Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Qu’est-ce qu’une réduction de peine ?

La réduction de peine est une baisse de la durée d’emprisonnement prononcée par le juge pénal. Cette réduction était accordée automatiquement en fonction de la durée de détention, mais la situation a changé depuis le 1er janvier 2023. Désormais, pour bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir un bon comportement en prison et faire des efforts de réinsertion. C’est le juge de l’application des peines qui peut vous accorder la réduction de peine après examen de votre situation.

    Pour pouvoir bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir une bonne conduite pendant votre détention et faire des efforts de réadaptation sociale et de réinsertion.

    Exemples d’actes de bonne conduite et de réinsertion :

    • Respect du règlement intérieur de la prison

    • Préparation d’un diplôme ou participation à une formation professionnelle

    • Suivi d’une thérapie pour éviter la récidive

    • Efforts d’indemnisation des victimes

    La décision d’accorder une réduction de peine est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

    Pour avoir une réduction de peine, vous devez envoyer une demande écrite au juge de l’application des peines compétent pour votre lieu de détention.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    À noter

    même si vous ne faites pas de demande, le juge de l’application des peines doit examiner au moins une fois par an l’opportunité de vous accorder une réduction de peine.

    La durée de la réduction de peine est déterminée en fonction de l’importance de votre condamnation et de la durée de votre incarcération.

    Le juge de l’application des peines tient compte également de votre comportement en prison et de la nature de l’infraction que vous avez commise.

    Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine qui peut aller jusqu’à 14 jours par mois d’incarcération.

    Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 7 jours par mois d’incarcération.

    Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale est aussi limitée. La durée de la réduction de peine est de 7 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 9 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

    Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

    Si vous avez aidé la direction de la prison à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

      Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine maximale de 6 mois par année d’incarcération.

      Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 3 mois par année d’incarcération.

      Si vous avez été condamné pour un acte terroriste, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est également limitée à 3 mois par année d’incarcération.

      Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est aussi limitée. La réduction de peine est de 3 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 4 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

      Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

      Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

      Si vous avez aidé la direction de la prison à à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

      Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

        La réduction de peine peut être retirée au cours de l’année suivante si vous avez une mauvaise conduite.

        C’est le juge de l’application des peines qui détermine, avec l’aide de la commission de l’application des peines, les comportements qui peuvent être considérés comme une mauvaise conduite.

        Elle peut notamment découler des faits suivants :

        • Commettre de nouvelles infractions

        • Refuser de se soumettre à des prélèvements pour établir votre empreinte génétique

        • Tenter de soumettre le matériel biologique d’une tierce personne au prélèvement

        Le retrait peut porter sur la totalité ou sur une partie de la réduction de peine.

        Si vous refusez de vous soumettre à un prélèvement biologique, le retrait ne peut porter que sur les réductions de peine qui se rapportent à la condamnation pour laquelle le prélèvement doit être effectué.

        La décision de retrait est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

        Le juge de l’application des peines doit prendre une ordonnance qui précise les motifs du retrait.

        Il peut agir de sa propre initiative ou à la demande du chef de la prison ou du procureur de la République.

        Le juge de l’application des peines vous entendra ou entendra votre avocat avant de prendre sa décision.

        Vous pouvez faire appel contre une décision de refus ou de retrait de réduction de peine prise par le juge de l’application des peines.

        L’appel doit être fait dans les 24 heures après la notification de la décision de refus ou de retrait.

        Où s’adresser ?

         Cour d’appel 

        À savoir

        le procureur de la République peut également faire appel contre les décisions du juge de l’application des peines prises en matière de réduction de peine.

        Les réductions de peine peuvent continuer à avoir un effet même après votre sortie de détention.

        En effet, le juge de l’application des peines peut décider de vous imposer certaines obligations après votre sortie, pendant une durée correspondant au total des réductions de peine dont vous avez bénéficié.

        Ces obligations visent à favoriser votre réinsertion, à éviter que vous commettiez de nouvelles infractions ou encore à préserver les intérêts de la victime.

      Qu’est-ce qu’une réduction de peine ?

      La réduction de peine est une baisse de la durée d’emprisonnement prononcée par le juge pénal. Cette réduction était accordée automatiquement en fonction de la durée de détention, mais la situation a changé depuis le 1er janvier 2023. Désormais, pour bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir un bon comportement en prison et faire des efforts de réinsertion. C’est le juge de l’application des peines qui peut vous accorder la réduction de peine après examen de votre situation.

        Pour pouvoir bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir une bonne conduite pendant votre détention et faire des efforts de réadaptation sociale et de réinsertion.

        Exemples d’actes de bonne conduite et de réinsertion :

        • Respect du règlement intérieur de la prison

        • Préparation d’un diplôme ou participation à une formation professionnelle

        • Suivi d’une thérapie pour éviter la récidive

        • Efforts d’indemnisation des victimes

        La décision d’accorder une réduction de peine est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

        Pour avoir une réduction de peine, vous devez envoyer une demande écrite au juge de l’application des peines compétent pour votre lieu de détention.

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

        À noter

        même si vous ne faites pas de demande, le juge de l’application des peines doit examiner au moins une fois par an l’opportunité de vous accorder une réduction de peine.

        La durée de la réduction de peine est déterminée en fonction de l’importance de votre condamnation et de la durée de votre incarcération.

        Le juge de l’application des peines tient compte également de votre comportement en prison et de la nature de l’infraction que vous avez commise.

        Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine qui peut aller jusqu’à 14 jours par mois d’incarcération.

        Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 7 jours par mois d’incarcération.

        Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale est aussi limitée. La durée de la réduction de peine est de 7 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 9 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

        Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

        Si vous avez aidé la direction de la prison à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

          Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine maximale de 6 mois par année d’incarcération.

          Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 3 mois par année d’incarcération.

          Si vous avez été condamné pour un acte terroriste, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est également limitée à 3 mois par année d’incarcération.

          Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est aussi limitée. La réduction de peine est de 3 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 4 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

          Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

          Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

          Si vous avez aidé la direction de la prison à à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

          Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

            La réduction de peine peut être retirée au cours de l’année suivante si vous avez une mauvaise conduite.

            C’est le juge de l’application des peines qui détermine, avec l’aide de la commission de l’application des peines, les comportements qui peuvent être considérés comme une mauvaise conduite.

            Elle peut notamment découler des faits suivants :

            • Commettre de nouvelles infractions

            • Refuser de se soumettre à des prélèvements pour établir votre empreinte génétique

            • Tenter de soumettre le matériel biologique d’une tierce personne au prélèvement

            Le retrait peut porter sur la totalité ou sur une partie de la réduction de peine.

            Si vous refusez de vous soumettre à un prélèvement biologique, le retrait ne peut porter que sur les réductions de peine qui se rapportent à la condamnation pour laquelle le prélèvement doit être effectué.

            La décision de retrait est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

            Le juge de l’application des peines doit prendre une ordonnance qui précise les motifs du retrait.

            Il peut agir de sa propre initiative ou à la demande du chef de la prison ou du procureur de la République.

            Le juge de l’application des peines vous entendra ou entendra votre avocat avant de prendre sa décision.

            Vous pouvez faire appel contre une décision de refus ou de retrait de réduction de peine prise par le juge de l’application des peines.

            L’appel doit être fait dans les 24 heures après la notification de la décision de refus ou de retrait.

            Où s’adresser ?

             Cour d’appel 

            À savoir

            le procureur de la République peut également faire appel contre les décisions du juge de l’application des peines prises en matière de réduction de peine.

            Les réductions de peine peuvent continuer à avoir un effet même après votre sortie de détention.

            En effet, le juge de l’application des peines peut décider de vous imposer certaines obligations après votre sortie, pendant une durée correspondant au total des réductions de peine dont vous avez bénéficié.

            Ces obligations visent à favoriser votre réinsertion, à éviter que vous commettiez de nouvelles infractions ou encore à préserver les intérêts de la victime.

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

          Qu’est-ce qu’une réduction de peine ?

          La réduction de peine est une baisse de la durée d’emprisonnement prononcée par le juge pénal. Cette réduction était accordée automatiquement en fonction de la durée de détention, mais la situation a changé depuis le 1er janvier 2023. Désormais, pour bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir un bon comportement en prison et faire des efforts de réinsertion. C’est le juge de l’application des peines qui peut vous accorder la réduction de peine après examen de votre situation.

            Pour pouvoir bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir une bonne conduite pendant votre détention et faire des efforts de réadaptation sociale et de réinsertion.

            Exemples d’actes de bonne conduite et de réinsertion :

            • Respect du règlement intérieur de la prison

            • Préparation d’un diplôme ou participation à une formation professionnelle

            • Suivi d’une thérapie pour éviter la récidive

            • Efforts d’indemnisation des victimes

            La décision d’accorder une réduction de peine est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

            Pour avoir une réduction de peine, vous devez envoyer une demande écrite au juge de l’application des peines compétent pour votre lieu de détention.

            Où s’adresser ?

             Tribunal judiciaire 

            À noter

            même si vous ne faites pas de demande, le juge de l’application des peines doit examiner au moins une fois par an l’opportunité de vous accorder une réduction de peine.

            La durée de la réduction de peine est déterminée en fonction de l’importance de votre condamnation et de la durée de votre incarcération.

            Le juge de l’application des peines tient compte également de votre comportement en prison et de la nature de l’infraction que vous avez commise.

            Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine qui peut aller jusqu’à 14 jours par mois d’incarcération.

            Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 7 jours par mois d’incarcération.

            Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale est aussi limitée. La durée de la réduction de peine est de 7 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 9 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

            Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

            Si vous avez aidé la direction de la prison à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

              Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine maximale de 6 mois par année d’incarcération.

              Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 3 mois par année d’incarcération.

              Si vous avez été condamné pour un acte terroriste, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est également limitée à 3 mois par année d’incarcération.

              Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est aussi limitée. La réduction de peine est de 3 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 4 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

              Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

              Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

              Si vous avez aidé la direction de la prison à à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

              Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

                La réduction de peine peut être retirée au cours de l’année suivante si vous avez une mauvaise conduite.

                C’est le juge de l’application des peines qui détermine, avec l’aide de la commission de l’application des peines, les comportements qui peuvent être considérés comme une mauvaise conduite.

                Elle peut notamment découler des faits suivants :

                • Commettre de nouvelles infractions

                • Refuser de se soumettre à des prélèvements pour établir votre empreinte génétique

                • Tenter de soumettre le matériel biologique d’une tierce personne au prélèvement

                Le retrait peut porter sur la totalité ou sur une partie de la réduction de peine.

                Si vous refusez de vous soumettre à un prélèvement biologique, le retrait ne peut porter que sur les réductions de peine qui se rapportent à la condamnation pour laquelle le prélèvement doit être effectué.

                La décision de retrait est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

                Le juge de l’application des peines doit prendre une ordonnance qui précise les motifs du retrait.

                Il peut agir de sa propre initiative ou à la demande du chef de la prison ou du procureur de la République.

                Le juge de l’application des peines vous entendra ou entendra votre avocat avant de prendre sa décision.

                Vous pouvez faire appel contre une décision de refus ou de retrait de réduction de peine prise par le juge de l’application des peines.

                L’appel doit être fait dans les 24 heures après la notification de la décision de refus ou de retrait.

                Où s’adresser ?

                 Cour d’appel 

                À savoir

                le procureur de la République peut également faire appel contre les décisions du juge de l’application des peines prises en matière de réduction de peine.

                Les réductions de peine peuvent continuer à avoir un effet même après votre sortie de détention.

                En effet, le juge de l’application des peines peut décider de vous imposer certaines obligations après votre sortie, pendant une durée correspondant au total des réductions de peine dont vous avez bénéficié.

                Ces obligations visent à favoriser votre réinsertion, à éviter que vous commettiez de nouvelles infractions ou encore à préserver les intérêts de la victime.

              Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

              Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

              Qu’est-ce qu’une réduction de peine ?

              La réduction de peine est une baisse de la durée d’emprisonnement prononcée par le juge pénal. Cette réduction était accordée automatiquement en fonction de la durée de détention, mais la situation a changé depuis le 1er janvier 2023. Désormais, pour bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir un bon comportement en prison et faire des efforts de réinsertion. C’est le juge de l’application des peines qui peut vous accorder la réduction de peine après examen de votre situation.

                Pour pouvoir bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir une bonne conduite pendant votre détention et faire des efforts de réadaptation sociale et de réinsertion.

                Exemples d’actes de bonne conduite et de réinsertion :

                • Respect du règlement intérieur de la prison

                • Préparation d’un diplôme ou participation à une formation professionnelle

                • Suivi d’une thérapie pour éviter la récidive

                • Efforts d’indemnisation des victimes

                La décision d’accorder une réduction de peine est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

                Pour avoir une réduction de peine, vous devez envoyer une demande écrite au juge de l’application des peines compétent pour votre lieu de détention.

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                À noter

                même si vous ne faites pas de demande, le juge de l’application des peines doit examiner au moins une fois par an l’opportunité de vous accorder une réduction de peine.

                La durée de la réduction de peine est déterminée en fonction de l’importance de votre condamnation et de la durée de votre incarcération.

                Le juge de l’application des peines tient compte également de votre comportement en prison et de la nature de l’infraction que vous avez commise.

                Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine qui peut aller jusqu’à 14 jours par mois d’incarcération.

                Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 7 jours par mois d’incarcération.

                Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale est aussi limitée. La durée de la réduction de peine est de 7 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 9 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

                Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

                Si vous avez aidé la direction de la prison à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

                  Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine maximale de 6 mois par année d’incarcération.

                  Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 3 mois par année d’incarcération.

                  Si vous avez été condamné pour un acte terroriste, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est également limitée à 3 mois par année d’incarcération.

                  Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est aussi limitée. La réduction de peine est de 3 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 4 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

                  Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

                  Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

                  Si vous avez aidé la direction de la prison à à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

                  Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

                    La réduction de peine peut être retirée au cours de l’année suivante si vous avez une mauvaise conduite.

                    C’est le juge de l’application des peines qui détermine, avec l’aide de la commission de l’application des peines, les comportements qui peuvent être considérés comme une mauvaise conduite.

                    Elle peut notamment découler des faits suivants :

                    • Commettre de nouvelles infractions

                    • Refuser de se soumettre à des prélèvements pour établir votre empreinte génétique

                    • Tenter de soumettre le matériel biologique d’une tierce personne au prélèvement

                    Le retrait peut porter sur la totalité ou sur une partie de la réduction de peine.

                    Si vous refusez de vous soumettre à un prélèvement biologique, le retrait ne peut porter que sur les réductions de peine qui se rapportent à la condamnation pour laquelle le prélèvement doit être effectué.

                    La décision de retrait est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

                    Le juge de l’application des peines doit prendre une ordonnance qui précise les motifs du retrait.

                    Il peut agir de sa propre initiative ou à la demande du chef de la prison ou du procureur de la République.

                    Le juge de l’application des peines vous entendra ou entendra votre avocat avant de prendre sa décision.

                    Vous pouvez faire appel contre une décision de refus ou de retrait de réduction de peine prise par le juge de l’application des peines.

                    L’appel doit être fait dans les 24 heures après la notification de la décision de refus ou de retrait.

                    Où s’adresser ?

                     Cour d’appel 

                    À savoir

                    le procureur de la République peut également faire appel contre les décisions du juge de l’application des peines prises en matière de réduction de peine.

                    Les réductions de peine peuvent continuer à avoir un effet même après votre sortie de détention.

                    En effet, le juge de l’application des peines peut décider de vous imposer certaines obligations après votre sortie, pendant une durée correspondant au total des réductions de peine dont vous avez bénéficié.

                    Ces obligations visent à favoriser votre réinsertion, à éviter que vous commettiez de nouvelles infractions ou encore à préserver les intérêts de la victime.

                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                  Qu’est-ce qu’une réduction de peine ?

                  La réduction de peine est une baisse de la durée d’emprisonnement prononcée par le juge pénal. Cette réduction était accordée automatiquement en fonction de la durée de détention, mais la situation a changé depuis le 1er janvier 2023. Désormais, pour bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir un bon comportement en prison et faire des efforts de réinsertion. C’est le juge de l’application des peines qui peut vous accorder la réduction de peine après examen de votre situation.

                    Pour pouvoir bénéficier d’une réduction de peine, vous devez avoir une bonne conduite pendant votre détention et faire des efforts de réadaptation sociale et de réinsertion.

                    Exemples d’actes de bonne conduite et de réinsertion :

                    • Respect du règlement intérieur de la prison

                    • Préparation d’un diplôme ou participation à une formation professionnelle

                    • Suivi d’une thérapie pour éviter la récidive

                    • Efforts d’indemnisation des victimes

                    La décision d’accorder une réduction de peine est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

                    Pour avoir une réduction de peine, vous devez envoyer une demande écrite au juge de l’application des peines compétent pour votre lieu de détention.

                    Où s’adresser ?

                     Tribunal judiciaire 

                    À noter

                    même si vous ne faites pas de demande, le juge de l’application des peines doit examiner au moins une fois par an l’opportunité de vous accorder une réduction de peine.

                    La durée de la réduction de peine est déterminée en fonction de l’importance de votre condamnation et de la durée de votre incarcération.

                    Le juge de l’application des peines tient compte également de votre comportement en prison et de la nature de l’infraction que vous avez commise.

                    Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine qui peut aller jusqu’à 14 jours par mois d’incarcération.

                    Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 7 jours par mois d’incarcération.

                    Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale est aussi limitée. La durée de la réduction de peine est de 7 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 9 jours par mois d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

                    Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

                    Si vous avez aidé la direction de la prison à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

                      Le juge de l’application des peines peut vous accorder une réduction de peine maximale de 6 mois par année d’incarcération.

                      Si votre condamnation a été assortie d’un suivi socio-judiciaire et que vous ne suivez pas le traitement proposé, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est limitée à 3 mois par année d’incarcération.

                      Si vous avez été condamné pour un acte terroriste, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est également limitée à 3 mois par année d’incarcération.

                      Si vous avez été condamné pour une infraction commise sur une personne dépositaire de l’autorité publique, la réduction de peine maximale qui vous sera accordée est aussi limitée. La réduction de peine est de 3 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un crime et de 4 mois par année d’incarcération s’il s’agit d’un délit.

                      Si vous avez fait des déclarations qui ont permis de de faire cesser ou d’éviter la réalisation de crimes graves, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

                      Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

                      Si vous avez aidé la direction de la prison à à mettre fin ou à éviter la réalisation d’actes de mutinerie ou d’évasion, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle de peine pouvant aller jusqu’au tiers de votre peine.

                      Au cas vous seriez condamné à la réclusion criminelle à perpétuité, vous pouvez bénéficier d’une réduction exceptionnelle du temps d’épreuve pouvant aller jusqu’à 5 ans.

                        La réduction de peine peut être retirée au cours de l’année suivante si vous avez une mauvaise conduite.

                        C’est le juge de l’application des peines qui détermine, avec l’aide de la commission de l’application des peines, les comportements qui peuvent être considérés comme une mauvaise conduite.

                        Elle peut notamment découler des faits suivants :

                        • Commettre de nouvelles infractions

                        • Refuser de se soumettre à des prélèvements pour établir votre empreinte génétique

                        • Tenter de soumettre le matériel biologique d’une tierce personne au prélèvement

                        Le retrait peut porter sur la totalité ou sur une partie de la réduction de peine.

                        Si vous refusez de vous soumettre à un prélèvement biologique, le retrait ne peut porter que sur les réductions de peine qui se rapportent à la condamnation pour laquelle le prélèvement doit être effectué.

                        La décision de retrait est prise par le juge de l’application des peines, après avis de la commission de l’application des peines.

                        Le juge de l’application des peines doit prendre une ordonnance qui précise les motifs du retrait.

                        Il peut agir de sa propre initiative ou à la demande du chef de la prison ou du procureur de la République.

                        Le juge de l’application des peines vous entendra ou entendra votre avocat avant de prendre sa décision.

                        Vous pouvez faire appel contre une décision de refus ou de retrait de réduction de peine prise par le juge de l’application des peines.

                        L’appel doit être fait dans les 24 heures après la notification de la décision de refus ou de retrait.

                        Où s’adresser ?

                         Cour d’appel 

                        À savoir

                        le procureur de la République peut également faire appel contre les décisions du juge de l’application des peines prises en matière de réduction de peine.

                        Les réductions de peine peuvent continuer à avoir un effet même après votre sortie de détention.

                        En effet, le juge de l’application des peines peut décider de vous imposer certaines obligations après votre sortie, pendant une durée correspondant au total des réductions de peine dont vous avez bénéficié.

                        Ces obligations visent à favoriser votre réinsertion, à éviter que vous commettiez de nouvelles infractions ou encore à préserver les intérêts de la victime.

                      Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                      Faire sa demande en ligne

                      Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                      Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                      La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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