Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Diffusion de musique par une association pendant un événement public : quelles sont les règles ?

En principe, une association n’a pas le droit de diffuser de la musique gratuitement lors d’un événement public. Pour pouvoir le faire, elle doit obtenir une autorisation de la  Sacem  et, sauf exception, lui payer des droits d’auteurs. Comment procéder ? À quelle sanction s’expose l’association si elle ne le fait pas ? Les règles diffèrent selon qu’il s’agit de musique enregistrée ou de l’interprétation par des musiciens (concert ou bal). Nous vous présentons les informations à connaître.

À noter

L’association peut avoir à se rapprocher d’autres sociétés de gestion des droits d’auteurs ou sociétés de perception et de répartition des droits (SPRD) telles que la  SACD , l’ AGADP , la  Sofia .

Notre page se limite à présenter les règles concernant la Sacem, celle-ci étant la principale SPRD.

Organisation d’événements par une association

      Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle ou qu’elle soit tombée dans le domaine public.

      Dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations locales.

      Œuvre actuelle

      Pour diffuser des œuvres musicales lors d’un événement public (vide-grenier, kermesse,…), en fond sonore sur un site internet ou dans un local, l’association doit obligatoirement respecter les règles suivantes :

      • Obtenir une autorisation de la Sacem

      • Payer des droits de diffusion.

      L’association paye les droits d’auteurs.

      Œuvre tombée dans le domaine public

      L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas aux œuvres tombées dans le domaine public et libres de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

      Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

    • Sacem : répertoire des oeuvres
    • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

      Où s’adresser ?

       Délégations régionales de la Sacem 

      En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la Sacem.

      Les droits à payer se composent des droits d’auteur et de la rémunération équitable lorsque les œuvres musicales sont diffusées au moyen de supports enregistrés (vinyles, CD, radio, fichiers numériques, TV, …).

      Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

      • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

      • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

      • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

      • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

      Le montant de la rémunération équitable est de  65 % du droit d’auteur avec un minimum annuel fixé par secteur d’activité (bars et restaurants, discothèques, commerces, locaux associatifs, salles d’attente, etc.).

      À savoir

      des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée plus de 15 jours avant l’événement.

      Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

      Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle, tombée dans le domaine public ou diffusée lors de la Fête de la Musique.

      Mais dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les habitants voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations régionales.

      Œuvre actuelle

      Pour interpréter des œuvres musicales lors d’un événement publique (concert, bal, …), il est obligatoire de respecter les règles suivantes :

      • Obtenir une autorisation de la Sacem

      • Payer des droits de diffusion.

      C’est à l’association de s’acquitter des droit d’auteur.

      Œuvre tombée dans le domaine publique

      L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas s’il s’agit d’une œuvre tombée dans le domaine public et libre de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

      Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

    • Sacem : répertoire des oeuvres
    • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

      Où s’adresser ?

       Délégations régionales de la Sacem 

      En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la part de la Sacem.

      Fête de la Musique

      Si vous organisez un concert organisé gratuitement lors de la Fête de la Musique, vous devez uniquement obtenir l’autorisation de la Sacem.

      L’association doit faire une demande d’autorisation de diffusion de musique sur le site de la Sacem :

    • Sacem : demandes d’autorisation de diffusion de musique
    • Le formulaire complété doit être envoyé en ligne à partir de votre espace client (ou par courrier postal) à votre délégation régionale de la Sacem.

      Où s’adresser ?

       Délégations régionales de la Sacem 

      La liste des œuvres musicales qui doivent être interprétées par des musiciens lors de la manifestation doit être jointe à la demande d’autorisation.

      Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

      • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

      • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

      • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

      • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

      À savoir

      Des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée au moins 15 jours avant l’événement.

      Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

      Diffusion de musique par une association pendant un événement public : quelles sont les règles ?

      En principe, une association n’a pas le droit de diffuser de la musique gratuitement lors d’un événement public. Pour pouvoir le faire, elle doit obtenir une autorisation de la  Sacem  et, sauf exception, lui payer des droits d’auteurs. Comment procéder ? À quelle sanction s’expose l’association si elle ne le fait pas ? Les règles diffèrent selon qu’il s’agit de musique enregistrée ou de l’interprétation par des musiciens (concert ou bal). Nous vous présentons les informations à connaître.

      À noter

      L’association peut avoir à se rapprocher d’autres sociétés de gestion des droits d’auteurs ou sociétés de perception et de répartition des droits (SPRD) telles que la  SACD , l’ AGADP , la  Sofia .

      Notre page se limite à présenter les règles concernant la Sacem, celle-ci étant la principale SPRD.

      Organisation d’événements par une association

          Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle ou qu’elle soit tombée dans le domaine public.

          Dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations locales.

          Œuvre actuelle

          Pour diffuser des œuvres musicales lors d’un événement public (vide-grenier, kermesse,…), en fond sonore sur un site internet ou dans un local, l’association doit obligatoirement respecter les règles suivantes :

          • Obtenir une autorisation de la Sacem

          • Payer des droits de diffusion.

          L’association paye les droits d’auteurs.

          Œuvre tombée dans le domaine public

          L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas aux œuvres tombées dans le domaine public et libres de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

          Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

        • Sacem : répertoire des oeuvres
        • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

          Où s’adresser ?

           Délégations régionales de la Sacem 

          En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la Sacem.

          Les droits à payer se composent des droits d’auteur et de la rémunération équitable lorsque les œuvres musicales sont diffusées au moyen de supports enregistrés (vinyles, CD, radio, fichiers numériques, TV, …).

          Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

          • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

          • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

          • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

          • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

          Le montant de la rémunération équitable est de  65 % du droit d’auteur avec un minimum annuel fixé par secteur d’activité (bars et restaurants, discothèques, commerces, locaux associatifs, salles d’attente, etc.).

          À savoir

          des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée plus de 15 jours avant l’événement.

          Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

          Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle, tombée dans le domaine public ou diffusée lors de la Fête de la Musique.

          Mais dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les habitants voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations régionales.

          Œuvre actuelle

          Pour interpréter des œuvres musicales lors d’un événement publique (concert, bal, …), il est obligatoire de respecter les règles suivantes :

          • Obtenir une autorisation de la Sacem

          • Payer des droits de diffusion.

          C’est à l’association de s’acquitter des droit d’auteur.

          Œuvre tombée dans le domaine publique

          L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas s’il s’agit d’une œuvre tombée dans le domaine public et libre de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

          Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

        • Sacem : répertoire des oeuvres
        • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

          Où s’adresser ?

           Délégations régionales de la Sacem 

          En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la part de la Sacem.

          Fête de la Musique

          Si vous organisez un concert organisé gratuitement lors de la Fête de la Musique, vous devez uniquement obtenir l’autorisation de la Sacem.

          L’association doit faire une demande d’autorisation de diffusion de musique sur le site de la Sacem :

        • Sacem : demandes d’autorisation de diffusion de musique
        • Le formulaire complété doit être envoyé en ligne à partir de votre espace client (ou par courrier postal) à votre délégation régionale de la Sacem.

          Où s’adresser ?

           Délégations régionales de la Sacem 

          La liste des œuvres musicales qui doivent être interprétées par des musiciens lors de la manifestation doit être jointe à la demande d’autorisation.

          Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

          • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

          • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

          • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

          • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

          À savoir

          Des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée au moins 15 jours avant l’événement.

          Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

          Diffusion de musique par une association pendant un événement public : quelles sont les règles ?

          En principe, une association n’a pas le droit de diffuser de la musique gratuitement lors d’un événement public. Pour pouvoir le faire, elle doit obtenir une autorisation de la  Sacem  et, sauf exception, lui payer des droits d’auteurs. Comment procéder ? À quelle sanction s’expose l’association si elle ne le fait pas ? Les règles diffèrent selon qu’il s’agit de musique enregistrée ou de l’interprétation par des musiciens (concert ou bal). Nous vous présentons les informations à connaître.

          À noter

          L’association peut avoir à se rapprocher d’autres sociétés de gestion des droits d’auteurs ou sociétés de perception et de répartition des droits (SPRD) telles que la  SACD , l’ AGADP , la  Sofia .

          Notre page se limite à présenter les règles concernant la Sacem, celle-ci étant la principale SPRD.

          Organisation d’événements par une association

              Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle ou qu’elle soit tombée dans le domaine public.

              Dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations locales.

              Œuvre actuelle

              Pour diffuser des œuvres musicales lors d’un événement public (vide-grenier, kermesse,…), en fond sonore sur un site internet ou dans un local, l’association doit obligatoirement respecter les règles suivantes :

              • Obtenir une autorisation de la Sacem

              • Payer des droits de diffusion.

              L’association paye les droits d’auteurs.

              Œuvre tombée dans le domaine public

              L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas aux œuvres tombées dans le domaine public et libres de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

              Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

            • Sacem : répertoire des oeuvres
            • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

              Où s’adresser ?

               Délégations régionales de la Sacem 

              En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la Sacem.

              Les droits à payer se composent des droits d’auteur et de la rémunération équitable lorsque les œuvres musicales sont diffusées au moyen de supports enregistrés (vinyles, CD, radio, fichiers numériques, TV, …).

              Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

              • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

              • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

              • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

              • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

              Le montant de la rémunération équitable est de  65 % du droit d’auteur avec un minimum annuel fixé par secteur d’activité (bars et restaurants, discothèques, commerces, locaux associatifs, salles d’attente, etc.).

              À savoir

              des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée plus de 15 jours avant l’événement.

              Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

              Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle, tombée dans le domaine public ou diffusée lors de la Fête de la Musique.

              Mais dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les habitants voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations régionales.

              Œuvre actuelle

              Pour interpréter des œuvres musicales lors d’un événement publique (concert, bal, …), il est obligatoire de respecter les règles suivantes :

              • Obtenir une autorisation de la Sacem

              • Payer des droits de diffusion.

              C’est à l’association de s’acquitter des droit d’auteur.

              Œuvre tombée dans le domaine publique

              L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas s’il s’agit d’une œuvre tombée dans le domaine public et libre de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

              Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

            • Sacem : répertoire des oeuvres
            • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

              Où s’adresser ?

               Délégations régionales de la Sacem 

              En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la part de la Sacem.

              Fête de la Musique

              Si vous organisez un concert organisé gratuitement lors de la Fête de la Musique, vous devez uniquement obtenir l’autorisation de la Sacem.

              L’association doit faire une demande d’autorisation de diffusion de musique sur le site de la Sacem :

            • Sacem : demandes d’autorisation de diffusion de musique
            • Le formulaire complété doit être envoyé en ligne à partir de votre espace client (ou par courrier postal) à votre délégation régionale de la Sacem.

              Où s’adresser ?

               Délégations régionales de la Sacem 

              La liste des œuvres musicales qui doivent être interprétées par des musiciens lors de la manifestation doit être jointe à la demande d’autorisation.

              Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

              • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

              • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

              • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

              • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

              À savoir

              Des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée au moins 15 jours avant l’événement.

              Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

              Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

              Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

              Diffusion de musique par une association pendant un événement public : quelles sont les règles ?

              En principe, une association n’a pas le droit de diffuser de la musique gratuitement lors d’un événement public. Pour pouvoir le faire, elle doit obtenir une autorisation de la  Sacem  et, sauf exception, lui payer des droits d’auteurs. Comment procéder ? À quelle sanction s’expose l’association si elle ne le fait pas ? Les règles diffèrent selon qu’il s’agit de musique enregistrée ou de l’interprétation par des musiciens (concert ou bal). Nous vous présentons les informations à connaître.

              À noter

              L’association peut avoir à se rapprocher d’autres sociétés de gestion des droits d’auteurs ou sociétés de perception et de répartition des droits (SPRD) telles que la  SACD , l’ AGADP , la  Sofia .

              Notre page se limite à présenter les règles concernant la Sacem, celle-ci étant la principale SPRD.

              Organisation d’événements par une association

                  Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle ou qu’elle soit tombée dans le domaine public.

                  Dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations locales.

                  Œuvre actuelle

                  Pour diffuser des œuvres musicales lors d’un événement public (vide-grenier, kermesse,…), en fond sonore sur un site internet ou dans un local, l’association doit obligatoirement respecter les règles suivantes :

                  • Obtenir une autorisation de la Sacem

                  • Payer des droits de diffusion.

                  L’association paye les droits d’auteurs.

                  Œuvre tombée dans le domaine public

                  L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas aux œuvres tombées dans le domaine public et libres de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

                  Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

                • Sacem : répertoire des oeuvres
                • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

                  Où s’adresser ?

                   Délégations régionales de la Sacem 

                  En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la Sacem.

                  Les droits à payer se composent des droits d’auteur et de la rémunération équitable lorsque les œuvres musicales sont diffusées au moyen de supports enregistrés (vinyles, CD, radio, fichiers numériques, TV, …).

                  Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

                  • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

                  • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

                  • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

                  • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

                  Le montant de la rémunération équitable est de  65 % du droit d’auteur avec un minimum annuel fixé par secteur d’activité (bars et restaurants, discothèques, commerces, locaux associatifs, salles d’attente, etc.).

                  À savoir

                  des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée plus de 15 jours avant l’événement.

                  Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

                  Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle, tombée dans le domaine public ou diffusée lors de la Fête de la Musique.

                  Mais dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les habitants voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations régionales.

                  Œuvre actuelle

                  Pour interpréter des œuvres musicales lors d’un événement publique (concert, bal, …), il est obligatoire de respecter les règles suivantes :

                  • Obtenir une autorisation de la Sacem

                  • Payer des droits de diffusion.

                  C’est à l’association de s’acquitter des droit d’auteur.

                  Œuvre tombée dans le domaine publique

                  L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas s’il s’agit d’une œuvre tombée dans le domaine public et libre de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

                  Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

                • Sacem : répertoire des oeuvres
                • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

                  Où s’adresser ?

                   Délégations régionales de la Sacem 

                  En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la part de la Sacem.

                  Fête de la Musique

                  Si vous organisez un concert organisé gratuitement lors de la Fête de la Musique, vous devez uniquement obtenir l’autorisation de la Sacem.

                  L’association doit faire une demande d’autorisation de diffusion de musique sur le site de la Sacem :

                • Sacem : demandes d’autorisation de diffusion de musique
                • Le formulaire complété doit être envoyé en ligne à partir de votre espace client (ou par courrier postal) à votre délégation régionale de la Sacem.

                  Où s’adresser ?

                   Délégations régionales de la Sacem 

                  La liste des œuvres musicales qui doivent être interprétées par des musiciens lors de la manifestation doit être jointe à la demande d’autorisation.

                  Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

                  • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

                  • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

                  • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

                  • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

                  À savoir

                  Des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée au moins 15 jours avant l’événement.

                  Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                  Diffusion de musique par une association pendant un événement public : quelles sont les règles ?

                  En principe, une association n’a pas le droit de diffuser de la musique gratuitement lors d’un événement public. Pour pouvoir le faire, elle doit obtenir une autorisation de la  Sacem  et, sauf exception, lui payer des droits d’auteurs. Comment procéder ? À quelle sanction s’expose l’association si elle ne le fait pas ? Les règles diffèrent selon qu’il s’agit de musique enregistrée ou de l’interprétation par des musiciens (concert ou bal). Nous vous présentons les informations à connaître.

                  À noter

                  L’association peut avoir à se rapprocher d’autres sociétés de gestion des droits d’auteurs ou sociétés de perception et de répartition des droits (SPRD) telles que la  SACD , l’ AGADP , la  Sofia .

                  Notre page se limite à présenter les règles concernant la Sacem, celle-ci étant la principale SPRD.

                  Organisation d’événements par une association

                      Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle ou qu’elle soit tombée dans le domaine public.

                      Dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations locales.

                      Œuvre actuelle

                      Pour diffuser des œuvres musicales lors d’un événement public (vide-grenier, kermesse,…), en fond sonore sur un site internet ou dans un local, l’association doit obligatoirement respecter les règles suivantes :

                      • Obtenir une autorisation de la Sacem

                      • Payer des droits de diffusion.

                      L’association paye les droits d’auteurs.

                      Œuvre tombée dans le domaine public

                      L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas aux œuvres tombées dans le domaine public et libres de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

                      Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

                    • Sacem : répertoire des oeuvres
                    • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

                      Où s’adresser ?

                       Délégations régionales de la Sacem 

                      En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la Sacem.

                      Les droits à payer se composent des droits d’auteur et de la rémunération équitable lorsque les œuvres musicales sont diffusées au moyen de supports enregistrés (vinyles, CD, radio, fichiers numériques, TV, …).

                      Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

                      • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

                      • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

                      • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

                      • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

                      Le montant de la rémunération équitable est de  65 % du droit d’auteur avec un minimum annuel fixé par secteur d’activité (bars et restaurants, discothèques, commerces, locaux associatifs, salles d’attente, etc.).

                      À savoir

                      des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée plus de 15 jours avant l’événement.

                      Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

                      Les règles diffèrent selon que l’œuvre soit actuelle, tombée dans le domaine public ou diffusée lors de la Fête de la Musique.

                      Mais dans tous les cas, l’association doit respecter les règles concernant le niveau sonore des évènements publics pour ne pas déranger les habitants voisins. Des restrictions (niveau de décibel, heure de silence,…) peuvent être mises en place par les municipalités ou les administrations régionales.

                      Œuvre actuelle

                      Pour interpréter des œuvres musicales lors d’un événement publique (concert, bal, …), il est obligatoire de respecter les règles suivantes :

                      • Obtenir une autorisation de la Sacem

                      • Payer des droits de diffusion.

                      C’est à l’association de s’acquitter des droit d’auteur.

                      Œuvre tombée dans le domaine publique

                      L’obligation de payer des droits de diffusion ne s’applique pas s’il s’agit d’une œuvre tombée dans le domaine public et libre de droit. Tel est le cas lorsque l’auteur d’une œuvre est décédé depuis plus de 70 ans.

                      Pour savoir si une œuvre est tombée dans le domaine public, vous pouvez consulter le catalogue des œuvres de la Sacem :

                    • Sacem : répertoire des oeuvres
                    • Vous pouvez également contacter votre délégation régionale de la Sacem.

                      Où s’adresser ?

                       Délégations régionales de la Sacem 

                      En revanche, vous avez toujours l’obligation d’obtenir une autorisation de la part de la Sacem.

                      Fête de la Musique

                      Si vous organisez un concert organisé gratuitement lors de la Fête de la Musique, vous devez uniquement obtenir l’autorisation de la Sacem.

                      L’association doit faire une demande d’autorisation de diffusion de musique sur le site de la Sacem :

                    • Sacem : demandes d’autorisation de diffusion de musique
                    • Le formulaire complété doit être envoyé en ligne à partir de votre espace client (ou par courrier postal) à votre délégation régionale de la Sacem.

                      Où s’adresser ?

                       Délégations régionales de la Sacem 

                      La liste des œuvres musicales qui doivent être interprétées par des musiciens lors de la manifestation doit être jointe à la demande d’autorisation.

                      Le montant des droits d’auteur varie selon la nature de l’événement organisé. Ainsi, par exemple :

                      • Pour une manifestation avec de la musique en fond sonore, le calcul des droits d’auteur dépend de sa gratuité ou non envers le public.

                      • Pour un carnaval, il est déterminé par application d’un pourcentage sur les recettes réalisées ou les dépenses engagées.

                      • Pour un cours de gymnastique ou de danse, il dépend du nombre d’élèves et du type de cours donné.

                      • Pour un ballet ou un spectacle chorégraphique, il dépend des œuvres utilisées et des conditions d’organisation du spectacle.

                      À savoir

                      Des réductions peuvent être accordées, notamment lorsque la demande d’autorisation est effectuée au moins 15 jours avant l’événement.

                      Le fait de diffuser, par quelque moyen que ce soit, une œuvre musicale en violation des droits de l’auteur est un délit. Il peut être puni d’une amende pouvant aller jusqu’à 300 000 € et d’une peine de prison de 3 ans maximum.

                      Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                      Faire sa demande en ligne

                      Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                      Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                      La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                      Contact