Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Contrat de sécurisation professionnelle (CSP)

Le CSP permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé, de bénéficier, après la rupture du contrat de travail, d’un ensemble de mesures lui permettant un reclassement accéléré proposé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

Le CSP peut-il être proposé dans toutes les entreprises ? Quelle est l’indemnisation du salarié pendant le CSP ? Le salarié touche-t-il des indemnités par l’employeur s’il accepte le CSP ?

Nous faisons un point sur la réglementation.

Les conditions d’application du CSP varient en fonction de l’ancienneté du salarié : plus d’un an d’ancienneté ou moins.

Licenciement économique

    Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

    L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

    Le CSP doit être proposé.

      L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

      Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

        Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

          Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

          Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

          Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

            La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

            Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

            Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

              Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                  L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                  • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                  • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                      Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                      Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                      La date de remise au salarié du document d’information et la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                      Exemple

                      Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                      Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                      Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                      À noter

                      Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                      L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                      Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                      L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                      La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                      Indemnité de licenciement

                      Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                      Indemnité compensatrice de préavis

                      Le salarié ne perçoit pas d’indemnité compensatrice de préavis, puisque le contrat est rompu dès la fin du délai de réflexion pour accepter le CSP.

                      L’employeur verse à France Travail (anciennement Pôle emploi) l’équivalent de l’indemnité que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                      Si le montant du préavis est supérieur à 3 mois de salaire, la part d’indemnité supérieure à ces 3 mois sera versée au salarié par l’employeur dès la fin de son contrat de travail.

                      Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                      • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                      • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                      • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                      • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                      Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                      L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                      Le CSP doit être proposé.

                        L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                        Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                          Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                            Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                            Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                            Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                              La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                              Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                              Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                    L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                    • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                    • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                        Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                        Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                        La date de remise au salarié du document d’information ainsi que la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                        Exemple

                                        Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                        Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                        Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                        À noter

                                        Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                        L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                        Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                        L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                        La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                        Indemnité de licenciement

                                        Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                        Indemnité compensatrice de préavis

                                        Le salarié perçoit une indemnité compensatrice de préavis.

                                        Le montant de l’indemnité correspond à ce que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                        Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                        • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                        • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                        • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                        • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                      • Pour obtenir des informations sur le CSP pour les employeurs :
                                        France Travail (anciennement Pôle emploi) pour les employeurs – 3995

                                        Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d’emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l’embauche

                                        Par téléphone

                                        39 95

                                        Le lundi et jeudi de 7h35 à 13h10 et 13h30 à 16h50, le mardi et mercredi de 7h35 à 13h15, le vendredi de 7h35 à 11h25

                                        Numéro gris ou banalisé : coût d’un appel vers un fixe et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile

                                        Depuis l’étranger (entreprises frontalières par exemple), composer le +33 1 77 86 39 95

                                        Contrat de sécurisation professionnelle (CSP)

                                        Le CSP permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé, de bénéficier, après la rupture du contrat de travail, d’un ensemble de mesures lui permettant un reclassement accéléré proposé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                        Le CSP peut-il être proposé dans toutes les entreprises ? Quelle est l’indemnisation du salarié pendant le CSP ? Le salarié touche-t-il des indemnités par l’employeur s’il accepte le CSP ?

                                        Nous faisons un point sur la réglementation.

                                        Les conditions d’application du CSP varient en fonction de l’ancienneté du salarié : plus d’un an d’ancienneté ou moins.

                                        Licenciement économique

                                          Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                                          L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                                          Le CSP doit être proposé.

                                            L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                                            Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                                              Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                                                Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                                                Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                                                Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                                                  La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                                                  Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                                                  Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                                    Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                                        L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                                        • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                                        • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                                            Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                                            Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                                            La date de remise au salarié du document d’information et la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                                            Exemple

                                                            Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                                            Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                            Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                                            À noter

                                                            Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                                            L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                                            Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                                            L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                                            La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                                            Indemnité de licenciement

                                                            Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                                            Indemnité compensatrice de préavis

                                                            Le salarié ne perçoit pas d’indemnité compensatrice de préavis, puisque le contrat est rompu dès la fin du délai de réflexion pour accepter le CSP.

                                                            L’employeur verse à France Travail (anciennement Pôle emploi) l’équivalent de l’indemnité que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                                            Si le montant du préavis est supérieur à 3 mois de salaire, la part d’indemnité supérieure à ces 3 mois sera versée au salarié par l’employeur dès la fin de son contrat de travail.

                                                            Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                                            • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                                            • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                                            • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                                            • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                                            Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                                                            L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                                                            Le CSP doit être proposé.

                                                              L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                                                              Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                                                                Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                                                                  Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                                                                  Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                                                                  Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                    La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                                                                    Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                                                                    Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                                                      Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                          L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                                                          • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                                                          • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                                                              Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                                                              Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                                                              La date de remise au salarié du document d’information ainsi que la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                                                              Exemple

                                                                              Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                                                              Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                              Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                                                              À noter

                                                                              Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                                                              L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                                                              Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                                                              L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                                                              La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                                                              Indemnité de licenciement

                                                                              Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                                                              Indemnité compensatrice de préavis

                                                                              Le salarié perçoit une indemnité compensatrice de préavis.

                                                                              Le montant de l’indemnité correspond à ce que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                                                              Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                                                              • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                                                              • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                                                              • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                                                              • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                                                            • Pour obtenir des informations sur le CSP pour les employeurs :
                                                                              France Travail (anciennement Pôle emploi) pour les employeurs – 3995

                                                                              Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d’emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l’embauche

                                                                              Par téléphone

                                                                              39 95

                                                                              Le lundi et jeudi de 7h35 à 13h10 et 13h30 à 16h50, le mardi et mercredi de 7h35 à 13h15, le vendredi de 7h35 à 11h25

                                                                              Numéro gris ou banalisé : coût d’un appel vers un fixe et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile

                                                                              Depuis l’étranger (entreprises frontalières par exemple), composer le +33 1 77 86 39 95

                                                                              Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                                                                              Contrat de sécurisation professionnelle (CSP)

                                                                              Le CSP permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé, de bénéficier, après la rupture du contrat de travail, d’un ensemble de mesures lui permettant un reclassement accéléré proposé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                              Le CSP peut-il être proposé dans toutes les entreprises ? Quelle est l’indemnisation du salarié pendant le CSP ? Le salarié touche-t-il des indemnités par l’employeur s’il accepte le CSP ?

                                                                              Nous faisons un point sur la réglementation.

                                                                              Les conditions d’application du CSP varient en fonction de l’ancienneté du salarié : plus d’un an d’ancienneté ou moins.

                                                                              Licenciement économique

                                                                                Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                                                                                L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                                                                                Le CSP doit être proposé.

                                                                                  L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                                                                                  Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                                                                                    Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                                                                                      Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                                                                                      Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                                                                                      Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                        La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                                                                                        Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                                                                                        Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                                                                          Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                              L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                                                                              • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                                                                              • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                                                                                  Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                                                                                  Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                                                                                  La date de remise au salarié du document d’information et la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                                                                                  Exemple

                                                                                                  Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                                                                                  Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                                                  Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                                                                                  À noter

                                                                                                  Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                                                                                  L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                                                                                  Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                                                                                  L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                                                                                  La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                                                                                  Indemnité de licenciement

                                                                                                  Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                                                                                  Indemnité compensatrice de préavis

                                                                                                  Le salarié ne perçoit pas d’indemnité compensatrice de préavis, puisque le contrat est rompu dès la fin du délai de réflexion pour accepter le CSP.

                                                                                                  L’employeur verse à France Travail (anciennement Pôle emploi) l’équivalent de l’indemnité que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                                                                                  Si le montant du préavis est supérieur à 3 mois de salaire, la part d’indemnité supérieure à ces 3 mois sera versée au salarié par l’employeur dès la fin de son contrat de travail.

                                                                                                  Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                                                                                  • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                                                                                  • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                                                                                  • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                                                                                  • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                                                                                  Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                                                                                                  L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                                                                                                  Le CSP doit être proposé.

                                                                                                    L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                                                                                                    Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                                                                                                      Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                                                                                                        Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                                                                                                        Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                                                                                                        Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                          La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                                                                                                          Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                                                                                                          Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                                                                                            Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                                                                                                • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                                                                                                • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                                                                                                    Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                                                                                                    Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                                                                                                    La date de remise au salarié du document d’information ainsi que la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                                                                                                    Exemple

                                                                                                                    Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                                                                                                    Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                                                                    Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                                                                                                    À noter

                                                                                                                    Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                                                                                                    L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                                                                                                    Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                                                                                                    L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                                                                                                    La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                                                                                                    Indemnité de licenciement

                                                                                                                    Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                                                                                                    Indemnité compensatrice de préavis

                                                                                                                    Le salarié perçoit une indemnité compensatrice de préavis.

                                                                                                                    Le montant de l’indemnité correspond à ce que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                                                                                                    Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                                                                                                    • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                                                                                                    • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                                                                                                    • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                                                                                                    • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                                                                                                  • Pour obtenir des informations sur le CSP pour les employeurs :
                                                                                                                    France Travail (anciennement Pôle emploi) pour les employeurs – 3995

                                                                                                                    Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d’emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l’embauche

                                                                                                                    Par téléphone

                                                                                                                    39 95

                                                                                                                    Le lundi et jeudi de 7h35 à 13h10 et 13h30 à 16h50, le mardi et mercredi de 7h35 à 13h15, le vendredi de 7h35 à 11h25

                                                                                                                    Numéro gris ou banalisé : coût d’un appel vers un fixe et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile

                                                                                                                    Depuis l’étranger (entreprises frontalières par exemple), composer le +33 1 77 86 39 95

                                                                                                                    Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                                                                                                    Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                                                                                                    Contrat de sécurisation professionnelle (CSP)

                                                                                                                    Le CSP permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé, de bénéficier, après la rupture du contrat de travail, d’un ensemble de mesures lui permettant un reclassement accéléré proposé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                                                                    Le CSP peut-il être proposé dans toutes les entreprises ? Quelle est l’indemnisation du salarié pendant le CSP ? Le salarié touche-t-il des indemnités par l’employeur s’il accepte le CSP ?

                                                                                                                    Nous faisons un point sur la réglementation.

                                                                                                                    Les conditions d’application du CSP varient en fonction de l’ancienneté du salarié : plus d’un an d’ancienneté ou moins.

                                                                                                                    Licenciement économique

                                                                                                                      Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                                                                                                                      L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                                                                                                                      Le CSP doit être proposé.

                                                                                                                        L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                                                                                                                        Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                                                                                                                          Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                                                                                                                            Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                                                                                                                            Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                                                                                                                            Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                              La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                                                                                                                              Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                                                                                                                              Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                                                                                                                Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                                    L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                                                                                                                    • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                                                                                                                    • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                                                                                                                        Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                                                                                                                        Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                                                                                                                        La date de remise au salarié du document d’information et la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                                                                                                                        Exemple

                                                                                                                                        Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                                                                                                                        Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                                                                                        Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                                                                                                                        À noter

                                                                                                                                        Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                                                                                                                        L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                                                                                                                        Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                                                                                                                        L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                                                                                                                        La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                                                                                                                        Indemnité de licenciement

                                                                                                                                        Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                                                                                                                        Indemnité compensatrice de préavis

                                                                                                                                        Le salarié ne perçoit pas d’indemnité compensatrice de préavis, puisque le contrat est rompu dès la fin du délai de réflexion pour accepter le CSP.

                                                                                                                                        L’employeur verse à France Travail (anciennement Pôle emploi) l’équivalent de l’indemnité que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                                                                                                                        Si le montant du préavis est supérieur à 3 mois de salaire, la part d’indemnité supérieure à ces 3 mois sera versée au salarié par l’employeur dès la fin de son contrat de travail.

                                                                                                                                        Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                                                                                                                        • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                                                                                                                        • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                                                                                                                        • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                                                                                                                        • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                                                                                                                        Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                                                                                                                                        L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                                                                                                                                        Le CSP doit être proposé.

                                                                                                                                          L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                                                                                                                                          Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                                                                                                                                            Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                                                                                                                                              Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                                                                                                                                              Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                                                                                                                                              Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                                                La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                                                                                                                                                Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                                                                                                                                                Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                                                                                                                                  Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                                                      L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                                                                                                                                      • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                                                                                                                                      • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                                                                                                                                          Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                                                                                                                                          Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                                                                                                                                          La date de remise au salarié du document d’information ainsi que la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                                                                                                                                          Exemple

                                                                                                                                                          Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                                                                                                                                          Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                                                                                                          Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                                                                                                                                          À noter

                                                                                                                                                          Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                                                                                                                                          L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                                                                                                                                          Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                                                                                                                                          L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                                                                                                                                          La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                                                                                                                                          Indemnité de licenciement

                                                                                                                                                          Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                                                                                                                                          Indemnité compensatrice de préavis

                                                                                                                                                          Le salarié perçoit une indemnité compensatrice de préavis.

                                                                                                                                                          Le montant de l’indemnité correspond à ce que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                                                                                                                                          Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                                                                                                                                          • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                                                                                                                                          • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                                                                                                                                          • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                                                                                                                                          • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                                                                                                                                        • Pour obtenir des informations sur le CSP pour les employeurs :
                                                                                                                                                          France Travail (anciennement Pôle emploi) pour les employeurs – 3995

                                                                                                                                                          Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d’emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l’embauche

                                                                                                                                                          Par téléphone

                                                                                                                                                          39 95

                                                                                                                                                          Le lundi et jeudi de 7h35 à 13h10 et 13h30 à 16h50, le mardi et mercredi de 7h35 à 13h15, le vendredi de 7h35 à 11h25

                                                                                                                                                          Numéro gris ou banalisé : coût d’un appel vers un fixe et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile

                                                                                                                                                          Depuis l’étranger (entreprises frontalières par exemple), composer le +33 1 77 86 39 95

                                                                                                                                                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                                                                                                                                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                                                                                                                                          Contrat de sécurisation professionnelle (CSP)

                                                                                                                                                          Le CSP permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé, de bénéficier, après la rupture du contrat de travail, d’un ensemble de mesures lui permettant un reclassement accéléré proposé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                                                                                                          Le CSP peut-il être proposé dans toutes les entreprises ? Quelle est l’indemnisation du salarié pendant le CSP ? Le salarié touche-t-il des indemnités par l’employeur s’il accepte le CSP ?

                                                                                                                                                          Nous faisons un point sur la réglementation.

                                                                                                                                                          Les conditions d’application du CSP varient en fonction de l’ancienneté du salarié : plus d’un an d’ancienneté ou moins.

                                                                                                                                                          Licenciement économique

                                                                                                                                                            Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                                                                                                                                                            L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                                                                                                                                                            Le CSP doit être proposé.

                                                                                                                                                              L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                                                                                                                                                              Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                                                                                                                                                                Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                                                                                                                                                                  Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                                                                                                                                                                  Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                                                                                                                                                                  Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                                                                    La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                                                                                                                                                                    Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                                                                                                                                                                    Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                                                                                                                                                      Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                                                                          L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                                                                                                                                                          • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                                                                                                                                                          • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                                                                                                                                                              Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                                                                                                                                                              Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                                                                                                                                                              La date de remise au salarié du document d’information et la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                                                                                                                                                              Exemple

                                                                                                                                                                              Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                                                                                                                                                              Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                                                                                                                              Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                                                                                                                                                              À noter

                                                                                                                                                                              Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                                                                                                                                                              L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                                                                                                                                                              Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                                                                                                                                                              L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                                                                                                                                                              La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                                                                                                                                                              Indemnité de licenciement

                                                                                                                                                                              Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                                                                                                                                                              Indemnité compensatrice de préavis

                                                                                                                                                                              Le salarié ne perçoit pas d’indemnité compensatrice de préavis, puisque le contrat est rompu dès la fin du délai de réflexion pour accepter le CSP.

                                                                                                                                                                              L’employeur verse à France Travail (anciennement Pôle emploi) l’équivalent de l’indemnité que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                                                                                                                                                              Si le montant du préavis est supérieur à 3 mois de salaire, la part d’indemnité supérieure à ces 3 mois sera versée au salarié par l’employeur dès la fin de son contrat de travail.

                                                                                                                                                                              Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                                                                                                                                                              • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                                                                                                                                                              • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                                                                                                                                                              • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                                                                                                                                                              • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                                                                                                                                                              Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.

                                                                                                                                                                              L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.

                                                                                                                                                                              Le CSP doit être proposé.

                                                                                                                                                                                L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.

                                                                                                                                                                                Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.

                                                                                                                                                                                  Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.

                                                                                                                                                                                    Le salarié en  CDI  dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.

                                                                                                                                                                                    Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.

                                                                                                                                                                                    Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                                                                                      La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.

                                                                                                                                                                                      Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.

                                                                                                                                                                                      Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.

                                                                                                                                                                                        Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.

                                                                                                                                                                                            L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :

                                                                                                                                                                                            • Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la  Dreets 

                                                                                                                                                                                            • Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets

                                                                                                                                                                                                Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.

                                                                                                                                                                                                Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.

                                                                                                                                                                                                La date de remise au salarié du document d’information ainsi que la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.

                                                                                                                                                                                                Exemple

                                                                                                                                                                                                Si le document d’information est remis au salarié le 3 avril 2023, le délai de réflexion se terminera le 24 avril 2023 à minuit.

                                                                                                                                                                                                Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                                                                                                                                                                                Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.

                                                                                                                                                                                                À noter

                                                                                                                                                                                                Si le licenciement concerne un salarié protégé, l’autorisation de la  Dreets  est obligatoire. Le délai de 21 jours est alors prolongé jusqu’au lendemain de la date de la décision de la Dreets communiquée à l’employeur.

                                                                                                                                                                                                L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.

                                                                                                                                                                                                Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.

                                                                                                                                                                                                L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.

                                                                                                                                                                                                La durée du CSP est de 12 mois maximum.

                                                                                                                                                                                                Indemnité de licenciement

                                                                                                                                                                                                Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.

                                                                                                                                                                                                Indemnité compensatrice de préavis

                                                                                                                                                                                                Le salarié perçoit une indemnité compensatrice de préavis.

                                                                                                                                                                                                Le montant de l’indemnité correspond à ce que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.

                                                                                                                                                                                                Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :

                                                                                                                                                                                                • Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation

                                                                                                                                                                                                • Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi

                                                                                                                                                                                                • Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP

                                                                                                                                                                                                • Reprise d’activité en  CDD  d’au moins 6 mois ou en  CDI 

                                                                                                                                                                                              • Pour obtenir des informations sur le CSP pour les employeurs :
                                                                                                                                                                                                France Travail (anciennement Pôle emploi) pour les employeurs – 3995

                                                                                                                                                                                                Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d’emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l’embauche

                                                                                                                                                                                                Par téléphone

                                                                                                                                                                                                39 95

                                                                                                                                                                                                Le lundi et jeudi de 7h35 à 13h10 et 13h30 à 16h50, le mardi et mercredi de 7h35 à 13h15, le vendredi de 7h35 à 11h25

                                                                                                                                                                                                Numéro gris ou banalisé : coût d’un appel vers un fixe et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile

                                                                                                                                                                                                Depuis l’étranger (entreprises frontalières par exemple), composer le +33 1 77 86 39 95

                                                                                                                                                                                                Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                                                                                                                                                                                Faire sa demande en ligne

                                                                                                                                                                                                Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                                                                                                                                                                                Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                                                                                                                                                                                La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                                                                                                                                                                                                Contact