Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ?

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Congé de mobilité d’un salarié

L’employeur peut proposer un congé de mobilité au salarié dans le cadre d’un accord collectif sur la  GPEC  ou d’une  RCC . Ce congé favorise le retour à un emploi stable pour le salarié, par des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail en  CDI  ou en  CDD . Ce congé respecte les règles fixées par l’accord collectif. Quelles sont les caractéristiques d’un congé de mobilité ? Nous faisons le point sur la réglementation.

    Le congé de mobilité permet au salarié qui le souhaite et qui remplit les conditions pour en bénéficier, de préparer une reconversion professionnelle. Il a pour objet de favoriser le retour à un emploi stable à l’issue du congé.

    Des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail au sein ou hors de l’entreprise sont proposées au salarié pendant le congé.

    Il peut être proposé dans le cadre d’un accord sur la  GPEC  ou d’un accord de .

    Pour l’employeur, le congé de mobilité permet d’anticiper l’impact des mutations économiques sur la gestion du personnel en dehors de toutes difficultés économiques.

    Attention

    Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé. Il ne doit pas être confondu avec la mobilité volontaire sécurisée.

    Les entreprises ayant conclu un accord sur la  GPEC  ou de  RCC  peuvent proposer le congé de mobilité.

    L’obligation de négocier un accord de GPEC concerne les entreprises suivantes :

    • Entreprise ou groupe d’entreprises d’au moins 300 salariés dont le siège est en France

    • Entreprise ou groupe de dimension communautaire comportant au moins 1 établissement d’au moins 150 salariés en France.

      L’accord de  RCC  est ouvert à toutes les entreprises quelque soit l’effectif.

        Le congé de mobilité est proposé par l’employeur soit dans le cadre d’un accord de  RCC , soit dans le cadre d’un accord sur la  GPEC .

        Les conditions d’adhésion du salarié au congé de mobilité sont précisées dans l’accord collectif qui le propose.

        Connaître les clauses obligatoires de l’accord collectif proposant le congé de mobilité

        L’accord collectif détermine les éléments suivants :

        • Durée du congé de mobilité

        • Conditions que doit remplir le salarié pour en bénéficier

        • Mode d’adhésion du salarié à la proposition de l’employeur, comprenant les conditions d’expression de son consentement écrit, et les engagements des parties

        • Organisation des périodes de travail, les conditions auxquelles il est mis fin au congé et les modes d’accompagnement des actions de formation envisagées

        • Niveau de la rémunération versée pendant la période du congé de mobilité

        • Conditions d’information des institutions représentatives du personnel

        • Indemnités de rupture garanties au salarié, qui ne peuvent être inférieures aux indemnités légales dues en cas de licenciement pour motif économique.

        Dans le cadre d’un accord  GPEC  , l’employeur doit transmettre tous les 6 mois, le bilan des ruptures prononcées dans le cadre du congé de mobilité à la  Dreets  .

        Pour cela, il doit utiliser le portail des ruptures collectives de contrats de travail :

      • Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)

        La durée du congé est précisée par l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le met en place.

        Elle correspond à la période de maintien du contrat de travail avant sa rupture.

        Elle est laissée au libre choix des négociateurs.

        L’organisation des périodes de travail, les mesures d’accompagnement et les actions de formation envisagées, sont précisées dans l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le propose.

        Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l’entreprise, dans le cadre d’un nouveau  CDI  ou d’un  CDD .

        Lorsque le salarié a signé un CDD, le congé de mobilité est suspendu. Il reprend à l’issue du CDD pour la durée restant à courir.

        La rémunération versée pendant le congé de mobilité est fixée par l’accord collectif relatif à la  GPEC  ou de  RCC .

        Elle varie selon les périodes travaillées ou non travaillées pendant ce congé :

        Le salarié en congé de mobilité doit percevoir la rémunération correspondant au travail qu’il effectue, selon les règles applicables dans l’entreprise d’accueil.

        Elle ne peut pas être inférieure à celle perçue lors des périodes non travaillées.

          Elle correspond au minimum à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l’entrée en congé.

          Au minimum, le montant de l’allocation doit atteindre 9,90 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l’entreprise (soit 1 501,88 € si l’entreprise applique les 35 heures).

          La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales pendant les 12 premiers mois du congé, pouvant être portés à 24 mois en cas de formation de reconversion professionnelle.

          Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

            Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé

            Le salarié perçoit les indemnités de rupture prévues par l’accord collectif.

            Le salarié qui n’a pas retrouvé d’emploi à l’issue du congé de mobilité peut prétendre à l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE), sous conditions.

            À noter

            La rupture amiable dans le cadre du congé mobilité pour les salariés protégés, est soumise à l’autorisation de l’inspecteur du travail.

          • Direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS ou DDETS-PP)

             https://dreets.gouv.fr/ 

            Rechercher les DDETS sur la carte interactive en cliquant sur le département souhaité.

          Congé de mobilité d’un salarié

          L’employeur peut proposer un congé de mobilité au salarié dans le cadre d’un accord collectif sur la  GPEC  ou d’une  RCC . Ce congé favorise le retour à un emploi stable pour le salarié, par des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail en  CDI  ou en  CDD . Ce congé respecte les règles fixées par l’accord collectif. Quelles sont les caractéristiques d’un congé de mobilité ? Nous faisons le point sur la réglementation.

            Le congé de mobilité permet au salarié qui le souhaite et qui remplit les conditions pour en bénéficier, de préparer une reconversion professionnelle. Il a pour objet de favoriser le retour à un emploi stable à l’issue du congé.

            Des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail au sein ou hors de l’entreprise sont proposées au salarié pendant le congé.

            Il peut être proposé dans le cadre d’un accord sur la  GPEC  ou d’un accord de .

            Pour l’employeur, le congé de mobilité permet d’anticiper l’impact des mutations économiques sur la gestion du personnel en dehors de toutes difficultés économiques.

            Attention

            Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé. Il ne doit pas être confondu avec la mobilité volontaire sécurisée.

            Les entreprises ayant conclu un accord sur la  GPEC  ou de  RCC  peuvent proposer le congé de mobilité.

            L’obligation de négocier un accord de GPEC concerne les entreprises suivantes :

            • Entreprise ou groupe d’entreprises d’au moins 300 salariés dont le siège est en France

            • Entreprise ou groupe de dimension communautaire comportant au moins 1 établissement d’au moins 150 salariés en France.

              L’accord de  RCC  est ouvert à toutes les entreprises quelque soit l’effectif.

                Le congé de mobilité est proposé par l’employeur soit dans le cadre d’un accord de  RCC , soit dans le cadre d’un accord sur la  GPEC .

                Les conditions d’adhésion du salarié au congé de mobilité sont précisées dans l’accord collectif qui le propose.

                Connaître les clauses obligatoires de l’accord collectif proposant le congé de mobilité

                L’accord collectif détermine les éléments suivants :

                • Durée du congé de mobilité

                • Conditions que doit remplir le salarié pour en bénéficier

                • Mode d’adhésion du salarié à la proposition de l’employeur, comprenant les conditions d’expression de son consentement écrit, et les engagements des parties

                • Organisation des périodes de travail, les conditions auxquelles il est mis fin au congé et les modes d’accompagnement des actions de formation envisagées

                • Niveau de la rémunération versée pendant la période du congé de mobilité

                • Conditions d’information des institutions représentatives du personnel

                • Indemnités de rupture garanties au salarié, qui ne peuvent être inférieures aux indemnités légales dues en cas de licenciement pour motif économique.

                Dans le cadre d’un accord  GPEC  , l’employeur doit transmettre tous les 6 mois, le bilan des ruptures prononcées dans le cadre du congé de mobilité à la  Dreets  .

                Pour cela, il doit utiliser le portail des ruptures collectives de contrats de travail :

              • Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)

                La durée du congé est précisée par l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le met en place.

                Elle correspond à la période de maintien du contrat de travail avant sa rupture.

                Elle est laissée au libre choix des négociateurs.

                L’organisation des périodes de travail, les mesures d’accompagnement et les actions de formation envisagées, sont précisées dans l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le propose.

                Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l’entreprise, dans le cadre d’un nouveau  CDI  ou d’un  CDD .

                Lorsque le salarié a signé un CDD, le congé de mobilité est suspendu. Il reprend à l’issue du CDD pour la durée restant à courir.

                La rémunération versée pendant le congé de mobilité est fixée par l’accord collectif relatif à la  GPEC  ou de  RCC .

                Elle varie selon les périodes travaillées ou non travaillées pendant ce congé :

                Le salarié en congé de mobilité doit percevoir la rémunération correspondant au travail qu’il effectue, selon les règles applicables dans l’entreprise d’accueil.

                Elle ne peut pas être inférieure à celle perçue lors des périodes non travaillées.

                  Elle correspond au minimum à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l’entrée en congé.

                  Au minimum, le montant de l’allocation doit atteindre 9,90 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l’entreprise (soit 1 501,88 € si l’entreprise applique les 35 heures).

                  La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales pendant les 12 premiers mois du congé, pouvant être portés à 24 mois en cas de formation de reconversion professionnelle.

                  Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

                    Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé

                    Le salarié perçoit les indemnités de rupture prévues par l’accord collectif.

                    Le salarié qui n’a pas retrouvé d’emploi à l’issue du congé de mobilité peut prétendre à l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE), sous conditions.

                    À noter

                    La rupture amiable dans le cadre du congé mobilité pour les salariés protégés, est soumise à l’autorisation de l’inspecteur du travail.

                  • Direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS ou DDETS-PP)

                     https://dreets.gouv.fr/ 

                    Rechercher les DDETS sur la carte interactive en cliquant sur le département souhaité.

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                  Congé de mobilité d’un salarié

                  L’employeur peut proposer un congé de mobilité au salarié dans le cadre d’un accord collectif sur la  GPEC  ou d’une  RCC . Ce congé favorise le retour à un emploi stable pour le salarié, par des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail en  CDI  ou en  CDD . Ce congé respecte les règles fixées par l’accord collectif. Quelles sont les caractéristiques d’un congé de mobilité ? Nous faisons le point sur la réglementation.

                    Le congé de mobilité permet au salarié qui le souhaite et qui remplit les conditions pour en bénéficier, de préparer une reconversion professionnelle. Il a pour objet de favoriser le retour à un emploi stable à l’issue du congé.

                    Des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail au sein ou hors de l’entreprise sont proposées au salarié pendant le congé.

                    Il peut être proposé dans le cadre d’un accord sur la  GPEC  ou d’un accord de .

                    Pour l’employeur, le congé de mobilité permet d’anticiper l’impact des mutations économiques sur la gestion du personnel en dehors de toutes difficultés économiques.

                    Attention

                    Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé. Il ne doit pas être confondu avec la mobilité volontaire sécurisée.

                    Les entreprises ayant conclu un accord sur la  GPEC  ou de  RCC  peuvent proposer le congé de mobilité.

                    L’obligation de négocier un accord de GPEC concerne les entreprises suivantes :

                    • Entreprise ou groupe d’entreprises d’au moins 300 salariés dont le siège est en France

                    • Entreprise ou groupe de dimension communautaire comportant au moins 1 établissement d’au moins 150 salariés en France.

                      L’accord de  RCC  est ouvert à toutes les entreprises quelque soit l’effectif.

                        Le congé de mobilité est proposé par l’employeur soit dans le cadre d’un accord de  RCC , soit dans le cadre d’un accord sur la  GPEC .

                        Les conditions d’adhésion du salarié au congé de mobilité sont précisées dans l’accord collectif qui le propose.

                        Connaître les clauses obligatoires de l’accord collectif proposant le congé de mobilité

                        L’accord collectif détermine les éléments suivants :

                        • Durée du congé de mobilité

                        • Conditions que doit remplir le salarié pour en bénéficier

                        • Mode d’adhésion du salarié à la proposition de l’employeur, comprenant les conditions d’expression de son consentement écrit, et les engagements des parties

                        • Organisation des périodes de travail, les conditions auxquelles il est mis fin au congé et les modes d’accompagnement des actions de formation envisagées

                        • Niveau de la rémunération versée pendant la période du congé de mobilité

                        • Conditions d’information des institutions représentatives du personnel

                        • Indemnités de rupture garanties au salarié, qui ne peuvent être inférieures aux indemnités légales dues en cas de licenciement pour motif économique.

                        Dans le cadre d’un accord  GPEC  , l’employeur doit transmettre tous les 6 mois, le bilan des ruptures prononcées dans le cadre du congé de mobilité à la  Dreets  .

                        Pour cela, il doit utiliser le portail des ruptures collectives de contrats de travail :

                      • Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)

                        La durée du congé est précisée par l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le met en place.

                        Elle correspond à la période de maintien du contrat de travail avant sa rupture.

                        Elle est laissée au libre choix des négociateurs.

                        L’organisation des périodes de travail, les mesures d’accompagnement et les actions de formation envisagées, sont précisées dans l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le propose.

                        Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l’entreprise, dans le cadre d’un nouveau  CDI  ou d’un  CDD .

                        Lorsque le salarié a signé un CDD, le congé de mobilité est suspendu. Il reprend à l’issue du CDD pour la durée restant à courir.

                        La rémunération versée pendant le congé de mobilité est fixée par l’accord collectif relatif à la  GPEC  ou de  RCC .

                        Elle varie selon les périodes travaillées ou non travaillées pendant ce congé :

                        Le salarié en congé de mobilité doit percevoir la rémunération correspondant au travail qu’il effectue, selon les règles applicables dans l’entreprise d’accueil.

                        Elle ne peut pas être inférieure à celle perçue lors des périodes non travaillées.

                          Elle correspond au minimum à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l’entrée en congé.

                          Au minimum, le montant de l’allocation doit atteindre 9,90 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l’entreprise (soit 1 501,88 € si l’entreprise applique les 35 heures).

                          La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales pendant les 12 premiers mois du congé, pouvant être portés à 24 mois en cas de formation de reconversion professionnelle.

                          Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

                            Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé

                            Le salarié perçoit les indemnités de rupture prévues par l’accord collectif.

                            Le salarié qui n’a pas retrouvé d’emploi à l’issue du congé de mobilité peut prétendre à l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE), sous conditions.

                            À noter

                            La rupture amiable dans le cadre du congé mobilité pour les salariés protégés, est soumise à l’autorisation de l’inspecteur du travail.

                          • Direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS ou DDETS-PP)

                             https://dreets.gouv.fr/ 

                            Rechercher les DDETS sur la carte interactive en cliquant sur le département souhaité.

                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                          Congé de mobilité d’un salarié

                          L’employeur peut proposer un congé de mobilité au salarié dans le cadre d’un accord collectif sur la  GPEC  ou d’une  RCC . Ce congé favorise le retour à un emploi stable pour le salarié, par des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail en  CDI  ou en  CDD . Ce congé respecte les règles fixées par l’accord collectif. Quelles sont les caractéristiques d’un congé de mobilité ? Nous faisons le point sur la réglementation.

                            Le congé de mobilité permet au salarié qui le souhaite et qui remplit les conditions pour en bénéficier, de préparer une reconversion professionnelle. Il a pour objet de favoriser le retour à un emploi stable à l’issue du congé.

                            Des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail au sein ou hors de l’entreprise sont proposées au salarié pendant le congé.

                            Il peut être proposé dans le cadre d’un accord sur la  GPEC  ou d’un accord de .

                            Pour l’employeur, le congé de mobilité permet d’anticiper l’impact des mutations économiques sur la gestion du personnel en dehors de toutes difficultés économiques.

                            Attention

                            Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé. Il ne doit pas être confondu avec la mobilité volontaire sécurisée.

                            Les entreprises ayant conclu un accord sur la  GPEC  ou de  RCC  peuvent proposer le congé de mobilité.

                            L’obligation de négocier un accord de GPEC concerne les entreprises suivantes :

                            • Entreprise ou groupe d’entreprises d’au moins 300 salariés dont le siège est en France

                            • Entreprise ou groupe de dimension communautaire comportant au moins 1 établissement d’au moins 150 salariés en France.

                              L’accord de  RCC  est ouvert à toutes les entreprises quelque soit l’effectif.

                                Le congé de mobilité est proposé par l’employeur soit dans le cadre d’un accord de  RCC , soit dans le cadre d’un accord sur la  GPEC .

                                Les conditions d’adhésion du salarié au congé de mobilité sont précisées dans l’accord collectif qui le propose.

                                Connaître les clauses obligatoires de l’accord collectif proposant le congé de mobilité

                                L’accord collectif détermine les éléments suivants :

                                • Durée du congé de mobilité

                                • Conditions que doit remplir le salarié pour en bénéficier

                                • Mode d’adhésion du salarié à la proposition de l’employeur, comprenant les conditions d’expression de son consentement écrit, et les engagements des parties

                                • Organisation des périodes de travail, les conditions auxquelles il est mis fin au congé et les modes d’accompagnement des actions de formation envisagées

                                • Niveau de la rémunération versée pendant la période du congé de mobilité

                                • Conditions d’information des institutions représentatives du personnel

                                • Indemnités de rupture garanties au salarié, qui ne peuvent être inférieures aux indemnités légales dues en cas de licenciement pour motif économique.

                                Dans le cadre d’un accord  GPEC  , l’employeur doit transmettre tous les 6 mois, le bilan des ruptures prononcées dans le cadre du congé de mobilité à la  Dreets  .

                                Pour cela, il doit utiliser le portail des ruptures collectives de contrats de travail :

                              • Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)

                                La durée du congé est précisée par l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le met en place.

                                Elle correspond à la période de maintien du contrat de travail avant sa rupture.

                                Elle est laissée au libre choix des négociateurs.

                                L’organisation des périodes de travail, les mesures d’accompagnement et les actions de formation envisagées, sont précisées dans l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le propose.

                                Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l’entreprise, dans le cadre d’un nouveau  CDI  ou d’un  CDD .

                                Lorsque le salarié a signé un CDD, le congé de mobilité est suspendu. Il reprend à l’issue du CDD pour la durée restant à courir.

                                La rémunération versée pendant le congé de mobilité est fixée par l’accord collectif relatif à la  GPEC  ou de  RCC .

                                Elle varie selon les périodes travaillées ou non travaillées pendant ce congé :

                                Le salarié en congé de mobilité doit percevoir la rémunération correspondant au travail qu’il effectue, selon les règles applicables dans l’entreprise d’accueil.

                                Elle ne peut pas être inférieure à celle perçue lors des périodes non travaillées.

                                  Elle correspond au minimum à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l’entrée en congé.

                                  Au minimum, le montant de l’allocation doit atteindre 9,90 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l’entreprise (soit 1 501,88 € si l’entreprise applique les 35 heures).

                                  La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales pendant les 12 premiers mois du congé, pouvant être portés à 24 mois en cas de formation de reconversion professionnelle.

                                  Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

                                    Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé

                                    Le salarié perçoit les indemnités de rupture prévues par l’accord collectif.

                                    Le salarié qui n’a pas retrouvé d’emploi à l’issue du congé de mobilité peut prétendre à l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE), sous conditions.

                                    À noter

                                    La rupture amiable dans le cadre du congé mobilité pour les salariés protégés, est soumise à l’autorisation de l’inspecteur du travail.

                                  • Direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS ou DDETS-PP)

                                     https://dreets.gouv.fr/ 

                                    Rechercher les DDETS sur la carte interactive en cliquant sur le département souhaité.

                                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                  Congé de mobilité d’un salarié

                                  L’employeur peut proposer un congé de mobilité au salarié dans le cadre d’un accord collectif sur la  GPEC  ou d’une  RCC . Ce congé favorise le retour à un emploi stable pour le salarié, par des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail en  CDI  ou en  CDD . Ce congé respecte les règles fixées par l’accord collectif. Quelles sont les caractéristiques d’un congé de mobilité ? Nous faisons le point sur la réglementation.

                                    Le congé de mobilité permet au salarié qui le souhaite et qui remplit les conditions pour en bénéficier, de préparer une reconversion professionnelle. Il a pour objet de favoriser le retour à un emploi stable à l’issue du congé.

                                    Des mesures d’accompagnement, des actions de formation et des périodes de travail au sein ou hors de l’entreprise sont proposées au salarié pendant le congé.

                                    Il peut être proposé dans le cadre d’un accord sur la  GPEC  ou d’un accord de .

                                    Pour l’employeur, le congé de mobilité permet d’anticiper l’impact des mutations économiques sur la gestion du personnel en dehors de toutes difficultés économiques.

                                    Attention

                                    Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé. Il ne doit pas être confondu avec la mobilité volontaire sécurisée.

                                    Les entreprises ayant conclu un accord sur la  GPEC  ou de  RCC  peuvent proposer le congé de mobilité.

                                    L’obligation de négocier un accord de GPEC concerne les entreprises suivantes :

                                    • Entreprise ou groupe d’entreprises d’au moins 300 salariés dont le siège est en France

                                    • Entreprise ou groupe de dimension communautaire comportant au moins 1 établissement d’au moins 150 salariés en France.

                                      L’accord de  RCC  est ouvert à toutes les entreprises quelque soit l’effectif.

                                        Le congé de mobilité est proposé par l’employeur soit dans le cadre d’un accord de  RCC , soit dans le cadre d’un accord sur la  GPEC .

                                        Les conditions d’adhésion du salarié au congé de mobilité sont précisées dans l’accord collectif qui le propose.

                                        Connaître les clauses obligatoires de l’accord collectif proposant le congé de mobilité

                                        L’accord collectif détermine les éléments suivants :

                                        • Durée du congé de mobilité

                                        • Conditions que doit remplir le salarié pour en bénéficier

                                        • Mode d’adhésion du salarié à la proposition de l’employeur, comprenant les conditions d’expression de son consentement écrit, et les engagements des parties

                                        • Organisation des périodes de travail, les conditions auxquelles il est mis fin au congé et les modes d’accompagnement des actions de formation envisagées

                                        • Niveau de la rémunération versée pendant la période du congé de mobilité

                                        • Conditions d’information des institutions représentatives du personnel

                                        • Indemnités de rupture garanties au salarié, qui ne peuvent être inférieures aux indemnités légales dues en cas de licenciement pour motif économique.

                                        Dans le cadre d’un accord  GPEC  , l’employeur doit transmettre tous les 6 mois, le bilan des ruptures prononcées dans le cadre du congé de mobilité à la  Dreets  .

                                        Pour cela, il doit utiliser le portail des ruptures collectives de contrats de travail :

                                      • Portail des ruptures collectives de contrats de travail (RUPCO)

                                        La durée du congé est précisée par l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le met en place.

                                        Elle correspond à la période de maintien du contrat de travail avant sa rupture.

                                        Elle est laissée au libre choix des négociateurs.

                                        L’organisation des périodes de travail, les mesures d’accompagnement et les actions de formation envisagées, sont précisées dans l’accord collectif sur la  GPEC  ou de  RCC  qui le propose.

                                        Les périodes de travail proposées aux salariés peuvent être accomplies au sein ou en dehors de l’entreprise, dans le cadre d’un nouveau  CDI  ou d’un  CDD .

                                        Lorsque le salarié a signé un CDD, le congé de mobilité est suspendu. Il reprend à l’issue du CDD pour la durée restant à courir.

                                        La rémunération versée pendant le congé de mobilité est fixée par l’accord collectif relatif à la  GPEC  ou de  RCC .

                                        Elle varie selon les périodes travaillées ou non travaillées pendant ce congé :

                                        Le salarié en congé de mobilité doit percevoir la rémunération correspondant au travail qu’il effectue, selon les règles applicables dans l’entreprise d’accueil.

                                        Elle ne peut pas être inférieure à celle perçue lors des périodes non travaillées.

                                          Elle correspond au minimum à 65 % de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant l’entrée en congé.

                                          Au minimum, le montant de l’allocation doit atteindre 9,90 € par heure, multipliée par la durée collective de travail fixée dans l’entreprise (soit 1 501,88 € si l’entreprise applique les 35 heures).

                                          La rémunération versée est exonérée de cotisations sociales pendant les 12 premiers mois du congé, pouvant être portés à 24 mois en cas de formation de reconversion professionnelle.

                                          Elle reste soumise à la contribution sociale généralisée (CSG) et la contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS).

                                            Le contrat de travail du salarié qui accepte le congé de mobilité est rompu d’un commun accord à la date de fin de ce congé

                                            Le salarié perçoit les indemnités de rupture prévues par l’accord collectif.

                                            Le salarié qui n’a pas retrouvé d’emploi à l’issue du congé de mobilité peut prétendre à l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE), sous conditions.

                                            À noter

                                            La rupture amiable dans le cadre du congé mobilité pour les salariés protégés, est soumise à l’autorisation de l’inspecteur du travail.

                                          • Direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS ou DDETS-PP)

                                             https://dreets.gouv.fr/ 

                                            Rechercher les DDETS sur la carte interactive en cliquant sur le département souhaité.

                                          Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

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