Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Médecine du travail : qu’est-ce que le suivi individuel renforcé d’un salarié ?

Un salarié exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité, pour celles de ses collègues ou des tiers bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR) de son état de santé. À quoi sert ce suivi particulier ? Quels avis le médecin du travail peut-il délivrer ? L’examen est-il renouvelable ? Nous faisons le point sur la réglementation.

Les conditions du suivi individuel renforcé différent selon que le salarié est un travailleur saisonnier, un intérimaire ou non.

Conditions de travail dans le secteur privé

Le bénéfice du suivi individuel renforcé de l’état de santé du salarié dépend des risques particuliers auxquels il est ou non exposé.

    Le suivi individuel renforcé (SIR) concerne les salariés exposés à des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    Le SIR comporte un examen médical d’aptitude préalable à l’embauche réalisé par le médecin du travail. Cet examen remplace la visite d’information et de prévention (Vip).

    Cet examen médical d’aptitude est renouvelé au moins tous les 4 ans. Le médecin du travail peut choisir une périodicité plus courte pour son renouvellement.

    Une visite intermédiaire est effectuée par un professionnel de santé au plus tard 2 ans après la visite avec le médecin du travail.

    Ces examens médicaux permettent notamment de s’assurer que le salarié est apte au poste de travail auquel l’employeur envisage de l’affecter.

    Ils permettent aussi de rechercher s’il n’est pas atteint d’une affection comportant un danger pour les autres salariés. Ils permettent également de proposer des adaptations du poste ou l’affectation à d’autres postes.

    Ils permettent enfin de l’informer sur les risques liés à son poste de travail et le suivi médical nécessaire et le sensibiliser sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

    Le SIR est mis en place dans les entreprises privées, les  Épic  et les  Epa  employant du personnel de droit privé.

    Salariés exposé à un risque particulier

    Il s’agit des salariés affectés à un poste les exposant aux risques particuliers suivants :

    • Amiante

    • Plomb selon des valeurs d’expositions professionnelles

    • Agents cancérogènes ou pouvant causer des mutations génétiques ou nuire à la fonction de reproduction (agents  CMR )

    • Rayonnements ionisants

    • Agents biologiques des  groupes 3 et 4 

    • Hyperbare

    • Chute de hauteur lors d’opérations de montage et démontage d’échafaudages

    Salariés affecté à un poste particulier

    Il s’agit des salariés affectés à des postes soumis à un examen d’aptitude spécifique et en particulier les suivants :

    • Salariés ayant une autorisation de conduite d’équipements présentant des risques, délivrée par l’employeur (engin de levage par exemple)

    • Jeunes de moins de 18 ans affectés sur des travaux interdits pouvant nécessiter des dérogations

    • Salariés habilités par l’employeur à effectuer des opérations sur les installations électriques sous tension

    Salariés affectés à un poste défini par l’employeur

    Il s’agit des salariés pouvant être concernés par la liste des postes présentant des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    L’employeur complète cette liste, après avis du médecin du travail et du  CSE , en cohérence avec l’évaluation des risques et la fiche d’entreprise.

    L’employeur doit justifier par écrit l’inscription de tout poste sur cette liste.

    Cette liste est mise à jour tous les ans.

    Elle est transmise au service de prévention et de santé au travail et tenue à la disposition des services de prévention des organismes de sécurité sociale et de la  Dreets .

    L’employeur est dispensé d’organiser l’examen médical d’aptitude d’un salarié nouvellement recruté si l’ensemble des conditions suivantes sont réunies :

    • Emploi identique et présentant des risques d’exposition équivalents

    • Médecin du travail en possession du dernier avis d’aptitude du salarié

    • Aucun avis d’inaptitude du salarié au cours des 2 dernières années

    • Aucune mesure individuelle de transformation du poste de travail du salarié ou d’aménagement de son temps de travail au cours des 2 dernières années

    Lors de la visite médicale d’aptitude, un dossier médical en santé au travail est constitué par le médecin du travail.

    Après l’examen médical d’aptitude (initial comme périodique), le médecin du travail remet un avis d’aptitude (ou d’inaptitude) au salarié.

    L’avis est annexé au dossier médical de santé au travail du salarié.

    S’il le juge nécessaire, le médecin du travail peut proposer à l’employeur des mesures individuelles telles qu’une mutation ou une transformation de poste.

    L’employeur prend en considération les propositions du médecin du travail et, en cas de refus, en fait connaître ses motifs.

    Certains salariés sont examinés par le médecin du travail dans les situations suivantes :

    • Salariés bénéficiant ou ayant bénéficié d’un suivi individuel renforcé de leur état de santé pendant leur carrière

    • Salariés ayant été exposé à un ou plusieurs des risques particuliers avant la mise en œuvre du dispositif de suivi individuel renforcé

    L’employeur sollicite cette visite auprès du service de prévention et de santé au travail auquel il adhère. Il en informe immédiatement le salarié.

    Cette visite a lieu dans les conditions suivantes :

    • Dans les meilleurs délais après la fin de l’exposition du salarié à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité

    • Avant le départ volontaire ou la mise à la retraite du salarié

    Le salarié qui estime pouvoir bénéficier de cette visite et qui n’en a pas été informé par son employeur peut en demander l’organisation directement auprès du service de prévention et de santé au travail.

    Le salarié en fait la demande pendant le mois précédant la date de fin de l’exposition aux risques ou pendant le mois précédant son départ de l’entreprise.

    Cette demande doit être effectuée au plus tard 6 mois après la fin de cette exposition.

    Le salarié informe l’employeur de sa démarche.

    Cet examen permet d’établir un bilan récapitulatif et un suivi des expositions à 1 ou plusieurs facteurs de risques professionnels auxquelles a été soumis le salarié.

    Ce bilan est élaboré sur la base des informations contenues dans le dossier médical en santé au travail du salarié, de ses déclarations et celles de ses employeurs successifs.

    Le médecin du travail met en place une surveillance médicale particulière s’il constate que le salarié a été exposé à des risques dangereux, notamment chimiques, pendant sa carrière.

    Cette surveillance du salarié dite post-exposition ou post-professionnelle se fait en lien avec le médecin traitant et le médecin conseil des organismes de sécurité sociale.

    Elle tient compte de la nature du risque auquel le salarié a été exposé, de l’état de santé et de l’âge de l’intéressé.

    Le médecin du travail informe le salarié des démarches à effectuer pour bénéficier de ce suivi.

Le salarié saisonnier exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés saisonniers.

Le salarié intérimaire exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés intérimaires.

Médecine du travail : qu’est-ce que le suivi individuel renforcé d’un salarié ?

Un salarié exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité, pour celles de ses collègues ou des tiers bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR) de son état de santé. À quoi sert ce suivi particulier ? Quels avis le médecin du travail peut-il délivrer ? L’examen est-il renouvelable ? Nous faisons le point sur la réglementation.

Les conditions du suivi individuel renforcé différent selon que le salarié est un travailleur saisonnier, un intérimaire ou non.

Conditions de travail dans le secteur privé

Le bénéfice du suivi individuel renforcé de l’état de santé du salarié dépend des risques particuliers auxquels il est ou non exposé.

    Le suivi individuel renforcé (SIR) concerne les salariés exposés à des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    Le SIR comporte un examen médical d’aptitude préalable à l’embauche réalisé par le médecin du travail. Cet examen remplace la visite d’information et de prévention (Vip).

    Cet examen médical d’aptitude est renouvelé au moins tous les 4 ans. Le médecin du travail peut choisir une périodicité plus courte pour son renouvellement.

    Une visite intermédiaire est effectuée par un professionnel de santé au plus tard 2 ans après la visite avec le médecin du travail.

    Ces examens médicaux permettent notamment de s’assurer que le salarié est apte au poste de travail auquel l’employeur envisage de l’affecter.

    Ils permettent aussi de rechercher s’il n’est pas atteint d’une affection comportant un danger pour les autres salariés. Ils permettent également de proposer des adaptations du poste ou l’affectation à d’autres postes.

    Ils permettent enfin de l’informer sur les risques liés à son poste de travail et le suivi médical nécessaire et le sensibiliser sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

    Le SIR est mis en place dans les entreprises privées, les  Épic  et les  Epa  employant du personnel de droit privé.

    Salariés exposé à un risque particulier

    Il s’agit des salariés affectés à un poste les exposant aux risques particuliers suivants :

    • Amiante

    • Plomb selon des valeurs d’expositions professionnelles

    • Agents cancérogènes ou pouvant causer des mutations génétiques ou nuire à la fonction de reproduction (agents  CMR )

    • Rayonnements ionisants

    • Agents biologiques des  groupes 3 et 4 

    • Hyperbare

    • Chute de hauteur lors d’opérations de montage et démontage d’échafaudages

    Salariés affecté à un poste particulier

    Il s’agit des salariés affectés à des postes soumis à un examen d’aptitude spécifique et en particulier les suivants :

    • Salariés ayant une autorisation de conduite d’équipements présentant des risques, délivrée par l’employeur (engin de levage par exemple)

    • Jeunes de moins de 18 ans affectés sur des travaux interdits pouvant nécessiter des dérogations

    • Salariés habilités par l’employeur à effectuer des opérations sur les installations électriques sous tension

    Salariés affectés à un poste défini par l’employeur

    Il s’agit des salariés pouvant être concernés par la liste des postes présentant des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    L’employeur complète cette liste, après avis du médecin du travail et du  CSE , en cohérence avec l’évaluation des risques et la fiche d’entreprise.

    L’employeur doit justifier par écrit l’inscription de tout poste sur cette liste.

    Cette liste est mise à jour tous les ans.

    Elle est transmise au service de prévention et de santé au travail et tenue à la disposition des services de prévention des organismes de sécurité sociale et de la  Dreets .

    L’employeur est dispensé d’organiser l’examen médical d’aptitude d’un salarié nouvellement recruté si l’ensemble des conditions suivantes sont réunies :

    • Emploi identique et présentant des risques d’exposition équivalents

    • Médecin du travail en possession du dernier avis d’aptitude du salarié

    • Aucun avis d’inaptitude du salarié au cours des 2 dernières années

    • Aucune mesure individuelle de transformation du poste de travail du salarié ou d’aménagement de son temps de travail au cours des 2 dernières années

    Lors de la visite médicale d’aptitude, un dossier médical en santé au travail est constitué par le médecin du travail.

    Après l’examen médical d’aptitude (initial comme périodique), le médecin du travail remet un avis d’aptitude (ou d’inaptitude) au salarié.

    L’avis est annexé au dossier médical de santé au travail du salarié.

    S’il le juge nécessaire, le médecin du travail peut proposer à l’employeur des mesures individuelles telles qu’une mutation ou une transformation de poste.

    L’employeur prend en considération les propositions du médecin du travail et, en cas de refus, en fait connaître ses motifs.

    Certains salariés sont examinés par le médecin du travail dans les situations suivantes :

    • Salariés bénéficiant ou ayant bénéficié d’un suivi individuel renforcé de leur état de santé pendant leur carrière

    • Salariés ayant été exposé à un ou plusieurs des risques particuliers avant la mise en œuvre du dispositif de suivi individuel renforcé

    L’employeur sollicite cette visite auprès du service de prévention et de santé au travail auquel il adhère. Il en informe immédiatement le salarié.

    Cette visite a lieu dans les conditions suivantes :

    • Dans les meilleurs délais après la fin de l’exposition du salarié à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité

    • Avant le départ volontaire ou la mise à la retraite du salarié

    Le salarié qui estime pouvoir bénéficier de cette visite et qui n’en a pas été informé par son employeur peut en demander l’organisation directement auprès du service de prévention et de santé au travail.

    Le salarié en fait la demande pendant le mois précédant la date de fin de l’exposition aux risques ou pendant le mois précédant son départ de l’entreprise.

    Cette demande doit être effectuée au plus tard 6 mois après la fin de cette exposition.

    Le salarié informe l’employeur de sa démarche.

    Cet examen permet d’établir un bilan récapitulatif et un suivi des expositions à 1 ou plusieurs facteurs de risques professionnels auxquelles a été soumis le salarié.

    Ce bilan est élaboré sur la base des informations contenues dans le dossier médical en santé au travail du salarié, de ses déclarations et celles de ses employeurs successifs.

    Le médecin du travail met en place une surveillance médicale particulière s’il constate que le salarié a été exposé à des risques dangereux, notamment chimiques, pendant sa carrière.

    Cette surveillance du salarié dite post-exposition ou post-professionnelle se fait en lien avec le médecin traitant et le médecin conseil des organismes de sécurité sociale.

    Elle tient compte de la nature du risque auquel le salarié a été exposé, de l’état de santé et de l’âge de l’intéressé.

    Le médecin du travail informe le salarié des démarches à effectuer pour bénéficier de ce suivi.

Le salarié saisonnier exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés saisonniers.

Le salarié intérimaire exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés intérimaires.

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

Médecine du travail : qu’est-ce que le suivi individuel renforcé d’un salarié ?

Un salarié exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité, pour celles de ses collègues ou des tiers bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR) de son état de santé. À quoi sert ce suivi particulier ? Quels avis le médecin du travail peut-il délivrer ? L’examen est-il renouvelable ? Nous faisons le point sur la réglementation.

Les conditions du suivi individuel renforcé différent selon que le salarié est un travailleur saisonnier, un intérimaire ou non.

Conditions de travail dans le secteur privé

Le bénéfice du suivi individuel renforcé de l’état de santé du salarié dépend des risques particuliers auxquels il est ou non exposé.

    Le suivi individuel renforcé (SIR) concerne les salariés exposés à des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    Le SIR comporte un examen médical d’aptitude préalable à l’embauche réalisé par le médecin du travail. Cet examen remplace la visite d’information et de prévention (Vip).

    Cet examen médical d’aptitude est renouvelé au moins tous les 4 ans. Le médecin du travail peut choisir une périodicité plus courte pour son renouvellement.

    Une visite intermédiaire est effectuée par un professionnel de santé au plus tard 2 ans après la visite avec le médecin du travail.

    Ces examens médicaux permettent notamment de s’assurer que le salarié est apte au poste de travail auquel l’employeur envisage de l’affecter.

    Ils permettent aussi de rechercher s’il n’est pas atteint d’une affection comportant un danger pour les autres salariés. Ils permettent également de proposer des adaptations du poste ou l’affectation à d’autres postes.

    Ils permettent enfin de l’informer sur les risques liés à son poste de travail et le suivi médical nécessaire et le sensibiliser sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

    Le SIR est mis en place dans les entreprises privées, les  Épic  et les  Epa  employant du personnel de droit privé.

    Salariés exposé à un risque particulier

    Il s’agit des salariés affectés à un poste les exposant aux risques particuliers suivants :

    • Amiante

    • Plomb selon des valeurs d’expositions professionnelles

    • Agents cancérogènes ou pouvant causer des mutations génétiques ou nuire à la fonction de reproduction (agents  CMR )

    • Rayonnements ionisants

    • Agents biologiques des  groupes 3 et 4 

    • Hyperbare

    • Chute de hauteur lors d’opérations de montage et démontage d’échafaudages

    Salariés affecté à un poste particulier

    Il s’agit des salariés affectés à des postes soumis à un examen d’aptitude spécifique et en particulier les suivants :

    • Salariés ayant une autorisation de conduite d’équipements présentant des risques, délivrée par l’employeur (engin de levage par exemple)

    • Jeunes de moins de 18 ans affectés sur des travaux interdits pouvant nécessiter des dérogations

    • Salariés habilités par l’employeur à effectuer des opérations sur les installations électriques sous tension

    Salariés affectés à un poste défini par l’employeur

    Il s’agit des salariés pouvant être concernés par la liste des postes présentant des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    L’employeur complète cette liste, après avis du médecin du travail et du  CSE , en cohérence avec l’évaluation des risques et la fiche d’entreprise.

    L’employeur doit justifier par écrit l’inscription de tout poste sur cette liste.

    Cette liste est mise à jour tous les ans.

    Elle est transmise au service de prévention et de santé au travail et tenue à la disposition des services de prévention des organismes de sécurité sociale et de la  Dreets .

    L’employeur est dispensé d’organiser l’examen médical d’aptitude d’un salarié nouvellement recruté si l’ensemble des conditions suivantes sont réunies :

    • Emploi identique et présentant des risques d’exposition équivalents

    • Médecin du travail en possession du dernier avis d’aptitude du salarié

    • Aucun avis d’inaptitude du salarié au cours des 2 dernières années

    • Aucune mesure individuelle de transformation du poste de travail du salarié ou d’aménagement de son temps de travail au cours des 2 dernières années

    Lors de la visite médicale d’aptitude, un dossier médical en santé au travail est constitué par le médecin du travail.

    Après l’examen médical d’aptitude (initial comme périodique), le médecin du travail remet un avis d’aptitude (ou d’inaptitude) au salarié.

    L’avis est annexé au dossier médical de santé au travail du salarié.

    S’il le juge nécessaire, le médecin du travail peut proposer à l’employeur des mesures individuelles telles qu’une mutation ou une transformation de poste.

    L’employeur prend en considération les propositions du médecin du travail et, en cas de refus, en fait connaître ses motifs.

    Certains salariés sont examinés par le médecin du travail dans les situations suivantes :

    • Salariés bénéficiant ou ayant bénéficié d’un suivi individuel renforcé de leur état de santé pendant leur carrière

    • Salariés ayant été exposé à un ou plusieurs des risques particuliers avant la mise en œuvre du dispositif de suivi individuel renforcé

    L’employeur sollicite cette visite auprès du service de prévention et de santé au travail auquel il adhère. Il en informe immédiatement le salarié.

    Cette visite a lieu dans les conditions suivantes :

    • Dans les meilleurs délais après la fin de l’exposition du salarié à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité

    • Avant le départ volontaire ou la mise à la retraite du salarié

    Le salarié qui estime pouvoir bénéficier de cette visite et qui n’en a pas été informé par son employeur peut en demander l’organisation directement auprès du service de prévention et de santé au travail.

    Le salarié en fait la demande pendant le mois précédant la date de fin de l’exposition aux risques ou pendant le mois précédant son départ de l’entreprise.

    Cette demande doit être effectuée au plus tard 6 mois après la fin de cette exposition.

    Le salarié informe l’employeur de sa démarche.

    Cet examen permet d’établir un bilan récapitulatif et un suivi des expositions à 1 ou plusieurs facteurs de risques professionnels auxquelles a été soumis le salarié.

    Ce bilan est élaboré sur la base des informations contenues dans le dossier médical en santé au travail du salarié, de ses déclarations et celles de ses employeurs successifs.

    Le médecin du travail met en place une surveillance médicale particulière s’il constate que le salarié a été exposé à des risques dangereux, notamment chimiques, pendant sa carrière.

    Cette surveillance du salarié dite post-exposition ou post-professionnelle se fait en lien avec le médecin traitant et le médecin conseil des organismes de sécurité sociale.

    Elle tient compte de la nature du risque auquel le salarié a été exposé, de l’état de santé et de l’âge de l’intéressé.

    Le médecin du travail informe le salarié des démarches à effectuer pour bénéficier de ce suivi.

Le salarié saisonnier exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés saisonniers.

Le salarié intérimaire exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés intérimaires.

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

Médecine du travail : qu’est-ce que le suivi individuel renforcé d’un salarié ?

Un salarié exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité, pour celles de ses collègues ou des tiers bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR) de son état de santé. À quoi sert ce suivi particulier ? Quels avis le médecin du travail peut-il délivrer ? L’examen est-il renouvelable ? Nous faisons le point sur la réglementation.

Les conditions du suivi individuel renforcé différent selon que le salarié est un travailleur saisonnier, un intérimaire ou non.

Conditions de travail dans le secteur privé

Le bénéfice du suivi individuel renforcé de l’état de santé du salarié dépend des risques particuliers auxquels il est ou non exposé.

    Le suivi individuel renforcé (SIR) concerne les salariés exposés à des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    Le SIR comporte un examen médical d’aptitude préalable à l’embauche réalisé par le médecin du travail. Cet examen remplace la visite d’information et de prévention (Vip).

    Cet examen médical d’aptitude est renouvelé au moins tous les 4 ans. Le médecin du travail peut choisir une périodicité plus courte pour son renouvellement.

    Une visite intermédiaire est effectuée par un professionnel de santé au plus tard 2 ans après la visite avec le médecin du travail.

    Ces examens médicaux permettent notamment de s’assurer que le salarié est apte au poste de travail auquel l’employeur envisage de l’affecter.

    Ils permettent aussi de rechercher s’il n’est pas atteint d’une affection comportant un danger pour les autres salariés. Ils permettent également de proposer des adaptations du poste ou l’affectation à d’autres postes.

    Ils permettent enfin de l’informer sur les risques liés à son poste de travail et le suivi médical nécessaire et le sensibiliser sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

    Le SIR est mis en place dans les entreprises privées, les  Épic  et les  Epa  employant du personnel de droit privé.

    Salariés exposé à un risque particulier

    Il s’agit des salariés affectés à un poste les exposant aux risques particuliers suivants :

    • Amiante

    • Plomb selon des valeurs d’expositions professionnelles

    • Agents cancérogènes ou pouvant causer des mutations génétiques ou nuire à la fonction de reproduction (agents  CMR )

    • Rayonnements ionisants

    • Agents biologiques des  groupes 3 et 4 

    • Hyperbare

    • Chute de hauteur lors d’opérations de montage et démontage d’échafaudages

    Salariés affecté à un poste particulier

    Il s’agit des salariés affectés à des postes soumis à un examen d’aptitude spécifique et en particulier les suivants :

    • Salariés ayant une autorisation de conduite d’équipements présentant des risques, délivrée par l’employeur (engin de levage par exemple)

    • Jeunes de moins de 18 ans affectés sur des travaux interdits pouvant nécessiter des dérogations

    • Salariés habilités par l’employeur à effectuer des opérations sur les installations électriques sous tension

    Salariés affectés à un poste défini par l’employeur

    Il s’agit des salariés pouvant être concernés par la liste des postes présentant des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    L’employeur complète cette liste, après avis du médecin du travail et du  CSE , en cohérence avec l’évaluation des risques et la fiche d’entreprise.

    L’employeur doit justifier par écrit l’inscription de tout poste sur cette liste.

    Cette liste est mise à jour tous les ans.

    Elle est transmise au service de prévention et de santé au travail et tenue à la disposition des services de prévention des organismes de sécurité sociale et de la  Dreets .

    L’employeur est dispensé d’organiser l’examen médical d’aptitude d’un salarié nouvellement recruté si l’ensemble des conditions suivantes sont réunies :

    • Emploi identique et présentant des risques d’exposition équivalents

    • Médecin du travail en possession du dernier avis d’aptitude du salarié

    • Aucun avis d’inaptitude du salarié au cours des 2 dernières années

    • Aucune mesure individuelle de transformation du poste de travail du salarié ou d’aménagement de son temps de travail au cours des 2 dernières années

    Lors de la visite médicale d’aptitude, un dossier médical en santé au travail est constitué par le médecin du travail.

    Après l’examen médical d’aptitude (initial comme périodique), le médecin du travail remet un avis d’aptitude (ou d’inaptitude) au salarié.

    L’avis est annexé au dossier médical de santé au travail du salarié.

    S’il le juge nécessaire, le médecin du travail peut proposer à l’employeur des mesures individuelles telles qu’une mutation ou une transformation de poste.

    L’employeur prend en considération les propositions du médecin du travail et, en cas de refus, en fait connaître ses motifs.

    Certains salariés sont examinés par le médecin du travail dans les situations suivantes :

    • Salariés bénéficiant ou ayant bénéficié d’un suivi individuel renforcé de leur état de santé pendant leur carrière

    • Salariés ayant été exposé à un ou plusieurs des risques particuliers avant la mise en œuvre du dispositif de suivi individuel renforcé

    L’employeur sollicite cette visite auprès du service de prévention et de santé au travail auquel il adhère. Il en informe immédiatement le salarié.

    Cette visite a lieu dans les conditions suivantes :

    • Dans les meilleurs délais après la fin de l’exposition du salarié à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité

    • Avant le départ volontaire ou la mise à la retraite du salarié

    Le salarié qui estime pouvoir bénéficier de cette visite et qui n’en a pas été informé par son employeur peut en demander l’organisation directement auprès du service de prévention et de santé au travail.

    Le salarié en fait la demande pendant le mois précédant la date de fin de l’exposition aux risques ou pendant le mois précédant son départ de l’entreprise.

    Cette demande doit être effectuée au plus tard 6 mois après la fin de cette exposition.

    Le salarié informe l’employeur de sa démarche.

    Cet examen permet d’établir un bilan récapitulatif et un suivi des expositions à 1 ou plusieurs facteurs de risques professionnels auxquelles a été soumis le salarié.

    Ce bilan est élaboré sur la base des informations contenues dans le dossier médical en santé au travail du salarié, de ses déclarations et celles de ses employeurs successifs.

    Le médecin du travail met en place une surveillance médicale particulière s’il constate que le salarié a été exposé à des risques dangereux, notamment chimiques, pendant sa carrière.

    Cette surveillance du salarié dite post-exposition ou post-professionnelle se fait en lien avec le médecin traitant et le médecin conseil des organismes de sécurité sociale.

    Elle tient compte de la nature du risque auquel le salarié a été exposé, de l’état de santé et de l’âge de l’intéressé.

    Le médecin du travail informe le salarié des démarches à effectuer pour bénéficier de ce suivi.

Le salarié saisonnier exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés saisonniers.

Le salarié intérimaire exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés intérimaires.

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

Médecine du travail : qu’est-ce que le suivi individuel renforcé d’un salarié ?

Un salarié exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité, pour celles de ses collègues ou des tiers bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR) de son état de santé. À quoi sert ce suivi particulier ? Quels avis le médecin du travail peut-il délivrer ? L’examen est-il renouvelable ? Nous faisons le point sur la réglementation.

Les conditions du suivi individuel renforcé différent selon que le salarié est un travailleur saisonnier, un intérimaire ou non.

Conditions de travail dans le secteur privé

Le bénéfice du suivi individuel renforcé de l’état de santé du salarié dépend des risques particuliers auxquels il est ou non exposé.

    Le suivi individuel renforcé (SIR) concerne les salariés exposés à des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    Le SIR comporte un examen médical d’aptitude préalable à l’embauche réalisé par le médecin du travail. Cet examen remplace la visite d’information et de prévention (Vip).

    Cet examen médical d’aptitude est renouvelé au moins tous les 4 ans. Le médecin du travail peut choisir une périodicité plus courte pour son renouvellement.

    Une visite intermédiaire est effectuée par un professionnel de santé au plus tard 2 ans après la visite avec le médecin du travail.

    Ces examens médicaux permettent notamment de s’assurer que le salarié est apte au poste de travail auquel l’employeur envisage de l’affecter.

    Ils permettent aussi de rechercher s’il n’est pas atteint d’une affection comportant un danger pour les autres salariés. Ils permettent également de proposer des adaptations du poste ou l’affectation à d’autres postes.

    Ils permettent enfin de l’informer sur les risques liés à son poste de travail et le suivi médical nécessaire et le sensibiliser sur les moyens de prévention à mettre en œuvre.

    Le SIR est mis en place dans les entreprises privées, les  Épic  et les  Epa  employant du personnel de droit privé.

    Salariés exposé à un risque particulier

    Il s’agit des salariés affectés à un poste les exposant aux risques particuliers suivants :

    • Amiante

    • Plomb selon des valeurs d’expositions professionnelles

    • Agents cancérogènes ou pouvant causer des mutations génétiques ou nuire à la fonction de reproduction (agents  CMR )

    • Rayonnements ionisants

    • Agents biologiques des  groupes 3 et 4 

    • Hyperbare

    • Chute de hauteur lors d’opérations de montage et démontage d’échafaudages

    Salariés affecté à un poste particulier

    Il s’agit des salariés affectés à des postes soumis à un examen d’aptitude spécifique et en particulier les suivants :

    • Salariés ayant une autorisation de conduite d’équipements présentant des risques, délivrée par l’employeur (engin de levage par exemple)

    • Jeunes de moins de 18 ans affectés sur des travaux interdits pouvant nécessiter des dérogations

    • Salariés habilités par l’employeur à effectuer des opérations sur les installations électriques sous tension

    Salariés affectés à un poste défini par l’employeur

    Il s’agit des salariés pouvant être concernés par la liste des postes présentant des risques particuliers pour leur santé et leur sécurité.

    L’employeur complète cette liste, après avis du médecin du travail et du  CSE , en cohérence avec l’évaluation des risques et la fiche d’entreprise.

    L’employeur doit justifier par écrit l’inscription de tout poste sur cette liste.

    Cette liste est mise à jour tous les ans.

    Elle est transmise au service de prévention et de santé au travail et tenue à la disposition des services de prévention des organismes de sécurité sociale et de la  Dreets .

    L’employeur est dispensé d’organiser l’examen médical d’aptitude d’un salarié nouvellement recruté si l’ensemble des conditions suivantes sont réunies :

    • Emploi identique et présentant des risques d’exposition équivalents

    • Médecin du travail en possession du dernier avis d’aptitude du salarié

    • Aucun avis d’inaptitude du salarié au cours des 2 dernières années

    • Aucune mesure individuelle de transformation du poste de travail du salarié ou d’aménagement de son temps de travail au cours des 2 dernières années

    Lors de la visite médicale d’aptitude, un dossier médical en santé au travail est constitué par le médecin du travail.

    Après l’examen médical d’aptitude (initial comme périodique), le médecin du travail remet un avis d’aptitude (ou d’inaptitude) au salarié.

    L’avis est annexé au dossier médical de santé au travail du salarié.

    S’il le juge nécessaire, le médecin du travail peut proposer à l’employeur des mesures individuelles telles qu’une mutation ou une transformation de poste.

    L’employeur prend en considération les propositions du médecin du travail et, en cas de refus, en fait connaître ses motifs.

    Certains salariés sont examinés par le médecin du travail dans les situations suivantes :

    • Salariés bénéficiant ou ayant bénéficié d’un suivi individuel renforcé de leur état de santé pendant leur carrière

    • Salariés ayant été exposé à un ou plusieurs des risques particuliers avant la mise en œuvre du dispositif de suivi individuel renforcé

    L’employeur sollicite cette visite auprès du service de prévention et de santé au travail auquel il adhère. Il en informe immédiatement le salarié.

    Cette visite a lieu dans les conditions suivantes :

    • Dans les meilleurs délais après la fin de l’exposition du salarié à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité

    • Avant le départ volontaire ou la mise à la retraite du salarié

    Le salarié qui estime pouvoir bénéficier de cette visite et qui n’en a pas été informé par son employeur peut en demander l’organisation directement auprès du service de prévention et de santé au travail.

    Le salarié en fait la demande pendant le mois précédant la date de fin de l’exposition aux risques ou pendant le mois précédant son départ de l’entreprise.

    Cette demande doit être effectuée au plus tard 6 mois après la fin de cette exposition.

    Le salarié informe l’employeur de sa démarche.

    Cet examen permet d’établir un bilan récapitulatif et un suivi des expositions à 1 ou plusieurs facteurs de risques professionnels auxquelles a été soumis le salarié.

    Ce bilan est élaboré sur la base des informations contenues dans le dossier médical en santé au travail du salarié, de ses déclarations et celles de ses employeurs successifs.

    Le médecin du travail met en place une surveillance médicale particulière s’il constate que le salarié a été exposé à des risques dangereux, notamment chimiques, pendant sa carrière.

    Cette surveillance du salarié dite post-exposition ou post-professionnelle se fait en lien avec le médecin traitant et le médecin conseil des organismes de sécurité sociale.

    Elle tient compte de la nature du risque auquel le salarié a été exposé, de l’état de santé et de l’âge de l’intéressé.

    Le médecin du travail informe le salarié des démarches à effectuer pour bénéficier de ce suivi.

Le salarié saisonnier exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés saisonniers.

Le salarié intérimaire exposé à des risques particuliers pour sa santé ou sa sécurité ou pour celles de ses collègues bénéficie d’un suivi individuel renforcé (SIR).

Des conditions particulières existent pour les salariés intérimaires.

Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

Faire sa demande en ligne

Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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