Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Comment est mis en place le travail de nuit dans l’entreprise ?

Le travail de nuit est justifié par la nécessité d’assurer la continuité de l’activité de l’entreprise. Le recours au travail de nuit doit être exceptionnel. Il doit prendre en compte les impératifs de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs. La mise en place du travail de nuit varie selon l’existence ou non d’un accord collectif sur le travail de nuit dans l’entreprise. Nous faisons un point sur la réglementation.

Conditions de travail dans le secteur privé

L’accord collectif doit préciser les points suivants :

  • Justifications du recours au travail de nuit

  • Définition de la période de travail de nuit

  • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

  • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

  • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

  • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

  • Organisation des temps de pause

À savoir

Le médecin du travail est consulté avant la mise en place du travail de nuit.

L’employeur doit respecter certaines conditions pour mettre en place le travail de nuit. Il doit consulter l’institution représentative du personnel (délégué syndical ou comité social et économique – CSE) si elle existe.

L’employeur engage des négociations en vue de conclure un accord collectif sur le travail de nuit.

S’il ne négocie pas avec les représentants du personnel, l’employeur ne peut pas mettre en place le travail de nuit.

L’accord collectif doit préciser les points suivants :

  • Justifications du recours au travail de nuit

  • Définition de la période de travail de nuit

  • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

  • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

  • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

  • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

  • Organisation des temps de pause

    L’employeur doit engager des négociations. Il doit transmettre une demande à l’inspecteur du travail pour obtenir son autorisation.

    Engagement des négociations

    L’employeur doit engager des négociations loyales et sérieuses. C’est le cas si l’employeur respecte les dispositions suivantes :

    • Convocation des organisations syndicales représentatives dans l’entreprise

    • Fixation du lieu et du calendrier de négociation

    • Communication de toutes les informations nécessaires à la négociation

    • Réponse aux propositions éventuelles

    À noter

    l’engagement des négociations doit avoir lieu dans les 12 mois précédant la demande.

    Que doit comporter la demande ?

    La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

    • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

    • Existence de contreparties et de temps de pause

    • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité des salariés

    L’employeur doit transmettre la demande à la  DDETS  pour la mise en place du travail de nuit. La demande doit être accompagnée de l’avis des représentants du personnel à l’inspecteur du travail.

    Décision de l’inspecteur du travail

    L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

    La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

    S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

    Contestation de la décision

    Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit.

    Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

        La demande d’autorisation d’affectation de travailleurs à des postes de nuit doit être présentée à l’inspecteur du travail.

        Que doit comporter la demande ?

        La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

        • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

        • Existence de contreparties et de temps de pause

        • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité et des salariés

        La demande doit être accompagnée d’un document attestant que les salariés ont été informés de la mise en place du travail de nuit.

        Décision de l’inspecteur du travail

        L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

        La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

        S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

        Contestation de la décision

        Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit au sein de l’entreprise.

        Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

        À savoir

        le médecin du travail est consulté avant la mise place du travail de nuit.

          Comment est mis en place le travail de nuit dans l’entreprise ?

          Le travail de nuit est justifié par la nécessité d’assurer la continuité de l’activité de l’entreprise. Le recours au travail de nuit doit être exceptionnel. Il doit prendre en compte les impératifs de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs. La mise en place du travail de nuit varie selon l’existence ou non d’un accord collectif sur le travail de nuit dans l’entreprise. Nous faisons un point sur la réglementation.

          Conditions de travail dans le secteur privé

          L’accord collectif doit préciser les points suivants :

          • Justifications du recours au travail de nuit

          • Définition de la période de travail de nuit

          • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

          • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

          • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

          • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

          • Organisation des temps de pause

          À savoir

          Le médecin du travail est consulté avant la mise en place du travail de nuit.

          L’employeur doit respecter certaines conditions pour mettre en place le travail de nuit. Il doit consulter l’institution représentative du personnel (délégué syndical ou comité social et économique – CSE) si elle existe.

          L’employeur engage des négociations en vue de conclure un accord collectif sur le travail de nuit.

          S’il ne négocie pas avec les représentants du personnel, l’employeur ne peut pas mettre en place le travail de nuit.

          L’accord collectif doit préciser les points suivants :

          • Justifications du recours au travail de nuit

          • Définition de la période de travail de nuit

          • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

          • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

          • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

          • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

          • Organisation des temps de pause

            L’employeur doit engager des négociations. Il doit transmettre une demande à l’inspecteur du travail pour obtenir son autorisation.

            Engagement des négociations

            L’employeur doit engager des négociations loyales et sérieuses. C’est le cas si l’employeur respecte les dispositions suivantes :

            • Convocation des organisations syndicales représentatives dans l’entreprise

            • Fixation du lieu et du calendrier de négociation

            • Communication de toutes les informations nécessaires à la négociation

            • Réponse aux propositions éventuelles

            À noter

            l’engagement des négociations doit avoir lieu dans les 12 mois précédant la demande.

            Que doit comporter la demande ?

            La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

            • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

            • Existence de contreparties et de temps de pause

            • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité des salariés

            L’employeur doit transmettre la demande à la  DDETS  pour la mise en place du travail de nuit. La demande doit être accompagnée de l’avis des représentants du personnel à l’inspecteur du travail.

            Décision de l’inspecteur du travail

            L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

            La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

            S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

            Contestation de la décision

            Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit.

            Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

                La demande d’autorisation d’affectation de travailleurs à des postes de nuit doit être présentée à l’inspecteur du travail.

                Que doit comporter la demande ?

                La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

                • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

                • Existence de contreparties et de temps de pause

                • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité et des salariés

                La demande doit être accompagnée d’un document attestant que les salariés ont été informés de la mise en place du travail de nuit.

                Décision de l’inspecteur du travail

                L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

                La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

                S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

                Contestation de la décision

                Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit au sein de l’entreprise.

                Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

                À savoir

                le médecin du travail est consulté avant la mise place du travail de nuit.

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                  Comment est mis en place le travail de nuit dans l’entreprise ?

                  Le travail de nuit est justifié par la nécessité d’assurer la continuité de l’activité de l’entreprise. Le recours au travail de nuit doit être exceptionnel. Il doit prendre en compte les impératifs de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs. La mise en place du travail de nuit varie selon l’existence ou non d’un accord collectif sur le travail de nuit dans l’entreprise. Nous faisons un point sur la réglementation.

                  Conditions de travail dans le secteur privé

                  L’accord collectif doit préciser les points suivants :

                  • Justifications du recours au travail de nuit

                  • Définition de la période de travail de nuit

                  • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

                  • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

                  • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

                  • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

                  • Organisation des temps de pause

                  À savoir

                  Le médecin du travail est consulté avant la mise en place du travail de nuit.

                  L’employeur doit respecter certaines conditions pour mettre en place le travail de nuit. Il doit consulter l’institution représentative du personnel (délégué syndical ou comité social et économique – CSE) si elle existe.

                  L’employeur engage des négociations en vue de conclure un accord collectif sur le travail de nuit.

                  S’il ne négocie pas avec les représentants du personnel, l’employeur ne peut pas mettre en place le travail de nuit.

                  L’accord collectif doit préciser les points suivants :

                  • Justifications du recours au travail de nuit

                  • Définition de la période de travail de nuit

                  • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

                  • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

                  • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

                  • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

                  • Organisation des temps de pause

                    L’employeur doit engager des négociations. Il doit transmettre une demande à l’inspecteur du travail pour obtenir son autorisation.

                    Engagement des négociations

                    L’employeur doit engager des négociations loyales et sérieuses. C’est le cas si l’employeur respecte les dispositions suivantes :

                    • Convocation des organisations syndicales représentatives dans l’entreprise

                    • Fixation du lieu et du calendrier de négociation

                    • Communication de toutes les informations nécessaires à la négociation

                    • Réponse aux propositions éventuelles

                    À noter

                    l’engagement des négociations doit avoir lieu dans les 12 mois précédant la demande.

                    Que doit comporter la demande ?

                    La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

                    • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

                    • Existence de contreparties et de temps de pause

                    • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité des salariés

                    L’employeur doit transmettre la demande à la  DDETS  pour la mise en place du travail de nuit. La demande doit être accompagnée de l’avis des représentants du personnel à l’inspecteur du travail.

                    Décision de l’inspecteur du travail

                    L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

                    La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

                    S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

                    Contestation de la décision

                    Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit.

                    Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

                        La demande d’autorisation d’affectation de travailleurs à des postes de nuit doit être présentée à l’inspecteur du travail.

                        Que doit comporter la demande ?

                        La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

                        • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

                        • Existence de contreparties et de temps de pause

                        • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité et des salariés

                        La demande doit être accompagnée d’un document attestant que les salariés ont été informés de la mise en place du travail de nuit.

                        Décision de l’inspecteur du travail

                        L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

                        La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

                        S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

                        Contestation de la décision

                        Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit au sein de l’entreprise.

                        Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

                        À savoir

                        le médecin du travail est consulté avant la mise place du travail de nuit.

                          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                          Comment est mis en place le travail de nuit dans l’entreprise ?

                          Le travail de nuit est justifié par la nécessité d’assurer la continuité de l’activité de l’entreprise. Le recours au travail de nuit doit être exceptionnel. Il doit prendre en compte les impératifs de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs. La mise en place du travail de nuit varie selon l’existence ou non d’un accord collectif sur le travail de nuit dans l’entreprise. Nous faisons un point sur la réglementation.

                          Conditions de travail dans le secteur privé

                          L’accord collectif doit préciser les points suivants :

                          • Justifications du recours au travail de nuit

                          • Définition de la période de travail de nuit

                          • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

                          • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

                          • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

                          • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

                          • Organisation des temps de pause

                          À savoir

                          Le médecin du travail est consulté avant la mise en place du travail de nuit.

                          L’employeur doit respecter certaines conditions pour mettre en place le travail de nuit. Il doit consulter l’institution représentative du personnel (délégué syndical ou comité social et économique – CSE) si elle existe.

                          L’employeur engage des négociations en vue de conclure un accord collectif sur le travail de nuit.

                          S’il ne négocie pas avec les représentants du personnel, l’employeur ne peut pas mettre en place le travail de nuit.

                          L’accord collectif doit préciser les points suivants :

                          • Justifications du recours au travail de nuit

                          • Définition de la période de travail de nuit

                          • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

                          • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

                          • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

                          • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

                          • Organisation des temps de pause

                            L’employeur doit engager des négociations. Il doit transmettre une demande à l’inspecteur du travail pour obtenir son autorisation.

                            Engagement des négociations

                            L’employeur doit engager des négociations loyales et sérieuses. C’est le cas si l’employeur respecte les dispositions suivantes :

                            • Convocation des organisations syndicales représentatives dans l’entreprise

                            • Fixation du lieu et du calendrier de négociation

                            • Communication de toutes les informations nécessaires à la négociation

                            • Réponse aux propositions éventuelles

                            À noter

                            l’engagement des négociations doit avoir lieu dans les 12 mois précédant la demande.

                            Que doit comporter la demande ?

                            La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

                            • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

                            • Existence de contreparties et de temps de pause

                            • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité des salariés

                            L’employeur doit transmettre la demande à la  DDETS  pour la mise en place du travail de nuit. La demande doit être accompagnée de l’avis des représentants du personnel à l’inspecteur du travail.

                            Décision de l’inspecteur du travail

                            L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

                            La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

                            S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

                            Contestation de la décision

                            Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit.

                            Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

                                La demande d’autorisation d’affectation de travailleurs à des postes de nuit doit être présentée à l’inspecteur du travail.

                                Que doit comporter la demande ?

                                La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

                                • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

                                • Existence de contreparties et de temps de pause

                                • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité et des salariés

                                La demande doit être accompagnée d’un document attestant que les salariés ont été informés de la mise en place du travail de nuit.

                                Décision de l’inspecteur du travail

                                L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

                                La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

                                S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

                                Contestation de la décision

                                Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit au sein de l’entreprise.

                                Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

                                À savoir

                                le médecin du travail est consulté avant la mise place du travail de nuit.

                                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                  Comment est mis en place le travail de nuit dans l’entreprise ?

                                  Le travail de nuit est justifié par la nécessité d’assurer la continuité de l’activité de l’entreprise. Le recours au travail de nuit doit être exceptionnel. Il doit prendre en compte les impératifs de protection de la santé et de la sécurité des travailleurs. La mise en place du travail de nuit varie selon l’existence ou non d’un accord collectif sur le travail de nuit dans l’entreprise. Nous faisons un point sur la réglementation.

                                  Conditions de travail dans le secteur privé

                                  L’accord collectif doit préciser les points suivants :

                                  • Justifications du recours au travail de nuit

                                  • Définition de la période de travail de nuit

                                  • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

                                  • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

                                  • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

                                  • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

                                  • Organisation des temps de pause

                                  À savoir

                                  Le médecin du travail est consulté avant la mise en place du travail de nuit.

                                  L’employeur doit respecter certaines conditions pour mettre en place le travail de nuit. Il doit consulter l’institution représentative du personnel (délégué syndical ou comité social et économique – CSE) si elle existe.

                                  L’employeur engage des négociations en vue de conclure un accord collectif sur le travail de nuit.

                                  S’il ne négocie pas avec les représentants du personnel, l’employeur ne peut pas mettre en place le travail de nuit.

                                  L’accord collectif doit préciser les points suivants :

                                  • Justifications du recours au travail de nuit

                                  • Définition de la période de travail de nuit

                                  • Contreparties sous forme de repos compensateur et, éventuellement, de majoration de salaire

                                  • Mesures d’amélioration des conditions de travail des salariés

                                  • Mesures pour concilier le travail de nuit avec la vie personnelle des salariés et l’exercice de leurs responsabilités familiales et sociales (moyens de transport par exemple)

                                  • Mesures pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes, notamment par l’accès à la formation

                                  • Organisation des temps de pause

                                    L’employeur doit engager des négociations. Il doit transmettre une demande à l’inspecteur du travail pour obtenir son autorisation.

                                    Engagement des négociations

                                    L’employeur doit engager des négociations loyales et sérieuses. C’est le cas si l’employeur respecte les dispositions suivantes :

                                    • Convocation des organisations syndicales représentatives dans l’entreprise

                                    • Fixation du lieu et du calendrier de négociation

                                    • Communication de toutes les informations nécessaires à la négociation

                                    • Réponse aux propositions éventuelles

                                    À noter

                                    l’engagement des négociations doit avoir lieu dans les 12 mois précédant la demande.

                                    Que doit comporter la demande ?

                                    La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

                                    • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

                                    • Existence de contreparties et de temps de pause

                                    • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité des salariés

                                    L’employeur doit transmettre la demande à la  DDETS  pour la mise en place du travail de nuit. La demande doit être accompagnée de l’avis des représentants du personnel à l’inspecteur du travail.

                                    Décision de l’inspecteur du travail

                                    L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

                                    La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

                                    S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

                                    Contestation de la décision

                                    Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit.

                                    Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

                                        La demande d’autorisation d’affectation de travailleurs à des postes de nuit doit être présentée à l’inspecteur du travail.

                                        Que doit comporter la demande ?

                                        La demande doit être justifiée. Elle doit comporter les points suivants :

                                        • Contraintes nécessitant d’assurer la continuité de l’activité économique ou des services d’utilité sociale

                                        • Existence de contreparties et de temps de pause

                                        • Prise en compte des impératifs de protection de la santé et de la sécurité et des salariés

                                        La demande doit être accompagnée d’un document attestant que les salariés ont été informés de la mise en place du travail de nuit.

                                        Décision de l’inspecteur du travail

                                        L’inspecteur du travail fait connaître sa décision dans un délai de 30 jours à compter de la date de réception de la demande.

                                        La décision est adressée à l’employeur et aux représentants du personnel.

                                        S’il ne répond pas dans un délai de 30 jours, l’autorisation est accordée.

                                        Contestation de la décision

                                        Un recours hiérarchique peut être formé contre la décision de l’inspecteur du travail qui a autorisé le travail de nuit au sein de l’entreprise.

                                        Ce recours est porté devant le directeur régional de la  Dreets  dans un délai d’1 mois suivant la date à laquelle les intéressés ont reçu notification de la décision sur le travail de nuit.

                                        À savoir

                                        le médecin du travail est consulté avant la mise place du travail de nuit.

                                          Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                          Faire sa demande en ligne

                                          Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                          Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                          La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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