Les mardis 24 et 31 décembre, les différents sites de la mairie fermeront 1h plus tôt. 15h : Fermeture du Centre Aquarécréatif | 16h : Fermeture des services de l'hôtel de ville, des services techniques, service culturel et musée | 16h30 : Fermeture des accueils de loisirs Genêts et P'tits Pelauds | 17h : Fermeture des services de la maison de l'enfance.
Urbanisme
Démarches d’urbanisme
Quand faire votre demande ?
Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.
Ai-je le droit ?
Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.
- PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
- 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire
Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.
Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.
- 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire
Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).
Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :
- 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
- Bassin > 100 m² = Permis de construire
Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut
- Permis de construire peu importe la superficie du bassin
Emprise au sol
= Projection verticale au sol de la construction
Surface de plancher
= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur
Quand recourir à un architecte ?
- Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
- Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
- Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
- Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
- Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher
Quelles formalités à accomplir ?
Enlèvement parental – Non-représentation d’enfant
L’enlèvement parental ou la non-représentation d’enfant sont des atteintes aux droits des parents (droit de visite, autorité parentale). Il peut s’agir du déménagement non signalé à l’autre parent ou du refus de ramener l’enfant à son domicile habituel. Vous voulez savoir comment agir dans l’une de ces situations et à quelle sanction s’expose l’autre parent ? Nous vous donnons les informations utiles.
Refus de ramener l’enfant à son domicile habituel après un droit de visite
Refus, pour le parent ayant la garde habituelle, de laisser l’enfant au parent possédant un droit de visite
Refus de laisser l’enfant au parent devant héberger l’enfant dans le cadre d’une résidence alternée
Déménagement avec l’enfant sans l’accord de l’autre parent (s’il possède un droit de visite) et sans fournir de nouvelles coordonnées
Enlèvement au sens strict, lorsqu’un parent emmène avec lui son enfant sans en avoir le droit, alors que ce dernier est à l’école, sous la garde de l’autre parent ou d’autres adultes (par exemple, grands-parents)
On parle d’ enlèvement parental lorsqu’un parent garde auprès de lui son ou ses enfants mineurs alors qu’ils devaient être sous la garde de l’autre parent.
L’enlèvement parental regroupe les cas suivants :
Pour ces 3 cas, on parle aussi de délit de non-représentation d’enfant .
L’enlèvement parental comprend aussi les cas suivants :
L’enfant concerné doit être légalement celui du couple : il doit avoir été reconnu ou adopté par les 2 parents. Par exemple, un père biologique mais qui n’a pas reconnu l’enfant ne peut pas invoquer un enlèvement familial.
Les faits sont punis même si aucune décision judiciaire sur la garde des enfants n’a été prise.
Les faits sont également punis même si l’enfant mineur, quel que soit son âge, est d’accord pour partir avec l’auteur des faits.
Saisir le juge aux affaires familiales (Jaf), qui pourra modifier les droits de l’autre parent dans l’intérêt de l’enfant si une décision judiciaire sur la garde des enfants a déjà été rendue
Demander à la préfecture une opposition à la sortie du territoire (OST). Cette procédure interdit la sortie en dehors de la France d’un enfant sans l’accord de ses 2 parents. C’est une procédure d’urgence en cas de crainte d’enlèvement imminent. Elle est valable 15 jours et n’est pas renouvelable.
Demander au Jaf une interdiction de sortie du territoire (IST). Elle interdit également la sortie en dehors de la France de l’enfant sans l’accord des 2 parents. Cette interdiction sera alors valable jusqu’à la majorité de l’enfant. Ce n’est pas une procédure d’urgence.
Si vous craignez un enlèvement parental ou une non-représentation d’enfant, vous pouvez faire l’une des démarches suivantes :
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez demander une médiation familiale. Cette médiation permet de trouver un accord entre les parents sur la garde des enfants sans passer par un procès. Vous devez chercher vous-même un médiateur.
Vous pouvez aussi saisir le juge aux affaires familiales (Jaf). Il peut vous proposer une médiation familiale. Il peut aussi prendre une décision sur la garde des enfants ou la modifier si une décision a déjà été prise.
Si une décision sur la garde des enfants a déjà été prise, le juge peut prononcer une astreinte financière contre le parent qui ne respecte pas cette décision. Il devra payer une certaine somme par jour jusqu’à ce qu’il rende l’enfant à l’autre parent.
Le Jaf compétent est celui de votre domicile.
Vous pouvez faire votre demande à l’aide d’un formulaire :
Si le conflit dure et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte.
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez contacter le département de l’entraide, du droit international privé et européen, qui dépend du ministère français de la justice.
Ce département est chargé de la mise en œuvre des traités en matière de déplacements internationaux d’enfants. Il peut vous proposer une médiation familiale internationale et ainsi éviter un procès. En fonction des accords signés avec le pays concerné, le département peut également permettre la saisie d’un tribunal étranger pour aider au retour de l’enfant ou à la reconnaissance d’un droit de visite international.
Si le conflit persiste et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte, en France, contre l’autre parent. La collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
Dès que vous vous apercevez de la disparition de l’enfant, tentez de contacter des proches. Si l’enfant a disparu après l’école, demandez au personnel si ce n’est pas l’autre parent qui est venu le chercher. Si c’est le cas, le personnel éducatif doit signaler immédiatement les faits au procureur.
Dès que vous savez qu’il s’agit d’un enlèvement parental, contactez la police ou la gendarmerie de votre domicile.
Vous devez également porter plainte pour être tenu au courant de l’avancée de l’enquête. Vous devez prouver vos droits sur l’enfant. Vous devez donc signaler que l’autre parent ne respecte pas votre droit de visite ou ne l’a pas ramené à la date prévue.
Fournissez aux forces de l’ordre des photos récentes de l’enfant impliqué et du parent auteur des faits. Signalez également si l’enfant est déjà concerné par une opposition ou une interdiction de sortie du territoire.
Le parent auteur des faits et l’enfant concerné peuvent être inscrits sur le fichier des personnes recherchées. En cas de contrôle, les forces de l’ordre en France et de tout l’espace Schengen seront prévenues de la situation.
Une alerte enlèvement pourra également être déclenchée par la justice. Le dispositif Alerte enlèvement est un système d’alerte de la population en cas d’enlèvement d’un enfant mineur. Le signalement de l’enfant sera diffusé dans tous les médias en France. Le déclenchement de l’alerte n’est pas automatique.
Si l’enfant est signalé à l’étranger, la collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
L’autre parent via une requête adressée au procureur qui transmettra ensuite au tribunal (le procureur compétent est celui du domicile français du parent auteur des faits)
Le procureur lui-même, suite à un signalement par des enseignants par exemple
Retrait de l’autorité parentale
Le parent, auteur des faits, peut se voir retirer l’autorité parentale.
Pour cela, son comportement doit avoir mis manifestement en danger la sécurité, la santé ou la moralité de l’enfant.
Le retrait de l’autorité parentale est prononcé par le tribunal. Le tribunal peut être saisi par les personnes suivantes :
Sanctions pénales
Amende : 15 000 €
Peine de prison : 1 an
Situation |
Amende |
Peine de prison |
---|---|---|
Enfant enlevé jusqu’à 5 jours |
15 000 € |
1 an |
Enfant enlevé plus de 5 jours |
45 000 € |
3 ans |
Enfant retenu à l’étranger |
45 000 € |
3 ans |
Amende : 7 500 €
Peine de prison : 6 mois
Disparition et enlèvement de personnes
- Médiation familiale : mode de règlement des conflits
Source : Ministère chargé de la justice - Médiation familiale internationale
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvements internationaux d’enfants et droits de visite transfrontières
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvement d’un enfant par un parent dans un autre pays européen
Source : Commission européenne
-
Enfants Disparus – 116 000
Service téléphonique d’accueil et d’information à destination des familles d’enfants disparus ou enlevés
Par téléphone
116 000 (gratuit)
Accessible 7j/7 et 24h/24.
Ce numéro est géolocalisé, identifié, priorisé et non inscrit sur les factures.
Numéro européen opérationnel depuis 28 pays : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.
Par messagerie
Accès au formulaire de contact
- Si l’autre parent se trouve à l’étranger :
Département de l’entraide, du droit international privé et européen
- Code pénal : articles 227-5 à 227-11
Sanctions pénales en cas d’enlèvement parental - Code de procédure civile : articles 1210-4 à 1210-12
Déplacement illicite international d’enfants - Code civil : articles 378 à 381
Délégation, retrait total ou partiel de l’autorité parentale - Code de procédure civile : articles 1202 à 1210
Procédure de retrait de l’autorité parentale - Code des procédures civiles d’exécution : articles L131-1 à L131-4
Fixation d’une astreinte
Enlèvement parental – Non-représentation d’enfant
L’enlèvement parental ou la non-représentation d’enfant sont des atteintes aux droits des parents (droit de visite, autorité parentale). Il peut s’agir du déménagement non signalé à l’autre parent ou du refus de ramener l’enfant à son domicile habituel. Vous voulez savoir comment agir dans l’une de ces situations et à quelle sanction s’expose l’autre parent ? Nous vous donnons les informations utiles.
Refus de ramener l’enfant à son domicile habituel après un droit de visite
Refus, pour le parent ayant la garde habituelle, de laisser l’enfant au parent possédant un droit de visite
Refus de laisser l’enfant au parent devant héberger l’enfant dans le cadre d’une résidence alternée
Déménagement avec l’enfant sans l’accord de l’autre parent (s’il possède un droit de visite) et sans fournir de nouvelles coordonnées
Enlèvement au sens strict, lorsqu’un parent emmène avec lui son enfant sans en avoir le droit, alors que ce dernier est à l’école, sous la garde de l’autre parent ou d’autres adultes (par exemple, grands-parents)
On parle d’ enlèvement parental lorsqu’un parent garde auprès de lui son ou ses enfants mineurs alors qu’ils devaient être sous la garde de l’autre parent.
L’enlèvement parental regroupe les cas suivants :
Pour ces 3 cas, on parle aussi de délit de non-représentation d’enfant .
L’enlèvement parental comprend aussi les cas suivants :
L’enfant concerné doit être légalement celui du couple : il doit avoir été reconnu ou adopté par les 2 parents. Par exemple, un père biologique mais qui n’a pas reconnu l’enfant ne peut pas invoquer un enlèvement familial.
Les faits sont punis même si aucune décision judiciaire sur la garde des enfants n’a été prise.
Les faits sont également punis même si l’enfant mineur, quel que soit son âge, est d’accord pour partir avec l’auteur des faits.
Saisir le juge aux affaires familiales (Jaf), qui pourra modifier les droits de l’autre parent dans l’intérêt de l’enfant si une décision judiciaire sur la garde des enfants a déjà été rendue
Demander à la préfecture une opposition à la sortie du territoire (OST). Cette procédure interdit la sortie en dehors de la France d’un enfant sans l’accord de ses 2 parents. C’est une procédure d’urgence en cas de crainte d’enlèvement imminent. Elle est valable 15 jours et n’est pas renouvelable.
Demander au Jaf une interdiction de sortie du territoire (IST). Elle interdit également la sortie en dehors de la France de l’enfant sans l’accord des 2 parents. Cette interdiction sera alors valable jusqu’à la majorité de l’enfant. Ce n’est pas une procédure d’urgence.
Si vous craignez un enlèvement parental ou une non-représentation d’enfant, vous pouvez faire l’une des démarches suivantes :
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez demander une médiation familiale. Cette médiation permet de trouver un accord entre les parents sur la garde des enfants sans passer par un procès. Vous devez chercher vous-même un médiateur.
Vous pouvez aussi saisir le juge aux affaires familiales (Jaf). Il peut vous proposer une médiation familiale. Il peut aussi prendre une décision sur la garde des enfants ou la modifier si une décision a déjà été prise.
Si une décision sur la garde des enfants a déjà été prise, le juge peut prononcer une astreinte financière contre le parent qui ne respecte pas cette décision. Il devra payer une certaine somme par jour jusqu’à ce qu’il rende l’enfant à l’autre parent.
Le Jaf compétent est celui de votre domicile.
Vous pouvez faire votre demande à l’aide d’un formulaire :
Si le conflit dure et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte.
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez contacter le département de l’entraide, du droit international privé et européen, qui dépend du ministère français de la justice.
Ce département est chargé de la mise en œuvre des traités en matière de déplacements internationaux d’enfants. Il peut vous proposer une médiation familiale internationale et ainsi éviter un procès. En fonction des accords signés avec le pays concerné, le département peut également permettre la saisie d’un tribunal étranger pour aider au retour de l’enfant ou à la reconnaissance d’un droit de visite international.
Si le conflit persiste et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte, en France, contre l’autre parent. La collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
Dès que vous vous apercevez de la disparition de l’enfant, tentez de contacter des proches. Si l’enfant a disparu après l’école, demandez au personnel si ce n’est pas l’autre parent qui est venu le chercher. Si c’est le cas, le personnel éducatif doit signaler immédiatement les faits au procureur.
Dès que vous savez qu’il s’agit d’un enlèvement parental, contactez la police ou la gendarmerie de votre domicile.
Vous devez également porter plainte pour être tenu au courant de l’avancée de l’enquête. Vous devez prouver vos droits sur l’enfant. Vous devez donc signaler que l’autre parent ne respecte pas votre droit de visite ou ne l’a pas ramené à la date prévue.
Fournissez aux forces de l’ordre des photos récentes de l’enfant impliqué et du parent auteur des faits. Signalez également si l’enfant est déjà concerné par une opposition ou une interdiction de sortie du territoire.
Le parent auteur des faits et l’enfant concerné peuvent être inscrits sur le fichier des personnes recherchées. En cas de contrôle, les forces de l’ordre en France et de tout l’espace Schengen seront prévenues de la situation.
Une alerte enlèvement pourra également être déclenchée par la justice. Le dispositif Alerte enlèvement est un système d’alerte de la population en cas d’enlèvement d’un enfant mineur. Le signalement de l’enfant sera diffusé dans tous les médias en France. Le déclenchement de l’alerte n’est pas automatique.
Si l’enfant est signalé à l’étranger, la collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
L’autre parent via une requête adressée au procureur qui transmettra ensuite au tribunal (le procureur compétent est celui du domicile français du parent auteur des faits)
Le procureur lui-même, suite à un signalement par des enseignants par exemple
Retrait de l’autorité parentale
Le parent, auteur des faits, peut se voir retirer l’autorité parentale.
Pour cela, son comportement doit avoir mis manifestement en danger la sécurité, la santé ou la moralité de l’enfant.
Le retrait de l’autorité parentale est prononcé par le tribunal. Le tribunal peut être saisi par les personnes suivantes :
Sanctions pénales
Amende : 15 000 €
Peine de prison : 1 an
Situation |
Amende |
Peine de prison |
---|---|---|
Enfant enlevé jusqu’à 5 jours |
15 000 € |
1 an |
Enfant enlevé plus de 5 jours |
45 000 € |
3 ans |
Enfant retenu à l’étranger |
45 000 € |
3 ans |
Amende : 7 500 €
Peine de prison : 6 mois
Disparition et enlèvement de personnes
- Médiation familiale : mode de règlement des conflits
Source : Ministère chargé de la justice - Médiation familiale internationale
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvements internationaux d’enfants et droits de visite transfrontières
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvement d’un enfant par un parent dans un autre pays européen
Source : Commission européenne
-
Enfants Disparus – 116 000
Service téléphonique d’accueil et d’information à destination des familles d’enfants disparus ou enlevés
Par téléphone
116 000 (gratuit)
Accessible 7j/7 et 24h/24.
Ce numéro est géolocalisé, identifié, priorisé et non inscrit sur les factures.
Numéro européen opérationnel depuis 28 pays : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.
Par messagerie
Accès au formulaire de contact
- Si l’autre parent se trouve à l’étranger :
Département de l’entraide, du droit international privé et européen
- Code pénal : articles 227-5 à 227-11
Sanctions pénales en cas d’enlèvement parental - Code de procédure civile : articles 1210-4 à 1210-12
Déplacement illicite international d’enfants - Code civil : articles 378 à 381
Délégation, retrait total ou partiel de l’autorité parentale - Code de procédure civile : articles 1202 à 1210
Procédure de retrait de l’autorité parentale - Code des procédures civiles d’exécution : articles L131-1 à L131-4
Fixation d’une astreinte
Enlèvement parental – Non-représentation d’enfant
L’enlèvement parental ou la non-représentation d’enfant sont des atteintes aux droits des parents (droit de visite, autorité parentale). Il peut s’agir du déménagement non signalé à l’autre parent ou du refus de ramener l’enfant à son domicile habituel. Vous voulez savoir comment agir dans l’une de ces situations et à quelle sanction s’expose l’autre parent ? Nous vous donnons les informations utiles.
Refus de ramener l’enfant à son domicile habituel après un droit de visite
Refus, pour le parent ayant la garde habituelle, de laisser l’enfant au parent possédant un droit de visite
Refus de laisser l’enfant au parent devant héberger l’enfant dans le cadre d’une résidence alternée
Déménagement avec l’enfant sans l’accord de l’autre parent (s’il possède un droit de visite) et sans fournir de nouvelles coordonnées
Enlèvement au sens strict, lorsqu’un parent emmène avec lui son enfant sans en avoir le droit, alors que ce dernier est à l’école, sous la garde de l’autre parent ou d’autres adultes (par exemple, grands-parents)
On parle d’ enlèvement parental lorsqu’un parent garde auprès de lui son ou ses enfants mineurs alors qu’ils devaient être sous la garde de l’autre parent.
L’enlèvement parental regroupe les cas suivants :
Pour ces 3 cas, on parle aussi de délit de non-représentation d’enfant .
L’enlèvement parental comprend aussi les cas suivants :
L’enfant concerné doit être légalement celui du couple : il doit avoir été reconnu ou adopté par les 2 parents. Par exemple, un père biologique mais qui n’a pas reconnu l’enfant ne peut pas invoquer un enlèvement familial.
Les faits sont punis même si aucune décision judiciaire sur la garde des enfants n’a été prise.
Les faits sont également punis même si l’enfant mineur, quel que soit son âge, est d’accord pour partir avec l’auteur des faits.
Saisir le juge aux affaires familiales (Jaf), qui pourra modifier les droits de l’autre parent dans l’intérêt de l’enfant si une décision judiciaire sur la garde des enfants a déjà été rendue
Demander à la préfecture une opposition à la sortie du territoire (OST). Cette procédure interdit la sortie en dehors de la France d’un enfant sans l’accord de ses 2 parents. C’est une procédure d’urgence en cas de crainte d’enlèvement imminent. Elle est valable 15 jours et n’est pas renouvelable.
Demander au Jaf une interdiction de sortie du territoire (IST). Elle interdit également la sortie en dehors de la France de l’enfant sans l’accord des 2 parents. Cette interdiction sera alors valable jusqu’à la majorité de l’enfant. Ce n’est pas une procédure d’urgence.
Si vous craignez un enlèvement parental ou une non-représentation d’enfant, vous pouvez faire l’une des démarches suivantes :
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez demander une médiation familiale. Cette médiation permet de trouver un accord entre les parents sur la garde des enfants sans passer par un procès. Vous devez chercher vous-même un médiateur.
Vous pouvez aussi saisir le juge aux affaires familiales (Jaf). Il peut vous proposer une médiation familiale. Il peut aussi prendre une décision sur la garde des enfants ou la modifier si une décision a déjà été prise.
Si une décision sur la garde des enfants a déjà été prise, le juge peut prononcer une astreinte financière contre le parent qui ne respecte pas cette décision. Il devra payer une certaine somme par jour jusqu’à ce qu’il rende l’enfant à l’autre parent.
Le Jaf compétent est celui de votre domicile.
Vous pouvez faire votre demande à l’aide d’un formulaire :
Si le conflit dure et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte.
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez contacter le département de l’entraide, du droit international privé et européen, qui dépend du ministère français de la justice.
Ce département est chargé de la mise en œuvre des traités en matière de déplacements internationaux d’enfants. Il peut vous proposer une médiation familiale internationale et ainsi éviter un procès. En fonction des accords signés avec le pays concerné, le département peut également permettre la saisie d’un tribunal étranger pour aider au retour de l’enfant ou à la reconnaissance d’un droit de visite international.
Si le conflit persiste et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte, en France, contre l’autre parent. La collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
Dès que vous vous apercevez de la disparition de l’enfant, tentez de contacter des proches. Si l’enfant a disparu après l’école, demandez au personnel si ce n’est pas l’autre parent qui est venu le chercher. Si c’est le cas, le personnel éducatif doit signaler immédiatement les faits au procureur.
Dès que vous savez qu’il s’agit d’un enlèvement parental, contactez la police ou la gendarmerie de votre domicile.
Vous devez également porter plainte pour être tenu au courant de l’avancée de l’enquête. Vous devez prouver vos droits sur l’enfant. Vous devez donc signaler que l’autre parent ne respecte pas votre droit de visite ou ne l’a pas ramené à la date prévue.
Fournissez aux forces de l’ordre des photos récentes de l’enfant impliqué et du parent auteur des faits. Signalez également si l’enfant est déjà concerné par une opposition ou une interdiction de sortie du territoire.
Le parent auteur des faits et l’enfant concerné peuvent être inscrits sur le fichier des personnes recherchées. En cas de contrôle, les forces de l’ordre en France et de tout l’espace Schengen seront prévenues de la situation.
Une alerte enlèvement pourra également être déclenchée par la justice. Le dispositif Alerte enlèvement est un système d’alerte de la population en cas d’enlèvement d’un enfant mineur. Le signalement de l’enfant sera diffusé dans tous les médias en France. Le déclenchement de l’alerte n’est pas automatique.
Si l’enfant est signalé à l’étranger, la collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
L’autre parent via une requête adressée au procureur qui transmettra ensuite au tribunal (le procureur compétent est celui du domicile français du parent auteur des faits)
Le procureur lui-même, suite à un signalement par des enseignants par exemple
Retrait de l’autorité parentale
Le parent, auteur des faits, peut se voir retirer l’autorité parentale.
Pour cela, son comportement doit avoir mis manifestement en danger la sécurité, la santé ou la moralité de l’enfant.
Le retrait de l’autorité parentale est prononcé par le tribunal. Le tribunal peut être saisi par les personnes suivantes :
Sanctions pénales
Amende : 15 000 €
Peine de prison : 1 an
Situation |
Amende |
Peine de prison |
---|---|---|
Enfant enlevé jusqu’à 5 jours |
15 000 € |
1 an |
Enfant enlevé plus de 5 jours |
45 000 € |
3 ans |
Enfant retenu à l’étranger |
45 000 € |
3 ans |
Amende : 7 500 €
Peine de prison : 6 mois
Disparition et enlèvement de personnes
- Médiation familiale : mode de règlement des conflits
Source : Ministère chargé de la justice - Médiation familiale internationale
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvements internationaux d’enfants et droits de visite transfrontières
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvement d’un enfant par un parent dans un autre pays européen
Source : Commission européenne
-
Enfants Disparus – 116 000
Service téléphonique d’accueil et d’information à destination des familles d’enfants disparus ou enlevés
Par téléphone
116 000 (gratuit)
Accessible 7j/7 et 24h/24.
Ce numéro est géolocalisé, identifié, priorisé et non inscrit sur les factures.
Numéro européen opérationnel depuis 28 pays : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.
Par messagerie
Accès au formulaire de contact
- Si l’autre parent se trouve à l’étranger :
Département de l’entraide, du droit international privé et européen
- Code pénal : articles 227-5 à 227-11
Sanctions pénales en cas d’enlèvement parental - Code de procédure civile : articles 1210-4 à 1210-12
Déplacement illicite international d’enfants - Code civil : articles 378 à 381
Délégation, retrait total ou partiel de l’autorité parentale - Code de procédure civile : articles 1202 à 1210
Procédure de retrait de l’autorité parentale - Code des procédures civiles d’exécution : articles L131-1 à L131-4
Fixation d’une astreinte
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Enlèvement parental – Non-représentation d’enfant
L’enlèvement parental ou la non-représentation d’enfant sont des atteintes aux droits des parents (droit de visite, autorité parentale). Il peut s’agir du déménagement non signalé à l’autre parent ou du refus de ramener l’enfant à son domicile habituel. Vous voulez savoir comment agir dans l’une de ces situations et à quelle sanction s’expose l’autre parent ? Nous vous donnons les informations utiles.
Refus de ramener l’enfant à son domicile habituel après un droit de visite
Refus, pour le parent ayant la garde habituelle, de laisser l’enfant au parent possédant un droit de visite
Refus de laisser l’enfant au parent devant héberger l’enfant dans le cadre d’une résidence alternée
Déménagement avec l’enfant sans l’accord de l’autre parent (s’il possède un droit de visite) et sans fournir de nouvelles coordonnées
Enlèvement au sens strict, lorsqu’un parent emmène avec lui son enfant sans en avoir le droit, alors que ce dernier est à l’école, sous la garde de l’autre parent ou d’autres adultes (par exemple, grands-parents)
On parle d’ enlèvement parental lorsqu’un parent garde auprès de lui son ou ses enfants mineurs alors qu’ils devaient être sous la garde de l’autre parent.
L’enlèvement parental regroupe les cas suivants :
Pour ces 3 cas, on parle aussi de délit de non-représentation d’enfant .
L’enlèvement parental comprend aussi les cas suivants :
L’enfant concerné doit être légalement celui du couple : il doit avoir été reconnu ou adopté par les 2 parents. Par exemple, un père biologique mais qui n’a pas reconnu l’enfant ne peut pas invoquer un enlèvement familial.
Les faits sont punis même si aucune décision judiciaire sur la garde des enfants n’a été prise.
Les faits sont également punis même si l’enfant mineur, quel que soit son âge, est d’accord pour partir avec l’auteur des faits.
Saisir le juge aux affaires familiales (Jaf), qui pourra modifier les droits de l’autre parent dans l’intérêt de l’enfant si une décision judiciaire sur la garde des enfants a déjà été rendue
Demander à la préfecture une opposition à la sortie du territoire (OST). Cette procédure interdit la sortie en dehors de la France d’un enfant sans l’accord de ses 2 parents. C’est une procédure d’urgence en cas de crainte d’enlèvement imminent. Elle est valable 15 jours et n’est pas renouvelable.
Demander au Jaf une interdiction de sortie du territoire (IST). Elle interdit également la sortie en dehors de la France de l’enfant sans l’accord des 2 parents. Cette interdiction sera alors valable jusqu’à la majorité de l’enfant. Ce n’est pas une procédure d’urgence.
Si vous craignez un enlèvement parental ou une non-représentation d’enfant, vous pouvez faire l’une des démarches suivantes :
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez demander une médiation familiale. Cette médiation permet de trouver un accord entre les parents sur la garde des enfants sans passer par un procès. Vous devez chercher vous-même un médiateur.
Vous pouvez aussi saisir le juge aux affaires familiales (Jaf). Il peut vous proposer une médiation familiale. Il peut aussi prendre une décision sur la garde des enfants ou la modifier si une décision a déjà été prise.
Si une décision sur la garde des enfants a déjà été prise, le juge peut prononcer une astreinte financière contre le parent qui ne respecte pas cette décision. Il devra payer une certaine somme par jour jusqu’à ce qu’il rende l’enfant à l’autre parent.
Le Jaf compétent est celui de votre domicile.
Vous pouvez faire votre demande à l’aide d’un formulaire :
Si le conflit dure et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte.
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez contacter le département de l’entraide, du droit international privé et européen, qui dépend du ministère français de la justice.
Ce département est chargé de la mise en œuvre des traités en matière de déplacements internationaux d’enfants. Il peut vous proposer une médiation familiale internationale et ainsi éviter un procès. En fonction des accords signés avec le pays concerné, le département peut également permettre la saisie d’un tribunal étranger pour aider au retour de l’enfant ou à la reconnaissance d’un droit de visite international.
Si le conflit persiste et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte, en France, contre l’autre parent. La collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
Dès que vous vous apercevez de la disparition de l’enfant, tentez de contacter des proches. Si l’enfant a disparu après l’école, demandez au personnel si ce n’est pas l’autre parent qui est venu le chercher. Si c’est le cas, le personnel éducatif doit signaler immédiatement les faits au procureur.
Dès que vous savez qu’il s’agit d’un enlèvement parental, contactez la police ou la gendarmerie de votre domicile.
Vous devez également porter plainte pour être tenu au courant de l’avancée de l’enquête. Vous devez prouver vos droits sur l’enfant. Vous devez donc signaler que l’autre parent ne respecte pas votre droit de visite ou ne l’a pas ramené à la date prévue.
Fournissez aux forces de l’ordre des photos récentes de l’enfant impliqué et du parent auteur des faits. Signalez également si l’enfant est déjà concerné par une opposition ou une interdiction de sortie du territoire.
Le parent auteur des faits et l’enfant concerné peuvent être inscrits sur le fichier des personnes recherchées. En cas de contrôle, les forces de l’ordre en France et de tout l’espace Schengen seront prévenues de la situation.
Une alerte enlèvement pourra également être déclenchée par la justice. Le dispositif Alerte enlèvement est un système d’alerte de la population en cas d’enlèvement d’un enfant mineur. Le signalement de l’enfant sera diffusé dans tous les médias en France. Le déclenchement de l’alerte n’est pas automatique.
Si l’enfant est signalé à l’étranger, la collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
L’autre parent via une requête adressée au procureur qui transmettra ensuite au tribunal (le procureur compétent est celui du domicile français du parent auteur des faits)
Le procureur lui-même, suite à un signalement par des enseignants par exemple
Retrait de l’autorité parentale
Le parent, auteur des faits, peut se voir retirer l’autorité parentale.
Pour cela, son comportement doit avoir mis manifestement en danger la sécurité, la santé ou la moralité de l’enfant.
Le retrait de l’autorité parentale est prononcé par le tribunal. Le tribunal peut être saisi par les personnes suivantes :
Sanctions pénales
Amende : 15 000 €
Peine de prison : 1 an
Situation |
Amende |
Peine de prison |
---|---|---|
Enfant enlevé jusqu’à 5 jours |
15 000 € |
1 an |
Enfant enlevé plus de 5 jours |
45 000 € |
3 ans |
Enfant retenu à l’étranger |
45 000 € |
3 ans |
Amende : 7 500 €
Peine de prison : 6 mois
Disparition et enlèvement de personnes
- Médiation familiale : mode de règlement des conflits
Source : Ministère chargé de la justice - Médiation familiale internationale
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvements internationaux d’enfants et droits de visite transfrontières
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvement d’un enfant par un parent dans un autre pays européen
Source : Commission européenne
-
Enfants Disparus – 116 000
Service téléphonique d’accueil et d’information à destination des familles d’enfants disparus ou enlevés
Par téléphone
116 000 (gratuit)
Accessible 7j/7 et 24h/24.
Ce numéro est géolocalisé, identifié, priorisé et non inscrit sur les factures.
Numéro européen opérationnel depuis 28 pays : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.
Par messagerie
Accès au formulaire de contact
- Si l’autre parent se trouve à l’étranger :
Département de l’entraide, du droit international privé et européen
- Code pénal : articles 227-5 à 227-11
Sanctions pénales en cas d’enlèvement parental - Code de procédure civile : articles 1210-4 à 1210-12
Déplacement illicite international d’enfants - Code civil : articles 378 à 381
Délégation, retrait total ou partiel de l’autorité parentale - Code de procédure civile : articles 1202 à 1210
Procédure de retrait de l’autorité parentale - Code des procédures civiles d’exécution : articles L131-1 à L131-4
Fixation d’une astreinte
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Enlèvement parental – Non-représentation d’enfant
L’enlèvement parental ou la non-représentation d’enfant sont des atteintes aux droits des parents (droit de visite, autorité parentale). Il peut s’agir du déménagement non signalé à l’autre parent ou du refus de ramener l’enfant à son domicile habituel. Vous voulez savoir comment agir dans l’une de ces situations et à quelle sanction s’expose l’autre parent ? Nous vous donnons les informations utiles.
Refus de ramener l’enfant à son domicile habituel après un droit de visite
Refus, pour le parent ayant la garde habituelle, de laisser l’enfant au parent possédant un droit de visite
Refus de laisser l’enfant au parent devant héberger l’enfant dans le cadre d’une résidence alternée
Déménagement avec l’enfant sans l’accord de l’autre parent (s’il possède un droit de visite) et sans fournir de nouvelles coordonnées
Enlèvement au sens strict, lorsqu’un parent emmène avec lui son enfant sans en avoir le droit, alors que ce dernier est à l’école, sous la garde de l’autre parent ou d’autres adultes (par exemple, grands-parents)
On parle d’ enlèvement parental lorsqu’un parent garde auprès de lui son ou ses enfants mineurs alors qu’ils devaient être sous la garde de l’autre parent.
L’enlèvement parental regroupe les cas suivants :
Pour ces 3 cas, on parle aussi de délit de non-représentation d’enfant .
L’enlèvement parental comprend aussi les cas suivants :
L’enfant concerné doit être légalement celui du couple : il doit avoir été reconnu ou adopté par les 2 parents. Par exemple, un père biologique mais qui n’a pas reconnu l’enfant ne peut pas invoquer un enlèvement familial.
Les faits sont punis même si aucune décision judiciaire sur la garde des enfants n’a été prise.
Les faits sont également punis même si l’enfant mineur, quel que soit son âge, est d’accord pour partir avec l’auteur des faits.
Saisir le juge aux affaires familiales (Jaf), qui pourra modifier les droits de l’autre parent dans l’intérêt de l’enfant si une décision judiciaire sur la garde des enfants a déjà été rendue
Demander à la préfecture une opposition à la sortie du territoire (OST). Cette procédure interdit la sortie en dehors de la France d’un enfant sans l’accord de ses 2 parents. C’est une procédure d’urgence en cas de crainte d’enlèvement imminent. Elle est valable 15 jours et n’est pas renouvelable.
Demander au Jaf une interdiction de sortie du territoire (IST). Elle interdit également la sortie en dehors de la France de l’enfant sans l’accord des 2 parents. Cette interdiction sera alors valable jusqu’à la majorité de l’enfant. Ce n’est pas une procédure d’urgence.
Si vous craignez un enlèvement parental ou une non-représentation d’enfant, vous pouvez faire l’une des démarches suivantes :
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez demander une médiation familiale. Cette médiation permet de trouver un accord entre les parents sur la garde des enfants sans passer par un procès. Vous devez chercher vous-même un médiateur.
Vous pouvez aussi saisir le juge aux affaires familiales (Jaf). Il peut vous proposer une médiation familiale. Il peut aussi prendre une décision sur la garde des enfants ou la modifier si une décision a déjà été prise.
Si une décision sur la garde des enfants a déjà été prise, le juge peut prononcer une astreinte financière contre le parent qui ne respecte pas cette décision. Il devra payer une certaine somme par jour jusqu’à ce qu’il rende l’enfant à l’autre parent.
Le Jaf compétent est celui de votre domicile.
Vous pouvez faire votre demande à l’aide d’un formulaire :
Si le conflit dure et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte.
Assurez-vous que l’enfant est toujours sous la responsabilité de l’autre parent.
Vous pouvez contacter le département de l’entraide, du droit international privé et européen, qui dépend du ministère français de la justice.
Ce département est chargé de la mise en œuvre des traités en matière de déplacements internationaux d’enfants. Il peut vous proposer une médiation familiale internationale et ainsi éviter un procès. En fonction des accords signés avec le pays concerné, le département peut également permettre la saisie d’un tribunal étranger pour aider au retour de l’enfant ou à la reconnaissance d’un droit de visite international.
Si le conflit persiste et que l’autre parent refuse toujours de ramener l’enfant, vous pouvez porter plainte, en France, contre l’autre parent. La collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
Dès que vous vous apercevez de la disparition de l’enfant, tentez de contacter des proches. Si l’enfant a disparu après l’école, demandez au personnel si ce n’est pas l’autre parent qui est venu le chercher. Si c’est le cas, le personnel éducatif doit signaler immédiatement les faits au procureur.
Dès que vous savez qu’il s’agit d’un enlèvement parental, contactez la police ou la gendarmerie de votre domicile.
Vous devez également porter plainte pour être tenu au courant de l’avancée de l’enquête. Vous devez prouver vos droits sur l’enfant. Vous devez donc signaler que l’autre parent ne respecte pas votre droit de visite ou ne l’a pas ramené à la date prévue.
Fournissez aux forces de l’ordre des photos récentes de l’enfant impliqué et du parent auteur des faits. Signalez également si l’enfant est déjà concerné par une opposition ou une interdiction de sortie du territoire.
Le parent auteur des faits et l’enfant concerné peuvent être inscrits sur le fichier des personnes recherchées. En cas de contrôle, les forces de l’ordre en France et de tout l’espace Schengen seront prévenues de la situation.
Une alerte enlèvement pourra également être déclenchée par la justice. Le dispositif Alerte enlèvement est un système d’alerte de la population en cas d’enlèvement d’un enfant mineur. Le signalement de l’enfant sera diffusé dans tous les médias en France. Le déclenchement de l’alerte n’est pas automatique.
Si l’enfant est signalé à l’étranger, la collaboration de la justice étrangère dépend d’accords internationaux.
L’autre parent via une requête adressée au procureur qui transmettra ensuite au tribunal (le procureur compétent est celui du domicile français du parent auteur des faits)
Le procureur lui-même, suite à un signalement par des enseignants par exemple
Retrait de l’autorité parentale
Le parent, auteur des faits, peut se voir retirer l’autorité parentale.
Pour cela, son comportement doit avoir mis manifestement en danger la sécurité, la santé ou la moralité de l’enfant.
Le retrait de l’autorité parentale est prononcé par le tribunal. Le tribunal peut être saisi par les personnes suivantes :
Sanctions pénales
Amende : 15 000 €
Peine de prison : 1 an
Situation |
Amende |
Peine de prison |
---|---|---|
Enfant enlevé jusqu’à 5 jours |
15 000 € |
1 an |
Enfant enlevé plus de 5 jours |
45 000 € |
3 ans |
Enfant retenu à l’étranger |
45 000 € |
3 ans |
Amende : 7 500 €
Peine de prison : 6 mois
Disparition et enlèvement de personnes
- Médiation familiale : mode de règlement des conflits
Source : Ministère chargé de la justice - Médiation familiale internationale
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvements internationaux d’enfants et droits de visite transfrontières
Source : Ministère chargé de la justice - Enlèvement d’un enfant par un parent dans un autre pays européen
Source : Commission européenne
-
Enfants Disparus – 116 000
Service téléphonique d’accueil et d’information à destination des familles d’enfants disparus ou enlevés
Par téléphone
116 000 (gratuit)
Accessible 7j/7 et 24h/24.
Ce numéro est géolocalisé, identifié, priorisé et non inscrit sur les factures.
Numéro européen opérationnel depuis 28 pays : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Croatie, Chypre, Danemark, Espagne, Estonie, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Lettonie, Lituanie, Luxembourg, Malte, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Slovaquie, Slovénie, Suède, Suisse.
Par messagerie
Accès au formulaire de contact
- Si l’autre parent se trouve à l’étranger :
Département de l’entraide, du droit international privé et européen
- Code pénal : articles 227-5 à 227-11
Sanctions pénales en cas d’enlèvement parental - Code de procédure civile : articles 1210-4 à 1210-12
Déplacement illicite international d’enfants - Code civil : articles 378 à 381
Délégation, retrait total ou partiel de l’autorité parentale - Code de procédure civile : articles 1202 à 1210
Procédure de retrait de l’autorité parentale - Code des procédures civiles d’exécution : articles L131-1 à L131-4
Fixation d’une astreinte
Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.
Faire sa demande en ligne
Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.
La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr
Contact
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Services municipaux
Service Développement Territorial
Horaires : Du lundi au vendredi
8h30 – 12h / 13h30 – 17h
Fermé le mardi