Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ?

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Salarié expatrié à l’étranger

Un salarié expatrié est une personne qui travaille à l’étranger et qui n’est plus rattaché au régime de sécurité sociale français.

Vous pouvez bénéficier du statut d’expatrié soit en répondant à une offre d’emploi à l’étranger, soit en acceptant une proposition faite par votre employeur français pour le compte d’une société étrangère. Dans ce cas, si vous acceptez, vous n’aurez plus de lien de subordination avec ce dernier.

    Le statut de salarié expatrié concerne tout salarié amené à travailler en dehors du territoire français pour une mission d’au moins 3 mois.

    En tant que salarié expatrié, vous n’avez plus à vous conformer aux exigences de votre entreprise d’origine et ne devez plus rendre compte de votre travail à votre employeur. Vous ne faites plus partie de ses effectifs.

    Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou discriminé pour avoir refusé, en raison de son orientation sexuelle, une mutation géographique dans un pays où l’homosexualité est un crime ou un délit.

    Attention

    le statut du salarié expatrié diffère du statut de salarié détaché et du salarié mis à disposition d’une filiale étrangère.

    Le cadre contractuel diffère selon que vous vous trouviez dans l’une ou l’autre des situations suivantes :

    • Vous avez été recruté directement par une société étrangère. Dans cette hypothèse, un contrat de droit local est alors conclu selon le droit applicable dans le pays d’accueil. C’est le cas, par exemple, de certains experts judiciaires recrutés dans le domaine de la communication.

    • Votre employeur vous a proposé de bénéficier du statut d’expatrié ou vous avez été recruté par une société française pour le compte d’une société à l’étranger. Dans ces 2 hypothèses, le contrat de travail initial avec l’employeur situé en France peut être soit suspendu, soit rompu. Un nouveau contrat de travail est alors passé avec l’employeur situé à l’étranger. C’est le cas, par exemple, pour certains contrats de travail dans le domaine de l’enseignement.

    Votre contrat de travail ou l’avenant d’expatriation doit préciser les informations suivantes :

    • Date de début du contrat d’expatriation et date de fin

    • Devise servant au paiement de la rémunération

    • Avantages liés à l’expatriation

    • Conditions de travail (lieu de travail, durée des congés, montant du salaire…)

    • Conditions de rapatriement

    Obligation de sécurité

    Votre entreprise d’origine est responsable de votre santé et de votre sécurité.

    De ce fait, il peut choisir de souscrire une assurance qui prendra en charge vos besoins d’assistance et vos frais de santé.

    S’il ne respecte pas son obligation de sécurité, votre employeur engage sa responsabilité et peut être sanctionné. Sa responsabilité civile et/ou pénale peut être engagée.

    Assurance France Travail (anciennement Pôle emploi)

    Votre employeur, établi en France, doit vous affilié au régime expatrié français de l’assurance chômage.

    L’affiliation doit intervenir dans les 8 jours suivant la date à laquelle vous avez été expatrié à l’étranger. Elle prend effet au 1er jour de l’expatriation.

    Vous pouvez continuer à être imposé dans l’un ou les cas suivants :

    • Votre famille reste en France

    • Vous continuez à percevoir des ressources en France malgré votre départ. Dans ce cas, vous devez informer les impôts (via votre espace Particulier sur le site impots.gouv.fr) ou à votre centre des finances publiques de votre changement d’adresse.

    Vous pouvez également être soumis à l’impôt (taxe d’habitation par exemple) si vous êtes non résident.

    Vous devez cotiser pour votre retraite dans le pays où vous travaillez.

    Toutefois, vous pouvez volontairement cotiser pour votre retraite française auprès de la Caisse d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) et pour une retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE).

    Vous êtes affilié à la protection sociale du pays où vous partez travailler.

    Toutefois, vous pouvez choisir de cotiser en plus à l’assurance maladie française en adhérant à la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour la maladie, la maternité, l’invalidité, les accidents du travail et la maladie professionnelle. Il en est de même pour votre employeur d’origine : il peut choisir de vous inscrire à la (CFE) pour que vous continuiez à bénéficier de la protection sociale française.

    Vous pouvez vous inscrire au registre des Français établis hors de France auprès du consulat du pays de votre destination.

    C’est ce qu’on appelle l’inscription consulaire .

    Cette dernière facilité vos démarches à l’étranger, par exemple votre inscription sur les listes électorales.

    Cette inscription permet également aux services consulaires de vous contacter, vous et vos proches, en cas d’urgence.

    Oui. La loi en vigueur à l’étranger (visa, titre de séjour, permis de travail) peut être différente de celle en France.

    Il est conseillé de vous renseigner auprès du consulat du pays de votre destination pour connaître la loi locale.

  • Pour s’informer sur la protection sociale à l’international :
    Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale (Cleiss)

    Informations générales sur la Sécurité sociale à l’étranger et aide aux démarches des particuliers

    Par téléphone

    +33 (0) 1 45 26 33 41

    Permanence téléphonique :

    Le lundi de 9h à 12h30

    Le mardi de 13h30 à 16h30

    Le mercredi de 9h à 12h30

    Le jeudi de 13h30 à 16h30

    Le vendredi de 13h30 à 16h30

    Par messagerie

    Accès au  formulaire de contact 

    Par courrier

    Centre des Liaisons Européennes et Internationales de Sécurité Sociale

    44 rue Armand Carrel

    93100 Montreuil

Comment faire si…

Salarié expatrié à l’étranger

Un salarié expatrié est une personne qui travaille à l’étranger et qui n’est plus rattaché au régime de sécurité sociale français.

Vous pouvez bénéficier du statut d’expatrié soit en répondant à une offre d’emploi à l’étranger, soit en acceptant une proposition faite par votre employeur français pour le compte d’une société étrangère. Dans ce cas, si vous acceptez, vous n’aurez plus de lien de subordination avec ce dernier.

    Le statut de salarié expatrié concerne tout salarié amené à travailler en dehors du territoire français pour une mission d’au moins 3 mois.

    En tant que salarié expatrié, vous n’avez plus à vous conformer aux exigences de votre entreprise d’origine et ne devez plus rendre compte de votre travail à votre employeur. Vous ne faites plus partie de ses effectifs.

    Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou discriminé pour avoir refusé, en raison de son orientation sexuelle, une mutation géographique dans un pays où l’homosexualité est un crime ou un délit.

    Attention

    le statut du salarié expatrié diffère du statut de salarié détaché et du salarié mis à disposition d’une filiale étrangère.

    Le cadre contractuel diffère selon que vous vous trouviez dans l’une ou l’autre des situations suivantes :

    • Vous avez été recruté directement par une société étrangère. Dans cette hypothèse, un contrat de droit local est alors conclu selon le droit applicable dans le pays d’accueil. C’est le cas, par exemple, de certains experts judiciaires recrutés dans le domaine de la communication.

    • Votre employeur vous a proposé de bénéficier du statut d’expatrié ou vous avez été recruté par une société française pour le compte d’une société à l’étranger. Dans ces 2 hypothèses, le contrat de travail initial avec l’employeur situé en France peut être soit suspendu, soit rompu. Un nouveau contrat de travail est alors passé avec l’employeur situé à l’étranger. C’est le cas, par exemple, pour certains contrats de travail dans le domaine de l’enseignement.

    Votre contrat de travail ou l’avenant d’expatriation doit préciser les informations suivantes :

    • Date de début du contrat d’expatriation et date de fin

    • Devise servant au paiement de la rémunération

    • Avantages liés à l’expatriation

    • Conditions de travail (lieu de travail, durée des congés, montant du salaire…)

    • Conditions de rapatriement

    Obligation de sécurité

    Votre entreprise d’origine est responsable de votre santé et de votre sécurité.

    De ce fait, il peut choisir de souscrire une assurance qui prendra en charge vos besoins d’assistance et vos frais de santé.

    S’il ne respecte pas son obligation de sécurité, votre employeur engage sa responsabilité et peut être sanctionné. Sa responsabilité civile et/ou pénale peut être engagée.

    Assurance France Travail (anciennement Pôle emploi)

    Votre employeur, établi en France, doit vous affilié au régime expatrié français de l’assurance chômage.

    L’affiliation doit intervenir dans les 8 jours suivant la date à laquelle vous avez été expatrié à l’étranger. Elle prend effet au 1er jour de l’expatriation.

    Vous pouvez continuer à être imposé dans l’un ou les cas suivants :

    • Votre famille reste en France

    • Vous continuez à percevoir des ressources en France malgré votre départ. Dans ce cas, vous devez informer les impôts (via votre espace Particulier sur le site impots.gouv.fr) ou à votre centre des finances publiques de votre changement d’adresse.

    Vous pouvez également être soumis à l’impôt (taxe d’habitation par exemple) si vous êtes non résident.

    Vous devez cotiser pour votre retraite dans le pays où vous travaillez.

    Toutefois, vous pouvez volontairement cotiser pour votre retraite française auprès de la Caisse d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) et pour une retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE).

    Vous êtes affilié à la protection sociale du pays où vous partez travailler.

    Toutefois, vous pouvez choisir de cotiser en plus à l’assurance maladie française en adhérant à la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour la maladie, la maternité, l’invalidité, les accidents du travail et la maladie professionnelle. Il en est de même pour votre employeur d’origine : il peut choisir de vous inscrire à la (CFE) pour que vous continuiez à bénéficier de la protection sociale française.

    Vous pouvez vous inscrire au registre des Français établis hors de France auprès du consulat du pays de votre destination.

    C’est ce qu’on appelle l’inscription consulaire .

    Cette dernière facilité vos démarches à l’étranger, par exemple votre inscription sur les listes électorales.

    Cette inscription permet également aux services consulaires de vous contacter, vous et vos proches, en cas d’urgence.

    Oui. La loi en vigueur à l’étranger (visa, titre de séjour, permis de travail) peut être différente de celle en France.

    Il est conseillé de vous renseigner auprès du consulat du pays de votre destination pour connaître la loi locale.

  • Pour s’informer sur la protection sociale à l’international :
    Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale (Cleiss)

    Informations générales sur la Sécurité sociale à l’étranger et aide aux démarches des particuliers

    Par téléphone

    +33 (0) 1 45 26 33 41

    Permanence téléphonique :

    Le lundi de 9h à 12h30

    Le mardi de 13h30 à 16h30

    Le mercredi de 9h à 12h30

    Le jeudi de 13h30 à 16h30

    Le vendredi de 13h30 à 16h30

    Par messagerie

    Accès au  formulaire de contact 

    Par courrier

    Centre des Liaisons Européennes et Internationales de Sécurité Sociale

    44 rue Armand Carrel

    93100 Montreuil

Comment faire si…

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

Salarié expatrié à l’étranger

Un salarié expatrié est une personne qui travaille à l’étranger et qui n’est plus rattaché au régime de sécurité sociale français.

Vous pouvez bénéficier du statut d’expatrié soit en répondant à une offre d’emploi à l’étranger, soit en acceptant une proposition faite par votre employeur français pour le compte d’une société étrangère. Dans ce cas, si vous acceptez, vous n’aurez plus de lien de subordination avec ce dernier.

    Le statut de salarié expatrié concerne tout salarié amené à travailler en dehors du territoire français pour une mission d’au moins 3 mois.

    En tant que salarié expatrié, vous n’avez plus à vous conformer aux exigences de votre entreprise d’origine et ne devez plus rendre compte de votre travail à votre employeur. Vous ne faites plus partie de ses effectifs.

    Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou discriminé pour avoir refusé, en raison de son orientation sexuelle, une mutation géographique dans un pays où l’homosexualité est un crime ou un délit.

    Attention

    le statut du salarié expatrié diffère du statut de salarié détaché et du salarié mis à disposition d’une filiale étrangère.

    Le cadre contractuel diffère selon que vous vous trouviez dans l’une ou l’autre des situations suivantes :

    • Vous avez été recruté directement par une société étrangère. Dans cette hypothèse, un contrat de droit local est alors conclu selon le droit applicable dans le pays d’accueil. C’est le cas, par exemple, de certains experts judiciaires recrutés dans le domaine de la communication.

    • Votre employeur vous a proposé de bénéficier du statut d’expatrié ou vous avez été recruté par une société française pour le compte d’une société à l’étranger. Dans ces 2 hypothèses, le contrat de travail initial avec l’employeur situé en France peut être soit suspendu, soit rompu. Un nouveau contrat de travail est alors passé avec l’employeur situé à l’étranger. C’est le cas, par exemple, pour certains contrats de travail dans le domaine de l’enseignement.

    Votre contrat de travail ou l’avenant d’expatriation doit préciser les informations suivantes :

    • Date de début du contrat d’expatriation et date de fin

    • Devise servant au paiement de la rémunération

    • Avantages liés à l’expatriation

    • Conditions de travail (lieu de travail, durée des congés, montant du salaire…)

    • Conditions de rapatriement

    Obligation de sécurité

    Votre entreprise d’origine est responsable de votre santé et de votre sécurité.

    De ce fait, il peut choisir de souscrire une assurance qui prendra en charge vos besoins d’assistance et vos frais de santé.

    S’il ne respecte pas son obligation de sécurité, votre employeur engage sa responsabilité et peut être sanctionné. Sa responsabilité civile et/ou pénale peut être engagée.

    Assurance France Travail (anciennement Pôle emploi)

    Votre employeur, établi en France, doit vous affilié au régime expatrié français de l’assurance chômage.

    L’affiliation doit intervenir dans les 8 jours suivant la date à laquelle vous avez été expatrié à l’étranger. Elle prend effet au 1er jour de l’expatriation.

    Vous pouvez continuer à être imposé dans l’un ou les cas suivants :

    • Votre famille reste en France

    • Vous continuez à percevoir des ressources en France malgré votre départ. Dans ce cas, vous devez informer les impôts (via votre espace Particulier sur le site impots.gouv.fr) ou à votre centre des finances publiques de votre changement d’adresse.

    Vous pouvez également être soumis à l’impôt (taxe d’habitation par exemple) si vous êtes non résident.

    Vous devez cotiser pour votre retraite dans le pays où vous travaillez.

    Toutefois, vous pouvez volontairement cotiser pour votre retraite française auprès de la Caisse d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) et pour une retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE).

    Vous êtes affilié à la protection sociale du pays où vous partez travailler.

    Toutefois, vous pouvez choisir de cotiser en plus à l’assurance maladie française en adhérant à la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour la maladie, la maternité, l’invalidité, les accidents du travail et la maladie professionnelle. Il en est de même pour votre employeur d’origine : il peut choisir de vous inscrire à la (CFE) pour que vous continuiez à bénéficier de la protection sociale française.

    Vous pouvez vous inscrire au registre des Français établis hors de France auprès du consulat du pays de votre destination.

    C’est ce qu’on appelle l’inscription consulaire .

    Cette dernière facilité vos démarches à l’étranger, par exemple votre inscription sur les listes électorales.

    Cette inscription permet également aux services consulaires de vous contacter, vous et vos proches, en cas d’urgence.

    Oui. La loi en vigueur à l’étranger (visa, titre de séjour, permis de travail) peut être différente de celle en France.

    Il est conseillé de vous renseigner auprès du consulat du pays de votre destination pour connaître la loi locale.

  • Pour s’informer sur la protection sociale à l’international :
    Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale (Cleiss)

    Informations générales sur la Sécurité sociale à l’étranger et aide aux démarches des particuliers

    Par téléphone

    +33 (0) 1 45 26 33 41

    Permanence téléphonique :

    Le lundi de 9h à 12h30

    Le mardi de 13h30 à 16h30

    Le mercredi de 9h à 12h30

    Le jeudi de 13h30 à 16h30

    Le vendredi de 13h30 à 16h30

    Par messagerie

    Accès au  formulaire de contact 

    Par courrier

    Centre des Liaisons Européennes et Internationales de Sécurité Sociale

    44 rue Armand Carrel

    93100 Montreuil

Comment faire si…

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

Salarié expatrié à l’étranger

Un salarié expatrié est une personne qui travaille à l’étranger et qui n’est plus rattaché au régime de sécurité sociale français.

Vous pouvez bénéficier du statut d’expatrié soit en répondant à une offre d’emploi à l’étranger, soit en acceptant une proposition faite par votre employeur français pour le compte d’une société étrangère. Dans ce cas, si vous acceptez, vous n’aurez plus de lien de subordination avec ce dernier.

    Le statut de salarié expatrié concerne tout salarié amené à travailler en dehors du territoire français pour une mission d’au moins 3 mois.

    En tant que salarié expatrié, vous n’avez plus à vous conformer aux exigences de votre entreprise d’origine et ne devez plus rendre compte de votre travail à votre employeur. Vous ne faites plus partie de ses effectifs.

    Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou discriminé pour avoir refusé, en raison de son orientation sexuelle, une mutation géographique dans un pays où l’homosexualité est un crime ou un délit.

    Attention

    le statut du salarié expatrié diffère du statut de salarié détaché et du salarié mis à disposition d’une filiale étrangère.

    Le cadre contractuel diffère selon que vous vous trouviez dans l’une ou l’autre des situations suivantes :

    • Vous avez été recruté directement par une société étrangère. Dans cette hypothèse, un contrat de droit local est alors conclu selon le droit applicable dans le pays d’accueil. C’est le cas, par exemple, de certains experts judiciaires recrutés dans le domaine de la communication.

    • Votre employeur vous a proposé de bénéficier du statut d’expatrié ou vous avez été recruté par une société française pour le compte d’une société à l’étranger. Dans ces 2 hypothèses, le contrat de travail initial avec l’employeur situé en France peut être soit suspendu, soit rompu. Un nouveau contrat de travail est alors passé avec l’employeur situé à l’étranger. C’est le cas, par exemple, pour certains contrats de travail dans le domaine de l’enseignement.

    Votre contrat de travail ou l’avenant d’expatriation doit préciser les informations suivantes :

    • Date de début du contrat d’expatriation et date de fin

    • Devise servant au paiement de la rémunération

    • Avantages liés à l’expatriation

    • Conditions de travail (lieu de travail, durée des congés, montant du salaire…)

    • Conditions de rapatriement

    Obligation de sécurité

    Votre entreprise d’origine est responsable de votre santé et de votre sécurité.

    De ce fait, il peut choisir de souscrire une assurance qui prendra en charge vos besoins d’assistance et vos frais de santé.

    S’il ne respecte pas son obligation de sécurité, votre employeur engage sa responsabilité et peut être sanctionné. Sa responsabilité civile et/ou pénale peut être engagée.

    Assurance France Travail (anciennement Pôle emploi)

    Votre employeur, établi en France, doit vous affilié au régime expatrié français de l’assurance chômage.

    L’affiliation doit intervenir dans les 8 jours suivant la date à laquelle vous avez été expatrié à l’étranger. Elle prend effet au 1er jour de l’expatriation.

    Vous pouvez continuer à être imposé dans l’un ou les cas suivants :

    • Votre famille reste en France

    • Vous continuez à percevoir des ressources en France malgré votre départ. Dans ce cas, vous devez informer les impôts (via votre espace Particulier sur le site impots.gouv.fr) ou à votre centre des finances publiques de votre changement d’adresse.

    Vous pouvez également être soumis à l’impôt (taxe d’habitation par exemple) si vous êtes non résident.

    Vous devez cotiser pour votre retraite dans le pays où vous travaillez.

    Toutefois, vous pouvez volontairement cotiser pour votre retraite française auprès de la Caisse d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) et pour une retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE).

    Vous êtes affilié à la protection sociale du pays où vous partez travailler.

    Toutefois, vous pouvez choisir de cotiser en plus à l’assurance maladie française en adhérant à la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour la maladie, la maternité, l’invalidité, les accidents du travail et la maladie professionnelle. Il en est de même pour votre employeur d’origine : il peut choisir de vous inscrire à la (CFE) pour que vous continuiez à bénéficier de la protection sociale française.

    Vous pouvez vous inscrire au registre des Français établis hors de France auprès du consulat du pays de votre destination.

    C’est ce qu’on appelle l’inscription consulaire .

    Cette dernière facilité vos démarches à l’étranger, par exemple votre inscription sur les listes électorales.

    Cette inscription permet également aux services consulaires de vous contacter, vous et vos proches, en cas d’urgence.

    Oui. La loi en vigueur à l’étranger (visa, titre de séjour, permis de travail) peut être différente de celle en France.

    Il est conseillé de vous renseigner auprès du consulat du pays de votre destination pour connaître la loi locale.

  • Pour s’informer sur la protection sociale à l’international :
    Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale (Cleiss)

    Informations générales sur la Sécurité sociale à l’étranger et aide aux démarches des particuliers

    Par téléphone

    +33 (0) 1 45 26 33 41

    Permanence téléphonique :

    Le lundi de 9h à 12h30

    Le mardi de 13h30 à 16h30

    Le mercredi de 9h à 12h30

    Le jeudi de 13h30 à 16h30

    Le vendredi de 13h30 à 16h30

    Par messagerie

    Accès au  formulaire de contact 

    Par courrier

    Centre des Liaisons Européennes et Internationales de Sécurité Sociale

    44 rue Armand Carrel

    93100 Montreuil

Comment faire si…

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

Salarié expatrié à l’étranger

Un salarié expatrié est une personne qui travaille à l’étranger et qui n’est plus rattaché au régime de sécurité sociale français.

Vous pouvez bénéficier du statut d’expatrié soit en répondant à une offre d’emploi à l’étranger, soit en acceptant une proposition faite par votre employeur français pour le compte d’une société étrangère. Dans ce cas, si vous acceptez, vous n’aurez plus de lien de subordination avec ce dernier.

    Le statut de salarié expatrié concerne tout salarié amené à travailler en dehors du territoire français pour une mission d’au moins 3 mois.

    En tant que salarié expatrié, vous n’avez plus à vous conformer aux exigences de votre entreprise d’origine et ne devez plus rendre compte de votre travail à votre employeur. Vous ne faites plus partie de ses effectifs.

    Aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié ou discriminé pour avoir refusé, en raison de son orientation sexuelle, une mutation géographique dans un pays où l’homosexualité est un crime ou un délit.

    Attention

    le statut du salarié expatrié diffère du statut de salarié détaché et du salarié mis à disposition d’une filiale étrangère.

    Le cadre contractuel diffère selon que vous vous trouviez dans l’une ou l’autre des situations suivantes :

    • Vous avez été recruté directement par une société étrangère. Dans cette hypothèse, un contrat de droit local est alors conclu selon le droit applicable dans le pays d’accueil. C’est le cas, par exemple, de certains experts judiciaires recrutés dans le domaine de la communication.

    • Votre employeur vous a proposé de bénéficier du statut d’expatrié ou vous avez été recruté par une société française pour le compte d’une société à l’étranger. Dans ces 2 hypothèses, le contrat de travail initial avec l’employeur situé en France peut être soit suspendu, soit rompu. Un nouveau contrat de travail est alors passé avec l’employeur situé à l’étranger. C’est le cas, par exemple, pour certains contrats de travail dans le domaine de l’enseignement.

    Votre contrat de travail ou l’avenant d’expatriation doit préciser les informations suivantes :

    • Date de début du contrat d’expatriation et date de fin

    • Devise servant au paiement de la rémunération

    • Avantages liés à l’expatriation

    • Conditions de travail (lieu de travail, durée des congés, montant du salaire…)

    • Conditions de rapatriement

    Obligation de sécurité

    Votre entreprise d’origine est responsable de votre santé et de votre sécurité.

    De ce fait, il peut choisir de souscrire une assurance qui prendra en charge vos besoins d’assistance et vos frais de santé.

    S’il ne respecte pas son obligation de sécurité, votre employeur engage sa responsabilité et peut être sanctionné. Sa responsabilité civile et/ou pénale peut être engagée.

    Assurance France Travail (anciennement Pôle emploi)

    Votre employeur, établi en France, doit vous affilié au régime expatrié français de l’assurance chômage.

    L’affiliation doit intervenir dans les 8 jours suivant la date à laquelle vous avez été expatrié à l’étranger. Elle prend effet au 1er jour de l’expatriation.

    Vous pouvez continuer à être imposé dans l’un ou les cas suivants :

    • Votre famille reste en France

    • Vous continuez à percevoir des ressources en France malgré votre départ. Dans ce cas, vous devez informer les impôts (via votre espace Particulier sur le site impots.gouv.fr) ou à votre centre des finances publiques de votre changement d’adresse.

    Vous pouvez également être soumis à l’impôt (taxe d’habitation par exemple) si vous êtes non résident.

    Vous devez cotiser pour votre retraite dans le pays où vous travaillez.

    Toutefois, vous pouvez volontairement cotiser pour votre retraite française auprès de la Caisse d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat) et pour une retraite complémentaire auprès de la Caisse de retraite des expatriés (CRE).

    Vous êtes affilié à la protection sociale du pays où vous partez travailler.

    Toutefois, vous pouvez choisir de cotiser en plus à l’assurance maladie française en adhérant à la Caisse des français de l’étranger (CFE) pour la maladie, la maternité, l’invalidité, les accidents du travail et la maladie professionnelle. Il en est de même pour votre employeur d’origine : il peut choisir de vous inscrire à la (CFE) pour que vous continuiez à bénéficier de la protection sociale française.

    Vous pouvez vous inscrire au registre des Français établis hors de France auprès du consulat du pays de votre destination.

    C’est ce qu’on appelle l’inscription consulaire .

    Cette dernière facilité vos démarches à l’étranger, par exemple votre inscription sur les listes électorales.

    Cette inscription permet également aux services consulaires de vous contacter, vous et vos proches, en cas d’urgence.

    Oui. La loi en vigueur à l’étranger (visa, titre de séjour, permis de travail) peut être différente de celle en France.

    Il est conseillé de vous renseigner auprès du consulat du pays de votre destination pour connaître la loi locale.

  • Pour s’informer sur la protection sociale à l’international :
    Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale (Cleiss)

    Informations générales sur la Sécurité sociale à l’étranger et aide aux démarches des particuliers

    Par téléphone

    +33 (0) 1 45 26 33 41

    Permanence téléphonique :

    Le lundi de 9h à 12h30

    Le mardi de 13h30 à 16h30

    Le mercredi de 9h à 12h30

    Le jeudi de 13h30 à 16h30

    Le vendredi de 13h30 à 16h30

    Par messagerie

    Accès au  formulaire de contact 

    Par courrier

    Centre des Liaisons Européennes et Internationales de Sécurité Sociale

    44 rue Armand Carrel

    93100 Montreuil

Comment faire si…

Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

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