Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Comment signaler un contenu illégal publié sur internet ?

Plusieurs dispositifs permettent de signaler un contenu illégal publié sur internet. Le signalement peut être transmis aux forces de l’ordre ou à l’hébergeur d’un site web ou d’une plateforme en ligne. Dans le cas où un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Orange, etc.) vous semble inapproprié, vous pouvez en informer l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) . Nous vous présentons les informations à connaître.

Injure – Diffamation – Incitation à la haine

      Toute personne, victime ou témoin d’une publication illicite sur internet peut faire un signalement à la police ou à la gendarmerie depuis  PHAROS . Cette plateforme est ouverte aux majeurs comme aux mineurs.

    • Signaler un contenu internet illégal (internet-signalement : Pharos)
    • À savoir

       PHAROS  ne traite pas les cas urgents. En cas d’urgence (infraction en cours, personne qui menace de se suicider, etc.), vous pouvez contacter la police ou la gendarmerie au 17, le Samu au 15 ou les pompiers au 18.

      Quels contenus peuvent être signalés sur PHAROS ?

      Vous pouvez signaler un contenu publié sur internet (exemple : sur un réseau social, un blog, un forum, etc.) dès lors qu’il est accessible à tous les internautes.

      Les contenus qui peuvent être signalés depuis  PHAROS  doivent être liés :

      • À la mise en danger d’autrui (exemple : une annonce de suicide)

      • Au terrorisme (exemple : apologie du terrorisme)

      • À des menaces ou à une incitation à la violence

      • À la pornographie infantile

      • À une proposition sexuelle à un mineur sur internet

      • À une discrimination

      • Au trafic de  drogues  ou d’armes

      • À des actes de cruauté sur les animaux

      • À une incitation à commettre une infraction

      Ces contenus peuvent avoir été conçus en France ou à l’étranger.

      À savoir

      Si vous êtes victime d’injure ou de diffamation, vous ne pouvez pas utiliser  PHAROS . Vous devez directement contacter un service de police ou de gendarmerie. Il en est de même si vous avez reçu un contenu dans le cadre privé, par une personne que vous connaissez (exemple : sur une messagerie privée).

      Quelles sont les informations à indiquer sur PHAROS ?

      Lorsque vous effectuez votre signalement, vous devez cochez la rubrique correspondant au contenu illicite que vous souhaitez dénoncer (par exemple, si vous voulez signaler un cas d’apologie du terrorisme, vous devez cocher la case « terrorisme »).

      Puis, vous indiquez :

      • La date et l’heure à laquelle le contenu a été publié

      • L’endroit sur lequel vous avez observé cette publication (exemple : un site internet, un réseau social, une messagerie, etc.) et, si nécessaire, l’adresse internet (URL) correspondant au contenu que vous signalez.

      Vous pouvez également ajouter des commentaires permettant aux policiers et aux gendarmes de mieux identifier le contenu concerné.

      D’autre part, vous avez la possibilité de préciser vos coordonnées (noms, prénom, adresse mail, numéro de téléphone, etc.). Il ne s’agit pas d’une obligation. Le seul élément collecté par  PHAROS  est l’adresse IP à partir de laquelle a été fait le signalement.

      Néanmoins, avec l’accord du procureur de la République, les policiers et/ou les gendarmes ont la possibilité de rechercher une personne ayant fait un signalement.

      Quelles sont les conséquences du signalement effectué sur PHAROS ?

      Si les équipes de  PHAROS  estiment que le contenu est illicite, le signalement est transmis aux autorités compétentes (service d’enquête de la Police nationale ou de la Gendarmerie nationale,  DGCCRF ). Une enquête peut être menée sous l’autorité du procureur de la République.

      Par ailleurs, les policiers et gendarmes peuvent contacter l’hébergeur du site ou de la plateforme en cause et lui demander de supprimer le contenu illicite.

      À noter

      Si le contenu signalé a été conçu à l’étranger, il est transmis à Interpol qui l’oriente vers les autorités judiciaires du pays concerné. Dans ce cas, il est possible que la suppression de la publication ait lieu de manière différée.

      Les hébergeurs doivent mettre en place des mécanismes de signalement permettant de les alerter en cas de publication d’un contenu illégal sur un site internet ou une plateforme en ligne (exemple : les réseaux sociaux).

      Ce dispositif doit être visible et accessible à tous.

      En tant que victime ou témoin d’un contenu illicite, vous pouvez effectuer un signalement en utilisant ce dispositif.

      À la suite de ce signalement, les hébergeurs doivent immédiatement :

      • Prévenir les autorités compétentes (exemple : le procureur de la République)

      • Retirer ou de bloquer l’accès au contenu illégal

      Pour les infractions à caractère terroriste ou  pédopornographique , des règles spécifiques sont applicables.

      À noter

      Certains hébergeurs disposent de mécanismes de signalement qui leur sont propres. Il en est ainsi pour les réseaux sociaux tels que  X (anciennement Twitter),  Facebook  ,  Instagram  , Snapchat  , TikTok, , etc. Certains d’entre eux (exemple : Facebook) annoncent que le signalement d’un contenu illicite entraîne directement son retrait.

      Si vous signalez le caractère illicite d’un contenu tout en sachant qu’il ne l’est pas, vous encourez des sanctions pénales. Ces peines diffèrent en fonction de la personne à laquelle vous avez dénoncé la publication (police, gendarmerie ou hébergeur).

      Si vous dénoncer un contenu publié par une personne déterminée alors que vous êtes conscient qu’il ne s’agit pas d’une publication illicite, vous risquez une peine de :

      • 5 ans de prison

      • et 45 000 € d’amende.

        Si vous signalez un contenu comme étant illicite en étant conscient qu’il ne l’est pas, vous risquez une peine d’un an de prison et de 15 000 € d’amende.

        Lors du visionnage d’un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Allociné, Orange, etc.), vous estimez qu’une séquence nuit au respect des personnes, notamment à la protection des mineurs. Dans ce cas, vous pouvez signaler ce programme à l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) .

        À la suite de ce signalement, l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  visionne la séquence concernée afin de déterminer s’il s’agit d’un contenu illicite. Si tel est le cas, l’éditeur ou l’hébergeur du service de rattrapage ou de vidéo à la demande sont mis en demeure de retirer ces contenus ou d’en cesser la diffusion.

        • Pour obtenir de l’aide en tant que victime d’infraction :
          116 006 – Numéro d’aide aux victimes

          Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

          En France métropolitaine

          116 006

          Appel gratuit

          Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

          Hors métropole (ou depuis l’étranger)

          + 33 (0)1 80 52 33 76

          Appel gratuit

          Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

          Pour les personnes malentendantes

          Par mail :  victimes@116006.fr 

        Comment signaler un contenu illégal publié sur internet ?

        Plusieurs dispositifs permettent de signaler un contenu illégal publié sur internet. Le signalement peut être transmis aux forces de l’ordre ou à l’hébergeur d’un site web ou d’une plateforme en ligne. Dans le cas où un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Orange, etc.) vous semble inapproprié, vous pouvez en informer l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) . Nous vous présentons les informations à connaître.

        Injure – Diffamation – Incitation à la haine

            Toute personne, victime ou témoin d’une publication illicite sur internet peut faire un signalement à la police ou à la gendarmerie depuis  PHAROS . Cette plateforme est ouverte aux majeurs comme aux mineurs.

          • Signaler un contenu internet illégal (internet-signalement : Pharos)
          • À savoir

             PHAROS  ne traite pas les cas urgents. En cas d’urgence (infraction en cours, personne qui menace de se suicider, etc.), vous pouvez contacter la police ou la gendarmerie au 17, le Samu au 15 ou les pompiers au 18.

            Quels contenus peuvent être signalés sur PHAROS ?

            Vous pouvez signaler un contenu publié sur internet (exemple : sur un réseau social, un blog, un forum, etc.) dès lors qu’il est accessible à tous les internautes.

            Les contenus qui peuvent être signalés depuis  PHAROS  doivent être liés :

            • À la mise en danger d’autrui (exemple : une annonce de suicide)

            • Au terrorisme (exemple : apologie du terrorisme)

            • À des menaces ou à une incitation à la violence

            • À la pornographie infantile

            • À une proposition sexuelle à un mineur sur internet

            • À une discrimination

            • Au trafic de  drogues  ou d’armes

            • À des actes de cruauté sur les animaux

            • À une incitation à commettre une infraction

            Ces contenus peuvent avoir été conçus en France ou à l’étranger.

            À savoir

            Si vous êtes victime d’injure ou de diffamation, vous ne pouvez pas utiliser  PHAROS . Vous devez directement contacter un service de police ou de gendarmerie. Il en est de même si vous avez reçu un contenu dans le cadre privé, par une personne que vous connaissez (exemple : sur une messagerie privée).

            Quelles sont les informations à indiquer sur PHAROS ?

            Lorsque vous effectuez votre signalement, vous devez cochez la rubrique correspondant au contenu illicite que vous souhaitez dénoncer (par exemple, si vous voulez signaler un cas d’apologie du terrorisme, vous devez cocher la case « terrorisme »).

            Puis, vous indiquez :

            • La date et l’heure à laquelle le contenu a été publié

            • L’endroit sur lequel vous avez observé cette publication (exemple : un site internet, un réseau social, une messagerie, etc.) et, si nécessaire, l’adresse internet (URL) correspondant au contenu que vous signalez.

            Vous pouvez également ajouter des commentaires permettant aux policiers et aux gendarmes de mieux identifier le contenu concerné.

            D’autre part, vous avez la possibilité de préciser vos coordonnées (noms, prénom, adresse mail, numéro de téléphone, etc.). Il ne s’agit pas d’une obligation. Le seul élément collecté par  PHAROS  est l’adresse IP à partir de laquelle a été fait le signalement.

            Néanmoins, avec l’accord du procureur de la République, les policiers et/ou les gendarmes ont la possibilité de rechercher une personne ayant fait un signalement.

            Quelles sont les conséquences du signalement effectué sur PHAROS ?

            Si les équipes de  PHAROS  estiment que le contenu est illicite, le signalement est transmis aux autorités compétentes (service d’enquête de la Police nationale ou de la Gendarmerie nationale,  DGCCRF ). Une enquête peut être menée sous l’autorité du procureur de la République.

            Par ailleurs, les policiers et gendarmes peuvent contacter l’hébergeur du site ou de la plateforme en cause et lui demander de supprimer le contenu illicite.

            À noter

            Si le contenu signalé a été conçu à l’étranger, il est transmis à Interpol qui l’oriente vers les autorités judiciaires du pays concerné. Dans ce cas, il est possible que la suppression de la publication ait lieu de manière différée.

            Les hébergeurs doivent mettre en place des mécanismes de signalement permettant de les alerter en cas de publication d’un contenu illégal sur un site internet ou une plateforme en ligne (exemple : les réseaux sociaux).

            Ce dispositif doit être visible et accessible à tous.

            En tant que victime ou témoin d’un contenu illicite, vous pouvez effectuer un signalement en utilisant ce dispositif.

            À la suite de ce signalement, les hébergeurs doivent immédiatement :

            • Prévenir les autorités compétentes (exemple : le procureur de la République)

            • Retirer ou de bloquer l’accès au contenu illégal

            Pour les infractions à caractère terroriste ou  pédopornographique , des règles spécifiques sont applicables.

            À noter

            Certains hébergeurs disposent de mécanismes de signalement qui leur sont propres. Il en est ainsi pour les réseaux sociaux tels que  X (anciennement Twitter),  Facebook  ,  Instagram  , Snapchat  , TikTok, , etc. Certains d’entre eux (exemple : Facebook) annoncent que le signalement d’un contenu illicite entraîne directement son retrait.

            Si vous signalez le caractère illicite d’un contenu tout en sachant qu’il ne l’est pas, vous encourez des sanctions pénales. Ces peines diffèrent en fonction de la personne à laquelle vous avez dénoncé la publication (police, gendarmerie ou hébergeur).

            Si vous dénoncer un contenu publié par une personne déterminée alors que vous êtes conscient qu’il ne s’agit pas d’une publication illicite, vous risquez une peine de :

            • 5 ans de prison

            • et 45 000 € d’amende.

              Si vous signalez un contenu comme étant illicite en étant conscient qu’il ne l’est pas, vous risquez une peine d’un an de prison et de 15 000 € d’amende.

              Lors du visionnage d’un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Allociné, Orange, etc.), vous estimez qu’une séquence nuit au respect des personnes, notamment à la protection des mineurs. Dans ce cas, vous pouvez signaler ce programme à l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) .

              À la suite de ce signalement, l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  visionne la séquence concernée afin de déterminer s’il s’agit d’un contenu illicite. Si tel est le cas, l’éditeur ou l’hébergeur du service de rattrapage ou de vidéo à la demande sont mis en demeure de retirer ces contenus ou d’en cesser la diffusion.

              • Pour obtenir de l’aide en tant que victime d’infraction :
                116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                En France métropolitaine

                116 006

                Appel gratuit

                Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                + 33 (0)1 80 52 33 76

                Appel gratuit

                Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                Pour les personnes malentendantes

                Par mail :  victimes@116006.fr 

              Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

              Comment signaler un contenu illégal publié sur internet ?

              Plusieurs dispositifs permettent de signaler un contenu illégal publié sur internet. Le signalement peut être transmis aux forces de l’ordre ou à l’hébergeur d’un site web ou d’une plateforme en ligne. Dans le cas où un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Orange, etc.) vous semble inapproprié, vous pouvez en informer l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) . Nous vous présentons les informations à connaître.

              Injure – Diffamation – Incitation à la haine

                  Toute personne, victime ou témoin d’une publication illicite sur internet peut faire un signalement à la police ou à la gendarmerie depuis  PHAROS . Cette plateforme est ouverte aux majeurs comme aux mineurs.

                • Signaler un contenu internet illégal (internet-signalement : Pharos)
                • À savoir

                   PHAROS  ne traite pas les cas urgents. En cas d’urgence (infraction en cours, personne qui menace de se suicider, etc.), vous pouvez contacter la police ou la gendarmerie au 17, le Samu au 15 ou les pompiers au 18.

                  Quels contenus peuvent être signalés sur PHAROS ?

                  Vous pouvez signaler un contenu publié sur internet (exemple : sur un réseau social, un blog, un forum, etc.) dès lors qu’il est accessible à tous les internautes.

                  Les contenus qui peuvent être signalés depuis  PHAROS  doivent être liés :

                  • À la mise en danger d’autrui (exemple : une annonce de suicide)

                  • Au terrorisme (exemple : apologie du terrorisme)

                  • À des menaces ou à une incitation à la violence

                  • À la pornographie infantile

                  • À une proposition sexuelle à un mineur sur internet

                  • À une discrimination

                  • Au trafic de  drogues  ou d’armes

                  • À des actes de cruauté sur les animaux

                  • À une incitation à commettre une infraction

                  Ces contenus peuvent avoir été conçus en France ou à l’étranger.

                  À savoir

                  Si vous êtes victime d’injure ou de diffamation, vous ne pouvez pas utiliser  PHAROS . Vous devez directement contacter un service de police ou de gendarmerie. Il en est de même si vous avez reçu un contenu dans le cadre privé, par une personne que vous connaissez (exemple : sur une messagerie privée).

                  Quelles sont les informations à indiquer sur PHAROS ?

                  Lorsque vous effectuez votre signalement, vous devez cochez la rubrique correspondant au contenu illicite que vous souhaitez dénoncer (par exemple, si vous voulez signaler un cas d’apologie du terrorisme, vous devez cocher la case « terrorisme »).

                  Puis, vous indiquez :

                  • La date et l’heure à laquelle le contenu a été publié

                  • L’endroit sur lequel vous avez observé cette publication (exemple : un site internet, un réseau social, une messagerie, etc.) et, si nécessaire, l’adresse internet (URL) correspondant au contenu que vous signalez.

                  Vous pouvez également ajouter des commentaires permettant aux policiers et aux gendarmes de mieux identifier le contenu concerné.

                  D’autre part, vous avez la possibilité de préciser vos coordonnées (noms, prénom, adresse mail, numéro de téléphone, etc.). Il ne s’agit pas d’une obligation. Le seul élément collecté par  PHAROS  est l’adresse IP à partir de laquelle a été fait le signalement.

                  Néanmoins, avec l’accord du procureur de la République, les policiers et/ou les gendarmes ont la possibilité de rechercher une personne ayant fait un signalement.

                  Quelles sont les conséquences du signalement effectué sur PHAROS ?

                  Si les équipes de  PHAROS  estiment que le contenu est illicite, le signalement est transmis aux autorités compétentes (service d’enquête de la Police nationale ou de la Gendarmerie nationale,  DGCCRF ). Une enquête peut être menée sous l’autorité du procureur de la République.

                  Par ailleurs, les policiers et gendarmes peuvent contacter l’hébergeur du site ou de la plateforme en cause et lui demander de supprimer le contenu illicite.

                  À noter

                  Si le contenu signalé a été conçu à l’étranger, il est transmis à Interpol qui l’oriente vers les autorités judiciaires du pays concerné. Dans ce cas, il est possible que la suppression de la publication ait lieu de manière différée.

                  Les hébergeurs doivent mettre en place des mécanismes de signalement permettant de les alerter en cas de publication d’un contenu illégal sur un site internet ou une plateforme en ligne (exemple : les réseaux sociaux).

                  Ce dispositif doit être visible et accessible à tous.

                  En tant que victime ou témoin d’un contenu illicite, vous pouvez effectuer un signalement en utilisant ce dispositif.

                  À la suite de ce signalement, les hébergeurs doivent immédiatement :

                  • Prévenir les autorités compétentes (exemple : le procureur de la République)

                  • Retirer ou de bloquer l’accès au contenu illégal

                  Pour les infractions à caractère terroriste ou  pédopornographique , des règles spécifiques sont applicables.

                  À noter

                  Certains hébergeurs disposent de mécanismes de signalement qui leur sont propres. Il en est ainsi pour les réseaux sociaux tels que  X (anciennement Twitter),  Facebook  ,  Instagram  , Snapchat  , TikTok, , etc. Certains d’entre eux (exemple : Facebook) annoncent que le signalement d’un contenu illicite entraîne directement son retrait.

                  Si vous signalez le caractère illicite d’un contenu tout en sachant qu’il ne l’est pas, vous encourez des sanctions pénales. Ces peines diffèrent en fonction de la personne à laquelle vous avez dénoncé la publication (police, gendarmerie ou hébergeur).

                  Si vous dénoncer un contenu publié par une personne déterminée alors que vous êtes conscient qu’il ne s’agit pas d’une publication illicite, vous risquez une peine de :

                  • 5 ans de prison

                  • et 45 000 € d’amende.

                    Si vous signalez un contenu comme étant illicite en étant conscient qu’il ne l’est pas, vous risquez une peine d’un an de prison et de 15 000 € d’amende.

                    Lors du visionnage d’un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Allociné, Orange, etc.), vous estimez qu’une séquence nuit au respect des personnes, notamment à la protection des mineurs. Dans ce cas, vous pouvez signaler ce programme à l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) .

                    À la suite de ce signalement, l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  visionne la séquence concernée afin de déterminer s’il s’agit d’un contenu illicite. Si tel est le cas, l’éditeur ou l’hébergeur du service de rattrapage ou de vidéo à la demande sont mis en demeure de retirer ces contenus ou d’en cesser la diffusion.

                    • Pour obtenir de l’aide en tant que victime d’infraction :
                      116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                      Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                      En France métropolitaine

                      116 006

                      Appel gratuit

                      Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                      Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                      + 33 (0)1 80 52 33 76

                      Appel gratuit

                      Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                      Pour les personnes malentendantes

                      Par mail :  victimes@116006.fr 

                    Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                    Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                    Comment signaler un contenu illégal publié sur internet ?

                    Plusieurs dispositifs permettent de signaler un contenu illégal publié sur internet. Le signalement peut être transmis aux forces de l’ordre ou à l’hébergeur d’un site web ou d’une plateforme en ligne. Dans le cas où un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Orange, etc.) vous semble inapproprié, vous pouvez en informer l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) . Nous vous présentons les informations à connaître.

                    Injure – Diffamation – Incitation à la haine

                        Toute personne, victime ou témoin d’une publication illicite sur internet peut faire un signalement à la police ou à la gendarmerie depuis  PHAROS . Cette plateforme est ouverte aux majeurs comme aux mineurs.

                      • Signaler un contenu internet illégal (internet-signalement : Pharos)
                      • À savoir

                         PHAROS  ne traite pas les cas urgents. En cas d’urgence (infraction en cours, personne qui menace de se suicider, etc.), vous pouvez contacter la police ou la gendarmerie au 17, le Samu au 15 ou les pompiers au 18.

                        Quels contenus peuvent être signalés sur PHAROS ?

                        Vous pouvez signaler un contenu publié sur internet (exemple : sur un réseau social, un blog, un forum, etc.) dès lors qu’il est accessible à tous les internautes.

                        Les contenus qui peuvent être signalés depuis  PHAROS  doivent être liés :

                        • À la mise en danger d’autrui (exemple : une annonce de suicide)

                        • Au terrorisme (exemple : apologie du terrorisme)

                        • À des menaces ou à une incitation à la violence

                        • À la pornographie infantile

                        • À une proposition sexuelle à un mineur sur internet

                        • À une discrimination

                        • Au trafic de  drogues  ou d’armes

                        • À des actes de cruauté sur les animaux

                        • À une incitation à commettre une infraction

                        Ces contenus peuvent avoir été conçus en France ou à l’étranger.

                        À savoir

                        Si vous êtes victime d’injure ou de diffamation, vous ne pouvez pas utiliser  PHAROS . Vous devez directement contacter un service de police ou de gendarmerie. Il en est de même si vous avez reçu un contenu dans le cadre privé, par une personne que vous connaissez (exemple : sur une messagerie privée).

                        Quelles sont les informations à indiquer sur PHAROS ?

                        Lorsque vous effectuez votre signalement, vous devez cochez la rubrique correspondant au contenu illicite que vous souhaitez dénoncer (par exemple, si vous voulez signaler un cas d’apologie du terrorisme, vous devez cocher la case « terrorisme »).

                        Puis, vous indiquez :

                        • La date et l’heure à laquelle le contenu a été publié

                        • L’endroit sur lequel vous avez observé cette publication (exemple : un site internet, un réseau social, une messagerie, etc.) et, si nécessaire, l’adresse internet (URL) correspondant au contenu que vous signalez.

                        Vous pouvez également ajouter des commentaires permettant aux policiers et aux gendarmes de mieux identifier le contenu concerné.

                        D’autre part, vous avez la possibilité de préciser vos coordonnées (noms, prénom, adresse mail, numéro de téléphone, etc.). Il ne s’agit pas d’une obligation. Le seul élément collecté par  PHAROS  est l’adresse IP à partir de laquelle a été fait le signalement.

                        Néanmoins, avec l’accord du procureur de la République, les policiers et/ou les gendarmes ont la possibilité de rechercher une personne ayant fait un signalement.

                        Quelles sont les conséquences du signalement effectué sur PHAROS ?

                        Si les équipes de  PHAROS  estiment que le contenu est illicite, le signalement est transmis aux autorités compétentes (service d’enquête de la Police nationale ou de la Gendarmerie nationale,  DGCCRF ). Une enquête peut être menée sous l’autorité du procureur de la République.

                        Par ailleurs, les policiers et gendarmes peuvent contacter l’hébergeur du site ou de la plateforme en cause et lui demander de supprimer le contenu illicite.

                        À noter

                        Si le contenu signalé a été conçu à l’étranger, il est transmis à Interpol qui l’oriente vers les autorités judiciaires du pays concerné. Dans ce cas, il est possible que la suppression de la publication ait lieu de manière différée.

                        Les hébergeurs doivent mettre en place des mécanismes de signalement permettant de les alerter en cas de publication d’un contenu illégal sur un site internet ou une plateforme en ligne (exemple : les réseaux sociaux).

                        Ce dispositif doit être visible et accessible à tous.

                        En tant que victime ou témoin d’un contenu illicite, vous pouvez effectuer un signalement en utilisant ce dispositif.

                        À la suite de ce signalement, les hébergeurs doivent immédiatement :

                        • Prévenir les autorités compétentes (exemple : le procureur de la République)

                        • Retirer ou de bloquer l’accès au contenu illégal

                        Pour les infractions à caractère terroriste ou  pédopornographique , des règles spécifiques sont applicables.

                        À noter

                        Certains hébergeurs disposent de mécanismes de signalement qui leur sont propres. Il en est ainsi pour les réseaux sociaux tels que  X (anciennement Twitter),  Facebook  ,  Instagram  , Snapchat  , TikTok, , etc. Certains d’entre eux (exemple : Facebook) annoncent que le signalement d’un contenu illicite entraîne directement son retrait.

                        Si vous signalez le caractère illicite d’un contenu tout en sachant qu’il ne l’est pas, vous encourez des sanctions pénales. Ces peines diffèrent en fonction de la personne à laquelle vous avez dénoncé la publication (police, gendarmerie ou hébergeur).

                        Si vous dénoncer un contenu publié par une personne déterminée alors que vous êtes conscient qu’il ne s’agit pas d’une publication illicite, vous risquez une peine de :

                        • 5 ans de prison

                        • et 45 000 € d’amende.

                          Si vous signalez un contenu comme étant illicite en étant conscient qu’il ne l’est pas, vous risquez une peine d’un an de prison et de 15 000 € d’amende.

                          Lors du visionnage d’un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Allociné, Orange, etc.), vous estimez qu’une séquence nuit au respect des personnes, notamment à la protection des mineurs. Dans ce cas, vous pouvez signaler ce programme à l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) .

                          À la suite de ce signalement, l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  visionne la séquence concernée afin de déterminer s’il s’agit d’un contenu illicite. Si tel est le cas, l’éditeur ou l’hébergeur du service de rattrapage ou de vidéo à la demande sont mis en demeure de retirer ces contenus ou d’en cesser la diffusion.

                          • Pour obtenir de l’aide en tant que victime d’infraction :
                            116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                            Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                            En France métropolitaine

                            116 006

                            Appel gratuit

                            Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                            Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                            + 33 (0)1 80 52 33 76

                            Appel gratuit

                            Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                            Pour les personnes malentendantes

                            Par mail :  victimes@116006.fr 

                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                          Comment signaler un contenu illégal publié sur internet ?

                          Plusieurs dispositifs permettent de signaler un contenu illégal publié sur internet. Le signalement peut être transmis aux forces de l’ordre ou à l’hébergeur d’un site web ou d’une plateforme en ligne. Dans le cas où un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Orange, etc.) vous semble inapproprié, vous pouvez en informer l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) . Nous vous présentons les informations à connaître.

                          Injure – Diffamation – Incitation à la haine

                              Toute personne, victime ou témoin d’une publication illicite sur internet peut faire un signalement à la police ou à la gendarmerie depuis  PHAROS . Cette plateforme est ouverte aux majeurs comme aux mineurs.

                            • Signaler un contenu internet illégal (internet-signalement : Pharos)
                            • À savoir

                               PHAROS  ne traite pas les cas urgents. En cas d’urgence (infraction en cours, personne qui menace de se suicider, etc.), vous pouvez contacter la police ou la gendarmerie au 17, le Samu au 15 ou les pompiers au 18.

                              Quels contenus peuvent être signalés sur PHAROS ?

                              Vous pouvez signaler un contenu publié sur internet (exemple : sur un réseau social, un blog, un forum, etc.) dès lors qu’il est accessible à tous les internautes.

                              Les contenus qui peuvent être signalés depuis  PHAROS  doivent être liés :

                              • À la mise en danger d’autrui (exemple : une annonce de suicide)

                              • Au terrorisme (exemple : apologie du terrorisme)

                              • À des menaces ou à une incitation à la violence

                              • À la pornographie infantile

                              • À une proposition sexuelle à un mineur sur internet

                              • À une discrimination

                              • Au trafic de  drogues  ou d’armes

                              • À des actes de cruauté sur les animaux

                              • À une incitation à commettre une infraction

                              Ces contenus peuvent avoir été conçus en France ou à l’étranger.

                              À savoir

                              Si vous êtes victime d’injure ou de diffamation, vous ne pouvez pas utiliser  PHAROS . Vous devez directement contacter un service de police ou de gendarmerie. Il en est de même si vous avez reçu un contenu dans le cadre privé, par une personne que vous connaissez (exemple : sur une messagerie privée).

                              Quelles sont les informations à indiquer sur PHAROS ?

                              Lorsque vous effectuez votre signalement, vous devez cochez la rubrique correspondant au contenu illicite que vous souhaitez dénoncer (par exemple, si vous voulez signaler un cas d’apologie du terrorisme, vous devez cocher la case « terrorisme »).

                              Puis, vous indiquez :

                              • La date et l’heure à laquelle le contenu a été publié

                              • L’endroit sur lequel vous avez observé cette publication (exemple : un site internet, un réseau social, une messagerie, etc.) et, si nécessaire, l’adresse internet (URL) correspondant au contenu que vous signalez.

                              Vous pouvez également ajouter des commentaires permettant aux policiers et aux gendarmes de mieux identifier le contenu concerné.

                              D’autre part, vous avez la possibilité de préciser vos coordonnées (noms, prénom, adresse mail, numéro de téléphone, etc.). Il ne s’agit pas d’une obligation. Le seul élément collecté par  PHAROS  est l’adresse IP à partir de laquelle a été fait le signalement.

                              Néanmoins, avec l’accord du procureur de la République, les policiers et/ou les gendarmes ont la possibilité de rechercher une personne ayant fait un signalement.

                              Quelles sont les conséquences du signalement effectué sur PHAROS ?

                              Si les équipes de  PHAROS  estiment que le contenu est illicite, le signalement est transmis aux autorités compétentes (service d’enquête de la Police nationale ou de la Gendarmerie nationale,  DGCCRF ). Une enquête peut être menée sous l’autorité du procureur de la République.

                              Par ailleurs, les policiers et gendarmes peuvent contacter l’hébergeur du site ou de la plateforme en cause et lui demander de supprimer le contenu illicite.

                              À noter

                              Si le contenu signalé a été conçu à l’étranger, il est transmis à Interpol qui l’oriente vers les autorités judiciaires du pays concerné. Dans ce cas, il est possible que la suppression de la publication ait lieu de manière différée.

                              Les hébergeurs doivent mettre en place des mécanismes de signalement permettant de les alerter en cas de publication d’un contenu illégal sur un site internet ou une plateforme en ligne (exemple : les réseaux sociaux).

                              Ce dispositif doit être visible et accessible à tous.

                              En tant que victime ou témoin d’un contenu illicite, vous pouvez effectuer un signalement en utilisant ce dispositif.

                              À la suite de ce signalement, les hébergeurs doivent immédiatement :

                              • Prévenir les autorités compétentes (exemple : le procureur de la République)

                              • Retirer ou de bloquer l’accès au contenu illégal

                              Pour les infractions à caractère terroriste ou  pédopornographique , des règles spécifiques sont applicables.

                              À noter

                              Certains hébergeurs disposent de mécanismes de signalement qui leur sont propres. Il en est ainsi pour les réseaux sociaux tels que  X (anciennement Twitter),  Facebook  ,  Instagram  , Snapchat  , TikTok, , etc. Certains d’entre eux (exemple : Facebook) annoncent que le signalement d’un contenu illicite entraîne directement son retrait.

                              Si vous signalez le caractère illicite d’un contenu tout en sachant qu’il ne l’est pas, vous encourez des sanctions pénales. Ces peines diffèrent en fonction de la personne à laquelle vous avez dénoncé la publication (police, gendarmerie ou hébergeur).

                              Si vous dénoncer un contenu publié par une personne déterminée alors que vous êtes conscient qu’il ne s’agit pas d’une publication illicite, vous risquez une peine de :

                              • 5 ans de prison

                              • et 45 000 € d’amende.

                                Si vous signalez un contenu comme étant illicite en étant conscient qu’il ne l’est pas, vous risquez une peine d’un an de prison et de 15 000 € d’amende.

                                Lors du visionnage d’un programme diffusé sur un service de rattrapage (replay) ou de vidéo à la demande (exemple : OCS, Allociné, Orange, etc.), vous estimez qu’une séquence nuit au respect des personnes, notamment à la protection des mineurs. Dans ce cas, vous pouvez signaler ce programme à l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi) .

                                À la suite de ce signalement, l’ Arcom (ex-CSA et Hadopi)  visionne la séquence concernée afin de déterminer s’il s’agit d’un contenu illicite. Si tel est le cas, l’éditeur ou l’hébergeur du service de rattrapage ou de vidéo à la demande sont mis en demeure de retirer ces contenus ou d’en cesser la diffusion.

                                • Pour obtenir de l’aide en tant que victime d’infraction :
                                  116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                                  Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                                  En France métropolitaine

                                  116 006

                                  Appel gratuit

                                  Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                                  Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                                  + 33 (0)1 80 52 33 76

                                  Appel gratuit

                                  Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                                  Pour les personnes malentendantes

                                  Par mail :  victimes@116006.fr 

                                Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                Faire sa demande en ligne

                                Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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