Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ?

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Quelle est la procédure pour exclure un membre d’une association ?

Vous souhaitez connaître les raisons qui peuvent amener une association à exclure un de ses membres, savoir quelle est la procédure et si sa décision peut être remise en question ? Nous vous présentons les informations à connaître.

L’exclusion est une décision prise par l’association, à titre de sanction. Celle-ci peut être décidée lorsqu’un de ses membres commet un manquement aux règles statutaires (c’est-à-dire à l’une des obligations inscrits dans les statuts) ou au règlement intérieur.

Il peut s’agir :

  • Comportement inapproprié

  • Agression d’un autre membre

  • Détérioration d’un bien appartenant à l’association

L’exclusion est à distinguer de la radiation, qui est la conséquence administrative soit d’une exclusion, soit d’une demande d’un membre, soit d’une application pure et simple des statuts d’une association.

C’est le cas lorsque :

  • Un de ses membres ne remplit plus une condition prévue par les statuts pour faire partie de l’association

  • Un adhérent souhaite quitter l’association

  • Un membre décède

En principe, les statuts de l’association ou le règlement intérieur déterminent librement les causes d’exclusion et la procédure à suivre. Si cette dernière n’est pas rigoureusement suivie, la sanction prise à l’encontre d’un membre peut être remise en question.

Lorsque les statuts ne donnent pas de précisions sur ces points, c’est en principe à l’assemblée générale de se prononcer.

Deux causes principales peuvent conduire une association à exclure l’un de ses membres :

La situation varie selon ce que les statuts comportent.

L’association constate l’exclusion automatique du membre concerné, sans qu’une procédure particulière ne doive être mise en place.

Tant que la radiation effective n’a pas été notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme membre de l’association.

En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

    L’absence de paiement est alors considérée comme une faute pouvant entraîner une exclusion après la mise en place d’une procédure disciplinaire.

    Tant que la décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente (bureau de l’association ou assemblée générale) et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

    En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

      L’absence de versement de la cotisation annuelle peut être considérée comme une faute. Celle-ci devra faire l’objet d’une éventuelle sanction, prononcée par l’association, dans le cadre d’une procédure disciplinaire à organiser.

      Tant qu’une décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

      En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

          Une association peut souhaiter exclure un de ses membres pour un motif grave.

          Exemple

          Il peut s’agir :

          • Agissements portant atteinte aux intérêts de l’association

          • Conflits graves entre membres

          • Manquements à la sécurité…

          Dans ces cas, la réalité et la gravité de la faute doivent être prouvées. Ces éléments doivent pouvoir être discutés pour que le membre concerné puisse s’expliquer.

          La procédure disciplinaire mise en place doit être celle définie par les statuts.

          En l’absence d’une instance définie, l’assemblée générale joue ce rôle.

          Un courrier de mise en demeure, adressé au membre de l’association en recommandé avec accusé de réception, doit préciser le fait reproché ou la disposition statutaire auquel il contrevient.

          Selon la nature du fait, il est demandé au membre concerné d’accomplir son obligation conformément aux statuts, ou de présenter ses explications concernant les faits.

          Le courrier doit l’informer de la sanction encourue et de la possibilité de se faire assister par un autre membre ou un avocat.

          En fonction des statuts ou du règlement intérieur, le membre concerné est éventuellement convoqué devant l’instance disciplinaire de l’association.

          En l’absence de réponse de la personne concernée, l’association lui adresse un courrier recommandé avec accusé de réception l’informant de la sanction, pouvant aller jusqu’à l’exclusion, et des raisons qui la motivent.

          Le membre doit avoir la possibilité de se défendre avant la décision d’exclusion.

          L’association doit l’informer suffisamment tôt pour qu’il puisse prendre connaissance des motifs qui lui sont reprochés et de la sanction envisagée à son encontre.

          Les statuts ou le règlement intérieur peuvent prévoir que la sanction prononcée puisse faire l’objet d’un recours devant un autre organe de l’association (procédure d’appel).

          Pour certains types d’association, la loi impose de prévoir ces procédures d’appel (par exemple, pour les fédérations sportives agréées).

          Le membre exclu de l’association peut contester son exclusion devant un tribunal. Il doit adresser sa demande (requête) au juge.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          L’annulation par un juge d’une décision d’exclusion peut conduire à la réintégration du membre concerné dans l’association.

          Toutefois, le juge évite le plus souvent de prononcer la réintégration. Il ordonne seulement le versement de dommages et intérêts.

            Évolutions et dissolution d’une association

              Quelle est la procédure pour exclure un membre d’une association ?

              Vous souhaitez connaître les raisons qui peuvent amener une association à exclure un de ses membres, savoir quelle est la procédure et si sa décision peut être remise en question ? Nous vous présentons les informations à connaître.

              L’exclusion est une décision prise par l’association, à titre de sanction. Celle-ci peut être décidée lorsqu’un de ses membres commet un manquement aux règles statutaires (c’est-à-dire à l’une des obligations inscrits dans les statuts) ou au règlement intérieur.

              Il peut s’agir :

              • Comportement inapproprié

              • Agression d’un autre membre

              • Détérioration d’un bien appartenant à l’association

              L’exclusion est à distinguer de la radiation, qui est la conséquence administrative soit d’une exclusion, soit d’une demande d’un membre, soit d’une application pure et simple des statuts d’une association.

              C’est le cas lorsque :

              • Un de ses membres ne remplit plus une condition prévue par les statuts pour faire partie de l’association

              • Un adhérent souhaite quitter l’association

              • Un membre décède

              En principe, les statuts de l’association ou le règlement intérieur déterminent librement les causes d’exclusion et la procédure à suivre. Si cette dernière n’est pas rigoureusement suivie, la sanction prise à l’encontre d’un membre peut être remise en question.

              Lorsque les statuts ne donnent pas de précisions sur ces points, c’est en principe à l’assemblée générale de se prononcer.

              Deux causes principales peuvent conduire une association à exclure l’un de ses membres :

              La situation varie selon ce que les statuts comportent.

              L’association constate l’exclusion automatique du membre concerné, sans qu’une procédure particulière ne doive être mise en place.

              Tant que la radiation effective n’a pas été notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme membre de l’association.

              En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                L’absence de paiement est alors considérée comme une faute pouvant entraîner une exclusion après la mise en place d’une procédure disciplinaire.

                Tant que la décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente (bureau de l’association ou assemblée générale) et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

                En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                  L’absence de versement de la cotisation annuelle peut être considérée comme une faute. Celle-ci devra faire l’objet d’une éventuelle sanction, prononcée par l’association, dans le cadre d’une procédure disciplinaire à organiser.

                  Tant qu’une décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

                  En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                      Une association peut souhaiter exclure un de ses membres pour un motif grave.

                      Exemple

                      Il peut s’agir :

                      • Agissements portant atteinte aux intérêts de l’association

                      • Conflits graves entre membres

                      • Manquements à la sécurité…

                      Dans ces cas, la réalité et la gravité de la faute doivent être prouvées. Ces éléments doivent pouvoir être discutés pour que le membre concerné puisse s’expliquer.

                      La procédure disciplinaire mise en place doit être celle définie par les statuts.

                      En l’absence d’une instance définie, l’assemblée générale joue ce rôle.

                      Un courrier de mise en demeure, adressé au membre de l’association en recommandé avec accusé de réception, doit préciser le fait reproché ou la disposition statutaire auquel il contrevient.

                      Selon la nature du fait, il est demandé au membre concerné d’accomplir son obligation conformément aux statuts, ou de présenter ses explications concernant les faits.

                      Le courrier doit l’informer de la sanction encourue et de la possibilité de se faire assister par un autre membre ou un avocat.

                      En fonction des statuts ou du règlement intérieur, le membre concerné est éventuellement convoqué devant l’instance disciplinaire de l’association.

                      En l’absence de réponse de la personne concernée, l’association lui adresse un courrier recommandé avec accusé de réception l’informant de la sanction, pouvant aller jusqu’à l’exclusion, et des raisons qui la motivent.

                      Le membre doit avoir la possibilité de se défendre avant la décision d’exclusion.

                      L’association doit l’informer suffisamment tôt pour qu’il puisse prendre connaissance des motifs qui lui sont reprochés et de la sanction envisagée à son encontre.

                      Les statuts ou le règlement intérieur peuvent prévoir que la sanction prononcée puisse faire l’objet d’un recours devant un autre organe de l’association (procédure d’appel).

                      Pour certains types d’association, la loi impose de prévoir ces procédures d’appel (par exemple, pour les fédérations sportives agréées).

                      Le membre exclu de l’association peut contester son exclusion devant un tribunal. Il doit adresser sa demande (requête) au juge.

                      Où s’adresser ?

                       Tribunal judiciaire 

                      L’annulation par un juge d’une décision d’exclusion peut conduire à la réintégration du membre concerné dans l’association.

                      Toutefois, le juge évite le plus souvent de prononcer la réintégration. Il ordonne seulement le versement de dommages et intérêts.

                        Évolutions et dissolution d’une association

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                          Quelle est la procédure pour exclure un membre d’une association ?

                          Vous souhaitez connaître les raisons qui peuvent amener une association à exclure un de ses membres, savoir quelle est la procédure et si sa décision peut être remise en question ? Nous vous présentons les informations à connaître.

                          L’exclusion est une décision prise par l’association, à titre de sanction. Celle-ci peut être décidée lorsqu’un de ses membres commet un manquement aux règles statutaires (c’est-à-dire à l’une des obligations inscrits dans les statuts) ou au règlement intérieur.

                          Il peut s’agir :

                          • Comportement inapproprié

                          • Agression d’un autre membre

                          • Détérioration d’un bien appartenant à l’association

                          L’exclusion est à distinguer de la radiation, qui est la conséquence administrative soit d’une exclusion, soit d’une demande d’un membre, soit d’une application pure et simple des statuts d’une association.

                          C’est le cas lorsque :

                          • Un de ses membres ne remplit plus une condition prévue par les statuts pour faire partie de l’association

                          • Un adhérent souhaite quitter l’association

                          • Un membre décède

                          En principe, les statuts de l’association ou le règlement intérieur déterminent librement les causes d’exclusion et la procédure à suivre. Si cette dernière n’est pas rigoureusement suivie, la sanction prise à l’encontre d’un membre peut être remise en question.

                          Lorsque les statuts ne donnent pas de précisions sur ces points, c’est en principe à l’assemblée générale de se prononcer.

                          Deux causes principales peuvent conduire une association à exclure l’un de ses membres :

                          La situation varie selon ce que les statuts comportent.

                          L’association constate l’exclusion automatique du membre concerné, sans qu’une procédure particulière ne doive être mise en place.

                          Tant que la radiation effective n’a pas été notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme membre de l’association.

                          En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                            L’absence de paiement est alors considérée comme une faute pouvant entraîner une exclusion après la mise en place d’une procédure disciplinaire.

                            Tant que la décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente (bureau de l’association ou assemblée générale) et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

                            En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                              L’absence de versement de la cotisation annuelle peut être considérée comme une faute. Celle-ci devra faire l’objet d’une éventuelle sanction, prononcée par l’association, dans le cadre d’une procédure disciplinaire à organiser.

                              Tant qu’une décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

                              En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                                  Une association peut souhaiter exclure un de ses membres pour un motif grave.

                                  Exemple

                                  Il peut s’agir :

                                  • Agissements portant atteinte aux intérêts de l’association

                                  • Conflits graves entre membres

                                  • Manquements à la sécurité…

                                  Dans ces cas, la réalité et la gravité de la faute doivent être prouvées. Ces éléments doivent pouvoir être discutés pour que le membre concerné puisse s’expliquer.

                                  La procédure disciplinaire mise en place doit être celle définie par les statuts.

                                  En l’absence d’une instance définie, l’assemblée générale joue ce rôle.

                                  Un courrier de mise en demeure, adressé au membre de l’association en recommandé avec accusé de réception, doit préciser le fait reproché ou la disposition statutaire auquel il contrevient.

                                  Selon la nature du fait, il est demandé au membre concerné d’accomplir son obligation conformément aux statuts, ou de présenter ses explications concernant les faits.

                                  Le courrier doit l’informer de la sanction encourue et de la possibilité de se faire assister par un autre membre ou un avocat.

                                  En fonction des statuts ou du règlement intérieur, le membre concerné est éventuellement convoqué devant l’instance disciplinaire de l’association.

                                  En l’absence de réponse de la personne concernée, l’association lui adresse un courrier recommandé avec accusé de réception l’informant de la sanction, pouvant aller jusqu’à l’exclusion, et des raisons qui la motivent.

                                  Le membre doit avoir la possibilité de se défendre avant la décision d’exclusion.

                                  L’association doit l’informer suffisamment tôt pour qu’il puisse prendre connaissance des motifs qui lui sont reprochés et de la sanction envisagée à son encontre.

                                  Les statuts ou le règlement intérieur peuvent prévoir que la sanction prononcée puisse faire l’objet d’un recours devant un autre organe de l’association (procédure d’appel).

                                  Pour certains types d’association, la loi impose de prévoir ces procédures d’appel (par exemple, pour les fédérations sportives agréées).

                                  Le membre exclu de l’association peut contester son exclusion devant un tribunal. Il doit adresser sa demande (requête) au juge.

                                  Où s’adresser ?

                                   Tribunal judiciaire 

                                  L’annulation par un juge d’une décision d’exclusion peut conduire à la réintégration du membre concerné dans l’association.

                                  Toutefois, le juge évite le plus souvent de prononcer la réintégration. Il ordonne seulement le versement de dommages et intérêts.

                                    Évolutions et dissolution d’une association

                                      Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                      Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                      Quelle est la procédure pour exclure un membre d’une association ?

                                      Vous souhaitez connaître les raisons qui peuvent amener une association à exclure un de ses membres, savoir quelle est la procédure et si sa décision peut être remise en question ? Nous vous présentons les informations à connaître.

                                      L’exclusion est une décision prise par l’association, à titre de sanction. Celle-ci peut être décidée lorsqu’un de ses membres commet un manquement aux règles statutaires (c’est-à-dire à l’une des obligations inscrits dans les statuts) ou au règlement intérieur.

                                      Il peut s’agir :

                                      • Comportement inapproprié

                                      • Agression d’un autre membre

                                      • Détérioration d’un bien appartenant à l’association

                                      L’exclusion est à distinguer de la radiation, qui est la conséquence administrative soit d’une exclusion, soit d’une demande d’un membre, soit d’une application pure et simple des statuts d’une association.

                                      C’est le cas lorsque :

                                      • Un de ses membres ne remplit plus une condition prévue par les statuts pour faire partie de l’association

                                      • Un adhérent souhaite quitter l’association

                                      • Un membre décède

                                      En principe, les statuts de l’association ou le règlement intérieur déterminent librement les causes d’exclusion et la procédure à suivre. Si cette dernière n’est pas rigoureusement suivie, la sanction prise à l’encontre d’un membre peut être remise en question.

                                      Lorsque les statuts ne donnent pas de précisions sur ces points, c’est en principe à l’assemblée générale de se prononcer.

                                      Deux causes principales peuvent conduire une association à exclure l’un de ses membres :

                                      La situation varie selon ce que les statuts comportent.

                                      L’association constate l’exclusion automatique du membre concerné, sans qu’une procédure particulière ne doive être mise en place.

                                      Tant que la radiation effective n’a pas été notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme membre de l’association.

                                      En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                                        L’absence de paiement est alors considérée comme une faute pouvant entraîner une exclusion après la mise en place d’une procédure disciplinaire.

                                        Tant que la décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente (bureau de l’association ou assemblée générale) et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

                                        En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                                          L’absence de versement de la cotisation annuelle peut être considérée comme une faute. Celle-ci devra faire l’objet d’une éventuelle sanction, prononcée par l’association, dans le cadre d’une procédure disciplinaire à organiser.

                                          Tant qu’une décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

                                          En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                                              Une association peut souhaiter exclure un de ses membres pour un motif grave.

                                              Exemple

                                              Il peut s’agir :

                                              • Agissements portant atteinte aux intérêts de l’association

                                              • Conflits graves entre membres

                                              • Manquements à la sécurité…

                                              Dans ces cas, la réalité et la gravité de la faute doivent être prouvées. Ces éléments doivent pouvoir être discutés pour que le membre concerné puisse s’expliquer.

                                              La procédure disciplinaire mise en place doit être celle définie par les statuts.

                                              En l’absence d’une instance définie, l’assemblée générale joue ce rôle.

                                              Un courrier de mise en demeure, adressé au membre de l’association en recommandé avec accusé de réception, doit préciser le fait reproché ou la disposition statutaire auquel il contrevient.

                                              Selon la nature du fait, il est demandé au membre concerné d’accomplir son obligation conformément aux statuts, ou de présenter ses explications concernant les faits.

                                              Le courrier doit l’informer de la sanction encourue et de la possibilité de se faire assister par un autre membre ou un avocat.

                                              En fonction des statuts ou du règlement intérieur, le membre concerné est éventuellement convoqué devant l’instance disciplinaire de l’association.

                                              En l’absence de réponse de la personne concernée, l’association lui adresse un courrier recommandé avec accusé de réception l’informant de la sanction, pouvant aller jusqu’à l’exclusion, et des raisons qui la motivent.

                                              Le membre doit avoir la possibilité de se défendre avant la décision d’exclusion.

                                              L’association doit l’informer suffisamment tôt pour qu’il puisse prendre connaissance des motifs qui lui sont reprochés et de la sanction envisagée à son encontre.

                                              Les statuts ou le règlement intérieur peuvent prévoir que la sanction prononcée puisse faire l’objet d’un recours devant un autre organe de l’association (procédure d’appel).

                                              Pour certains types d’association, la loi impose de prévoir ces procédures d’appel (par exemple, pour les fédérations sportives agréées).

                                              Le membre exclu de l’association peut contester son exclusion devant un tribunal. Il doit adresser sa demande (requête) au juge.

                                              Où s’adresser ?

                                               Tribunal judiciaire 

                                              L’annulation par un juge d’une décision d’exclusion peut conduire à la réintégration du membre concerné dans l’association.

                                              Toutefois, le juge évite le plus souvent de prononcer la réintégration. Il ordonne seulement le versement de dommages et intérêts.

                                                Évolutions et dissolution d’une association

                                                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                                  Quelle est la procédure pour exclure un membre d’une association ?

                                                  Vous souhaitez connaître les raisons qui peuvent amener une association à exclure un de ses membres, savoir quelle est la procédure et si sa décision peut être remise en question ? Nous vous présentons les informations à connaître.

                                                  L’exclusion est une décision prise par l’association, à titre de sanction. Celle-ci peut être décidée lorsqu’un de ses membres commet un manquement aux règles statutaires (c’est-à-dire à l’une des obligations inscrits dans les statuts) ou au règlement intérieur.

                                                  Il peut s’agir :

                                                  • Comportement inapproprié

                                                  • Agression d’un autre membre

                                                  • Détérioration d’un bien appartenant à l’association

                                                  L’exclusion est à distinguer de la radiation, qui est la conséquence administrative soit d’une exclusion, soit d’une demande d’un membre, soit d’une application pure et simple des statuts d’une association.

                                                  C’est le cas lorsque :

                                                  • Un de ses membres ne remplit plus une condition prévue par les statuts pour faire partie de l’association

                                                  • Un adhérent souhaite quitter l’association

                                                  • Un membre décède

                                                  En principe, les statuts de l’association ou le règlement intérieur déterminent librement les causes d’exclusion et la procédure à suivre. Si cette dernière n’est pas rigoureusement suivie, la sanction prise à l’encontre d’un membre peut être remise en question.

                                                  Lorsque les statuts ne donnent pas de précisions sur ces points, c’est en principe à l’assemblée générale de se prononcer.

                                                  Deux causes principales peuvent conduire une association à exclure l’un de ses membres :

                                                  La situation varie selon ce que les statuts comportent.

                                                  L’association constate l’exclusion automatique du membre concerné, sans qu’une procédure particulière ne doive être mise en place.

                                                  Tant que la radiation effective n’a pas été notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme membre de l’association.

                                                  En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                                                    L’absence de paiement est alors considérée comme une faute pouvant entraîner une exclusion après la mise en place d’une procédure disciplinaire.

                                                    Tant que la décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente (bureau de l’association ou assemblée générale) et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

                                                    En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                                                      L’absence de versement de la cotisation annuelle peut être considérée comme une faute. Celle-ci devra faire l’objet d’une éventuelle sanction, prononcée par l’association, dans le cadre d’une procédure disciplinaire à organiser.

                                                      Tant qu’une décision d’exclusion n’a pas été prise par l’instance compétente et notifiée au membre, celui-ci reste considéré comme faisant partie de l’association.

                                                      En conséquence, il doit, si nécessaire, être convoqué à l’assemblée générale et pouvoir y voter.

                                                          Une association peut souhaiter exclure un de ses membres pour un motif grave.

                                                          Exemple

                                                          Il peut s’agir :

                                                          • Agissements portant atteinte aux intérêts de l’association

                                                          • Conflits graves entre membres

                                                          • Manquements à la sécurité…

                                                          Dans ces cas, la réalité et la gravité de la faute doivent être prouvées. Ces éléments doivent pouvoir être discutés pour que le membre concerné puisse s’expliquer.

                                                          La procédure disciplinaire mise en place doit être celle définie par les statuts.

                                                          En l’absence d’une instance définie, l’assemblée générale joue ce rôle.

                                                          Un courrier de mise en demeure, adressé au membre de l’association en recommandé avec accusé de réception, doit préciser le fait reproché ou la disposition statutaire auquel il contrevient.

                                                          Selon la nature du fait, il est demandé au membre concerné d’accomplir son obligation conformément aux statuts, ou de présenter ses explications concernant les faits.

                                                          Le courrier doit l’informer de la sanction encourue et de la possibilité de se faire assister par un autre membre ou un avocat.

                                                          En fonction des statuts ou du règlement intérieur, le membre concerné est éventuellement convoqué devant l’instance disciplinaire de l’association.

                                                          En l’absence de réponse de la personne concernée, l’association lui adresse un courrier recommandé avec accusé de réception l’informant de la sanction, pouvant aller jusqu’à l’exclusion, et des raisons qui la motivent.

                                                          Le membre doit avoir la possibilité de se défendre avant la décision d’exclusion.

                                                          L’association doit l’informer suffisamment tôt pour qu’il puisse prendre connaissance des motifs qui lui sont reprochés et de la sanction envisagée à son encontre.

                                                          Les statuts ou le règlement intérieur peuvent prévoir que la sanction prononcée puisse faire l’objet d’un recours devant un autre organe de l’association (procédure d’appel).

                                                          Pour certains types d’association, la loi impose de prévoir ces procédures d’appel (par exemple, pour les fédérations sportives agréées).

                                                          Le membre exclu de l’association peut contester son exclusion devant un tribunal. Il doit adresser sa demande (requête) au juge.

                                                          Où s’adresser ?

                                                           Tribunal judiciaire 

                                                          L’annulation par un juge d’une décision d’exclusion peut conduire à la réintégration du membre concerné dans l’association.

                                                          Toutefois, le juge évite le plus souvent de prononcer la réintégration. Il ordonne seulement le versement de dommages et intérêts.

                                                            Évolutions et dissolution d’une association

                                                              Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

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