Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Licenciement économique : priorité de réembauche

La priorité de réembauche permet à un ancien salarié licencié pour motif économique de retrouver un emploi dans son entreprise lorsque celle-ci procède à des embauches sur des postes correspondant à sa qualification. Le salarié bénéficie de cette priorité durant un délai d’1 an à compter de la rupture de son contrat de travail. Le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur. Nous faisons un point sur la réglementation.

    Seul le salarié licencié pour motif économique peut bénéficier de la priorité de réembauche, peu importe que le licenciement soit individuel ou collectif.

    La priorité d’embauche s’applique aussi au salarié licencié pour motif économique qui a accepté un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) ou un .

    La priorité d’embauche concerne également le salarié dont le contrat de travail est rompu dans les situations suivantes :

    À noter

    En cas de transfert du contrat de travail suite à une vente de l’entreprise notamment, le salarié bénéficie du maintien de la priorité de réembauche, même s’il a été licencié par l’employeur précédent.

    Le salarié licencié pour motif économique est informé par son employeur qu’il peut bénéficier de la priorité de réembauche.

    L’employeur doit mentionner dans la lettre de licenciement l’existence de la priorité de réembauche et les conditions de sa mise en œuvre.

    En cas d’adhésion du salarié au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), la priorité de réembauche doit figurer dans le document écrit énonçant le motif économique de la rupture.

    Il est remis au plus tard au salarié au moment de cette adhésion.

    Pour pouvoir bénéficier de la priorité de réembauche, le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur dans le délai de 1 an à compter de la date de rupture de son contrat de travail.

    Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

    Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé au salarié de faire sa demande par écrit (par exemple un mail ou une lettre  RAR  ).

    Oui, l’employeur doit informer le salarié qui fait usage de son droit à la priorité de réembauche, de tout emploi dans l’entreprise devenu disponible et compatible avec sa qualification.

    L’employeur informe le salarié du poste disponible entrainant une procédure de recrutement, puis d’embauche.

    Cet emploi doit être compatible avec la qualification que le salarié possédait au moment de son licenciement.

    Il doit être compatible aussi avec la nouvelle qualification que le salarié a pu éventuellement obtenir après son licenciement, s’il en a préalablement informé l’employeur.

    Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé à l’employeur d’informer le salarié par écrit (par exemple par lettre  RAR  ou mail).

    Attention

    L’employeur doit proposer un poste devenu disponible à un ancien salarié seulement si ce dernier a respecté le délai de 1 an pour lui adresser sa demande à bénéficer de la priorité de réembauche.

    Le salarié bénéficie de la priorité de reémbauche

    Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

    À noter

    Un délai supérieur à 1 an peut éventuellement être prévu par un plan de sauvegarde de l’emploi ou une convention collective.

    Lorsque plusieurs salariés souhaitent bénéficier en même temps de la priorité de réembauche sur le même poste, l’employeur n’a pas l’obligation de suivre un ordre déterminé pour faire son choix.

    L’employeur peut choisir librement le futur salarié selon l’intérêt de l’entreprise et en fonction de critères qu’il peut définir lui même (par exemple l’ancienneté, la compétence, l’ordre d’arrivée sur la candidature, etc).

    L’employeur qui ne respecte pas ses obligations s’expose à des sanctions qui varient en fonction de la nature de l’infraction.

    En cas d’absence d’information du salarié dans la lettre de licenciement économique

    L’employeur qui n’informe pas le salarié de son droit à la priorité de réembauche dans la lettre de licenciement peut être condamné à verser des dommages et intérêts au salarié en fonction du préjudice subi.

    Le salarié peut alors saisir le conseil de prud’hommes.

    En cas d’absence d’information du salarié sur les postes disponibles

    L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’effectif de l’entreprise :

    L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

    Le salarié a un délai de 2 ans pour .

    Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

      L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’ancienneté du salarié :

      L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

      Le salarié a un délai de 2 ans pour .

      Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

        L’employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité d’une valeur minimum de 1 mois de salaire.

        Le salarié a un délai de 2 ans pour .

        Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

          Licenciement économique : priorité de réembauche

          La priorité de réembauche permet à un ancien salarié licencié pour motif économique de retrouver un emploi dans son entreprise lorsque celle-ci procède à des embauches sur des postes correspondant à sa qualification. Le salarié bénéficie de cette priorité durant un délai d’1 an à compter de la rupture de son contrat de travail. Le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur. Nous faisons un point sur la réglementation.

            Seul le salarié licencié pour motif économique peut bénéficier de la priorité de réembauche, peu importe que le licenciement soit individuel ou collectif.

            La priorité d’embauche s’applique aussi au salarié licencié pour motif économique qui a accepté un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) ou un .

            La priorité d’embauche concerne également le salarié dont le contrat de travail est rompu dans les situations suivantes :

            À noter

            En cas de transfert du contrat de travail suite à une vente de l’entreprise notamment, le salarié bénéficie du maintien de la priorité de réembauche, même s’il a été licencié par l’employeur précédent.

            Le salarié licencié pour motif économique est informé par son employeur qu’il peut bénéficier de la priorité de réembauche.

            L’employeur doit mentionner dans la lettre de licenciement l’existence de la priorité de réembauche et les conditions de sa mise en œuvre.

            En cas d’adhésion du salarié au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), la priorité de réembauche doit figurer dans le document écrit énonçant le motif économique de la rupture.

            Il est remis au plus tard au salarié au moment de cette adhésion.

            Pour pouvoir bénéficier de la priorité de réembauche, le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur dans le délai de 1 an à compter de la date de rupture de son contrat de travail.

            Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

            Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé au salarié de faire sa demande par écrit (par exemple un mail ou une lettre  RAR  ).

            Oui, l’employeur doit informer le salarié qui fait usage de son droit à la priorité de réembauche, de tout emploi dans l’entreprise devenu disponible et compatible avec sa qualification.

            L’employeur informe le salarié du poste disponible entrainant une procédure de recrutement, puis d’embauche.

            Cet emploi doit être compatible avec la qualification que le salarié possédait au moment de son licenciement.

            Il doit être compatible aussi avec la nouvelle qualification que le salarié a pu éventuellement obtenir après son licenciement, s’il en a préalablement informé l’employeur.

            Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé à l’employeur d’informer le salarié par écrit (par exemple par lettre  RAR  ou mail).

            Attention

            L’employeur doit proposer un poste devenu disponible à un ancien salarié seulement si ce dernier a respecté le délai de 1 an pour lui adresser sa demande à bénéficer de la priorité de réembauche.

            Le salarié bénéficie de la priorité de reémbauche

            Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

            À noter

            Un délai supérieur à 1 an peut éventuellement être prévu par un plan de sauvegarde de l’emploi ou une convention collective.

            Lorsque plusieurs salariés souhaitent bénéficier en même temps de la priorité de réembauche sur le même poste, l’employeur n’a pas l’obligation de suivre un ordre déterminé pour faire son choix.

            L’employeur peut choisir librement le futur salarié selon l’intérêt de l’entreprise et en fonction de critères qu’il peut définir lui même (par exemple l’ancienneté, la compétence, l’ordre d’arrivée sur la candidature, etc).

            L’employeur qui ne respecte pas ses obligations s’expose à des sanctions qui varient en fonction de la nature de l’infraction.

            En cas d’absence d’information du salarié dans la lettre de licenciement économique

            L’employeur qui n’informe pas le salarié de son droit à la priorité de réembauche dans la lettre de licenciement peut être condamné à verser des dommages et intérêts au salarié en fonction du préjudice subi.

            Le salarié peut alors saisir le conseil de prud’hommes.

            En cas d’absence d’information du salarié sur les postes disponibles

            L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’effectif de l’entreprise :

            L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

            Le salarié a un délai de 2 ans pour .

            Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

              L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’ancienneté du salarié :

              L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

              Le salarié a un délai de 2 ans pour .

              Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                L’employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité d’une valeur minimum de 1 mois de salaire.

                Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                  Licenciement économique : priorité de réembauche

                  La priorité de réembauche permet à un ancien salarié licencié pour motif économique de retrouver un emploi dans son entreprise lorsque celle-ci procède à des embauches sur des postes correspondant à sa qualification. Le salarié bénéficie de cette priorité durant un délai d’1 an à compter de la rupture de son contrat de travail. Le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur. Nous faisons un point sur la réglementation.

                    Seul le salarié licencié pour motif économique peut bénéficier de la priorité de réembauche, peu importe que le licenciement soit individuel ou collectif.

                    La priorité d’embauche s’applique aussi au salarié licencié pour motif économique qui a accepté un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) ou un .

                    La priorité d’embauche concerne également le salarié dont le contrat de travail est rompu dans les situations suivantes :

                    À noter

                    En cas de transfert du contrat de travail suite à une vente de l’entreprise notamment, le salarié bénéficie du maintien de la priorité de réembauche, même s’il a été licencié par l’employeur précédent.

                    Le salarié licencié pour motif économique est informé par son employeur qu’il peut bénéficier de la priorité de réembauche.

                    L’employeur doit mentionner dans la lettre de licenciement l’existence de la priorité de réembauche et les conditions de sa mise en œuvre.

                    En cas d’adhésion du salarié au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), la priorité de réembauche doit figurer dans le document écrit énonçant le motif économique de la rupture.

                    Il est remis au plus tard au salarié au moment de cette adhésion.

                    Pour pouvoir bénéficier de la priorité de réembauche, le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur dans le délai de 1 an à compter de la date de rupture de son contrat de travail.

                    Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

                    Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé au salarié de faire sa demande par écrit (par exemple un mail ou une lettre  RAR  ).

                    Oui, l’employeur doit informer le salarié qui fait usage de son droit à la priorité de réembauche, de tout emploi dans l’entreprise devenu disponible et compatible avec sa qualification.

                    L’employeur informe le salarié du poste disponible entrainant une procédure de recrutement, puis d’embauche.

                    Cet emploi doit être compatible avec la qualification que le salarié possédait au moment de son licenciement.

                    Il doit être compatible aussi avec la nouvelle qualification que le salarié a pu éventuellement obtenir après son licenciement, s’il en a préalablement informé l’employeur.

                    Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé à l’employeur d’informer le salarié par écrit (par exemple par lettre  RAR  ou mail).

                    Attention

                    L’employeur doit proposer un poste devenu disponible à un ancien salarié seulement si ce dernier a respecté le délai de 1 an pour lui adresser sa demande à bénéficer de la priorité de réembauche.

                    Le salarié bénéficie de la priorité de reémbauche

                    Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

                    À noter

                    Un délai supérieur à 1 an peut éventuellement être prévu par un plan de sauvegarde de l’emploi ou une convention collective.

                    Lorsque plusieurs salariés souhaitent bénéficier en même temps de la priorité de réembauche sur le même poste, l’employeur n’a pas l’obligation de suivre un ordre déterminé pour faire son choix.

                    L’employeur peut choisir librement le futur salarié selon l’intérêt de l’entreprise et en fonction de critères qu’il peut définir lui même (par exemple l’ancienneté, la compétence, l’ordre d’arrivée sur la candidature, etc).

                    L’employeur qui ne respecte pas ses obligations s’expose à des sanctions qui varient en fonction de la nature de l’infraction.

                    En cas d’absence d’information du salarié dans la lettre de licenciement économique

                    L’employeur qui n’informe pas le salarié de son droit à la priorité de réembauche dans la lettre de licenciement peut être condamné à verser des dommages et intérêts au salarié en fonction du préjudice subi.

                    Le salarié peut alors saisir le conseil de prud’hommes.

                    En cas d’absence d’information du salarié sur les postes disponibles

                    L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’effectif de l’entreprise :

                    L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

                    Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                    Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                      L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’ancienneté du salarié :

                      L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

                      Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                      Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                        L’employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité d’une valeur minimum de 1 mois de salaire.

                        Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                        Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                          Licenciement économique : priorité de réembauche

                          La priorité de réembauche permet à un ancien salarié licencié pour motif économique de retrouver un emploi dans son entreprise lorsque celle-ci procède à des embauches sur des postes correspondant à sa qualification. Le salarié bénéficie de cette priorité durant un délai d’1 an à compter de la rupture de son contrat de travail. Le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur. Nous faisons un point sur la réglementation.

                            Seul le salarié licencié pour motif économique peut bénéficier de la priorité de réembauche, peu importe que le licenciement soit individuel ou collectif.

                            La priorité d’embauche s’applique aussi au salarié licencié pour motif économique qui a accepté un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) ou un .

                            La priorité d’embauche concerne également le salarié dont le contrat de travail est rompu dans les situations suivantes :

                            À noter

                            En cas de transfert du contrat de travail suite à une vente de l’entreprise notamment, le salarié bénéficie du maintien de la priorité de réembauche, même s’il a été licencié par l’employeur précédent.

                            Le salarié licencié pour motif économique est informé par son employeur qu’il peut bénéficier de la priorité de réembauche.

                            L’employeur doit mentionner dans la lettre de licenciement l’existence de la priorité de réembauche et les conditions de sa mise en œuvre.

                            En cas d’adhésion du salarié au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), la priorité de réembauche doit figurer dans le document écrit énonçant le motif économique de la rupture.

                            Il est remis au plus tard au salarié au moment de cette adhésion.

                            Pour pouvoir bénéficier de la priorité de réembauche, le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur dans le délai de 1 an à compter de la date de rupture de son contrat de travail.

                            Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

                            Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé au salarié de faire sa demande par écrit (par exemple un mail ou une lettre  RAR  ).

                            Oui, l’employeur doit informer le salarié qui fait usage de son droit à la priorité de réembauche, de tout emploi dans l’entreprise devenu disponible et compatible avec sa qualification.

                            L’employeur informe le salarié du poste disponible entrainant une procédure de recrutement, puis d’embauche.

                            Cet emploi doit être compatible avec la qualification que le salarié possédait au moment de son licenciement.

                            Il doit être compatible aussi avec la nouvelle qualification que le salarié a pu éventuellement obtenir après son licenciement, s’il en a préalablement informé l’employeur.

                            Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé à l’employeur d’informer le salarié par écrit (par exemple par lettre  RAR  ou mail).

                            Attention

                            L’employeur doit proposer un poste devenu disponible à un ancien salarié seulement si ce dernier a respecté le délai de 1 an pour lui adresser sa demande à bénéficer de la priorité de réembauche.

                            Le salarié bénéficie de la priorité de reémbauche

                            Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

                            À noter

                            Un délai supérieur à 1 an peut éventuellement être prévu par un plan de sauvegarde de l’emploi ou une convention collective.

                            Lorsque plusieurs salariés souhaitent bénéficier en même temps de la priorité de réembauche sur le même poste, l’employeur n’a pas l’obligation de suivre un ordre déterminé pour faire son choix.

                            L’employeur peut choisir librement le futur salarié selon l’intérêt de l’entreprise et en fonction de critères qu’il peut définir lui même (par exemple l’ancienneté, la compétence, l’ordre d’arrivée sur la candidature, etc).

                            L’employeur qui ne respecte pas ses obligations s’expose à des sanctions qui varient en fonction de la nature de l’infraction.

                            En cas d’absence d’information du salarié dans la lettre de licenciement économique

                            L’employeur qui n’informe pas le salarié de son droit à la priorité de réembauche dans la lettre de licenciement peut être condamné à verser des dommages et intérêts au salarié en fonction du préjudice subi.

                            Le salarié peut alors saisir le conseil de prud’hommes.

                            En cas d’absence d’information du salarié sur les postes disponibles

                            L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’effectif de l’entreprise :

                            L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

                            Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                            Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                              L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’ancienneté du salarié :

                              L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

                              Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                              Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                                L’employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité d’une valeur minimum de 1 mois de salaire.

                                Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                                Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                  Licenciement économique : priorité de réembauche

                                  La priorité de réembauche permet à un ancien salarié licencié pour motif économique de retrouver un emploi dans son entreprise lorsque celle-ci procède à des embauches sur des postes correspondant à sa qualification. Le salarié bénéficie de cette priorité durant un délai d’1 an à compter de la rupture de son contrat de travail. Le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur. Nous faisons un point sur la réglementation.

                                    Seul le salarié licencié pour motif économique peut bénéficier de la priorité de réembauche, peu importe que le licenciement soit individuel ou collectif.

                                    La priorité d’embauche s’applique aussi au salarié licencié pour motif économique qui a accepté un contrat de sécurisation professionnelle (CSP) ou un .

                                    La priorité d’embauche concerne également le salarié dont le contrat de travail est rompu dans les situations suivantes :

                                    À noter

                                    En cas de transfert du contrat de travail suite à une vente de l’entreprise notamment, le salarié bénéficie du maintien de la priorité de réembauche, même s’il a été licencié par l’employeur précédent.

                                    Le salarié licencié pour motif économique est informé par son employeur qu’il peut bénéficier de la priorité de réembauche.

                                    L’employeur doit mentionner dans la lettre de licenciement l’existence de la priorité de réembauche et les conditions de sa mise en œuvre.

                                    En cas d’adhésion du salarié au contrat de sécurisation professionnelle (CSP), la priorité de réembauche doit figurer dans le document écrit énonçant le motif économique de la rupture.

                                    Il est remis au plus tard au salarié au moment de cette adhésion.

                                    Pour pouvoir bénéficier de la priorité de réembauche, le salarié doit en faire la demande à son ancien employeur dans le délai de 1 an à compter de la date de rupture de son contrat de travail.

                                    Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

                                    Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé au salarié de faire sa demande par écrit (par exemple un mail ou une lettre  RAR  ).

                                    Oui, l’employeur doit informer le salarié qui fait usage de son droit à la priorité de réembauche, de tout emploi dans l’entreprise devenu disponible et compatible avec sa qualification.

                                    L’employeur informe le salarié du poste disponible entrainant une procédure de recrutement, puis d’embauche.

                                    Cet emploi doit être compatible avec la qualification que le salarié possédait au moment de son licenciement.

                                    Il doit être compatible aussi avec la nouvelle qualification que le salarié a pu éventuellement obtenir après son licenciement, s’il en a préalablement informé l’employeur.

                                    Aucun formalisme n’est imposé, mais il est conseillé à l’employeur d’informer le salarié par écrit (par exemple par lettre  RAR  ou mail).

                                    Attention

                                    L’employeur doit proposer un poste devenu disponible à un ancien salarié seulement si ce dernier a respecté le délai de 1 an pour lui adresser sa demande à bénéficer de la priorité de réembauche.

                                    Le salarié bénéficie de la priorité de reémbauche

                                    Ce délai démarre à la date de rupture du contrat de travail, c’est-à-dire à la fin du préavis de licenciement, peu importe qu’il soit réalisé ou non, ou à la fin du congé de reclassement éventuel.

                                    À noter

                                    Un délai supérieur à 1 an peut éventuellement être prévu par un plan de sauvegarde de l’emploi ou une convention collective.

                                    Lorsque plusieurs salariés souhaitent bénéficier en même temps de la priorité de réembauche sur le même poste, l’employeur n’a pas l’obligation de suivre un ordre déterminé pour faire son choix.

                                    L’employeur peut choisir librement le futur salarié selon l’intérêt de l’entreprise et en fonction de critères qu’il peut définir lui même (par exemple l’ancienneté, la compétence, l’ordre d’arrivée sur la candidature, etc).

                                    L’employeur qui ne respecte pas ses obligations s’expose à des sanctions qui varient en fonction de la nature de l’infraction.

                                    En cas d’absence d’information du salarié dans la lettre de licenciement économique

                                    L’employeur qui n’informe pas le salarié de son droit à la priorité de réembauche dans la lettre de licenciement peut être condamné à verser des dommages et intérêts au salarié en fonction du préjudice subi.

                                    Le salarié peut alors saisir le conseil de prud’hommes.

                                    En cas d’absence d’information du salarié sur les postes disponibles

                                    L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’effectif de l’entreprise :

                                    L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

                                    Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                                    Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                                      L’employeur qui n’informe pas le salarié sur les postes disponibles s’expose à des sanctions qui varient selon l’ancienneté du salarié :

                                      L’employeur peut être condamné à verser des au salarié en fonction du préjudice subi.

                                      Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                                      Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                                        L’employeur peut être condamné à verser au salarié une indemnité d’une valeur minimum de 1 mois de salaire.

                                        Le salarié a un délai de 2 ans pour .

                                        Ce délai démarre 1 an après la date de rupture de son contrat de travail.

                                          Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                          Faire sa demande en ligne

                                          Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                          Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                          La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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