Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Que se passe-t-il après un dépôt de plainte ?

Quand vous avez déposé plainte, un service de police ou de gendarmerie est chargé d’enquêter. La décision finale sur l’orientation de la plainte est prise par le procureur de la République. Nous vous donnons les informations à connaître.

Attention

Si vous avez déposé une , c’est le juge d’instruction qui mène l’enquête et décide de faire juger l’affaire ou non.

    L’enquête est confiée à un service de police judiciaire .

    La police judiciaire désigne les services chargés d’enquêter. Il s’agit souvent de la gendarmerie ou de la police nationale.

    Plus rarement, l’enquête est confiée à d’autres services de police judiciaire, la douane par exemple.

    Les missions de police judiciaire sont exercées par des agents de police judiciaire (APJ) et des officiers de police judiciaire (OPJ).

    Selon la manière dont la victime dépose sa plainte, les premiers actes de l’enquête ne sont pas les mêmes.

    La police ou la gendarmerie peut démarrer l’enquête directement sans envoyer la plainte au tribunal.

    Les OPJ doivent tenir informé le procureur de la République de l’avancement de l’enquête quand elle est commencée depuis plus de 6 mois.

    À savoir

    la police ou la gendarmerie peut transmettre la plainte à un autre service d’enquête territorialement compétent.

      Après réception du courrier de plainte, le procureur de la République envoie la plainte à un service de police judiciaire.

      Lorsque le procureur de la République donne instruction aux officiers de police judiciaire de procéder à une enquête préliminaire, il fixe le délai dans lequel cette enquête doit être effectuée. Il peut allonger le délai à la demande des enquêteurs.

      L’enquête commence par une audition du plaignant.

        L’enquête doit permettre à la police judiciaire de vérifier l’existence d’une infraction à la loi pénale, de rassembler les preuves et de rechercher les suspects.

        La police judiciaire exerce ses missions sous le contrôle du procureur de la République.

        Dès qu’un suspect est identifié, la police judiciaire doit informer le procureur de la République.

        Durant l’enquête, la police judiciaire doit respecter plusieurs principes :

        • Secret de l’enquête (pour protéger les preuves et les témoignages ou éviter les pressions de l’opinion publique)

        • Loyauté de la preuve (qui interdit certains stratagèmes comme par exemple sonoriser une cellule de garde à vue).

        Tous les actes que les agents et officiers de police judiciaire réalisent pendant leur enquête sont transcrits dans des . Ces procès-verbaux ne sont pas communiqués au suspect ou à la victime pendant la durée de l’enquête.

        Auditions et interrogatoires

        Durant l’enquête, la victime peut de nouveau être auditionnée. Elle peut également être confrontée au suspect.

        Le suspect, s’il est identifié, peut être placé en garde à vue ou entendu en audition libre.

        Les témoins peuvent être auditionnés par la police judiciaire.

        Les questions et réponses des personnes auditionnées sont écrites dans les procès-verbaux.

        À savoir

        à tout moment de l’enquête, la victime peut demander à être entendue par la police judiciaire.

        Actes d’enquête

        La police judiciaire peut faire des perquisitions et saisir des preuves (du matériel informatique, par exemple).

        La police judiciaire peut faire appel à des experts pour des examens techniques.

        Exemple

        Pour demander à un expert d’exploiter un disque dur saisi lors d’une perquisition.

        La police judiciaire peut demander des expertises scientifiques.

        Exemple

        Pour demander à un expert d’examiner l’ADN sur une pièce à conviction.

        La police judiciaire peut également adresser des demandes, appelées , auprès d’autres organismes privés ou publics. Ces demandes doivent permettre d’obtenir des informations utiles pour l’enquête.

        Exemple

        La police judiciaire peut adresser une réquisition à un opérateur téléphonique, pour obtenir le relevé des appels téléphoniques émis ou reçus sur un numéro de téléphone.

        La police judiciaire peut procéder à des mesures dites «  de surveillance secrète  » comme des écoutes téléphonique, une surveillance visuelle ou des techniques de géolocalisation.

        Dans une enquête préliminaire, certains actes (expertises, examens …) doivent être demandés ou autorisés par le procureur de la République.

        Dans une enquête de flagrance, l’OPJ peut faire ces actes sans avoir à demander l’autorisation du procureur de la République.

        À savoir

        à tout moment de l’enquête, la victime peut elle-même fournir des preuves aux services d’enquête.

        Durée

        Le procureur de la République fixe le délai dans lequel l’enquête doit être effectuée.

        En fonction de la complexité et de la gravité d’une affaire, une enquête peut durer plusieurs semaines, plusieurs mois ou même parfois plusieurs années.

        Cependant, la police judiciaire doit veiller à ne pas dépasser les délais de prescription entre chacun de ses actes (auditions, interrogatoires…).

        La durée de l’enquête préliminaire ne peut pas dépasser 2 ans à compter de la garde à vue, de l’audition libre ou de la perquisition. Le procureur de la République peut exceptionnellement prolonger ce délai d’1 an.

        A l’issue de ces délais (2 ans + 1 an), une prolongation exceptionnelle d’un an est possible (renouvelable une fois).

        La victime n’est pas forcément informée de l’avancement de l’enquête. Elle peut interroger la police ou la gendarmerie ou bien le tribunal où est enregistré sa procédure pour être informée du suivi de la plainte.

        À savoir

        une victime qui a déposé une plainte simple depuis plus de 3 mois peut à certaines conditions déposer une plainte avec constitution de partie civile auprès du juge d’instruction.

        À la fin de l’enquête, le service de police judiciaire transmet les procès-verbaux au procureur de la République.

        C’est au procureur de prendre une décision sur l’orientation à donner à l’affaire.

        Avant de prendre sa décision, le procureur de la République peut demander un complément d’enquête.

        Décision du procureur de la République

        Si l’enquête lui paraît terminée, le procureur de la République peut prendre une des décisions suivantes :

        À noter

        si l’enquête est complexe, le procureur de la République peut ouvrir une information judiciaire pour confier le dossier à un juge d’instruction.

        Information de la victime

        Le procureur de la République doit informer la victime s’il décide de faire juger le suspect ou de procéder à une mesure alternative aux poursuites.

        Lorsqu’il décide de classer sans suite la procédure, il avise également la victime de sa décision en indiquant les raisons juridiques ou d’opportunité qui la justifient.

        Si le suspect doit être jugé, le procureur propose à la victime de se constituer partie civile.

        La victime peut obtenir de l’aide auprès d’un bureau d’aide aux victimes.

        Où s’adresser ?

         Bureau d’aide aux victimes 

      • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

        Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

        En France métropolitaine

        116 006

        Appel gratuit

        Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

        Hors métropole (ou depuis l’étranger)

        + 33 (0)1 80 52 33 76

        Appel gratuit

        Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

        Pour les personnes malentendantes

        Par mail :  victimes@116006.fr 

      • Violences Femmes Info – 3919

        Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

        Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

        Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

        Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

        Par téléphone

        39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

        Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

        Appel anonyme

        Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

      • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

        Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

        En France métropolitaine

        116 006

        Appel gratuit

        Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

        Hors métropole (ou depuis l’étranger)

        + 33 (0)1 80 52 33 76

        Appel gratuit

        Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

        Pour les personnes malentendantes

        Par mail :  victimes@116006.fr 

      • Violences Femmes Info – 3919

        Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

        Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

        Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

        Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

        Par téléphone

        39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

        Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

        Appel anonyme

        Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

      Que se passe-t-il après un dépôt de plainte ?

      Quand vous avez déposé plainte, un service de police ou de gendarmerie est chargé d’enquêter. La décision finale sur l’orientation de la plainte est prise par le procureur de la République. Nous vous donnons les informations à connaître.

      Attention

      Si vous avez déposé une , c’est le juge d’instruction qui mène l’enquête et décide de faire juger l’affaire ou non.

        L’enquête est confiée à un service de police judiciaire .

        La police judiciaire désigne les services chargés d’enquêter. Il s’agit souvent de la gendarmerie ou de la police nationale.

        Plus rarement, l’enquête est confiée à d’autres services de police judiciaire, la douane par exemple.

        Les missions de police judiciaire sont exercées par des agents de police judiciaire (APJ) et des officiers de police judiciaire (OPJ).

        Selon la manière dont la victime dépose sa plainte, les premiers actes de l’enquête ne sont pas les mêmes.

        La police ou la gendarmerie peut démarrer l’enquête directement sans envoyer la plainte au tribunal.

        Les OPJ doivent tenir informé le procureur de la République de l’avancement de l’enquête quand elle est commencée depuis plus de 6 mois.

        À savoir

        la police ou la gendarmerie peut transmettre la plainte à un autre service d’enquête territorialement compétent.

          Après réception du courrier de plainte, le procureur de la République envoie la plainte à un service de police judiciaire.

          Lorsque le procureur de la République donne instruction aux officiers de police judiciaire de procéder à une enquête préliminaire, il fixe le délai dans lequel cette enquête doit être effectuée. Il peut allonger le délai à la demande des enquêteurs.

          L’enquête commence par une audition du plaignant.

            L’enquête doit permettre à la police judiciaire de vérifier l’existence d’une infraction à la loi pénale, de rassembler les preuves et de rechercher les suspects.

            La police judiciaire exerce ses missions sous le contrôle du procureur de la République.

            Dès qu’un suspect est identifié, la police judiciaire doit informer le procureur de la République.

            Durant l’enquête, la police judiciaire doit respecter plusieurs principes :

            • Secret de l’enquête (pour protéger les preuves et les témoignages ou éviter les pressions de l’opinion publique)

            • Loyauté de la preuve (qui interdit certains stratagèmes comme par exemple sonoriser une cellule de garde à vue).

            Tous les actes que les agents et officiers de police judiciaire réalisent pendant leur enquête sont transcrits dans des . Ces procès-verbaux ne sont pas communiqués au suspect ou à la victime pendant la durée de l’enquête.

            Auditions et interrogatoires

            Durant l’enquête, la victime peut de nouveau être auditionnée. Elle peut également être confrontée au suspect.

            Le suspect, s’il est identifié, peut être placé en garde à vue ou entendu en audition libre.

            Les témoins peuvent être auditionnés par la police judiciaire.

            Les questions et réponses des personnes auditionnées sont écrites dans les procès-verbaux.

            À savoir

            à tout moment de l’enquête, la victime peut demander à être entendue par la police judiciaire.

            Actes d’enquête

            La police judiciaire peut faire des perquisitions et saisir des preuves (du matériel informatique, par exemple).

            La police judiciaire peut faire appel à des experts pour des examens techniques.

            Exemple

            Pour demander à un expert d’exploiter un disque dur saisi lors d’une perquisition.

            La police judiciaire peut demander des expertises scientifiques.

            Exemple

            Pour demander à un expert d’examiner l’ADN sur une pièce à conviction.

            La police judiciaire peut également adresser des demandes, appelées , auprès d’autres organismes privés ou publics. Ces demandes doivent permettre d’obtenir des informations utiles pour l’enquête.

            Exemple

            La police judiciaire peut adresser une réquisition à un opérateur téléphonique, pour obtenir le relevé des appels téléphoniques émis ou reçus sur un numéro de téléphone.

            La police judiciaire peut procéder à des mesures dites «  de surveillance secrète  » comme des écoutes téléphonique, une surveillance visuelle ou des techniques de géolocalisation.

            Dans une enquête préliminaire, certains actes (expertises, examens …) doivent être demandés ou autorisés par le procureur de la République.

            Dans une enquête de flagrance, l’OPJ peut faire ces actes sans avoir à demander l’autorisation du procureur de la République.

            À savoir

            à tout moment de l’enquête, la victime peut elle-même fournir des preuves aux services d’enquête.

            Durée

            Le procureur de la République fixe le délai dans lequel l’enquête doit être effectuée.

            En fonction de la complexité et de la gravité d’une affaire, une enquête peut durer plusieurs semaines, plusieurs mois ou même parfois plusieurs années.

            Cependant, la police judiciaire doit veiller à ne pas dépasser les délais de prescription entre chacun de ses actes (auditions, interrogatoires…).

            La durée de l’enquête préliminaire ne peut pas dépasser 2 ans à compter de la garde à vue, de l’audition libre ou de la perquisition. Le procureur de la République peut exceptionnellement prolonger ce délai d’1 an.

            A l’issue de ces délais (2 ans + 1 an), une prolongation exceptionnelle d’un an est possible (renouvelable une fois).

            La victime n’est pas forcément informée de l’avancement de l’enquête. Elle peut interroger la police ou la gendarmerie ou bien le tribunal où est enregistré sa procédure pour être informée du suivi de la plainte.

            À savoir

            une victime qui a déposé une plainte simple depuis plus de 3 mois peut à certaines conditions déposer une plainte avec constitution de partie civile auprès du juge d’instruction.

            À la fin de l’enquête, le service de police judiciaire transmet les procès-verbaux au procureur de la République.

            C’est au procureur de prendre une décision sur l’orientation à donner à l’affaire.

            Avant de prendre sa décision, le procureur de la République peut demander un complément d’enquête.

            Décision du procureur de la République

            Si l’enquête lui paraît terminée, le procureur de la République peut prendre une des décisions suivantes :

            À noter

            si l’enquête est complexe, le procureur de la République peut ouvrir une information judiciaire pour confier le dossier à un juge d’instruction.

            Information de la victime

            Le procureur de la République doit informer la victime s’il décide de faire juger le suspect ou de procéder à une mesure alternative aux poursuites.

            Lorsqu’il décide de classer sans suite la procédure, il avise également la victime de sa décision en indiquant les raisons juridiques ou d’opportunité qui la justifient.

            Si le suspect doit être jugé, le procureur propose à la victime de se constituer partie civile.

            La victime peut obtenir de l’aide auprès d’un bureau d’aide aux victimes.

            Où s’adresser ?

             Bureau d’aide aux victimes 

          • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

            Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

            En France métropolitaine

            116 006

            Appel gratuit

            Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

            Hors métropole (ou depuis l’étranger)

            + 33 (0)1 80 52 33 76

            Appel gratuit

            Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

            Pour les personnes malentendantes

            Par mail :  victimes@116006.fr 

          • Violences Femmes Info – 3919

            Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

            Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

            Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

            Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

            Par téléphone

            39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

            Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

            Appel anonyme

            Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

          • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

            Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

            En France métropolitaine

            116 006

            Appel gratuit

            Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

            Hors métropole (ou depuis l’étranger)

            + 33 (0)1 80 52 33 76

            Appel gratuit

            Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

            Pour les personnes malentendantes

            Par mail :  victimes@116006.fr 

          • Violences Femmes Info – 3919

            Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

            Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

            Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

            Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

            Par téléphone

            39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

            Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

            Appel anonyme

            Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

          Que se passe-t-il après un dépôt de plainte ?

          Quand vous avez déposé plainte, un service de police ou de gendarmerie est chargé d’enquêter. La décision finale sur l’orientation de la plainte est prise par le procureur de la République. Nous vous donnons les informations à connaître.

          Attention

          Si vous avez déposé une , c’est le juge d’instruction qui mène l’enquête et décide de faire juger l’affaire ou non.

            L’enquête est confiée à un service de police judiciaire .

            La police judiciaire désigne les services chargés d’enquêter. Il s’agit souvent de la gendarmerie ou de la police nationale.

            Plus rarement, l’enquête est confiée à d’autres services de police judiciaire, la douane par exemple.

            Les missions de police judiciaire sont exercées par des agents de police judiciaire (APJ) et des officiers de police judiciaire (OPJ).

            Selon la manière dont la victime dépose sa plainte, les premiers actes de l’enquête ne sont pas les mêmes.

            La police ou la gendarmerie peut démarrer l’enquête directement sans envoyer la plainte au tribunal.

            Les OPJ doivent tenir informé le procureur de la République de l’avancement de l’enquête quand elle est commencée depuis plus de 6 mois.

            À savoir

            la police ou la gendarmerie peut transmettre la plainte à un autre service d’enquête territorialement compétent.

              Après réception du courrier de plainte, le procureur de la République envoie la plainte à un service de police judiciaire.

              Lorsque le procureur de la République donne instruction aux officiers de police judiciaire de procéder à une enquête préliminaire, il fixe le délai dans lequel cette enquête doit être effectuée. Il peut allonger le délai à la demande des enquêteurs.

              L’enquête commence par une audition du plaignant.

                L’enquête doit permettre à la police judiciaire de vérifier l’existence d’une infraction à la loi pénale, de rassembler les preuves et de rechercher les suspects.

                La police judiciaire exerce ses missions sous le contrôle du procureur de la République.

                Dès qu’un suspect est identifié, la police judiciaire doit informer le procureur de la République.

                Durant l’enquête, la police judiciaire doit respecter plusieurs principes :

                • Secret de l’enquête (pour protéger les preuves et les témoignages ou éviter les pressions de l’opinion publique)

                • Loyauté de la preuve (qui interdit certains stratagèmes comme par exemple sonoriser une cellule de garde à vue).

                Tous les actes que les agents et officiers de police judiciaire réalisent pendant leur enquête sont transcrits dans des . Ces procès-verbaux ne sont pas communiqués au suspect ou à la victime pendant la durée de l’enquête.

                Auditions et interrogatoires

                Durant l’enquête, la victime peut de nouveau être auditionnée. Elle peut également être confrontée au suspect.

                Le suspect, s’il est identifié, peut être placé en garde à vue ou entendu en audition libre.

                Les témoins peuvent être auditionnés par la police judiciaire.

                Les questions et réponses des personnes auditionnées sont écrites dans les procès-verbaux.

                À savoir

                à tout moment de l’enquête, la victime peut demander à être entendue par la police judiciaire.

                Actes d’enquête

                La police judiciaire peut faire des perquisitions et saisir des preuves (du matériel informatique, par exemple).

                La police judiciaire peut faire appel à des experts pour des examens techniques.

                Exemple

                Pour demander à un expert d’exploiter un disque dur saisi lors d’une perquisition.

                La police judiciaire peut demander des expertises scientifiques.

                Exemple

                Pour demander à un expert d’examiner l’ADN sur une pièce à conviction.

                La police judiciaire peut également adresser des demandes, appelées , auprès d’autres organismes privés ou publics. Ces demandes doivent permettre d’obtenir des informations utiles pour l’enquête.

                Exemple

                La police judiciaire peut adresser une réquisition à un opérateur téléphonique, pour obtenir le relevé des appels téléphoniques émis ou reçus sur un numéro de téléphone.

                La police judiciaire peut procéder à des mesures dites «  de surveillance secrète  » comme des écoutes téléphonique, une surveillance visuelle ou des techniques de géolocalisation.

                Dans une enquête préliminaire, certains actes (expertises, examens …) doivent être demandés ou autorisés par le procureur de la République.

                Dans une enquête de flagrance, l’OPJ peut faire ces actes sans avoir à demander l’autorisation du procureur de la République.

                À savoir

                à tout moment de l’enquête, la victime peut elle-même fournir des preuves aux services d’enquête.

                Durée

                Le procureur de la République fixe le délai dans lequel l’enquête doit être effectuée.

                En fonction de la complexité et de la gravité d’une affaire, une enquête peut durer plusieurs semaines, plusieurs mois ou même parfois plusieurs années.

                Cependant, la police judiciaire doit veiller à ne pas dépasser les délais de prescription entre chacun de ses actes (auditions, interrogatoires…).

                La durée de l’enquête préliminaire ne peut pas dépasser 2 ans à compter de la garde à vue, de l’audition libre ou de la perquisition. Le procureur de la République peut exceptionnellement prolonger ce délai d’1 an.

                A l’issue de ces délais (2 ans + 1 an), une prolongation exceptionnelle d’un an est possible (renouvelable une fois).

                La victime n’est pas forcément informée de l’avancement de l’enquête. Elle peut interroger la police ou la gendarmerie ou bien le tribunal où est enregistré sa procédure pour être informée du suivi de la plainte.

                À savoir

                une victime qui a déposé une plainte simple depuis plus de 3 mois peut à certaines conditions déposer une plainte avec constitution de partie civile auprès du juge d’instruction.

                À la fin de l’enquête, le service de police judiciaire transmet les procès-verbaux au procureur de la République.

                C’est au procureur de prendre une décision sur l’orientation à donner à l’affaire.

                Avant de prendre sa décision, le procureur de la République peut demander un complément d’enquête.

                Décision du procureur de la République

                Si l’enquête lui paraît terminée, le procureur de la République peut prendre une des décisions suivantes :

                À noter

                si l’enquête est complexe, le procureur de la République peut ouvrir une information judiciaire pour confier le dossier à un juge d’instruction.

                Information de la victime

                Le procureur de la République doit informer la victime s’il décide de faire juger le suspect ou de procéder à une mesure alternative aux poursuites.

                Lorsqu’il décide de classer sans suite la procédure, il avise également la victime de sa décision en indiquant les raisons juridiques ou d’opportunité qui la justifient.

                Si le suspect doit être jugé, le procureur propose à la victime de se constituer partie civile.

                La victime peut obtenir de l’aide auprès d’un bureau d’aide aux victimes.

                Où s’adresser ?

                 Bureau d’aide aux victimes 

              • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                En France métropolitaine

                116 006

                Appel gratuit

                Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                + 33 (0)1 80 52 33 76

                Appel gratuit

                Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                Pour les personnes malentendantes

                Par mail :  victimes@116006.fr 

              • Violences Femmes Info – 3919

                Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

                Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

                Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

                Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

                Par téléphone

                39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

                Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

                Appel anonyme

                Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

              • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                En France métropolitaine

                116 006

                Appel gratuit

                Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                + 33 (0)1 80 52 33 76

                Appel gratuit

                Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                Pour les personnes malentendantes

                Par mail :  victimes@116006.fr 

              • Violences Femmes Info – 3919

                Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

                Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

                Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

                Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

                Par téléphone

                39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

                Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

                Appel anonyme

                Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

              Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

              Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

              Que se passe-t-il après un dépôt de plainte ?

              Quand vous avez déposé plainte, un service de police ou de gendarmerie est chargé d’enquêter. La décision finale sur l’orientation de la plainte est prise par le procureur de la République. Nous vous donnons les informations à connaître.

              Attention

              Si vous avez déposé une , c’est le juge d’instruction qui mène l’enquête et décide de faire juger l’affaire ou non.

                L’enquête est confiée à un service de police judiciaire .

                La police judiciaire désigne les services chargés d’enquêter. Il s’agit souvent de la gendarmerie ou de la police nationale.

                Plus rarement, l’enquête est confiée à d’autres services de police judiciaire, la douane par exemple.

                Les missions de police judiciaire sont exercées par des agents de police judiciaire (APJ) et des officiers de police judiciaire (OPJ).

                Selon la manière dont la victime dépose sa plainte, les premiers actes de l’enquête ne sont pas les mêmes.

                La police ou la gendarmerie peut démarrer l’enquête directement sans envoyer la plainte au tribunal.

                Les OPJ doivent tenir informé le procureur de la République de l’avancement de l’enquête quand elle est commencée depuis plus de 6 mois.

                À savoir

                la police ou la gendarmerie peut transmettre la plainte à un autre service d’enquête territorialement compétent.

                  Après réception du courrier de plainte, le procureur de la République envoie la plainte à un service de police judiciaire.

                  Lorsque le procureur de la République donne instruction aux officiers de police judiciaire de procéder à une enquête préliminaire, il fixe le délai dans lequel cette enquête doit être effectuée. Il peut allonger le délai à la demande des enquêteurs.

                  L’enquête commence par une audition du plaignant.

                    L’enquête doit permettre à la police judiciaire de vérifier l’existence d’une infraction à la loi pénale, de rassembler les preuves et de rechercher les suspects.

                    La police judiciaire exerce ses missions sous le contrôle du procureur de la République.

                    Dès qu’un suspect est identifié, la police judiciaire doit informer le procureur de la République.

                    Durant l’enquête, la police judiciaire doit respecter plusieurs principes :

                    • Secret de l’enquête (pour protéger les preuves et les témoignages ou éviter les pressions de l’opinion publique)

                    • Loyauté de la preuve (qui interdit certains stratagèmes comme par exemple sonoriser une cellule de garde à vue).

                    Tous les actes que les agents et officiers de police judiciaire réalisent pendant leur enquête sont transcrits dans des . Ces procès-verbaux ne sont pas communiqués au suspect ou à la victime pendant la durée de l’enquête.

                    Auditions et interrogatoires

                    Durant l’enquête, la victime peut de nouveau être auditionnée. Elle peut également être confrontée au suspect.

                    Le suspect, s’il est identifié, peut être placé en garde à vue ou entendu en audition libre.

                    Les témoins peuvent être auditionnés par la police judiciaire.

                    Les questions et réponses des personnes auditionnées sont écrites dans les procès-verbaux.

                    À savoir

                    à tout moment de l’enquête, la victime peut demander à être entendue par la police judiciaire.

                    Actes d’enquête

                    La police judiciaire peut faire des perquisitions et saisir des preuves (du matériel informatique, par exemple).

                    La police judiciaire peut faire appel à des experts pour des examens techniques.

                    Exemple

                    Pour demander à un expert d’exploiter un disque dur saisi lors d’une perquisition.

                    La police judiciaire peut demander des expertises scientifiques.

                    Exemple

                    Pour demander à un expert d’examiner l’ADN sur une pièce à conviction.

                    La police judiciaire peut également adresser des demandes, appelées , auprès d’autres organismes privés ou publics. Ces demandes doivent permettre d’obtenir des informations utiles pour l’enquête.

                    Exemple

                    La police judiciaire peut adresser une réquisition à un opérateur téléphonique, pour obtenir le relevé des appels téléphoniques émis ou reçus sur un numéro de téléphone.

                    La police judiciaire peut procéder à des mesures dites «  de surveillance secrète  » comme des écoutes téléphonique, une surveillance visuelle ou des techniques de géolocalisation.

                    Dans une enquête préliminaire, certains actes (expertises, examens …) doivent être demandés ou autorisés par le procureur de la République.

                    Dans une enquête de flagrance, l’OPJ peut faire ces actes sans avoir à demander l’autorisation du procureur de la République.

                    À savoir

                    à tout moment de l’enquête, la victime peut elle-même fournir des preuves aux services d’enquête.

                    Durée

                    Le procureur de la République fixe le délai dans lequel l’enquête doit être effectuée.

                    En fonction de la complexité et de la gravité d’une affaire, une enquête peut durer plusieurs semaines, plusieurs mois ou même parfois plusieurs années.

                    Cependant, la police judiciaire doit veiller à ne pas dépasser les délais de prescription entre chacun de ses actes (auditions, interrogatoires…).

                    La durée de l’enquête préliminaire ne peut pas dépasser 2 ans à compter de la garde à vue, de l’audition libre ou de la perquisition. Le procureur de la République peut exceptionnellement prolonger ce délai d’1 an.

                    A l’issue de ces délais (2 ans + 1 an), une prolongation exceptionnelle d’un an est possible (renouvelable une fois).

                    La victime n’est pas forcément informée de l’avancement de l’enquête. Elle peut interroger la police ou la gendarmerie ou bien le tribunal où est enregistré sa procédure pour être informée du suivi de la plainte.

                    À savoir

                    une victime qui a déposé une plainte simple depuis plus de 3 mois peut à certaines conditions déposer une plainte avec constitution de partie civile auprès du juge d’instruction.

                    À la fin de l’enquête, le service de police judiciaire transmet les procès-verbaux au procureur de la République.

                    C’est au procureur de prendre une décision sur l’orientation à donner à l’affaire.

                    Avant de prendre sa décision, le procureur de la République peut demander un complément d’enquête.

                    Décision du procureur de la République

                    Si l’enquête lui paraît terminée, le procureur de la République peut prendre une des décisions suivantes :

                    À noter

                    si l’enquête est complexe, le procureur de la République peut ouvrir une information judiciaire pour confier le dossier à un juge d’instruction.

                    Information de la victime

                    Le procureur de la République doit informer la victime s’il décide de faire juger le suspect ou de procéder à une mesure alternative aux poursuites.

                    Lorsqu’il décide de classer sans suite la procédure, il avise également la victime de sa décision en indiquant les raisons juridiques ou d’opportunité qui la justifient.

                    Si le suspect doit être jugé, le procureur propose à la victime de se constituer partie civile.

                    La victime peut obtenir de l’aide auprès d’un bureau d’aide aux victimes.

                    Où s’adresser ?

                     Bureau d’aide aux victimes 

                  • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                    Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                    En France métropolitaine

                    116 006

                    Appel gratuit

                    Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                    Hors métropole (ou depuis l’étranger)

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                    Pour les personnes malentendantes

                    Par mail :  victimes@116006.fr 

                  • Violences Femmes Info – 3919

                    Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

                    Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

                    Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

                    Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

                    Par téléphone

                    39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

                    Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

                    Appel anonyme

                    Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

                  • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                    Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                    En France métropolitaine

                    116 006

                    Appel gratuit

                    Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                    Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                    + 33 (0)1 80 52 33 76

                    Appel gratuit

                    Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                    Pour les personnes malentendantes

                    Par mail :  victimes@116006.fr 

                  • Violences Femmes Info – 3919

                    Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

                    Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

                    Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

                    Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

                    Par téléphone

                    39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

                    Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

                    Appel anonyme

                    Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                  Que se passe-t-il après un dépôt de plainte ?

                  Quand vous avez déposé plainte, un service de police ou de gendarmerie est chargé d’enquêter. La décision finale sur l’orientation de la plainte est prise par le procureur de la République. Nous vous donnons les informations à connaître.

                  Attention

                  Si vous avez déposé une , c’est le juge d’instruction qui mène l’enquête et décide de faire juger l’affaire ou non.

                    L’enquête est confiée à un service de police judiciaire .

                    La police judiciaire désigne les services chargés d’enquêter. Il s’agit souvent de la gendarmerie ou de la police nationale.

                    Plus rarement, l’enquête est confiée à d’autres services de police judiciaire, la douane par exemple.

                    Les missions de police judiciaire sont exercées par des agents de police judiciaire (APJ) et des officiers de police judiciaire (OPJ).

                    Selon la manière dont la victime dépose sa plainte, les premiers actes de l’enquête ne sont pas les mêmes.

                    La police ou la gendarmerie peut démarrer l’enquête directement sans envoyer la plainte au tribunal.

                    Les OPJ doivent tenir informé le procureur de la République de l’avancement de l’enquête quand elle est commencée depuis plus de 6 mois.

                    À savoir

                    la police ou la gendarmerie peut transmettre la plainte à un autre service d’enquête territorialement compétent.

                      Après réception du courrier de plainte, le procureur de la République envoie la plainte à un service de police judiciaire.

                      Lorsque le procureur de la République donne instruction aux officiers de police judiciaire de procéder à une enquête préliminaire, il fixe le délai dans lequel cette enquête doit être effectuée. Il peut allonger le délai à la demande des enquêteurs.

                      L’enquête commence par une audition du plaignant.

                        L’enquête doit permettre à la police judiciaire de vérifier l’existence d’une infraction à la loi pénale, de rassembler les preuves et de rechercher les suspects.

                        La police judiciaire exerce ses missions sous le contrôle du procureur de la République.

                        Dès qu’un suspect est identifié, la police judiciaire doit informer le procureur de la République.

                        Durant l’enquête, la police judiciaire doit respecter plusieurs principes :

                        • Secret de l’enquête (pour protéger les preuves et les témoignages ou éviter les pressions de l’opinion publique)

                        • Loyauté de la preuve (qui interdit certains stratagèmes comme par exemple sonoriser une cellule de garde à vue).

                        Tous les actes que les agents et officiers de police judiciaire réalisent pendant leur enquête sont transcrits dans des . Ces procès-verbaux ne sont pas communiqués au suspect ou à la victime pendant la durée de l’enquête.

                        Auditions et interrogatoires

                        Durant l’enquête, la victime peut de nouveau être auditionnée. Elle peut également être confrontée au suspect.

                        Le suspect, s’il est identifié, peut être placé en garde à vue ou entendu en audition libre.

                        Les témoins peuvent être auditionnés par la police judiciaire.

                        Les questions et réponses des personnes auditionnées sont écrites dans les procès-verbaux.

                        À savoir

                        à tout moment de l’enquête, la victime peut demander à être entendue par la police judiciaire.

                        Actes d’enquête

                        La police judiciaire peut faire des perquisitions et saisir des preuves (du matériel informatique, par exemple).

                        La police judiciaire peut faire appel à des experts pour des examens techniques.

                        Exemple

                        Pour demander à un expert d’exploiter un disque dur saisi lors d’une perquisition.

                        La police judiciaire peut demander des expertises scientifiques.

                        Exemple

                        Pour demander à un expert d’examiner l’ADN sur une pièce à conviction.

                        La police judiciaire peut également adresser des demandes, appelées , auprès d’autres organismes privés ou publics. Ces demandes doivent permettre d’obtenir des informations utiles pour l’enquête.

                        Exemple

                        La police judiciaire peut adresser une réquisition à un opérateur téléphonique, pour obtenir le relevé des appels téléphoniques émis ou reçus sur un numéro de téléphone.

                        La police judiciaire peut procéder à des mesures dites «  de surveillance secrète  » comme des écoutes téléphonique, une surveillance visuelle ou des techniques de géolocalisation.

                        Dans une enquête préliminaire, certains actes (expertises, examens …) doivent être demandés ou autorisés par le procureur de la République.

                        Dans une enquête de flagrance, l’OPJ peut faire ces actes sans avoir à demander l’autorisation du procureur de la République.

                        À savoir

                        à tout moment de l’enquête, la victime peut elle-même fournir des preuves aux services d’enquête.

                        Durée

                        Le procureur de la République fixe le délai dans lequel l’enquête doit être effectuée.

                        En fonction de la complexité et de la gravité d’une affaire, une enquête peut durer plusieurs semaines, plusieurs mois ou même parfois plusieurs années.

                        Cependant, la police judiciaire doit veiller à ne pas dépasser les délais de prescription entre chacun de ses actes (auditions, interrogatoires…).

                        La durée de l’enquête préliminaire ne peut pas dépasser 2 ans à compter de la garde à vue, de l’audition libre ou de la perquisition. Le procureur de la République peut exceptionnellement prolonger ce délai d’1 an.

                        A l’issue de ces délais (2 ans + 1 an), une prolongation exceptionnelle d’un an est possible (renouvelable une fois).

                        La victime n’est pas forcément informée de l’avancement de l’enquête. Elle peut interroger la police ou la gendarmerie ou bien le tribunal où est enregistré sa procédure pour être informée du suivi de la plainte.

                        À savoir

                        une victime qui a déposé une plainte simple depuis plus de 3 mois peut à certaines conditions déposer une plainte avec constitution de partie civile auprès du juge d’instruction.

                        À la fin de l’enquête, le service de police judiciaire transmet les procès-verbaux au procureur de la République.

                        C’est au procureur de prendre une décision sur l’orientation à donner à l’affaire.

                        Avant de prendre sa décision, le procureur de la République peut demander un complément d’enquête.

                        Décision du procureur de la République

                        Si l’enquête lui paraît terminée, le procureur de la République peut prendre une des décisions suivantes :

                        À noter

                        si l’enquête est complexe, le procureur de la République peut ouvrir une information judiciaire pour confier le dossier à un juge d’instruction.

                        Information de la victime

                        Le procureur de la République doit informer la victime s’il décide de faire juger le suspect ou de procéder à une mesure alternative aux poursuites.

                        Lorsqu’il décide de classer sans suite la procédure, il avise également la victime de sa décision en indiquant les raisons juridiques ou d’opportunité qui la justifient.

                        Si le suspect doit être jugé, le procureur propose à la victime de se constituer partie civile.

                        La victime peut obtenir de l’aide auprès d’un bureau d’aide aux victimes.

                        Où s’adresser ?

                         Bureau d’aide aux victimes 

                      • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                        Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                        En France métropolitaine

                        116 006

                        Appel gratuit

                        Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                        Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                        + 33 (0)1 80 52 33 76

                        Appel gratuit

                        Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                        Pour les personnes malentendantes

                        Par mail :  victimes@116006.fr 

                      • Violences Femmes Info – 3919

                        Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

                        Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

                        Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

                        Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

                        Par téléphone

                        39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

                        Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

                        Appel anonyme

                        Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

                      • 116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                        Ce service permet aux victimes d’infractions (hors atteintes aux biens sur internet) d’être écoutées et dirigées vers un réseau associatif et/ou tout professionnel spécialisé dans la protection des victimes.

                        En France métropolitaine

                        116 006

                        Appel gratuit

                        Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                        Hors métropole (ou depuis l’étranger)

                        + 33 (0)1 80 52 33 76

                        Appel gratuit

                        Service joignable tous les jours de l’année, de 9h à 19h.

                        Pour les personnes malentendantes

                        Par mail :  victimes@116006.fr 

                      • Violences Femmes Info – 3919

                        Écoute, informe et oriente les femmes victimes de violences, et les témoins de ces violences.

                        Traite les violences physiques, verbales ou psychologiques, à la maison ou au travail, et de toute nature (dont les harcèlements sexuels, les coups et blessures et les viols).

                        Ne traite pas les situations d’urgence (ce n’est pas un service de police ou de gendarmerie).

                        Pour les autres types de violences, le 3919 assure une réponse de premier niveau et oriente ou transfère vers un numéro utile.

                        Par téléphone

                        39 19 (appel gratuit depuis un téléphone fixe ou mobile en métropole et dans les DOM)

                        Ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7

                        Appel anonyme

                        Appel ne figurant pas sur les factures de téléphone

                      Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                      Faire sa demande en ligne

                      Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                      Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                      La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

                      Contact