Les mardis 24 et 31 décembre, les différents sites de la mairie fermeront 1h plus tôt. 15h : Fermeture du Centre Aquarécréatif | 16h : Fermeture des services de l'hôtel de ville, des services techniques, service culturel et musée | 16h30 : Fermeture des accueils de loisirs Genêts et P'tits Pelauds | 17h : Fermeture des services de la maison de l'enfance.
Urbanisme
Démarches d’urbanisme
Quand faire votre demande ?
Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.
Ai-je le droit ?
Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.
- PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
- 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire
Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.
Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.
- 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
- PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire
Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).
Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :
- 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
- Bassin > 100 m² = Permis de construire
Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut
- Permis de construire peu importe la superficie du bassin
Emprise au sol
= Projection verticale au sol de la construction
Surface de plancher
= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur
Quand recourir à un architecte ?
- Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
- Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
- Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
- Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
- Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher
Quelles formalités à accomplir ?
Droits et obligations des ex-époux après un divorce
Si vous avez divorcé par consentement mutuel ou devant un juge, vos droits et vos obligations changent. Nous vous présentons les informations à connaître.
Vous pouvez à nouveau vous marier une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de mariage et de naissance. Il est alors définitif et opposable aux tiers.
Vous pouvez conclure un Pacs. une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de naissance.
Devoir de fidélité
Dès que vous êtes divorcé, vous n’êtes plus tenu au devoir de fidélité envers votre ex-époux.
Devoir de cohabitation
Vous n’avez plus l’obligation de vivre ensemble.
Avec l’accord de votre ex-époux ou ex-épouse
Avec l’autorisation du juge si vous justifiez d’un intérêt légitime pour vous ou pour les enfants, par exemple si vous êtes connu(e) avec ce nom dans votre activité professionnelle.
À la suite d’un divorce, vous perdez l’usage du nom de votre mari ou de votre femme.
Toutefois, vous pouvez en conserver l’usage, dans les cas suivants :
Vous n’êtes plus héritier de votre ex-époux(se).
La donation au dernier vivant est automatiquement annulée en cas de divorce sauf si vous décidez de la maintenir.
La volonté de la maintenir doit être constatée par le Jaf lors du prononcé du divorce ou dans la convention de divorce en cas de divorce par consentement mutuel.
S’il a été maintenu, un avantage matrimonial (par exemple la clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant) peut produire effet au décès de l’un d’entre vous.
Votre imposition est distincte, pour cela vous devez signaler votre divorce au service des impôts.
L’année du divorce, vous devez déposer individuellement une déclaration de vos revenus et charges pour l’année entière, quelle que soit la date du divorce.
Le divorce met fin au devoir de secours entre vous.
Si vous êtes dans le besoin après avoir divorcé, votre ex-époux ou ex-épouse n’a plus l’obligation de vous aider financièrement ou matériellement. De la même façon, votre ex-époux ou ex-épouse ne peut pas vous demander de l’aider financièrement.
L’obligation d’assistance morale cesse également avec le divorce. Par exemple, vous n’êtes plus obligé(e) de soigner votre ex-époux ou ex-épouse malade.
Après un divorce, vous n’êtes plus tenu à la solidarité des dettes du ménage.
De même, vous ne devez plus aider vos beaux-parents dans le besoin.
D’autres obligations peuvent exister telles que la prestation compensatoire destinée à votre ex-époux ou une pension alimentaire pour l’entretien et l’éducation d’un enfant.
Prestation compensatoire
La prestation compensatoire permet d’effacer les déséquilibres financiers causés par le divorce dans les conditions de vie des ex-époux.
Vous pouvez vous entendre sur le versement d’une prestation compensatoire dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel. Lors d’un divorce judiciaire, elle peut être décidée ou homologuée par le juge.
Généralement, la prestation compensatoire prend la forme d’une somme d’argent qu’un époux(se) doit verser à l’autre. Le paiement de cette somme peut être échelonné sur 8 années. Elle peut aussi prendre la forme d’un avantage en nature (attribution d’un bien immobilier par exemple) ou d’une rente attribuée pour une durée limitée.
Contribution à l’entretien et l’éducation des enfants
Si vous êtes divorcé(e) et que vous avez encore un enfant mineur ou majeur qui n’est pas autonome financièrement, vous êtes obligé de contribuer à son entretien et à son éducation. Cette obligation prend la forme d’une pension alimentaire.
Elle est versée, en principe, au parent chez qui l l’enfant commun réside. Elle peut être due en cas de garde alternée en fonction des charges et des ressources de chacun des ex-époux.
La contribution financière peut également consister en un partage des frais liés à l’enfant.
Obligation alimentaire envers vos beaux-parents
L’obligation alimentaire est créée par les liens du mariage.
Si vous divorcez, vous n’avez plus l’obligation d’aider vos beaux-parents dans le besoin. Réciproquement, ils ne sont plus tenus à votre égard d’une obligation alimentaire.
En cas de divorce, vous devez liquider votrerégime matrimonial. La liquidation du régime matrimonial permet de répartir les biens entre les époux.
La liquidation doit être faite avant l’enregistrement de votre convention de divorce.
Vous n’avez pas de délai pour liquider le régime matrimonial, Vous pouvez le faire à l’amiable avant, pendant ou après la procédure de divorce.
En cas de désaccord, le partage des biens donne lieu à une procédure judiciaire.
Le divorce ne met pas fin à votre droit à une pension de réversion. En cas de décès de votre ex-époux(se), vous pouvez percevoir une pension de réversion sous certaines conditions.
Divorce, séparation de corps
- Déclarer ses impôts l’année de la séparation
Source : Direction générale des finances publiques - Je me sépare
Source : Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf)
- Pour des informations générales :
Service d’information des impôtsPar téléphone :
0809 401 401
Du lundi au vendredi de 8h30 à 19h, hors jours fériés.
Service gratuit + prix appel
- Pour joindre le service local gestionnaire de votre dossier :
Service en charge des impôts (trésorerie, service des impôts…)
Comment faire si…
- Code civil : articles 203 à 211
Obligation alimentaire pour les beaux-parents (article 205) - Code civil : articles 212 à 226
Obligations des époux pendant le mariage (articles 212 et 215) - Code civil : articles 263 à 265-2
Effet du divorce sur le nom d’usage (article 264) - Code civil : article 732
Effet sur l’héritage - Code civil : articles 270 à 281
Devoir de secours et prestation compensatoire - Code général des impôts : article 6
Impositions séparées - Code de la sécurité sociale : articles L353-1 à L353-6
Pension de réversion en cas de décès (L 353-61)
Droits et obligations des ex-époux après un divorce
Si vous avez divorcé par consentement mutuel ou devant un juge, vos droits et vos obligations changent. Nous vous présentons les informations à connaître.
Vous pouvez à nouveau vous marier une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de mariage et de naissance. Il est alors définitif et opposable aux tiers.
Vous pouvez conclure un Pacs. une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de naissance.
Devoir de fidélité
Dès que vous êtes divorcé, vous n’êtes plus tenu au devoir de fidélité envers votre ex-époux.
Devoir de cohabitation
Vous n’avez plus l’obligation de vivre ensemble.
Avec l’accord de votre ex-époux ou ex-épouse
Avec l’autorisation du juge si vous justifiez d’un intérêt légitime pour vous ou pour les enfants, par exemple si vous êtes connu(e) avec ce nom dans votre activité professionnelle.
À la suite d’un divorce, vous perdez l’usage du nom de votre mari ou de votre femme.
Toutefois, vous pouvez en conserver l’usage, dans les cas suivants :
Vous n’êtes plus héritier de votre ex-époux(se).
La donation au dernier vivant est automatiquement annulée en cas de divorce sauf si vous décidez de la maintenir.
La volonté de la maintenir doit être constatée par le Jaf lors du prononcé du divorce ou dans la convention de divorce en cas de divorce par consentement mutuel.
S’il a été maintenu, un avantage matrimonial (par exemple la clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant) peut produire effet au décès de l’un d’entre vous.
Votre imposition est distincte, pour cela vous devez signaler votre divorce au service des impôts.
L’année du divorce, vous devez déposer individuellement une déclaration de vos revenus et charges pour l’année entière, quelle que soit la date du divorce.
Le divorce met fin au devoir de secours entre vous.
Si vous êtes dans le besoin après avoir divorcé, votre ex-époux ou ex-épouse n’a plus l’obligation de vous aider financièrement ou matériellement. De la même façon, votre ex-époux ou ex-épouse ne peut pas vous demander de l’aider financièrement.
L’obligation d’assistance morale cesse également avec le divorce. Par exemple, vous n’êtes plus obligé(e) de soigner votre ex-époux ou ex-épouse malade.
Après un divorce, vous n’êtes plus tenu à la solidarité des dettes du ménage.
De même, vous ne devez plus aider vos beaux-parents dans le besoin.
D’autres obligations peuvent exister telles que la prestation compensatoire destinée à votre ex-époux ou une pension alimentaire pour l’entretien et l’éducation d’un enfant.
Prestation compensatoire
La prestation compensatoire permet d’effacer les déséquilibres financiers causés par le divorce dans les conditions de vie des ex-époux.
Vous pouvez vous entendre sur le versement d’une prestation compensatoire dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel. Lors d’un divorce judiciaire, elle peut être décidée ou homologuée par le juge.
Généralement, la prestation compensatoire prend la forme d’une somme d’argent qu’un époux(se) doit verser à l’autre. Le paiement de cette somme peut être échelonné sur 8 années. Elle peut aussi prendre la forme d’un avantage en nature (attribution d’un bien immobilier par exemple) ou d’une rente attribuée pour une durée limitée.
Contribution à l’entretien et l’éducation des enfants
Si vous êtes divorcé(e) et que vous avez encore un enfant mineur ou majeur qui n’est pas autonome financièrement, vous êtes obligé de contribuer à son entretien et à son éducation. Cette obligation prend la forme d’une pension alimentaire.
Elle est versée, en principe, au parent chez qui l l’enfant commun réside. Elle peut être due en cas de garde alternée en fonction des charges et des ressources de chacun des ex-époux.
La contribution financière peut également consister en un partage des frais liés à l’enfant.
Obligation alimentaire envers vos beaux-parents
L’obligation alimentaire est créée par les liens du mariage.
Si vous divorcez, vous n’avez plus l’obligation d’aider vos beaux-parents dans le besoin. Réciproquement, ils ne sont plus tenus à votre égard d’une obligation alimentaire.
En cas de divorce, vous devez liquider votrerégime matrimonial. La liquidation du régime matrimonial permet de répartir les biens entre les époux.
La liquidation doit être faite avant l’enregistrement de votre convention de divorce.
Vous n’avez pas de délai pour liquider le régime matrimonial, Vous pouvez le faire à l’amiable avant, pendant ou après la procédure de divorce.
En cas de désaccord, le partage des biens donne lieu à une procédure judiciaire.
Le divorce ne met pas fin à votre droit à une pension de réversion. En cas de décès de votre ex-époux(se), vous pouvez percevoir une pension de réversion sous certaines conditions.
Divorce, séparation de corps
- Déclarer ses impôts l’année de la séparation
Source : Direction générale des finances publiques - Je me sépare
Source : Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf)
- Pour des informations générales :
Service d’information des impôtsPar téléphone :
0809 401 401
Du lundi au vendredi de 8h30 à 19h, hors jours fériés.
Service gratuit + prix appel
- Pour joindre le service local gestionnaire de votre dossier :
Service en charge des impôts (trésorerie, service des impôts…)
Comment faire si…
- Code civil : articles 203 à 211
Obligation alimentaire pour les beaux-parents (article 205) - Code civil : articles 212 à 226
Obligations des époux pendant le mariage (articles 212 et 215) - Code civil : articles 263 à 265-2
Effet du divorce sur le nom d’usage (article 264) - Code civil : article 732
Effet sur l’héritage - Code civil : articles 270 à 281
Devoir de secours et prestation compensatoire - Code général des impôts : article 6
Impositions séparées - Code de la sécurité sociale : articles L353-1 à L353-6
Pension de réversion en cas de décès (L 353-61)
Droits et obligations des ex-époux après un divorce
Si vous avez divorcé par consentement mutuel ou devant un juge, vos droits et vos obligations changent. Nous vous présentons les informations à connaître.
Vous pouvez à nouveau vous marier une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de mariage et de naissance. Il est alors définitif et opposable aux tiers.
Vous pouvez conclure un Pacs. une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de naissance.
Devoir de fidélité
Dès que vous êtes divorcé, vous n’êtes plus tenu au devoir de fidélité envers votre ex-époux.
Devoir de cohabitation
Vous n’avez plus l’obligation de vivre ensemble.
Avec l’accord de votre ex-époux ou ex-épouse
Avec l’autorisation du juge si vous justifiez d’un intérêt légitime pour vous ou pour les enfants, par exemple si vous êtes connu(e) avec ce nom dans votre activité professionnelle.
À la suite d’un divorce, vous perdez l’usage du nom de votre mari ou de votre femme.
Toutefois, vous pouvez en conserver l’usage, dans les cas suivants :
Vous n’êtes plus héritier de votre ex-époux(se).
La donation au dernier vivant est automatiquement annulée en cas de divorce sauf si vous décidez de la maintenir.
La volonté de la maintenir doit être constatée par le Jaf lors du prononcé du divorce ou dans la convention de divorce en cas de divorce par consentement mutuel.
S’il a été maintenu, un avantage matrimonial (par exemple la clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant) peut produire effet au décès de l’un d’entre vous.
Votre imposition est distincte, pour cela vous devez signaler votre divorce au service des impôts.
L’année du divorce, vous devez déposer individuellement une déclaration de vos revenus et charges pour l’année entière, quelle que soit la date du divorce.
Le divorce met fin au devoir de secours entre vous.
Si vous êtes dans le besoin après avoir divorcé, votre ex-époux ou ex-épouse n’a plus l’obligation de vous aider financièrement ou matériellement. De la même façon, votre ex-époux ou ex-épouse ne peut pas vous demander de l’aider financièrement.
L’obligation d’assistance morale cesse également avec le divorce. Par exemple, vous n’êtes plus obligé(e) de soigner votre ex-époux ou ex-épouse malade.
Après un divorce, vous n’êtes plus tenu à la solidarité des dettes du ménage.
De même, vous ne devez plus aider vos beaux-parents dans le besoin.
D’autres obligations peuvent exister telles que la prestation compensatoire destinée à votre ex-époux ou une pension alimentaire pour l’entretien et l’éducation d’un enfant.
Prestation compensatoire
La prestation compensatoire permet d’effacer les déséquilibres financiers causés par le divorce dans les conditions de vie des ex-époux.
Vous pouvez vous entendre sur le versement d’une prestation compensatoire dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel. Lors d’un divorce judiciaire, elle peut être décidée ou homologuée par le juge.
Généralement, la prestation compensatoire prend la forme d’une somme d’argent qu’un époux(se) doit verser à l’autre. Le paiement de cette somme peut être échelonné sur 8 années. Elle peut aussi prendre la forme d’un avantage en nature (attribution d’un bien immobilier par exemple) ou d’une rente attribuée pour une durée limitée.
Contribution à l’entretien et l’éducation des enfants
Si vous êtes divorcé(e) et que vous avez encore un enfant mineur ou majeur qui n’est pas autonome financièrement, vous êtes obligé de contribuer à son entretien et à son éducation. Cette obligation prend la forme d’une pension alimentaire.
Elle est versée, en principe, au parent chez qui l l’enfant commun réside. Elle peut être due en cas de garde alternée en fonction des charges et des ressources de chacun des ex-époux.
La contribution financière peut également consister en un partage des frais liés à l’enfant.
Obligation alimentaire envers vos beaux-parents
L’obligation alimentaire est créée par les liens du mariage.
Si vous divorcez, vous n’avez plus l’obligation d’aider vos beaux-parents dans le besoin. Réciproquement, ils ne sont plus tenus à votre égard d’une obligation alimentaire.
En cas de divorce, vous devez liquider votrerégime matrimonial. La liquidation du régime matrimonial permet de répartir les biens entre les époux.
La liquidation doit être faite avant l’enregistrement de votre convention de divorce.
Vous n’avez pas de délai pour liquider le régime matrimonial, Vous pouvez le faire à l’amiable avant, pendant ou après la procédure de divorce.
En cas de désaccord, le partage des biens donne lieu à une procédure judiciaire.
Le divorce ne met pas fin à votre droit à une pension de réversion. En cas de décès de votre ex-époux(se), vous pouvez percevoir une pension de réversion sous certaines conditions.
Divorce, séparation de corps
- Déclarer ses impôts l’année de la séparation
Source : Direction générale des finances publiques - Je me sépare
Source : Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf)
- Pour des informations générales :
Service d’information des impôtsPar téléphone :
0809 401 401
Du lundi au vendredi de 8h30 à 19h, hors jours fériés.
Service gratuit + prix appel
- Pour joindre le service local gestionnaire de votre dossier :
Service en charge des impôts (trésorerie, service des impôts…)
Comment faire si…
- Code civil : articles 203 à 211
Obligation alimentaire pour les beaux-parents (article 205) - Code civil : articles 212 à 226
Obligations des époux pendant le mariage (articles 212 et 215) - Code civil : articles 263 à 265-2
Effet du divorce sur le nom d’usage (article 264) - Code civil : article 732
Effet sur l’héritage - Code civil : articles 270 à 281
Devoir de secours et prestation compensatoire - Code général des impôts : article 6
Impositions séparées - Code de la sécurité sociale : articles L353-1 à L353-6
Pension de réversion en cas de décès (L 353-61)
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Droits et obligations des ex-époux après un divorce
Si vous avez divorcé par consentement mutuel ou devant un juge, vos droits et vos obligations changent. Nous vous présentons les informations à connaître.
Vous pouvez à nouveau vous marier une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de mariage et de naissance. Il est alors définitif et opposable aux tiers.
Vous pouvez conclure un Pacs. une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de naissance.
Devoir de fidélité
Dès que vous êtes divorcé, vous n’êtes plus tenu au devoir de fidélité envers votre ex-époux.
Devoir de cohabitation
Vous n’avez plus l’obligation de vivre ensemble.
Avec l’accord de votre ex-époux ou ex-épouse
Avec l’autorisation du juge si vous justifiez d’un intérêt légitime pour vous ou pour les enfants, par exemple si vous êtes connu(e) avec ce nom dans votre activité professionnelle.
À la suite d’un divorce, vous perdez l’usage du nom de votre mari ou de votre femme.
Toutefois, vous pouvez en conserver l’usage, dans les cas suivants :
Vous n’êtes plus héritier de votre ex-époux(se).
La donation au dernier vivant est automatiquement annulée en cas de divorce sauf si vous décidez de la maintenir.
La volonté de la maintenir doit être constatée par le Jaf lors du prononcé du divorce ou dans la convention de divorce en cas de divorce par consentement mutuel.
S’il a été maintenu, un avantage matrimonial (par exemple la clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant) peut produire effet au décès de l’un d’entre vous.
Votre imposition est distincte, pour cela vous devez signaler votre divorce au service des impôts.
L’année du divorce, vous devez déposer individuellement une déclaration de vos revenus et charges pour l’année entière, quelle que soit la date du divorce.
Le divorce met fin au devoir de secours entre vous.
Si vous êtes dans le besoin après avoir divorcé, votre ex-époux ou ex-épouse n’a plus l’obligation de vous aider financièrement ou matériellement. De la même façon, votre ex-époux ou ex-épouse ne peut pas vous demander de l’aider financièrement.
L’obligation d’assistance morale cesse également avec le divorce. Par exemple, vous n’êtes plus obligé(e) de soigner votre ex-époux ou ex-épouse malade.
Après un divorce, vous n’êtes plus tenu à la solidarité des dettes du ménage.
De même, vous ne devez plus aider vos beaux-parents dans le besoin.
D’autres obligations peuvent exister telles que la prestation compensatoire destinée à votre ex-époux ou une pension alimentaire pour l’entretien et l’éducation d’un enfant.
Prestation compensatoire
La prestation compensatoire permet d’effacer les déséquilibres financiers causés par le divorce dans les conditions de vie des ex-époux.
Vous pouvez vous entendre sur le versement d’une prestation compensatoire dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel. Lors d’un divorce judiciaire, elle peut être décidée ou homologuée par le juge.
Généralement, la prestation compensatoire prend la forme d’une somme d’argent qu’un époux(se) doit verser à l’autre. Le paiement de cette somme peut être échelonné sur 8 années. Elle peut aussi prendre la forme d’un avantage en nature (attribution d’un bien immobilier par exemple) ou d’une rente attribuée pour une durée limitée.
Contribution à l’entretien et l’éducation des enfants
Si vous êtes divorcé(e) et que vous avez encore un enfant mineur ou majeur qui n’est pas autonome financièrement, vous êtes obligé de contribuer à son entretien et à son éducation. Cette obligation prend la forme d’une pension alimentaire.
Elle est versée, en principe, au parent chez qui l l’enfant commun réside. Elle peut être due en cas de garde alternée en fonction des charges et des ressources de chacun des ex-époux.
La contribution financière peut également consister en un partage des frais liés à l’enfant.
Obligation alimentaire envers vos beaux-parents
L’obligation alimentaire est créée par les liens du mariage.
Si vous divorcez, vous n’avez plus l’obligation d’aider vos beaux-parents dans le besoin. Réciproquement, ils ne sont plus tenus à votre égard d’une obligation alimentaire.
En cas de divorce, vous devez liquider votrerégime matrimonial. La liquidation du régime matrimonial permet de répartir les biens entre les époux.
La liquidation doit être faite avant l’enregistrement de votre convention de divorce.
Vous n’avez pas de délai pour liquider le régime matrimonial, Vous pouvez le faire à l’amiable avant, pendant ou après la procédure de divorce.
En cas de désaccord, le partage des biens donne lieu à une procédure judiciaire.
Le divorce ne met pas fin à votre droit à une pension de réversion. En cas de décès de votre ex-époux(se), vous pouvez percevoir une pension de réversion sous certaines conditions.
Divorce, séparation de corps
- Déclarer ses impôts l’année de la séparation
Source : Direction générale des finances publiques - Je me sépare
Source : Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf)
- Pour des informations générales :
Service d’information des impôtsPar téléphone :
0809 401 401
Du lundi au vendredi de 8h30 à 19h, hors jours fériés.
Service gratuit + prix appel
- Pour joindre le service local gestionnaire de votre dossier :
Service en charge des impôts (trésorerie, service des impôts…)
Comment faire si…
- Code civil : articles 203 à 211
Obligation alimentaire pour les beaux-parents (article 205) - Code civil : articles 212 à 226
Obligations des époux pendant le mariage (articles 212 et 215) - Code civil : articles 263 à 265-2
Effet du divorce sur le nom d’usage (article 264) - Code civil : article 732
Effet sur l’héritage - Code civil : articles 270 à 281
Devoir de secours et prestation compensatoire - Code général des impôts : article 6
Impositions séparées - Code de la sécurité sociale : articles L353-1 à L353-6
Pension de réversion en cas de décès (L 353-61)
Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².
Droits et obligations des ex-époux après un divorce
Si vous avez divorcé par consentement mutuel ou devant un juge, vos droits et vos obligations changent. Nous vous présentons les informations à connaître.
Vous pouvez à nouveau vous marier une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de mariage et de naissance. Il est alors définitif et opposable aux tiers.
Vous pouvez conclure un Pacs. une fois que le divorce a été transcrit en marge de votre acte de naissance.
Devoir de fidélité
Dès que vous êtes divorcé, vous n’êtes plus tenu au devoir de fidélité envers votre ex-époux.
Devoir de cohabitation
Vous n’avez plus l’obligation de vivre ensemble.
Avec l’accord de votre ex-époux ou ex-épouse
Avec l’autorisation du juge si vous justifiez d’un intérêt légitime pour vous ou pour les enfants, par exemple si vous êtes connu(e) avec ce nom dans votre activité professionnelle.
À la suite d’un divorce, vous perdez l’usage du nom de votre mari ou de votre femme.
Toutefois, vous pouvez en conserver l’usage, dans les cas suivants :
Vous n’êtes plus héritier de votre ex-époux(se).
La donation au dernier vivant est automatiquement annulée en cas de divorce sauf si vous décidez de la maintenir.
La volonté de la maintenir doit être constatée par le Jaf lors du prononcé du divorce ou dans la convention de divorce en cas de divorce par consentement mutuel.
S’il a été maintenu, un avantage matrimonial (par exemple la clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant) peut produire effet au décès de l’un d’entre vous.
Votre imposition est distincte, pour cela vous devez signaler votre divorce au service des impôts.
L’année du divorce, vous devez déposer individuellement une déclaration de vos revenus et charges pour l’année entière, quelle que soit la date du divorce.
Le divorce met fin au devoir de secours entre vous.
Si vous êtes dans le besoin après avoir divorcé, votre ex-époux ou ex-épouse n’a plus l’obligation de vous aider financièrement ou matériellement. De la même façon, votre ex-époux ou ex-épouse ne peut pas vous demander de l’aider financièrement.
L’obligation d’assistance morale cesse également avec le divorce. Par exemple, vous n’êtes plus obligé(e) de soigner votre ex-époux ou ex-épouse malade.
Après un divorce, vous n’êtes plus tenu à la solidarité des dettes du ménage.
De même, vous ne devez plus aider vos beaux-parents dans le besoin.
D’autres obligations peuvent exister telles que la prestation compensatoire destinée à votre ex-époux ou une pension alimentaire pour l’entretien et l’éducation d’un enfant.
Prestation compensatoire
La prestation compensatoire permet d’effacer les déséquilibres financiers causés par le divorce dans les conditions de vie des ex-époux.
Vous pouvez vous entendre sur le versement d’une prestation compensatoire dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel. Lors d’un divorce judiciaire, elle peut être décidée ou homologuée par le juge.
Généralement, la prestation compensatoire prend la forme d’une somme d’argent qu’un époux(se) doit verser à l’autre. Le paiement de cette somme peut être échelonné sur 8 années. Elle peut aussi prendre la forme d’un avantage en nature (attribution d’un bien immobilier par exemple) ou d’une rente attribuée pour une durée limitée.
Contribution à l’entretien et l’éducation des enfants
Si vous êtes divorcé(e) et que vous avez encore un enfant mineur ou majeur qui n’est pas autonome financièrement, vous êtes obligé de contribuer à son entretien et à son éducation. Cette obligation prend la forme d’une pension alimentaire.
Elle est versée, en principe, au parent chez qui l l’enfant commun réside. Elle peut être due en cas de garde alternée en fonction des charges et des ressources de chacun des ex-époux.
La contribution financière peut également consister en un partage des frais liés à l’enfant.
Obligation alimentaire envers vos beaux-parents
L’obligation alimentaire est créée par les liens du mariage.
Si vous divorcez, vous n’avez plus l’obligation d’aider vos beaux-parents dans le besoin. Réciproquement, ils ne sont plus tenus à votre égard d’une obligation alimentaire.
En cas de divorce, vous devez liquider votrerégime matrimonial. La liquidation du régime matrimonial permet de répartir les biens entre les époux.
La liquidation doit être faite avant l’enregistrement de votre convention de divorce.
Vous n’avez pas de délai pour liquider le régime matrimonial, Vous pouvez le faire à l’amiable avant, pendant ou après la procédure de divorce.
En cas de désaccord, le partage des biens donne lieu à une procédure judiciaire.
Le divorce ne met pas fin à votre droit à une pension de réversion. En cas de décès de votre ex-époux(se), vous pouvez percevoir une pension de réversion sous certaines conditions.
Divorce, séparation de corps
- Déclarer ses impôts l’année de la séparation
Source : Direction générale des finances publiques - Je me sépare
Source : Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf)
- Pour des informations générales :
Service d’information des impôtsPar téléphone :
0809 401 401
Du lundi au vendredi de 8h30 à 19h, hors jours fériés.
Service gratuit + prix appel
- Pour joindre le service local gestionnaire de votre dossier :
Service en charge des impôts (trésorerie, service des impôts…)
Comment faire si…
- Code civil : articles 203 à 211
Obligation alimentaire pour les beaux-parents (article 205) - Code civil : articles 212 à 226
Obligations des époux pendant le mariage (articles 212 et 215) - Code civil : articles 263 à 265-2
Effet du divorce sur le nom d’usage (article 264) - Code civil : article 732
Effet sur l’héritage - Code civil : articles 270 à 281
Devoir de secours et prestation compensatoire - Code général des impôts : article 6
Impositions séparées - Code de la sécurité sociale : articles L353-1 à L353-6
Pension de réversion en cas de décès (L 353-61)
Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.
Faire sa demande en ligne
Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.
La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr
Contact
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Services municipaux
Service Développement Territorial
Horaires : Du lundi au vendredi
8h30 – 12h / 13h30 – 17h
Fermé le mardi