Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Vente d’un bien immobilier situé dans une zone de préemption

Si vous souhaitez vendre votre bien et qu’il est situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie. C’est ce que l’on appelle le droit de préemption . Ces zones permettent à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général. Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix. Les biens pouvant être préemptés par la mairie sont les maisons individuelles, immeubles et terrains.

    Si vous souhaitez vendre votre bien situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie.

    C’est ce que l’on appelle le droit de préemption .

    Ces zones sont définies pour permettre à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

    Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix.

    Les zones à préempter doivent avoir pour objectif la réalisation d’opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

    Il peut s’agir des opérations suivantes :

    • Création d’équipements collectifs

    • Création de logements sociaux

    • Lutte contre l’insalubrité

    • Renouvellement urbain (reconstruction de quartiers)

    Ces zones sont définies par une délibération de la mairie.

    Cette délibération doit être portée à la connaissance des habitants : affiche en mairie pendant 2 mois et dans les journaux locaux.

    La mairie peut exercer son droit de préemption sur un bien (maison, immeuble, terrain) appartenant à un particulier ou une personne morale.

    La mairie peut décider d’acheter qu’une partie du bien. Dans ce cas, le prix de la vente doit tenir compte de la perte de valeur de la partie du bien non préemptée, car celle-ci risque d’être difficile à revendre. Vous pouvez toutefois exiger de la mairie qu’elle achète l’intégralité du bien.

    Au moment de la vente, votre notaire doit s’assurer de l’existence d’un éventuel droit de préemption de la mairie.

    S’il existe effectivement un droit de préemption de la mairie sur votre bien, le notaire doit vous en avertir.

    Le notaire devra alors remplir une déclaration d’intention d’aliéner (DIA) et l’adresser à la mairie :

  • Déclaration d’intention d’aliéner ou demande d’acquisition d’un bien soumis à un droit de préemption
  • Où s’adresser ?

     Mairie 

    Une fois que la mairie a reçu la DIA, elle peut décider de ne pas acheter le bien ou accepter la vente à vos conditions ou en renégociant les conditions de vente.

    La mairie peut décider de renoncer à l’achat dans un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA.

    Dans ce cas, la renonciation est définitive.

    Vous pouvez alors vendre votre bien à l’acheteur de votre choix.

    L’absence de réponse durant un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA équivaut à un refus de préempter.

      La mairie peut décider d’acheter le bien à vos conditions.

      Vous et la mairie signez alors un acte authentique concluant la vente.

      La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

      Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

        La mairie peut décider de renégocier le prix de vente.

        Dans ce cas, elle a 2 mois à partir de la réception de la DIA pour vous proposer un autre prix par lettre recommandée avec avis de réception.

        Vous avez alors 2 mois à partir de l’offre de la mairie pour lui notifier soit que vous acceptez le prix proposé par elle, soit que vous maintenez votre 1re prix.

        En l’absence d’accord sur le prix, vous ou la mairie pouvez faire un recours auprès du tribunal.

        Si le tribunal est saisi par la mairie, elle doit bloquer 15 % du prix de vente à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

        Cette somme est bloquée jusqu’au transfert du bien ou jusqu’au moment où la mairie renonce à son droit de préemption.

        La CDC vous en informe par lettre recommandée avec avis de réception.

        Vous et la mairie avez 2 mois à partir de la décision du tribunal pour faire connaître votre réponse.

        Si vous ou la mairie ne donnez pas de réponse, cela vaut acceptation du prix et transfert du bien.

        Un acte authentique concluant la vente doit être réalisé dans un délai de 3 mois.

        La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

        Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

          Droit de préemption urbain (DPU)

            Vente d’un bien immobilier situé dans une zone de préemption

            Si vous souhaitez vendre votre bien et qu’il est situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie. C’est ce que l’on appelle le droit de préemption . Ces zones permettent à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général. Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix. Les biens pouvant être préemptés par la mairie sont les maisons individuelles, immeubles et terrains.

              Si vous souhaitez vendre votre bien situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie.

              C’est ce que l’on appelle le droit de préemption .

              Ces zones sont définies pour permettre à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

              Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix.

              Les zones à préempter doivent avoir pour objectif la réalisation d’opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

              Il peut s’agir des opérations suivantes :

              • Création d’équipements collectifs

              • Création de logements sociaux

              • Lutte contre l’insalubrité

              • Renouvellement urbain (reconstruction de quartiers)

              Ces zones sont définies par une délibération de la mairie.

              Cette délibération doit être portée à la connaissance des habitants : affiche en mairie pendant 2 mois et dans les journaux locaux.

              La mairie peut exercer son droit de préemption sur un bien (maison, immeuble, terrain) appartenant à un particulier ou une personne morale.

              La mairie peut décider d’acheter qu’une partie du bien. Dans ce cas, le prix de la vente doit tenir compte de la perte de valeur de la partie du bien non préemptée, car celle-ci risque d’être difficile à revendre. Vous pouvez toutefois exiger de la mairie qu’elle achète l’intégralité du bien.

              Au moment de la vente, votre notaire doit s’assurer de l’existence d’un éventuel droit de préemption de la mairie.

              S’il existe effectivement un droit de préemption de la mairie sur votre bien, le notaire doit vous en avertir.

              Le notaire devra alors remplir une déclaration d’intention d’aliéner (DIA) et l’adresser à la mairie :

            • Déclaration d’intention d’aliéner ou demande d’acquisition d’un bien soumis à un droit de préemption
            • Où s’adresser ?

               Mairie 

              Une fois que la mairie a reçu la DIA, elle peut décider de ne pas acheter le bien ou accepter la vente à vos conditions ou en renégociant les conditions de vente.

              La mairie peut décider de renoncer à l’achat dans un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA.

              Dans ce cas, la renonciation est définitive.

              Vous pouvez alors vendre votre bien à l’acheteur de votre choix.

              L’absence de réponse durant un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA équivaut à un refus de préempter.

                La mairie peut décider d’acheter le bien à vos conditions.

                Vous et la mairie signez alors un acte authentique concluant la vente.

                La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

                Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

                  La mairie peut décider de renégocier le prix de vente.

                  Dans ce cas, elle a 2 mois à partir de la réception de la DIA pour vous proposer un autre prix par lettre recommandée avec avis de réception.

                  Vous avez alors 2 mois à partir de l’offre de la mairie pour lui notifier soit que vous acceptez le prix proposé par elle, soit que vous maintenez votre 1re prix.

                  En l’absence d’accord sur le prix, vous ou la mairie pouvez faire un recours auprès du tribunal.

                  Si le tribunal est saisi par la mairie, elle doit bloquer 15 % du prix de vente à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

                  Cette somme est bloquée jusqu’au transfert du bien ou jusqu’au moment où la mairie renonce à son droit de préemption.

                  La CDC vous en informe par lettre recommandée avec avis de réception.

                  Vous et la mairie avez 2 mois à partir de la décision du tribunal pour faire connaître votre réponse.

                  Si vous ou la mairie ne donnez pas de réponse, cela vaut acceptation du prix et transfert du bien.

                  Un acte authentique concluant la vente doit être réalisé dans un délai de 3 mois.

                  La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

                  Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

                    Droit de préemption urbain (DPU)

                      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                      Vente d’un bien immobilier situé dans une zone de préemption

                      Si vous souhaitez vendre votre bien et qu’il est situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie. C’est ce que l’on appelle le droit de préemption . Ces zones permettent à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général. Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix. Les biens pouvant être préemptés par la mairie sont les maisons individuelles, immeubles et terrains.

                        Si vous souhaitez vendre votre bien situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie.

                        C’est ce que l’on appelle le droit de préemption .

                        Ces zones sont définies pour permettre à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

                        Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix.

                        Les zones à préempter doivent avoir pour objectif la réalisation d’opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

                        Il peut s’agir des opérations suivantes :

                        • Création d’équipements collectifs

                        • Création de logements sociaux

                        • Lutte contre l’insalubrité

                        • Renouvellement urbain (reconstruction de quartiers)

                        Ces zones sont définies par une délibération de la mairie.

                        Cette délibération doit être portée à la connaissance des habitants : affiche en mairie pendant 2 mois et dans les journaux locaux.

                        La mairie peut exercer son droit de préemption sur un bien (maison, immeuble, terrain) appartenant à un particulier ou une personne morale.

                        La mairie peut décider d’acheter qu’une partie du bien. Dans ce cas, le prix de la vente doit tenir compte de la perte de valeur de la partie du bien non préemptée, car celle-ci risque d’être difficile à revendre. Vous pouvez toutefois exiger de la mairie qu’elle achète l’intégralité du bien.

                        Au moment de la vente, votre notaire doit s’assurer de l’existence d’un éventuel droit de préemption de la mairie.

                        S’il existe effectivement un droit de préemption de la mairie sur votre bien, le notaire doit vous en avertir.

                        Le notaire devra alors remplir une déclaration d’intention d’aliéner (DIA) et l’adresser à la mairie :

                      • Déclaration d’intention d’aliéner ou demande d’acquisition d’un bien soumis à un droit de préemption
                      • Où s’adresser ?

                         Mairie 

                        Une fois que la mairie a reçu la DIA, elle peut décider de ne pas acheter le bien ou accepter la vente à vos conditions ou en renégociant les conditions de vente.

                        La mairie peut décider de renoncer à l’achat dans un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA.

                        Dans ce cas, la renonciation est définitive.

                        Vous pouvez alors vendre votre bien à l’acheteur de votre choix.

                        L’absence de réponse durant un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA équivaut à un refus de préempter.

                          La mairie peut décider d’acheter le bien à vos conditions.

                          Vous et la mairie signez alors un acte authentique concluant la vente.

                          La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

                          Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

                            La mairie peut décider de renégocier le prix de vente.

                            Dans ce cas, elle a 2 mois à partir de la réception de la DIA pour vous proposer un autre prix par lettre recommandée avec avis de réception.

                            Vous avez alors 2 mois à partir de l’offre de la mairie pour lui notifier soit que vous acceptez le prix proposé par elle, soit que vous maintenez votre 1re prix.

                            En l’absence d’accord sur le prix, vous ou la mairie pouvez faire un recours auprès du tribunal.

                            Si le tribunal est saisi par la mairie, elle doit bloquer 15 % du prix de vente à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

                            Cette somme est bloquée jusqu’au transfert du bien ou jusqu’au moment où la mairie renonce à son droit de préemption.

                            La CDC vous en informe par lettre recommandée avec avis de réception.

                            Vous et la mairie avez 2 mois à partir de la décision du tribunal pour faire connaître votre réponse.

                            Si vous ou la mairie ne donnez pas de réponse, cela vaut acceptation du prix et transfert du bien.

                            Un acte authentique concluant la vente doit être réalisé dans un délai de 3 mois.

                            La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

                            Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

                              Droit de préemption urbain (DPU)

                                Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                Vente d’un bien immobilier situé dans une zone de préemption

                                Si vous souhaitez vendre votre bien et qu’il est situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie. C’est ce que l’on appelle le droit de préemption . Ces zones permettent à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général. Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix. Les biens pouvant être préemptés par la mairie sont les maisons individuelles, immeubles et terrains.

                                  Si vous souhaitez vendre votre bien situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie.

                                  C’est ce que l’on appelle le droit de préemption .

                                  Ces zones sont définies pour permettre à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

                                  Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix.

                                  Les zones à préempter doivent avoir pour objectif la réalisation d’opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

                                  Il peut s’agir des opérations suivantes :

                                  • Création d’équipements collectifs

                                  • Création de logements sociaux

                                  • Lutte contre l’insalubrité

                                  • Renouvellement urbain (reconstruction de quartiers)

                                  Ces zones sont définies par une délibération de la mairie.

                                  Cette délibération doit être portée à la connaissance des habitants : affiche en mairie pendant 2 mois et dans les journaux locaux.

                                  La mairie peut exercer son droit de préemption sur un bien (maison, immeuble, terrain) appartenant à un particulier ou une personne morale.

                                  La mairie peut décider d’acheter qu’une partie du bien. Dans ce cas, le prix de la vente doit tenir compte de la perte de valeur de la partie du bien non préemptée, car celle-ci risque d’être difficile à revendre. Vous pouvez toutefois exiger de la mairie qu’elle achète l’intégralité du bien.

                                  Au moment de la vente, votre notaire doit s’assurer de l’existence d’un éventuel droit de préemption de la mairie.

                                  S’il existe effectivement un droit de préemption de la mairie sur votre bien, le notaire doit vous en avertir.

                                  Le notaire devra alors remplir une déclaration d’intention d’aliéner (DIA) et l’adresser à la mairie :

                                • Déclaration d’intention d’aliéner ou demande d’acquisition d’un bien soumis à un droit de préemption
                                • Où s’adresser ?

                                   Mairie 

                                  Une fois que la mairie a reçu la DIA, elle peut décider de ne pas acheter le bien ou accepter la vente à vos conditions ou en renégociant les conditions de vente.

                                  La mairie peut décider de renoncer à l’achat dans un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA.

                                  Dans ce cas, la renonciation est définitive.

                                  Vous pouvez alors vendre votre bien à l’acheteur de votre choix.

                                  L’absence de réponse durant un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA équivaut à un refus de préempter.

                                    La mairie peut décider d’acheter le bien à vos conditions.

                                    Vous et la mairie signez alors un acte authentique concluant la vente.

                                    La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

                                    Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

                                      La mairie peut décider de renégocier le prix de vente.

                                      Dans ce cas, elle a 2 mois à partir de la réception de la DIA pour vous proposer un autre prix par lettre recommandée avec avis de réception.

                                      Vous avez alors 2 mois à partir de l’offre de la mairie pour lui notifier soit que vous acceptez le prix proposé par elle, soit que vous maintenez votre 1re prix.

                                      En l’absence d’accord sur le prix, vous ou la mairie pouvez faire un recours auprès du tribunal.

                                      Si le tribunal est saisi par la mairie, elle doit bloquer 15 % du prix de vente à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

                                      Cette somme est bloquée jusqu’au transfert du bien ou jusqu’au moment où la mairie renonce à son droit de préemption.

                                      La CDC vous en informe par lettre recommandée avec avis de réception.

                                      Vous et la mairie avez 2 mois à partir de la décision du tribunal pour faire connaître votre réponse.

                                      Si vous ou la mairie ne donnez pas de réponse, cela vaut acceptation du prix et transfert du bien.

                                      Un acte authentique concluant la vente doit être réalisé dans un délai de 3 mois.

                                      La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

                                      Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

                                        Droit de préemption urbain (DPU)

                                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                          Vente d’un bien immobilier situé dans une zone de préemption

                                          Si vous souhaitez vendre votre bien et qu’il est situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie. C’est ce que l’on appelle le droit de préemption . Ces zones permettent à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général. Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix. Les biens pouvant être préemptés par la mairie sont les maisons individuelles, immeubles et terrains.

                                            Si vous souhaitez vendre votre bien situé dans une zone de préemption définie par la mairie, vous devez en priorité proposer la vente à la mairie.

                                            C’est ce que l’on appelle le droit de préemption .

                                            Ces zones sont définies pour permettre à la mairie de réaliser des opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

                                            Vous n’êtes donc pas libre de vendre votre bien à la personne de votre choix.

                                            Les zones à préempter doivent avoir pour objectif la réalisation d’opérations d’aménagement urbain d’intérêt général.

                                            Il peut s’agir des opérations suivantes :

                                            • Création d’équipements collectifs

                                            • Création de logements sociaux

                                            • Lutte contre l’insalubrité

                                            • Renouvellement urbain (reconstruction de quartiers)

                                            Ces zones sont définies par une délibération de la mairie.

                                            Cette délibération doit être portée à la connaissance des habitants : affiche en mairie pendant 2 mois et dans les journaux locaux.

                                            La mairie peut exercer son droit de préemption sur un bien (maison, immeuble, terrain) appartenant à un particulier ou une personne morale.

                                            La mairie peut décider d’acheter qu’une partie du bien. Dans ce cas, le prix de la vente doit tenir compte de la perte de valeur de la partie du bien non préemptée, car celle-ci risque d’être difficile à revendre. Vous pouvez toutefois exiger de la mairie qu’elle achète l’intégralité du bien.

                                            Au moment de la vente, votre notaire doit s’assurer de l’existence d’un éventuel droit de préemption de la mairie.

                                            S’il existe effectivement un droit de préemption de la mairie sur votre bien, le notaire doit vous en avertir.

                                            Le notaire devra alors remplir une déclaration d’intention d’aliéner (DIA) et l’adresser à la mairie :

                                          • Déclaration d’intention d’aliéner ou demande d’acquisition d’un bien soumis à un droit de préemption
                                          • Où s’adresser ?

                                             Mairie 

                                            Une fois que la mairie a reçu la DIA, elle peut décider de ne pas acheter le bien ou accepter la vente à vos conditions ou en renégociant les conditions de vente.

                                            La mairie peut décider de renoncer à l’achat dans un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA.

                                            Dans ce cas, la renonciation est définitive.

                                            Vous pouvez alors vendre votre bien à l’acheteur de votre choix.

                                            L’absence de réponse durant un délai de 2 mois à partir de la réception de la DIA équivaut à un refus de préempter.

                                              La mairie peut décider d’acheter le bien à vos conditions.

                                              Vous et la mairie signez alors un acte authentique concluant la vente.

                                              La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

                                              Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

                                                La mairie peut décider de renégocier le prix de vente.

                                                Dans ce cas, elle a 2 mois à partir de la réception de la DIA pour vous proposer un autre prix par lettre recommandée avec avis de réception.

                                                Vous avez alors 2 mois à partir de l’offre de la mairie pour lui notifier soit que vous acceptez le prix proposé par elle, soit que vous maintenez votre 1re prix.

                                                En l’absence d’accord sur le prix, vous ou la mairie pouvez faire un recours auprès du tribunal.

                                                Si le tribunal est saisi par la mairie, elle doit bloquer 15 % du prix de vente à la Caisse des dépôts et consignations (CDC).

                                                Cette somme est bloquée jusqu’au transfert du bien ou jusqu’au moment où la mairie renonce à son droit de préemption.

                                                La CDC vous en informe par lettre recommandée avec avis de réception.

                                                Vous et la mairie avez 2 mois à partir de la décision du tribunal pour faire connaître votre réponse.

                                                Si vous ou la mairie ne donnez pas de réponse, cela vaut acceptation du prix et transfert du bien.

                                                Un acte authentique concluant la vente doit être réalisé dans un délai de 3 mois.

                                                La mairie a 4 mois à partir de la signature de l’acte pour régler le paiement de la vente.

                                                Tant que la mairie n’a pas intégralement réglé le paiement, vous conservez la jouissance du bien (vous pouvez par exemple continuez à percevoir les loyers si vous louez votre bien).

                                                  Droit de préemption urbain (DPU)

                                                    Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                                    Faire sa demande en ligne

                                                    Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                                    Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                                    La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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