Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ?

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Séparation des parents : relations entre l’enfant et sa famille ou ses proches

Expérimentation d’une médiation obligatoire préalable aux contentieux familiaux – 01 janvier 2023

À titre expérimental, une tentative de médiation est obligatoire avant toute demande de modification des décisions et conventions homologuées fixant les modalités de l’exercice de l’autorité parentale dans les tribunaux de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Évry, Nantes, Nîmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours. Ce dispositif est déployé jusqu’au 31 décembre 2024 et peut être étendu à d’autres juridictions. 

Toutefois, cette obligation ne s’applique pas si des violences ont été commises sur un parent ou sur un enfant du couple.

L’enfant a le droit d’entretenir des relations avec sa famille : ses grands-parents, ses frères et sœurs, un ancien beau-parent… Il peut s’agir d’un droit de visite, d’un droit d’hébergement… Il s’applique aussi bien lorsque les parents vivent séparés ou en couple. Seul l’intérêt de l’enfant peut empêcher l’exercice de ces droits. Nous vous présentons les informations à connaître.

    L’enfant mineur a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents, que ses parents vivent ensemble ou séparément.

    L’enfant mineur peut également maintenir des liens avec un tiers autres que les grands-parents lorsque ce tiers a :

    • Résidé de manière stable avec l’enfant et l’un de ses parents

    • Contribué à son éducation, à son entretien ou à son installation

    • Noué avec lui des liens affectifs durables.

    Ce tiers peut être un parent ou non de l’enfant, par exemple un beau-parent, un frère, une demi-soeur, une tante…

    Les parents ont le droit et le devoir de surveiller les relations et communications entre leur enfant mineur avec les membres de la famille et les tiers.

    Ils peuvent ainsi limiter ou interdire les relations de l’enfant avec un membre de la famille ou un tiers.

    En cas de désaccord, une médiation familiale peut être tentée pour rétablir les liens et trouver un accord, car entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents est un droit de l’enfant.

    S’ils ne trouvent de solution à l’amiable, le juge aux affaires familiales peut être saisi.

    L’enfant peut entretenir des relations personnelles avec un grand-parent ou un tiers de la manière suivante :

    • Droit de visite et d’hébergement (par exemple un weekend par mois ou tous les 2 mois)

    • Simple droit de visite (par exemple un dimanche par mois)

    • Droit de correspondance (par exemple un rendez-vous téléphonique régulier).

    Si les parents sont séparés, le droit de visite et d’hébergement des grands-parents peut s’exercer en même temps que celui de leur propre fille ou fils, pour ne pas multiplier les droits de visite de l’enfant.

    À savoir

    le droit de visite peut parfois s’exercer en présence d’un tiers ou dans un lieu neutre (par exemple dans un  espace de rencontre  dédié à cet effet).

    À l’amiable

    Vous pouvez d’abord tenter une médiation familiale pour rétablir les liens et trouver un accord.

    Vous pouvez ensuite demander au juge de l’homologuer pour lui donner force exécutoire.

    Par le juge aux affaires familiales

    Si aucun accord n’est trouvé, le juge aux affaires familiales peut être saisi par les personnes suivantes :

    Vous devez saisir par assignation le juge aux affaires familiales du tribunal du lieu où habite l’enfant.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle.

    À savoir

    Si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), les droits de visite sont accordés par le  juge des enfants .

    Le juge aux affaires familiales statue en fonction de l’intérêt de l’enfant.

    Il peut décider d’entendre votre petit-fils ou votre petite-fille. Ce dernier ou cette dernière peut également demander au juge à être auditionné(e), s’il ou elle est capable de discernement.

    Selon la situation familiale et l’intérêt de l’enfant le juge peut décider soit d’autoriser les relations dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations. Un conflit, même ancien, entre les parents et les grands-parents ne justifie pas forcément un refus des relations. Il faut que le conflit rejaillisse sur l’enfant, ait des conséquences néfastes sur son équilibre psychologique et affectif ou ne permette pas une relation saine.

    Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

      Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir le droit de voir votre frère ou votre sœur.

      Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite votre frère ou votre sœur mineur(e) par assignation.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      L’assistance d’un avocat est obligatoire.

      Où s’adresser ?

       Avocat 

      Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces frais.

      Le  Jaf  peut décider d’entendre votre frère ou votre sœur mineur(e). Ce dernier peut également faire une demande d’audition au juge.

      Selon la situation familiale et l’intérêt de votre frère ou de votre sœur mineur(e) le juge peut décider soit d’autoriser les relations entre la fratrie dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations.

      À savoir

      En principe, l‘enfant mineur ne doit pas être séparé de ses frères et sœurs. Il peut l’être dans son intérêt ou en cas de nécessité (mise en danger, relation conflictuelle, mauvaise influence des frères ou sœurs, éloignement géographique…).

      Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

        Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir des droits vis-à-vis de l’enfant.

        Vous devez prouver que le maintien des liens est dans l’intérêt de l’enfant. Vous pouvez ainsi établir par tous moyens (attestations, photos…) que vous avez résidé de manière stable avec l’enfant, participé à son entretien, son éducation ou noué des liens affectifs durables.

        Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite l’enfant mineur par assignation.

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

        Le  Jaf  statue uniquement en fonction de l’intérêt de l’enfant. Il peut décider de l’entendre ou l’enfant peut demander à être entendu. Il peut décider de refuser ou de faire droit à votre demande dans les conditions qu’il fixe.

        À noter

        si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), c’est le juge des enfants qui est compétent.

        Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

          L’enfant mineur, représenté par l’un de ses parents ou par un administrateur ad hoc, peut également demander au juge l’organisation de ses relations avec ses grands-parents et un tiers.

          Vous pouvez déposer plainte pour non-représentation si les parents ne respectent pas l’accord homologué par le juge ou le jugement.

        Séparation des parents : relations entre l’enfant et sa famille ou ses proches

        Expérimentation d’une médiation obligatoire préalable aux contentieux familiaux – 01 janvier 2023

        À titre expérimental, une tentative de médiation est obligatoire avant toute demande de modification des décisions et conventions homologuées fixant les modalités de l’exercice de l’autorité parentale dans les tribunaux de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Évry, Nantes, Nîmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours. Ce dispositif est déployé jusqu’au 31 décembre 2024 et peut être étendu à d’autres juridictions. 

        Toutefois, cette obligation ne s’applique pas si des violences ont été commises sur un parent ou sur un enfant du couple.

        L’enfant a le droit d’entretenir des relations avec sa famille : ses grands-parents, ses frères et sœurs, un ancien beau-parent… Il peut s’agir d’un droit de visite, d’un droit d’hébergement… Il s’applique aussi bien lorsque les parents vivent séparés ou en couple. Seul l’intérêt de l’enfant peut empêcher l’exercice de ces droits. Nous vous présentons les informations à connaître.

          L’enfant mineur a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents, que ses parents vivent ensemble ou séparément.

          L’enfant mineur peut également maintenir des liens avec un tiers autres que les grands-parents lorsque ce tiers a :

          • Résidé de manière stable avec l’enfant et l’un de ses parents

          • Contribué à son éducation, à son entretien ou à son installation

          • Noué avec lui des liens affectifs durables.

          Ce tiers peut être un parent ou non de l’enfant, par exemple un beau-parent, un frère, une demi-soeur, une tante…

          Les parents ont le droit et le devoir de surveiller les relations et communications entre leur enfant mineur avec les membres de la famille et les tiers.

          Ils peuvent ainsi limiter ou interdire les relations de l’enfant avec un membre de la famille ou un tiers.

          En cas de désaccord, une médiation familiale peut être tentée pour rétablir les liens et trouver un accord, car entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents est un droit de l’enfant.

          S’ils ne trouvent de solution à l’amiable, le juge aux affaires familiales peut être saisi.

          L’enfant peut entretenir des relations personnelles avec un grand-parent ou un tiers de la manière suivante :

          • Droit de visite et d’hébergement (par exemple un weekend par mois ou tous les 2 mois)

          • Simple droit de visite (par exemple un dimanche par mois)

          • Droit de correspondance (par exemple un rendez-vous téléphonique régulier).

          Si les parents sont séparés, le droit de visite et d’hébergement des grands-parents peut s’exercer en même temps que celui de leur propre fille ou fils, pour ne pas multiplier les droits de visite de l’enfant.

          À savoir

          le droit de visite peut parfois s’exercer en présence d’un tiers ou dans un lieu neutre (par exemple dans un  espace de rencontre  dédié à cet effet).

          À l’amiable

          Vous pouvez d’abord tenter une médiation familiale pour rétablir les liens et trouver un accord.

          Vous pouvez ensuite demander au juge de l’homologuer pour lui donner force exécutoire.

          Par le juge aux affaires familiales

          Si aucun accord n’est trouvé, le juge aux affaires familiales peut être saisi par les personnes suivantes :

          Vous devez saisir par assignation le juge aux affaires familiales du tribunal du lieu où habite l’enfant.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          L’assistance d’un avocat est obligatoire.

          Où s’adresser ?

           Avocat 

          Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle.

          À savoir

          Si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), les droits de visite sont accordés par le  juge des enfants .

          Le juge aux affaires familiales statue en fonction de l’intérêt de l’enfant.

          Il peut décider d’entendre votre petit-fils ou votre petite-fille. Ce dernier ou cette dernière peut également demander au juge à être auditionné(e), s’il ou elle est capable de discernement.

          Selon la situation familiale et l’intérêt de l’enfant le juge peut décider soit d’autoriser les relations dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations. Un conflit, même ancien, entre les parents et les grands-parents ne justifie pas forcément un refus des relations. Il faut que le conflit rejaillisse sur l’enfant, ait des conséquences néfastes sur son équilibre psychologique et affectif ou ne permette pas une relation saine.

          Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

            Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir le droit de voir votre frère ou votre sœur.

            Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite votre frère ou votre sœur mineur(e) par assignation.

            Où s’adresser ?

             Tribunal judiciaire 

            L’assistance d’un avocat est obligatoire.

            Où s’adresser ?

             Avocat 

            Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces frais.

            Le  Jaf  peut décider d’entendre votre frère ou votre sœur mineur(e). Ce dernier peut également faire une demande d’audition au juge.

            Selon la situation familiale et l’intérêt de votre frère ou de votre sœur mineur(e) le juge peut décider soit d’autoriser les relations entre la fratrie dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations.

            À savoir

            En principe, l‘enfant mineur ne doit pas être séparé de ses frères et sœurs. Il peut l’être dans son intérêt ou en cas de nécessité (mise en danger, relation conflictuelle, mauvaise influence des frères ou sœurs, éloignement géographique…).

            Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

              Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir des droits vis-à-vis de l’enfant.

              Vous devez prouver que le maintien des liens est dans l’intérêt de l’enfant. Vous pouvez ainsi établir par tous moyens (attestations, photos…) que vous avez résidé de manière stable avec l’enfant, participé à son entretien, son éducation ou noué des liens affectifs durables.

              Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite l’enfant mineur par assignation.

              Où s’adresser ?

               Tribunal judiciaire 

              Le  Jaf  statue uniquement en fonction de l’intérêt de l’enfant. Il peut décider de l’entendre ou l’enfant peut demander à être entendu. Il peut décider de refuser ou de faire droit à votre demande dans les conditions qu’il fixe.

              À noter

              si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), c’est le juge des enfants qui est compétent.

              Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                L’enfant mineur, représenté par l’un de ses parents ou par un administrateur ad hoc, peut également demander au juge l’organisation de ses relations avec ses grands-parents et un tiers.

                Vous pouvez déposer plainte pour non-représentation si les parents ne respectent pas l’accord homologué par le juge ou le jugement.

              Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

              Séparation des parents : relations entre l’enfant et sa famille ou ses proches

              Expérimentation d’une médiation obligatoire préalable aux contentieux familiaux – 01 janvier 2023

              À titre expérimental, une tentative de médiation est obligatoire avant toute demande de modification des décisions et conventions homologuées fixant les modalités de l’exercice de l’autorité parentale dans les tribunaux de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Évry, Nantes, Nîmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours. Ce dispositif est déployé jusqu’au 31 décembre 2024 et peut être étendu à d’autres juridictions. 

              Toutefois, cette obligation ne s’applique pas si des violences ont été commises sur un parent ou sur un enfant du couple.

              L’enfant a le droit d’entretenir des relations avec sa famille : ses grands-parents, ses frères et sœurs, un ancien beau-parent… Il peut s’agir d’un droit de visite, d’un droit d’hébergement… Il s’applique aussi bien lorsque les parents vivent séparés ou en couple. Seul l’intérêt de l’enfant peut empêcher l’exercice de ces droits. Nous vous présentons les informations à connaître.

                L’enfant mineur a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents, que ses parents vivent ensemble ou séparément.

                L’enfant mineur peut également maintenir des liens avec un tiers autres que les grands-parents lorsque ce tiers a :

                • Résidé de manière stable avec l’enfant et l’un de ses parents

                • Contribué à son éducation, à son entretien ou à son installation

                • Noué avec lui des liens affectifs durables.

                Ce tiers peut être un parent ou non de l’enfant, par exemple un beau-parent, un frère, une demi-soeur, une tante…

                Les parents ont le droit et le devoir de surveiller les relations et communications entre leur enfant mineur avec les membres de la famille et les tiers.

                Ils peuvent ainsi limiter ou interdire les relations de l’enfant avec un membre de la famille ou un tiers.

                En cas de désaccord, une médiation familiale peut être tentée pour rétablir les liens et trouver un accord, car entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents est un droit de l’enfant.

                S’ils ne trouvent de solution à l’amiable, le juge aux affaires familiales peut être saisi.

                L’enfant peut entretenir des relations personnelles avec un grand-parent ou un tiers de la manière suivante :

                • Droit de visite et d’hébergement (par exemple un weekend par mois ou tous les 2 mois)

                • Simple droit de visite (par exemple un dimanche par mois)

                • Droit de correspondance (par exemple un rendez-vous téléphonique régulier).

                Si les parents sont séparés, le droit de visite et d’hébergement des grands-parents peut s’exercer en même temps que celui de leur propre fille ou fils, pour ne pas multiplier les droits de visite de l’enfant.

                À savoir

                le droit de visite peut parfois s’exercer en présence d’un tiers ou dans un lieu neutre (par exemple dans un  espace de rencontre  dédié à cet effet).

                À l’amiable

                Vous pouvez d’abord tenter une médiation familiale pour rétablir les liens et trouver un accord.

                Vous pouvez ensuite demander au juge de l’homologuer pour lui donner force exécutoire.

                Par le juge aux affaires familiales

                Si aucun accord n’est trouvé, le juge aux affaires familiales peut être saisi par les personnes suivantes :

                Vous devez saisir par assignation le juge aux affaires familiales du tribunal du lieu où habite l’enfant.

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                L’assistance d’un avocat est obligatoire.

                Où s’adresser ?

                 Avocat 

                Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle.

                À savoir

                Si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), les droits de visite sont accordés par le  juge des enfants .

                Le juge aux affaires familiales statue en fonction de l’intérêt de l’enfant.

                Il peut décider d’entendre votre petit-fils ou votre petite-fille. Ce dernier ou cette dernière peut également demander au juge à être auditionné(e), s’il ou elle est capable de discernement.

                Selon la situation familiale et l’intérêt de l’enfant le juge peut décider soit d’autoriser les relations dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations. Un conflit, même ancien, entre les parents et les grands-parents ne justifie pas forcément un refus des relations. Il faut que le conflit rejaillisse sur l’enfant, ait des conséquences néfastes sur son équilibre psychologique et affectif ou ne permette pas une relation saine.

                Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                  Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir le droit de voir votre frère ou votre sœur.

                  Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite votre frère ou votre sœur mineur(e) par assignation.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                  L’assistance d’un avocat est obligatoire.

                  Où s’adresser ?

                   Avocat 

                  Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces frais.

                  Le  Jaf  peut décider d’entendre votre frère ou votre sœur mineur(e). Ce dernier peut également faire une demande d’audition au juge.

                  Selon la situation familiale et l’intérêt de votre frère ou de votre sœur mineur(e) le juge peut décider soit d’autoriser les relations entre la fratrie dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations.

                  À savoir

                  En principe, l‘enfant mineur ne doit pas être séparé de ses frères et sœurs. Il peut l’être dans son intérêt ou en cas de nécessité (mise en danger, relation conflictuelle, mauvaise influence des frères ou sœurs, éloignement géographique…).

                  Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                    Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir des droits vis-à-vis de l’enfant.

                    Vous devez prouver que le maintien des liens est dans l’intérêt de l’enfant. Vous pouvez ainsi établir par tous moyens (attestations, photos…) que vous avez résidé de manière stable avec l’enfant, participé à son entretien, son éducation ou noué des liens affectifs durables.

                    Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite l’enfant mineur par assignation.

                    Où s’adresser ?

                     Tribunal judiciaire 

                    Le  Jaf  statue uniquement en fonction de l’intérêt de l’enfant. Il peut décider de l’entendre ou l’enfant peut demander à être entendu. Il peut décider de refuser ou de faire droit à votre demande dans les conditions qu’il fixe.

                    À noter

                    si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), c’est le juge des enfants qui est compétent.

                    Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                      L’enfant mineur, représenté par l’un de ses parents ou par un administrateur ad hoc, peut également demander au juge l’organisation de ses relations avec ses grands-parents et un tiers.

                      Vous pouvez déposer plainte pour non-représentation si les parents ne respectent pas l’accord homologué par le juge ou le jugement.

                    Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                    Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                    Séparation des parents : relations entre l’enfant et sa famille ou ses proches

                    Expérimentation d’une médiation obligatoire préalable aux contentieux familiaux – 01 janvier 2023

                    À titre expérimental, une tentative de médiation est obligatoire avant toute demande de modification des décisions et conventions homologuées fixant les modalités de l’exercice de l’autorité parentale dans les tribunaux de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Évry, Nantes, Nîmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours. Ce dispositif est déployé jusqu’au 31 décembre 2024 et peut être étendu à d’autres juridictions. 

                    Toutefois, cette obligation ne s’applique pas si des violences ont été commises sur un parent ou sur un enfant du couple.

                    L’enfant a le droit d’entretenir des relations avec sa famille : ses grands-parents, ses frères et sœurs, un ancien beau-parent… Il peut s’agir d’un droit de visite, d’un droit d’hébergement… Il s’applique aussi bien lorsque les parents vivent séparés ou en couple. Seul l’intérêt de l’enfant peut empêcher l’exercice de ces droits. Nous vous présentons les informations à connaître.

                      L’enfant mineur a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents, que ses parents vivent ensemble ou séparément.

                      L’enfant mineur peut également maintenir des liens avec un tiers autres que les grands-parents lorsque ce tiers a :

                      • Résidé de manière stable avec l’enfant et l’un de ses parents

                      • Contribué à son éducation, à son entretien ou à son installation

                      • Noué avec lui des liens affectifs durables.

                      Ce tiers peut être un parent ou non de l’enfant, par exemple un beau-parent, un frère, une demi-soeur, une tante…

                      Les parents ont le droit et le devoir de surveiller les relations et communications entre leur enfant mineur avec les membres de la famille et les tiers.

                      Ils peuvent ainsi limiter ou interdire les relations de l’enfant avec un membre de la famille ou un tiers.

                      En cas de désaccord, une médiation familiale peut être tentée pour rétablir les liens et trouver un accord, car entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents est un droit de l’enfant.

                      S’ils ne trouvent de solution à l’amiable, le juge aux affaires familiales peut être saisi.

                      L’enfant peut entretenir des relations personnelles avec un grand-parent ou un tiers de la manière suivante :

                      • Droit de visite et d’hébergement (par exemple un weekend par mois ou tous les 2 mois)

                      • Simple droit de visite (par exemple un dimanche par mois)

                      • Droit de correspondance (par exemple un rendez-vous téléphonique régulier).

                      Si les parents sont séparés, le droit de visite et d’hébergement des grands-parents peut s’exercer en même temps que celui de leur propre fille ou fils, pour ne pas multiplier les droits de visite de l’enfant.

                      À savoir

                      le droit de visite peut parfois s’exercer en présence d’un tiers ou dans un lieu neutre (par exemple dans un  espace de rencontre  dédié à cet effet).

                      À l’amiable

                      Vous pouvez d’abord tenter une médiation familiale pour rétablir les liens et trouver un accord.

                      Vous pouvez ensuite demander au juge de l’homologuer pour lui donner force exécutoire.

                      Par le juge aux affaires familiales

                      Si aucun accord n’est trouvé, le juge aux affaires familiales peut être saisi par les personnes suivantes :

                      Vous devez saisir par assignation le juge aux affaires familiales du tribunal du lieu où habite l’enfant.

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      L’assistance d’un avocat est obligatoire.

                      Où s’adresser ?

                       Avocat 

                      Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle.

                      À savoir

                      Si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), les droits de visite sont accordés par le  juge des enfants .

                      Le juge aux affaires familiales statue en fonction de l’intérêt de l’enfant.

                      Il peut décider d’entendre votre petit-fils ou votre petite-fille. Ce dernier ou cette dernière peut également demander au juge à être auditionné(e), s’il ou elle est capable de discernement.

                      Selon la situation familiale et l’intérêt de l’enfant le juge peut décider soit d’autoriser les relations dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations. Un conflit, même ancien, entre les parents et les grands-parents ne justifie pas forcément un refus des relations. Il faut que le conflit rejaillisse sur l’enfant, ait des conséquences néfastes sur son équilibre psychologique et affectif ou ne permette pas une relation saine.

                      Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                        Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir le droit de voir votre frère ou votre sœur.

                        Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite votre frère ou votre sœur mineur(e) par assignation.

                        Où s’adresser ?

                         Tribunal judiciaire 

                        L’assistance d’un avocat est obligatoire.

                        Où s’adresser ?

                         Avocat 

                        Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces frais.

                        Le  Jaf  peut décider d’entendre votre frère ou votre sœur mineur(e). Ce dernier peut également faire une demande d’audition au juge.

                        Selon la situation familiale et l’intérêt de votre frère ou de votre sœur mineur(e) le juge peut décider soit d’autoriser les relations entre la fratrie dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations.

                        À savoir

                        En principe, l‘enfant mineur ne doit pas être séparé de ses frères et sœurs. Il peut l’être dans son intérêt ou en cas de nécessité (mise en danger, relation conflictuelle, mauvaise influence des frères ou sœurs, éloignement géographique…).

                        Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                          Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir des droits vis-à-vis de l’enfant.

                          Vous devez prouver que le maintien des liens est dans l’intérêt de l’enfant. Vous pouvez ainsi établir par tous moyens (attestations, photos…) que vous avez résidé de manière stable avec l’enfant, participé à son entretien, son éducation ou noué des liens affectifs durables.

                          Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite l’enfant mineur par assignation.

                          Où s’adresser ?

                           Tribunal judiciaire 

                          Le  Jaf  statue uniquement en fonction de l’intérêt de l’enfant. Il peut décider de l’entendre ou l’enfant peut demander à être entendu. Il peut décider de refuser ou de faire droit à votre demande dans les conditions qu’il fixe.

                          À noter

                          si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), c’est le juge des enfants qui est compétent.

                          Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                            L’enfant mineur, représenté par l’un de ses parents ou par un administrateur ad hoc, peut également demander au juge l’organisation de ses relations avec ses grands-parents et un tiers.

                            Vous pouvez déposer plainte pour non-représentation si les parents ne respectent pas l’accord homologué par le juge ou le jugement.

                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                          Séparation des parents : relations entre l’enfant et sa famille ou ses proches

                          Expérimentation d’une médiation obligatoire préalable aux contentieux familiaux – 01 janvier 2023

                          À titre expérimental, une tentative de médiation est obligatoire avant toute demande de modification des décisions et conventions homologuées fixant les modalités de l’exercice de l’autorité parentale dans les tribunaux de Bayonne, Bordeaux, Cherbourg-en-Cotentin, Évry, Nantes, Nîmes, Montpellier, Pontoise, Rennes, Saint-Denis et Tours. Ce dispositif est déployé jusqu’au 31 décembre 2024 et peut être étendu à d’autres juridictions. 

                          Toutefois, cette obligation ne s’applique pas si des violences ont été commises sur un parent ou sur un enfant du couple.

                          L’enfant a le droit d’entretenir des relations avec sa famille : ses grands-parents, ses frères et sœurs, un ancien beau-parent… Il peut s’agir d’un droit de visite, d’un droit d’hébergement… Il s’applique aussi bien lorsque les parents vivent séparés ou en couple. Seul l’intérêt de l’enfant peut empêcher l’exercice de ces droits. Nous vous présentons les informations à connaître.

                            L’enfant mineur a le droit d’entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents, que ses parents vivent ensemble ou séparément.

                            L’enfant mineur peut également maintenir des liens avec un tiers autres que les grands-parents lorsque ce tiers a :

                            • Résidé de manière stable avec l’enfant et l’un de ses parents

                            • Contribué à son éducation, à son entretien ou à son installation

                            • Noué avec lui des liens affectifs durables.

                            Ce tiers peut être un parent ou non de l’enfant, par exemple un beau-parent, un frère, une demi-soeur, une tante…

                            Les parents ont le droit et le devoir de surveiller les relations et communications entre leur enfant mineur avec les membres de la famille et les tiers.

                            Ils peuvent ainsi limiter ou interdire les relations de l’enfant avec un membre de la famille ou un tiers.

                            En cas de désaccord, une médiation familiale peut être tentée pour rétablir les liens et trouver un accord, car entretenir des relations personnelles avec ses grands-parents est un droit de l’enfant.

                            S’ils ne trouvent de solution à l’amiable, le juge aux affaires familiales peut être saisi.

                            L’enfant peut entretenir des relations personnelles avec un grand-parent ou un tiers de la manière suivante :

                            • Droit de visite et d’hébergement (par exemple un weekend par mois ou tous les 2 mois)

                            • Simple droit de visite (par exemple un dimanche par mois)

                            • Droit de correspondance (par exemple un rendez-vous téléphonique régulier).

                            Si les parents sont séparés, le droit de visite et d’hébergement des grands-parents peut s’exercer en même temps que celui de leur propre fille ou fils, pour ne pas multiplier les droits de visite de l’enfant.

                            À savoir

                            le droit de visite peut parfois s’exercer en présence d’un tiers ou dans un lieu neutre (par exemple dans un  espace de rencontre  dédié à cet effet).

                            À l’amiable

                            Vous pouvez d’abord tenter une médiation familiale pour rétablir les liens et trouver un accord.

                            Vous pouvez ensuite demander au juge de l’homologuer pour lui donner force exécutoire.

                            Par le juge aux affaires familiales

                            Si aucun accord n’est trouvé, le juge aux affaires familiales peut être saisi par les personnes suivantes :

                            Vous devez saisir par assignation le juge aux affaires familiales du tribunal du lieu où habite l’enfant.

                            Où s’adresser ?

                             Tribunal judiciaire 

                            L’assistance d’un avocat est obligatoire.

                            Où s’adresser ?

                             Avocat 

                            Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle.

                            À savoir

                            Si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), les droits de visite sont accordés par le  juge des enfants .

                            Le juge aux affaires familiales statue en fonction de l’intérêt de l’enfant.

                            Il peut décider d’entendre votre petit-fils ou votre petite-fille. Ce dernier ou cette dernière peut également demander au juge à être auditionné(e), s’il ou elle est capable de discernement.

                            Selon la situation familiale et l’intérêt de l’enfant le juge peut décider soit d’autoriser les relations dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations. Un conflit, même ancien, entre les parents et les grands-parents ne justifie pas forcément un refus des relations. Il faut que le conflit rejaillisse sur l’enfant, ait des conséquences néfastes sur son équilibre psychologique et affectif ou ne permette pas une relation saine.

                            Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                              Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir le droit de voir votre frère ou votre sœur.

                              Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite votre frère ou votre sœur mineur(e) par assignation.

                              Où s’adresser ?

                               Tribunal judiciaire 

                              L’assistance d’un avocat est obligatoire.

                              Où s’adresser ?

                               Avocat 

                              Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces frais.

                              Le  Jaf  peut décider d’entendre votre frère ou votre sœur mineur(e). Ce dernier peut également faire une demande d’audition au juge.

                              Selon la situation familiale et l’intérêt de votre frère ou de votre sœur mineur(e) le juge peut décider soit d’autoriser les relations entre la fratrie dans des conditions qu’il fixe, soit de refuser ces relations.

                              À savoir

                              En principe, l‘enfant mineur ne doit pas être séparé de ses frères et sœurs. Il peut l’être dans son intérêt ou en cas de nécessité (mise en danger, relation conflictuelle, mauvaise influence des frères ou sœurs, éloignement géographique…).

                              Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                                Vous pouvez saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir des droits vis-à-vis de l’enfant.

                                Vous devez prouver que le maintien des liens est dans l’intérêt de l’enfant. Vous pouvez ainsi établir par tous moyens (attestations, photos…) que vous avez résidé de manière stable avec l’enfant, participé à son entretien, son éducation ou noué des liens affectifs durables.

                                Vous devez saisir le  Jaf  du tribunal du lieu où habite l’enfant mineur par assignation.

                                Où s’adresser ?

                                 Tribunal judiciaire 

                                Le  Jaf  statue uniquement en fonction de l’intérêt de l’enfant. Il peut décider de l’entendre ou l’enfant peut demander à être entendu. Il peut décider de refuser ou de faire droit à votre demande dans les conditions qu’il fixe.

                                À noter

                                si l’enfant est placé (c’est-à-dire confié à un tiers, à l’aide sociale à l’enfance, dans une famille d’accueil…), c’est le juge des enfants qui est compétent.

                                Vous pouvez faire appel du jugement dans un délai d’1 mois.

                                  L’enfant mineur, représenté par l’un de ses parents ou par un administrateur ad hoc, peut également demander au juge l’organisation de ses relations avec ses grands-parents et un tiers.

                                  Vous pouvez déposer plainte pour non-représentation si les parents ne respectent pas l’accord homologué par le juge ou le jugement.

                                Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

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