Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Enseignement et formation d’un détenu en prison

Prison

    Toute personne détenue peut accéder à une formation en vue de sa réinsertion.

    Cette formation peut être de base (apprentissage de la lecture, de l’écriture, du calcul), de niveau secondaire ou supérieur. Il est possible d’obtenir un diplôme en prison (brevet des collèges, bac, BTS,…).

      Le détenu a droit à l’enseignement de base et à l’enseignement secondaire et supérieur.

      Enseignement de base

      Une personne détenue qui ne sait pas lire, écrire ou calculer couramment doit pouvoir bénéficier d’un enseignement adapté.

      Des cours spéciaux peuvent être organisés pour les personnes ne parlant ou n’écrivant pas le français qui en font la demande.

      Enseignement secondaire et supérieur

      Une personne détenue doit pouvoir accéder aux formations de niveau secondaire (collège, lycée) ou de l’enseignement supérieur.

      Elle peut notamment suivre les cours par correspondance organisés par des associations.

      L’inscription à ces cours nécessite l’autorisation du directeur de la prison.

      La personne détenue doit faire sa demande d’études auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

      La personne détenue peut aussi suivre des cours à l’extérieur, notamment en vue d’une formation professionnelle spécifique. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

      La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      Passage des examens

      Une personne détenue peut passer les épreuves d’un diplôme en prison : brevet des collèges, bac, brevet de technicien supérieur (BTS),…

      En cas d’impossibilité de passer les épreuves dans l’établissement pénitentiaire, le candidat détenu peut bénéficier d’une permission de sortie si sa situation pénale le permet.

      La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      Les diplômes ne font pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Le diplôme a la même valeur que si le candidat était en liberté.

      Acquisition de droits à la formation

      Le fait de travailler en prison peut vous permettre d’acquérir des droits à la formation.

      Il faut pour cela que vous ayez travaillé au moins pendant 80 heures au cours d’une année.

      Les droits à la formation acquis suite au travail en prison seront inscrits dans votre compte d’engagement citoyen.

      Vous pourrez utiliser les droits inscrits dans votre compte d’engagement citoyen après votre détention.

      Les personnes détenues peuvent bénéficier des formations professionnelles organisées par les conseils régionaux.

      Il faut qu’elles en fassent la demande et qu’elles soient sélectionnées.

      Les plans de formations sont établis conjointement par la direction de l’établissement et le conseil régional dont l’établissement dépend. Ces formations peuvent être rémunérées.

      La personne détenue doit faire sa demande de formation auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

      Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

      Elle est réservée aux détenus âgés de 29 ans au plus, dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

      Les détenus peuvent bénéficier de ce mécanisme pour apprendre un métier en alternance et obtenir une certification.

      La participation d’une personne détenue à l’action de formation donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

      Ce document précise les informations suivantes :

      • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

      • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

      • Conditions de déroulement de l’alternance

      • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

      L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

      Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

      • 5,35 € pour les activités de production

      • 3,92 € pour le service général, classe I

      • 2,97 € pour le service général, classe II

      • 2,38 € pour le service général, classe III

    Toute personne détenue a le droit d’accéder à une formation en vue de sa réinsertion. Cette formation peut être de base (lecture, écriture, calcul), de niveau secondaire ou supérieur et peut permettre d’obtenir un diplôme (brevet, bac,…). De plus, l’obligation scolaire reste en vigueur pendant la détention et les détenus doivent disposer d’un temps minimum de cours en prison.

      L’enseignement ou la formation constitue la part la plus importante de l’emploi du temps mineur incarcéré et est donc l’axe prioritaire de la prise en charge du mineur détenu.

      Le mineur doit ainsi disposer d’un temps scolaire d’au moins 12 heures par semaine.

      Lors de son arrivée en prison, le détenu mineur bénéficie d’un entretien individuel. À cette occasion, son parcours et ses besoins de formation sont déterminés et une offre de formation personnalisée lui est proposée.

      Il peut également bénéficier des conseils d’un conseiller d’orientation-psychologue pour préciser son projet de poursuite d’études ou de formation.

      Le détenu mineur poursuit sa scolarité à l’intérieur de l’établissement pénitentiaire dans une classe prévue pour des groupes de 4 à 7 mineurs et dirigée par un enseignant de l’Éducation nationale.

      Il peut aussi suivre des cours à l’extérieur. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le mineur détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

      La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      Les parents sont tenus au courant de la scolarité de leur enfant mineur détenu. L’emploi du temps scolaire et le livret d’attestation du parcours scolaire leur sont transmis.

      Des réunions leur sont proposées pour évoquer les questions liées à la formation et à l’orientation.

      Le détenu mineur peut passer un diplôme : certificat de formation générale, brevet des collèges…

      Si les épreuves ne peuvent pas se dérouler dans l’établissement, et si sa situation pénale le permet, le mineur peut bénéficier d’une permission de sortie.

      La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      Le diplôme ne fait pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Il a la même valeur que si le candidat était en liberté.

      Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

      L’apprentissage est ouvert à tous les détenus mineurs dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

      L’action de formation par l’apprentissage donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

      Ce document précise les informations suivantes :

      • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

      • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

      • Conditions de déroulement de l’alternance

      • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

      L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

      Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

      • 5,35 € pour les activités de production

      • 3,92 € pour le service général, classe I

      • 2,97 € pour le service général, classe II

      • 2,38 € pour le service général, classe III

    • Centre national d’enseignement à distance (Cned)

      Informations sur les formations et les dossiers d’inscription pour les offres de formation à distance

      Par téléphone

      +33 (0)5 49 49 94 94 (serveur vocal en dehors des heures d’ouverture)

      Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h (de juin à octobre : fermeture à 18h30)

      Par messagerie

      Accès au  formulaire de contact 

      Par courrier

      Cned

      BP 60200

      86980 Futuroscope Chasseneuil Cedex

      Par télécopie

      05 49 49 96 96

      Enseignement et formation d’un détenu en prison

      Prison

        Toute personne détenue peut accéder à une formation en vue de sa réinsertion.

        Cette formation peut être de base (apprentissage de la lecture, de l’écriture, du calcul), de niveau secondaire ou supérieur. Il est possible d’obtenir un diplôme en prison (brevet des collèges, bac, BTS,…).

          Le détenu a droit à l’enseignement de base et à l’enseignement secondaire et supérieur.

          Enseignement de base

          Une personne détenue qui ne sait pas lire, écrire ou calculer couramment doit pouvoir bénéficier d’un enseignement adapté.

          Des cours spéciaux peuvent être organisés pour les personnes ne parlant ou n’écrivant pas le français qui en font la demande.

          Enseignement secondaire et supérieur

          Une personne détenue doit pouvoir accéder aux formations de niveau secondaire (collège, lycée) ou de l’enseignement supérieur.

          Elle peut notamment suivre les cours par correspondance organisés par des associations.

          L’inscription à ces cours nécessite l’autorisation du directeur de la prison.

          La personne détenue doit faire sa demande d’études auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

          La personne détenue peut aussi suivre des cours à l’extérieur, notamment en vue d’une formation professionnelle spécifique. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

          La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          Passage des examens

          Une personne détenue peut passer les épreuves d’un diplôme en prison : brevet des collèges, bac, brevet de technicien supérieur (BTS),…

          En cas d’impossibilité de passer les épreuves dans l’établissement pénitentiaire, le candidat détenu peut bénéficier d’une permission de sortie si sa situation pénale le permet.

          La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          Les diplômes ne font pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Le diplôme a la même valeur que si le candidat était en liberté.

          Acquisition de droits à la formation

          Le fait de travailler en prison peut vous permettre d’acquérir des droits à la formation.

          Il faut pour cela que vous ayez travaillé au moins pendant 80 heures au cours d’une année.

          Les droits à la formation acquis suite au travail en prison seront inscrits dans votre compte d’engagement citoyen.

          Vous pourrez utiliser les droits inscrits dans votre compte d’engagement citoyen après votre détention.

          Les personnes détenues peuvent bénéficier des formations professionnelles organisées par les conseils régionaux.

          Il faut qu’elles en fassent la demande et qu’elles soient sélectionnées.

          Les plans de formations sont établis conjointement par la direction de l’établissement et le conseil régional dont l’établissement dépend. Ces formations peuvent être rémunérées.

          La personne détenue doit faire sa demande de formation auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

          Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

          Elle est réservée aux détenus âgés de 29 ans au plus, dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

          Les détenus peuvent bénéficier de ce mécanisme pour apprendre un métier en alternance et obtenir une certification.

          La participation d’une personne détenue à l’action de formation donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

          Ce document précise les informations suivantes :

          • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

          • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

          • Conditions de déroulement de l’alternance

          • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

          L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

          Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

          • 5,35 € pour les activités de production

          • 3,92 € pour le service général, classe I

          • 2,97 € pour le service général, classe II

          • 2,38 € pour le service général, classe III

        Toute personne détenue a le droit d’accéder à une formation en vue de sa réinsertion. Cette formation peut être de base (lecture, écriture, calcul), de niveau secondaire ou supérieur et peut permettre d’obtenir un diplôme (brevet, bac,…). De plus, l’obligation scolaire reste en vigueur pendant la détention et les détenus doivent disposer d’un temps minimum de cours en prison.

          L’enseignement ou la formation constitue la part la plus importante de l’emploi du temps mineur incarcéré et est donc l’axe prioritaire de la prise en charge du mineur détenu.

          Le mineur doit ainsi disposer d’un temps scolaire d’au moins 12 heures par semaine.

          Lors de son arrivée en prison, le détenu mineur bénéficie d’un entretien individuel. À cette occasion, son parcours et ses besoins de formation sont déterminés et une offre de formation personnalisée lui est proposée.

          Il peut également bénéficier des conseils d’un conseiller d’orientation-psychologue pour préciser son projet de poursuite d’études ou de formation.

          Le détenu mineur poursuit sa scolarité à l’intérieur de l’établissement pénitentiaire dans une classe prévue pour des groupes de 4 à 7 mineurs et dirigée par un enseignant de l’Éducation nationale.

          Il peut aussi suivre des cours à l’extérieur. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le mineur détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

          La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          Les parents sont tenus au courant de la scolarité de leur enfant mineur détenu. L’emploi du temps scolaire et le livret d’attestation du parcours scolaire leur sont transmis.

          Des réunions leur sont proposées pour évoquer les questions liées à la formation et à l’orientation.

          Le détenu mineur peut passer un diplôme : certificat de formation générale, brevet des collèges…

          Si les épreuves ne peuvent pas se dérouler dans l’établissement, et si sa situation pénale le permet, le mineur peut bénéficier d’une permission de sortie.

          La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          Le diplôme ne fait pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Il a la même valeur que si le candidat était en liberté.

          Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

          L’apprentissage est ouvert à tous les détenus mineurs dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

          L’action de formation par l’apprentissage donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

          Ce document précise les informations suivantes :

          • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

          • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

          • Conditions de déroulement de l’alternance

          • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

          L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

          Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

          • 5,35 € pour les activités de production

          • 3,92 € pour le service général, classe I

          • 2,97 € pour le service général, classe II

          • 2,38 € pour le service général, classe III

        • Centre national d’enseignement à distance (Cned)

          Informations sur les formations et les dossiers d’inscription pour les offres de formation à distance

          Par téléphone

          +33 (0)5 49 49 94 94 (serveur vocal en dehors des heures d’ouverture)

          Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h (de juin à octobre : fermeture à 18h30)

          Par messagerie

          Accès au  formulaire de contact 

          Par courrier

          Cned

          BP 60200

          86980 Futuroscope Chasseneuil Cedex

          Par télécopie

          05 49 49 96 96

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

          Enseignement et formation d’un détenu en prison

          Prison

            Toute personne détenue peut accéder à une formation en vue de sa réinsertion.

            Cette formation peut être de base (apprentissage de la lecture, de l’écriture, du calcul), de niveau secondaire ou supérieur. Il est possible d’obtenir un diplôme en prison (brevet des collèges, bac, BTS,…).

              Le détenu a droit à l’enseignement de base et à l’enseignement secondaire et supérieur.

              Enseignement de base

              Une personne détenue qui ne sait pas lire, écrire ou calculer couramment doit pouvoir bénéficier d’un enseignement adapté.

              Des cours spéciaux peuvent être organisés pour les personnes ne parlant ou n’écrivant pas le français qui en font la demande.

              Enseignement secondaire et supérieur

              Une personne détenue doit pouvoir accéder aux formations de niveau secondaire (collège, lycée) ou de l’enseignement supérieur.

              Elle peut notamment suivre les cours par correspondance organisés par des associations.

              L’inscription à ces cours nécessite l’autorisation du directeur de la prison.

              La personne détenue doit faire sa demande d’études auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

              La personne détenue peut aussi suivre des cours à l’extérieur, notamment en vue d’une formation professionnelle spécifique. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

              La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

              Où s’adresser ?

               Tribunal judiciaire 

              Passage des examens

              Une personne détenue peut passer les épreuves d’un diplôme en prison : brevet des collèges, bac, brevet de technicien supérieur (BTS),…

              En cas d’impossibilité de passer les épreuves dans l’établissement pénitentiaire, le candidat détenu peut bénéficier d’une permission de sortie si sa situation pénale le permet.

              La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

              Où s’adresser ?

               Tribunal judiciaire 

              Les diplômes ne font pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Le diplôme a la même valeur que si le candidat était en liberté.

              Acquisition de droits à la formation

              Le fait de travailler en prison peut vous permettre d’acquérir des droits à la formation.

              Il faut pour cela que vous ayez travaillé au moins pendant 80 heures au cours d’une année.

              Les droits à la formation acquis suite au travail en prison seront inscrits dans votre compte d’engagement citoyen.

              Vous pourrez utiliser les droits inscrits dans votre compte d’engagement citoyen après votre détention.

              Les personnes détenues peuvent bénéficier des formations professionnelles organisées par les conseils régionaux.

              Il faut qu’elles en fassent la demande et qu’elles soient sélectionnées.

              Les plans de formations sont établis conjointement par la direction de l’établissement et le conseil régional dont l’établissement dépend. Ces formations peuvent être rémunérées.

              La personne détenue doit faire sa demande de formation auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

              Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

              Elle est réservée aux détenus âgés de 29 ans au plus, dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

              Les détenus peuvent bénéficier de ce mécanisme pour apprendre un métier en alternance et obtenir une certification.

              La participation d’une personne détenue à l’action de formation donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

              Ce document précise les informations suivantes :

              • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

              • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

              • Conditions de déroulement de l’alternance

              • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

              L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

              Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

              • 5,35 € pour les activités de production

              • 3,92 € pour le service général, classe I

              • 2,97 € pour le service général, classe II

              • 2,38 € pour le service général, classe III

            Toute personne détenue a le droit d’accéder à une formation en vue de sa réinsertion. Cette formation peut être de base (lecture, écriture, calcul), de niveau secondaire ou supérieur et peut permettre d’obtenir un diplôme (brevet, bac,…). De plus, l’obligation scolaire reste en vigueur pendant la détention et les détenus doivent disposer d’un temps minimum de cours en prison.

              L’enseignement ou la formation constitue la part la plus importante de l’emploi du temps mineur incarcéré et est donc l’axe prioritaire de la prise en charge du mineur détenu.

              Le mineur doit ainsi disposer d’un temps scolaire d’au moins 12 heures par semaine.

              Lors de son arrivée en prison, le détenu mineur bénéficie d’un entretien individuel. À cette occasion, son parcours et ses besoins de formation sont déterminés et une offre de formation personnalisée lui est proposée.

              Il peut également bénéficier des conseils d’un conseiller d’orientation-psychologue pour préciser son projet de poursuite d’études ou de formation.

              Le détenu mineur poursuit sa scolarité à l’intérieur de l’établissement pénitentiaire dans une classe prévue pour des groupes de 4 à 7 mineurs et dirigée par un enseignant de l’Éducation nationale.

              Il peut aussi suivre des cours à l’extérieur. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le mineur détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

              La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

              Où s’adresser ?

               Tribunal judiciaire 

              Les parents sont tenus au courant de la scolarité de leur enfant mineur détenu. L’emploi du temps scolaire et le livret d’attestation du parcours scolaire leur sont transmis.

              Des réunions leur sont proposées pour évoquer les questions liées à la formation et à l’orientation.

              Le détenu mineur peut passer un diplôme : certificat de formation générale, brevet des collèges…

              Si les épreuves ne peuvent pas se dérouler dans l’établissement, et si sa situation pénale le permet, le mineur peut bénéficier d’une permission de sortie.

              La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

              Où s’adresser ?

               Tribunal judiciaire 

              Le diplôme ne fait pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Il a la même valeur que si le candidat était en liberté.

              Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

              L’apprentissage est ouvert à tous les détenus mineurs dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

              L’action de formation par l’apprentissage donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

              Ce document précise les informations suivantes :

              • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

              • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

              • Conditions de déroulement de l’alternance

              • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

              L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

              Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

              • 5,35 € pour les activités de production

              • 3,92 € pour le service général, classe I

              • 2,97 € pour le service général, classe II

              • 2,38 € pour le service général, classe III

            • Centre national d’enseignement à distance (Cned)

              Informations sur les formations et les dossiers d’inscription pour les offres de formation à distance

              Par téléphone

              +33 (0)5 49 49 94 94 (serveur vocal en dehors des heures d’ouverture)

              Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h (de juin à octobre : fermeture à 18h30)

              Par messagerie

              Accès au  formulaire de contact 

              Par courrier

              Cned

              BP 60200

              86980 Futuroscope Chasseneuil Cedex

              Par télécopie

              05 49 49 96 96

              Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

              Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

              Enseignement et formation d’un détenu en prison

              Prison

                Toute personne détenue peut accéder à une formation en vue de sa réinsertion.

                Cette formation peut être de base (apprentissage de la lecture, de l’écriture, du calcul), de niveau secondaire ou supérieur. Il est possible d’obtenir un diplôme en prison (brevet des collèges, bac, BTS,…).

                  Le détenu a droit à l’enseignement de base et à l’enseignement secondaire et supérieur.

                  Enseignement de base

                  Une personne détenue qui ne sait pas lire, écrire ou calculer couramment doit pouvoir bénéficier d’un enseignement adapté.

                  Des cours spéciaux peuvent être organisés pour les personnes ne parlant ou n’écrivant pas le français qui en font la demande.

                  Enseignement secondaire et supérieur

                  Une personne détenue doit pouvoir accéder aux formations de niveau secondaire (collège, lycée) ou de l’enseignement supérieur.

                  Elle peut notamment suivre les cours par correspondance organisés par des associations.

                  L’inscription à ces cours nécessite l’autorisation du directeur de la prison.

                  La personne détenue doit faire sa demande d’études auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

                  La personne détenue peut aussi suivre des cours à l’extérieur, notamment en vue d’une formation professionnelle spécifique. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

                  La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                  Passage des examens

                  Une personne détenue peut passer les épreuves d’un diplôme en prison : brevet des collèges, bac, brevet de technicien supérieur (BTS),…

                  En cas d’impossibilité de passer les épreuves dans l’établissement pénitentiaire, le candidat détenu peut bénéficier d’une permission de sortie si sa situation pénale le permet.

                  La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                  Les diplômes ne font pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Le diplôme a la même valeur que si le candidat était en liberté.

                  Acquisition de droits à la formation

                  Le fait de travailler en prison peut vous permettre d’acquérir des droits à la formation.

                  Il faut pour cela que vous ayez travaillé au moins pendant 80 heures au cours d’une année.

                  Les droits à la formation acquis suite au travail en prison seront inscrits dans votre compte d’engagement citoyen.

                  Vous pourrez utiliser les droits inscrits dans votre compte d’engagement citoyen après votre détention.

                  Les personnes détenues peuvent bénéficier des formations professionnelles organisées par les conseils régionaux.

                  Il faut qu’elles en fassent la demande et qu’elles soient sélectionnées.

                  Les plans de formations sont établis conjointement par la direction de l’établissement et le conseil régional dont l’établissement dépend. Ces formations peuvent être rémunérées.

                  La personne détenue doit faire sa demande de formation auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

                  Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

                  Elle est réservée aux détenus âgés de 29 ans au plus, dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

                  Les détenus peuvent bénéficier de ce mécanisme pour apprendre un métier en alternance et obtenir une certification.

                  La participation d’une personne détenue à l’action de formation donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

                  Ce document précise les informations suivantes :

                  • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

                  • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

                  • Conditions de déroulement de l’alternance

                  • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

                  L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

                  Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

                  • 5,35 € pour les activités de production

                  • 3,92 € pour le service général, classe I

                  • 2,97 € pour le service général, classe II

                  • 2,38 € pour le service général, classe III

                Toute personne détenue a le droit d’accéder à une formation en vue de sa réinsertion. Cette formation peut être de base (lecture, écriture, calcul), de niveau secondaire ou supérieur et peut permettre d’obtenir un diplôme (brevet, bac,…). De plus, l’obligation scolaire reste en vigueur pendant la détention et les détenus doivent disposer d’un temps minimum de cours en prison.

                  L’enseignement ou la formation constitue la part la plus importante de l’emploi du temps mineur incarcéré et est donc l’axe prioritaire de la prise en charge du mineur détenu.

                  Le mineur doit ainsi disposer d’un temps scolaire d’au moins 12 heures par semaine.

                  Lors de son arrivée en prison, le détenu mineur bénéficie d’un entretien individuel. À cette occasion, son parcours et ses besoins de formation sont déterminés et une offre de formation personnalisée lui est proposée.

                  Il peut également bénéficier des conseils d’un conseiller d’orientation-psychologue pour préciser son projet de poursuite d’études ou de formation.

                  Le détenu mineur poursuit sa scolarité à l’intérieur de l’établissement pénitentiaire dans une classe prévue pour des groupes de 4 à 7 mineurs et dirigée par un enseignant de l’Éducation nationale.

                  Il peut aussi suivre des cours à l’extérieur. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le mineur détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

                  La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                  Les parents sont tenus au courant de la scolarité de leur enfant mineur détenu. L’emploi du temps scolaire et le livret d’attestation du parcours scolaire leur sont transmis.

                  Des réunions leur sont proposées pour évoquer les questions liées à la formation et à l’orientation.

                  Le détenu mineur peut passer un diplôme : certificat de formation générale, brevet des collèges…

                  Si les épreuves ne peuvent pas se dérouler dans l’établissement, et si sa situation pénale le permet, le mineur peut bénéficier d’une permission de sortie.

                  La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                  Le diplôme ne fait pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Il a la même valeur que si le candidat était en liberté.

                  Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

                  L’apprentissage est ouvert à tous les détenus mineurs dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

                  L’action de formation par l’apprentissage donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

                  Ce document précise les informations suivantes :

                  • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

                  • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

                  • Conditions de déroulement de l’alternance

                  • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

                  L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

                  Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

                  • 5,35 € pour les activités de production

                  • 3,92 € pour le service général, classe I

                  • 2,97 € pour le service général, classe II

                  • 2,38 € pour le service général, classe III

                • Centre national d’enseignement à distance (Cned)

                  Informations sur les formations et les dossiers d’inscription pour les offres de formation à distance

                  Par téléphone

                  +33 (0)5 49 49 94 94 (serveur vocal en dehors des heures d’ouverture)

                  Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h (de juin à octobre : fermeture à 18h30)

                  Par messagerie

                  Accès au  formulaire de contact 

                  Par courrier

                  Cned

                  BP 60200

                  86980 Futuroscope Chasseneuil Cedex

                  Par télécopie

                  05 49 49 96 96

                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                  Enseignement et formation d’un détenu en prison

                  Prison

                    Toute personne détenue peut accéder à une formation en vue de sa réinsertion.

                    Cette formation peut être de base (apprentissage de la lecture, de l’écriture, du calcul), de niveau secondaire ou supérieur. Il est possible d’obtenir un diplôme en prison (brevet des collèges, bac, BTS,…).

                      Le détenu a droit à l’enseignement de base et à l’enseignement secondaire et supérieur.

                      Enseignement de base

                      Une personne détenue qui ne sait pas lire, écrire ou calculer couramment doit pouvoir bénéficier d’un enseignement adapté.

                      Des cours spéciaux peuvent être organisés pour les personnes ne parlant ou n’écrivant pas le français qui en font la demande.

                      Enseignement secondaire et supérieur

                      Une personne détenue doit pouvoir accéder aux formations de niveau secondaire (collège, lycée) ou de l’enseignement supérieur.

                      Elle peut notamment suivre les cours par correspondance organisés par des associations.

                      L’inscription à ces cours nécessite l’autorisation du directeur de la prison.

                      La personne détenue doit faire sa demande d’études auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

                      La personne détenue peut aussi suivre des cours à l’extérieur, notamment en vue d’une formation professionnelle spécifique. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

                      La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      Passage des examens

                      Une personne détenue peut passer les épreuves d’un diplôme en prison : brevet des collèges, bac, brevet de technicien supérieur (BTS),…

                      En cas d’impossibilité de passer les épreuves dans l’établissement pénitentiaire, le candidat détenu peut bénéficier d’une permission de sortie si sa situation pénale le permet.

                      La mesure est accordée par le juge de l’application des peines (JAP). Le JAP compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      Les diplômes ne font pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Le diplôme a la même valeur que si le candidat était en liberté.

                      Acquisition de droits à la formation

                      Le fait de travailler en prison peut vous permettre d’acquérir des droits à la formation.

                      Il faut pour cela que vous ayez travaillé au moins pendant 80 heures au cours d’une année.

                      Les droits à la formation acquis suite au travail en prison seront inscrits dans votre compte d’engagement citoyen.

                      Vous pourrez utiliser les droits inscrits dans votre compte d’engagement citoyen après votre détention.

                      Les personnes détenues peuvent bénéficier des formations professionnelles organisées par les conseils régionaux.

                      Il faut qu’elles en fassent la demande et qu’elles soient sélectionnées.

                      Les plans de formations sont établis conjointement par la direction de l’établissement et le conseil régional dont l’établissement dépend. Ces formations peuvent être rémunérées.

                      La personne détenue doit faire sa demande de formation auprès du service pénitentiaire d’insertion et de probation, via son conseiller pénitentiaire d’insertion et de probation.

                      Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

                      Elle est réservée aux détenus âgés de 29 ans au plus, dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

                      Les détenus peuvent bénéficier de ce mécanisme pour apprendre un métier en alternance et obtenir une certification.

                      La participation d’une personne détenue à l’action de formation donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

                      Ce document précise les informations suivantes :

                      • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

                      • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

                      • Conditions de déroulement de l’alternance

                      • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

                      L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

                      Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

                      • 5,35 € pour les activités de production

                      • 3,92 € pour le service général, classe I

                      • 2,97 € pour le service général, classe II

                      • 2,38 € pour le service général, classe III

                    Toute personne détenue a le droit d’accéder à une formation en vue de sa réinsertion. Cette formation peut être de base (lecture, écriture, calcul), de niveau secondaire ou supérieur et peut permettre d’obtenir un diplôme (brevet, bac,…). De plus, l’obligation scolaire reste en vigueur pendant la détention et les détenus doivent disposer d’un temps minimum de cours en prison.

                      L’enseignement ou la formation constitue la part la plus importante de l’emploi du temps mineur incarcéré et est donc l’axe prioritaire de la prise en charge du mineur détenu.

                      Le mineur doit ainsi disposer d’un temps scolaire d’au moins 12 heures par semaine.

                      Lors de son arrivée en prison, le détenu mineur bénéficie d’un entretien individuel. À cette occasion, son parcours et ses besoins de formation sont déterminés et une offre de formation personnalisée lui est proposée.

                      Il peut également bénéficier des conseils d’un conseiller d’orientation-psychologue pour préciser son projet de poursuite d’études ou de formation.

                      Le détenu mineur poursuit sa scolarité à l’intérieur de l’établissement pénitentiaire dans une classe prévue pour des groupes de 4 à 7 mineurs et dirigée par un enseignant de l’Éducation nationale.

                      Il peut aussi suivre des cours à l’extérieur. Dans ce cas-là, une mesure de placement à l’extérieur ou de semi-liberté (le mineur détenu est à l’extérieur en journée, mais revient en prison le soir) peut être envisagée.

                      La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      Les parents sont tenus au courant de la scolarité de leur enfant mineur détenu. L’emploi du temps scolaire et le livret d’attestation du parcours scolaire leur sont transmis.

                      Des réunions leur sont proposées pour évoquer les questions liées à la formation et à l’orientation.

                      Le détenu mineur peut passer un diplôme : certificat de formation générale, brevet des collèges…

                      Si les épreuves ne peuvent pas se dérouler dans l’établissement, et si sa situation pénale le permet, le mineur peut bénéficier d’une permission de sortie.

                      La mesure est accordée par le juge des enfants. Le juge des enfants compétent est celui du tribunal judiciaire du lieu de la prison.

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      Le diplôme ne fait pas apparaître l’état de détention de son titulaire. Il a la même valeur que si le candidat était en liberté.

                      Depuis le 1er janvier 2020, une formation par l’apprentissage est mise en place de manière expérimentale dans les prisons.

                      L’apprentissage est ouvert à tous les détenus mineurs dont l’établissement pénitentiaire participe à l’expérimentation.

                      L’action de formation par l’apprentissage donne lieu à la signature d’un contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage.

                      Ce document précise les informations suivantes :

                      • Qualification professionnelle ou titre à finalité professionnelle préparé

                      • Période couverte par le contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage

                      • Conditions de déroulement de l’alternance

                      • Identité du tuteur de la formation en poste de travail.

                      L’apprentissage se déroule dans un centre de formation des apprentis (CFA). Ce centre peut être situé à à l’intérieur ou à l’extérieur de la prison.

                      Pendant la durée du contrat d’emploi pénitentiaire en apprentissage, le détenu perçoit une rémunération qui ne peut pas être inférieure aux montants suivants :

                      • 5,35 € pour les activités de production

                      • 3,92 € pour le service général, classe I

                      • 2,97 € pour le service général, classe II

                      • 2,38 € pour le service général, classe III

                    • Centre national d’enseignement à distance (Cned)

                      Informations sur les formations et les dossiers d’inscription pour les offres de formation à distance

                      Par téléphone

                      +33 (0)5 49 49 94 94 (serveur vocal en dehors des heures d’ouverture)

                      Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h (de juin à octobre : fermeture à 18h30)

                      Par messagerie

                      Accès au  formulaire de contact 

                      Par courrier

                      Cned

                      BP 60200

                      86980 Futuroscope Chasseneuil Cedex

                      Par télécopie

                      05 49 49 96 96

                      Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                      Faire sa demande en ligne

                      Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                      Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                      La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                      Contact