
Services municipaux
Service Développement Territorial
Horaires :
Du lundi au vendredi
8h30 – 12h / 13h30 – 17h
Fermé le mardi
Urbanisme
Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.
Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.
Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.
Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.
Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).
Les textes en vigueur ne prévoient pas que la responsabilité de l’employeur puisse être engagée. En cas de litige entre le salarié et l’employeur, c’est au juge du conseil de prud’hommes de trancher.
Oui. L’employeur est considéré comme le dépositaire des objets personnels de ses salariés (vêtement, véhicule, téléphone portable, etc.).
Il s’agit d’une responsabilité contractuelle de l’employeur issue de la relation de travail.
L’employeur doit mettre en œuvre les moyens utiles pour assurer la bonne conservation des objets personnels de ses salariés, limiter les vols et les détériorations dans les locaux de l’entreprise.
L’employeur a l’obligation de mettre en place un local vestiaire ou un meuble sécurisé dédié au rangement des effets personnels.
Les armoires individuelles doivent avoir une serrure ou un cadenas.
Toutefois, l’employeur peut se dégager de toute responsabilité dans l’un des cas suivants :
En cas de force majeure
S’il prouve une faute du salarié (par exemple, si le salarié avait oublié de fermer à clé son casier)
En affichant une clause de non responsabilité dans l’entreprise
En cas de vol ou de détérioration de ces objets personnels, le salarié peut saisir le conseil de prud’hommes pour demander une indemnisation par l’employeur.
Si le salarié veut engager la responsabilité de l’employeur, il doit prouver que celui-ci a commis une faute grave.
Cette faute grave peut être retenue par le juge, notamment, dans les cas suivants :
Absence de surveillance de l’accès aux locaux
Absence de mise à disposition au salarié de casier fermé
Absence de réaction de l’employeur face à de nombreux vols
Le juge regarde si l’employeur a respecté ses obligations.
L’employeur peut engager des poursuites judiciaires contre le voleur (salarié ou non de l’entreprise).
Si le voleur est salarié de l’entreprise, il encourt les peines suivantes :
Sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement
Condamnation à verser des dommages et intérêts
Les textes en vigueur ne prévoient pas que la responsabilité de l’employeur puisse être engagée. En cas de litige entre le salarié et l’employeur, c’est au juge du conseil de prud’hommes de trancher.
Oui. L’employeur est considéré comme le dépositaire des objets personnels de ses salariés (vêtement, véhicule, téléphone portable, etc.).
Il s’agit d’une responsabilité contractuelle de l’employeur issue de la relation de travail.
L’employeur doit mettre en œuvre les moyens utiles pour assurer la bonne conservation des objets personnels de ses salariés, limiter les vols et les détériorations dans les locaux de l’entreprise.
L’employeur a l’obligation de mettre en place un local vestiaire ou un meuble sécurisé dédié au rangement des effets personnels.
Les armoires individuelles doivent avoir une serrure ou un cadenas.
Toutefois, l’employeur peut se dégager de toute responsabilité dans l’un des cas suivants :
En cas de force majeure
S’il prouve une faute du salarié (par exemple, si le salarié avait oublié de fermer à clé son casier)
En affichant une clause de non responsabilité dans l’entreprise
En cas de vol ou de détérioration de ces objets personnels, le salarié peut saisir le conseil de prud’hommes pour demander une indemnisation par l’employeur.
Si le salarié veut engager la responsabilité de l’employeur, il doit prouver que celui-ci a commis une faute grave.
Cette faute grave peut être retenue par le juge, notamment, dans les cas suivants :
Absence de surveillance de l’accès aux locaux
Absence de mise à disposition au salarié de casier fermé
Absence de réaction de l’employeur face à de nombreux vols
Le juge regarde si l’employeur a respecté ses obligations.
L’employeur peut engager des poursuites judiciaires contre le voleur (salarié ou non de l’entreprise).
Si le voleur est salarié de l’entreprise, il encourt les peines suivantes :
Sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement
Condamnation à verser des dommages et intérêts
Les textes en vigueur ne prévoient pas que la responsabilité de l’employeur puisse être engagée. En cas de litige entre le salarié et l’employeur, c’est au juge du conseil de prud’hommes de trancher.
Oui. L’employeur est considéré comme le dépositaire des objets personnels de ses salariés (vêtement, véhicule, téléphone portable, etc.).
Il s’agit d’une responsabilité contractuelle de l’employeur issue de la relation de travail.
L’employeur doit mettre en œuvre les moyens utiles pour assurer la bonne conservation des objets personnels de ses salariés, limiter les vols et les détériorations dans les locaux de l’entreprise.
L’employeur a l’obligation de mettre en place un local vestiaire ou un meuble sécurisé dédié au rangement des effets personnels.
Les armoires individuelles doivent avoir une serrure ou un cadenas.
Toutefois, l’employeur peut se dégager de toute responsabilité dans l’un des cas suivants :
En cas de force majeure
S’il prouve une faute du salarié (par exemple, si le salarié avait oublié de fermer à clé son casier)
En affichant une clause de non responsabilité dans l’entreprise
En cas de vol ou de détérioration de ces objets personnels, le salarié peut saisir le conseil de prud’hommes pour demander une indemnisation par l’employeur.
Si le salarié veut engager la responsabilité de l’employeur, il doit prouver que celui-ci a commis une faute grave.
Cette faute grave peut être retenue par le juge, notamment, dans les cas suivants :
Absence de surveillance de l’accès aux locaux
Absence de mise à disposition au salarié de casier fermé
Absence de réaction de l’employeur face à de nombreux vols
Le juge regarde si l’employeur a respecté ses obligations.
L’employeur peut engager des poursuites judiciaires contre le voleur (salarié ou non de l’entreprise).
Si le voleur est salarié de l’entreprise, il encourt les peines suivantes :
Sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement
Condamnation à verser des dommages et intérêts
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Les textes en vigueur ne prévoient pas que la responsabilité de l’employeur puisse être engagée. En cas de litige entre le salarié et l’employeur, c’est au juge du conseil de prud’hommes de trancher.
Oui. L’employeur est considéré comme le dépositaire des objets personnels de ses salariés (vêtement, véhicule, téléphone portable, etc.).
Il s’agit d’une responsabilité contractuelle de l’employeur issue de la relation de travail.
L’employeur doit mettre en œuvre les moyens utiles pour assurer la bonne conservation des objets personnels de ses salariés, limiter les vols et les détériorations dans les locaux de l’entreprise.
L’employeur a l’obligation de mettre en place un local vestiaire ou un meuble sécurisé dédié au rangement des effets personnels.
Les armoires individuelles doivent avoir une serrure ou un cadenas.
Toutefois, l’employeur peut se dégager de toute responsabilité dans l’un des cas suivants :
En cas de force majeure
S’il prouve une faute du salarié (par exemple, si le salarié avait oublié de fermer à clé son casier)
En affichant une clause de non responsabilité dans l’entreprise
En cas de vol ou de détérioration de ces objets personnels, le salarié peut saisir le conseil de prud’hommes pour demander une indemnisation par l’employeur.
Si le salarié veut engager la responsabilité de l’employeur, il doit prouver que celui-ci a commis une faute grave.
Cette faute grave peut être retenue par le juge, notamment, dans les cas suivants :
Absence de surveillance de l’accès aux locaux
Absence de mise à disposition au salarié de casier fermé
Absence de réaction de l’employeur face à de nombreux vols
Le juge regarde si l’employeur a respecté ses obligations.
L’employeur peut engager des poursuites judiciaires contre le voleur (salarié ou non de l’entreprise).
Si le voleur est salarié de l’entreprise, il encourt les peines suivantes :
Sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement
Condamnation à verser des dommages et intérêts
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Les textes en vigueur ne prévoient pas que la responsabilité de l’employeur puisse être engagée. En cas de litige entre le salarié et l’employeur, c’est au juge du conseil de prud’hommes de trancher.
Oui. L’employeur est considéré comme le dépositaire des objets personnels de ses salariés (vêtement, véhicule, téléphone portable, etc.).
Il s’agit d’une responsabilité contractuelle de l’employeur issue de la relation de travail.
L’employeur doit mettre en œuvre les moyens utiles pour assurer la bonne conservation des objets personnels de ses salariés, limiter les vols et les détériorations dans les locaux de l’entreprise.
L’employeur a l’obligation de mettre en place un local vestiaire ou un meuble sécurisé dédié au rangement des effets personnels.
Les armoires individuelles doivent avoir une serrure ou un cadenas.
Toutefois, l’employeur peut se dégager de toute responsabilité dans l’un des cas suivants :
En cas de force majeure
S’il prouve une faute du salarié (par exemple, si le salarié avait oublié de fermer à clé son casier)
En affichant une clause de non responsabilité dans l’entreprise
En cas de vol ou de détérioration de ces objets personnels, le salarié peut saisir le conseil de prud’hommes pour demander une indemnisation par l’employeur.
Si le salarié veut engager la responsabilité de l’employeur, il doit prouver que celui-ci a commis une faute grave.
Cette faute grave peut être retenue par le juge, notamment, dans les cas suivants :
Absence de surveillance de l’accès aux locaux
Absence de mise à disposition au salarié de casier fermé
Absence de réaction de l’employeur face à de nombreux vols
Le juge regarde si l’employeur a respecté ses obligations.
L’employeur peut engager des poursuites judiciaires contre le voleur (salarié ou non de l’entreprise).
Si le voleur est salarié de l’entreprise, il encourt les peines suivantes :
Sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’au licenciement
Condamnation à verser des dommages et intérêts
Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.
Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.
La cellule urbanisme reste votre interlocuteur privilégié pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à la solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr
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