Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Nationalité française d’un enfant recueilli ou confié à l’Aide sociale à l’enfance

Vous recueillez un enfant et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est recueilli par un Français ou confié à l’Aide sociale à l’enfance (Ase).

Nationalité française

    Les conditions suivantes doivent être remplies :

    • L’enfant doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal judiciaire ou à la chambre de proximité pour souscrire la déclaration de nationalité française

    • L’enfant doit être, depuis au moins 3 années, recueilli sur décision de justice et élevé par un Français.

    À savoir

    Si l’enfant recueilli ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

    La demande est faite sur papier libre.

    L’enfant recueilli sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

    Le représentant légal de l’enfant recueilli date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

    Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

    Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

    Documents à fournir

    Les documents à fournir sont les suivants :

    • Demande de nationalité française sur papier libre

      La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

    • Justificatif attestant du recueil pendant une période de 3 ans au moins.

    Concernant l’enfant recueilli

    • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

    • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

    • Justificatif de domicile

    • Photographie d’identité récente

    • Justificatif de résidence en France ou à l’étranger avec le recueillant

    • Copie certifiée conforme de la décision de recueil

    • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

    Concernant le recueillant

    • Copie intégrale de l’acte de naissance

    • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

    • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

    Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

    Consignes sur les documents à fournir

    Traduction

    Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

    Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

    Légalisation ou apostille

    Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

    La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

    Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

    Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

      La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

      Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

      Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

      Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

        Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

        Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

        La notification indique comment faire un recours.

        L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

        Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

        En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant recueilli est enregistrée d’office (acceptée).

        La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

        Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

        Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

        À savoir

        L’enfant recueilli peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

        Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

        Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

        Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

        La demande est faite sur papier libre.

        Le mineur sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

        Le représentant légal de l’enfant date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

        Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

        Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

        Documents à fournir

        Les documents à fournir sont les suivants :

        • Demande de nationalité française sur papier libre

          La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

        • Copie de la/des décision(s) du président du conseil départemental mettant en œuvre une mesure de protection administrative (accueil du mineur), ou copie certifiée conforme de la/des décision(s) de justice ordonnant le placement du mineur ou ouvrant une tutelle exercée par le président du conseil départemental.

        Concernant l’enfant confié à l’Ase

        • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

        • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

        • Justificatif de domicile

        • Photographie d’identité récente

        • Justificatifs de prise en charge par l’Ase

        • Si nécessaire, son passeport étranger, s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et qu’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

        Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

        Consignes sur les documents à fournir

        Traduction

        Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

        Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

        Légalisation ou apostille

        Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

        La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

        Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

        Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

        Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

        Le tribunal judiciaire vous notifie sa décision motivée de refus.

        Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

        La notification indique comment faire un recours.

        L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

        Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

        En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant confié à l’Ase est enregistrée d’office (acceptée).

        La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

        Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

        Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

        À savoir

        L’enfant confié à l’Ase peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

        Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

        Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

        Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

      Nationalité française d’un enfant recueilli ou confié à l’Aide sociale à l’enfance

      Vous recueillez un enfant et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est recueilli par un Français ou confié à l’Aide sociale à l’enfance (Ase).

      Nationalité française

        Les conditions suivantes doivent être remplies :

        • L’enfant doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal judiciaire ou à la chambre de proximité pour souscrire la déclaration de nationalité française

        • L’enfant doit être, depuis au moins 3 années, recueilli sur décision de justice et élevé par un Français.

        À savoir

        Si l’enfant recueilli ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

        La demande est faite sur papier libre.

        L’enfant recueilli sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

        Le représentant légal de l’enfant recueilli date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

        Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

        Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

        Documents à fournir

        Les documents à fournir sont les suivants :

        • Demande de nationalité française sur papier libre

          La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

        • Justificatif attestant du recueil pendant une période de 3 ans au moins.

        Concernant l’enfant recueilli

        • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

        • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

        • Justificatif de domicile

        • Photographie d’identité récente

        • Justificatif de résidence en France ou à l’étranger avec le recueillant

        • Copie certifiée conforme de la décision de recueil

        • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

        Concernant le recueillant

        • Copie intégrale de l’acte de naissance

        • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

        • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

        Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

        Consignes sur les documents à fournir

        Traduction

        Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

        Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

        Légalisation ou apostille

        Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

        La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

        Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

        Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

        Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

          La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

          Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

          Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

          Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

            Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

            Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

            La notification indique comment faire un recours.

            L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

            Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

            En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant recueilli est enregistrée d’office (acceptée).

            La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

            Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

            Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

            À savoir

            L’enfant recueilli peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

            Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

            Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

            Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

            La demande est faite sur papier libre.

            Le mineur sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

            Le représentant légal de l’enfant date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

            Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

            Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

            Documents à fournir

            Les documents à fournir sont les suivants :

            • Demande de nationalité française sur papier libre

              La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

            • Copie de la/des décision(s) du président du conseil départemental mettant en œuvre une mesure de protection administrative (accueil du mineur), ou copie certifiée conforme de la/des décision(s) de justice ordonnant le placement du mineur ou ouvrant une tutelle exercée par le président du conseil départemental.

            Concernant l’enfant confié à l’Ase

            • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

            • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

            • Justificatif de domicile

            • Photographie d’identité récente

            • Justificatifs de prise en charge par l’Ase

            • Si nécessaire, son passeport étranger, s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et qu’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

            Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

            Consignes sur les documents à fournir

            Traduction

            Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

            Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

            Légalisation ou apostille

            Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

            La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

            Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

            Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

            Où s’adresser ?

             Tribunal judiciaire 

            Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

            Le tribunal judiciaire vous notifie sa décision motivée de refus.

            Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

            La notification indique comment faire un recours.

            L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

            Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

            En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant confié à l’Ase est enregistrée d’office (acceptée).

            La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

            Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

            Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

            À savoir

            L’enfant confié à l’Ase peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

            Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

            Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

            Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

          Nationalité française d’un enfant recueilli ou confié à l’Aide sociale à l’enfance

          Vous recueillez un enfant et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est recueilli par un Français ou confié à l’Aide sociale à l’enfance (Ase).

          Nationalité française

            Les conditions suivantes doivent être remplies :

            • L’enfant doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal judiciaire ou à la chambre de proximité pour souscrire la déclaration de nationalité française

            • L’enfant doit être, depuis au moins 3 années, recueilli sur décision de justice et élevé par un Français.

            À savoir

            Si l’enfant recueilli ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

            La demande est faite sur papier libre.

            L’enfant recueilli sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

            Le représentant légal de l’enfant recueilli date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

            Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

            Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

            Documents à fournir

            Les documents à fournir sont les suivants :

            • Demande de nationalité française sur papier libre

              La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

            • Justificatif attestant du recueil pendant une période de 3 ans au moins.

            Concernant l’enfant recueilli

            • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

            • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

            • Justificatif de domicile

            • Photographie d’identité récente

            • Justificatif de résidence en France ou à l’étranger avec le recueillant

            • Copie certifiée conforme de la décision de recueil

            • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

            Concernant le recueillant

            • Copie intégrale de l’acte de naissance

            • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

            • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

            Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

            Consignes sur les documents à fournir

            Traduction

            Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

            Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

            Légalisation ou apostille

            Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

            La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

            Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

            Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

            Où s’adresser ?

             Tribunal judiciaire 

            Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

              La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

              Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

              Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

              Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

                Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                La notification indique comment faire un recours.

                L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant recueilli est enregistrée d’office (acceptée).

                La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                À savoir

                L’enfant recueilli peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                La demande est faite sur papier libre.

                Le mineur sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                Le représentant légal de l’enfant date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                Documents à fournir

                Les documents à fournir sont les suivants :

                • Demande de nationalité française sur papier libre

                  La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                • Copie de la/des décision(s) du président du conseil départemental mettant en œuvre une mesure de protection administrative (accueil du mineur), ou copie certifiée conforme de la/des décision(s) de justice ordonnant le placement du mineur ou ouvrant une tutelle exercée par le président du conseil départemental.

                Concernant l’enfant confié à l’Ase

                • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                • Justificatif de domicile

                • Photographie d’identité récente

                • Justificatifs de prise en charge par l’Ase

                • Si nécessaire, son passeport étranger, s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et qu’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                Consignes sur les documents à fournir

                Traduction

                Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                Légalisation ou apostille

                Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                Le tribunal judiciaire vous notifie sa décision motivée de refus.

                Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                La notification indique comment faire un recours.

                L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant confié à l’Ase est enregistrée d’office (acceptée).

                La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                À savoir

                L’enfant confié à l’Ase peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

              Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

              Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

              Nationalité française d’un enfant recueilli ou confié à l’Aide sociale à l’enfance

              Vous recueillez un enfant et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est recueilli par un Français ou confié à l’Aide sociale à l’enfance (Ase).

              Nationalité française

                Les conditions suivantes doivent être remplies :

                • L’enfant doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal judiciaire ou à la chambre de proximité pour souscrire la déclaration de nationalité française

                • L’enfant doit être, depuis au moins 3 années, recueilli sur décision de justice et élevé par un Français.

                À savoir

                Si l’enfant recueilli ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

                La demande est faite sur papier libre.

                L’enfant recueilli sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                Le représentant légal de l’enfant recueilli date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                Documents à fournir

                Les documents à fournir sont les suivants :

                • Demande de nationalité française sur papier libre

                  La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                • Justificatif attestant du recueil pendant une période de 3 ans au moins.

                Concernant l’enfant recueilli

                • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                • Justificatif de domicile

                • Photographie d’identité récente

                • Justificatif de résidence en France ou à l’étranger avec le recueillant

                • Copie certifiée conforme de la décision de recueil

                • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                Concernant le recueillant

                • Copie intégrale de l’acte de naissance

                • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

                • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

                Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                Consignes sur les documents à fournir

                Traduction

                Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                Légalisation ou apostille

                Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                  La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

                  Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                  Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                  Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                    Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

                    Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                    La notification indique comment faire un recours.

                    L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                    Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                    En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant recueilli est enregistrée d’office (acceptée).

                    La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                    Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                    Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                    À savoir

                    L’enfant recueilli peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                    Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                    Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                    Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                    La demande est faite sur papier libre.

                    Le mineur sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                    Le représentant légal de l’enfant date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                    Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                    Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                    Documents à fournir

                    Les documents à fournir sont les suivants :

                    • Demande de nationalité française sur papier libre

                      La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                    • Copie de la/des décision(s) du président du conseil départemental mettant en œuvre une mesure de protection administrative (accueil du mineur), ou copie certifiée conforme de la/des décision(s) de justice ordonnant le placement du mineur ou ouvrant une tutelle exercée par le président du conseil départemental.

                    Concernant l’enfant confié à l’Ase

                    • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                    • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                    • Justificatif de domicile

                    • Photographie d’identité récente

                    • Justificatifs de prise en charge par l’Ase

                    • Si nécessaire, son passeport étranger, s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et qu’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                    Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                    Consignes sur les documents à fournir

                    Traduction

                    Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                    Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                    Légalisation ou apostille

                    Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                    La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                    Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                    Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                    Où s’adresser ?

                     Tribunal judiciaire 

                    Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                    Le tribunal judiciaire vous notifie sa décision motivée de refus.

                    Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                    La notification indique comment faire un recours.

                    L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                    Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                    En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant confié à l’Ase est enregistrée d’office (acceptée).

                    La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                    Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                    Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                    À savoir

                    L’enfant confié à l’Ase peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                    Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                    Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                    Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                  Nationalité française d’un enfant recueilli ou confié à l’Aide sociale à l’enfance

                  Vous recueillez un enfant et voulez savoir s’il acquiert automatiquement la nationalité française ? Nous vous indiquons les informations à connaître selon que l’enfant est recueilli par un Français ou confié à l’Aide sociale à l’enfance (Ase).

                  Nationalité française

                    Les conditions suivantes doivent être remplies :

                    • L’enfant doit être mineur (moins de 18 ans) le jour de la convocation au tribunal judiciaire ou à la chambre de proximité pour souscrire la déclaration de nationalité française

                    • L’enfant doit être, depuis au moins 3 années, recueilli sur décision de justice et élevé par un Français.

                    À savoir

                    Si l’enfant recueilli ne remplit pas ces conditions, il peut devenir français à sa majorité s’il remplit les conditions d’acquisition automatique de la nationalité française. Si ce n’est pas le cas, il peut, sous conditions, acquérir la nationalité française par naturalisation.

                    La demande est faite sur papier libre.

                    L’enfant recueilli sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                    Le représentant légal de l’enfant recueilli date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                    Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                    Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                    Documents à fournir

                    Les documents à fournir sont les suivants :

                    • Demande de nationalité française sur papier libre

                      La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                    • Justificatif attestant du recueil pendant une période de 3 ans au moins.

                    Concernant l’enfant recueilli

                    • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                    • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                    • Justificatif de domicile

                    • Photographie d’identité récente

                    • Justificatif de résidence en France ou à l’étranger avec le recueillant

                    • Copie certifiée conforme de la décision de recueil

                    • Si nécessaire, passeport étranger s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et s’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                    Concernant le recueillant

                    • Copie intégrale de l’acte de naissance

                    • Certificat de nationalité française ou tous documents attestant de la nationalité française

                    • Justificatif d’identité. Par exemple, carte nationale d’identité, passeport français, permis de conduire.

                    Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                    Consignes sur les documents à fournir

                    Traduction

                    Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                    Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                    Légalisation ou apostille

                    Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                    La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                    Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                    Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                    Où s’adresser ?

                     Tribunal judiciaire 

                    Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                      La demande de nationalité française est à adresser au consulat général de France.

                      Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                      Vous serez convoqué au consulat pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                      Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                        Le tribunal judiciaire, ou le ministère de la justice si la déclaration a été souscrite à l’étranger, vous notifie sa décision motivée de refus.

                        Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                        La notification indique comment faire un recours.

                        L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                        Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                        En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant recueilli est enregistrée d’office (acceptée).

                        La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                        Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal ou par le consulat. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                        Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                        À savoir

                        L’enfant recueilli peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                        Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                        Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                        Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                        La demande est faite sur papier libre.

                        Le mineur sera convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer.

                        Le représentant légal de l’enfant date et signe la déclaration si l’enfant a moins de 16 ans, ou s’il est sous tutelle, ou si un handicap l’empêche d’exprimer sa volonté.

                        Le mineur de plus de 16 ans signe lui-même la déclaration.

                        Le greffe, ou le consulat si le mineur vit à l’étranger, établit la déclaration de nationalité française, en 2 exemplaires, à partir des informations contenues dans la demande et des documents fournis.

                        Documents à fournir

                        Les documents à fournir sont les suivants :

                        • Demande de nationalité française sur papier libre

                          La demande doit mentionner les nom(s) de famille, prénom(s), date et lieu de naissance, adresse du mineur, et si nécessaire l’adresse de son ou de ses représentants légaux. Il est utile de préciser un numéro de téléphone et une adresse mail.

                        • Copie de la/des décision(s) du président du conseil départemental mettant en œuvre une mesure de protection administrative (accueil du mineur), ou copie certifiée conforme de la/des décision(s) de justice ordonnant le placement du mineur ou ouvrant une tutelle exercée par le président du conseil départemental.

                        Concernant l’enfant confié à l’Ase

                        • Copie intégrale de l’acte de naissance français ou étranger

                        • Justificatif d’identité. Par exemple, titre d’identité républicain, passeport étranger, carte scolaire.

                        • Justificatif de domicile

                        • Photographie d’identité récente

                        • Justificatifs de prise en charge par l’Ase

                        • Si nécessaire, son passeport étranger, s’il a la nationalité d’un pays non européen (UE) et qu’il s’est rendu dans l’espace Schengen à partir d’un pays ne faisant pas partie de cet espace pour une durée inférieure à 3 mois au cours des 5 années précédant la déclaration de nationalité.

                        Des documents complémentaires pourront être demandés par le service en charge de l’instruction de votre demande en fonction de votre situation.

                        Consignes sur les documents à fournir

                        Traduction

                        Chaque document rédigé en langue étrangère doit être accompagné d’une traduction, en version originale. La traduction doit être faite par un traducteur inscrit sur la liste des experts agréés par les cours d’appel.

                        Pour éviter d’avoir à traduire certains documents délivrés par un pays de l’Union européenne, un formulaire multilingue peut être joint. Consultez le  site e-justice  pour avoir des informations complémentaires.

                        Légalisation ou apostille

                        Certains documents établis à l’étranger doivent être légalisés ou apostillés pour être acceptés en France. Renseignez-vous auprès de l’ambassade ou au consulat du pays concerné.

                        La demande de nationalité française est à adresser au tribunal judiciaire ou de proximité du lieu de résidence du mineur.

                        Vous pouvez déposer votre dossier ou l’envoyer par courrier.

                        Vous serez convoqué au tribunal pour souscrire la déclaration, c’est-à-dire la signer (le mineur de plus de 16 ans ou les représentants légaux pour les moins de 16 ans).

                        Où s’adresser ?

                         Tribunal judiciaire 

                        Un récépissé vous est adressé lorsque le dossier est complet.

                        Le tribunal judiciaire vous notifie sa décision motivée de refus.

                        Vous pouvez faire un recours dans un délai de 6 mois à partir de la date de la notification.

                        La notification indique comment faire un recours.

                        L’avocat est obligatoire. C’est lui qui se charge de la démarche.

                        Une décision d’enregistrement de la déclaration ou de refus d’enregistrement doit intervenir dans les 6 mois suivant la date du récépissé.

                        En l’absence de réponse dans ce délai, la déclaration de nationalité française de l’enfant confié à l’Ase est enregistrée d’office (acceptée).

                        La déclaration de nationalité française prend effet à la date à laquelle elle a été souscrite, c’est-à-dire la date à laquelle elle a été signée par le déclarant ou ses représentants légaux.

                        Vous recevez en mains propres une copie de la déclaration avec la mention de l’enregistrement, remise par le tribunal. Conservez cette copie car aucun autre exemplaire ne peut être délivré.

                        Une fois reçu ce document, vous pouvez faire la demande d’une carte d’identité et d’un passeport pour l’enfant adopté.

                        À savoir

                        L’enfant confié à l’Ase peut conserver sa nationalité d’origine si la réglementation du pays concerné le permet. En effet, certains pays ne reconnaissent pas la double nationalité. Renseignez-vous auprès de l’ambassade du pays d’origine.

                        Savoir si le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité

                        Le ministère public peut contester l’enregistrement de la déclaration de nationalité dans un délai de 2 ans si les conditions ne sont pas remplies.

                        Il peut également contester la déclaration de nationalité en cas de mensonge ou de fraude dans le délai de 2 ans à partir de leur découverte.

                      Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                      Faire sa demande en ligne

                      Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                      Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                      La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                      Contact