Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ?

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Licenciement pour motif économique : adaptation et reclassement des salariés

Avant de procéder à un licenciement économique, l’employeur doit mettre en œuvre toutes les mesures permettant d’éviter les licenciements. Il doit adapter les salariés à leur emploi pour permettre éventuellement leur reclassement sur un autre poste.

Quels sont les employeurs concernés ? Quelles offres de reclassement peuvent être proposées ? Comment s’effectue la proposition de reclassement au salarié ?

Nous faisons le point sur la réglementation.

    Pendant toute la durée du contrat de travail, l’employeur doit assurer l’adaptation du salarié à son poste de travail.

    Il doit préserver la capacité du salarié à se maintenir dans son emploi, au vu de l’évolution des emplois, et des technologies notamment.

    L’employeur ne pourra licencier le salarié que si toutes les possibilités de formation et d’adaptation ont été réalisées afin que le salarié conserve son poste ou soit reclassé sur un autre poste disponible.

    Il peut ainsi proposer une formation complémentaire de courte durée permettant une mise en place rapide sur le poste.

    Tousles employeurs sont concernés par l’obligation de reclassement quel que soit le nombre de licenciements envisagés et quelle que soit la taille de l’entreprise.

    Pour éviter le licenciement économique, l’employeur doit rechercher les possibilités de reclassement et les proposer aux salariés.

    En priorité, l’employeur propose au salarié un emploi relevant de la même catégorie que celui qu’il occupe (ou un emploi équivalent) avec une rémunération équivalente.

    Si aucun poste n’est disponible, l’employeur doit étendre ses recherches aux emplois que le salarié pourrait exercer après une formation permettant son adaptation à cet emploi.

    À noter

    une formation permettant l’adaptation à un emploi n’est pas une formation initiale. Elle est de courte durée pour assurer une mise en place rapide sur le poste.

    L’employeur peut proposer, avec l’accord du salarié, un emploi d’une catégorie inférieure et d’une rémunération inférieure.

    Le nouveau poste proposé peut prendre la forme d’un  CDI  ou d’un  CDD , à temps plein ou à temps partiel avec l’accord du salarié.

    Le périmètre de recherche de reclassement diffère si l’entreprise appartient à un groupe ou non.

    La recherche de reclassement s’effectue sur les postes disponibles dans l’entreprise.

      Lorsque l’entreprise fait partie d’un groupe, l’employeur étend ses recherches à toutes les entreprises du groupe situées en France.

      À noter

      si l’entreprise appartient à un groupe international, cette recherche s’effectue uniquement en France.

        L’employeur a 2 possibilités pour proposer les offres de reclassement  :

        • Soit il adresse à chaque salarié une offre personnalisée,

        • Soit il diffuse à l’ensemble des salariés la liste des postes disponibles.

        Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

        Elles doivent préciser les mentions suivantes :

        • Intitulé du poste et son descriptif

        • Nom de l’employeur

        • Nature du contrat de travail

        • Localisation du poste

        • Montant de la rémunération

        • Classification du poste

        La lettre de proposition de reclassement précise le délai de réponse du salarié. Elle mentionne également la forme de la réponse (lettre recommandée avec avis de réception par exemple).

          L’employeur communique par tout moyen la liste des postes disponibles à l’ensemble des salariés. Par exemple, l’employeur peut utiliser l’intranet de l’entreprise.

          Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

          Elles doivent préciser les mentions suivantes :

          • Intitulé du poste et son descriptif

          • Nom de l’employeur

          • Nature du contrat de travail

          • Localisation du poste

          • Montant de la rémunération

          • Classification du poste

          Cette liste comprend l’ensemble des postes disponibles situés en France dans l’entreprise, et dans les autres entreprises du groupe dont l’entreprise fait partie, situées en France.

          Elle précise les critères permettant de départager les salariés en cas de candidatures multiples sur un même poste.

          La liste indique le délai dont dispose le salarié pour présenter sa candidature.

          Ce délai doit être d’au moins 15 jours francs à compter de la diffusion de la liste.

          À noter

          dans les entreprises faisant l’objet d’un redressement ou d’une liquidation judiciaire, le délai est d’au moins 4 jours francs.

            Si le salarié accepte une offre de reclassement, il informe l’employeur par écrit, dans le délai prévu par la proposition de reclassement.

            Il peut être reclassé sur le poste qu’il a accepté.

            Lorsque l’employeur a proposé un poste de reclassement à plusieurs salariés, il ne peut pas garantir au salarié que le poste de reclassement qui lui est proposé lui soit attribué s’il l’accepte. En effet, l’employeur doit tenir compte des candidatures des autres salariés concernés par l’offre de reclasssement.

            Le salarié peut refuser l’offre de reclassement proposée. L’employeur doit continuer à rechercher un reclassement tant que le licenciement n’a pas été notifié.

            Si, malgrè tous ses efforts de recherche, aucun autre reclassement n’a pu être trouvé, l’employeur pourra licencier le salarié pour motif économique.

            Si le salarié refuse toutes les offres de reclassement proposées, l’employeur pourra le licencier pour motif économique.

          Licenciement pour motif économique : adaptation et reclassement des salariés

          Avant de procéder à un licenciement économique, l’employeur doit mettre en œuvre toutes les mesures permettant d’éviter les licenciements. Il doit adapter les salariés à leur emploi pour permettre éventuellement leur reclassement sur un autre poste.

          Quels sont les employeurs concernés ? Quelles offres de reclassement peuvent être proposées ? Comment s’effectue la proposition de reclassement au salarié ?

          Nous faisons le point sur la réglementation.

            Pendant toute la durée du contrat de travail, l’employeur doit assurer l’adaptation du salarié à son poste de travail.

            Il doit préserver la capacité du salarié à se maintenir dans son emploi, au vu de l’évolution des emplois, et des technologies notamment.

            L’employeur ne pourra licencier le salarié que si toutes les possibilités de formation et d’adaptation ont été réalisées afin que le salarié conserve son poste ou soit reclassé sur un autre poste disponible.

            Il peut ainsi proposer une formation complémentaire de courte durée permettant une mise en place rapide sur le poste.

            Tousles employeurs sont concernés par l’obligation de reclassement quel que soit le nombre de licenciements envisagés et quelle que soit la taille de l’entreprise.

            Pour éviter le licenciement économique, l’employeur doit rechercher les possibilités de reclassement et les proposer aux salariés.

            En priorité, l’employeur propose au salarié un emploi relevant de la même catégorie que celui qu’il occupe (ou un emploi équivalent) avec une rémunération équivalente.

            Si aucun poste n’est disponible, l’employeur doit étendre ses recherches aux emplois que le salarié pourrait exercer après une formation permettant son adaptation à cet emploi.

            À noter

            une formation permettant l’adaptation à un emploi n’est pas une formation initiale. Elle est de courte durée pour assurer une mise en place rapide sur le poste.

            L’employeur peut proposer, avec l’accord du salarié, un emploi d’une catégorie inférieure et d’une rémunération inférieure.

            Le nouveau poste proposé peut prendre la forme d’un  CDI  ou d’un  CDD , à temps plein ou à temps partiel avec l’accord du salarié.

            Le périmètre de recherche de reclassement diffère si l’entreprise appartient à un groupe ou non.

            La recherche de reclassement s’effectue sur les postes disponibles dans l’entreprise.

              Lorsque l’entreprise fait partie d’un groupe, l’employeur étend ses recherches à toutes les entreprises du groupe situées en France.

              À noter

              si l’entreprise appartient à un groupe international, cette recherche s’effectue uniquement en France.

                L’employeur a 2 possibilités pour proposer les offres de reclassement  :

                • Soit il adresse à chaque salarié une offre personnalisée,

                • Soit il diffuse à l’ensemble des salariés la liste des postes disponibles.

                Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

                Elles doivent préciser les mentions suivantes :

                • Intitulé du poste et son descriptif

                • Nom de l’employeur

                • Nature du contrat de travail

                • Localisation du poste

                • Montant de la rémunération

                • Classification du poste

                La lettre de proposition de reclassement précise le délai de réponse du salarié. Elle mentionne également la forme de la réponse (lettre recommandée avec avis de réception par exemple).

                  L’employeur communique par tout moyen la liste des postes disponibles à l’ensemble des salariés. Par exemple, l’employeur peut utiliser l’intranet de l’entreprise.

                  Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

                  Elles doivent préciser les mentions suivantes :

                  • Intitulé du poste et son descriptif

                  • Nom de l’employeur

                  • Nature du contrat de travail

                  • Localisation du poste

                  • Montant de la rémunération

                  • Classification du poste

                  Cette liste comprend l’ensemble des postes disponibles situés en France dans l’entreprise, et dans les autres entreprises du groupe dont l’entreprise fait partie, situées en France.

                  Elle précise les critères permettant de départager les salariés en cas de candidatures multiples sur un même poste.

                  La liste indique le délai dont dispose le salarié pour présenter sa candidature.

                  Ce délai doit être d’au moins 15 jours francs à compter de la diffusion de la liste.

                  À noter

                  dans les entreprises faisant l’objet d’un redressement ou d’une liquidation judiciaire, le délai est d’au moins 4 jours francs.

                    Si le salarié accepte une offre de reclassement, il informe l’employeur par écrit, dans le délai prévu par la proposition de reclassement.

                    Il peut être reclassé sur le poste qu’il a accepté.

                    Lorsque l’employeur a proposé un poste de reclassement à plusieurs salariés, il ne peut pas garantir au salarié que le poste de reclassement qui lui est proposé lui soit attribué s’il l’accepte. En effet, l’employeur doit tenir compte des candidatures des autres salariés concernés par l’offre de reclasssement.

                    Le salarié peut refuser l’offre de reclassement proposée. L’employeur doit continuer à rechercher un reclassement tant que le licenciement n’a pas été notifié.

                    Si, malgrè tous ses efforts de recherche, aucun autre reclassement n’a pu être trouvé, l’employeur pourra licencier le salarié pour motif économique.

                    Si le salarié refuse toutes les offres de reclassement proposées, l’employeur pourra le licencier pour motif économique.

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                  Licenciement pour motif économique : adaptation et reclassement des salariés

                  Avant de procéder à un licenciement économique, l’employeur doit mettre en œuvre toutes les mesures permettant d’éviter les licenciements. Il doit adapter les salariés à leur emploi pour permettre éventuellement leur reclassement sur un autre poste.

                  Quels sont les employeurs concernés ? Quelles offres de reclassement peuvent être proposées ? Comment s’effectue la proposition de reclassement au salarié ?

                  Nous faisons le point sur la réglementation.

                    Pendant toute la durée du contrat de travail, l’employeur doit assurer l’adaptation du salarié à son poste de travail.

                    Il doit préserver la capacité du salarié à se maintenir dans son emploi, au vu de l’évolution des emplois, et des technologies notamment.

                    L’employeur ne pourra licencier le salarié que si toutes les possibilités de formation et d’adaptation ont été réalisées afin que le salarié conserve son poste ou soit reclassé sur un autre poste disponible.

                    Il peut ainsi proposer une formation complémentaire de courte durée permettant une mise en place rapide sur le poste.

                    Tousles employeurs sont concernés par l’obligation de reclassement quel que soit le nombre de licenciements envisagés et quelle que soit la taille de l’entreprise.

                    Pour éviter le licenciement économique, l’employeur doit rechercher les possibilités de reclassement et les proposer aux salariés.

                    En priorité, l’employeur propose au salarié un emploi relevant de la même catégorie que celui qu’il occupe (ou un emploi équivalent) avec une rémunération équivalente.

                    Si aucun poste n’est disponible, l’employeur doit étendre ses recherches aux emplois que le salarié pourrait exercer après une formation permettant son adaptation à cet emploi.

                    À noter

                    une formation permettant l’adaptation à un emploi n’est pas une formation initiale. Elle est de courte durée pour assurer une mise en place rapide sur le poste.

                    L’employeur peut proposer, avec l’accord du salarié, un emploi d’une catégorie inférieure et d’une rémunération inférieure.

                    Le nouveau poste proposé peut prendre la forme d’un  CDI  ou d’un  CDD , à temps plein ou à temps partiel avec l’accord du salarié.

                    Le périmètre de recherche de reclassement diffère si l’entreprise appartient à un groupe ou non.

                    La recherche de reclassement s’effectue sur les postes disponibles dans l’entreprise.

                      Lorsque l’entreprise fait partie d’un groupe, l’employeur étend ses recherches à toutes les entreprises du groupe situées en France.

                      À noter

                      si l’entreprise appartient à un groupe international, cette recherche s’effectue uniquement en France.

                        L’employeur a 2 possibilités pour proposer les offres de reclassement  :

                        • Soit il adresse à chaque salarié une offre personnalisée,

                        • Soit il diffuse à l’ensemble des salariés la liste des postes disponibles.

                        Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

                        Elles doivent préciser les mentions suivantes :

                        • Intitulé du poste et son descriptif

                        • Nom de l’employeur

                        • Nature du contrat de travail

                        • Localisation du poste

                        • Montant de la rémunération

                        • Classification du poste

                        La lettre de proposition de reclassement précise le délai de réponse du salarié. Elle mentionne également la forme de la réponse (lettre recommandée avec avis de réception par exemple).

                          L’employeur communique par tout moyen la liste des postes disponibles à l’ensemble des salariés. Par exemple, l’employeur peut utiliser l’intranet de l’entreprise.

                          Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

                          Elles doivent préciser les mentions suivantes :

                          • Intitulé du poste et son descriptif

                          • Nom de l’employeur

                          • Nature du contrat de travail

                          • Localisation du poste

                          • Montant de la rémunération

                          • Classification du poste

                          Cette liste comprend l’ensemble des postes disponibles situés en France dans l’entreprise, et dans les autres entreprises du groupe dont l’entreprise fait partie, situées en France.

                          Elle précise les critères permettant de départager les salariés en cas de candidatures multiples sur un même poste.

                          La liste indique le délai dont dispose le salarié pour présenter sa candidature.

                          Ce délai doit être d’au moins 15 jours francs à compter de la diffusion de la liste.

                          À noter

                          dans les entreprises faisant l’objet d’un redressement ou d’une liquidation judiciaire, le délai est d’au moins 4 jours francs.

                            Si le salarié accepte une offre de reclassement, il informe l’employeur par écrit, dans le délai prévu par la proposition de reclassement.

                            Il peut être reclassé sur le poste qu’il a accepté.

                            Lorsque l’employeur a proposé un poste de reclassement à plusieurs salariés, il ne peut pas garantir au salarié que le poste de reclassement qui lui est proposé lui soit attribué s’il l’accepte. En effet, l’employeur doit tenir compte des candidatures des autres salariés concernés par l’offre de reclasssement.

                            Le salarié peut refuser l’offre de reclassement proposée. L’employeur doit continuer à rechercher un reclassement tant que le licenciement n’a pas été notifié.

                            Si, malgrè tous ses efforts de recherche, aucun autre reclassement n’a pu être trouvé, l’employeur pourra licencier le salarié pour motif économique.

                            Si le salarié refuse toutes les offres de reclassement proposées, l’employeur pourra le licencier pour motif économique.

                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                          Licenciement pour motif économique : adaptation et reclassement des salariés

                          Avant de procéder à un licenciement économique, l’employeur doit mettre en œuvre toutes les mesures permettant d’éviter les licenciements. Il doit adapter les salariés à leur emploi pour permettre éventuellement leur reclassement sur un autre poste.

                          Quels sont les employeurs concernés ? Quelles offres de reclassement peuvent être proposées ? Comment s’effectue la proposition de reclassement au salarié ?

                          Nous faisons le point sur la réglementation.

                            Pendant toute la durée du contrat de travail, l’employeur doit assurer l’adaptation du salarié à son poste de travail.

                            Il doit préserver la capacité du salarié à se maintenir dans son emploi, au vu de l’évolution des emplois, et des technologies notamment.

                            L’employeur ne pourra licencier le salarié que si toutes les possibilités de formation et d’adaptation ont été réalisées afin que le salarié conserve son poste ou soit reclassé sur un autre poste disponible.

                            Il peut ainsi proposer une formation complémentaire de courte durée permettant une mise en place rapide sur le poste.

                            Tousles employeurs sont concernés par l’obligation de reclassement quel que soit le nombre de licenciements envisagés et quelle que soit la taille de l’entreprise.

                            Pour éviter le licenciement économique, l’employeur doit rechercher les possibilités de reclassement et les proposer aux salariés.

                            En priorité, l’employeur propose au salarié un emploi relevant de la même catégorie que celui qu’il occupe (ou un emploi équivalent) avec une rémunération équivalente.

                            Si aucun poste n’est disponible, l’employeur doit étendre ses recherches aux emplois que le salarié pourrait exercer après une formation permettant son adaptation à cet emploi.

                            À noter

                            une formation permettant l’adaptation à un emploi n’est pas une formation initiale. Elle est de courte durée pour assurer une mise en place rapide sur le poste.

                            L’employeur peut proposer, avec l’accord du salarié, un emploi d’une catégorie inférieure et d’une rémunération inférieure.

                            Le nouveau poste proposé peut prendre la forme d’un  CDI  ou d’un  CDD , à temps plein ou à temps partiel avec l’accord du salarié.

                            Le périmètre de recherche de reclassement diffère si l’entreprise appartient à un groupe ou non.

                            La recherche de reclassement s’effectue sur les postes disponibles dans l’entreprise.

                              Lorsque l’entreprise fait partie d’un groupe, l’employeur étend ses recherches à toutes les entreprises du groupe situées en France.

                              À noter

                              si l’entreprise appartient à un groupe international, cette recherche s’effectue uniquement en France.

                                L’employeur a 2 possibilités pour proposer les offres de reclassement  :

                                • Soit il adresse à chaque salarié une offre personnalisée,

                                • Soit il diffuse à l’ensemble des salariés la liste des postes disponibles.

                                Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

                                Elles doivent préciser les mentions suivantes :

                                • Intitulé du poste et son descriptif

                                • Nom de l’employeur

                                • Nature du contrat de travail

                                • Localisation du poste

                                • Montant de la rémunération

                                • Classification du poste

                                La lettre de proposition de reclassement précise le délai de réponse du salarié. Elle mentionne également la forme de la réponse (lettre recommandée avec avis de réception par exemple).

                                  L’employeur communique par tout moyen la liste des postes disponibles à l’ensemble des salariés. Par exemple, l’employeur peut utiliser l’intranet de l’entreprise.

                                  Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

                                  Elles doivent préciser les mentions suivantes :

                                  • Intitulé du poste et son descriptif

                                  • Nom de l’employeur

                                  • Nature du contrat de travail

                                  • Localisation du poste

                                  • Montant de la rémunération

                                  • Classification du poste

                                  Cette liste comprend l’ensemble des postes disponibles situés en France dans l’entreprise, et dans les autres entreprises du groupe dont l’entreprise fait partie, situées en France.

                                  Elle précise les critères permettant de départager les salariés en cas de candidatures multiples sur un même poste.

                                  La liste indique le délai dont dispose le salarié pour présenter sa candidature.

                                  Ce délai doit être d’au moins 15 jours francs à compter de la diffusion de la liste.

                                  À noter

                                  dans les entreprises faisant l’objet d’un redressement ou d’une liquidation judiciaire, le délai est d’au moins 4 jours francs.

                                    Si le salarié accepte une offre de reclassement, il informe l’employeur par écrit, dans le délai prévu par la proposition de reclassement.

                                    Il peut être reclassé sur le poste qu’il a accepté.

                                    Lorsque l’employeur a proposé un poste de reclassement à plusieurs salariés, il ne peut pas garantir au salarié que le poste de reclassement qui lui est proposé lui soit attribué s’il l’accepte. En effet, l’employeur doit tenir compte des candidatures des autres salariés concernés par l’offre de reclasssement.

                                    Le salarié peut refuser l’offre de reclassement proposée. L’employeur doit continuer à rechercher un reclassement tant que le licenciement n’a pas été notifié.

                                    Si, malgrè tous ses efforts de recherche, aucun autre reclassement n’a pu être trouvé, l’employeur pourra licencier le salarié pour motif économique.

                                    Si le salarié refuse toutes les offres de reclassement proposées, l’employeur pourra le licencier pour motif économique.

                                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                  Licenciement pour motif économique : adaptation et reclassement des salariés

                                  Avant de procéder à un licenciement économique, l’employeur doit mettre en œuvre toutes les mesures permettant d’éviter les licenciements. Il doit adapter les salariés à leur emploi pour permettre éventuellement leur reclassement sur un autre poste.

                                  Quels sont les employeurs concernés ? Quelles offres de reclassement peuvent être proposées ? Comment s’effectue la proposition de reclassement au salarié ?

                                  Nous faisons le point sur la réglementation.

                                    Pendant toute la durée du contrat de travail, l’employeur doit assurer l’adaptation du salarié à son poste de travail.

                                    Il doit préserver la capacité du salarié à se maintenir dans son emploi, au vu de l’évolution des emplois, et des technologies notamment.

                                    L’employeur ne pourra licencier le salarié que si toutes les possibilités de formation et d’adaptation ont été réalisées afin que le salarié conserve son poste ou soit reclassé sur un autre poste disponible.

                                    Il peut ainsi proposer une formation complémentaire de courte durée permettant une mise en place rapide sur le poste.

                                    Tousles employeurs sont concernés par l’obligation de reclassement quel que soit le nombre de licenciements envisagés et quelle que soit la taille de l’entreprise.

                                    Pour éviter le licenciement économique, l’employeur doit rechercher les possibilités de reclassement et les proposer aux salariés.

                                    En priorité, l’employeur propose au salarié un emploi relevant de la même catégorie que celui qu’il occupe (ou un emploi équivalent) avec une rémunération équivalente.

                                    Si aucun poste n’est disponible, l’employeur doit étendre ses recherches aux emplois que le salarié pourrait exercer après une formation permettant son adaptation à cet emploi.

                                    À noter

                                    une formation permettant l’adaptation à un emploi n’est pas une formation initiale. Elle est de courte durée pour assurer une mise en place rapide sur le poste.

                                    L’employeur peut proposer, avec l’accord du salarié, un emploi d’une catégorie inférieure et d’une rémunération inférieure.

                                    Le nouveau poste proposé peut prendre la forme d’un  CDI  ou d’un  CDD , à temps plein ou à temps partiel avec l’accord du salarié.

                                    Le périmètre de recherche de reclassement diffère si l’entreprise appartient à un groupe ou non.

                                    La recherche de reclassement s’effectue sur les postes disponibles dans l’entreprise.

                                      Lorsque l’entreprise fait partie d’un groupe, l’employeur étend ses recherches à toutes les entreprises du groupe situées en France.

                                      À noter

                                      si l’entreprise appartient à un groupe international, cette recherche s’effectue uniquement en France.

                                        L’employeur a 2 possibilités pour proposer les offres de reclassement  :

                                        • Soit il adresse à chaque salarié une offre personnalisée,

                                        • Soit il diffuse à l’ensemble des salariés la liste des postes disponibles.

                                        Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

                                        Elles doivent préciser les mentions suivantes :

                                        • Intitulé du poste et son descriptif

                                        • Nom de l’employeur

                                        • Nature du contrat de travail

                                        • Localisation du poste

                                        • Montant de la rémunération

                                        • Classification du poste

                                        La lettre de proposition de reclassement précise le délai de réponse du salarié. Elle mentionne également la forme de la réponse (lettre recommandée avec avis de réception par exemple).

                                          L’employeur communique par tout moyen la liste des postes disponibles à l’ensemble des salariés. Par exemple, l’employeur peut utiliser l’intranet de l’entreprise.

                                          Les offres de reclassement sont écrites, précises et concrètes.

                                          Elles doivent préciser les mentions suivantes :

                                          • Intitulé du poste et son descriptif

                                          • Nom de l’employeur

                                          • Nature du contrat de travail

                                          • Localisation du poste

                                          • Montant de la rémunération

                                          • Classification du poste

                                          Cette liste comprend l’ensemble des postes disponibles situés en France dans l’entreprise, et dans les autres entreprises du groupe dont l’entreprise fait partie, situées en France.

                                          Elle précise les critères permettant de départager les salariés en cas de candidatures multiples sur un même poste.

                                          La liste indique le délai dont dispose le salarié pour présenter sa candidature.

                                          Ce délai doit être d’au moins 15 jours francs à compter de la diffusion de la liste.

                                          À noter

                                          dans les entreprises faisant l’objet d’un redressement ou d’une liquidation judiciaire, le délai est d’au moins 4 jours francs.

                                            Si le salarié accepte une offre de reclassement, il informe l’employeur par écrit, dans le délai prévu par la proposition de reclassement.

                                            Il peut être reclassé sur le poste qu’il a accepté.

                                            Lorsque l’employeur a proposé un poste de reclassement à plusieurs salariés, il ne peut pas garantir au salarié que le poste de reclassement qui lui est proposé lui soit attribué s’il l’accepte. En effet, l’employeur doit tenir compte des candidatures des autres salariés concernés par l’offre de reclasssement.

                                            Le salarié peut refuser l’offre de reclassement proposée. L’employeur doit continuer à rechercher un reclassement tant que le licenciement n’a pas été notifié.

                                            Si, malgrè tous ses efforts de recherche, aucun autre reclassement n’a pu être trouvé, l’employeur pourra licencier le salarié pour motif économique.

                                            Si le salarié refuse toutes les offres de reclassement proposées, l’employeur pourra le licencier pour motif économique.

                                          Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

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