Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Téléchargement illégal (Arcom) : quelles sont les règles ?

Fusion du CSA et de la Hadopi – 20 juin 2023

Le CSA et la Hadopi ont fusionné depuis le 1er janvier 2022 pour devenir l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique).

Vous souhaitez connaître la procédure mise en place par l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  si vous téléchargez, sans autorisation, des œuvres sans payer les droits d’auteurs ? Vous voulez savoir si vous pouvez être sanctionné ?

Nous vous donnons une définition du téléchargement illégal et vous présentons les informations à connaître.

    Il existe plusieurs techniques pour se procurer ou accéder à des œuvres via internet.

    Notamment :

    • Le peer to peer ou partage en pair-à-pair. Grâce à un logiciel spécifique, vous téléchargez l’œuvre recherchée auprès d’autres internautes ayant obtenu la même œuvre par la même technique.

    • Le streaming ou diffusion en flux. Vous écoutez une chanson ou regardez un film directement sur un site internet sans téléchargement préalable.

    • Le téléchargement direct. Un lien vous mène directement vers le fichier désiré. Il est stocké par une seule personne.

    Ces techniques ne sont pas illégales en elles-mêmes. Elles peuvent être utilisées aussi bien pour l’offre légale que pour l’offre illégale. L’internaute doit s’assurer de leur bon usage. Vous serez sanctionné uniquement pour l’utilisation de l’offre illégale.

    À noter

    on peut copier, à des fins privées, des œuvres acquises légalement. Par exemple, on peut copier un DVD acheté pour le lire sur sa tablette. C’est ce qu’on appelle la copie privée .

    Le téléchargement illégal est le fait d’acquérir ou d’accéder via internet à des œuvres (musique, films…) protégées par des droits d’auteurs et sans que soient rémunérés, d’une quelconque façon, les artistes et producteurs.

    On parle aussi parfois de piratage .

    L’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  repère uniquement l’utilisation illégale du peer-to-peer .

    Vous êtes concernés si vous êtes le propriétaire de la connexion internet ayant servi au téléchargement illégal (celui qui a signé le contrat avec le fournisseur d’accès par internet). Même si ce n’est pas vous qui avez effectivement téléchargé.

    Vous devez donc veiller au bon usage de votre connexion par vous-même et par vos proches, en particulier votre connexion WiFi (sans fil). Vous pouvez vous renseigner sur les moyens de sécuriser votre connexion auprès de votre fournisseur d’accès à internet.

    La preuve sera faite non pas par le téléchargement en lui-même, mais par la mise à disposition illégale des œuvres. Une œuvre téléchargée en peer-to-peer devient en effet disponible pour d’autres internautes qui utilisent la même technique.

    Il est interdit de télécharger sans autorisation et sans payer des œuvres artistiques couvertes par le droit d’auteur.

    L’Arcom repère les connexions ayant servi à un téléchargement illégal. Vous serez donc identifié via votre fournisseur d’accès.

    Dans les 2 mois, après le repérage, l’Arcom vous enverra un mail de recommandation rappelant les règles à respecter. L’adresse utilisée est celle qui est enregistrée auprès de votre fournisseur d’accès.

    Ce mail ne précise pas quelles sont les œuvres concernées. Vous pouvez vous rapprocher de l’Arcom pour demander des précisions.

    Si votre connexion est de nouveau repérée dans les 6 mois suivant l’envoi du 1er mail, vous recevrez un nouveau mail plus une lettre recommandée avec accusé de réception. Vous pourrez encore demander des précisions sur les œuvres concernées.

    Si un 3ème repérage est effectué par l’Arcom dans les 12 mois suivants le 1er mail, vous recevrez une notification par voie postale vous informant que ces faits sont passibles de poursuites devant la justice.

    Vous aurez alors 15 jours pour fournir des observations. Les démarches nécessaires seront précisées dans le courrier.

    Votre cas sera ensuite examiné par la Commission de protection des droits de l’Arcom. Elle peut éventuellement vous convoquer. Vous pouvez aussi être entendu à votre demande. Dans tous les cas, vous pouvez vous faire assister par la personne de votre choix lors de votre audition, notamment un avocat.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La Commission décidera alors d’abandonner les poursuites ou de transmettre votre dossier au procureur.

    Le procureur compétent est celui de votre domicile.

    Si le dossier est transmis au parquet, ce dernier décidera de vous poursuivre ou non devant le tribunal de police.

    Si le tribunal est saisi, vous serez jugé pour négligence caractérisée, c’est-à dire le fait de ne pas avoir veillé au bon usage de votre connexion internet.

    La peine maximale est de 1 500 € d’amende.

    Le procureur peut aussi prononcer une mesure alternative aux poursuites comme un rappel à la loi.

    Il est possible de vérifier la légalité de tel ou tel service grâce à ce site de la Hadopi

  • Rechercher un site d’offre légale (films, musique, livres, jeux vidéo)
  • Certains sites légaux possèdent les labels officiels “PUR” ou “Offre légale Hadopi”. Toutefois, un site peut être légal sans avoir ces labels.

    De même, un site gratuit n’est pas forcément illégal. Il existe de nombreux sites légaux diffusant gratuitement des œuvres protégées. La rémunération des artistes et producteurs y est assurée par d’autres moyens, par la publicité notamment.

    À l’inverse, certains sites de téléchargement proposent de payer un abonnement mais qui n’est pas reversé aux ayants droit. La diffusion d’œuvres protégées y est donc interdite.

Communications électroniques (téléphone, internet, télévision)

Téléchargement illégal (Arcom) : quelles sont les règles ?

Fusion du CSA et de la Hadopi – 20 juin 2023

Le CSA et la Hadopi ont fusionné depuis le 1er janvier 2022 pour devenir l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique).

Vous souhaitez connaître la procédure mise en place par l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  si vous téléchargez, sans autorisation, des œuvres sans payer les droits d’auteurs ? Vous voulez savoir si vous pouvez être sanctionné ?

Nous vous donnons une définition du téléchargement illégal et vous présentons les informations à connaître.

    Il existe plusieurs techniques pour se procurer ou accéder à des œuvres via internet.

    Notamment :

    • Le peer to peer ou partage en pair-à-pair. Grâce à un logiciel spécifique, vous téléchargez l’œuvre recherchée auprès d’autres internautes ayant obtenu la même œuvre par la même technique.

    • Le streaming ou diffusion en flux. Vous écoutez une chanson ou regardez un film directement sur un site internet sans téléchargement préalable.

    • Le téléchargement direct. Un lien vous mène directement vers le fichier désiré. Il est stocké par une seule personne.

    Ces techniques ne sont pas illégales en elles-mêmes. Elles peuvent être utilisées aussi bien pour l’offre légale que pour l’offre illégale. L’internaute doit s’assurer de leur bon usage. Vous serez sanctionné uniquement pour l’utilisation de l’offre illégale.

    À noter

    on peut copier, à des fins privées, des œuvres acquises légalement. Par exemple, on peut copier un DVD acheté pour le lire sur sa tablette. C’est ce qu’on appelle la copie privée .

    Le téléchargement illégal est le fait d’acquérir ou d’accéder via internet à des œuvres (musique, films…) protégées par des droits d’auteurs et sans que soient rémunérés, d’une quelconque façon, les artistes et producteurs.

    On parle aussi parfois de piratage .

    L’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  repère uniquement l’utilisation illégale du peer-to-peer .

    Vous êtes concernés si vous êtes le propriétaire de la connexion internet ayant servi au téléchargement illégal (celui qui a signé le contrat avec le fournisseur d’accès par internet). Même si ce n’est pas vous qui avez effectivement téléchargé.

    Vous devez donc veiller au bon usage de votre connexion par vous-même et par vos proches, en particulier votre connexion WiFi (sans fil). Vous pouvez vous renseigner sur les moyens de sécuriser votre connexion auprès de votre fournisseur d’accès à internet.

    La preuve sera faite non pas par le téléchargement en lui-même, mais par la mise à disposition illégale des œuvres. Une œuvre téléchargée en peer-to-peer devient en effet disponible pour d’autres internautes qui utilisent la même technique.

    Il est interdit de télécharger sans autorisation et sans payer des œuvres artistiques couvertes par le droit d’auteur.

    L’Arcom repère les connexions ayant servi à un téléchargement illégal. Vous serez donc identifié via votre fournisseur d’accès.

    Dans les 2 mois, après le repérage, l’Arcom vous enverra un mail de recommandation rappelant les règles à respecter. L’adresse utilisée est celle qui est enregistrée auprès de votre fournisseur d’accès.

    Ce mail ne précise pas quelles sont les œuvres concernées. Vous pouvez vous rapprocher de l’Arcom pour demander des précisions.

    Si votre connexion est de nouveau repérée dans les 6 mois suivant l’envoi du 1er mail, vous recevrez un nouveau mail plus une lettre recommandée avec accusé de réception. Vous pourrez encore demander des précisions sur les œuvres concernées.

    Si un 3ème repérage est effectué par l’Arcom dans les 12 mois suivants le 1er mail, vous recevrez une notification par voie postale vous informant que ces faits sont passibles de poursuites devant la justice.

    Vous aurez alors 15 jours pour fournir des observations. Les démarches nécessaires seront précisées dans le courrier.

    Votre cas sera ensuite examiné par la Commission de protection des droits de l’Arcom. Elle peut éventuellement vous convoquer. Vous pouvez aussi être entendu à votre demande. Dans tous les cas, vous pouvez vous faire assister par la personne de votre choix lors de votre audition, notamment un avocat.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La Commission décidera alors d’abandonner les poursuites ou de transmettre votre dossier au procureur.

    Le procureur compétent est celui de votre domicile.

    Si le dossier est transmis au parquet, ce dernier décidera de vous poursuivre ou non devant le tribunal de police.

    Si le tribunal est saisi, vous serez jugé pour négligence caractérisée, c’est-à dire le fait de ne pas avoir veillé au bon usage de votre connexion internet.

    La peine maximale est de 1 500 € d’amende.

    Le procureur peut aussi prononcer une mesure alternative aux poursuites comme un rappel à la loi.

    Il est possible de vérifier la légalité de tel ou tel service grâce à ce site de la Hadopi

  • Rechercher un site d’offre légale (films, musique, livres, jeux vidéo)
  • Certains sites légaux possèdent les labels officiels “PUR” ou “Offre légale Hadopi”. Toutefois, un site peut être légal sans avoir ces labels.

    De même, un site gratuit n’est pas forcément illégal. Il existe de nombreux sites légaux diffusant gratuitement des œuvres protégées. La rémunération des artistes et producteurs y est assurée par d’autres moyens, par la publicité notamment.

    À l’inverse, certains sites de téléchargement proposent de payer un abonnement mais qui n’est pas reversé aux ayants droit. La diffusion d’œuvres protégées y est donc interdite.

Communications électroniques (téléphone, internet, télévision)

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

Téléchargement illégal (Arcom) : quelles sont les règles ?

Fusion du CSA et de la Hadopi – 20 juin 2023

Le CSA et la Hadopi ont fusionné depuis le 1er janvier 2022 pour devenir l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique).

Vous souhaitez connaître la procédure mise en place par l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  si vous téléchargez, sans autorisation, des œuvres sans payer les droits d’auteurs ? Vous voulez savoir si vous pouvez être sanctionné ?

Nous vous donnons une définition du téléchargement illégal et vous présentons les informations à connaître.

    Il existe plusieurs techniques pour se procurer ou accéder à des œuvres via internet.

    Notamment :

    • Le peer to peer ou partage en pair-à-pair. Grâce à un logiciel spécifique, vous téléchargez l’œuvre recherchée auprès d’autres internautes ayant obtenu la même œuvre par la même technique.

    • Le streaming ou diffusion en flux. Vous écoutez une chanson ou regardez un film directement sur un site internet sans téléchargement préalable.

    • Le téléchargement direct. Un lien vous mène directement vers le fichier désiré. Il est stocké par une seule personne.

    Ces techniques ne sont pas illégales en elles-mêmes. Elles peuvent être utilisées aussi bien pour l’offre légale que pour l’offre illégale. L’internaute doit s’assurer de leur bon usage. Vous serez sanctionné uniquement pour l’utilisation de l’offre illégale.

    À noter

    on peut copier, à des fins privées, des œuvres acquises légalement. Par exemple, on peut copier un DVD acheté pour le lire sur sa tablette. C’est ce qu’on appelle la copie privée .

    Le téléchargement illégal est le fait d’acquérir ou d’accéder via internet à des œuvres (musique, films…) protégées par des droits d’auteurs et sans que soient rémunérés, d’une quelconque façon, les artistes et producteurs.

    On parle aussi parfois de piratage .

    L’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  repère uniquement l’utilisation illégale du peer-to-peer .

    Vous êtes concernés si vous êtes le propriétaire de la connexion internet ayant servi au téléchargement illégal (celui qui a signé le contrat avec le fournisseur d’accès par internet). Même si ce n’est pas vous qui avez effectivement téléchargé.

    Vous devez donc veiller au bon usage de votre connexion par vous-même et par vos proches, en particulier votre connexion WiFi (sans fil). Vous pouvez vous renseigner sur les moyens de sécuriser votre connexion auprès de votre fournisseur d’accès à internet.

    La preuve sera faite non pas par le téléchargement en lui-même, mais par la mise à disposition illégale des œuvres. Une œuvre téléchargée en peer-to-peer devient en effet disponible pour d’autres internautes qui utilisent la même technique.

    Il est interdit de télécharger sans autorisation et sans payer des œuvres artistiques couvertes par le droit d’auteur.

    L’Arcom repère les connexions ayant servi à un téléchargement illégal. Vous serez donc identifié via votre fournisseur d’accès.

    Dans les 2 mois, après le repérage, l’Arcom vous enverra un mail de recommandation rappelant les règles à respecter. L’adresse utilisée est celle qui est enregistrée auprès de votre fournisseur d’accès.

    Ce mail ne précise pas quelles sont les œuvres concernées. Vous pouvez vous rapprocher de l’Arcom pour demander des précisions.

    Si votre connexion est de nouveau repérée dans les 6 mois suivant l’envoi du 1er mail, vous recevrez un nouveau mail plus une lettre recommandée avec accusé de réception. Vous pourrez encore demander des précisions sur les œuvres concernées.

    Si un 3ème repérage est effectué par l’Arcom dans les 12 mois suivants le 1er mail, vous recevrez une notification par voie postale vous informant que ces faits sont passibles de poursuites devant la justice.

    Vous aurez alors 15 jours pour fournir des observations. Les démarches nécessaires seront précisées dans le courrier.

    Votre cas sera ensuite examiné par la Commission de protection des droits de l’Arcom. Elle peut éventuellement vous convoquer. Vous pouvez aussi être entendu à votre demande. Dans tous les cas, vous pouvez vous faire assister par la personne de votre choix lors de votre audition, notamment un avocat.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La Commission décidera alors d’abandonner les poursuites ou de transmettre votre dossier au procureur.

    Le procureur compétent est celui de votre domicile.

    Si le dossier est transmis au parquet, ce dernier décidera de vous poursuivre ou non devant le tribunal de police.

    Si le tribunal est saisi, vous serez jugé pour négligence caractérisée, c’est-à dire le fait de ne pas avoir veillé au bon usage de votre connexion internet.

    La peine maximale est de 1 500 € d’amende.

    Le procureur peut aussi prononcer une mesure alternative aux poursuites comme un rappel à la loi.

    Il est possible de vérifier la légalité de tel ou tel service grâce à ce site de la Hadopi

  • Rechercher un site d’offre légale (films, musique, livres, jeux vidéo)
  • Certains sites légaux possèdent les labels officiels “PUR” ou “Offre légale Hadopi”. Toutefois, un site peut être légal sans avoir ces labels.

    De même, un site gratuit n’est pas forcément illégal. Il existe de nombreux sites légaux diffusant gratuitement des œuvres protégées. La rémunération des artistes et producteurs y est assurée par d’autres moyens, par la publicité notamment.

    À l’inverse, certains sites de téléchargement proposent de payer un abonnement mais qui n’est pas reversé aux ayants droit. La diffusion d’œuvres protégées y est donc interdite.

Communications électroniques (téléphone, internet, télévision)

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

Téléchargement illégal (Arcom) : quelles sont les règles ?

Fusion du CSA et de la Hadopi – 20 juin 2023

Le CSA et la Hadopi ont fusionné depuis le 1er janvier 2022 pour devenir l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique).

Vous souhaitez connaître la procédure mise en place par l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  si vous téléchargez, sans autorisation, des œuvres sans payer les droits d’auteurs ? Vous voulez savoir si vous pouvez être sanctionné ?

Nous vous donnons une définition du téléchargement illégal et vous présentons les informations à connaître.

    Il existe plusieurs techniques pour se procurer ou accéder à des œuvres via internet.

    Notamment :

    • Le peer to peer ou partage en pair-à-pair. Grâce à un logiciel spécifique, vous téléchargez l’œuvre recherchée auprès d’autres internautes ayant obtenu la même œuvre par la même technique.

    • Le streaming ou diffusion en flux. Vous écoutez une chanson ou regardez un film directement sur un site internet sans téléchargement préalable.

    • Le téléchargement direct. Un lien vous mène directement vers le fichier désiré. Il est stocké par une seule personne.

    Ces techniques ne sont pas illégales en elles-mêmes. Elles peuvent être utilisées aussi bien pour l’offre légale que pour l’offre illégale. L’internaute doit s’assurer de leur bon usage. Vous serez sanctionné uniquement pour l’utilisation de l’offre illégale.

    À noter

    on peut copier, à des fins privées, des œuvres acquises légalement. Par exemple, on peut copier un DVD acheté pour le lire sur sa tablette. C’est ce qu’on appelle la copie privée .

    Le téléchargement illégal est le fait d’acquérir ou d’accéder via internet à des œuvres (musique, films…) protégées par des droits d’auteurs et sans que soient rémunérés, d’une quelconque façon, les artistes et producteurs.

    On parle aussi parfois de piratage .

    L’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  repère uniquement l’utilisation illégale du peer-to-peer .

    Vous êtes concernés si vous êtes le propriétaire de la connexion internet ayant servi au téléchargement illégal (celui qui a signé le contrat avec le fournisseur d’accès par internet). Même si ce n’est pas vous qui avez effectivement téléchargé.

    Vous devez donc veiller au bon usage de votre connexion par vous-même et par vos proches, en particulier votre connexion WiFi (sans fil). Vous pouvez vous renseigner sur les moyens de sécuriser votre connexion auprès de votre fournisseur d’accès à internet.

    La preuve sera faite non pas par le téléchargement en lui-même, mais par la mise à disposition illégale des œuvres. Une œuvre téléchargée en peer-to-peer devient en effet disponible pour d’autres internautes qui utilisent la même technique.

    Il est interdit de télécharger sans autorisation et sans payer des œuvres artistiques couvertes par le droit d’auteur.

    L’Arcom repère les connexions ayant servi à un téléchargement illégal. Vous serez donc identifié via votre fournisseur d’accès.

    Dans les 2 mois, après le repérage, l’Arcom vous enverra un mail de recommandation rappelant les règles à respecter. L’adresse utilisée est celle qui est enregistrée auprès de votre fournisseur d’accès.

    Ce mail ne précise pas quelles sont les œuvres concernées. Vous pouvez vous rapprocher de l’Arcom pour demander des précisions.

    Si votre connexion est de nouveau repérée dans les 6 mois suivant l’envoi du 1er mail, vous recevrez un nouveau mail plus une lettre recommandée avec accusé de réception. Vous pourrez encore demander des précisions sur les œuvres concernées.

    Si un 3ème repérage est effectué par l’Arcom dans les 12 mois suivants le 1er mail, vous recevrez une notification par voie postale vous informant que ces faits sont passibles de poursuites devant la justice.

    Vous aurez alors 15 jours pour fournir des observations. Les démarches nécessaires seront précisées dans le courrier.

    Votre cas sera ensuite examiné par la Commission de protection des droits de l’Arcom. Elle peut éventuellement vous convoquer. Vous pouvez aussi être entendu à votre demande. Dans tous les cas, vous pouvez vous faire assister par la personne de votre choix lors de votre audition, notamment un avocat.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La Commission décidera alors d’abandonner les poursuites ou de transmettre votre dossier au procureur.

    Le procureur compétent est celui de votre domicile.

    Si le dossier est transmis au parquet, ce dernier décidera de vous poursuivre ou non devant le tribunal de police.

    Si le tribunal est saisi, vous serez jugé pour négligence caractérisée, c’est-à dire le fait de ne pas avoir veillé au bon usage de votre connexion internet.

    La peine maximale est de 1 500 € d’amende.

    Le procureur peut aussi prononcer une mesure alternative aux poursuites comme un rappel à la loi.

    Il est possible de vérifier la légalité de tel ou tel service grâce à ce site de la Hadopi

  • Rechercher un site d’offre légale (films, musique, livres, jeux vidéo)
  • Certains sites légaux possèdent les labels officiels “PUR” ou “Offre légale Hadopi”. Toutefois, un site peut être légal sans avoir ces labels.

    De même, un site gratuit n’est pas forcément illégal. Il existe de nombreux sites légaux diffusant gratuitement des œuvres protégées. La rémunération des artistes et producteurs y est assurée par d’autres moyens, par la publicité notamment.

    À l’inverse, certains sites de téléchargement proposent de payer un abonnement mais qui n’est pas reversé aux ayants droit. La diffusion d’œuvres protégées y est donc interdite.

Communications électroniques (téléphone, internet, télévision)

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

Téléchargement illégal (Arcom) : quelles sont les règles ?

Fusion du CSA et de la Hadopi – 20 juin 2023

Le CSA et la Hadopi ont fusionné depuis le 1er janvier 2022 pour devenir l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique).

Vous souhaitez connaître la procédure mise en place par l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  si vous téléchargez, sans autorisation, des œuvres sans payer les droits d’auteurs ? Vous voulez savoir si vous pouvez être sanctionné ?

Nous vous donnons une définition du téléchargement illégal et vous présentons les informations à connaître.

    Il existe plusieurs techniques pour se procurer ou accéder à des œuvres via internet.

    Notamment :

    • Le peer to peer ou partage en pair-à-pair. Grâce à un logiciel spécifique, vous téléchargez l’œuvre recherchée auprès d’autres internautes ayant obtenu la même œuvre par la même technique.

    • Le streaming ou diffusion en flux. Vous écoutez une chanson ou regardez un film directement sur un site internet sans téléchargement préalable.

    • Le téléchargement direct. Un lien vous mène directement vers le fichier désiré. Il est stocké par une seule personne.

    Ces techniques ne sont pas illégales en elles-mêmes. Elles peuvent être utilisées aussi bien pour l’offre légale que pour l’offre illégale. L’internaute doit s’assurer de leur bon usage. Vous serez sanctionné uniquement pour l’utilisation de l’offre illégale.

    À noter

    on peut copier, à des fins privées, des œuvres acquises légalement. Par exemple, on peut copier un DVD acheté pour le lire sur sa tablette. C’est ce qu’on appelle la copie privée .

    Le téléchargement illégal est le fait d’acquérir ou d’accéder via internet à des œuvres (musique, films…) protégées par des droits d’auteurs et sans que soient rémunérés, d’une quelconque façon, les artistes et producteurs.

    On parle aussi parfois de piratage .

    L’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  repère uniquement l’utilisation illégale du peer-to-peer .

    Vous êtes concernés si vous êtes le propriétaire de la connexion internet ayant servi au téléchargement illégal (celui qui a signé le contrat avec le fournisseur d’accès par internet). Même si ce n’est pas vous qui avez effectivement téléchargé.

    Vous devez donc veiller au bon usage de votre connexion par vous-même et par vos proches, en particulier votre connexion WiFi (sans fil). Vous pouvez vous renseigner sur les moyens de sécuriser votre connexion auprès de votre fournisseur d’accès à internet.

    La preuve sera faite non pas par le téléchargement en lui-même, mais par la mise à disposition illégale des œuvres. Une œuvre téléchargée en peer-to-peer devient en effet disponible pour d’autres internautes qui utilisent la même technique.

    Il est interdit de télécharger sans autorisation et sans payer des œuvres artistiques couvertes par le droit d’auteur.

    L’Arcom repère les connexions ayant servi à un téléchargement illégal. Vous serez donc identifié via votre fournisseur d’accès.

    Dans les 2 mois, après le repérage, l’Arcom vous enverra un mail de recommandation rappelant les règles à respecter. L’adresse utilisée est celle qui est enregistrée auprès de votre fournisseur d’accès.

    Ce mail ne précise pas quelles sont les œuvres concernées. Vous pouvez vous rapprocher de l’Arcom pour demander des précisions.

    Si votre connexion est de nouveau repérée dans les 6 mois suivant l’envoi du 1er mail, vous recevrez un nouveau mail plus une lettre recommandée avec accusé de réception. Vous pourrez encore demander des précisions sur les œuvres concernées.

    Si un 3ème repérage est effectué par l’Arcom dans les 12 mois suivants le 1er mail, vous recevrez une notification par voie postale vous informant que ces faits sont passibles de poursuites devant la justice.

    Vous aurez alors 15 jours pour fournir des observations. Les démarches nécessaires seront précisées dans le courrier.

    Votre cas sera ensuite examiné par la Commission de protection des droits de l’Arcom. Elle peut éventuellement vous convoquer. Vous pouvez aussi être entendu à votre demande. Dans tous les cas, vous pouvez vous faire assister par la personne de votre choix lors de votre audition, notamment un avocat.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La Commission décidera alors d’abandonner les poursuites ou de transmettre votre dossier au procureur.

    Le procureur compétent est celui de votre domicile.

    Si le dossier est transmis au parquet, ce dernier décidera de vous poursuivre ou non devant le tribunal de police.

    Si le tribunal est saisi, vous serez jugé pour négligence caractérisée, c’est-à dire le fait de ne pas avoir veillé au bon usage de votre connexion internet.

    La peine maximale est de 1 500 € d’amende.

    Le procureur peut aussi prononcer une mesure alternative aux poursuites comme un rappel à la loi.

    Il est possible de vérifier la légalité de tel ou tel service grâce à ce site de la Hadopi

  • Rechercher un site d’offre légale (films, musique, livres, jeux vidéo)
  • Certains sites légaux possèdent les labels officiels “PUR” ou “Offre légale Hadopi”. Toutefois, un site peut être légal sans avoir ces labels.

    De même, un site gratuit n’est pas forcément illégal. Il existe de nombreux sites légaux diffusant gratuitement des œuvres protégées. La rémunération des artistes et producteurs y est assurée par d’autres moyens, par la publicité notamment.

    À l’inverse, certains sites de téléchargement proposent de payer un abonnement mais qui n’est pas reversé aux ayants droit. La diffusion d’œuvres protégées y est donc interdite.

Communications électroniques (téléphone, internet, télévision)

Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

Faire sa demande en ligne

Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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