Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Un particulier employeur peut-il embaucher un salarié étranger ?

Oui, un particulier employeur peut embaucher un salarié étranger. Le salarié peut être originaire d’un pays étranger non européen ou d’un pays membre de l’Espace économique européen (EEE) ou de Suisse, de Monaco, d’Andorre, de Saint-Marin. Les vérifications préalables à l’embauche varient selon la nationalité du salarié recruté. Nous vous présentons les informations à retenir.

Particulier employeur : aide à domicile (services à la personne)

      Si le futur salarié est Algérien, Britannique ou a la nationalité d’un pays ayant conclu un  accord bilatéral  avec la France, il est soumis à des règles particulières.

      Les formalités varient selon que l’étranger réside en France ou à l’étranger :

      Vérification du titre de séjour

      Avant l’embauche, le particulier employeur doit vérifier que le futur salarié étranger possède un titre de séjour en cours de validité et que celui-ci l’autorise à travailler.

      Il peut s’agir, par exemple, d’un visa long séjour valant titre de séjour, d’un titre de séjour mention « salarié » ou « vie privée et familiale ».

      L’employeur doit effectuer la demande de vérification du titre de séjour présenté, au moins 2 jours ouvrables avant la date d’embauche. Cette vérification doit être effectuée par mail ou par lettre  RAR  auprès de la préfecture du département du lieu de travail.

      La demande doit être accompagnée de la copie du titre de séjour du salarié.

      Cette demande permet à l’employeur de s’assurer que le titre de séjour est authentique et concerne bien le futur salarié.

      La vérification préalable est obligatoire même si le candidat au poste de travail a déjà un numéro de Sécurité sociale ou travaille déjà avec un autre employeur.

      La préfecture adresse à l’employeur une réponse dans les 2 jours ouvrables après la réception de sa demande.

      En l’absence de réponse de la préfecture, l’employeur a accompli ses obligations de vérification.

      À noter

      Le particulier employeur n’a pas à faire la vérification préalable du titre de séjour si l’étranger lui fournit un justificatif d’inscription sur la liste des demandeurs d’emploi délivré par France Travail (anciennement Pôle emploi).

      Demande d’autorisation de travail

      L’employeur doit également préalablement à l’embauche, dans les cas suivants :

      • Titre de séjour présenté par l’étranger ne lui permet pas de travailler

      • Titre de séjour présenté par l’étranger a été obtenu avec un employeur différent

      Une fois le titre de séjour verifié et l’autorisation de travail accordée, le particulier employeur peut démarrer la procédure d’embauche.

        Avant l’embauche, le particulier employeur doit commencer la procédure dite « d’introduction ».

        Cette procédure va permettre à l’étranger d’entrer sur le territoire français, d’y résider et d’y exercer une activité salariée.

        L’employeur doit d’abord demander une autorisation de travail.

        La demande d’autorisation de travail se fait par internet :

        Si la demande d’autorisation de travail est acceptée, l’employeur en est informé.

        Selon le pays, l’ Ofii  ou le consulat de France se charge d’organiser l’arrivée du futur salarié en France (contrôle médical, délivrance d’un visa long séjour valant titre de séjour, etc.).

        Si le visa lui est accordé, l’étranger peut venir en France et y travailler directement pour l’employeur à l’origine de la demande.

        Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

        Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

        Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

          L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

          Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

          Pour travailler en France, l’Européen n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

          L’employeur vérifie que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

          Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

          Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

          Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

            L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

            Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

            Pour travailler en France, le citoyen suisse, monégasque, andorran ou de saint-Marinais n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

            La France a conclu des accords avec ces pays ou principautés.

            L’employeur doit vérifier que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

            L’employeur doit respecter les .

            Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

            Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

            Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

              L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

              Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

            Un particulier employeur peut-il embaucher un salarié étranger ?

            Oui, un particulier employeur peut embaucher un salarié étranger. Le salarié peut être originaire d’un pays étranger non européen ou d’un pays membre de l’Espace économique européen (EEE) ou de Suisse, de Monaco, d’Andorre, de Saint-Marin. Les vérifications préalables à l’embauche varient selon la nationalité du salarié recruté. Nous vous présentons les informations à retenir.

            Particulier employeur : aide à domicile (services à la personne)

                Si le futur salarié est Algérien, Britannique ou a la nationalité d’un pays ayant conclu un  accord bilatéral  avec la France, il est soumis à des règles particulières.

                Les formalités varient selon que l’étranger réside en France ou à l’étranger :

                Vérification du titre de séjour

                Avant l’embauche, le particulier employeur doit vérifier que le futur salarié étranger possède un titre de séjour en cours de validité et que celui-ci l’autorise à travailler.

                Il peut s’agir, par exemple, d’un visa long séjour valant titre de séjour, d’un titre de séjour mention « salarié » ou « vie privée et familiale ».

                L’employeur doit effectuer la demande de vérification du titre de séjour présenté, au moins 2 jours ouvrables avant la date d’embauche. Cette vérification doit être effectuée par mail ou par lettre  RAR  auprès de la préfecture du département du lieu de travail.

                La demande doit être accompagnée de la copie du titre de séjour du salarié.

                Cette demande permet à l’employeur de s’assurer que le titre de séjour est authentique et concerne bien le futur salarié.

                La vérification préalable est obligatoire même si le candidat au poste de travail a déjà un numéro de Sécurité sociale ou travaille déjà avec un autre employeur.

                La préfecture adresse à l’employeur une réponse dans les 2 jours ouvrables après la réception de sa demande.

                En l’absence de réponse de la préfecture, l’employeur a accompli ses obligations de vérification.

                À noter

                Le particulier employeur n’a pas à faire la vérification préalable du titre de séjour si l’étranger lui fournit un justificatif d’inscription sur la liste des demandeurs d’emploi délivré par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                Demande d’autorisation de travail

                L’employeur doit également préalablement à l’embauche, dans les cas suivants :

                • Titre de séjour présenté par l’étranger ne lui permet pas de travailler

                • Titre de séjour présenté par l’étranger a été obtenu avec un employeur différent

                Une fois le titre de séjour verifié et l’autorisation de travail accordée, le particulier employeur peut démarrer la procédure d’embauche.

                  Avant l’embauche, le particulier employeur doit commencer la procédure dite « d’introduction ».

                  Cette procédure va permettre à l’étranger d’entrer sur le territoire français, d’y résider et d’y exercer une activité salariée.

                  L’employeur doit d’abord demander une autorisation de travail.

                  La demande d’autorisation de travail se fait par internet :

                  Si la demande d’autorisation de travail est acceptée, l’employeur en est informé.

                  Selon le pays, l’ Ofii  ou le consulat de France se charge d’organiser l’arrivée du futur salarié en France (contrôle médical, délivrance d’un visa long séjour valant titre de séjour, etc.).

                  Si le visa lui est accordé, l’étranger peut venir en France et y travailler directement pour l’employeur à l’origine de la demande.

                  Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                  Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                  Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                    L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                    Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                    Pour travailler en France, l’Européen n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

                    L’employeur vérifie que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

                    Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                    Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                    Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                      L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                      Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                      Pour travailler en France, le citoyen suisse, monégasque, andorran ou de saint-Marinais n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

                      La France a conclu des accords avec ces pays ou principautés.

                      L’employeur doit vérifier que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

                      L’employeur doit respecter les .

                      Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                      Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                      Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                        L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                        Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                      Un particulier employeur peut-il embaucher un salarié étranger ?

                      Oui, un particulier employeur peut embaucher un salarié étranger. Le salarié peut être originaire d’un pays étranger non européen ou d’un pays membre de l’Espace économique européen (EEE) ou de Suisse, de Monaco, d’Andorre, de Saint-Marin. Les vérifications préalables à l’embauche varient selon la nationalité du salarié recruté. Nous vous présentons les informations à retenir.

                      Particulier employeur : aide à domicile (services à la personne)

                          Si le futur salarié est Algérien, Britannique ou a la nationalité d’un pays ayant conclu un  accord bilatéral  avec la France, il est soumis à des règles particulières.

                          Les formalités varient selon que l’étranger réside en France ou à l’étranger :

                          Vérification du titre de séjour

                          Avant l’embauche, le particulier employeur doit vérifier que le futur salarié étranger possède un titre de séjour en cours de validité et que celui-ci l’autorise à travailler.

                          Il peut s’agir, par exemple, d’un visa long séjour valant titre de séjour, d’un titre de séjour mention « salarié » ou « vie privée et familiale ».

                          L’employeur doit effectuer la demande de vérification du titre de séjour présenté, au moins 2 jours ouvrables avant la date d’embauche. Cette vérification doit être effectuée par mail ou par lettre  RAR  auprès de la préfecture du département du lieu de travail.

                          La demande doit être accompagnée de la copie du titre de séjour du salarié.

                          Cette demande permet à l’employeur de s’assurer que le titre de séjour est authentique et concerne bien le futur salarié.

                          La vérification préalable est obligatoire même si le candidat au poste de travail a déjà un numéro de Sécurité sociale ou travaille déjà avec un autre employeur.

                          La préfecture adresse à l’employeur une réponse dans les 2 jours ouvrables après la réception de sa demande.

                          En l’absence de réponse de la préfecture, l’employeur a accompli ses obligations de vérification.

                          À noter

                          Le particulier employeur n’a pas à faire la vérification préalable du titre de séjour si l’étranger lui fournit un justificatif d’inscription sur la liste des demandeurs d’emploi délivré par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                          Demande d’autorisation de travail

                          L’employeur doit également préalablement à l’embauche, dans les cas suivants :

                          • Titre de séjour présenté par l’étranger ne lui permet pas de travailler

                          • Titre de séjour présenté par l’étranger a été obtenu avec un employeur différent

                          Une fois le titre de séjour verifié et l’autorisation de travail accordée, le particulier employeur peut démarrer la procédure d’embauche.

                            Avant l’embauche, le particulier employeur doit commencer la procédure dite « d’introduction ».

                            Cette procédure va permettre à l’étranger d’entrer sur le territoire français, d’y résider et d’y exercer une activité salariée.

                            L’employeur doit d’abord demander une autorisation de travail.

                            La demande d’autorisation de travail se fait par internet :

                            Si la demande d’autorisation de travail est acceptée, l’employeur en est informé.

                            Selon le pays, l’ Ofii  ou le consulat de France se charge d’organiser l’arrivée du futur salarié en France (contrôle médical, délivrance d’un visa long séjour valant titre de séjour, etc.).

                            Si le visa lui est accordé, l’étranger peut venir en France et y travailler directement pour l’employeur à l’origine de la demande.

                            Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                            Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                            Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                              L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                              Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                              Pour travailler en France, l’Européen n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

                              L’employeur vérifie que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

                              Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                              Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                              Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                                L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                                Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                                Pour travailler en France, le citoyen suisse, monégasque, andorran ou de saint-Marinais n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

                                La France a conclu des accords avec ces pays ou principautés.

                                L’employeur doit vérifier que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

                                L’employeur doit respecter les .

                                Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                                Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                                Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                                  L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                                  Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                                Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                Un particulier employeur peut-il embaucher un salarié étranger ?

                                Oui, un particulier employeur peut embaucher un salarié étranger. Le salarié peut être originaire d’un pays étranger non européen ou d’un pays membre de l’Espace économique européen (EEE) ou de Suisse, de Monaco, d’Andorre, de Saint-Marin. Les vérifications préalables à l’embauche varient selon la nationalité du salarié recruté. Nous vous présentons les informations à retenir.

                                Particulier employeur : aide à domicile (services à la personne)

                                    Si le futur salarié est Algérien, Britannique ou a la nationalité d’un pays ayant conclu un  accord bilatéral  avec la France, il est soumis à des règles particulières.

                                    Les formalités varient selon que l’étranger réside en France ou à l’étranger :

                                    Vérification du titre de séjour

                                    Avant l’embauche, le particulier employeur doit vérifier que le futur salarié étranger possède un titre de séjour en cours de validité et que celui-ci l’autorise à travailler.

                                    Il peut s’agir, par exemple, d’un visa long séjour valant titre de séjour, d’un titre de séjour mention « salarié » ou « vie privée et familiale ».

                                    L’employeur doit effectuer la demande de vérification du titre de séjour présenté, au moins 2 jours ouvrables avant la date d’embauche. Cette vérification doit être effectuée par mail ou par lettre  RAR  auprès de la préfecture du département du lieu de travail.

                                    La demande doit être accompagnée de la copie du titre de séjour du salarié.

                                    Cette demande permet à l’employeur de s’assurer que le titre de séjour est authentique et concerne bien le futur salarié.

                                    La vérification préalable est obligatoire même si le candidat au poste de travail a déjà un numéro de Sécurité sociale ou travaille déjà avec un autre employeur.

                                    La préfecture adresse à l’employeur une réponse dans les 2 jours ouvrables après la réception de sa demande.

                                    En l’absence de réponse de la préfecture, l’employeur a accompli ses obligations de vérification.

                                    À noter

                                    Le particulier employeur n’a pas à faire la vérification préalable du titre de séjour si l’étranger lui fournit un justificatif d’inscription sur la liste des demandeurs d’emploi délivré par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                    Demande d’autorisation de travail

                                    L’employeur doit également préalablement à l’embauche, dans les cas suivants :

                                    • Titre de séjour présenté par l’étranger ne lui permet pas de travailler

                                    • Titre de séjour présenté par l’étranger a été obtenu avec un employeur différent

                                    Une fois le titre de séjour verifié et l’autorisation de travail accordée, le particulier employeur peut démarrer la procédure d’embauche.

                                      Avant l’embauche, le particulier employeur doit commencer la procédure dite « d’introduction ».

                                      Cette procédure va permettre à l’étranger d’entrer sur le territoire français, d’y résider et d’y exercer une activité salariée.

                                      L’employeur doit d’abord demander une autorisation de travail.

                                      La demande d’autorisation de travail se fait par internet :

                                      Si la demande d’autorisation de travail est acceptée, l’employeur en est informé.

                                      Selon le pays, l’ Ofii  ou le consulat de France se charge d’organiser l’arrivée du futur salarié en France (contrôle médical, délivrance d’un visa long séjour valant titre de séjour, etc.).

                                      Si le visa lui est accordé, l’étranger peut venir en France et y travailler directement pour l’employeur à l’origine de la demande.

                                      Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                                      Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                                      Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                                        L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                                        Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                                        Pour travailler en France, l’Européen n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

                                        L’employeur vérifie que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

                                        Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                                        Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                                        Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                                          L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                                          Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                                          Pour travailler en France, le citoyen suisse, monégasque, andorran ou de saint-Marinais n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

                                          La France a conclu des accords avec ces pays ou principautés.

                                          L’employeur doit vérifier que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

                                          L’employeur doit respecter les .

                                          Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                                          Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                                          Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                                            L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                                            Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                          Un particulier employeur peut-il embaucher un salarié étranger ?

                                          Oui, un particulier employeur peut embaucher un salarié étranger. Le salarié peut être originaire d’un pays étranger non européen ou d’un pays membre de l’Espace économique européen (EEE) ou de Suisse, de Monaco, d’Andorre, de Saint-Marin. Les vérifications préalables à l’embauche varient selon la nationalité du salarié recruté. Nous vous présentons les informations à retenir.

                                          Particulier employeur : aide à domicile (services à la personne)

                                              Si le futur salarié est Algérien, Britannique ou a la nationalité d’un pays ayant conclu un  accord bilatéral  avec la France, il est soumis à des règles particulières.

                                              Les formalités varient selon que l’étranger réside en France ou à l’étranger :

                                              Vérification du titre de séjour

                                              Avant l’embauche, le particulier employeur doit vérifier que le futur salarié étranger possède un titre de séjour en cours de validité et que celui-ci l’autorise à travailler.

                                              Il peut s’agir, par exemple, d’un visa long séjour valant titre de séjour, d’un titre de séjour mention « salarié » ou « vie privée et familiale ».

                                              L’employeur doit effectuer la demande de vérification du titre de séjour présenté, au moins 2 jours ouvrables avant la date d’embauche. Cette vérification doit être effectuée par mail ou par lettre  RAR  auprès de la préfecture du département du lieu de travail.

                                              La demande doit être accompagnée de la copie du titre de séjour du salarié.

                                              Cette demande permet à l’employeur de s’assurer que le titre de séjour est authentique et concerne bien le futur salarié.

                                              La vérification préalable est obligatoire même si le candidat au poste de travail a déjà un numéro de Sécurité sociale ou travaille déjà avec un autre employeur.

                                              La préfecture adresse à l’employeur une réponse dans les 2 jours ouvrables après la réception de sa demande.

                                              En l’absence de réponse de la préfecture, l’employeur a accompli ses obligations de vérification.

                                              À noter

                                              Le particulier employeur n’a pas à faire la vérification préalable du titre de séjour si l’étranger lui fournit un justificatif d’inscription sur la liste des demandeurs d’emploi délivré par France Travail (anciennement Pôle emploi).

                                              Demande d’autorisation de travail

                                              L’employeur doit également préalablement à l’embauche, dans les cas suivants :

                                              • Titre de séjour présenté par l’étranger ne lui permet pas de travailler

                                              • Titre de séjour présenté par l’étranger a été obtenu avec un employeur différent

                                              Une fois le titre de séjour verifié et l’autorisation de travail accordée, le particulier employeur peut démarrer la procédure d’embauche.

                                                Avant l’embauche, le particulier employeur doit commencer la procédure dite « d’introduction ».

                                                Cette procédure va permettre à l’étranger d’entrer sur le territoire français, d’y résider et d’y exercer une activité salariée.

                                                L’employeur doit d’abord demander une autorisation de travail.

                                                La demande d’autorisation de travail se fait par internet :

                                                Si la demande d’autorisation de travail est acceptée, l’employeur en est informé.

                                                Selon le pays, l’ Ofii  ou le consulat de France se charge d’organiser l’arrivée du futur salarié en France (contrôle médical, délivrance d’un visa long séjour valant titre de séjour, etc.).

                                                Si le visa lui est accordé, l’étranger peut venir en France et y travailler directement pour l’employeur à l’origine de la demande.

                                                Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                                                Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                                                Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                                                  L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                                                  Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                                                  Pour travailler en France, l’Européen n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

                                                  L’employeur vérifie que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

                                                  Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                                                  Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                                                  Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                                                    L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                                                    Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                                                    Pour travailler en France, le citoyen suisse, monégasque, andorran ou de saint-Marinais n’a pas besoin d’avoir un titre de séjour ou une autorisation de travail.

                                                    La France a conclu des accords avec ces pays ou principautés.

                                                    L’employeur doit vérifier que le futur salarié a les documents justificatifs lui permettant de vérifier son identité (carte d’identité ou passeport par exemple).

                                                    L’employeur doit respecter les .

                                                    Si le salarié n’a pas de numéro de Sécurité sociale, la procédure de demande d’immatriculation varie selon que l’employeur utilise le chèque emploi service universel (Cesu) ou non.

                                                    Le salarié fait la demande d’immatriculation à la Sécurité sociale directement auprès de la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de son lieu de résidence.

                                                    Pour effectuer cette démarche, il devra fournir son document d’identité (carte d’identité, carte de séjour…) et une pièce d’état civil (extrait d’acte de naissance).

                                                      L’employeur fait la demande d’immatriculation sur internet pour déclarer l’embauche d’un emploi familial auprès de l’Urssaf.

                                                      Le document est complété et transmis par l’employeur à  Urssaf  par voie postale ou par courriel sur le site internet de l’organisme.

                                                    Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                                    Faire sa demande en ligne

                                                    Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                                    Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                                    La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                                                    Contact