Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Pupille de l’État : placement d’un enfant

Vous souhaitez savoir ce qu’est un pupille de l’État, comment se déroule son accueil à l’aide sociale à l’enfance (Ase) ou un un pupille de l’État peut être adopté ? Nous vous présentons les informations à connaître.

    Un pupille de l’État est un enfant mineur qui a perdu tout lien avec ses parents ou avec sa famille.

    Il est confié aux services du département et accueilli principalement en pouponnière (enfant en bas âge) ou en famille d’accueil.

    Un pupille de l’État peut également faire l’objet d’une adoption.

    L’enfant peut obtenir le statut de pupille de l’État en l’absence de parents ou à la demande de ces derniers s’ils existent ou à la demande d’un tuteur ou d’un juge.

    Le statut peut être attribué dans les cas suivants :

    • Enfant de parents inconnus (enfant trouvé ou né sous X), recueilli par l’aide sociale à l’enfance (l’Ase) depuis plus de 2 mois

    • Enfant dont le lien de parenté (on parle de filiation) est établi et connu, et qui est remis à l’Ase par une personne responsable de lui autre que ses parents (par exemple, tuteur, curateur) depuis plus de 2 mois pour devenir pupille de l’État

    • Enfant orphelin, recueilli par l’Ase depuis plus de 2 mois, pour lequel aucun membre de la famille ne veut ou ne peut être le tuteur

    • Enfant confié à l’Ase depuis plus de 6 mois, par l’un ou ses 2 parents, pour devenir pupille de l’État

    • Enfant confié à l’Ase par ses parents qui ont fait l’objet d’un retrait total de leur autorité parentale

    • Enfant pour lequel une décision de justice de délaissement parental a été prononcée (on parle souvent d’ abandon ).

    À noter

    Un mineur émancipé ou un jeune majeur de moins de 21 ans peuvent être pris en charge temporairement par l’Ase s’ils ne bénéficient pas de ressources suffisantes ou d’un soutien familial.

    Lorsqu’un enfant devient pupille de l’État, il bénéficie d’une prise en charge spécifique et adaptée, garantie par l’État. Cette protection vise à répondre à ses besoins et à lui offrir un cadre de vie stable.

    L’enfant pupille de l’État a droit à :

    • Une protection renforcée pour assurer sa sécurité et son bien-être,

    • Une éducation adaptée à son âge et à ses besoins,

    • Des soins médicaux pour préserver sa santé,

    • Un projet de vie stable, qui peut inclure un placement en famille d’accueil ou en établissement spécialisé.

    Le parcours de l’enfant est encadré par les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Selon sa situation, l’enfant peut :

    • Être placé en famille d’accueil agréée,

    • Être accueilli dans un établissement habilité,

    • Faire l’objet d’une procédure d’adoption, si celle-ci est dans son intérêt. Dans ce cas, les futurs parents devront obtenir un agrément d’adoption, délivré par le département et attestant de leur capacité à accueillir un enfant, et être sélectionnés dans le cadre d’un projet d’adoption conforme aux besoins de l’enfant.

    Lorsque l’enfant est remis au service de l’Ase, un procès-verbal est établi.

    Le document indique, entre autres, l’accord pour une éventuelle adoption de l’enfant.

    Cet accord peut être donné par les parents de l’enfant, son tuteur, un membre de la famille responsable de l’enfant.

    Si les parents de l’enfant le souhaitent, le procès-verbal contient également tous renseignements concernant leur santé, les origines de l’enfant, les raisons et les circonstances de sa remise à l’Ase.

    À partir de ce moment, l’enfant n’a plus de lien juridique avec ses parents.

    L’enfant est alors déclaré pupille de l’État à titre provisoire à partir de la date à laquelle est établi le procès-verbal.

    Une tutelle spécifique est ensuite organisée par le préfet (qui exerce les fonctions de tuteur) et le conseil de famille des pupilles de l’État pour protéger l’enfant.

    L’enfant est placé dans une pouponnière (enfant en bas âge) ou auprès d’une famille d’accueil pour une période transitoire.

    À la date du procès-verbal de la déclaration de l’enfant en tant que pupille à titre provisoire, les parents qui ont remis leur enfant à l’ASE ont la possibilité d’aller le rechercher dans un délai de 2 mois, sans aucune formalité.

    Lorsque ce n’est pas les parents de l’enfant qui l’ont remis au service de l’Ase, le délai pour aller le rechercher est de 6 mois. C’est le cas, par exemple, lorsqu’une décision judiciaire d’abandon est intervenue.

    Au-delà de ces délais, l’enfant est restitué aux parents uniquement si le tuteur (c’est-à-dire le préfet) ou le conseil de famille des pupilles de l’État l’accepte. En cas de refus du tuteur ou du conseil de famille des pupilles de l’État, les parents peuvent exercer un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu où l’enfant a été placé.

    À savoir

    En cas de récupération de l’enfant, les services du département proposent un accompagnement médical, psychologique, éducatif et social du parent et de l’enfant pendant les 3 années suivant cette récupération.

    Si l’enfant n’a pas été récupéré et que les délais de 2 et 6 mois sont dépassés, l’enfant obtient le statut de pupille de l’État par un arrêté pris par le président du conseil départemental.

    L’enfant qui a le statut de pupille de l’État peut faire l’objet d’un projet d’adoption simple ou plénière.

    Ce projet est défini par le tuteur (préfet) avec l’accord du conseil de famille des pupilles de l’État.

    L’enfant peut être adopté par les personnes suivantes :

    • Famille d’accueil à laquelle il a été confiée

    • Personne agréée par le responsable du service de l’Ase.

    L’enfant n’est pas adoptable lorsque le tuteur (préfet) démontre que la mesure d’adoption n’est pas favorable à l’enfant. C’est le cas, par exemple, lorsque le tuteur décide du maintien des liens avec la famille d’origine, dans l’intérêt de l’enfant.

    À savoir

    Tant qu’il n’est pas adopté, l’enfant conserve le statut de pupille de l’État. En cas d’adoption, il perd ce statut.

Placement d’un enfant

    Pupille de l’État : placement d’un enfant

    Vous souhaitez savoir ce qu’est un pupille de l’État, comment se déroule son accueil à l’aide sociale à l’enfance (Ase) ou un un pupille de l’État peut être adopté ? Nous vous présentons les informations à connaître.

      Un pupille de l’État est un enfant mineur qui a perdu tout lien avec ses parents ou avec sa famille.

      Il est confié aux services du département et accueilli principalement en pouponnière (enfant en bas âge) ou en famille d’accueil.

      Un pupille de l’État peut également faire l’objet d’une adoption.

      L’enfant peut obtenir le statut de pupille de l’État en l’absence de parents ou à la demande de ces derniers s’ils existent ou à la demande d’un tuteur ou d’un juge.

      Le statut peut être attribué dans les cas suivants :

      • Enfant de parents inconnus (enfant trouvé ou né sous X), recueilli par l’aide sociale à l’enfance (l’Ase) depuis plus de 2 mois

      • Enfant dont le lien de parenté (on parle de filiation) est établi et connu, et qui est remis à l’Ase par une personne responsable de lui autre que ses parents (par exemple, tuteur, curateur) depuis plus de 2 mois pour devenir pupille de l’État

      • Enfant orphelin, recueilli par l’Ase depuis plus de 2 mois, pour lequel aucun membre de la famille ne veut ou ne peut être le tuteur

      • Enfant confié à l’Ase depuis plus de 6 mois, par l’un ou ses 2 parents, pour devenir pupille de l’État

      • Enfant confié à l’Ase par ses parents qui ont fait l’objet d’un retrait total de leur autorité parentale

      • Enfant pour lequel une décision de justice de délaissement parental a été prononcée (on parle souvent d’ abandon ).

      À noter

      Un mineur émancipé ou un jeune majeur de moins de 21 ans peuvent être pris en charge temporairement par l’Ase s’ils ne bénéficient pas de ressources suffisantes ou d’un soutien familial.

      Lorsqu’un enfant devient pupille de l’État, il bénéficie d’une prise en charge spécifique et adaptée, garantie par l’État. Cette protection vise à répondre à ses besoins et à lui offrir un cadre de vie stable.

      L’enfant pupille de l’État a droit à :

      • Une protection renforcée pour assurer sa sécurité et son bien-être,

      • Une éducation adaptée à son âge et à ses besoins,

      • Des soins médicaux pour préserver sa santé,

      • Un projet de vie stable, qui peut inclure un placement en famille d’accueil ou en établissement spécialisé.

      Le parcours de l’enfant est encadré par les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Selon sa situation, l’enfant peut :

      • Être placé en famille d’accueil agréée,

      • Être accueilli dans un établissement habilité,

      • Faire l’objet d’une procédure d’adoption, si celle-ci est dans son intérêt. Dans ce cas, les futurs parents devront obtenir un agrément d’adoption, délivré par le département et attestant de leur capacité à accueillir un enfant, et être sélectionnés dans le cadre d’un projet d’adoption conforme aux besoins de l’enfant.

      Lorsque l’enfant est remis au service de l’Ase, un procès-verbal est établi.

      Le document indique, entre autres, l’accord pour une éventuelle adoption de l’enfant.

      Cet accord peut être donné par les parents de l’enfant, son tuteur, un membre de la famille responsable de l’enfant.

      Si les parents de l’enfant le souhaitent, le procès-verbal contient également tous renseignements concernant leur santé, les origines de l’enfant, les raisons et les circonstances de sa remise à l’Ase.

      À partir de ce moment, l’enfant n’a plus de lien juridique avec ses parents.

      L’enfant est alors déclaré pupille de l’État à titre provisoire à partir de la date à laquelle est établi le procès-verbal.

      Une tutelle spécifique est ensuite organisée par le préfet (qui exerce les fonctions de tuteur) et le conseil de famille des pupilles de l’État pour protéger l’enfant.

      L’enfant est placé dans une pouponnière (enfant en bas âge) ou auprès d’une famille d’accueil pour une période transitoire.

      À la date du procès-verbal de la déclaration de l’enfant en tant que pupille à titre provisoire, les parents qui ont remis leur enfant à l’ASE ont la possibilité d’aller le rechercher dans un délai de 2 mois, sans aucune formalité.

      Lorsque ce n’est pas les parents de l’enfant qui l’ont remis au service de l’Ase, le délai pour aller le rechercher est de 6 mois. C’est le cas, par exemple, lorsqu’une décision judiciaire d’abandon est intervenue.

      Au-delà de ces délais, l’enfant est restitué aux parents uniquement si le tuteur (c’est-à-dire le préfet) ou le conseil de famille des pupilles de l’État l’accepte. En cas de refus du tuteur ou du conseil de famille des pupilles de l’État, les parents peuvent exercer un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu où l’enfant a été placé.

      À savoir

      En cas de récupération de l’enfant, les services du département proposent un accompagnement médical, psychologique, éducatif et social du parent et de l’enfant pendant les 3 années suivant cette récupération.

      Si l’enfant n’a pas été récupéré et que les délais de 2 et 6 mois sont dépassés, l’enfant obtient le statut de pupille de l’État par un arrêté pris par le président du conseil départemental.

      L’enfant qui a le statut de pupille de l’État peut faire l’objet d’un projet d’adoption simple ou plénière.

      Ce projet est défini par le tuteur (préfet) avec l’accord du conseil de famille des pupilles de l’État.

      L’enfant peut être adopté par les personnes suivantes :

      • Famille d’accueil à laquelle il a été confiée

      • Personne agréée par le responsable du service de l’Ase.

      L’enfant n’est pas adoptable lorsque le tuteur (préfet) démontre que la mesure d’adoption n’est pas favorable à l’enfant. C’est le cas, par exemple, lorsque le tuteur décide du maintien des liens avec la famille d’origine, dans l’intérêt de l’enfant.

      À savoir

      Tant qu’il n’est pas adopté, l’enfant conserve le statut de pupille de l’État. En cas d’adoption, il perd ce statut.

    Placement d’un enfant

      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

      Pupille de l’État : placement d’un enfant

      Vous souhaitez savoir ce qu’est un pupille de l’État, comment se déroule son accueil à l’aide sociale à l’enfance (Ase) ou un un pupille de l’État peut être adopté ? Nous vous présentons les informations à connaître.

        Un pupille de l’État est un enfant mineur qui a perdu tout lien avec ses parents ou avec sa famille.

        Il est confié aux services du département et accueilli principalement en pouponnière (enfant en bas âge) ou en famille d’accueil.

        Un pupille de l’État peut également faire l’objet d’une adoption.

        L’enfant peut obtenir le statut de pupille de l’État en l’absence de parents ou à la demande de ces derniers s’ils existent ou à la demande d’un tuteur ou d’un juge.

        Le statut peut être attribué dans les cas suivants :

        • Enfant de parents inconnus (enfant trouvé ou né sous X), recueilli par l’aide sociale à l’enfance (l’Ase) depuis plus de 2 mois

        • Enfant dont le lien de parenté (on parle de filiation) est établi et connu, et qui est remis à l’Ase par une personne responsable de lui autre que ses parents (par exemple, tuteur, curateur) depuis plus de 2 mois pour devenir pupille de l’État

        • Enfant orphelin, recueilli par l’Ase depuis plus de 2 mois, pour lequel aucun membre de la famille ne veut ou ne peut être le tuteur

        • Enfant confié à l’Ase depuis plus de 6 mois, par l’un ou ses 2 parents, pour devenir pupille de l’État

        • Enfant confié à l’Ase par ses parents qui ont fait l’objet d’un retrait total de leur autorité parentale

        • Enfant pour lequel une décision de justice de délaissement parental a été prononcée (on parle souvent d’ abandon ).

        À noter

        Un mineur émancipé ou un jeune majeur de moins de 21 ans peuvent être pris en charge temporairement par l’Ase s’ils ne bénéficient pas de ressources suffisantes ou d’un soutien familial.

        Lorsqu’un enfant devient pupille de l’État, il bénéficie d’une prise en charge spécifique et adaptée, garantie par l’État. Cette protection vise à répondre à ses besoins et à lui offrir un cadre de vie stable.

        L’enfant pupille de l’État a droit à :

        • Une protection renforcée pour assurer sa sécurité et son bien-être,

        • Une éducation adaptée à son âge et à ses besoins,

        • Des soins médicaux pour préserver sa santé,

        • Un projet de vie stable, qui peut inclure un placement en famille d’accueil ou en établissement spécialisé.

        Le parcours de l’enfant est encadré par les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Selon sa situation, l’enfant peut :

        • Être placé en famille d’accueil agréée,

        • Être accueilli dans un établissement habilité,

        • Faire l’objet d’une procédure d’adoption, si celle-ci est dans son intérêt. Dans ce cas, les futurs parents devront obtenir un agrément d’adoption, délivré par le département et attestant de leur capacité à accueillir un enfant, et être sélectionnés dans le cadre d’un projet d’adoption conforme aux besoins de l’enfant.

        Lorsque l’enfant est remis au service de l’Ase, un procès-verbal est établi.

        Le document indique, entre autres, l’accord pour une éventuelle adoption de l’enfant.

        Cet accord peut être donné par les parents de l’enfant, son tuteur, un membre de la famille responsable de l’enfant.

        Si les parents de l’enfant le souhaitent, le procès-verbal contient également tous renseignements concernant leur santé, les origines de l’enfant, les raisons et les circonstances de sa remise à l’Ase.

        À partir de ce moment, l’enfant n’a plus de lien juridique avec ses parents.

        L’enfant est alors déclaré pupille de l’État à titre provisoire à partir de la date à laquelle est établi le procès-verbal.

        Une tutelle spécifique est ensuite organisée par le préfet (qui exerce les fonctions de tuteur) et le conseil de famille des pupilles de l’État pour protéger l’enfant.

        L’enfant est placé dans une pouponnière (enfant en bas âge) ou auprès d’une famille d’accueil pour une période transitoire.

        À la date du procès-verbal de la déclaration de l’enfant en tant que pupille à titre provisoire, les parents qui ont remis leur enfant à l’ASE ont la possibilité d’aller le rechercher dans un délai de 2 mois, sans aucune formalité.

        Lorsque ce n’est pas les parents de l’enfant qui l’ont remis au service de l’Ase, le délai pour aller le rechercher est de 6 mois. C’est le cas, par exemple, lorsqu’une décision judiciaire d’abandon est intervenue.

        Au-delà de ces délais, l’enfant est restitué aux parents uniquement si le tuteur (c’est-à-dire le préfet) ou le conseil de famille des pupilles de l’État l’accepte. En cas de refus du tuteur ou du conseil de famille des pupilles de l’État, les parents peuvent exercer un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu où l’enfant a été placé.

        À savoir

        En cas de récupération de l’enfant, les services du département proposent un accompagnement médical, psychologique, éducatif et social du parent et de l’enfant pendant les 3 années suivant cette récupération.

        Si l’enfant n’a pas été récupéré et que les délais de 2 et 6 mois sont dépassés, l’enfant obtient le statut de pupille de l’État par un arrêté pris par le président du conseil départemental.

        L’enfant qui a le statut de pupille de l’État peut faire l’objet d’un projet d’adoption simple ou plénière.

        Ce projet est défini par le tuteur (préfet) avec l’accord du conseil de famille des pupilles de l’État.

        L’enfant peut être adopté par les personnes suivantes :

        • Famille d’accueil à laquelle il a été confiée

        • Personne agréée par le responsable du service de l’Ase.

        L’enfant n’est pas adoptable lorsque le tuteur (préfet) démontre que la mesure d’adoption n’est pas favorable à l’enfant. C’est le cas, par exemple, lorsque le tuteur décide du maintien des liens avec la famille d’origine, dans l’intérêt de l’enfant.

        À savoir

        Tant qu’il n’est pas adopté, l’enfant conserve le statut de pupille de l’État. En cas d’adoption, il perd ce statut.

      Placement d’un enfant

        Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

        Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

        Pupille de l’État : placement d’un enfant

        Vous souhaitez savoir ce qu’est un pupille de l’État, comment se déroule son accueil à l’aide sociale à l’enfance (Ase) ou un un pupille de l’État peut être adopté ? Nous vous présentons les informations à connaître.

          Un pupille de l’État est un enfant mineur qui a perdu tout lien avec ses parents ou avec sa famille.

          Il est confié aux services du département et accueilli principalement en pouponnière (enfant en bas âge) ou en famille d’accueil.

          Un pupille de l’État peut également faire l’objet d’une adoption.

          L’enfant peut obtenir le statut de pupille de l’État en l’absence de parents ou à la demande de ces derniers s’ils existent ou à la demande d’un tuteur ou d’un juge.

          Le statut peut être attribué dans les cas suivants :

          • Enfant de parents inconnus (enfant trouvé ou né sous X), recueilli par l’aide sociale à l’enfance (l’Ase) depuis plus de 2 mois

          • Enfant dont le lien de parenté (on parle de filiation) est établi et connu, et qui est remis à l’Ase par une personne responsable de lui autre que ses parents (par exemple, tuteur, curateur) depuis plus de 2 mois pour devenir pupille de l’État

          • Enfant orphelin, recueilli par l’Ase depuis plus de 2 mois, pour lequel aucun membre de la famille ne veut ou ne peut être le tuteur

          • Enfant confié à l’Ase depuis plus de 6 mois, par l’un ou ses 2 parents, pour devenir pupille de l’État

          • Enfant confié à l’Ase par ses parents qui ont fait l’objet d’un retrait total de leur autorité parentale

          • Enfant pour lequel une décision de justice de délaissement parental a été prononcée (on parle souvent d’ abandon ).

          À noter

          Un mineur émancipé ou un jeune majeur de moins de 21 ans peuvent être pris en charge temporairement par l’Ase s’ils ne bénéficient pas de ressources suffisantes ou d’un soutien familial.

          Lorsqu’un enfant devient pupille de l’État, il bénéficie d’une prise en charge spécifique et adaptée, garantie par l’État. Cette protection vise à répondre à ses besoins et à lui offrir un cadre de vie stable.

          L’enfant pupille de l’État a droit à :

          • Une protection renforcée pour assurer sa sécurité et son bien-être,

          • Une éducation adaptée à son âge et à ses besoins,

          • Des soins médicaux pour préserver sa santé,

          • Un projet de vie stable, qui peut inclure un placement en famille d’accueil ou en établissement spécialisé.

          Le parcours de l’enfant est encadré par les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Selon sa situation, l’enfant peut :

          • Être placé en famille d’accueil agréée,

          • Être accueilli dans un établissement habilité,

          • Faire l’objet d’une procédure d’adoption, si celle-ci est dans son intérêt. Dans ce cas, les futurs parents devront obtenir un agrément d’adoption, délivré par le département et attestant de leur capacité à accueillir un enfant, et être sélectionnés dans le cadre d’un projet d’adoption conforme aux besoins de l’enfant.

          Lorsque l’enfant est remis au service de l’Ase, un procès-verbal est établi.

          Le document indique, entre autres, l’accord pour une éventuelle adoption de l’enfant.

          Cet accord peut être donné par les parents de l’enfant, son tuteur, un membre de la famille responsable de l’enfant.

          Si les parents de l’enfant le souhaitent, le procès-verbal contient également tous renseignements concernant leur santé, les origines de l’enfant, les raisons et les circonstances de sa remise à l’Ase.

          À partir de ce moment, l’enfant n’a plus de lien juridique avec ses parents.

          L’enfant est alors déclaré pupille de l’État à titre provisoire à partir de la date à laquelle est établi le procès-verbal.

          Une tutelle spécifique est ensuite organisée par le préfet (qui exerce les fonctions de tuteur) et le conseil de famille des pupilles de l’État pour protéger l’enfant.

          L’enfant est placé dans une pouponnière (enfant en bas âge) ou auprès d’une famille d’accueil pour une période transitoire.

          À la date du procès-verbal de la déclaration de l’enfant en tant que pupille à titre provisoire, les parents qui ont remis leur enfant à l’ASE ont la possibilité d’aller le rechercher dans un délai de 2 mois, sans aucune formalité.

          Lorsque ce n’est pas les parents de l’enfant qui l’ont remis au service de l’Ase, le délai pour aller le rechercher est de 6 mois. C’est le cas, par exemple, lorsqu’une décision judiciaire d’abandon est intervenue.

          Au-delà de ces délais, l’enfant est restitué aux parents uniquement si le tuteur (c’est-à-dire le préfet) ou le conseil de famille des pupilles de l’État l’accepte. En cas de refus du tuteur ou du conseil de famille des pupilles de l’État, les parents peuvent exercer un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu où l’enfant a été placé.

          À savoir

          En cas de récupération de l’enfant, les services du département proposent un accompagnement médical, psychologique, éducatif et social du parent et de l’enfant pendant les 3 années suivant cette récupération.

          Si l’enfant n’a pas été récupéré et que les délais de 2 et 6 mois sont dépassés, l’enfant obtient le statut de pupille de l’État par un arrêté pris par le président du conseil départemental.

          L’enfant qui a le statut de pupille de l’État peut faire l’objet d’un projet d’adoption simple ou plénière.

          Ce projet est défini par le tuteur (préfet) avec l’accord du conseil de famille des pupilles de l’État.

          L’enfant peut être adopté par les personnes suivantes :

          • Famille d’accueil à laquelle il a été confiée

          • Personne agréée par le responsable du service de l’Ase.

          L’enfant n’est pas adoptable lorsque le tuteur (préfet) démontre que la mesure d’adoption n’est pas favorable à l’enfant. C’est le cas, par exemple, lorsque le tuteur décide du maintien des liens avec la famille d’origine, dans l’intérêt de l’enfant.

          À savoir

          Tant qu’il n’est pas adopté, l’enfant conserve le statut de pupille de l’État. En cas d’adoption, il perd ce statut.

        Placement d’un enfant

          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

          Pupille de l’État : placement d’un enfant

          Vous souhaitez savoir ce qu’est un pupille de l’État, comment se déroule son accueil à l’aide sociale à l’enfance (Ase) ou un un pupille de l’État peut être adopté ? Nous vous présentons les informations à connaître.

            Un pupille de l’État est un enfant mineur qui a perdu tout lien avec ses parents ou avec sa famille.

            Il est confié aux services du département et accueilli principalement en pouponnière (enfant en bas âge) ou en famille d’accueil.

            Un pupille de l’État peut également faire l’objet d’une adoption.

            L’enfant peut obtenir le statut de pupille de l’État en l’absence de parents ou à la demande de ces derniers s’ils existent ou à la demande d’un tuteur ou d’un juge.

            Le statut peut être attribué dans les cas suivants :

            • Enfant de parents inconnus (enfant trouvé ou né sous X), recueilli par l’aide sociale à l’enfance (l’Ase) depuis plus de 2 mois

            • Enfant dont le lien de parenté (on parle de filiation) est établi et connu, et qui est remis à l’Ase par une personne responsable de lui autre que ses parents (par exemple, tuteur, curateur) depuis plus de 2 mois pour devenir pupille de l’État

            • Enfant orphelin, recueilli par l’Ase depuis plus de 2 mois, pour lequel aucun membre de la famille ne veut ou ne peut être le tuteur

            • Enfant confié à l’Ase depuis plus de 6 mois, par l’un ou ses 2 parents, pour devenir pupille de l’État

            • Enfant confié à l’Ase par ses parents qui ont fait l’objet d’un retrait total de leur autorité parentale

            • Enfant pour lequel une décision de justice de délaissement parental a été prononcée (on parle souvent d’ abandon ).

            À noter

            Un mineur émancipé ou un jeune majeur de moins de 21 ans peuvent être pris en charge temporairement par l’Ase s’ils ne bénéficient pas de ressources suffisantes ou d’un soutien familial.

            Lorsqu’un enfant devient pupille de l’État, il bénéficie d’une prise en charge spécifique et adaptée, garantie par l’État. Cette protection vise à répondre à ses besoins et à lui offrir un cadre de vie stable.

            L’enfant pupille de l’État a droit à :

            • Une protection renforcée pour assurer sa sécurité et son bien-être,

            • Une éducation adaptée à son âge et à ses besoins,

            • Des soins médicaux pour préserver sa santé,

            • Un projet de vie stable, qui peut inclure un placement en famille d’accueil ou en établissement spécialisé.

            Le parcours de l’enfant est encadré par les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE). Selon sa situation, l’enfant peut :

            • Être placé en famille d’accueil agréée,

            • Être accueilli dans un établissement habilité,

            • Faire l’objet d’une procédure d’adoption, si celle-ci est dans son intérêt. Dans ce cas, les futurs parents devront obtenir un agrément d’adoption, délivré par le département et attestant de leur capacité à accueillir un enfant, et être sélectionnés dans le cadre d’un projet d’adoption conforme aux besoins de l’enfant.

            Lorsque l’enfant est remis au service de l’Ase, un procès-verbal est établi.

            Le document indique, entre autres, l’accord pour une éventuelle adoption de l’enfant.

            Cet accord peut être donné par les parents de l’enfant, son tuteur, un membre de la famille responsable de l’enfant.

            Si les parents de l’enfant le souhaitent, le procès-verbal contient également tous renseignements concernant leur santé, les origines de l’enfant, les raisons et les circonstances de sa remise à l’Ase.

            À partir de ce moment, l’enfant n’a plus de lien juridique avec ses parents.

            L’enfant est alors déclaré pupille de l’État à titre provisoire à partir de la date à laquelle est établi le procès-verbal.

            Une tutelle spécifique est ensuite organisée par le préfet (qui exerce les fonctions de tuteur) et le conseil de famille des pupilles de l’État pour protéger l’enfant.

            L’enfant est placé dans une pouponnière (enfant en bas âge) ou auprès d’une famille d’accueil pour une période transitoire.

            À la date du procès-verbal de la déclaration de l’enfant en tant que pupille à titre provisoire, les parents qui ont remis leur enfant à l’ASE ont la possibilité d’aller le rechercher dans un délai de 2 mois, sans aucune formalité.

            Lorsque ce n’est pas les parents de l’enfant qui l’ont remis au service de l’Ase, le délai pour aller le rechercher est de 6 mois. C’est le cas, par exemple, lorsqu’une décision judiciaire d’abandon est intervenue.

            Au-delà de ces délais, l’enfant est restitué aux parents uniquement si le tuteur (c’est-à-dire le préfet) ou le conseil de famille des pupilles de l’État l’accepte. En cas de refus du tuteur ou du conseil de famille des pupilles de l’État, les parents peuvent exercer un recours auprès du tribunal judiciaire du lieu où l’enfant a été placé.

            À savoir

            En cas de récupération de l’enfant, les services du département proposent un accompagnement médical, psychologique, éducatif et social du parent et de l’enfant pendant les 3 années suivant cette récupération.

            Si l’enfant n’a pas été récupéré et que les délais de 2 et 6 mois sont dépassés, l’enfant obtient le statut de pupille de l’État par un arrêté pris par le président du conseil départemental.

            L’enfant qui a le statut de pupille de l’État peut faire l’objet d’un projet d’adoption simple ou plénière.

            Ce projet est défini par le tuteur (préfet) avec l’accord du conseil de famille des pupilles de l’État.

            L’enfant peut être adopté par les personnes suivantes :

            • Famille d’accueil à laquelle il a été confiée

            • Personne agréée par le responsable du service de l’Ase.

            L’enfant n’est pas adoptable lorsque le tuteur (préfet) démontre que la mesure d’adoption n’est pas favorable à l’enfant. C’est le cas, par exemple, lorsque le tuteur décide du maintien des liens avec la famille d’origine, dans l’intérêt de l’enfant.

            À savoir

            Tant qu’il n’est pas adopté, l’enfant conserve le statut de pupille de l’État. En cas d’adoption, il perd ce statut.

          Placement d’un enfant

            Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

            Faire sa demande en ligne

            Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
            Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

            La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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