Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ?

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Que peut faire un juge des enfants pour protéger un mineur en danger ?

Pour protéger un mineur en danger, le juge des enfants peut prendre des mesures d’assistance éducative (allant de la mesure de suivi et d’aide à la famille à une mesure de placement de l’enfant).

    Le juge des enfants essaie, dans la mesure du possible, de maintenir l’enfant dans sa famille.

    Il désigne alors une personne qualifiée ou un service spécialisé pour aider la famille.

    Le service spécialisé va mettre en place un accompagnement social et éducatif de la famille pour assurer la santé, la sécurité et l’éducation de l’enfant.

    L’enfant peut également bénéficier d’un accompagnement psychologique.

    Quand l’enfant est suivi par un service spécialisé, il peut y être hébergé de façon exceptionnelle ou périodique (1 semaine par mois par exemple).

    Le juge peut soumettre l’enfant ou ses parents au respect de certaines obligations. Elles peuvent être les suivantes :

    • Suivre une scolarité (être inscrit dans un établissement sanitaire ou d’éducation, y compris en internat)

    • Exercer une activité professionnelle par l’enfant, s’il est en âge de travailler

    • Respecter un suivi psychologique ou médical

    Si l’enfant est suivi par un service spécialisé, la mesure peut durer 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

    Si l’enfant est suivi par une personne qualifiée, il n’y a pas de durée maximale.

    Le juge peut également ordonner une aide à la gestion du budget familiale dont le but est de rétablir l’autonomie financière de la famille ou une aide éducative à domicile dont le but est de restaurer les liens entre les parents et l’enfant.

    Le juge des enfants peut décider d’une mesure de placement dans les cas les plus graves.

    Cette mesure ne retire pas l’autorité parentale aux parents de l’enfant.

    Cette mesure est fixée pour une durée de 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

    Toutefois, il est possible que les mesures soient ordonnées pour une durée supérieure si la situation de la famille l’exige.

    Les parents peuvent obtenir un droit de visite.

    Les frais occasionnés par la prise en charge du mineur doivent être payés par les parents, sauf décision contraire du juge.

    Le juge des enfants a la faculté d’ordonner une interdiction de sortie du territoire (IST) en parallèle d’une autre mesure d’ assistance éducative. Tel peut être le cas par exemple lorsque l’enfant est placé chez l’autre parent.

    Ainsi, l’enfant ne pourra pas quitter la France sans l’autorisation du juge. L’accord de ses 2 parents ne suffira pas.

    L’interdiction de sortie du territoire est prise pour une durée maximale de 2 ans.

    Le juge des enfants peut ordonner une médiation familiale dans le cadre de l’assistance éducative.

    La médiation familiale est un temps d’écoute, d’échanges et de négociation dans les conflits familiaux.

    Elle a pour finalité d’apaiser les tensions et de restaurer un lien familial fragilisé (enfants, parents, grands-parents, héritiers..).

    Un tiers professionnel qualifié, le médiateur familial , accompagne les familles. Il favorise la reprise du dialogue pour que les parties trouvent elles-mêmes un accord.

    Le juge des enfants doit informer les parents sur les dispositifs d’accompagnement mis en place par le département, et dont ils peuvent bénéficier. Il s’agit notamment :

    • de l’aide à domicile,

    • de l’accueil en centre parental.

    Pour que la médiation familiale puisse avoir lieu, les conditions suivantes doivent être réunies :

    • Cette mesure doit obligatoirement accompagner une autre mesure d’assistance éducative (exemple : mesure de placement de l’enfant en famille d’accueil)

    • L’accord des parents est nécessaire

    À noter

    En cas de violence ou d’emprise d’un parent sur l’autre parent ou l’enfant, le recours à la médiation familiale est impossible, le but étant de protéger la ou les victime(s).

    L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

    • Sa santé physique

    • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

    • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

    • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

    • Son éducation

    Les personnes suivantes peuvent recourir aujuge des enfants :

    • Enfant lui-même

    • Parents de l’enfant agissant ensemble, ou l’un d’entre eux agissant seul

    • Tuteur ou famille d’accueil du mineur ou tout autre personne ayant la charge de l’enfant

    • Aide sociale à l’enfance (Ase) ou tout autre service ayant la charge de l’enfance

    • Procureur de la République, qui est généralement prévenu par les services du département ou par tout fonctionnaire témoin d’une infraction commise contre ou par l’enfant

    À savoir

    à titre exceptionnel, le juge peut décider de lui-même d’une mesure d’assistance éducative.

    L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

    • Sa santé physique

    • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

    • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

    • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

    • Son éducation

    La demande d’intervention du juge des enfants doit être faite via une requête déposée au tribunal judiciaire du domicile des parents ou de la famille d’accueil, du tuteur ou de tout autre personne ou service ayant la charge de l’enfant.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    À noter

    s’il y a plusieurs enfants d’une même famille habitant à des endroits différents, l’affaire sera centralisée auprès d’un seul juge des enfants.

    Le juge des enfants peut modifier lui-même les mesures d’assistance éducative.

    Toutefois, la modification peut également être demandée par les personnes suivantes :

    • Enfant lui-même

    • Parents, agissant ensemble ou séparément, ou le tuteur de l’enfant

    • Personne ou service à qui l’enfant a été confié

    • Procureur de la République

Mineur victime

    Que peut faire un juge des enfants pour protéger un mineur en danger ?

    Pour protéger un mineur en danger, le juge des enfants peut prendre des mesures d’assistance éducative (allant de la mesure de suivi et d’aide à la famille à une mesure de placement de l’enfant).

      Le juge des enfants essaie, dans la mesure du possible, de maintenir l’enfant dans sa famille.

      Il désigne alors une personne qualifiée ou un service spécialisé pour aider la famille.

      Le service spécialisé va mettre en place un accompagnement social et éducatif de la famille pour assurer la santé, la sécurité et l’éducation de l’enfant.

      L’enfant peut également bénéficier d’un accompagnement psychologique.

      Quand l’enfant est suivi par un service spécialisé, il peut y être hébergé de façon exceptionnelle ou périodique (1 semaine par mois par exemple).

      Le juge peut soumettre l’enfant ou ses parents au respect de certaines obligations. Elles peuvent être les suivantes :

      • Suivre une scolarité (être inscrit dans un établissement sanitaire ou d’éducation, y compris en internat)

      • Exercer une activité professionnelle par l’enfant, s’il est en âge de travailler

      • Respecter un suivi psychologique ou médical

      Si l’enfant est suivi par un service spécialisé, la mesure peut durer 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

      Si l’enfant est suivi par une personne qualifiée, il n’y a pas de durée maximale.

      Le juge peut également ordonner une aide à la gestion du budget familiale dont le but est de rétablir l’autonomie financière de la famille ou une aide éducative à domicile dont le but est de restaurer les liens entre les parents et l’enfant.

      Le juge des enfants peut décider d’une mesure de placement dans les cas les plus graves.

      Cette mesure ne retire pas l’autorité parentale aux parents de l’enfant.

      Cette mesure est fixée pour une durée de 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

      Toutefois, il est possible que les mesures soient ordonnées pour une durée supérieure si la situation de la famille l’exige.

      Les parents peuvent obtenir un droit de visite.

      Les frais occasionnés par la prise en charge du mineur doivent être payés par les parents, sauf décision contraire du juge.

      Le juge des enfants a la faculté d’ordonner une interdiction de sortie du territoire (IST) en parallèle d’une autre mesure d’ assistance éducative. Tel peut être le cas par exemple lorsque l’enfant est placé chez l’autre parent.

      Ainsi, l’enfant ne pourra pas quitter la France sans l’autorisation du juge. L’accord de ses 2 parents ne suffira pas.

      L’interdiction de sortie du territoire est prise pour une durée maximale de 2 ans.

      Le juge des enfants peut ordonner une médiation familiale dans le cadre de l’assistance éducative.

      La médiation familiale est un temps d’écoute, d’échanges et de négociation dans les conflits familiaux.

      Elle a pour finalité d’apaiser les tensions et de restaurer un lien familial fragilisé (enfants, parents, grands-parents, héritiers..).

      Un tiers professionnel qualifié, le médiateur familial , accompagne les familles. Il favorise la reprise du dialogue pour que les parties trouvent elles-mêmes un accord.

      Le juge des enfants doit informer les parents sur les dispositifs d’accompagnement mis en place par le département, et dont ils peuvent bénéficier. Il s’agit notamment :

      • de l’aide à domicile,

      • de l’accueil en centre parental.

      Pour que la médiation familiale puisse avoir lieu, les conditions suivantes doivent être réunies :

      • Cette mesure doit obligatoirement accompagner une autre mesure d’assistance éducative (exemple : mesure de placement de l’enfant en famille d’accueil)

      • L’accord des parents est nécessaire

      À noter

      En cas de violence ou d’emprise d’un parent sur l’autre parent ou l’enfant, le recours à la médiation familiale est impossible, le but étant de protéger la ou les victime(s).

      L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

      • Sa santé physique

      • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

      • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

      • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

      • Son éducation

      Les personnes suivantes peuvent recourir aujuge des enfants :

      • Enfant lui-même

      • Parents de l’enfant agissant ensemble, ou l’un d’entre eux agissant seul

      • Tuteur ou famille d’accueil du mineur ou tout autre personne ayant la charge de l’enfant

      • Aide sociale à l’enfance (Ase) ou tout autre service ayant la charge de l’enfance

      • Procureur de la République, qui est généralement prévenu par les services du département ou par tout fonctionnaire témoin d’une infraction commise contre ou par l’enfant

      À savoir

      à titre exceptionnel, le juge peut décider de lui-même d’une mesure d’assistance éducative.

      L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

      • Sa santé physique

      • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

      • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

      • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

      • Son éducation

      La demande d’intervention du juge des enfants doit être faite via une requête déposée au tribunal judiciaire du domicile des parents ou de la famille d’accueil, du tuteur ou de tout autre personne ou service ayant la charge de l’enfant.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      À noter

      s’il y a plusieurs enfants d’une même famille habitant à des endroits différents, l’affaire sera centralisée auprès d’un seul juge des enfants.

      Le juge des enfants peut modifier lui-même les mesures d’assistance éducative.

      Toutefois, la modification peut également être demandée par les personnes suivantes :

      • Enfant lui-même

      • Parents, agissant ensemble ou séparément, ou le tuteur de l’enfant

      • Personne ou service à qui l’enfant a été confié

      • Procureur de la République

    Mineur victime

      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

      Que peut faire un juge des enfants pour protéger un mineur en danger ?

      Pour protéger un mineur en danger, le juge des enfants peut prendre des mesures d’assistance éducative (allant de la mesure de suivi et d’aide à la famille à une mesure de placement de l’enfant).

        Le juge des enfants essaie, dans la mesure du possible, de maintenir l’enfant dans sa famille.

        Il désigne alors une personne qualifiée ou un service spécialisé pour aider la famille.

        Le service spécialisé va mettre en place un accompagnement social et éducatif de la famille pour assurer la santé, la sécurité et l’éducation de l’enfant.

        L’enfant peut également bénéficier d’un accompagnement psychologique.

        Quand l’enfant est suivi par un service spécialisé, il peut y être hébergé de façon exceptionnelle ou périodique (1 semaine par mois par exemple).

        Le juge peut soumettre l’enfant ou ses parents au respect de certaines obligations. Elles peuvent être les suivantes :

        • Suivre une scolarité (être inscrit dans un établissement sanitaire ou d’éducation, y compris en internat)

        • Exercer une activité professionnelle par l’enfant, s’il est en âge de travailler

        • Respecter un suivi psychologique ou médical

        Si l’enfant est suivi par un service spécialisé, la mesure peut durer 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

        Si l’enfant est suivi par une personne qualifiée, il n’y a pas de durée maximale.

        Le juge peut également ordonner une aide à la gestion du budget familiale dont le but est de rétablir l’autonomie financière de la famille ou une aide éducative à domicile dont le but est de restaurer les liens entre les parents et l’enfant.

        Le juge des enfants peut décider d’une mesure de placement dans les cas les plus graves.

        Cette mesure ne retire pas l’autorité parentale aux parents de l’enfant.

        Cette mesure est fixée pour une durée de 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

        Toutefois, il est possible que les mesures soient ordonnées pour une durée supérieure si la situation de la famille l’exige.

        Les parents peuvent obtenir un droit de visite.

        Les frais occasionnés par la prise en charge du mineur doivent être payés par les parents, sauf décision contraire du juge.

        Le juge des enfants a la faculté d’ordonner une interdiction de sortie du territoire (IST) en parallèle d’une autre mesure d’ assistance éducative. Tel peut être le cas par exemple lorsque l’enfant est placé chez l’autre parent.

        Ainsi, l’enfant ne pourra pas quitter la France sans l’autorisation du juge. L’accord de ses 2 parents ne suffira pas.

        L’interdiction de sortie du territoire est prise pour une durée maximale de 2 ans.

        Le juge des enfants peut ordonner une médiation familiale dans le cadre de l’assistance éducative.

        La médiation familiale est un temps d’écoute, d’échanges et de négociation dans les conflits familiaux.

        Elle a pour finalité d’apaiser les tensions et de restaurer un lien familial fragilisé (enfants, parents, grands-parents, héritiers..).

        Un tiers professionnel qualifié, le médiateur familial , accompagne les familles. Il favorise la reprise du dialogue pour que les parties trouvent elles-mêmes un accord.

        Le juge des enfants doit informer les parents sur les dispositifs d’accompagnement mis en place par le département, et dont ils peuvent bénéficier. Il s’agit notamment :

        • de l’aide à domicile,

        • de l’accueil en centre parental.

        Pour que la médiation familiale puisse avoir lieu, les conditions suivantes doivent être réunies :

        • Cette mesure doit obligatoirement accompagner une autre mesure d’assistance éducative (exemple : mesure de placement de l’enfant en famille d’accueil)

        • L’accord des parents est nécessaire

        À noter

        En cas de violence ou d’emprise d’un parent sur l’autre parent ou l’enfant, le recours à la médiation familiale est impossible, le but étant de protéger la ou les victime(s).

        L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

        • Sa santé physique

        • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

        • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

        • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

        • Son éducation

        Les personnes suivantes peuvent recourir aujuge des enfants :

        • Enfant lui-même

        • Parents de l’enfant agissant ensemble, ou l’un d’entre eux agissant seul

        • Tuteur ou famille d’accueil du mineur ou tout autre personne ayant la charge de l’enfant

        • Aide sociale à l’enfance (Ase) ou tout autre service ayant la charge de l’enfance

        • Procureur de la République, qui est généralement prévenu par les services du département ou par tout fonctionnaire témoin d’une infraction commise contre ou par l’enfant

        À savoir

        à titre exceptionnel, le juge peut décider de lui-même d’une mesure d’assistance éducative.

        L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

        • Sa santé physique

        • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

        • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

        • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

        • Son éducation

        La demande d’intervention du juge des enfants doit être faite via une requête déposée au tribunal judiciaire du domicile des parents ou de la famille d’accueil, du tuteur ou de tout autre personne ou service ayant la charge de l’enfant.

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

        À noter

        s’il y a plusieurs enfants d’une même famille habitant à des endroits différents, l’affaire sera centralisée auprès d’un seul juge des enfants.

        Le juge des enfants peut modifier lui-même les mesures d’assistance éducative.

        Toutefois, la modification peut également être demandée par les personnes suivantes :

        • Enfant lui-même

        • Parents, agissant ensemble ou séparément, ou le tuteur de l’enfant

        • Personne ou service à qui l’enfant a été confié

        • Procureur de la République

      Mineur victime

        Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

        Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

        Que peut faire un juge des enfants pour protéger un mineur en danger ?

        Pour protéger un mineur en danger, le juge des enfants peut prendre des mesures d’assistance éducative (allant de la mesure de suivi et d’aide à la famille à une mesure de placement de l’enfant).

          Le juge des enfants essaie, dans la mesure du possible, de maintenir l’enfant dans sa famille.

          Il désigne alors une personne qualifiée ou un service spécialisé pour aider la famille.

          Le service spécialisé va mettre en place un accompagnement social et éducatif de la famille pour assurer la santé, la sécurité et l’éducation de l’enfant.

          L’enfant peut également bénéficier d’un accompagnement psychologique.

          Quand l’enfant est suivi par un service spécialisé, il peut y être hébergé de façon exceptionnelle ou périodique (1 semaine par mois par exemple).

          Le juge peut soumettre l’enfant ou ses parents au respect de certaines obligations. Elles peuvent être les suivantes :

          • Suivre une scolarité (être inscrit dans un établissement sanitaire ou d’éducation, y compris en internat)

          • Exercer une activité professionnelle par l’enfant, s’il est en âge de travailler

          • Respecter un suivi psychologique ou médical

          Si l’enfant est suivi par un service spécialisé, la mesure peut durer 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

          Si l’enfant est suivi par une personne qualifiée, il n’y a pas de durée maximale.

          Le juge peut également ordonner une aide à la gestion du budget familiale dont le but est de rétablir l’autonomie financière de la famille ou une aide éducative à domicile dont le but est de restaurer les liens entre les parents et l’enfant.

          Le juge des enfants peut décider d’une mesure de placement dans les cas les plus graves.

          Cette mesure ne retire pas l’autorité parentale aux parents de l’enfant.

          Cette mesure est fixée pour une durée de 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

          Toutefois, il est possible que les mesures soient ordonnées pour une durée supérieure si la situation de la famille l’exige.

          Les parents peuvent obtenir un droit de visite.

          Les frais occasionnés par la prise en charge du mineur doivent être payés par les parents, sauf décision contraire du juge.

          Le juge des enfants a la faculté d’ordonner une interdiction de sortie du territoire (IST) en parallèle d’une autre mesure d’ assistance éducative. Tel peut être le cas par exemple lorsque l’enfant est placé chez l’autre parent.

          Ainsi, l’enfant ne pourra pas quitter la France sans l’autorisation du juge. L’accord de ses 2 parents ne suffira pas.

          L’interdiction de sortie du territoire est prise pour une durée maximale de 2 ans.

          Le juge des enfants peut ordonner une médiation familiale dans le cadre de l’assistance éducative.

          La médiation familiale est un temps d’écoute, d’échanges et de négociation dans les conflits familiaux.

          Elle a pour finalité d’apaiser les tensions et de restaurer un lien familial fragilisé (enfants, parents, grands-parents, héritiers..).

          Un tiers professionnel qualifié, le médiateur familial , accompagne les familles. Il favorise la reprise du dialogue pour que les parties trouvent elles-mêmes un accord.

          Le juge des enfants doit informer les parents sur les dispositifs d’accompagnement mis en place par le département, et dont ils peuvent bénéficier. Il s’agit notamment :

          • de l’aide à domicile,

          • de l’accueil en centre parental.

          Pour que la médiation familiale puisse avoir lieu, les conditions suivantes doivent être réunies :

          • Cette mesure doit obligatoirement accompagner une autre mesure d’assistance éducative (exemple : mesure de placement de l’enfant en famille d’accueil)

          • L’accord des parents est nécessaire

          À noter

          En cas de violence ou d’emprise d’un parent sur l’autre parent ou l’enfant, le recours à la médiation familiale est impossible, le but étant de protéger la ou les victime(s).

          L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

          • Sa santé physique

          • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

          • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

          • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

          • Son éducation

          Les personnes suivantes peuvent recourir aujuge des enfants :

          • Enfant lui-même

          • Parents de l’enfant agissant ensemble, ou l’un d’entre eux agissant seul

          • Tuteur ou famille d’accueil du mineur ou tout autre personne ayant la charge de l’enfant

          • Aide sociale à l’enfance (Ase) ou tout autre service ayant la charge de l’enfance

          • Procureur de la République, qui est généralement prévenu par les services du département ou par tout fonctionnaire témoin d’une infraction commise contre ou par l’enfant

          À savoir

          à titre exceptionnel, le juge peut décider de lui-même d’une mesure d’assistance éducative.

          L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

          • Sa santé physique

          • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

          • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

          • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

          • Son éducation

          La demande d’intervention du juge des enfants doit être faite via une requête déposée au tribunal judiciaire du domicile des parents ou de la famille d’accueil, du tuteur ou de tout autre personne ou service ayant la charge de l’enfant.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          À noter

          s’il y a plusieurs enfants d’une même famille habitant à des endroits différents, l’affaire sera centralisée auprès d’un seul juge des enfants.

          Le juge des enfants peut modifier lui-même les mesures d’assistance éducative.

          Toutefois, la modification peut également être demandée par les personnes suivantes :

          • Enfant lui-même

          • Parents, agissant ensemble ou séparément, ou le tuteur de l’enfant

          • Personne ou service à qui l’enfant a été confié

          • Procureur de la République

        Mineur victime

          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

          Que peut faire un juge des enfants pour protéger un mineur en danger ?

          Pour protéger un mineur en danger, le juge des enfants peut prendre des mesures d’assistance éducative (allant de la mesure de suivi et d’aide à la famille à une mesure de placement de l’enfant).

            Le juge des enfants essaie, dans la mesure du possible, de maintenir l’enfant dans sa famille.

            Il désigne alors une personne qualifiée ou un service spécialisé pour aider la famille.

            Le service spécialisé va mettre en place un accompagnement social et éducatif de la famille pour assurer la santé, la sécurité et l’éducation de l’enfant.

            L’enfant peut également bénéficier d’un accompagnement psychologique.

            Quand l’enfant est suivi par un service spécialisé, il peut y être hébergé de façon exceptionnelle ou périodique (1 semaine par mois par exemple).

            Le juge peut soumettre l’enfant ou ses parents au respect de certaines obligations. Elles peuvent être les suivantes :

            • Suivre une scolarité (être inscrit dans un établissement sanitaire ou d’éducation, y compris en internat)

            • Exercer une activité professionnelle par l’enfant, s’il est en âge de travailler

            • Respecter un suivi psychologique ou médical

            Si l’enfant est suivi par un service spécialisé, la mesure peut durer 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

            Si l’enfant est suivi par une personne qualifiée, il n’y a pas de durée maximale.

            Le juge peut également ordonner une aide à la gestion du budget familiale dont le but est de rétablir l’autonomie financière de la famille ou une aide éducative à domicile dont le but est de restaurer les liens entre les parents et l’enfant.

            Le juge des enfants peut décider d’une mesure de placement dans les cas les plus graves.

            Cette mesure ne retire pas l’autorité parentale aux parents de l’enfant.

            Cette mesure est fixée pour une durée de 2 ans maximum, renouvelable 1 fois.

            Toutefois, il est possible que les mesures soient ordonnées pour une durée supérieure si la situation de la famille l’exige.

            Les parents peuvent obtenir un droit de visite.

            Les frais occasionnés par la prise en charge du mineur doivent être payés par les parents, sauf décision contraire du juge.

            Le juge des enfants a la faculté d’ordonner une interdiction de sortie du territoire (IST) en parallèle d’une autre mesure d’ assistance éducative. Tel peut être le cas par exemple lorsque l’enfant est placé chez l’autre parent.

            Ainsi, l’enfant ne pourra pas quitter la France sans l’autorisation du juge. L’accord de ses 2 parents ne suffira pas.

            L’interdiction de sortie du territoire est prise pour une durée maximale de 2 ans.

            Le juge des enfants peut ordonner une médiation familiale dans le cadre de l’assistance éducative.

            La médiation familiale est un temps d’écoute, d’échanges et de négociation dans les conflits familiaux.

            Elle a pour finalité d’apaiser les tensions et de restaurer un lien familial fragilisé (enfants, parents, grands-parents, héritiers..).

            Un tiers professionnel qualifié, le médiateur familial , accompagne les familles. Il favorise la reprise du dialogue pour que les parties trouvent elles-mêmes un accord.

            Le juge des enfants doit informer les parents sur les dispositifs d’accompagnement mis en place par le département, et dont ils peuvent bénéficier. Il s’agit notamment :

            • de l’aide à domicile,

            • de l’accueil en centre parental.

            Pour que la médiation familiale puisse avoir lieu, les conditions suivantes doivent être réunies :

            • Cette mesure doit obligatoirement accompagner une autre mesure d’assistance éducative (exemple : mesure de placement de l’enfant en famille d’accueil)

            • L’accord des parents est nécessaire

            À noter

            En cas de violence ou d’emprise d’un parent sur l’autre parent ou l’enfant, le recours à la médiation familiale est impossible, le but étant de protéger la ou les victime(s).

            L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

            • Sa santé physique

            • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

            • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

            • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

            • Son éducation

            Les personnes suivantes peuvent recourir aujuge des enfants :

            • Enfant lui-même

            • Parents de l’enfant agissant ensemble, ou l’un d’entre eux agissant seul

            • Tuteur ou famille d’accueil du mineur ou tout autre personne ayant la charge de l’enfant

            • Aide sociale à l’enfance (Ase) ou tout autre service ayant la charge de l’enfance

            • Procureur de la République, qui est généralement prévenu par les services du département ou par tout fonctionnaire témoin d’une infraction commise contre ou par l’enfant

            À savoir

            à titre exceptionnel, le juge peut décider de lui-même d’une mesure d’assistance éducative.

            L’intervention du juge doit être sollicitée lorsque l’un des risques graves suivants pèse sur le mineur :

            • Sa santé physique

            • Sa santé mentale ou psychologique (troubles du comportement…)

            • Sa sécurité matérielle (logement précaire…)

            • Sa moralité (exposition à la délinquance…)

            • Son éducation

            La demande d’intervention du juge des enfants doit être faite via une requête déposée au tribunal judiciaire du domicile des parents ou de la famille d’accueil, du tuteur ou de tout autre personne ou service ayant la charge de l’enfant.

            Où s’adresser ?

             Tribunal judiciaire 

            À noter

            s’il y a plusieurs enfants d’une même famille habitant à des endroits différents, l’affaire sera centralisée auprès d’un seul juge des enfants.

            Le juge des enfants peut modifier lui-même les mesures d’assistance éducative.

            Toutefois, la modification peut également être demandée par les personnes suivantes :

            • Enfant lui-même

            • Parents, agissant ensemble ou séparément, ou le tuteur de l’enfant

            • Personne ou service à qui l’enfant a été confié

            • Procureur de la République

          Mineur victime

            Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

            Contact