Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Congé ou temps partiel pour création ou reprise d’entreprise

Congés dans le secteur privé

Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de prendre, sous conditions, un congé à temps plein ou à temps partiel pour réaliser son projet.

    Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise.

    Toutefois, l’ancienneté de 24 mois peut être différente si une convention collective ou un accord collectif d’entreprise le précise.

    Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite en respectant la durée maximale du congé fixée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

    En l’absence de convention collective ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire.

    Le salarié informe l’employeur de la date à laquelle il souhaite partir en congé pour création ou reprise d’entreprise et de la durée envisagée de ce congé.

    Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

    Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

    Le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

    Sa demande doit être adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date de départ en congé envisagée.

    L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

    L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie du congé pour création ou reprise d’entreprise par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

    En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord est considéré comme acquis.

      L’employeur peut reporter le départ en congé pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

      Le congé peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

      L’employeur peut reporter le départ en congé pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

      Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

        L’employeur peut refuser d’accorder le congé dans l’un des cas suivants :

        • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

        • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

        • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise

        Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié.

        Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

          L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

          Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié

          Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus auprès du conseil de prud’hommes.

              Le congé pour création ou reprise d’entreprise n’est pas rémunéré.

              Toutefois, des dispositions conventionnelles contractuelles ou un usage peuvent prévoir des conditions plus favorables.

              Le salarié qui prend un congé pour création ou reprise d’entreprise peut demander un report des jours de congés payés annuels qui lui sont dus.

              Les modalités de ce report sont fixées par convention ou accord collectif d’entreprise.

              En l’absence de convention ou d’accord applicable, les congés payés annuels du salarié peuvent être reportés, sur sa demande, sur 6 ans au maximum. Une indemnité compensatrice correspondant au total des jours de congés cumulés sera versée au salarié lors du départ en congé pour création ou reprise d’entreprise.

              Le salarié doit informer l’employeur de sa décision d’être réemployé, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

              Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

              Le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

              Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

              Le salarié a le droit de bénéficier, si besoin, d’une réadaptation professionnelle, notamment en cas de changement de techniques ou de méthodes de travail.

              Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé avant la fin du congé.

                Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                  Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son congé pour création ou reprise d’entreprise.

                  Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                  En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                  Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du congé en cours.

                Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de travailler à temps partiel, sous conditions, pour réaliser son projet. Si le salarié continue de travailler à temps partiel, il est rémunéré en proportion du temps de travail effectué dans l’entreprise.

                  Le salarié peut bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                  Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise ou dans les autres entreprises du groupe.

                  Toutefois, l’ancienneté requise peut être différente si elle est déterminée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                  Le salarié qui exerce des responsabilités de direction au sein de l’entreprise peut également bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                  L’ancienneté est prise en compte à partir de la date de début du temps partiel.

                  Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite :

                  • Soit la durée maximale du congé est fixée par convention ou accord collectif d’entreprise

                  • Soit, en l’absence convention ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire

                  Le salarié fournit les informations suivantes à l’employeur :

                  • Date de début de la période de travail à temps partiel

                  • Amplitude de la réduction souhaitée de son temps de travail

                  • Durée envisagée du temps partiel

                  Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention ou accord collectif d’entreprise.

                  Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                  En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                  Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date envisagée du début du temps partiel.

                  L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                  L’employeur informe le salarié de son accord sur la date du passage à temps partiel, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                  En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord de l’employeur est considéré comme acquis.

                    L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                    Le passage à temps partiel peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                    L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                    Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                      L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel dans l’un des cas suivants :

                      • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au temps partiel (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…)

                      • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le passage à temps partiel aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                      • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise ou après le début de l’exercice de précédentes responsabilités de direction au sein d’une entreprise répondant aux critères de jeune entreprise innovante (JEI)

                      Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                      Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception de la notification du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                        L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…).

                        Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                        Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification, auprès du conseil de prud’hommes.

                            Lors du passage à temps partiel, un avenant au contrat de travail fixe la durée de cette période.

                            Toute prolongation de la période de travail à temps partiel, à la demande du salarié, donne lieu à la signature d’un nouvel avenant.

                            Le salarié est rémunéré en proportion de son temps de travail (sauf dispositions conventionnelles, contractuelles ou usage contraire).

                            Le salarié doit informer l’employeur de sa décision par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                            Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                            Le salarié retrouve son emploi à temps plein, assorti d’une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait avant le passage à temps partiel.

                            Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé à temps plein avant le terme du temps partiel.

                              Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                              Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                              Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                En l’absence de convention collective ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du temps partiel en cours.

                                Congé ou temps partiel pour création ou reprise d’entreprise

                                Congés dans le secteur privé

                                Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de prendre, sous conditions, un congé à temps plein ou à temps partiel pour réaliser son projet.

                                  Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise.

                                  Toutefois, l’ancienneté de 24 mois peut être différente si une convention collective ou un accord collectif d’entreprise le précise.

                                  Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite en respectant la durée maximale du congé fixée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                  En l’absence de convention collective ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire.

                                  Le salarié informe l’employeur de la date à laquelle il souhaite partir en congé pour création ou reprise d’entreprise et de la durée envisagée de ce congé.

                                  Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                  Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                                  Le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                  Sa demande doit être adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date de départ en congé envisagée.

                                  L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                                  L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie du congé pour création ou reprise d’entreprise par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                  En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord est considéré comme acquis.

                                    L’employeur peut reporter le départ en congé pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                                    Le congé peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                                    L’employeur peut reporter le départ en congé pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                                    Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                      L’employeur peut refuser d’accorder le congé dans l’un des cas suivants :

                                      • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

                                      • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                      • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise

                                      Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié.

                                      Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                                        L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

                                        Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié

                                        Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus auprès du conseil de prud’hommes.

                                            Le congé pour création ou reprise d’entreprise n’est pas rémunéré.

                                            Toutefois, des dispositions conventionnelles contractuelles ou un usage peuvent prévoir des conditions plus favorables.

                                            Le salarié qui prend un congé pour création ou reprise d’entreprise peut demander un report des jours de congés payés annuels qui lui sont dus.

                                            Les modalités de ce report sont fixées par convention ou accord collectif d’entreprise.

                                            En l’absence de convention ou d’accord applicable, les congés payés annuels du salarié peuvent être reportés, sur sa demande, sur 6 ans au maximum. Une indemnité compensatrice correspondant au total des jours de congés cumulés sera versée au salarié lors du départ en congé pour création ou reprise d’entreprise.

                                            Le salarié doit informer l’employeur de sa décision d’être réemployé, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                                            Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                                            Le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

                                            Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

                                            Le salarié a le droit de bénéficier, si besoin, d’une réadaptation professionnelle, notamment en cas de changement de techniques ou de méthodes de travail.

                                            Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé avant la fin du congé.

                                              Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                              Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                                              Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                                Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son congé pour création ou reprise d’entreprise.

                                                Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du congé en cours.

                                              Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de travailler à temps partiel, sous conditions, pour réaliser son projet. Si le salarié continue de travailler à temps partiel, il est rémunéré en proportion du temps de travail effectué dans l’entreprise.

                                                Le salarié peut bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise ou dans les autres entreprises du groupe.

                                                Toutefois, l’ancienneté requise peut être différente si elle est déterminée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                Le salarié qui exerce des responsabilités de direction au sein de l’entreprise peut également bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                L’ancienneté est prise en compte à partir de la date de début du temps partiel.

                                                Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite :

                                                • Soit la durée maximale du congé est fixée par convention ou accord collectif d’entreprise

                                                • Soit, en l’absence convention ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire

                                                Le salarié fournit les informations suivantes à l’employeur :

                                                • Date de début de la période de travail à temps partiel

                                                • Amplitude de la réduction souhaitée de son temps de travail

                                                • Durée envisagée du temps partiel

                                                Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention ou accord collectif d’entreprise.

                                                Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                                                En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date envisagée du début du temps partiel.

                                                L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                                                L’employeur informe le salarié de son accord sur la date du passage à temps partiel, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord de l’employeur est considéré comme acquis.

                                                  L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                                                  Le passage à temps partiel peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                                                  L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                                                  Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                    L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel dans l’un des cas suivants :

                                                    • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au temps partiel (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…)

                                                    • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le passage à temps partiel aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                                    • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise ou après le début de l’exercice de précédentes responsabilités de direction au sein d’une entreprise répondant aux critères de jeune entreprise innovante (JEI)

                                                    Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                    Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception de la notification du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                      L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…).

                                                      Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                      Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                          Lors du passage à temps partiel, un avenant au contrat de travail fixe la durée de cette période.

                                                          Toute prolongation de la période de travail à temps partiel, à la demande du salarié, donne lieu à la signature d’un nouvel avenant.

                                                          Le salarié est rémunéré en proportion de son temps de travail (sauf dispositions conventionnelles, contractuelles ou usage contraire).

                                                          Le salarié doit informer l’employeur de sa décision par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                                                          Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                                                          Le salarié retrouve son emploi à temps plein, assorti d’une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait avant le passage à temps partiel.

                                                          Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé à temps plein avant le terme du temps partiel.

                                                            Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                            Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                                                            Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                                              Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                              Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                              En l’absence de convention collective ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                              Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du temps partiel en cours.

                                                              Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                                                              Congé ou temps partiel pour création ou reprise d’entreprise

                                                              Congés dans le secteur privé

                                                              Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de prendre, sous conditions, un congé à temps plein ou à temps partiel pour réaliser son projet.

                                                                Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise.

                                                                Toutefois, l’ancienneté de 24 mois peut être différente si une convention collective ou un accord collectif d’entreprise le précise.

                                                                Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite en respectant la durée maximale du congé fixée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                En l’absence de convention collective ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire.

                                                                Le salarié informe l’employeur de la date à laquelle il souhaite partir en congé pour création ou reprise d’entreprise et de la durée envisagée de ce congé.

                                                                Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                                                                Le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                Sa demande doit être adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date de départ en congé envisagée.

                                                                L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                                                                L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie du congé pour création ou reprise d’entreprise par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord est considéré comme acquis.

                                                                  L’employeur peut reporter le départ en congé pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                                                                  Le congé peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                                                                  L’employeur peut reporter le départ en congé pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                                                                  Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                    L’employeur peut refuser d’accorder le congé dans l’un des cas suivants :

                                                                    • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

                                                                    • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                                                    • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise

                                                                    Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié.

                                                                    Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                      L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

                                                                      Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié

                                                                      Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                          Le congé pour création ou reprise d’entreprise n’est pas rémunéré.

                                                                          Toutefois, des dispositions conventionnelles contractuelles ou un usage peuvent prévoir des conditions plus favorables.

                                                                          Le salarié qui prend un congé pour création ou reprise d’entreprise peut demander un report des jours de congés payés annuels qui lui sont dus.

                                                                          Les modalités de ce report sont fixées par convention ou accord collectif d’entreprise.

                                                                          En l’absence de convention ou d’accord applicable, les congés payés annuels du salarié peuvent être reportés, sur sa demande, sur 6 ans au maximum. Une indemnité compensatrice correspondant au total des jours de congés cumulés sera versée au salarié lors du départ en congé pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                          Le salarié doit informer l’employeur de sa décision d’être réemployé, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                                                                          Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                                                                          Le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

                                                                          Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

                                                                          Le salarié a le droit de bénéficier, si besoin, d’une réadaptation professionnelle, notamment en cas de changement de techniques ou de méthodes de travail.

                                                                          Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé avant la fin du congé.

                                                                            Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                            Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                                                                            Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                                                              Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son congé pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                              Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                              En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                              Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du congé en cours.

                                                                            Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de travailler à temps partiel, sous conditions, pour réaliser son projet. Si le salarié continue de travailler à temps partiel, il est rémunéré en proportion du temps de travail effectué dans l’entreprise.

                                                                              Le salarié peut bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                              Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise ou dans les autres entreprises du groupe.

                                                                              Toutefois, l’ancienneté requise peut être différente si elle est déterminée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                              Le salarié qui exerce des responsabilités de direction au sein de l’entreprise peut également bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                              L’ancienneté est prise en compte à partir de la date de début du temps partiel.

                                                                              Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite :

                                                                              • Soit la durée maximale du congé est fixée par convention ou accord collectif d’entreprise

                                                                              • Soit, en l’absence convention ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire

                                                                              Le salarié fournit les informations suivantes à l’employeur :

                                                                              • Date de début de la période de travail à temps partiel

                                                                              • Amplitude de la réduction souhaitée de son temps de travail

                                                                              • Durée envisagée du temps partiel

                                                                              Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention ou accord collectif d’entreprise.

                                                                              Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                                                                              En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                              Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date envisagée du début du temps partiel.

                                                                              L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                                                                              L’employeur informe le salarié de son accord sur la date du passage à temps partiel, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                              En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord de l’employeur est considéré comme acquis.

                                                                                L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                                                                                Le passage à temps partiel peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                                                                                L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                                                                                Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                  L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel dans l’un des cas suivants :

                                                                                  • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au temps partiel (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…)

                                                                                  • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le passage à temps partiel aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                                                                  • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise ou après le début de l’exercice de précédentes responsabilités de direction au sein d’une entreprise répondant aux critères de jeune entreprise innovante (JEI)

                                                                                  Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                  Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception de la notification du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                    L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…).

                                                                                    Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                    Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                        Lors du passage à temps partiel, un avenant au contrat de travail fixe la durée de cette période.

                                                                                        Toute prolongation de la période de travail à temps partiel, à la demande du salarié, donne lieu à la signature d’un nouvel avenant.

                                                                                        Le salarié est rémunéré en proportion de son temps de travail (sauf dispositions conventionnelles, contractuelles ou usage contraire).

                                                                                        Le salarié doit informer l’employeur de sa décision par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                                                                                        Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                                                                                        Le salarié retrouve son emploi à temps plein, assorti d’une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait avant le passage à temps partiel.

                                                                                        Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé à temps plein avant le terme du temps partiel.

                                                                                          Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                          Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                                                                                          Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                                                                            Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                            Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                            En l’absence de convention collective ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                            Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du temps partiel en cours.

                                                                                            Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                                                                            Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                                                                            Congé ou temps partiel pour création ou reprise d’entreprise

                                                                                            Congés dans le secteur privé

                                                                                            Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de prendre, sous conditions, un congé à temps plein ou à temps partiel pour réaliser son projet.

                                                                                              Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise.

                                                                                              Toutefois, l’ancienneté de 24 mois peut être différente si une convention collective ou un accord collectif d’entreprise le précise.

                                                                                              Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite en respectant la durée maximale du congé fixée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                              En l’absence de convention collective ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire.

                                                                                              Le salarié informe l’employeur de la date à laquelle il souhaite partir en congé pour création ou reprise d’entreprise et de la durée envisagée de ce congé.

                                                                                              Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                              Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                                                                                              Le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                              Sa demande doit être adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date de départ en congé envisagée.

                                                                                              L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                                                                                              L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie du congé pour création ou reprise d’entreprise par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                              En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord est considéré comme acquis.

                                                                                                L’employeur peut reporter le départ en congé pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                                                                                                Le congé peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                                                                                                L’employeur peut reporter le départ en congé pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                                                                                                Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                  L’employeur peut refuser d’accorder le congé dans l’un des cas suivants :

                                                                                                  • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

                                                                                                  • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                                                                                  • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise

                                                                                                  Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié.

                                                                                                  Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                                    L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

                                                                                                    Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié

                                                                                                    Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                                        Le congé pour création ou reprise d’entreprise n’est pas rémunéré.

                                                                                                        Toutefois, des dispositions conventionnelles contractuelles ou un usage peuvent prévoir des conditions plus favorables.

                                                                                                        Le salarié qui prend un congé pour création ou reprise d’entreprise peut demander un report des jours de congés payés annuels qui lui sont dus.

                                                                                                        Les modalités de ce report sont fixées par convention ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                        En l’absence de convention ou d’accord applicable, les congés payés annuels du salarié peuvent être reportés, sur sa demande, sur 6 ans au maximum. Une indemnité compensatrice correspondant au total des jours de congés cumulés sera versée au salarié lors du départ en congé pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                        Le salarié doit informer l’employeur de sa décision d’être réemployé, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                                                                                                        Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                                                                                                        Le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

                                                                                                        Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

                                                                                                        Le salarié a le droit de bénéficier, si besoin, d’une réadaptation professionnelle, notamment en cas de changement de techniques ou de méthodes de travail.

                                                                                                        Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé avant la fin du congé.

                                                                                                          Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                          Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                                                                                                          Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                                                                                            Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son congé pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                            Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                            En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                            Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du congé en cours.

                                                                                                          Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de travailler à temps partiel, sous conditions, pour réaliser son projet. Si le salarié continue de travailler à temps partiel, il est rémunéré en proportion du temps de travail effectué dans l’entreprise.

                                                                                                            Le salarié peut bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                            Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise ou dans les autres entreprises du groupe.

                                                                                                            Toutefois, l’ancienneté requise peut être différente si elle est déterminée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                            Le salarié qui exerce des responsabilités de direction au sein de l’entreprise peut également bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                            L’ancienneté est prise en compte à partir de la date de début du temps partiel.

                                                                                                            Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite :

                                                                                                            • Soit la durée maximale du congé est fixée par convention ou accord collectif d’entreprise

                                                                                                            • Soit, en l’absence convention ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire

                                                                                                            Le salarié fournit les informations suivantes à l’employeur :

                                                                                                            • Date de début de la période de travail à temps partiel

                                                                                                            • Amplitude de la réduction souhaitée de son temps de travail

                                                                                                            • Durée envisagée du temps partiel

                                                                                                            Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                            Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                                                                                                            En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                            Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date envisagée du début du temps partiel.

                                                                                                            L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                                                                                                            L’employeur informe le salarié de son accord sur la date du passage à temps partiel, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                            En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord de l’employeur est considéré comme acquis.

                                                                                                              L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                                                                                                              Le passage à temps partiel peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                                                                                                              L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                                                                                                              Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel dans l’un des cas suivants :

                                                                                                                • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au temps partiel (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…)

                                                                                                                • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le passage à temps partiel aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                                                                                                • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise ou après le début de l’exercice de précédentes responsabilités de direction au sein d’une entreprise répondant aux critères de jeune entreprise innovante (JEI)

                                                                                                                Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception de la notification du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                                                  L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…).

                                                                                                                  Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                  Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                                                      Lors du passage à temps partiel, un avenant au contrat de travail fixe la durée de cette période.

                                                                                                                      Toute prolongation de la période de travail à temps partiel, à la demande du salarié, donne lieu à la signature d’un nouvel avenant.

                                                                                                                      Le salarié est rémunéré en proportion de son temps de travail (sauf dispositions conventionnelles, contractuelles ou usage contraire).

                                                                                                                      Le salarié doit informer l’employeur de sa décision par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                                                                                                                      Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                                                                                                                      Le salarié retrouve son emploi à temps plein, assorti d’une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait avant le passage à temps partiel.

                                                                                                                      Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé à temps plein avant le terme du temps partiel.

                                                                                                                        Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                                        Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                                                                                                                        Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                                                                                                          Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                                          Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                                          En l’absence de convention collective ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                                          Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du temps partiel en cours.

                                                                                                                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                                                                                                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                                                                                                          Congé ou temps partiel pour création ou reprise d’entreprise

                                                                                                                          Congés dans le secteur privé

                                                                                                                          Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de prendre, sous conditions, un congé à temps plein ou à temps partiel pour réaliser son projet.

                                                                                                                            Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise.

                                                                                                                            Toutefois, l’ancienneté de 24 mois peut être différente si une convention collective ou un accord collectif d’entreprise le précise.

                                                                                                                            Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite en respectant la durée maximale du congé fixée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                                            En l’absence de convention collective ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire.

                                                                                                                            Le salarié informe l’employeur de la date à laquelle il souhaite partir en congé pour création ou reprise d’entreprise et de la durée envisagée de ce congé.

                                                                                                                            Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                                            Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                                                                                                                            Le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                                            Sa demande doit être adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date de départ en congé envisagée.

                                                                                                                            L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                                                                                                                            L’employeur informe le salarié de son accord sur la date de départ choisie du congé pour création ou reprise d’entreprise par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                            En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord est considéré comme acquis.

                                                                                                                              L’employeur peut reporter le départ en congé pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                                                                                                                              Le congé peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                                                                                                                              L’employeur peut reporter le départ en congé pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                                                                                                                              Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                                L’employeur peut refuser d’accorder le congé dans l’un des cas suivants :

                                                                                                                                • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au congé (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

                                                                                                                                • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le départ en congé aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                                                                                                                • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise

                                                                                                                                Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié.

                                                                                                                                Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                                                                  L’employeur peut refuser d’accorder le congé si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande de départ en congé dans un délai trop court…)

                                                                                                                                  Le refus de l’employeur d’accorder le congé pour création ou reprise d’entreprise est signalé au salarié

                                                                                                                                  Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception du refus auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                                                                      Le congé pour création ou reprise d’entreprise n’est pas rémunéré.

                                                                                                                                      Toutefois, des dispositions conventionnelles contractuelles ou un usage peuvent prévoir des conditions plus favorables.

                                                                                                                                      Le salarié qui prend un congé pour création ou reprise d’entreprise peut demander un report des jours de congés payés annuels qui lui sont dus.

                                                                                                                                      Les modalités de ce report sont fixées par convention ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                                                      En l’absence de convention ou d’accord applicable, les congés payés annuels du salarié peuvent être reportés, sur sa demande, sur 6 ans au maximum. Une indemnité compensatrice correspondant au total des jours de congés cumulés sera versée au salarié lors du départ en congé pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                                                      Le salarié doit informer l’employeur de sa décision d’être réemployé, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                                                                                                                                      Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                                                                                                                                      Le salarié retrouve son emploi précédent ou un emploi similaire dans l’entreprise.

                                                                                                                                      Il perçoit une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait au moment du départ en congé.

                                                                                                                                      Le salarié a le droit de bénéficier, si besoin, d’une réadaptation professionnelle, notamment en cas de changement de techniques ou de méthodes de travail.

                                                                                                                                      Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé avant la fin du congé.

                                                                                                                                        Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                                                        Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin de son congé pour création ou reprise d’entreprise (sauf date différente prévue par accord collectif d’entreprise ou convention collective ou accord de branche).

                                                                                                                                        Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                                                                                                                          Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son congé pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                                                          Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                                                          En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de la demande (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                                                          Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du congé en cours.

                                                                                                                                        Le salarié qui envisage de créer ou reprendre une entreprise a la possibilité de travailler à temps partiel, sous conditions, pour réaliser son projet. Si le salarié continue de travailler à temps partiel, il est rémunéré en proportion du temps de travail effectué dans l’entreprise.

                                                                                                                                          Le salarié peut bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                                                          Le salarié doit avoir 24 mois d’ancienneté, consécutifs ou non, dans l’entreprise ou dans les autres entreprises du groupe.

                                                                                                                                          Toutefois, l’ancienneté requise peut être différente si elle est déterminée par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                                                          Le salarié qui exerce des responsabilités de direction au sein de l’entreprise peut également bénéficier d’une période de travail à temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                                                          L’ancienneté est prise en compte à partir de la date de début du temps partiel.

                                                                                                                                          Le salarié choisit la durée du congé qu’il souhaite :

                                                                                                                                          • Soit la durée maximale du congé est fixée par convention ou accord collectif d’entreprise

                                                                                                                                          • Soit, en l’absence convention ou accord, la durée maximale ne peut pas dépasser 1 an et est renouvelable 1 année supplémentaire

                                                                                                                                          Le salarié fournit les informations suivantes à l’employeur :

                                                                                                                                          • Date de début de la période de travail à temps partiel

                                                                                                                                          • Amplitude de la réduction souhaitée de son temps de travail

                                                                                                                                          • Durée envisagée du temps partiel

                                                                                                                                          Les conditions et délais d’information sont déterminés par convention ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                                                          Le salarié précise l’activité de l’entreprise qu’il prévoit de créer ou de reprendre.

                                                                                                                                          En l’absence de convention ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande à son employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                                                          Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date envisagée du début du temps partiel.

                                                                                                                                          L’employeur informe le salarié soit de son accord sur la date de départ choisie par le salarié, soit du report de cette date, soit du refus de lui accorder le congé.

                                                                                                                                          L’employeur informe le salarié de son accord sur la date du passage à temps partiel, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                                          En l’absence de réponse de l’employeur, dans un délai de 30 jours à compter de la réception de la demande, l’accord de l’employeur est considéré comme acquis.

                                                                                                                                            L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pour limiter le nombre d’absences simultanées dans l’entreprise.

                                                                                                                                            Le passage à temps partiel peut également être reporté par l’employeur s’il estime qu’il aura des conséquences préjudiciables sur la bonne marche de l’entreprise.

                                                                                                                                            L’employeur peut reporter le passage à temps partiel pendant 6 mois au maximum à compter de la date de la demande du salarié.

                                                                                                                                            Il informe le salarié du report de la date de départ choisie, par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                                              L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel dans l’un des cas suivants :

                                                                                                                                              • Le salarié ne remplit pas les conditions ouvrant droit au temps partiel (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…)

                                                                                                                                              • L’employeur estime, après avis du comité social et économique (CSE), que le passage à temps partiel aura des conséquences préjudiciables à la bonne marche de l’entreprise

                                                                                                                                              • Le salarié demande ce congé moins de 3 ans après une précédente création ou reprise d’entreprise ou après le début de l’exercice de précédentes responsabilités de direction au sein d’une entreprise répondant aux critères de jeune entreprise innovante (JEI)

                                                                                                                                              Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                                              Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la réception de la notification du refus, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                                                                                L’employeur peut refuser d’accorder le passage à temps partiel si le salarié ne remplit pas les conditions y ouvrant droit (ancienneté insuffisante, demande dans un délai trop court…).

                                                                                                                                                Le refus de l’employeur d’accorder le temps partiel pour création ou reprise d’entreprise est notifié au salarié par tout moyen permettant de justifier de la date de sa réponse.

                                                                                                                                                Le salarié peut contester le refus de l’employeur dans les 15 jours à compter de la notification, auprès du conseil de prud’hommes.

                                                                                                                                                    Lors du passage à temps partiel, un avenant au contrat de travail fixe la durée de cette période.

                                                                                                                                                    Toute prolongation de la période de travail à temps partiel, à la demande du salarié, donne lieu à la signature d’un nouvel avenant.

                                                                                                                                                    Le salarié est rémunéré en proportion de son temps de travail (sauf dispositions conventionnelles, contractuelles ou usage contraire).

                                                                                                                                                    Le salarié doit informer l’employeur de sa décision par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception, lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple.

                                                                                                                                                    Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                                                                                                                                                    Le salarié retrouve son emploi à temps plein, assorti d’une rémunération au moins équivalente à celle qu’il percevait avant le passage à temps partiel.

                                                                                                                                                    Le salarié ne peut invoquer aucun droit à être réemployé à temps plein avant le terme du temps partiel.

                                                                                                                                                      Le salarié doit informer l’employeur de sa décision de rompre le contrat de travail, par tout moyen permettant de justifier de la date de la réception (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                                                                      Il l’informe au moins 3 mois avant la date de fin du temps partiel.

                                                                                                                                                      Le contrat de travail est rompu dans le respect des conditions prévues par le contrat de travail.

                                                                                                                                                        Le salarié peut demander à bénéficier d’une prolongation de son temps partiel pour création ou reprise d’entreprise.

                                                                                                                                                        Les conditions et délais de la demande de prolongation sont déterminés par convention collective ou accord collectif d’entreprise.

                                                                                                                                                        En l’absence de convention collective ou d’accord applicable, le salarié adresse sa demande de prolongation à l’employeur par tout moyen permettant de justifier de la date de demande de temps partiel (lettre ou courrier électronique recommandé, par exemple).

                                                                                                                                                        Sa demande est adressée à l’employeur au moins 2 mois avant la date du terme du temps partiel en cours.

                                                                                                                                                        Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                                                                                                                                        Faire sa demande en ligne

                                                                                                                                                        Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                                                                                                                                        Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                                                                                                                                        La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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