté a une nouvelle filiation qui remplace celle d’origine.

                                            Nationalité française

                                            L’adoption simple ne modifie pas la nationalité de l’adopté. Ainsi, pour avoir la nationalité française, il faut faire une déclaration de nationalité française.

                                              Les conditions varient selon que l’adoptant réside en France ou à l’étranger.

                                              L’adopté doit remplir les conditions suivantes :

                                              • Être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française

                                              • Résider en France avec l’adoptant.

                                              L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

                                                L’adopté doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française. Il doit résider avec l’adoptant.

                                                L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

                                                  À savoir

                                                  Si l’enfant adopté ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

                                                  La demande est faite sur papier libre.

                                                  L’enfant adopté est convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                                                  Le représentant légal de l’enfant adopté date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                                                  Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                                                  Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                                                  Documents à fournir

                                                  Les documents à fournir sont les suivants :

                                                  • Demande de nationalité française sur papier libre

                                                    La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                                                  • Copie certifiée conforme du jugement d’adoption.

                                                  Concernant l’adopté :

                                                  • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                                                  • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                                                  • Justificatif de domicile

                                                  • Photographie d’identité récente

                                                  • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                                                  Concernant l’adoptant :

                                                  • Copie intégrale de l’acte de naissance

                                                  • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

                                                  • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

                                                  Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                                                  Consignes sur les documents à fournir

                                                  Traduction

                                                  Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                                                  Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                                                  Légalisation ou apostille

                                                  Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                                                  La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                                                  Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                                                  Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                                                  Où s’adresser ?

                                                   Tribunal judiciaire 

                                                  Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                                                    La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

                                                    Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                                                    Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                                                    Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                                                      Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

                                                      Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                                                      La notification indique comment faire un recours.

                                                      L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                                                      Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                                                      En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant adopté est enregistrée d’office (acceptée).

                                                      La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                                                      Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                                                      Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                                                      À savoir

                                                      L’adopté peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                                                      Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                                                      Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité française dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                                                      Il peut également contester la déclaration de nationalité française en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                                                    Un enfant mineur adopté sous la forme plénière par un Français est français par filiation.

                                                    Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                                      Un enfant mineur adopté sous la forme plénière est français par filiation si l’un de ses parents adoptifs est français.

                                                      Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                                      À savoir

                                                      Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                                                        Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                                        Un enfant mineur, né d’un parent étranger et qui est adopté sous la forme plénière par l’époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de ce parent étranger, est français par filiation si l’adoptant est de nationalité française.

                                                        À savoir

                                                        Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                                                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                                          Nationalité française d’un enfant adopté

                                                          Vous adoptez un enfant étranger et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est adopté par adoption simple ou par adoption plénière.

                                                          L’adoption crée un lien de filiation entre l’adoptant et l’adopté. Elle peut être simple ou plénière.

                                                          Dans le cas de l’adoption simple, l’adopté conserve tous ses liens avec sa famille d’origine.

                                                          Dans le cas de l’adoption plénière, l’adopté a une nouvelle filiation qui remplace celle d’origine.

                                                          Nationalité française

                                                          L’adoption simple ne modifie pas la nationalité de l’adopté. Ainsi, pour avoir la nationalité française, il faut faire une déclaration de nationalité française.

                                                            Les conditions varient selon que l’adoptant réside en France ou à l’étranger.

                                                            L’adopté doit remplir les conditions suivantes :

                                                            • Être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française

                                                            • Résider en France avec l’adoptant.

                                                            L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

                                                              L’adopté doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal pour souscrire la déclaration de nationalité française. Il doit résider avec l’adoptant.

                                                              L’adoptant doit être Français à la date de l’adoption.

                                                                À savoir

                                                                Si l’enfant adopté ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

                                                                La demande est faite sur papier libre.

                                                                L’enfant adopté est convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                                                                Le représentant légal de l’enfant adopté date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                                                                Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                                                                Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                                                                Documents à fournir

                                                                Les documents à fournir sont les suivants :

                                                                • Demande de nationalité française sur papier libre

                                                                  La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                                                                • Copie certifiée conforme du jugement d’adoption.

                                                                Concernant l’adopté :

                                                                • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                                                                • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                                                                • Justificatif de domicile

                                                                • Photographie d’identité récente

                                                                • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                                                                Concernant l’adoptant :

                                                                • Copie intégrale de l’acte de naissance

                                                                • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

                                                                • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

                                                                Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                                                                Consignes sur les documents à fournir

                                                                Traduction

                                                                Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                                                                Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                                                                Légalisation ou apostille

                                                                Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                                                                La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                                                                Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                                                                Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                                                                Où s’adresser ?

                                                                 Tribunal judiciaire 

                                                                Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                                                                  La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

                                                                  Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                                                                  Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                                                                  Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                                                                    Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

                                                                    Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                                                                    La notification indique comment faire un recours.

                                                                    L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                                                                    Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                                                                    En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant adopté est enregistrée d’office (acceptée).

                                                                    La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                                                                    Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                                                                    Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                                                                    À savoir

                                                                    L’adopté peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                                                                    Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                                                                    Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité française dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                                                                    Il peut également contester la déclaration de nationalité française en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                                                                  Un enfant mineur adopté sous la forme plénière par un Français est français par filiation.

                                                                  Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                                                    Un enfant mineur adopté sous la forme plénière est français par filiation si l’un de ses parents adoptifs est français.

                                                                    Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                                                    À savoir

                                                                    Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                                                                      Il est considéré comme français dès sa naissance.

                                                                      Un enfant mineur, né d’un parent étranger et qui est adopté sous la forme plénière par l’époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de ce parent étranger, est français par filiation si l’adoptant est de nationalité française.

                                                                      À savoir

                                                                      Si un seul des parents est né en France, l’adopté peut répudier la nationalité française dans les 6 mois précédent sa majorité ou les 12 mois suivant celle-ci.

                                                                        Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                                                        Faire sa demande en ligne

                                                                        Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                                                        Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                                                        La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                                                                        Contact