Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Que faire face à une association qui s’apparente à une secte ?

Une secte se caractérise par une emprise mentale qui porte atteinte à l’équilibre moral, sanitaire, financier et familial d’une personne. La secte cherche à isoler, désociabiliser, endoctriner, déresponsabiliser une personne pour la pousser à une perte d’autonomie ou encore une perte financière. Les victimes de ces agissements (membres, anciens membres ou famille de ces derniers) peuvent engager différentes actions. Nous vous présentons les informations à connaître.

    Pour obtenir des renseignements sur une association qui vous semble présenter une dérive sectaire, vous pouvez suivre les étapes suivantes :

  1. Rechercher les informations disponibles concernant cette association : vous pouvez consulter les documents officiels de l’association (statuts, comptes rendus d’assemblée générale, bilans financiers).

  2. Vous informer sur les  indices facilitant la caractérisation d’un risque de dérive sectaire  : la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) met à disposition des guides et des fiches pratiques pour mieux identifier ces indices.

  3. Interroger la Miviludes pour connaître son avis sur cette association en particulier : la Miviludes centralise les signalements et peut évaluer si une association présente des caractéristiques de dérive sectaire.

  4. Consultez les ressources spécialisées de la Miviludes, qui incluent les analyses réalisées dans le cadre de l’Observatoire national des dérives sectaires. Cet observatoire collecte et examine les signalements à l’échelle nationale, propose des solutions adaptées aux situations identifiées, et publie des rapports annuels offrant une vue d’ensemble des problématiques sectaires en France. Vous pouvez accéder à ces publications pour mieux comprendre les phénomènes liés aux dérives sectaires.

    Après avoir recueilli certaines informations sur l’association, vous pouvez informer les instances suivantes :

    • Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)

    • Professionnel et/ou association d’aides aux victimes

    • Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

    • Administration de l’État

    • Commissariat de police ou gendarmerie (pour faire un signalement ou déposer plainte).

    À la Miviludes

    Vous souhaitez informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire pour qu’une aide vous soit apportée ou pour être orienté dans vos démarches :

  • Informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire
  • Vous pouvez également contacter les correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales.

    Où s’adresser ?

     Correspondant local de la Miviludes 

    Les courriers aux correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales, et aux professionnels sont à adresser à M. ou Mme le correspondant Dérives sectaires du service ou de l’organisme concerné.

    Auprès des professionnels et des associations

    Vous pouvez également contacter les professionnels de santé (conseils départementaux de l’ordre des médecins, des pharmaciens,…) ou les  associations de victimes de dérives sectaires .

    Ces différents interlocuteurs peuvent vous apporter de l’aide et des informations.

    Au Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

    Si vous êtes confronté à l’engagement radical d’un proche, vous pouvez contacter le Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr).

    Où s’adresser ?

    Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR)

    Écoute, informe et conseille les familles souhaitant signaler une situation de radicalisation.

    Par téléphone

    0 800 005 696

    Service et appels gratuits

    Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h.

      Auprès du rectorat, de l’Agence régionale de santé ou de la DDETS

      Vous pouvez également vous adresser par courrier au rectorat, à l’agence régionale de santé, à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

      Où s’adresser ?

       Rectorat 

      Où s’adresser ?

       Agence régionale de santé (ARS) 

      Auprès du commissariat de police et de la gendarmerie

      Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dès qu’une infraction est commise.

      Il peut en être ainsi, par exemple, en cas d’escroquerie, d’abus de confiance, d’abus sexuel sur mineur, de maltraitance de personne âgée.

      Vous pouvez aussi porter plainte pour abus de faiblesse, si aucune infraction spécifique à des dérives sectaires ne peut être invoquée.

      Votre plainte doit être dirigée contre l’association (et ses membres auteurs des infractions) pour que puisse être engagée sa responsabilité pénale comme personne morale.

      Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix.

      Où s’adresser ?

       Commissariat 

      Où s’adresser ?

       Gendarmerie 

      La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie.

      Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes.

      Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

      Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l’infraction ou du domicile de l’auteur de l’infraction.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

      • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

      • Récit détaillé des faits, date et lieu de l’infraction

      • Nom de l’auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

      • Nom et adresse des éventuels témoins de l’infraction

      • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

      • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats…

      Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

      Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception (de préférence), par lettre simple ou par lettre suivie.

      Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l’accueil du tribunal.

      Dans tous les cas, un récépissé vous est transmis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

      La présence d’un avocat n’est pas obligatoire pour le dépôt de plainte et pendant toute la durée de la procédure jusqu’au procès devant le tribunal correctionnel. Toutefois, vous pouvez obtenir l’assistance d’un avocat si vous le souhaitez.

      Connaître les infractions spécifiques liées aux dérives sectaires et sanctions

      Les infractions spécifiques aux dérives sectaires incluent les situations suivantes :

      • Le placement ou le maintien d’une personne dans un état de sujétion (c’est-à-dire le fait d’être obligé de faire quelque chose ou d’être sous l’autorité de quelqu’un) psychologique ou physique Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

      • L’abus frauduleux de l’état de sujétion pour provoquer un acte ou une abstention gravement préjudiciable. Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

      • La provocation à l’abandon de soins médicaux. Cette infraction est punie d’1 an d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende (portées à 3 ans et 45 000 € si cette provocation est suivie d’effet).

      • L’utilisation de moyens numériques pour commettre ces infractions, aggravant les peines jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 750 000 € d’amende.

      Faire un signalement aux services du département

      Les services départementaux de l’aide sociale à l’enfance (Ase) sont chargés du recueil et du traitement des informations préoccupantes concernant les mineurs en danger ou qui risquent de l’être.

      Où s’adresser ?

       Services du département 

      Après avoir évalué la situation, le service de l’Ase peut saisir le procureur de la République si ses actions se sont révélées inefficaces pour remédier à la situation de danger du mineur.

      Appeler le service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger

      Les adultes et les mineurs confrontés ou préoccupés par une situation de risque et de danger peuvent effectuer un signalement au service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger (SNATED). Ce service est communément appelé Allô Enfance Maltraitée .

      Les informations préoccupantes sont transmises au service du département concerné.

      Où s’adresser ?

      Enfance en danger – 119

      Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

      Par téléphone

      119 (appel gratuit et confidentiel)

      24h/24 et 7 jours/7

      Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

      Sur le site www.allo119.gouv.fr

       Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

       Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

      Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

       Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

      Demander l’intervention du juge des enfants

      Le juge des enfants peut agir quand la santé, la sécurité ou la moralité d’un mineur sont en danger.

      Il peut aussi être fait appel au juge des enfants si les conditions d’éducation ou de développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.

      L’intervention du juge peut être demandée par l’un des 2 parents ou les 2 conjointement ou la personne ou le service à qui l’enfant a été confié ou le tuteur légal ou le mineur lui-même.

      Faire intervenir les autorités administratives et éducatives

      Face à une situation où un mineur pourrait être exposé à une dérive sectaire, les autorités administratives et éducatives peuvent agir pour garantir la sécurité et le bien-être de l’enfant. Elle disposent de différents moyens :

      • Les services départementaux, en coordination avec les préfets, peuvent ordonner une enquête administrative pour vérifier l’environnement dans lequel évolue le mineur. Cette enquête peut également inclure des visites inopinées dans les structures ou les communautés impliquées.

      • Si le mineur est scolarisé à domicile ou dans une structure associative soupçonnée de dérives sectaires, un contrôle pédagogique renforcé peut être demandé. Les inspecteurs de l’éducation nationale veilleront à ce que le droit à l’éducation soit respecté.

      • Lorsque la dérive sectaire inclut une exposition à des contenus en ligne manipulatoires, les autorités peuvent signaler ces contenus aux plateformes numériques pour suppression et prendre des mesures de sensibilisation au sein des établissements scolaires.

      • En collaboration avec les professionnels de santé, un suivi psychologique du mineur peut être organisé pour évaluer les impacts des pratiques sectaires et lui offrir un soutien adapté.

    Violence – Atteinte à l’intégrité

      Que faire face à une association qui s’apparente à une secte ?

      Une secte se caractérise par une emprise mentale qui porte atteinte à l’équilibre moral, sanitaire, financier et familial d’une personne. La secte cherche à isoler, désociabiliser, endoctriner, déresponsabiliser une personne pour la pousser à une perte d’autonomie ou encore une perte financière. Les victimes de ces agissements (membres, anciens membres ou famille de ces derniers) peuvent engager différentes actions. Nous vous présentons les informations à connaître.

        Pour obtenir des renseignements sur une association qui vous semble présenter une dérive sectaire, vous pouvez suivre les étapes suivantes :

      1. Rechercher les informations disponibles concernant cette association : vous pouvez consulter les documents officiels de l’association (statuts, comptes rendus d’assemblée générale, bilans financiers).

      2. Vous informer sur les  indices facilitant la caractérisation d’un risque de dérive sectaire  : la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) met à disposition des guides et des fiches pratiques pour mieux identifier ces indices.

      3. Interroger la Miviludes pour connaître son avis sur cette association en particulier : la Miviludes centralise les signalements et peut évaluer si une association présente des caractéristiques de dérive sectaire.

      4. Consultez les ressources spécialisées de la Miviludes, qui incluent les analyses réalisées dans le cadre de l’Observatoire national des dérives sectaires. Cet observatoire collecte et examine les signalements à l’échelle nationale, propose des solutions adaptées aux situations identifiées, et publie des rapports annuels offrant une vue d’ensemble des problématiques sectaires en France. Vous pouvez accéder à ces publications pour mieux comprendre les phénomènes liés aux dérives sectaires.

        Après avoir recueilli certaines informations sur l’association, vous pouvez informer les instances suivantes :

        • Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)

        • Professionnel et/ou association d’aides aux victimes

        • Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

        • Administration de l’État

        • Commissariat de police ou gendarmerie (pour faire un signalement ou déposer plainte).

        À la Miviludes

        Vous souhaitez informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire pour qu’une aide vous soit apportée ou pour être orienté dans vos démarches :

      • Informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire
      • Vous pouvez également contacter les correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales.

        Où s’adresser ?

         Correspondant local de la Miviludes 

        Les courriers aux correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales, et aux professionnels sont à adresser à M. ou Mme le correspondant Dérives sectaires du service ou de l’organisme concerné.

        Auprès des professionnels et des associations

        Vous pouvez également contacter les professionnels de santé (conseils départementaux de l’ordre des médecins, des pharmaciens,…) ou les  associations de victimes de dérives sectaires .

        Ces différents interlocuteurs peuvent vous apporter de l’aide et des informations.

        Au Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

        Si vous êtes confronté à l’engagement radical d’un proche, vous pouvez contacter le Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr).

        Où s’adresser ?

        Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR)

        Écoute, informe et conseille les familles souhaitant signaler une situation de radicalisation.

        Par téléphone

        0 800 005 696

        Service et appels gratuits

        Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h.

          Auprès du rectorat, de l’Agence régionale de santé ou de la DDETS

          Vous pouvez également vous adresser par courrier au rectorat, à l’agence régionale de santé, à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

          Où s’adresser ?

           Rectorat 

          Où s’adresser ?

           Agence régionale de santé (ARS) 

          Auprès du commissariat de police et de la gendarmerie

          Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dès qu’une infraction est commise.

          Il peut en être ainsi, par exemple, en cas d’escroquerie, d’abus de confiance, d’abus sexuel sur mineur, de maltraitance de personne âgée.

          Vous pouvez aussi porter plainte pour abus de faiblesse, si aucune infraction spécifique à des dérives sectaires ne peut être invoquée.

          Votre plainte doit être dirigée contre l’association (et ses membres auteurs des infractions) pour que puisse être engagée sa responsabilité pénale comme personne morale.

          Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix.

          Où s’adresser ?

           Commissariat 

          Où s’adresser ?

           Gendarmerie 

          La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie.

          Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes.

          Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

          Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l’infraction ou du domicile de l’auteur de l’infraction.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

          • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

          • Récit détaillé des faits, date et lieu de l’infraction

          • Nom de l’auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

          • Nom et adresse des éventuels témoins de l’infraction

          • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

          • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats…

          Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

          Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception (de préférence), par lettre simple ou par lettre suivie.

          Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l’accueil du tribunal.

          Dans tous les cas, un récépissé vous est transmis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

          La présence d’un avocat n’est pas obligatoire pour le dépôt de plainte et pendant toute la durée de la procédure jusqu’au procès devant le tribunal correctionnel. Toutefois, vous pouvez obtenir l’assistance d’un avocat si vous le souhaitez.

          Connaître les infractions spécifiques liées aux dérives sectaires et sanctions

          Les infractions spécifiques aux dérives sectaires incluent les situations suivantes :

          • Le placement ou le maintien d’une personne dans un état de sujétion (c’est-à-dire le fait d’être obligé de faire quelque chose ou d’être sous l’autorité de quelqu’un) psychologique ou physique Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

          • L’abus frauduleux de l’état de sujétion pour provoquer un acte ou une abstention gravement préjudiciable. Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

          • La provocation à l’abandon de soins médicaux. Cette infraction est punie d’1 an d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende (portées à 3 ans et 45 000 € si cette provocation est suivie d’effet).

          • L’utilisation de moyens numériques pour commettre ces infractions, aggravant les peines jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 750 000 € d’amende.

          Faire un signalement aux services du département

          Les services départementaux de l’aide sociale à l’enfance (Ase) sont chargés du recueil et du traitement des informations préoccupantes concernant les mineurs en danger ou qui risquent de l’être.

          Où s’adresser ?

           Services du département 

          Après avoir évalué la situation, le service de l’Ase peut saisir le procureur de la République si ses actions se sont révélées inefficaces pour remédier à la situation de danger du mineur.

          Appeler le service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger

          Les adultes et les mineurs confrontés ou préoccupés par une situation de risque et de danger peuvent effectuer un signalement au service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger (SNATED). Ce service est communément appelé Allô Enfance Maltraitée .

          Les informations préoccupantes sont transmises au service du département concerné.

          Où s’adresser ?

          Enfance en danger – 119

          Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

          Par téléphone

          119 (appel gratuit et confidentiel)

          24h/24 et 7 jours/7

          Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

          Sur le site www.allo119.gouv.fr

           Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

           Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

          Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

           Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

          Demander l’intervention du juge des enfants

          Le juge des enfants peut agir quand la santé, la sécurité ou la moralité d’un mineur sont en danger.

          Il peut aussi être fait appel au juge des enfants si les conditions d’éducation ou de développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.

          L’intervention du juge peut être demandée par l’un des 2 parents ou les 2 conjointement ou la personne ou le service à qui l’enfant a été confié ou le tuteur légal ou le mineur lui-même.

          Faire intervenir les autorités administratives et éducatives

          Face à une situation où un mineur pourrait être exposé à une dérive sectaire, les autorités administratives et éducatives peuvent agir pour garantir la sécurité et le bien-être de l’enfant. Elle disposent de différents moyens :

          • Les services départementaux, en coordination avec les préfets, peuvent ordonner une enquête administrative pour vérifier l’environnement dans lequel évolue le mineur. Cette enquête peut également inclure des visites inopinées dans les structures ou les communautés impliquées.

          • Si le mineur est scolarisé à domicile ou dans une structure associative soupçonnée de dérives sectaires, un contrôle pédagogique renforcé peut être demandé. Les inspecteurs de l’éducation nationale veilleront à ce que le droit à l’éducation soit respecté.

          • Lorsque la dérive sectaire inclut une exposition à des contenus en ligne manipulatoires, les autorités peuvent signaler ces contenus aux plateformes numériques pour suppression et prendre des mesures de sensibilisation au sein des établissements scolaires.

          • En collaboration avec les professionnels de santé, un suivi psychologique du mineur peut être organisé pour évaluer les impacts des pratiques sectaires et lui offrir un soutien adapté.

        Violence – Atteinte à l’intégrité

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

          Que faire face à une association qui s’apparente à une secte ?

          Une secte se caractérise par une emprise mentale qui porte atteinte à l’équilibre moral, sanitaire, financier et familial d’une personne. La secte cherche à isoler, désociabiliser, endoctriner, déresponsabiliser une personne pour la pousser à une perte d’autonomie ou encore une perte financière. Les victimes de ces agissements (membres, anciens membres ou famille de ces derniers) peuvent engager différentes actions. Nous vous présentons les informations à connaître.

            Pour obtenir des renseignements sur une association qui vous semble présenter une dérive sectaire, vous pouvez suivre les étapes suivantes :

          1. Rechercher les informations disponibles concernant cette association : vous pouvez consulter les documents officiels de l’association (statuts, comptes rendus d’assemblée générale, bilans financiers).

          2. Vous informer sur les  indices facilitant la caractérisation d’un risque de dérive sectaire  : la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) met à disposition des guides et des fiches pratiques pour mieux identifier ces indices.

          3. Interroger la Miviludes pour connaître son avis sur cette association en particulier : la Miviludes centralise les signalements et peut évaluer si une association présente des caractéristiques de dérive sectaire.

          4. Consultez les ressources spécialisées de la Miviludes, qui incluent les analyses réalisées dans le cadre de l’Observatoire national des dérives sectaires. Cet observatoire collecte et examine les signalements à l’échelle nationale, propose des solutions adaptées aux situations identifiées, et publie des rapports annuels offrant une vue d’ensemble des problématiques sectaires en France. Vous pouvez accéder à ces publications pour mieux comprendre les phénomènes liés aux dérives sectaires.

            Après avoir recueilli certaines informations sur l’association, vous pouvez informer les instances suivantes :

            • Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)

            • Professionnel et/ou association d’aides aux victimes

            • Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

            • Administration de l’État

            • Commissariat de police ou gendarmerie (pour faire un signalement ou déposer plainte).

            À la Miviludes

            Vous souhaitez informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire pour qu’une aide vous soit apportée ou pour être orienté dans vos démarches :

          • Informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire
          • Vous pouvez également contacter les correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales.

            Où s’adresser ?

             Correspondant local de la Miviludes 

            Les courriers aux correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales, et aux professionnels sont à adresser à M. ou Mme le correspondant Dérives sectaires du service ou de l’organisme concerné.

            Auprès des professionnels et des associations

            Vous pouvez également contacter les professionnels de santé (conseils départementaux de l’ordre des médecins, des pharmaciens,…) ou les  associations de victimes de dérives sectaires .

            Ces différents interlocuteurs peuvent vous apporter de l’aide et des informations.

            Au Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

            Si vous êtes confronté à l’engagement radical d’un proche, vous pouvez contacter le Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr).

            Où s’adresser ?

            Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR)

            Écoute, informe et conseille les familles souhaitant signaler une situation de radicalisation.

            Par téléphone

            0 800 005 696

            Service et appels gratuits

            Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h.

              Auprès du rectorat, de l’Agence régionale de santé ou de la DDETS

              Vous pouvez également vous adresser par courrier au rectorat, à l’agence régionale de santé, à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

              Où s’adresser ?

               Rectorat 

              Où s’adresser ?

               Agence régionale de santé (ARS) 

              Auprès du commissariat de police et de la gendarmerie

              Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dès qu’une infraction est commise.

              Il peut en être ainsi, par exemple, en cas d’escroquerie, d’abus de confiance, d’abus sexuel sur mineur, de maltraitance de personne âgée.

              Vous pouvez aussi porter plainte pour abus de faiblesse, si aucune infraction spécifique à des dérives sectaires ne peut être invoquée.

              Votre plainte doit être dirigée contre l’association (et ses membres auteurs des infractions) pour que puisse être engagée sa responsabilité pénale comme personne morale.

              Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix.

              Où s’adresser ?

               Commissariat 

              Où s’adresser ?

               Gendarmerie 

              La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie.

              Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes.

              Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

              Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l’infraction ou du domicile de l’auteur de l’infraction.

              Où s’adresser ?

               Tribunal judiciaire 

              Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

              • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

              • Récit détaillé des faits, date et lieu de l’infraction

              • Nom de l’auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

              • Nom et adresse des éventuels témoins de l’infraction

              • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

              • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats…

              Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

              Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception (de préférence), par lettre simple ou par lettre suivie.

              Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l’accueil du tribunal.

              Dans tous les cas, un récépissé vous est transmis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

              La présence d’un avocat n’est pas obligatoire pour le dépôt de plainte et pendant toute la durée de la procédure jusqu’au procès devant le tribunal correctionnel. Toutefois, vous pouvez obtenir l’assistance d’un avocat si vous le souhaitez.

              Connaître les infractions spécifiques liées aux dérives sectaires et sanctions

              Les infractions spécifiques aux dérives sectaires incluent les situations suivantes :

              • Le placement ou le maintien d’une personne dans un état de sujétion (c’est-à-dire le fait d’être obligé de faire quelque chose ou d’être sous l’autorité de quelqu’un) psychologique ou physique Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

              • L’abus frauduleux de l’état de sujétion pour provoquer un acte ou une abstention gravement préjudiciable. Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

              • La provocation à l’abandon de soins médicaux. Cette infraction est punie d’1 an d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende (portées à 3 ans et 45 000 € si cette provocation est suivie d’effet).

              • L’utilisation de moyens numériques pour commettre ces infractions, aggravant les peines jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 750 000 € d’amende.

              Faire un signalement aux services du département

              Les services départementaux de l’aide sociale à l’enfance (Ase) sont chargés du recueil et du traitement des informations préoccupantes concernant les mineurs en danger ou qui risquent de l’être.

              Où s’adresser ?

               Services du département 

              Après avoir évalué la situation, le service de l’Ase peut saisir le procureur de la République si ses actions se sont révélées inefficaces pour remédier à la situation de danger du mineur.

              Appeler le service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger

              Les adultes et les mineurs confrontés ou préoccupés par une situation de risque et de danger peuvent effectuer un signalement au service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger (SNATED). Ce service est communément appelé Allô Enfance Maltraitée .

              Les informations préoccupantes sont transmises au service du département concerné.

              Où s’adresser ?

              Enfance en danger – 119

              Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

              Par téléphone

              119 (appel gratuit et confidentiel)

              24h/24 et 7 jours/7

              Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

              Sur le site www.allo119.gouv.fr

               Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

               Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

              Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

               Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

              Demander l’intervention du juge des enfants

              Le juge des enfants peut agir quand la santé, la sécurité ou la moralité d’un mineur sont en danger.

              Il peut aussi être fait appel au juge des enfants si les conditions d’éducation ou de développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.

              L’intervention du juge peut être demandée par l’un des 2 parents ou les 2 conjointement ou la personne ou le service à qui l’enfant a été confié ou le tuteur légal ou le mineur lui-même.

              Faire intervenir les autorités administratives et éducatives

              Face à une situation où un mineur pourrait être exposé à une dérive sectaire, les autorités administratives et éducatives peuvent agir pour garantir la sécurité et le bien-être de l’enfant. Elle disposent de différents moyens :

              • Les services départementaux, en coordination avec les préfets, peuvent ordonner une enquête administrative pour vérifier l’environnement dans lequel évolue le mineur. Cette enquête peut également inclure des visites inopinées dans les structures ou les communautés impliquées.

              • Si le mineur est scolarisé à domicile ou dans une structure associative soupçonnée de dérives sectaires, un contrôle pédagogique renforcé peut être demandé. Les inspecteurs de l’éducation nationale veilleront à ce que le droit à l’éducation soit respecté.

              • Lorsque la dérive sectaire inclut une exposition à des contenus en ligne manipulatoires, les autorités peuvent signaler ces contenus aux plateformes numériques pour suppression et prendre des mesures de sensibilisation au sein des établissements scolaires.

              • En collaboration avec les professionnels de santé, un suivi psychologique du mineur peut être organisé pour évaluer les impacts des pratiques sectaires et lui offrir un soutien adapté.

            Violence – Atteinte à l’intégrité

              Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

              Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

              Que faire face à une association qui s’apparente à une secte ?

              Une secte se caractérise par une emprise mentale qui porte atteinte à l’équilibre moral, sanitaire, financier et familial d’une personne. La secte cherche à isoler, désociabiliser, endoctriner, déresponsabiliser une personne pour la pousser à une perte d’autonomie ou encore une perte financière. Les victimes de ces agissements (membres, anciens membres ou famille de ces derniers) peuvent engager différentes actions. Nous vous présentons les informations à connaître.

                Pour obtenir des renseignements sur une association qui vous semble présenter une dérive sectaire, vous pouvez suivre les étapes suivantes :

              1. Rechercher les informations disponibles concernant cette association : vous pouvez consulter les documents officiels de l’association (statuts, comptes rendus d’assemblée générale, bilans financiers).

              2. Vous informer sur les  indices facilitant la caractérisation d’un risque de dérive sectaire  : la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) met à disposition des guides et des fiches pratiques pour mieux identifier ces indices.

              3. Interroger la Miviludes pour connaître son avis sur cette association en particulier : la Miviludes centralise les signalements et peut évaluer si une association présente des caractéristiques de dérive sectaire.

              4. Consultez les ressources spécialisées de la Miviludes, qui incluent les analyses réalisées dans le cadre de l’Observatoire national des dérives sectaires. Cet observatoire collecte et examine les signalements à l’échelle nationale, propose des solutions adaptées aux situations identifiées, et publie des rapports annuels offrant une vue d’ensemble des problématiques sectaires en France. Vous pouvez accéder à ces publications pour mieux comprendre les phénomènes liés aux dérives sectaires.

                Après avoir recueilli certaines informations sur l’association, vous pouvez informer les instances suivantes :

                • Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)

                • Professionnel et/ou association d’aides aux victimes

                • Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

                • Administration de l’État

                • Commissariat de police ou gendarmerie (pour faire un signalement ou déposer plainte).

                À la Miviludes

                Vous souhaitez informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire pour qu’une aide vous soit apportée ou pour être orienté dans vos démarches :

              • Informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire
              • Vous pouvez également contacter les correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales.

                Où s’adresser ?

                 Correspondant local de la Miviludes 

                Les courriers aux correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales, et aux professionnels sont à adresser à M. ou Mme le correspondant Dérives sectaires du service ou de l’organisme concerné.

                Auprès des professionnels et des associations

                Vous pouvez également contacter les professionnels de santé (conseils départementaux de l’ordre des médecins, des pharmaciens,…) ou les  associations de victimes de dérives sectaires .

                Ces différents interlocuteurs peuvent vous apporter de l’aide et des informations.

                Au Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

                Si vous êtes confronté à l’engagement radical d’un proche, vous pouvez contacter le Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr).

                Où s’adresser ?

                Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR)

                Écoute, informe et conseille les familles souhaitant signaler une situation de radicalisation.

                Par téléphone

                0 800 005 696

                Service et appels gratuits

                Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h.

                  Auprès du rectorat, de l’Agence régionale de santé ou de la DDETS

                  Vous pouvez également vous adresser par courrier au rectorat, à l’agence régionale de santé, à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

                  Où s’adresser ?

                   Rectorat 

                  Où s’adresser ?

                   Agence régionale de santé (ARS) 

                  Auprès du commissariat de police et de la gendarmerie

                  Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dès qu’une infraction est commise.

                  Il peut en être ainsi, par exemple, en cas d’escroquerie, d’abus de confiance, d’abus sexuel sur mineur, de maltraitance de personne âgée.

                  Vous pouvez aussi porter plainte pour abus de faiblesse, si aucune infraction spécifique à des dérives sectaires ne peut être invoquée.

                  Votre plainte doit être dirigée contre l’association (et ses membres auteurs des infractions) pour que puisse être engagée sa responsabilité pénale comme personne morale.

                  Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix.

                  Où s’adresser ?

                   Commissariat 

                  Où s’adresser ?

                   Gendarmerie 

                  La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie.

                  Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes.

                  Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

                  Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l’infraction ou du domicile de l’auteur de l’infraction.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                  Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

                  • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

                  • Récit détaillé des faits, date et lieu de l’infraction

                  • Nom de l’auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

                  • Nom et adresse des éventuels témoins de l’infraction

                  • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

                  • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats…

                  Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

                  Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception (de préférence), par lettre simple ou par lettre suivie.

                  Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l’accueil du tribunal.

                  Dans tous les cas, un récépissé vous est transmis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

                  La présence d’un avocat n’est pas obligatoire pour le dépôt de plainte et pendant toute la durée de la procédure jusqu’au procès devant le tribunal correctionnel. Toutefois, vous pouvez obtenir l’assistance d’un avocat si vous le souhaitez.

                  Connaître les infractions spécifiques liées aux dérives sectaires et sanctions

                  Les infractions spécifiques aux dérives sectaires incluent les situations suivantes :

                  • Le placement ou le maintien d’une personne dans un état de sujétion (c’est-à-dire le fait d’être obligé de faire quelque chose ou d’être sous l’autorité de quelqu’un) psychologique ou physique Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

                  • L’abus frauduleux de l’état de sujétion pour provoquer un acte ou une abstention gravement préjudiciable. Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

                  • La provocation à l’abandon de soins médicaux. Cette infraction est punie d’1 an d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende (portées à 3 ans et 45 000 € si cette provocation est suivie d’effet).

                  • L’utilisation de moyens numériques pour commettre ces infractions, aggravant les peines jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 750 000 € d’amende.

                  Faire un signalement aux services du département

                  Les services départementaux de l’aide sociale à l’enfance (Ase) sont chargés du recueil et du traitement des informations préoccupantes concernant les mineurs en danger ou qui risquent de l’être.

                  Où s’adresser ?

                   Services du département 

                  Après avoir évalué la situation, le service de l’Ase peut saisir le procureur de la République si ses actions se sont révélées inefficaces pour remédier à la situation de danger du mineur.

                  Appeler le service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger

                  Les adultes et les mineurs confrontés ou préoccupés par une situation de risque et de danger peuvent effectuer un signalement au service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger (SNATED). Ce service est communément appelé Allô Enfance Maltraitée .

                  Les informations préoccupantes sont transmises au service du département concerné.

                  Où s’adresser ?

                  Enfance en danger – 119

                  Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

                  Par téléphone

                  119 (appel gratuit et confidentiel)

                  24h/24 et 7 jours/7

                  Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

                  Sur le site www.allo119.gouv.fr

                   Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

                   Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

                  Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

                   Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

                  Demander l’intervention du juge des enfants

                  Le juge des enfants peut agir quand la santé, la sécurité ou la moralité d’un mineur sont en danger.

                  Il peut aussi être fait appel au juge des enfants si les conditions d’éducation ou de développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.

                  L’intervention du juge peut être demandée par l’un des 2 parents ou les 2 conjointement ou la personne ou le service à qui l’enfant a été confié ou le tuteur légal ou le mineur lui-même.

                  Faire intervenir les autorités administratives et éducatives

                  Face à une situation où un mineur pourrait être exposé à une dérive sectaire, les autorités administratives et éducatives peuvent agir pour garantir la sécurité et le bien-être de l’enfant. Elle disposent de différents moyens :

                  • Les services départementaux, en coordination avec les préfets, peuvent ordonner une enquête administrative pour vérifier l’environnement dans lequel évolue le mineur. Cette enquête peut également inclure des visites inopinées dans les structures ou les communautés impliquées.

                  • Si le mineur est scolarisé à domicile ou dans une structure associative soupçonnée de dérives sectaires, un contrôle pédagogique renforcé peut être demandé. Les inspecteurs de l’éducation nationale veilleront à ce que le droit à l’éducation soit respecté.

                  • Lorsque la dérive sectaire inclut une exposition à des contenus en ligne manipulatoires, les autorités peuvent signaler ces contenus aux plateformes numériques pour suppression et prendre des mesures de sensibilisation au sein des établissements scolaires.

                  • En collaboration avec les professionnels de santé, un suivi psychologique du mineur peut être organisé pour évaluer les impacts des pratiques sectaires et lui offrir un soutien adapté.

                Violence – Atteinte à l’intégrité

                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                  Que faire face à une association qui s’apparente à une secte ?

                  Une secte se caractérise par une emprise mentale qui porte atteinte à l’équilibre moral, sanitaire, financier et familial d’une personne. La secte cherche à isoler, désociabiliser, endoctriner, déresponsabiliser une personne pour la pousser à une perte d’autonomie ou encore une perte financière. Les victimes de ces agissements (membres, anciens membres ou famille de ces derniers) peuvent engager différentes actions. Nous vous présentons les informations à connaître.

                    Pour obtenir des renseignements sur une association qui vous semble présenter une dérive sectaire, vous pouvez suivre les étapes suivantes :

                  1. Rechercher les informations disponibles concernant cette association : vous pouvez consulter les documents officiels de l’association (statuts, comptes rendus d’assemblée générale, bilans financiers).

                  2. Vous informer sur les  indices facilitant la caractérisation d’un risque de dérive sectaire  : la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) met à disposition des guides et des fiches pratiques pour mieux identifier ces indices.

                  3. Interroger la Miviludes pour connaître son avis sur cette association en particulier : la Miviludes centralise les signalements et peut évaluer si une association présente des caractéristiques de dérive sectaire.

                  4. Consultez les ressources spécialisées de la Miviludes, qui incluent les analyses réalisées dans le cadre de l’Observatoire national des dérives sectaires. Cet observatoire collecte et examine les signalements à l’échelle nationale, propose des solutions adaptées aux situations identifiées, et publie des rapports annuels offrant une vue d’ensemble des problématiques sectaires en France. Vous pouvez accéder à ces publications pour mieux comprendre les phénomènes liés aux dérives sectaires.

                    Après avoir recueilli certaines informations sur l’association, vous pouvez informer les instances suivantes :

                    • Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes)

                    • Professionnel et/ou association d’aides aux victimes

                    • Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

                    • Administration de l’État

                    • Commissariat de police ou gendarmerie (pour faire un signalement ou déposer plainte).

                    À la Miviludes

                    Vous souhaitez informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire pour qu’une aide vous soit apportée ou pour être orienté dans vos démarches :

                  • Informer la Miviludes de l’existence ou d’un risque de dérive sectaire
                  • Vous pouvez également contacter les correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales.

                    Où s’adresser ?

                     Correspondant local de la Miviludes 

                    Les courriers aux correspondants locaux de la Miviludes au sein des administrations régionales ou départementales, et aux professionnels sont à adresser à M. ou Mme le correspondant Dérives sectaires du service ou de l’organisme concerné.

                    Auprès des professionnels et des associations

                    Vous pouvez également contacter les professionnels de santé (conseils départementaux de l’ordre des médecins, des pharmaciens,…) ou les  associations de victimes de dérives sectaires .

                    Ces différents interlocuteurs peuvent vous apporter de l’aide et des informations.

                    Au Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr)

                    Si vous êtes confronté à l’engagement radical d’un proche, vous pouvez contacter le Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (Cnapr).

                    Où s’adresser ?

                    Centre national d’assistance et de prévention de la radicalisation (CNAPR)

                    Écoute, informe et conseille les familles souhaitant signaler une situation de radicalisation.

                    Par téléphone

                    0 800 005 696

                    Service et appels gratuits

                    Du lundi au vendredi, de 9 h à 18 h.

                      Auprès du rectorat, de l’Agence régionale de santé ou de la DDETS

                      Vous pouvez également vous adresser par courrier au rectorat, à l’agence régionale de santé, à la direction départementale en charge de l’emploi, du travail et des solidarités (DDETS).

                      Où s’adresser ?

                       Rectorat 

                      Où s’adresser ?

                       Agence régionale de santé (ARS) 

                      Auprès du commissariat de police et de la gendarmerie

                      Vous pouvez vous rendre au commissariat de police ou à la brigade de gendarmerie dès qu’une infraction est commise.

                      Il peut en être ainsi, par exemple, en cas d’escroquerie, d’abus de confiance, d’abus sexuel sur mineur, de maltraitance de personne âgée.

                      Vous pouvez aussi porter plainte pour abus de faiblesse, si aucune infraction spécifique à des dérives sectaires ne peut être invoquée.

                      Votre plainte doit être dirigée contre l’association (et ses membres auteurs des infractions) pour que puisse être engagée sa responsabilité pénale comme personne morale.

                      Vous pouvez vous adresser à un commissariat de police ou une brigade de gendarmerie de votre choix.

                      Où s’adresser ?

                       Commissariat 

                      Où s’adresser ?

                       Gendarmerie 

                      La plainte est transmise au procureur de la République par la police ou la gendarmerie.

                      Si la police ou la gendarmerie refusent de recueillir votre plainte pour violences conjugales, vous pouvez alerter les autorités de contrôle compétentes.

                      Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

                      Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l’infraction ou du domicile de l’auteur de l’infraction.

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

                      • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

                      • Récit détaillé des faits, date et lieu de l’infraction

                      • Nom de l’auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

                      • Nom et adresse des éventuels témoins de l’infraction

                      • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

                      • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats…

                      Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

                      Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception (de préférence), par lettre simple ou par lettre suivie.

                      Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l’accueil du tribunal.

                      Dans tous les cas, un récépissé vous est transmis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

                      La présence d’un avocat n’est pas obligatoire pour le dépôt de plainte et pendant toute la durée de la procédure jusqu’au procès devant le tribunal correctionnel. Toutefois, vous pouvez obtenir l’assistance d’un avocat si vous le souhaitez.

                      Connaître les infractions spécifiques liées aux dérives sectaires et sanctions

                      Les infractions spécifiques aux dérives sectaires incluent les situations suivantes :

                      • Le placement ou le maintien d’une personne dans un état de sujétion (c’est-à-dire le fait d’être obligé de faire quelque chose ou d’être sous l’autorité de quelqu’un) psychologique ou physique Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

                      • L’abus frauduleux de l’état de sujétion pour provoquer un acte ou une abstention gravement préjudiciable. Cette infraction est punie de 3 ans d’emprisonnement et de 375 000 € d’amende (peines aggravées à 5 ans et 750 000 € si la victime est un mineur).

                      • La provocation à l’abandon de soins médicaux. Cette infraction est punie d’1 an d’emprisonnement et de 30 000 € d’amende (portées à 3 ans et 45 000 € si cette provocation est suivie d’effet).

                      • L’utilisation de moyens numériques pour commettre ces infractions, aggravant les peines jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 750 000 € d’amende.

                      Faire un signalement aux services du département

                      Les services départementaux de l’aide sociale à l’enfance (Ase) sont chargés du recueil et du traitement des informations préoccupantes concernant les mineurs en danger ou qui risquent de l’être.

                      Où s’adresser ?

                       Services du département 

                      Après avoir évalué la situation, le service de l’Ase peut saisir le procureur de la République si ses actions se sont révélées inefficaces pour remédier à la situation de danger du mineur.

                      Appeler le service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger

                      Les adultes et les mineurs confrontés ou préoccupés par une situation de risque et de danger peuvent effectuer un signalement au service national d’accueil téléphonique de l’enfance en danger (SNATED). Ce service est communément appelé Allô Enfance Maltraitée .

                      Les informations préoccupantes sont transmises au service du département concerné.

                      Où s’adresser ?

                      Enfance en danger – 119

                      Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

                      Par téléphone

                      119 (appel gratuit et confidentiel)

                      24h/24 et 7 jours/7

                      Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

                      Sur le site www.allo119.gouv.fr

                       Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

                       Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

                      Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

                       Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

                      Demander l’intervention du juge des enfants

                      Le juge des enfants peut agir quand la santé, la sécurité ou la moralité d’un mineur sont en danger.

                      Il peut aussi être fait appel au juge des enfants si les conditions d’éducation ou de développement physique, affectif, intellectuel et social sont gravement compromises.

                      L’intervention du juge peut être demandée par l’un des 2 parents ou les 2 conjointement ou la personne ou le service à qui l’enfant a été confié ou le tuteur légal ou le mineur lui-même.

                      Faire intervenir les autorités administratives et éducatives

                      Face à une situation où un mineur pourrait être exposé à une dérive sectaire, les autorités administratives et éducatives peuvent agir pour garantir la sécurité et le bien-être de l’enfant. Elle disposent de différents moyens :

                      • Les services départementaux, en coordination avec les préfets, peuvent ordonner une enquête administrative pour vérifier l’environnement dans lequel évolue le mineur. Cette enquête peut également inclure des visites inopinées dans les structures ou les communautés impliquées.

                      • Si le mineur est scolarisé à domicile ou dans une structure associative soupçonnée de dérives sectaires, un contrôle pédagogique renforcé peut être demandé. Les inspecteurs de l’éducation nationale veilleront à ce que le droit à l’éducation soit respecté.

                      • Lorsque la dérive sectaire inclut une exposition à des contenus en ligne manipulatoires, les autorités peuvent signaler ces contenus aux plateformes numériques pour suppression et prendre des mesures de sensibilisation au sein des établissements scolaires.

                      • En collaboration avec les professionnels de santé, un suivi psychologique du mineur peut être organisé pour évaluer les impacts des pratiques sectaires et lui offrir un soutien adapté.

                    Violence – Atteinte à l’intégrité

                      Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                      Faire sa demande en ligne

                      Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                      Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                      La cellule urbanisme reste votre interlocuteur privilégié pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à la solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                      Contact