Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Surendettement : plan conventionnel de redressement

Qu’est-ce qu’un plan conventionnel de redressement et quand intervient-il ? Un plan conventionnel de redressement peut être proposé par la commission de surendettement au surendetté et à ses créanciers, après qu’elle a déclaré le dossier de surendettement recevable. C’est le cas lorsque le surendetté possède un bien immobilier et qu’il est en mesure de rembourser ses dettes. Nous vous expliquons.

À savoir

Lorsque le surendetté ne possède pas de bien immobilier, mais que la commission estime qu’il est en mesure de rembourser ses dettes, elle peut proposer directement des mesures imposées.

    Lorsque le surendetté possède un bien immobilier et que sa dette est remboursable, la commission cherche à mettre en place une conciliation entre le surendetté et ses créanciers. Cette conciliation porte sur un plan conventionnel de redressement , élaboré par la commission de surendettement.

    Le plan conventionnel de redressement est destiné à alléger le poids de la dette du surendetté.

    Pour cela, il peut prévoir que le surendetté s’engage à faire certains actes pour faciliter le paiement de ses dettes (par exemple, changer de logement si le loyer est disproportionné), et à ne pas faire d’actes pouvant aggraver son insolvabilité (par exemple, ne pas prendre de nouveaux crédits). Il peut également prévoir par exemple un report ou un rééchelonnement du paiement des dettes, une remise de dettes, une réduction ou encore la suppression du taux d’intérêt de la dette.

    À savoir

    La priorité est toujours accordée aux dettes de logement. Et aucun rééchelonnement, remise ou effacement n’est possible sans l’accord du créancier pour les dettes alimentaires, les dommages et intérêts et les dettes frauduleuses contre un organisme de protection sociale.

    La commission notifie aux créanciers, par lettre recommandée avec avis de réception, le plan qu’elle a élaboré.

    Les créanciers ont 30 jours pour refuser cette proposition.

    L’absence de réponse dans ce délai vaut accord des créanciers.

    Lorsque le surendetté et les créanciers acceptent les mesures du plan élaboré par la commission, ils signent le plan. En l’absence de réponse des créanciers, seul le surendetté signe le plan.

    Chacun reçoit une copie du plan par courrier simple.

    Le plan est applicable à la date fixée par la commission. Si la commission n’a pas fixée de date, le plan est applicable au plus tard le dernier jour du mois qui suit la date du courrier simple envoyé par la commission au surendetté et aux créanciers.

    À noter

    Si le surendetté ne respecte pas ses engagements, la commission lui envoie une mise en demeure. Si le surendetté ne tient pas compte de cette mise en demeure 15 jours après, le plan n’est plus applicable et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement. Le surendetté ne peut pas déposer un nouveau dossier de surendettement. Mais il peut en déposer un s’il peut justifier de circonstances nouvelles.

    Le plan ne peut pas dépasser 7 ans, même s’il fait l’objet d’une révision ou d’un renouvellement.

    Mais certaines mesures peuvent excéder cette durée. Il s’agit des mesures qui concernent le remboursement des prêts souscrits par le surendetté pour l’achat de sa résidence principale, ou encore des mesures qui lui permettent de rembourser toutes ses dettes tout en évitant de devoir vendre sa résidence principale.

    Si aucun accord n’a été trouvé, la commission constate, par procès-verbal, l’échec de la procédure amiable.

    Elle avertit le surendetté, par lettre recommandée avec accusé de réception.

    Le surendetté a 15 jours pour demander à la commission d’imposer certaines mesures. Le surendetté doit faire cette demande par lettre signée, et la déposer, ou l’envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception, au secrétariat de la commission.

    Pour rédiger sa demande, le surendetté peut utiliser le modèle de document suivant :

  • Demande de mise en place de mesures imposées par la commission de surendettement
  • Les créanciers sont informés de cette demande par la commission au moyen d’un courrier recommandé avec avis de réception. Ils disposent de 15 jours pour présenter leurs observations.

    À savoir

    Lorsque le surendetté ne fait pas cette demande dans les 15  jours, son dossier de surendettement est clos et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement.

    Si sa situation financière se dégrade durant le plan, le surendetté peut saisir la commission pour demander :

    Il doit faire sa demande par lettre signée, à déposer ou envoyer par courrier simple au secrétariat de la commission.

    Le surendetté doit y indiquer les informations suivantes :

    • Nom, prénoms et adresse

    • Situation familiale

    • État détaillé des revenus, de ses dettes et de son patrimoine

    • Circonstances dans lesquelles sa situation est devenue irrémédiablement compromise.

Surendettement

    Surendettement : plan conventionnel de redressement

    Qu’est-ce qu’un plan conventionnel de redressement et quand intervient-il ? Un plan conventionnel de redressement peut être proposé par la commission de surendettement au surendetté et à ses créanciers, après qu’elle a déclaré le dossier de surendettement recevable. C’est le cas lorsque le surendetté possède un bien immobilier et qu’il est en mesure de rembourser ses dettes. Nous vous expliquons.

    À savoir

    Lorsque le surendetté ne possède pas de bien immobilier, mais que la commission estime qu’il est en mesure de rembourser ses dettes, elle peut proposer directement des mesures imposées.

      Lorsque le surendetté possède un bien immobilier et que sa dette est remboursable, la commission cherche à mettre en place une conciliation entre le surendetté et ses créanciers. Cette conciliation porte sur un plan conventionnel de redressement , élaboré par la commission de surendettement.

      Le plan conventionnel de redressement est destiné à alléger le poids de la dette du surendetté.

      Pour cela, il peut prévoir que le surendetté s’engage à faire certains actes pour faciliter le paiement de ses dettes (par exemple, changer de logement si le loyer est disproportionné), et à ne pas faire d’actes pouvant aggraver son insolvabilité (par exemple, ne pas prendre de nouveaux crédits). Il peut également prévoir par exemple un report ou un rééchelonnement du paiement des dettes, une remise de dettes, une réduction ou encore la suppression du taux d’intérêt de la dette.

      À savoir

      La priorité est toujours accordée aux dettes de logement. Et aucun rééchelonnement, remise ou effacement n’est possible sans l’accord du créancier pour les dettes alimentaires, les dommages et intérêts et les dettes frauduleuses contre un organisme de protection sociale.

      La commission notifie aux créanciers, par lettre recommandée avec avis de réception, le plan qu’elle a élaboré.

      Les créanciers ont 30 jours pour refuser cette proposition.

      L’absence de réponse dans ce délai vaut accord des créanciers.

      Lorsque le surendetté et les créanciers acceptent les mesures du plan élaboré par la commission, ils signent le plan. En l’absence de réponse des créanciers, seul le surendetté signe le plan.

      Chacun reçoit une copie du plan par courrier simple.

      Le plan est applicable à la date fixée par la commission. Si la commission n’a pas fixée de date, le plan est applicable au plus tard le dernier jour du mois qui suit la date du courrier simple envoyé par la commission au surendetté et aux créanciers.

      À noter

      Si le surendetté ne respecte pas ses engagements, la commission lui envoie une mise en demeure. Si le surendetté ne tient pas compte de cette mise en demeure 15 jours après, le plan n’est plus applicable et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement. Le surendetté ne peut pas déposer un nouveau dossier de surendettement. Mais il peut en déposer un s’il peut justifier de circonstances nouvelles.

      Le plan ne peut pas dépasser 7 ans, même s’il fait l’objet d’une révision ou d’un renouvellement.

      Mais certaines mesures peuvent excéder cette durée. Il s’agit des mesures qui concernent le remboursement des prêts souscrits par le surendetté pour l’achat de sa résidence principale, ou encore des mesures qui lui permettent de rembourser toutes ses dettes tout en évitant de devoir vendre sa résidence principale.

      Si aucun accord n’a été trouvé, la commission constate, par procès-verbal, l’échec de la procédure amiable.

      Elle avertit le surendetté, par lettre recommandée avec accusé de réception.

      Le surendetté a 15 jours pour demander à la commission d’imposer certaines mesures. Le surendetté doit faire cette demande par lettre signée, et la déposer, ou l’envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception, au secrétariat de la commission.

      Pour rédiger sa demande, le surendetté peut utiliser le modèle de document suivant :

    • Demande de mise en place de mesures imposées par la commission de surendettement
    • Les créanciers sont informés de cette demande par la commission au moyen d’un courrier recommandé avec avis de réception. Ils disposent de 15 jours pour présenter leurs observations.

      À savoir

      Lorsque le surendetté ne fait pas cette demande dans les 15  jours, son dossier de surendettement est clos et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement.

      Si sa situation financière se dégrade durant le plan, le surendetté peut saisir la commission pour demander :

      Il doit faire sa demande par lettre signée, à déposer ou envoyer par courrier simple au secrétariat de la commission.

      Le surendetté doit y indiquer les informations suivantes :

      • Nom, prénoms et adresse

      • Situation familiale

      • État détaillé des revenus, de ses dettes et de son patrimoine

      • Circonstances dans lesquelles sa situation est devenue irrémédiablement compromise.

    Surendettement

      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

      Surendettement : plan conventionnel de redressement

      Qu’est-ce qu’un plan conventionnel de redressement et quand intervient-il ? Un plan conventionnel de redressement peut être proposé par la commission de surendettement au surendetté et à ses créanciers, après qu’elle a déclaré le dossier de surendettement recevable. C’est le cas lorsque le surendetté possède un bien immobilier et qu’il est en mesure de rembourser ses dettes. Nous vous expliquons.

      À savoir

      Lorsque le surendetté ne possède pas de bien immobilier, mais que la commission estime qu’il est en mesure de rembourser ses dettes, elle peut proposer directement des mesures imposées.

        Lorsque le surendetté possède un bien immobilier et que sa dette est remboursable, la commission cherche à mettre en place une conciliation entre le surendetté et ses créanciers. Cette conciliation porte sur un plan conventionnel de redressement , élaboré par la commission de surendettement.

        Le plan conventionnel de redressement est destiné à alléger le poids de la dette du surendetté.

        Pour cela, il peut prévoir que le surendetté s’engage à faire certains actes pour faciliter le paiement de ses dettes (par exemple, changer de logement si le loyer est disproportionné), et à ne pas faire d’actes pouvant aggraver son insolvabilité (par exemple, ne pas prendre de nouveaux crédits). Il peut également prévoir par exemple un report ou un rééchelonnement du paiement des dettes, une remise de dettes, une réduction ou encore la suppression du taux d’intérêt de la dette.

        À savoir

        La priorité est toujours accordée aux dettes de logement. Et aucun rééchelonnement, remise ou effacement n’est possible sans l’accord du créancier pour les dettes alimentaires, les dommages et intérêts et les dettes frauduleuses contre un organisme de protection sociale.

        La commission notifie aux créanciers, par lettre recommandée avec avis de réception, le plan qu’elle a élaboré.

        Les créanciers ont 30 jours pour refuser cette proposition.

        L’absence de réponse dans ce délai vaut accord des créanciers.

        Lorsque le surendetté et les créanciers acceptent les mesures du plan élaboré par la commission, ils signent le plan. En l’absence de réponse des créanciers, seul le surendetté signe le plan.

        Chacun reçoit une copie du plan par courrier simple.

        Le plan est applicable à la date fixée par la commission. Si la commission n’a pas fixée de date, le plan est applicable au plus tard le dernier jour du mois qui suit la date du courrier simple envoyé par la commission au surendetté et aux créanciers.

        À noter

        Si le surendetté ne respecte pas ses engagements, la commission lui envoie une mise en demeure. Si le surendetté ne tient pas compte de cette mise en demeure 15 jours après, le plan n’est plus applicable et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement. Le surendetté ne peut pas déposer un nouveau dossier de surendettement. Mais il peut en déposer un s’il peut justifier de circonstances nouvelles.

        Le plan ne peut pas dépasser 7 ans, même s’il fait l’objet d’une révision ou d’un renouvellement.

        Mais certaines mesures peuvent excéder cette durée. Il s’agit des mesures qui concernent le remboursement des prêts souscrits par le surendetté pour l’achat de sa résidence principale, ou encore des mesures qui lui permettent de rembourser toutes ses dettes tout en évitant de devoir vendre sa résidence principale.

        Si aucun accord n’a été trouvé, la commission constate, par procès-verbal, l’échec de la procédure amiable.

        Elle avertit le surendetté, par lettre recommandée avec accusé de réception.

        Le surendetté a 15 jours pour demander à la commission d’imposer certaines mesures. Le surendetté doit faire cette demande par lettre signée, et la déposer, ou l’envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception, au secrétariat de la commission.

        Pour rédiger sa demande, le surendetté peut utiliser le modèle de document suivant :

      • Demande de mise en place de mesures imposées par la commission de surendettement
      • Les créanciers sont informés de cette demande par la commission au moyen d’un courrier recommandé avec avis de réception. Ils disposent de 15 jours pour présenter leurs observations.

        À savoir

        Lorsque le surendetté ne fait pas cette demande dans les 15  jours, son dossier de surendettement est clos et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement.

        Si sa situation financière se dégrade durant le plan, le surendetté peut saisir la commission pour demander :

        Il doit faire sa demande par lettre signée, à déposer ou envoyer par courrier simple au secrétariat de la commission.

        Le surendetté doit y indiquer les informations suivantes :

        • Nom, prénoms et adresse

        • Situation familiale

        • État détaillé des revenus, de ses dettes et de son patrimoine

        • Circonstances dans lesquelles sa situation est devenue irrémédiablement compromise.

      Surendettement

        Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

        Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

        Surendettement : plan conventionnel de redressement

        Qu’est-ce qu’un plan conventionnel de redressement et quand intervient-il ? Un plan conventionnel de redressement peut être proposé par la commission de surendettement au surendetté et à ses créanciers, après qu’elle a déclaré le dossier de surendettement recevable. C’est le cas lorsque le surendetté possède un bien immobilier et qu’il est en mesure de rembourser ses dettes. Nous vous expliquons.

        À savoir

        Lorsque le surendetté ne possède pas de bien immobilier, mais que la commission estime qu’il est en mesure de rembourser ses dettes, elle peut proposer directement des mesures imposées.

          Lorsque le surendetté possède un bien immobilier et que sa dette est remboursable, la commission cherche à mettre en place une conciliation entre le surendetté et ses créanciers. Cette conciliation porte sur un plan conventionnel de redressement , élaboré par la commission de surendettement.

          Le plan conventionnel de redressement est destiné à alléger le poids de la dette du surendetté.

          Pour cela, il peut prévoir que le surendetté s’engage à faire certains actes pour faciliter le paiement de ses dettes (par exemple, changer de logement si le loyer est disproportionné), et à ne pas faire d’actes pouvant aggraver son insolvabilité (par exemple, ne pas prendre de nouveaux crédits). Il peut également prévoir par exemple un report ou un rééchelonnement du paiement des dettes, une remise de dettes, une réduction ou encore la suppression du taux d’intérêt de la dette.

          À savoir

          La priorité est toujours accordée aux dettes de logement. Et aucun rééchelonnement, remise ou effacement n’est possible sans l’accord du créancier pour les dettes alimentaires, les dommages et intérêts et les dettes frauduleuses contre un organisme de protection sociale.

          La commission notifie aux créanciers, par lettre recommandée avec avis de réception, le plan qu’elle a élaboré.

          Les créanciers ont 30 jours pour refuser cette proposition.

          L’absence de réponse dans ce délai vaut accord des créanciers.

          Lorsque le surendetté et les créanciers acceptent les mesures du plan élaboré par la commission, ils signent le plan. En l’absence de réponse des créanciers, seul le surendetté signe le plan.

          Chacun reçoit une copie du plan par courrier simple.

          Le plan est applicable à la date fixée par la commission. Si la commission n’a pas fixée de date, le plan est applicable au plus tard le dernier jour du mois qui suit la date du courrier simple envoyé par la commission au surendetté et aux créanciers.

          À noter

          Si le surendetté ne respecte pas ses engagements, la commission lui envoie une mise en demeure. Si le surendetté ne tient pas compte de cette mise en demeure 15 jours après, le plan n’est plus applicable et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement. Le surendetté ne peut pas déposer un nouveau dossier de surendettement. Mais il peut en déposer un s’il peut justifier de circonstances nouvelles.

          Le plan ne peut pas dépasser 7 ans, même s’il fait l’objet d’une révision ou d’un renouvellement.

          Mais certaines mesures peuvent excéder cette durée. Il s’agit des mesures qui concernent le remboursement des prêts souscrits par le surendetté pour l’achat de sa résidence principale, ou encore des mesures qui lui permettent de rembourser toutes ses dettes tout en évitant de devoir vendre sa résidence principale.

          Si aucun accord n’a été trouvé, la commission constate, par procès-verbal, l’échec de la procédure amiable.

          Elle avertit le surendetté, par lettre recommandée avec accusé de réception.

          Le surendetté a 15 jours pour demander à la commission d’imposer certaines mesures. Le surendetté doit faire cette demande par lettre signée, et la déposer, ou l’envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception, au secrétariat de la commission.

          Pour rédiger sa demande, le surendetté peut utiliser le modèle de document suivant :

        • Demande de mise en place de mesures imposées par la commission de surendettement
        • Les créanciers sont informés de cette demande par la commission au moyen d’un courrier recommandé avec avis de réception. Ils disposent de 15 jours pour présenter leurs observations.

          À savoir

          Lorsque le surendetté ne fait pas cette demande dans les 15  jours, son dossier de surendettement est clos et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement.

          Si sa situation financière se dégrade durant le plan, le surendetté peut saisir la commission pour demander :

          Il doit faire sa demande par lettre signée, à déposer ou envoyer par courrier simple au secrétariat de la commission.

          Le surendetté doit y indiquer les informations suivantes :

          • Nom, prénoms et adresse

          • Situation familiale

          • État détaillé des revenus, de ses dettes et de son patrimoine

          • Circonstances dans lesquelles sa situation est devenue irrémédiablement compromise.

        Surendettement

          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

          Surendettement : plan conventionnel de redressement

          Qu’est-ce qu’un plan conventionnel de redressement et quand intervient-il ? Un plan conventionnel de redressement peut être proposé par la commission de surendettement au surendetté et à ses créanciers, après qu’elle a déclaré le dossier de surendettement recevable. C’est le cas lorsque le surendetté possède un bien immobilier et qu’il est en mesure de rembourser ses dettes. Nous vous expliquons.

          À savoir

          Lorsque le surendetté ne possède pas de bien immobilier, mais que la commission estime qu’il est en mesure de rembourser ses dettes, elle peut proposer directement des mesures imposées.

            Lorsque le surendetté possède un bien immobilier et que sa dette est remboursable, la commission cherche à mettre en place une conciliation entre le surendetté et ses créanciers. Cette conciliation porte sur un plan conventionnel de redressement , élaboré par la commission de surendettement.

            Le plan conventionnel de redressement est destiné à alléger le poids de la dette du surendetté.

            Pour cela, il peut prévoir que le surendetté s’engage à faire certains actes pour faciliter le paiement de ses dettes (par exemple, changer de logement si le loyer est disproportionné), et à ne pas faire d’actes pouvant aggraver son insolvabilité (par exemple, ne pas prendre de nouveaux crédits). Il peut également prévoir par exemple un report ou un rééchelonnement du paiement des dettes, une remise de dettes, une réduction ou encore la suppression du taux d’intérêt de la dette.

            À savoir

            La priorité est toujours accordée aux dettes de logement. Et aucun rééchelonnement, remise ou effacement n’est possible sans l’accord du créancier pour les dettes alimentaires, les dommages et intérêts et les dettes frauduleuses contre un organisme de protection sociale.

            La commission notifie aux créanciers, par lettre recommandée avec avis de réception, le plan qu’elle a élaboré.

            Les créanciers ont 30 jours pour refuser cette proposition.

            L’absence de réponse dans ce délai vaut accord des créanciers.

            Lorsque le surendetté et les créanciers acceptent les mesures du plan élaboré par la commission, ils signent le plan. En l’absence de réponse des créanciers, seul le surendetté signe le plan.

            Chacun reçoit une copie du plan par courrier simple.

            Le plan est applicable à la date fixée par la commission. Si la commission n’a pas fixée de date, le plan est applicable au plus tard le dernier jour du mois qui suit la date du courrier simple envoyé par la commission au surendetté et aux créanciers.

            À noter

            Si le surendetté ne respecte pas ses engagements, la commission lui envoie une mise en demeure. Si le surendetté ne tient pas compte de cette mise en demeure 15 jours après, le plan n’est plus applicable et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement. Le surendetté ne peut pas déposer un nouveau dossier de surendettement. Mais il peut en déposer un s’il peut justifier de circonstances nouvelles.

            Le plan ne peut pas dépasser 7 ans, même s’il fait l’objet d’une révision ou d’un renouvellement.

            Mais certaines mesures peuvent excéder cette durée. Il s’agit des mesures qui concernent le remboursement des prêts souscrits par le surendetté pour l’achat de sa résidence principale, ou encore des mesures qui lui permettent de rembourser toutes ses dettes tout en évitant de devoir vendre sa résidence principale.

            Si aucun accord n’a été trouvé, la commission constate, par procès-verbal, l’échec de la procédure amiable.

            Elle avertit le surendetté, par lettre recommandée avec accusé de réception.

            Le surendetté a 15 jours pour demander à la commission d’imposer certaines mesures. Le surendetté doit faire cette demande par lettre signée, et la déposer, ou l’envoyer par courrier recommandé avec accusé de réception, au secrétariat de la commission.

            Pour rédiger sa demande, le surendetté peut utiliser le modèle de document suivant :

          • Demande de mise en place de mesures imposées par la commission de surendettement
          • Les créanciers sont informés de cette demande par la commission au moyen d’un courrier recommandé avec avis de réception. Ils disposent de 15 jours pour présenter leurs observations.

            À savoir

            Lorsque le surendetté ne fait pas cette demande dans les 15  jours, son dossier de surendettement est clos et les créanciers peuvent reprendre leurs procédures de recouvrement.

            Si sa situation financière se dégrade durant le plan, le surendetté peut saisir la commission pour demander :

            Il doit faire sa demande par lettre signée, à déposer ou envoyer par courrier simple au secrétariat de la commission.

            Le surendetté doit y indiquer les informations suivantes :

            • Nom, prénoms et adresse

            • Situation familiale

            • État détaillé des revenus, de ses dettes et de son patrimoine

            • Circonstances dans lesquelles sa situation est devenue irrémédiablement compromise.

          Surendettement

            Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

            Faire sa demande en ligne

            Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
            Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

            La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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