Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Congé sabbatique du salarié dans le secteur privé

Le congé sabbatique est un congé pour convenance personnelle accordé au salarié. Le salarié peut en bénéficier s’il répond à plusieurs conditions. L’employeur n’a pas l’obligation d’accorder un congé sabbatique. Le congé comporte une durée minimale et une durée maximale. Durant le congé sabbatique, le contrat de travail du salarié est suspendu.

    Le salarié qui souhaite bénéficier d’un congé sabbatique doit remplir toutes les conditions suivantes.

    Ancienneté dans l’entreprise

    Le salarié doit avoir une ancienneté d’au moins 36 mois dans l’entreprise.

    L’ancienneté prise en compte peut être considérée sur plusieurs périodes de travail non consécutives dans l’entreprise.

    Toutefois, une convention collective ou accord collectif d’entreprise peut prévoir une durée d’ancienneté différente.

    Années de travail

    Le salarié doit avoir effectué 6 années d’activité professionnelle.

    Délai de carence entre 2 congés

    Le salarié doit respecter un délai de carence.

    Le salarié ne doit pas avoir bénéficié dans l’entreprise, à la date de départ en congé, au cours des 6 années précédentes :

    Le salarié doit informer l’employeur de son souhait de prendre un congé sabbatique au moins 3 mois avant la date de départ envisagée.

    Le salarié doit adresser sa demande à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de congé (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

    L’employeur informe le salarié :

    • Soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié

    • Soit du report de cette date

    • Soit du refus de lui accorder le congé

    En l’absence de réponse de l’employeur dans un délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande, le congé sabbatique est accordé.

    L’accord, le report ou le refus de l’employeur sont soumis à conditions. Elles varient en fonction de la taille de l’entreprise :

    Accord de l’employeur

    L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

    Report du départ en congé

    L’employeur peut reporter le départ en congé :

    • Soit, pendant 9 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

    • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

    L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

    Refus d’accorder le congé

    L’employeur peut refuser d’accorder le congé pour l’une des 2 raisons suivantes :

    • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court)

    • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

    Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

    Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

      L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

        L’employeur peut reporter le départ en congé :

        • Soit, pendant 6 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

        • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

        L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

          L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court).

          Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

          Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

              La durée du congé varie de 6 mois minimum à 11 mois maximum.

              Toutefois, une convention collective ou un accord collectif d’entreprise peut prévoir des durées différentes.

              Conséquences sur le contrat de travail

              Pendant la durée du congé sabbatique, le contrat de travail est suspendu.

              Indemnisation

              Le congé sabbatique n’est pas rémunéré.

              Toutefois, il peut l’être en cas de dispositions conventionnelles ou usage.

              Report des congés payés

              Si son congé sabbatique n’est pas rémunéré, le salarié peut le financer par une partie de ses congés payés.

              Les congés seront alors pris et payés lors du départ en congé sabbatique.

              Les conditions de ce report sont fixées par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

              En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié peut reporter chaque année les congés acquis à partir de la 5e semaine de congés payés jusqu’au départ en congé sabbatique.

              Ces congés payés peuvent être cumulés pendant 6 ans au maximum.

              Exemple

              Un salarié, ayant droit à 5 semaines de congés payés par an, décide de reporter pendant 6 ans sa 5e semaine de congés :

              • Il cumule alors 36 jours ouvrables de congés à la fin de ces 6 ans d’activité professionnelle

              • Son indemnité compensatrice de congés payés de 36 jours ouvrables non prise est alors versée lors de son départ en congé sabbatique

              Activité professionnelle pendant le congé

              Pendant le congé sabbatique, le salarié peut exercer une autre activité professionnelle, salariée ou non.

              Cependant, il doit respecter les obligations de loyauté et de non-concurrence vis-à-vis de son employeur.

              Reprise anticipée

              L’employeur n’a pas l’obligation de réemployer le salarié avant la fin de son congé sabbatique.

              Toutefois, un retour anticipé dans l’entreprise reste toutefois possible avec l’accord de l’employeur.

              Après un congé sabbatique, le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

              Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

              Le salarié a le droit de bénéficier d’un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d’évolution professionnelle.

            Congé sabbatique du salarié dans le secteur privé

            Le congé sabbatique est un congé pour convenance personnelle accordé au salarié. Le salarié peut en bénéficier s’il répond à plusieurs conditions. L’employeur n’a pas l’obligation d’accorder un congé sabbatique. Le congé comporte une durée minimale et une durée maximale. Durant le congé sabbatique, le contrat de travail du salarié est suspendu.

              Le salarié qui souhaite bénéficier d’un congé sabbatique doit remplir toutes les conditions suivantes.

              Ancienneté dans l’entreprise

              Le salarié doit avoir une ancienneté d’au moins 36 mois dans l’entreprise.

              L’ancienneté prise en compte peut être considérée sur plusieurs périodes de travail non consécutives dans l’entreprise.

              Toutefois, une convention collective ou accord collectif d’entreprise peut prévoir une durée d’ancienneté différente.

              Années de travail

              Le salarié doit avoir effectué 6 années d’activité professionnelle.

              Délai de carence entre 2 congés

              Le salarié doit respecter un délai de carence.

              Le salarié ne doit pas avoir bénéficié dans l’entreprise, à la date de départ en congé, au cours des 6 années précédentes :

              Le salarié doit informer l’employeur de son souhait de prendre un congé sabbatique au moins 3 mois avant la date de départ envisagée.

              Le salarié doit adresser sa demande à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de congé (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

              L’employeur informe le salarié :

              • Soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié

              • Soit du report de cette date

              • Soit du refus de lui accorder le congé

              En l’absence de réponse de l’employeur dans un délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande, le congé sabbatique est accordé.

              L’accord, le report ou le refus de l’employeur sont soumis à conditions. Elles varient en fonction de la taille de l’entreprise :

              Accord de l’employeur

              L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

              Report du départ en congé

              L’employeur peut reporter le départ en congé :

              • Soit, pendant 9 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

              • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

              L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

              Refus d’accorder le congé

              L’employeur peut refuser d’accorder le congé pour l’une des 2 raisons suivantes :

              • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court)

              • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

              Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

              Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

                L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                  L’employeur peut reporter le départ en congé :

                  • Soit, pendant 6 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                  • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

                  L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                    L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court).

                    Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                    Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

                        La durée du congé varie de 6 mois minimum à 11 mois maximum.

                        Toutefois, une convention collective ou un accord collectif d’entreprise peut prévoir des durées différentes.

                        Conséquences sur le contrat de travail

                        Pendant la durée du congé sabbatique, le contrat de travail est suspendu.

                        Indemnisation

                        Le congé sabbatique n’est pas rémunéré.

                        Toutefois, il peut l’être en cas de dispositions conventionnelles ou usage.

                        Report des congés payés

                        Si son congé sabbatique n’est pas rémunéré, le salarié peut le financer par une partie de ses congés payés.

                        Les congés seront alors pris et payés lors du départ en congé sabbatique.

                        Les conditions de ce report sont fixées par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                        En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié peut reporter chaque année les congés acquis à partir de la 5e semaine de congés payés jusqu’au départ en congé sabbatique.

                        Ces congés payés peuvent être cumulés pendant 6 ans au maximum.

                        Exemple

                        Un salarié, ayant droit à 5 semaines de congés payés par an, décide de reporter pendant 6 ans sa 5e semaine de congés :

                        • Il cumule alors 36 jours ouvrables de congés à la fin de ces 6 ans d’activité professionnelle

                        • Son indemnité compensatrice de congés payés de 36 jours ouvrables non prise est alors versée lors de son départ en congé sabbatique

                        Activité professionnelle pendant le congé

                        Pendant le congé sabbatique, le salarié peut exercer une autre activité professionnelle, salariée ou non.

                        Cependant, il doit respecter les obligations de loyauté et de non-concurrence vis-à-vis de son employeur.

                        Reprise anticipée

                        L’employeur n’a pas l’obligation de réemployer le salarié avant la fin de son congé sabbatique.

                        Toutefois, un retour anticipé dans l’entreprise reste toutefois possible avec l’accord de l’employeur.

                        Après un congé sabbatique, le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

                        Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

                        Le salarié a le droit de bénéficier d’un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d’évolution professionnelle.

                      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                      Congé sabbatique du salarié dans le secteur privé

                      Le congé sabbatique est un congé pour convenance personnelle accordé au salarié. Le salarié peut en bénéficier s’il répond à plusieurs conditions. L’employeur n’a pas l’obligation d’accorder un congé sabbatique. Le congé comporte une durée minimale et une durée maximale. Durant le congé sabbatique, le contrat de travail du salarié est suspendu.

                        Le salarié qui souhaite bénéficier d’un congé sabbatique doit remplir toutes les conditions suivantes.

                        Ancienneté dans l’entreprise

                        Le salarié doit avoir une ancienneté d’au moins 36 mois dans l’entreprise.

                        L’ancienneté prise en compte peut être considérée sur plusieurs périodes de travail non consécutives dans l’entreprise.

                        Toutefois, une convention collective ou accord collectif d’entreprise peut prévoir une durée d’ancienneté différente.

                        Années de travail

                        Le salarié doit avoir effectué 6 années d’activité professionnelle.

                        Délai de carence entre 2 congés

                        Le salarié doit respecter un délai de carence.

                        Le salarié ne doit pas avoir bénéficié dans l’entreprise, à la date de départ en congé, au cours des 6 années précédentes :

                        Le salarié doit informer l’employeur de son souhait de prendre un congé sabbatique au moins 3 mois avant la date de départ envisagée.

                        Le salarié doit adresser sa demande à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de congé (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                        L’employeur informe le salarié :

                        • Soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié

                        • Soit du report de cette date

                        • Soit du refus de lui accorder le congé

                        En l’absence de réponse de l’employeur dans un délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande, le congé sabbatique est accordé.

                        L’accord, le report ou le refus de l’employeur sont soumis à conditions. Elles varient en fonction de la taille de l’entreprise :

                        Accord de l’employeur

                        L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                        Report du départ en congé

                        L’employeur peut reporter le départ en congé :

                        • Soit, pendant 9 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                        • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

                        L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                        Refus d’accorder le congé

                        L’employeur peut refuser d’accorder le congé pour l’une des 2 raisons suivantes :

                        • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court)

                        • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                        Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                        Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

                          L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                            L’employeur peut reporter le départ en congé :

                            • Soit, pendant 6 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                            • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

                            L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                              L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court).

                              Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                              Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

                                  La durée du congé varie de 6 mois minimum à 11 mois maximum.

                                  Toutefois, une convention collective ou un accord collectif d’entreprise peut prévoir des durées différentes.

                                  Conséquences sur le contrat de travail

                                  Pendant la durée du congé sabbatique, le contrat de travail est suspendu.

                                  Indemnisation

                                  Le congé sabbatique n’est pas rémunéré.

                                  Toutefois, il peut l’être en cas de dispositions conventionnelles ou usage.

                                  Report des congés payés

                                  Si son congé sabbatique n’est pas rémunéré, le salarié peut le financer par une partie de ses congés payés.

                                  Les congés seront alors pris et payés lors du départ en congé sabbatique.

                                  Les conditions de ce report sont fixées par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                  En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié peut reporter chaque année les congés acquis à partir de la 5e semaine de congés payés jusqu’au départ en congé sabbatique.

                                  Ces congés payés peuvent être cumulés pendant 6 ans au maximum.

                                  Exemple

                                  Un salarié, ayant droit à 5 semaines de congés payés par an, décide de reporter pendant 6 ans sa 5e semaine de congés :

                                  • Il cumule alors 36 jours ouvrables de congés à la fin de ces 6 ans d’activité professionnelle

                                  • Son indemnité compensatrice de congés payés de 36 jours ouvrables non prise est alors versée lors de son départ en congé sabbatique

                                  Activité professionnelle pendant le congé

                                  Pendant le congé sabbatique, le salarié peut exercer une autre activité professionnelle, salariée ou non.

                                  Cependant, il doit respecter les obligations de loyauté et de non-concurrence vis-à-vis de son employeur.

                                  Reprise anticipée

                                  L’employeur n’a pas l’obligation de réemployer le salarié avant la fin de son congé sabbatique.

                                  Toutefois, un retour anticipé dans l’entreprise reste toutefois possible avec l’accord de l’employeur.

                                  Après un congé sabbatique, le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

                                  Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

                                  Le salarié a le droit de bénéficier d’un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d’évolution professionnelle.

                                Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                Congé sabbatique du salarié dans le secteur privé

                                Le congé sabbatique est un congé pour convenance personnelle accordé au salarié. Le salarié peut en bénéficier s’il répond à plusieurs conditions. L’employeur n’a pas l’obligation d’accorder un congé sabbatique. Le congé comporte une durée minimale et une durée maximale. Durant le congé sabbatique, le contrat de travail du salarié est suspendu.

                                  Le salarié qui souhaite bénéficier d’un congé sabbatique doit remplir toutes les conditions suivantes.

                                  Ancienneté dans l’entreprise

                                  Le salarié doit avoir une ancienneté d’au moins 36 mois dans l’entreprise.

                                  L’ancienneté prise en compte peut être considérée sur plusieurs périodes de travail non consécutives dans l’entreprise.

                                  Toutefois, une convention collective ou accord collectif d’entreprise peut prévoir une durée d’ancienneté différente.

                                  Années de travail

                                  Le salarié doit avoir effectué 6 années d’activité professionnelle.

                                  Délai de carence entre 2 congés

                                  Le salarié doit respecter un délai de carence.

                                  Le salarié ne doit pas avoir bénéficié dans l’entreprise, à la date de départ en congé, au cours des 6 années précédentes :

                                  Le salarié doit informer l’employeur de son souhait de prendre un congé sabbatique au moins 3 mois avant la date de départ envisagée.

                                  Le salarié doit adresser sa demande à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de congé (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                  L’employeur informe le salarié :

                                  • Soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié

                                  • Soit du report de cette date

                                  • Soit du refus de lui accorder le congé

                                  En l’absence de réponse de l’employeur dans un délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande, le congé sabbatique est accordé.

                                  L’accord, le report ou le refus de l’employeur sont soumis à conditions. Elles varient en fonction de la taille de l’entreprise :

                                  Accord de l’employeur

                                  L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                  Report du départ en congé

                                  L’employeur peut reporter le départ en congé :

                                  • Soit, pendant 9 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                                  • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

                                  L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                  Refus d’accorder le congé

                                  L’employeur peut refuser d’accorder le congé pour l’une des 2 raisons suivantes :

                                  • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court)

                                  • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                  Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                  Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

                                    L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                      L’employeur peut reporter le départ en congé :

                                      • Soit, pendant 6 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                                      • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

                                      L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                        L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court).

                                        Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                        Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

                                            La durée du congé varie de 6 mois minimum à 11 mois maximum.

                                            Toutefois, une convention collective ou un accord collectif d’entreprise peut prévoir des durées différentes.

                                            Conséquences sur le contrat de travail

                                            Pendant la durée du congé sabbatique, le contrat de travail est suspendu.

                                            Indemnisation

                                            Le congé sabbatique n’est pas rémunéré.

                                            Toutefois, il peut l’être en cas de dispositions conventionnelles ou usage.

                                            Report des congés payés

                                            Si son congé sabbatique n’est pas rémunéré, le salarié peut le financer par une partie de ses congés payés.

                                            Les congés seront alors pris et payés lors du départ en congé sabbatique.

                                            Les conditions de ce report sont fixées par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                            En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié peut reporter chaque année les congés acquis à partir de la 5e semaine de congés payés jusqu’au départ en congé sabbatique.

                                            Ces congés payés peuvent être cumulés pendant 6 ans au maximum.

                                            Exemple

                                            Un salarié, ayant droit à 5 semaines de congés payés par an, décide de reporter pendant 6 ans sa 5e semaine de congés :

                                            • Il cumule alors 36 jours ouvrables de congés à la fin de ces 6 ans d’activité professionnelle

                                            • Son indemnité compensatrice de congés payés de 36 jours ouvrables non prise est alors versée lors de son départ en congé sabbatique

                                            Activité professionnelle pendant le congé

                                            Pendant le congé sabbatique, le salarié peut exercer une autre activité professionnelle, salariée ou non.

                                            Cependant, il doit respecter les obligations de loyauté et de non-concurrence vis-à-vis de son employeur.

                                            Reprise anticipée

                                            L’employeur n’a pas l’obligation de réemployer le salarié avant la fin de son congé sabbatique.

                                            Toutefois, un retour anticipé dans l’entreprise reste toutefois possible avec l’accord de l’employeur.

                                            Après un congé sabbatique, le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

                                            Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

                                            Le salarié a le droit de bénéficier d’un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d’évolution professionnelle.

                                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                          Congé sabbatique du salarié dans le secteur privé

                                          Le congé sabbatique est un congé pour convenance personnelle accordé au salarié. Le salarié peut en bénéficier s’il répond à plusieurs conditions. L’employeur n’a pas l’obligation d’accorder un congé sabbatique. Le congé comporte une durée minimale et une durée maximale. Durant le congé sabbatique, le contrat de travail du salarié est suspendu.

                                            Le salarié qui souhaite bénéficier d’un congé sabbatique doit remplir toutes les conditions suivantes.

                                            Ancienneté dans l’entreprise

                                            Le salarié doit avoir une ancienneté d’au moins 36 mois dans l’entreprise.

                                            L’ancienneté prise en compte peut être considérée sur plusieurs périodes de travail non consécutives dans l’entreprise.

                                            Toutefois, une convention collective ou accord collectif d’entreprise peut prévoir une durée d’ancienneté différente.

                                            Années de travail

                                            Le salarié doit avoir effectué 6 années d’activité professionnelle.

                                            Délai de carence entre 2 congés

                                            Le salarié doit respecter un délai de carence.

                                            Le salarié ne doit pas avoir bénéficié dans l’entreprise, à la date de départ en congé, au cours des 6 années précédentes :

                                            Le salarié doit informer l’employeur de son souhait de prendre un congé sabbatique au moins 3 mois avant la date de départ envisagée.

                                            Le salarié doit adresser sa demande à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de congé (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                            L’employeur informe le salarié :

                                            • Soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié

                                            • Soit du report de cette date

                                            • Soit du refus de lui accorder le congé

                                            En l’absence de réponse de l’employeur dans un délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande, le congé sabbatique est accordé.

                                            L’accord, le report ou le refus de l’employeur sont soumis à conditions. Elles varient en fonction de la taille de l’entreprise :

                                            Accord de l’employeur

                                            L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                            Report du départ en congé

                                            L’employeur peut reporter le départ en congé :

                                            • Soit, pendant 9 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                                            • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

                                            L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                            Refus d’accorder le congé

                                            L’employeur peut refuser d’accorder le congé pour l’une des 2 raisons suivantes :

                                            • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court)

                                            • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                            Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                            Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

                                              L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                L’employeur peut reporter le départ en congé :

                                                • Soit, pendant 6 mois au maximum, à compter de la date de la demande du salarié, pour limiter le nombre de salariés absents pour cause de congé sabbatique

                                                • Soit pour limiter le nombre de salariés absents simultanément pour cause de congé sabbatique et congé pour création ou reprise d’entreprise

                                                L’employeur informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                  L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court).

                                                  Le refus de l’employeur d’accorder un congé sabbatique est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                  Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification auprès du conseil de prud’hommes.

                                                      La durée du congé varie de 6 mois minimum à 11 mois maximum.

                                                      Toutefois, une convention collective ou un accord collectif d’entreprise peut prévoir des durées différentes.

                                                      Conséquences sur le contrat de travail

                                                      Pendant la durée du congé sabbatique, le contrat de travail est suspendu.

                                                      Indemnisation

                                                      Le congé sabbatique n’est pas rémunéré.

                                                      Toutefois, il peut l’être en cas de dispositions conventionnelles ou usage.

                                                      Report des congés payés

                                                      Si son congé sabbatique n’est pas rémunéré, le salarié peut le financer par une partie de ses congés payés.

                                                      Les congés seront alors pris et payés lors du départ en congé sabbatique.

                                                      Les conditions de ce report sont fixées par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                      En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié peut reporter chaque année les congés acquis à partir de la 5e semaine de congés payés jusqu’au départ en congé sabbatique.

                                                      Ces congés payés peuvent être cumulés pendant 6 ans au maximum.

                                                      Exemple

                                                      Un salarié, ayant droit à 5 semaines de congés payés par an, décide de reporter pendant 6 ans sa 5e semaine de congés :

                                                      • Il cumule alors 36 jours ouvrables de congés à la fin de ces 6 ans d’activité professionnelle

                                                      • Son indemnité compensatrice de congés payés de 36 jours ouvrables non prise est alors versée lors de son départ en congé sabbatique

                                                      Activité professionnelle pendant le congé

                                                      Pendant le congé sabbatique, le salarié peut exercer une autre activité professionnelle, salariée ou non.

                                                      Cependant, il doit respecter les obligations de loyauté et de non-concurrence vis-à-vis de son employeur.

                                                      Reprise anticipée

                                                      L’employeur n’a pas l’obligation de réemployer le salarié avant la fin de son congé sabbatique.

                                                      Toutefois, un retour anticipé dans l’entreprise reste toutefois possible avec l’accord de l’employeur.

                                                      Après un congé sabbatique, le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

                                                      Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

                                                      Le salarié a le droit de bénéficier d’un entretien professionnel avec son employeur consacré à ses perspectives d’évolution professionnelle.

                                                    Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                                    Faire sa demande en ligne

                                                    Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                                    Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                                    La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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