Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Peut-on revenir sur le partage des biens après un divorce ?

Si, après votre divorce, vous vous rendez compte qu’un bien a été oublié ou sous-évalué lors du partage, vous pouvez demander un partage complémentaire ou un complément de part. Si votre ex-époux a obtenu votre consentement par des manœuvres ou des mensonges, vous pouvez demander la nullité du partage. Nous vous présentons les informations à connaître.

    Plusieurs situations peuvent se présenter :

    • Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

    • Oubli d’un bien dans le partage

    • Dissimulation d’un bien par un époux

    • Partage affecté par un vice du consentement.

    Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

    Vous avez le droit de partager vos biens de manière inégale. Par exemple, vous avez pu recevoir 1/3 des biens et votre ex-époux 2/3.

    Cependant, si vous avez été lésé de plus d’1/4, vous pouvez demander un complément de part. Par exemple, si un des biens partagés a été sous-évalué. La valeur dont vous avez été lésée peut vous être accordée en numéraire ou en nature (par exemple appartement, terrain).

    Pour déterminer si vous avez été lésé, il faut examiner la valeur des biens au moment du partage, et non pas leur valeur actuelle.

    Attention

    Vous devez agir pour un complément de part dans un délai de 2 ans à compter du partage.

    L’action en complément de part n’est pas possible si le partage a été homologué ou prononcé en justice par un  Jaf  (par exemple en cas de divorce par consentement mutuel judiciaire).

    Oubli d’un bien dans le partage

    Vous ou votre ex-époux avez pu oublier de faire figurer un bien dans l’acte de partage.

    Dans ce cas, vous pouvez faire une demande de partage complémentaire portant seulement sur ce bien, même si ce bien est de faible valeur.

    Votre demande n’est soumise à aucun délai de prescription. Elle peut être faite à tout moment.

    Dissimulation d’un bien par un époux

    Si votre ex-époux a détourné ou dissimulé intentionnellement un bien afin de rompre l’égalité du partage, on parle de recel de communauté.

    Par exemple, votre ex-époux ne déclare pas des actions, vend un bien commun à un prix inférieur à sa valeur réelle et conserve la différence pour lui.

    Il y a recel de communauté si le bien détourné est un bien commun. Tel est le cas pour un bien acquis pendant votre mariage si votre régime matrimonial est celui de la communauté réduite aux acquêts.

    Il n’y a pas de recel de communauté sur des biens indivis. Tel est par exemple le cas si vous êtes mariés sous le régime de la séparation de biens dans lequel il n’y a pas de biens communs.

    Si vous estimez être victime d’un recel, c’est à vous d’apporter la preuve de ce recel.

    Le bien recélé par votre ex-époux auteur du fait lui est retiré et vous est attribué intégralement. Si le bien n’appartient plus à l’ex-époux auteur du recel, la restitution peut se faire en valeur.

    Vous pouvez également demander des dommages et intérêts à votre ex-époux pour la réparation des préjudices supplémentaires causés par le recel.

    Partage affecté par un vice du consentement

    Un ex-époux peut invoquer la nullité du partage pour cause de vice du consentement , c’est-à-dire en cas de dol, de violence ou d’erreur.

    Attention

    Vous ne pouvez pas demander la nullité du partage pour vice du consentement si le partage a été prononcé par un juge.

    Il y a dol lorsqu’un ex-époux a obtenu le consentement de l’autre par des manœuvres ou des mensonges.

    Il y a également dol lorsqu’un ex-époux a dissimulé intentionnellement une information importante pour l’autre ex-époux.

    L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

    La prescription court à compter du jour où l’ex-époux découvre le dol.

      La violence d’un ex-époux est un vice du consentement si l’acte a entraîné chez l’autre ex-époux un préjudice dans le partage des biens.

      C’est le cas par exemple si un ex-époux a été amené à s’engager ou à renoncer à un droit en raison du comportement menaçant de l’autre ex-époux.

      L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

      La prescription court à compter du jour où la violence a cessé.

        Un ex-époux peut demander la nullité du partage en cas d’erreur portant sur l’existence ou la quote-part des droits des époux.

        La nullité peut aussi être invoquée par un ex-époux en cas d’erreur sur la propriété des biens à partager (par exemple, un bien d’abord considéré comme propre s’avère être un bien commun).

        L’ex-époux qui souhaite faire valoir l’erreur doit agir dans un délai de 5 ans.

        La prescription court à compter du jour où l’époux découvre l’erreur.

          Vous pouvez tenter une résolution amiable auprès d’un notaire, en particulier si vous souhaitez demander un complément de part ou si un bien a été oublié lors du partage,

          En cas de désaccord, en particulier lorsque le partage est affecté par un vice du consentement ou qu’il y a un recel de communauté, vous devez saisir le juge judiciaire.

          À savoir

          S’il apparaît que les conséquences de la violence, du dol ou de l’erreur peuvent être réparées autrement que par l’annulation du partage, le tribunal peut, à la demande de l’un des époux, ordonner un partage complémentaire ou rectificatif.

          Le tribunal judiciaire à saisir est celui du domicile du défendeur.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          Vous devez obligatoirement prendre un avocat pour faire cette procédure.

          Où s’adresser ?

           Avocat 

          Le tribunal doit être saisi par une assignation rédigée par votre avocat.

          Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de vos frais d’avocat.

        Peut-on revenir sur le partage des biens après un divorce ?

        Si, après votre divorce, vous vous rendez compte qu’un bien a été oublié ou sous-évalué lors du partage, vous pouvez demander un partage complémentaire ou un complément de part. Si votre ex-époux a obtenu votre consentement par des manœuvres ou des mensonges, vous pouvez demander la nullité du partage. Nous vous présentons les informations à connaître.

          Plusieurs situations peuvent se présenter :

          • Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

          • Oubli d’un bien dans le partage

          • Dissimulation d’un bien par un époux

          • Partage affecté par un vice du consentement.

          Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

          Vous avez le droit de partager vos biens de manière inégale. Par exemple, vous avez pu recevoir 1/3 des biens et votre ex-époux 2/3.

          Cependant, si vous avez été lésé de plus d’1/4, vous pouvez demander un complément de part. Par exemple, si un des biens partagés a été sous-évalué. La valeur dont vous avez été lésée peut vous être accordée en numéraire ou en nature (par exemple appartement, terrain).

          Pour déterminer si vous avez été lésé, il faut examiner la valeur des biens au moment du partage, et non pas leur valeur actuelle.

          Attention

          Vous devez agir pour un complément de part dans un délai de 2 ans à compter du partage.

          L’action en complément de part n’est pas possible si le partage a été homologué ou prononcé en justice par un  Jaf  (par exemple en cas de divorce par consentement mutuel judiciaire).

          Oubli d’un bien dans le partage

          Vous ou votre ex-époux avez pu oublier de faire figurer un bien dans l’acte de partage.

          Dans ce cas, vous pouvez faire une demande de partage complémentaire portant seulement sur ce bien, même si ce bien est de faible valeur.

          Votre demande n’est soumise à aucun délai de prescription. Elle peut être faite à tout moment.

          Dissimulation d’un bien par un époux

          Si votre ex-époux a détourné ou dissimulé intentionnellement un bien afin de rompre l’égalité du partage, on parle de recel de communauté.

          Par exemple, votre ex-époux ne déclare pas des actions, vend un bien commun à un prix inférieur à sa valeur réelle et conserve la différence pour lui.

          Il y a recel de communauté si le bien détourné est un bien commun. Tel est le cas pour un bien acquis pendant votre mariage si votre régime matrimonial est celui de la communauté réduite aux acquêts.

          Il n’y a pas de recel de communauté sur des biens indivis. Tel est par exemple le cas si vous êtes mariés sous le régime de la séparation de biens dans lequel il n’y a pas de biens communs.

          Si vous estimez être victime d’un recel, c’est à vous d’apporter la preuve de ce recel.

          Le bien recélé par votre ex-époux auteur du fait lui est retiré et vous est attribué intégralement. Si le bien n’appartient plus à l’ex-époux auteur du recel, la restitution peut se faire en valeur.

          Vous pouvez également demander des dommages et intérêts à votre ex-époux pour la réparation des préjudices supplémentaires causés par le recel.

          Partage affecté par un vice du consentement

          Un ex-époux peut invoquer la nullité du partage pour cause de vice du consentement , c’est-à-dire en cas de dol, de violence ou d’erreur.

          Attention

          Vous ne pouvez pas demander la nullité du partage pour vice du consentement si le partage a été prononcé par un juge.

          Il y a dol lorsqu’un ex-époux a obtenu le consentement de l’autre par des manœuvres ou des mensonges.

          Il y a également dol lorsqu’un ex-époux a dissimulé intentionnellement une information importante pour l’autre ex-époux.

          L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

          La prescription court à compter du jour où l’ex-époux découvre le dol.

            La violence d’un ex-époux est un vice du consentement si l’acte a entraîné chez l’autre ex-époux un préjudice dans le partage des biens.

            C’est le cas par exemple si un ex-époux a été amené à s’engager ou à renoncer à un droit en raison du comportement menaçant de l’autre ex-époux.

            L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

            La prescription court à compter du jour où la violence a cessé.

              Un ex-époux peut demander la nullité du partage en cas d’erreur portant sur l’existence ou la quote-part des droits des époux.

              La nullité peut aussi être invoquée par un ex-époux en cas d’erreur sur la propriété des biens à partager (par exemple, un bien d’abord considéré comme propre s’avère être un bien commun).

              L’ex-époux qui souhaite faire valoir l’erreur doit agir dans un délai de 5 ans.

              La prescription court à compter du jour où l’époux découvre l’erreur.

                Vous pouvez tenter une résolution amiable auprès d’un notaire, en particulier si vous souhaitez demander un complément de part ou si un bien a été oublié lors du partage,

                En cas de désaccord, en particulier lorsque le partage est affecté par un vice du consentement ou qu’il y a un recel de communauté, vous devez saisir le juge judiciaire.

                À savoir

                S’il apparaît que les conséquences de la violence, du dol ou de l’erreur peuvent être réparées autrement que par l’annulation du partage, le tribunal peut, à la demande de l’un des époux, ordonner un partage complémentaire ou rectificatif.

                Le tribunal judiciaire à saisir est celui du domicile du défendeur.

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                Vous devez obligatoirement prendre un avocat pour faire cette procédure.

                Où s’adresser ?

                 Avocat 

                Le tribunal doit être saisi par une assignation rédigée par votre avocat.

                Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de vos frais d’avocat.

              Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

              Peut-on revenir sur le partage des biens après un divorce ?

              Si, après votre divorce, vous vous rendez compte qu’un bien a été oublié ou sous-évalué lors du partage, vous pouvez demander un partage complémentaire ou un complément de part. Si votre ex-époux a obtenu votre consentement par des manœuvres ou des mensonges, vous pouvez demander la nullité du partage. Nous vous présentons les informations à connaître.

                Plusieurs situations peuvent se présenter :

                • Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

                • Oubli d’un bien dans le partage

                • Dissimulation d’un bien par un époux

                • Partage affecté par un vice du consentement.

                Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

                Vous avez le droit de partager vos biens de manière inégale. Par exemple, vous avez pu recevoir 1/3 des biens et votre ex-époux 2/3.

                Cependant, si vous avez été lésé de plus d’1/4, vous pouvez demander un complément de part. Par exemple, si un des biens partagés a été sous-évalué. La valeur dont vous avez été lésée peut vous être accordée en numéraire ou en nature (par exemple appartement, terrain).

                Pour déterminer si vous avez été lésé, il faut examiner la valeur des biens au moment du partage, et non pas leur valeur actuelle.

                Attention

                Vous devez agir pour un complément de part dans un délai de 2 ans à compter du partage.

                L’action en complément de part n’est pas possible si le partage a été homologué ou prononcé en justice par un  Jaf  (par exemple en cas de divorce par consentement mutuel judiciaire).

                Oubli d’un bien dans le partage

                Vous ou votre ex-époux avez pu oublier de faire figurer un bien dans l’acte de partage.

                Dans ce cas, vous pouvez faire une demande de partage complémentaire portant seulement sur ce bien, même si ce bien est de faible valeur.

                Votre demande n’est soumise à aucun délai de prescription. Elle peut être faite à tout moment.

                Dissimulation d’un bien par un époux

                Si votre ex-époux a détourné ou dissimulé intentionnellement un bien afin de rompre l’égalité du partage, on parle de recel de communauté.

                Par exemple, votre ex-époux ne déclare pas des actions, vend un bien commun à un prix inférieur à sa valeur réelle et conserve la différence pour lui.

                Il y a recel de communauté si le bien détourné est un bien commun. Tel est le cas pour un bien acquis pendant votre mariage si votre régime matrimonial est celui de la communauté réduite aux acquêts.

                Il n’y a pas de recel de communauté sur des biens indivis. Tel est par exemple le cas si vous êtes mariés sous le régime de la séparation de biens dans lequel il n’y a pas de biens communs.

                Si vous estimez être victime d’un recel, c’est à vous d’apporter la preuve de ce recel.

                Le bien recélé par votre ex-époux auteur du fait lui est retiré et vous est attribué intégralement. Si le bien n’appartient plus à l’ex-époux auteur du recel, la restitution peut se faire en valeur.

                Vous pouvez également demander des dommages et intérêts à votre ex-époux pour la réparation des préjudices supplémentaires causés par le recel.

                Partage affecté par un vice du consentement

                Un ex-époux peut invoquer la nullité du partage pour cause de vice du consentement , c’est-à-dire en cas de dol, de violence ou d’erreur.

                Attention

                Vous ne pouvez pas demander la nullité du partage pour vice du consentement si le partage a été prononcé par un juge.

                Il y a dol lorsqu’un ex-époux a obtenu le consentement de l’autre par des manœuvres ou des mensonges.

                Il y a également dol lorsqu’un ex-époux a dissimulé intentionnellement une information importante pour l’autre ex-époux.

                L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

                La prescription court à compter du jour où l’ex-époux découvre le dol.

                  La violence d’un ex-époux est un vice du consentement si l’acte a entraîné chez l’autre ex-époux un préjudice dans le partage des biens.

                  C’est le cas par exemple si un ex-époux a été amené à s’engager ou à renoncer à un droit en raison du comportement menaçant de l’autre ex-époux.

                  L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

                  La prescription court à compter du jour où la violence a cessé.

                    Un ex-époux peut demander la nullité du partage en cas d’erreur portant sur l’existence ou la quote-part des droits des époux.

                    La nullité peut aussi être invoquée par un ex-époux en cas d’erreur sur la propriété des biens à partager (par exemple, un bien d’abord considéré comme propre s’avère être un bien commun).

                    L’ex-époux qui souhaite faire valoir l’erreur doit agir dans un délai de 5 ans.

                    La prescription court à compter du jour où l’époux découvre l’erreur.

                      Vous pouvez tenter une résolution amiable auprès d’un notaire, en particulier si vous souhaitez demander un complément de part ou si un bien a été oublié lors du partage,

                      En cas de désaccord, en particulier lorsque le partage est affecté par un vice du consentement ou qu’il y a un recel de communauté, vous devez saisir le juge judiciaire.

                      À savoir

                      S’il apparaît que les conséquences de la violence, du dol ou de l’erreur peuvent être réparées autrement que par l’annulation du partage, le tribunal peut, à la demande de l’un des époux, ordonner un partage complémentaire ou rectificatif.

                      Le tribunal judiciaire à saisir est celui du domicile du défendeur.

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      Vous devez obligatoirement prendre un avocat pour faire cette procédure.

                      Où s’adresser ?

                       Avocat 

                      Le tribunal doit être saisi par une assignation rédigée par votre avocat.

                      Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de vos frais d’avocat.

                    Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                    Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                    Peut-on revenir sur le partage des biens après un divorce ?

                    Si, après votre divorce, vous vous rendez compte qu’un bien a été oublié ou sous-évalué lors du partage, vous pouvez demander un partage complémentaire ou un complément de part. Si votre ex-époux a obtenu votre consentement par des manœuvres ou des mensonges, vous pouvez demander la nullité du partage. Nous vous présentons les informations à connaître.

                      Plusieurs situations peuvent se présenter :

                      • Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

                      • Oubli d’un bien dans le partage

                      • Dissimulation d’un bien par un époux

                      • Partage affecté par un vice du consentement.

                      Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

                      Vous avez le droit de partager vos biens de manière inégale. Par exemple, vous avez pu recevoir 1/3 des biens et votre ex-époux 2/3.

                      Cependant, si vous avez été lésé de plus d’1/4, vous pouvez demander un complément de part. Par exemple, si un des biens partagés a été sous-évalué. La valeur dont vous avez été lésée peut vous être accordée en numéraire ou en nature (par exemple appartement, terrain).

                      Pour déterminer si vous avez été lésé, il faut examiner la valeur des biens au moment du partage, et non pas leur valeur actuelle.

                      Attention

                      Vous devez agir pour un complément de part dans un délai de 2 ans à compter du partage.

                      L’action en complément de part n’est pas possible si le partage a été homologué ou prononcé en justice par un  Jaf  (par exemple en cas de divorce par consentement mutuel judiciaire).

                      Oubli d’un bien dans le partage

                      Vous ou votre ex-époux avez pu oublier de faire figurer un bien dans l’acte de partage.

                      Dans ce cas, vous pouvez faire une demande de partage complémentaire portant seulement sur ce bien, même si ce bien est de faible valeur.

                      Votre demande n’est soumise à aucun délai de prescription. Elle peut être faite à tout moment.

                      Dissimulation d’un bien par un époux

                      Si votre ex-époux a détourné ou dissimulé intentionnellement un bien afin de rompre l’égalité du partage, on parle de recel de communauté.

                      Par exemple, votre ex-époux ne déclare pas des actions, vend un bien commun à un prix inférieur à sa valeur réelle et conserve la différence pour lui.

                      Il y a recel de communauté si le bien détourné est un bien commun. Tel est le cas pour un bien acquis pendant votre mariage si votre régime matrimonial est celui de la communauté réduite aux acquêts.

                      Il n’y a pas de recel de communauté sur des biens indivis. Tel est par exemple le cas si vous êtes mariés sous le régime de la séparation de biens dans lequel il n’y a pas de biens communs.

                      Si vous estimez être victime d’un recel, c’est à vous d’apporter la preuve de ce recel.

                      Le bien recélé par votre ex-époux auteur du fait lui est retiré et vous est attribué intégralement. Si le bien n’appartient plus à l’ex-époux auteur du recel, la restitution peut se faire en valeur.

                      Vous pouvez également demander des dommages et intérêts à votre ex-époux pour la réparation des préjudices supplémentaires causés par le recel.

                      Partage affecté par un vice du consentement

                      Un ex-époux peut invoquer la nullité du partage pour cause de vice du consentement , c’est-à-dire en cas de dol, de violence ou d’erreur.

                      Attention

                      Vous ne pouvez pas demander la nullité du partage pour vice du consentement si le partage a été prononcé par un juge.

                      Il y a dol lorsqu’un ex-époux a obtenu le consentement de l’autre par des manœuvres ou des mensonges.

                      Il y a également dol lorsqu’un ex-époux a dissimulé intentionnellement une information importante pour l’autre ex-époux.

                      L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

                      La prescription court à compter du jour où l’ex-époux découvre le dol.

                        La violence d’un ex-époux est un vice du consentement si l’acte a entraîné chez l’autre ex-époux un préjudice dans le partage des biens.

                        C’est le cas par exemple si un ex-époux a été amené à s’engager ou à renoncer à un droit en raison du comportement menaçant de l’autre ex-époux.

                        L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

                        La prescription court à compter du jour où la violence a cessé.

                          Un ex-époux peut demander la nullité du partage en cas d’erreur portant sur l’existence ou la quote-part des droits des époux.

                          La nullité peut aussi être invoquée par un ex-époux en cas d’erreur sur la propriété des biens à partager (par exemple, un bien d’abord considéré comme propre s’avère être un bien commun).

                          L’ex-époux qui souhaite faire valoir l’erreur doit agir dans un délai de 5 ans.

                          La prescription court à compter du jour où l’époux découvre l’erreur.

                            Vous pouvez tenter une résolution amiable auprès d’un notaire, en particulier si vous souhaitez demander un complément de part ou si un bien a été oublié lors du partage,

                            En cas de désaccord, en particulier lorsque le partage est affecté par un vice du consentement ou qu’il y a un recel de communauté, vous devez saisir le juge judiciaire.

                            À savoir

                            S’il apparaît que les conséquences de la violence, du dol ou de l’erreur peuvent être réparées autrement que par l’annulation du partage, le tribunal peut, à la demande de l’un des époux, ordonner un partage complémentaire ou rectificatif.

                            Le tribunal judiciaire à saisir est celui du domicile du défendeur.

                            Où s’adresser ?

                             Tribunal judiciaire 

                            Vous devez obligatoirement prendre un avocat pour faire cette procédure.

                            Où s’adresser ?

                             Avocat 

                            Le tribunal doit être saisi par une assignation rédigée par votre avocat.

                            Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de vos frais d’avocat.

                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                          Peut-on revenir sur le partage des biens après un divorce ?

                          Si, après votre divorce, vous vous rendez compte qu’un bien a été oublié ou sous-évalué lors du partage, vous pouvez demander un partage complémentaire ou un complément de part. Si votre ex-époux a obtenu votre consentement par des manœuvres ou des mensonges, vous pouvez demander la nullité du partage. Nous vous présentons les informations à connaître.

                            Plusieurs situations peuvent se présenter :

                            • Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

                            • Oubli d’un bien dans le partage

                            • Dissimulation d’un bien par un époux

                            • Partage affecté par un vice du consentement.

                            Ex-époux lésé de plus d’1/4 des biens

                            Vous avez le droit de partager vos biens de manière inégale. Par exemple, vous avez pu recevoir 1/3 des biens et votre ex-époux 2/3.

                            Cependant, si vous avez été lésé de plus d’1/4, vous pouvez demander un complément de part. Par exemple, si un des biens partagés a été sous-évalué. La valeur dont vous avez été lésée peut vous être accordée en numéraire ou en nature (par exemple appartement, terrain).

                            Pour déterminer si vous avez été lésé, il faut examiner la valeur des biens au moment du partage, et non pas leur valeur actuelle.

                            Attention

                            Vous devez agir pour un complément de part dans un délai de 2 ans à compter du partage.

                            L’action en complément de part n’est pas possible si le partage a été homologué ou prononcé en justice par un  Jaf  (par exemple en cas de divorce par consentement mutuel judiciaire).

                            Oubli d’un bien dans le partage

                            Vous ou votre ex-époux avez pu oublier de faire figurer un bien dans l’acte de partage.

                            Dans ce cas, vous pouvez faire une demande de partage complémentaire portant seulement sur ce bien, même si ce bien est de faible valeur.

                            Votre demande n’est soumise à aucun délai de prescription. Elle peut être faite à tout moment.

                            Dissimulation d’un bien par un époux

                            Si votre ex-époux a détourné ou dissimulé intentionnellement un bien afin de rompre l’égalité du partage, on parle de recel de communauté.

                            Par exemple, votre ex-époux ne déclare pas des actions, vend un bien commun à un prix inférieur à sa valeur réelle et conserve la différence pour lui.

                            Il y a recel de communauté si le bien détourné est un bien commun. Tel est le cas pour un bien acquis pendant votre mariage si votre régime matrimonial est celui de la communauté réduite aux acquêts.

                            Il n’y a pas de recel de communauté sur des biens indivis. Tel est par exemple le cas si vous êtes mariés sous le régime de la séparation de biens dans lequel il n’y a pas de biens communs.

                            Si vous estimez être victime d’un recel, c’est à vous d’apporter la preuve de ce recel.

                            Le bien recélé par votre ex-époux auteur du fait lui est retiré et vous est attribué intégralement. Si le bien n’appartient plus à l’ex-époux auteur du recel, la restitution peut se faire en valeur.

                            Vous pouvez également demander des dommages et intérêts à votre ex-époux pour la réparation des préjudices supplémentaires causés par le recel.

                            Partage affecté par un vice du consentement

                            Un ex-époux peut invoquer la nullité du partage pour cause de vice du consentement , c’est-à-dire en cas de dol, de violence ou d’erreur.

                            Attention

                            Vous ne pouvez pas demander la nullité du partage pour vice du consentement si le partage a été prononcé par un juge.

                            Il y a dol lorsqu’un ex-époux a obtenu le consentement de l’autre par des manœuvres ou des mensonges.

                            Il y a également dol lorsqu’un ex-époux a dissimulé intentionnellement une information importante pour l’autre ex-époux.

                            L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

                            La prescription court à compter du jour où l’ex-époux découvre le dol.

                              La violence d’un ex-époux est un vice du consentement si l’acte a entraîné chez l’autre ex-époux un préjudice dans le partage des biens.

                              C’est le cas par exemple si un ex-époux a été amené à s’engager ou à renoncer à un droit en raison du comportement menaçant de l’autre ex-époux.

                              L’ex-époux qui souhaite faire valoir ce vice du consentement doit agir dans un délai de 5 ans.

                              La prescription court à compter du jour où la violence a cessé.

                                Un ex-époux peut demander la nullité du partage en cas d’erreur portant sur l’existence ou la quote-part des droits des époux.

                                La nullité peut aussi être invoquée par un ex-époux en cas d’erreur sur la propriété des biens à partager (par exemple, un bien d’abord considéré comme propre s’avère être un bien commun).

                                L’ex-époux qui souhaite faire valoir l’erreur doit agir dans un délai de 5 ans.

                                La prescription court à compter du jour où l’époux découvre l’erreur.

                                  Vous pouvez tenter une résolution amiable auprès d’un notaire, en particulier si vous souhaitez demander un complément de part ou si un bien a été oublié lors du partage,

                                  En cas de désaccord, en particulier lorsque le partage est affecté par un vice du consentement ou qu’il y a un recel de communauté, vous devez saisir le juge judiciaire.

                                  À savoir

                                  S’il apparaît que les conséquences de la violence, du dol ou de l’erreur peuvent être réparées autrement que par l’annulation du partage, le tribunal peut, à la demande de l’un des époux, ordonner un partage complémentaire ou rectificatif.

                                  Le tribunal judiciaire à saisir est celui du domicile du défendeur.

                                  Où s’adresser ?

                                   Tribunal judiciaire 

                                  Vous devez obligatoirement prendre un avocat pour faire cette procédure.

                                  Où s’adresser ?

                                   Avocat 

                                  Le tribunal doit être saisi par une assignation rédigée par votre avocat.

                                  Si vos ressources sont insuffisantes, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de vos frais d’avocat.

                                Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                Faire sa demande en ligne

                                Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                La cellule urbanisme reste votre interlocuteur privilégié pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à la solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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