Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Recherche de paternité

Un enfant souhaite établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père (qui n’est pas marié avec sa mère) ? Il doit effectuer une action en recherche de paternité. La procédure s’effectue devant le tribunal. Si l’enfant est mineur, cela peut avoir des conséquences sur l’exercice de l’autorité parentale, la contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant et le nom de l’enfant.

Naissance et filiation

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est effectuée par la mère si l’enfant est mineur.

    Elle agit au nom de son enfant.

    Toutefois, le tuteur de l’enfant le représente dans les cas suivants :

    • Décès de la mère

    • Impossibilité pour la mère de manifester sa volonté

    • Absence de filiation maternelle établie

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République).

    La mère peut agir pendant la minorité de l’enfant.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :

    • Autorité parentale

    • Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant

    • Nom de l’enfant

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est réservée à l’enfant majeur qui cherche à faire établir un lien de filiation avec son père prétendu.

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République.

    L’enfant peut agir jusqu’à l’âge de 28 ans.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    Quand l’enfant est décédé, l’action en recherche de paternité est réservée à ses héritiers (par exemple, ses enfants).

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.

    Si l’enfant était lui-même parent et est décédé avant ses 28 ans, ses héritiers peuvent agir à sa place avant l’expiration du délai dont il disposait initialement (10 ans à compter de ses 18 ans).

    Si le défunt avait engagé une action de son vivant, ses héritiers peuvent la poursuivre.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà de la limite de 28 ans s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

Recherche de paternité

Un enfant souhaite établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père (qui n’est pas marié avec sa mère) ? Il doit effectuer une action en recherche de paternité. La procédure s’effectue devant le tribunal. Si l’enfant est mineur, cela peut avoir des conséquences sur l’exercice de l’autorité parentale, la contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant et le nom de l’enfant.

Naissance et filiation

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est effectuée par la mère si l’enfant est mineur.

    Elle agit au nom de son enfant.

    Toutefois, le tuteur de l’enfant le représente dans les cas suivants :

    • Décès de la mère

    • Impossibilité pour la mère de manifester sa volonté

    • Absence de filiation maternelle établie

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République).

    La mère peut agir pendant la minorité de l’enfant.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :

    • Autorité parentale

    • Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant

    • Nom de l’enfant

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est réservée à l’enfant majeur qui cherche à faire établir un lien de filiation avec son père prétendu.

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République.

    L’enfant peut agir jusqu’à l’âge de 28 ans.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    Quand l’enfant est décédé, l’action en recherche de paternité est réservée à ses héritiers (par exemple, ses enfants).

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.

    Si l’enfant était lui-même parent et est décédé avant ses 28 ans, ses héritiers peuvent agir à sa place avant l’expiration du délai dont il disposait initialement (10 ans à compter de ses 18 ans).

    Si le défunt avait engagé une action de son vivant, ses héritiers peuvent la poursuivre.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà de la limite de 28 ans s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

Recherche de paternité

Un enfant souhaite établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père (qui n’est pas marié avec sa mère) ? Il doit effectuer une action en recherche de paternité. La procédure s’effectue devant le tribunal. Si l’enfant est mineur, cela peut avoir des conséquences sur l’exercice de l’autorité parentale, la contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant et le nom de l’enfant.

Naissance et filiation

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est effectuée par la mère si l’enfant est mineur.

    Elle agit au nom de son enfant.

    Toutefois, le tuteur de l’enfant le représente dans les cas suivants :

    • Décès de la mère

    • Impossibilité pour la mère de manifester sa volonté

    • Absence de filiation maternelle établie

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République).

    La mère peut agir pendant la minorité de l’enfant.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :

    • Autorité parentale

    • Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant

    • Nom de l’enfant

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est réservée à l’enfant majeur qui cherche à faire établir un lien de filiation avec son père prétendu.

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République.

    L’enfant peut agir jusqu’à l’âge de 28 ans.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    Quand l’enfant est décédé, l’action en recherche de paternité est réservée à ses héritiers (par exemple, ses enfants).

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.

    Si l’enfant était lui-même parent et est décédé avant ses 28 ans, ses héritiers peuvent agir à sa place avant l’expiration du délai dont il disposait initialement (10 ans à compter de ses 18 ans).

    Si le défunt avait engagé une action de son vivant, ses héritiers peuvent la poursuivre.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà de la limite de 28 ans s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

Recherche de paternité

Un enfant souhaite établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père (qui n’est pas marié avec sa mère) ? Il doit effectuer une action en recherche de paternité. La procédure s’effectue devant le tribunal. Si l’enfant est mineur, cela peut avoir des conséquences sur l’exercice de l’autorité parentale, la contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant et le nom de l’enfant.

Naissance et filiation

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est effectuée par la mère si l’enfant est mineur.

    Elle agit au nom de son enfant.

    Toutefois, le tuteur de l’enfant le représente dans les cas suivants :

    • Décès de la mère

    • Impossibilité pour la mère de manifester sa volonté

    • Absence de filiation maternelle établie

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République).

    La mère peut agir pendant la minorité de l’enfant.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :

    • Autorité parentale

    • Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant

    • Nom de l’enfant

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est réservée à l’enfant majeur qui cherche à faire établir un lien de filiation avec son père prétendu.

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République.

    L’enfant peut agir jusqu’à l’âge de 28 ans.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    Quand l’enfant est décédé, l’action en recherche de paternité est réservée à ses héritiers (par exemple, ses enfants).

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.

    Si l’enfant était lui-même parent et est décédé avant ses 28 ans, ses héritiers peuvent agir à sa place avant l’expiration du délai dont il disposait initialement (10 ans à compter de ses 18 ans).

    Si le défunt avait engagé une action de son vivant, ses héritiers peuvent la poursuivre.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà de la limite de 28 ans s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

Recherche de paternité

Un enfant souhaite établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père (qui n’est pas marié avec sa mère) ? Il doit effectuer une action en recherche de paternité. La procédure s’effectue devant le tribunal. Si l’enfant est mineur, cela peut avoir des conséquences sur l’exercice de l’autorité parentale, la contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant et le nom de l’enfant.

Naissance et filiation

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est effectuée par la mère si l’enfant est mineur.

    Elle agit au nom de son enfant.

    Toutefois, le tuteur de l’enfant le représente dans les cas suivants :

    • Décès de la mère

    • Impossibilité pour la mère de manifester sa volonté

    • Absence de filiation maternelle établie

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République).

    La mère peut agir pendant la minorité de l’enfant.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    Le tribunal peut aussi décider sur les sujets suivants :

    • Autorité parentale

    • Contribution du père à l’entretien et à l’éducation de l’enfant

    • Nom de l’enfant

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    L’action en recherche de paternité est réservée à l’enfant majeur qui cherche à faire établir un lien de filiation avec son père prétendu.

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État (en la personne du procureur de la République.

    L’enfant peut agir jusqu’à l’âge de 28 ans.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

    L’action en recherche de paternité permet à un enfant d’établir un lien de filiation avec celui qu’il pense être son père.

    Quand l’enfant est décédé, l’action en recherche de paternité est réservée à ses héritiers (par exemple, ses enfants).

    L’action peut être exercée à l’encontre du père prétendu.

    S’il est décédé, l’action peut être exercée à l’encontre de ses héritiers.

    S’il n’a pas d’héritiers ou s’ils ont renoncé à la succession, elle peut être exercée à l’encontre de l’État.

    Si l’enfant était lui-même parent et est décédé avant ses 28 ans, ses héritiers peuvent agir à sa place avant l’expiration du délai dont il disposait initialement (10 ans à compter de ses 18 ans).

    Si le défunt avait engagé une action de son vivant, ses héritiers peuvent la poursuivre.

    À noter

    Le juge peut accepter d’aller au-delà de la limite de 28 ans s’il estime que des circonstances précises le justifient.

    Pour déclencher l’action en recherche de paternité, il faut s’adresser au tribunal judiciaire du lieu de résidence de la personne à l’égard de laquelle l’enfant cherche à faire établir un lien de filiation.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    La recherche de paternité est impossible dans les cas suivants :

    • Inceste absolu (entre père et fille, mère et fils, frère et sœur)

    • Filiation paternelle déjà établie

    À savoir

    si un autre père figure sur l’acte de naissance de l’enfant (présomption de paternité du mari de la mère ou reconnaissance), il faut d’abord contester ce lien et en obtenir l’annulation. Aucune contestation n’est possible en cas d’adoption plénière.

    La preuve de la paternité peut être apportée par tous les moyens (témoignages, lettres du père présumé à la mère, etc.).

    Le juge peut ordonner une expertise génétique (test de paternité) qui nécessite l’accord des personnes concernées.

    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

    À savoir

    une expertise sur une personne décédée est interdite sauf si le défunt avait donné son accord de son vivant.

    Si le tribunal accepte la demande, le lien de filiation s’applique depuis la date de naissance de l’enfant (il est rétroactif).

    L’enfant obtient tous les droits liés à la filiation (succession notamment).

    À savoir

    Les actes d’état civil doivent être mis à jour.

Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

Faire sa demande en ligne

Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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