Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Copropriété : quelle assurance pour les parties communes ?

Vous habitez dans un immeuble en copropriété et il y a un incendie ou un dégât des eaux dans les parties communes ? L’indemnisation de ce type de sinistre est délicate, car les parties communes peuvent être couvertes pas plusieurs assurances, et l’origine du sinistre peut se situer dans un local privatif. C’est pourquoi les assureurs ont signé entre eux une convention pour simplifier les démarches aux assurés. Il s’agit de la convention  IRSI .

    Les parties communes d’un immeuble peuvent être couvertes par 3 types d’assurance :

    Chaque immeuble en copropriété doit être assuré par une couverture collective, au moins en ce qui concerne la responsabilité civile.

    L’assurance collective de la copropriété sert à indemniser les victimes des dégâts qui trouvent leur origine dans les parties communes de l’immeuble. Il s’agit par exemple de sinistres provoqués par des éléments du bâtiment (par exemple, chute d’immeuble, chute d’une tuile, marche d’escalier glissante) ou par une personne affectée au service de l’immeuble (gardien, par exemple).

    C’est le syndicat des copropriétaires qui doit souscrire l’assurance responsabilité civile pour le compte de la copropriété.

    Il peut, en cas de nécessité, souscrire le contrat sans mandat de l’assemblée générale des copropriétaires, mais l’assemblée générale peut annuler ou modifier sa décision.

    Chaque copropriétaire, qu’il soit occupant de son logement ou non, doit également l’assurer, au minimum, avec la garantie responsabilité civile.

    Cette assurance permet de couvrir le copropriétaire qui l’a souscrite, lorsqu’un sinistre prend naissance dans son logement et a causé des dommages aux occupants de son logement, à des voisins ou aux parties communes de l’immeuble.

    L’assurance multirisques de l’immeuble est une assurance facultative qui peut être souscrite par le syndicat des copropriétaires. Cette assurance permet d’indemniser les dommages subis par les parties communes de l’immeuble qui ne peuvent pas être indemnisés par l’assurance responsabilité d’un copropriétaire.

    En cas de dommage causé par un événement qui a pris naissance dans les parties communes de l’immeuble, c’est le syndic qui doit faire une déclaration à l’assurance de la copropriété.

    L’assurance de la copropriété ne fonctionnera que si le sinistre concerne une partie commune.

    En cas de dommages causés par un événement qui a pris naissance dans une partie privative de l’immeuble, c’est le copropriétaire du logement concerné qui doit faire une déclaration à son assurance.

    L’assurance ne fonctionnera pas si le sinistre a pris naissance dans une partie commune.

    La convention  IRSI  permet d’éviter les difficultés liées à la multiplicité des assureurs qui peuvent être concernés par la gestion d’un sinistre ayant un lien avec les parties communes d’un immeuble,

    La convention IRSI est un accord entre les compagnies d’assurance pour faciliter la prise en charge et l’indemnisation des sinistres incendie et dégâts des eaux pour les immeubles en copropriété.

    Elle prévoit qu’un seul assureur doit être désigné pour assurer l’une des 3 missions suivantes :

    • Gestion du dossier de demande d’indemnisation (prise en charge de la demande, estimation du préjudice, réalisation d’expertises etc..)

    • Recherche et réparation de fuite en cas de dégâts des eaux

    • Versement de l’indemnisation aux victimes du sinistre

    La convention fixe également les règles claires de désignation des assureurs chargés de ces missions.

    Elle s’applique aux sinistres dégâts dont la réparation des dommages ne dépasse pas 5 000 € hors taxes.

    Attention

    la convention IRSI ne s’applique pas aux sinistres intervenus dans les chambres d’hôtel et dans les chambres d’hôtes.

    Désignation d’un assureur gestionnaire du dossier d’indemnisation

    La convention prévoit qu’en cas de sinistre dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui est l’assureur gestionnaire du sinistre.

    Désignation d’un assureur chargé de la recherche de fuite (si dégât des eaux)

    La convention prévoit qu’en cas de sinistre dégât des eaux dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui doit organiser la recherche de fuite.

    Mais si l’origine de la fuite est située dans un local privatif, c’est l’assureur du propriétaire de ce local qui doit prendre en charge le coût de la recherche initiée par l’assureur de l’immeuble.

    Désignation d’un assureur chargé de l’indemnisation

    La convention IRSI fixe des règles de désignation de l’assureur chargé de l’indemnisation.

    La situation varie selon la valeur du litige.

    Pour les dégâts dont la valeur est inférieure à 1 600 €   hors taxes, c’est l’assureur gestionnaire qui indemnise, sans recours possible contre un autre assureur.

      Pour les dégâts dont la valeur est comprise entre 1 600 €   et 5 000 € hors taxes, l’assureur gestionnaire doit effectuer une expertise pour le compte des autres assureurs.

      Il doit indemniser les victimes, mais avec la possibilité d’exercer des recours contre les autres assureurs.

      Copropriété : quelle assurance pour les parties communes ?

      Vous habitez dans un immeuble en copropriété et il y a un incendie ou un dégât des eaux dans les parties communes ? L’indemnisation de ce type de sinistre est délicate, car les parties communes peuvent être couvertes pas plusieurs assurances, et l’origine du sinistre peut se situer dans un local privatif. C’est pourquoi les assureurs ont signé entre eux une convention pour simplifier les démarches aux assurés. Il s’agit de la convention  IRSI .

        Les parties communes d’un immeuble peuvent être couvertes par 3 types d’assurance :

        Chaque immeuble en copropriété doit être assuré par une couverture collective, au moins en ce qui concerne la responsabilité civile.

        L’assurance collective de la copropriété sert à indemniser les victimes des dégâts qui trouvent leur origine dans les parties communes de l’immeuble. Il s’agit par exemple de sinistres provoqués par des éléments du bâtiment (par exemple, chute d’immeuble, chute d’une tuile, marche d’escalier glissante) ou par une personne affectée au service de l’immeuble (gardien, par exemple).

        C’est le syndicat des copropriétaires qui doit souscrire l’assurance responsabilité civile pour le compte de la copropriété.

        Il peut, en cas de nécessité, souscrire le contrat sans mandat de l’assemblée générale des copropriétaires, mais l’assemblée générale peut annuler ou modifier sa décision.

        Chaque copropriétaire, qu’il soit occupant de son logement ou non, doit également l’assurer, au minimum, avec la garantie responsabilité civile.

        Cette assurance permet de couvrir le copropriétaire qui l’a souscrite, lorsqu’un sinistre prend naissance dans son logement et a causé des dommages aux occupants de son logement, à des voisins ou aux parties communes de l’immeuble.

        L’assurance multirisques de l’immeuble est une assurance facultative qui peut être souscrite par le syndicat des copropriétaires. Cette assurance permet d’indemniser les dommages subis par les parties communes de l’immeuble qui ne peuvent pas être indemnisés par l’assurance responsabilité d’un copropriétaire.

        En cas de dommage causé par un événement qui a pris naissance dans les parties communes de l’immeuble, c’est le syndic qui doit faire une déclaration à l’assurance de la copropriété.

        L’assurance de la copropriété ne fonctionnera que si le sinistre concerne une partie commune.

        En cas de dommages causés par un événement qui a pris naissance dans une partie privative de l’immeuble, c’est le copropriétaire du logement concerné qui doit faire une déclaration à son assurance.

        L’assurance ne fonctionnera pas si le sinistre a pris naissance dans une partie commune.

        La convention  IRSI  permet d’éviter les difficultés liées à la multiplicité des assureurs qui peuvent être concernés par la gestion d’un sinistre ayant un lien avec les parties communes d’un immeuble,

        La convention IRSI est un accord entre les compagnies d’assurance pour faciliter la prise en charge et l’indemnisation des sinistres incendie et dégâts des eaux pour les immeubles en copropriété.

        Elle prévoit qu’un seul assureur doit être désigné pour assurer l’une des 3 missions suivantes :

        • Gestion du dossier de demande d’indemnisation (prise en charge de la demande, estimation du préjudice, réalisation d’expertises etc..)

        • Recherche et réparation de fuite en cas de dégâts des eaux

        • Versement de l’indemnisation aux victimes du sinistre

        La convention fixe également les règles claires de désignation des assureurs chargés de ces missions.

        Elle s’applique aux sinistres dégâts dont la réparation des dommages ne dépasse pas 5 000 € hors taxes.

        Attention

        la convention IRSI ne s’applique pas aux sinistres intervenus dans les chambres d’hôtel et dans les chambres d’hôtes.

        Désignation d’un assureur gestionnaire du dossier d’indemnisation

        La convention prévoit qu’en cas de sinistre dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui est l’assureur gestionnaire du sinistre.

        Désignation d’un assureur chargé de la recherche de fuite (si dégât des eaux)

        La convention prévoit qu’en cas de sinistre dégât des eaux dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui doit organiser la recherche de fuite.

        Mais si l’origine de la fuite est située dans un local privatif, c’est l’assureur du propriétaire de ce local qui doit prendre en charge le coût de la recherche initiée par l’assureur de l’immeuble.

        Désignation d’un assureur chargé de l’indemnisation

        La convention IRSI fixe des règles de désignation de l’assureur chargé de l’indemnisation.

        La situation varie selon la valeur du litige.

        Pour les dégâts dont la valeur est inférieure à 1 600 €   hors taxes, c’est l’assureur gestionnaire qui indemnise, sans recours possible contre un autre assureur.

          Pour les dégâts dont la valeur est comprise entre 1 600 €   et 5 000 € hors taxes, l’assureur gestionnaire doit effectuer une expertise pour le compte des autres assureurs.

          Il doit indemniser les victimes, mais avec la possibilité d’exercer des recours contre les autres assureurs.

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

          Copropriété : quelle assurance pour les parties communes ?

          Vous habitez dans un immeuble en copropriété et il y a un incendie ou un dégât des eaux dans les parties communes ? L’indemnisation de ce type de sinistre est délicate, car les parties communes peuvent être couvertes pas plusieurs assurances, et l’origine du sinistre peut se situer dans un local privatif. C’est pourquoi les assureurs ont signé entre eux une convention pour simplifier les démarches aux assurés. Il s’agit de la convention  IRSI .

            Les parties communes d’un immeuble peuvent être couvertes par 3 types d’assurance :

            Chaque immeuble en copropriété doit être assuré par une couverture collective, au moins en ce qui concerne la responsabilité civile.

            L’assurance collective de la copropriété sert à indemniser les victimes des dégâts qui trouvent leur origine dans les parties communes de l’immeuble. Il s’agit par exemple de sinistres provoqués par des éléments du bâtiment (par exemple, chute d’immeuble, chute d’une tuile, marche d’escalier glissante) ou par une personne affectée au service de l’immeuble (gardien, par exemple).

            C’est le syndicat des copropriétaires qui doit souscrire l’assurance responsabilité civile pour le compte de la copropriété.

            Il peut, en cas de nécessité, souscrire le contrat sans mandat de l’assemblée générale des copropriétaires, mais l’assemblée générale peut annuler ou modifier sa décision.

            Chaque copropriétaire, qu’il soit occupant de son logement ou non, doit également l’assurer, au minimum, avec la garantie responsabilité civile.

            Cette assurance permet de couvrir le copropriétaire qui l’a souscrite, lorsqu’un sinistre prend naissance dans son logement et a causé des dommages aux occupants de son logement, à des voisins ou aux parties communes de l’immeuble.

            L’assurance multirisques de l’immeuble est une assurance facultative qui peut être souscrite par le syndicat des copropriétaires. Cette assurance permet d’indemniser les dommages subis par les parties communes de l’immeuble qui ne peuvent pas être indemnisés par l’assurance responsabilité d’un copropriétaire.

            En cas de dommage causé par un événement qui a pris naissance dans les parties communes de l’immeuble, c’est le syndic qui doit faire une déclaration à l’assurance de la copropriété.

            L’assurance de la copropriété ne fonctionnera que si le sinistre concerne une partie commune.

            En cas de dommages causés par un événement qui a pris naissance dans une partie privative de l’immeuble, c’est le copropriétaire du logement concerné qui doit faire une déclaration à son assurance.

            L’assurance ne fonctionnera pas si le sinistre a pris naissance dans une partie commune.

            La convention  IRSI  permet d’éviter les difficultés liées à la multiplicité des assureurs qui peuvent être concernés par la gestion d’un sinistre ayant un lien avec les parties communes d’un immeuble,

            La convention IRSI est un accord entre les compagnies d’assurance pour faciliter la prise en charge et l’indemnisation des sinistres incendie et dégâts des eaux pour les immeubles en copropriété.

            Elle prévoit qu’un seul assureur doit être désigné pour assurer l’une des 3 missions suivantes :

            • Gestion du dossier de demande d’indemnisation (prise en charge de la demande, estimation du préjudice, réalisation d’expertises etc..)

            • Recherche et réparation de fuite en cas de dégâts des eaux

            • Versement de l’indemnisation aux victimes du sinistre

            La convention fixe également les règles claires de désignation des assureurs chargés de ces missions.

            Elle s’applique aux sinistres dégâts dont la réparation des dommages ne dépasse pas 5 000 € hors taxes.

            Attention

            la convention IRSI ne s’applique pas aux sinistres intervenus dans les chambres d’hôtel et dans les chambres d’hôtes.

            Désignation d’un assureur gestionnaire du dossier d’indemnisation

            La convention prévoit qu’en cas de sinistre dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui est l’assureur gestionnaire du sinistre.

            Désignation d’un assureur chargé de la recherche de fuite (si dégât des eaux)

            La convention prévoit qu’en cas de sinistre dégât des eaux dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui doit organiser la recherche de fuite.

            Mais si l’origine de la fuite est située dans un local privatif, c’est l’assureur du propriétaire de ce local qui doit prendre en charge le coût de la recherche initiée par l’assureur de l’immeuble.

            Désignation d’un assureur chargé de l’indemnisation

            La convention IRSI fixe des règles de désignation de l’assureur chargé de l’indemnisation.

            La situation varie selon la valeur du litige.

            Pour les dégâts dont la valeur est inférieure à 1 600 €   hors taxes, c’est l’assureur gestionnaire qui indemnise, sans recours possible contre un autre assureur.

              Pour les dégâts dont la valeur est comprise entre 1 600 €   et 5 000 € hors taxes, l’assureur gestionnaire doit effectuer une expertise pour le compte des autres assureurs.

              Il doit indemniser les victimes, mais avec la possibilité d’exercer des recours contre les autres assureurs.

              Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

              Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

              Copropriété : quelle assurance pour les parties communes ?

              Vous habitez dans un immeuble en copropriété et il y a un incendie ou un dégât des eaux dans les parties communes ? L’indemnisation de ce type de sinistre est délicate, car les parties communes peuvent être couvertes pas plusieurs assurances, et l’origine du sinistre peut se situer dans un local privatif. C’est pourquoi les assureurs ont signé entre eux une convention pour simplifier les démarches aux assurés. Il s’agit de la convention  IRSI .

                Les parties communes d’un immeuble peuvent être couvertes par 3 types d’assurance :

                Chaque immeuble en copropriété doit être assuré par une couverture collective, au moins en ce qui concerne la responsabilité civile.

                L’assurance collective de la copropriété sert à indemniser les victimes des dégâts qui trouvent leur origine dans les parties communes de l’immeuble. Il s’agit par exemple de sinistres provoqués par des éléments du bâtiment (par exemple, chute d’immeuble, chute d’une tuile, marche d’escalier glissante) ou par une personne affectée au service de l’immeuble (gardien, par exemple).

                C’est le syndicat des copropriétaires qui doit souscrire l’assurance responsabilité civile pour le compte de la copropriété.

                Il peut, en cas de nécessité, souscrire le contrat sans mandat de l’assemblée générale des copropriétaires, mais l’assemblée générale peut annuler ou modifier sa décision.

                Chaque copropriétaire, qu’il soit occupant de son logement ou non, doit également l’assurer, au minimum, avec la garantie responsabilité civile.

                Cette assurance permet de couvrir le copropriétaire qui l’a souscrite, lorsqu’un sinistre prend naissance dans son logement et a causé des dommages aux occupants de son logement, à des voisins ou aux parties communes de l’immeuble.

                L’assurance multirisques de l’immeuble est une assurance facultative qui peut être souscrite par le syndicat des copropriétaires. Cette assurance permet d’indemniser les dommages subis par les parties communes de l’immeuble qui ne peuvent pas être indemnisés par l’assurance responsabilité d’un copropriétaire.

                En cas de dommage causé par un événement qui a pris naissance dans les parties communes de l’immeuble, c’est le syndic qui doit faire une déclaration à l’assurance de la copropriété.

                L’assurance de la copropriété ne fonctionnera que si le sinistre concerne une partie commune.

                En cas de dommages causés par un événement qui a pris naissance dans une partie privative de l’immeuble, c’est le copropriétaire du logement concerné qui doit faire une déclaration à son assurance.

                L’assurance ne fonctionnera pas si le sinistre a pris naissance dans une partie commune.

                La convention  IRSI  permet d’éviter les difficultés liées à la multiplicité des assureurs qui peuvent être concernés par la gestion d’un sinistre ayant un lien avec les parties communes d’un immeuble,

                La convention IRSI est un accord entre les compagnies d’assurance pour faciliter la prise en charge et l’indemnisation des sinistres incendie et dégâts des eaux pour les immeubles en copropriété.

                Elle prévoit qu’un seul assureur doit être désigné pour assurer l’une des 3 missions suivantes :

                • Gestion du dossier de demande d’indemnisation (prise en charge de la demande, estimation du préjudice, réalisation d’expertises etc..)

                • Recherche et réparation de fuite en cas de dégâts des eaux

                • Versement de l’indemnisation aux victimes du sinistre

                La convention fixe également les règles claires de désignation des assureurs chargés de ces missions.

                Elle s’applique aux sinistres dégâts dont la réparation des dommages ne dépasse pas 5 000 € hors taxes.

                Attention

                la convention IRSI ne s’applique pas aux sinistres intervenus dans les chambres d’hôtel et dans les chambres d’hôtes.

                Désignation d’un assureur gestionnaire du dossier d’indemnisation

                La convention prévoit qu’en cas de sinistre dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui est l’assureur gestionnaire du sinistre.

                Désignation d’un assureur chargé de la recherche de fuite (si dégât des eaux)

                La convention prévoit qu’en cas de sinistre dégât des eaux dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui doit organiser la recherche de fuite.

                Mais si l’origine de la fuite est située dans un local privatif, c’est l’assureur du propriétaire de ce local qui doit prendre en charge le coût de la recherche initiée par l’assureur de l’immeuble.

                Désignation d’un assureur chargé de l’indemnisation

                La convention IRSI fixe des règles de désignation de l’assureur chargé de l’indemnisation.

                La situation varie selon la valeur du litige.

                Pour les dégâts dont la valeur est inférieure à 1 600 €   hors taxes, c’est l’assureur gestionnaire qui indemnise, sans recours possible contre un autre assureur.

                  Pour les dégâts dont la valeur est comprise entre 1 600 €   et 5 000 € hors taxes, l’assureur gestionnaire doit effectuer une expertise pour le compte des autres assureurs.

                  Il doit indemniser les victimes, mais avec la possibilité d’exercer des recours contre les autres assureurs.

                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                  Copropriété : quelle assurance pour les parties communes ?

                  Vous habitez dans un immeuble en copropriété et il y a un incendie ou un dégât des eaux dans les parties communes ? L’indemnisation de ce type de sinistre est délicate, car les parties communes peuvent être couvertes pas plusieurs assurances, et l’origine du sinistre peut se situer dans un local privatif. C’est pourquoi les assureurs ont signé entre eux une convention pour simplifier les démarches aux assurés. Il s’agit de la convention  IRSI .

                    Les parties communes d’un immeuble peuvent être couvertes par 3 types d’assurance :

                    Chaque immeuble en copropriété doit être assuré par une couverture collective, au moins en ce qui concerne la responsabilité civile.

                    L’assurance collective de la copropriété sert à indemniser les victimes des dégâts qui trouvent leur origine dans les parties communes de l’immeuble. Il s’agit par exemple de sinistres provoqués par des éléments du bâtiment (par exemple, chute d’immeuble, chute d’une tuile, marche d’escalier glissante) ou par une personne affectée au service de l’immeuble (gardien, par exemple).

                    C’est le syndicat des copropriétaires qui doit souscrire l’assurance responsabilité civile pour le compte de la copropriété.

                    Il peut, en cas de nécessité, souscrire le contrat sans mandat de l’assemblée générale des copropriétaires, mais l’assemblée générale peut annuler ou modifier sa décision.

                    Chaque copropriétaire, qu’il soit occupant de son logement ou non, doit également l’assurer, au minimum, avec la garantie responsabilité civile.

                    Cette assurance permet de couvrir le copropriétaire qui l’a souscrite, lorsqu’un sinistre prend naissance dans son logement et a causé des dommages aux occupants de son logement, à des voisins ou aux parties communes de l’immeuble.

                    L’assurance multirisques de l’immeuble est une assurance facultative qui peut être souscrite par le syndicat des copropriétaires. Cette assurance permet d’indemniser les dommages subis par les parties communes de l’immeuble qui ne peuvent pas être indemnisés par l’assurance responsabilité d’un copropriétaire.

                    En cas de dommage causé par un événement qui a pris naissance dans les parties communes de l’immeuble, c’est le syndic qui doit faire une déclaration à l’assurance de la copropriété.

                    L’assurance de la copropriété ne fonctionnera que si le sinistre concerne une partie commune.

                    En cas de dommages causés par un événement qui a pris naissance dans une partie privative de l’immeuble, c’est le copropriétaire du logement concerné qui doit faire une déclaration à son assurance.

                    L’assurance ne fonctionnera pas si le sinistre a pris naissance dans une partie commune.

                    La convention  IRSI  permet d’éviter les difficultés liées à la multiplicité des assureurs qui peuvent être concernés par la gestion d’un sinistre ayant un lien avec les parties communes d’un immeuble,

                    La convention IRSI est un accord entre les compagnies d’assurance pour faciliter la prise en charge et l’indemnisation des sinistres incendie et dégâts des eaux pour les immeubles en copropriété.

                    Elle prévoit qu’un seul assureur doit être désigné pour assurer l’une des 3 missions suivantes :

                    • Gestion du dossier de demande d’indemnisation (prise en charge de la demande, estimation du préjudice, réalisation d’expertises etc..)

                    • Recherche et réparation de fuite en cas de dégâts des eaux

                    • Versement de l’indemnisation aux victimes du sinistre

                    La convention fixe également les règles claires de désignation des assureurs chargés de ces missions.

                    Elle s’applique aux sinistres dégâts dont la réparation des dommages ne dépasse pas 5 000 € hors taxes.

                    Attention

                    la convention IRSI ne s’applique pas aux sinistres intervenus dans les chambres d’hôtel et dans les chambres d’hôtes.

                    Désignation d’un assureur gestionnaire du dossier d’indemnisation

                    La convention prévoit qu’en cas de sinistre dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui est l’assureur gestionnaire du sinistre.

                    Désignation d’un assureur chargé de la recherche de fuite (si dégât des eaux)

                    La convention prévoit qu’en cas de sinistre dégât des eaux dans les parties communes d’un immeuble, c’est l’assureur de la copropriété qui doit organiser la recherche de fuite.

                    Mais si l’origine de la fuite est située dans un local privatif, c’est l’assureur du propriétaire de ce local qui doit prendre en charge le coût de la recherche initiée par l’assureur de l’immeuble.

                    Désignation d’un assureur chargé de l’indemnisation

                    La convention IRSI fixe des règles de désignation de l’assureur chargé de l’indemnisation.

                    La situation varie selon la valeur du litige.

                    Pour les dégâts dont la valeur est inférieure à 1 600 €   hors taxes, c’est l’assureur gestionnaire qui indemnise, sans recours possible contre un autre assureur.

                      Pour les dégâts dont la valeur est comprise entre 1 600 €   et 5 000 € hors taxes, l’assureur gestionnaire doit effectuer une expertise pour le compte des autres assureurs.

                      Il doit indemniser les victimes, mais avec la possibilité d’exercer des recours contre les autres assureurs.

                      Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                      Faire sa demande en ligne

                      Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                      Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                      La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                      Contact