Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ?

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Traitement de la toxicomanie

La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.

Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).

De plus, la justice peut ordonner des soins.

Nous vous présentons les informations à connaître.

    Services médicaux spécialisés

    Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)

    Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.

    Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).

    L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.

    Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.

    L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.

    Structures hospitalières

    Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).

    Ces structures sont de plus ou moins grande importance.

    Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.

    Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)

    Les Caarud :

    • Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues

    • Assurent un accueil collectif et individuel

    • Mettent à disposition de matériel de prévention des infections

    • Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues

    • Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)

    • Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.

    Haltes soins addictions (HSA)

    Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.

    Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.

    Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).

    Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).

    Où s’adresser ?

     Haltes soins addictions (HSA) 

    Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).

    L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.

    • Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.

    • Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.

    La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.

    Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.

    L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :

    Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).

    L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).

    Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.

Addictions

    •  Drogues.gouv.fr 
      Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca)
    •  Drogues info service 
      Source : Santé publique France

    • Drogues info service

      Par téléphone

      0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)

      Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7

      Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.

      Écoute, soutien, conseils et orientations.

      Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.

      Par internet

      Accès à  la rubrique Vos questions / Nos réponses  pour poser des questions aux professionnels du service

      Par chat

      Ouvert :

      De 14h à minuit du lundi au vendredi

      Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.

       https://www.drogues-info-service.fr/Drogues/Chat 

    Traitement de la toxicomanie

    La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.

    Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).

    De plus, la justice peut ordonner des soins.

    Nous vous présentons les informations à connaître.

      Services médicaux spécialisés

      Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)

      Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.

      Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).

      L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.

      Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.

      L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.

      Structures hospitalières

      Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).

      Ces structures sont de plus ou moins grande importance.

      Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.

      Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)

      Les Caarud :

      • Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues

      • Assurent un accueil collectif et individuel

      • Mettent à disposition de matériel de prévention des infections

      • Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues

      • Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)

      • Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.

      Haltes soins addictions (HSA)

      Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.

      Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.

      Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).

      Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).

      Où s’adresser ?

       Haltes soins addictions (HSA) 

      Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).

      L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.

      • Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.

      • Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.

      La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.

      Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.

      L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :

      Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).

      L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).

      Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.

    Addictions

      •  Drogues.gouv.fr 
        Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca)
      •  Drogues info service 
        Source : Santé publique France

      • Drogues info service

        Par téléphone

        0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)

        Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7

        Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.

        Écoute, soutien, conseils et orientations.

        Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.

        Par internet

        Accès à  la rubrique Vos questions / Nos réponses  pour poser des questions aux professionnels du service

        Par chat

        Ouvert :

        De 14h à minuit du lundi au vendredi

        Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.

         https://www.drogues-info-service.fr/Drogues/Chat 

      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

      Traitement de la toxicomanie

      La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.

      Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).

      De plus, la justice peut ordonner des soins.

      Nous vous présentons les informations à connaître.

        Services médicaux spécialisés

        Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)

        Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.

        Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).

        L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.

        Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.

        L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.

        Structures hospitalières

        Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).

        Ces structures sont de plus ou moins grande importance.

        Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.

        Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)

        Les Caarud :

        • Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues

        • Assurent un accueil collectif et individuel

        • Mettent à disposition de matériel de prévention des infections

        • Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues

        • Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)

        • Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.

        Haltes soins addictions (HSA)

        Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.

        Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.

        Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).

        Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).

        Où s’adresser ?

         Haltes soins addictions (HSA) 

        Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).

        L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.

        • Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.

        • Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.

        La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.

        Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.

        L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :

        Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).

        L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).

        Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.

      Addictions

        •  Drogues.gouv.fr 
          Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca)
        •  Drogues info service 
          Source : Santé publique France

        • Drogues info service

          Par téléphone

          0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)

          Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7

          Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.

          Écoute, soutien, conseils et orientations.

          Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.

          Par internet

          Accès à  la rubrique Vos questions / Nos réponses  pour poser des questions aux professionnels du service

          Par chat

          Ouvert :

          De 14h à minuit du lundi au vendredi

          Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.

           https://www.drogues-info-service.fr/Drogues/Chat 

        Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

        Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

        Traitement de la toxicomanie

        La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.

        Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).

        De plus, la justice peut ordonner des soins.

        Nous vous présentons les informations à connaître.

          Services médicaux spécialisés

          Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)

          Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.

          Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).

          L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.

          Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.

          L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.

          Structures hospitalières

          Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).

          Ces structures sont de plus ou moins grande importance.

          Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.

          Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)

          Les Caarud :

          • Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues

          • Assurent un accueil collectif et individuel

          • Mettent à disposition de matériel de prévention des infections

          • Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues

          • Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)

          • Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.

          Haltes soins addictions (HSA)

          Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.

          Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.

          Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).

          Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).

          Où s’adresser ?

           Haltes soins addictions (HSA) 

          Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).

          L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.

          • Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.

          • Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.

          La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.

          Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.

          L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :

          Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).

          L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).

          Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.

        Addictions

          •  Drogues.gouv.fr 
            Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca)
          •  Drogues info service 
            Source : Santé publique France

          • Drogues info service

            Par téléphone

            0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)

            Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7

            Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.

            Écoute, soutien, conseils et orientations.

            Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.

            Par internet

            Accès à  la rubrique Vos questions / Nos réponses  pour poser des questions aux professionnels du service

            Par chat

            Ouvert :

            De 14h à minuit du lundi au vendredi

            Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.

             https://www.drogues-info-service.fr/Drogues/Chat 

          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

          Traitement de la toxicomanie

          La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.

          Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).

          De plus, la justice peut ordonner des soins.

          Nous vous présentons les informations à connaître.

            Services médicaux spécialisés

            Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)

            Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.

            Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).

            L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.

            Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.

            L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.

            Structures hospitalières

            Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).

            Ces structures sont de plus ou moins grande importance.

            Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.

            Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)

            Les Caarud :

            • Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues

            • Assurent un accueil collectif et individuel

            • Mettent à disposition de matériel de prévention des infections

            • Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues

            • Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)

            • Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.

            Haltes soins addictions (HSA)

            Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.

            Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.

            Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).

            Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).

            Où s’adresser ?

             Haltes soins addictions (HSA) 

            Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).

            L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.

            • Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.

            • Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.

            La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.

            Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.

            L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :

            Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).

            L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).

            Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.

          Addictions

            •  Drogues.gouv.fr 
              Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca)
            •  Drogues info service 
              Source : Santé publique France

            • Drogues info service

              Par téléphone

              0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)

              Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7

              Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.

              Écoute, soutien, conseils et orientations.

              Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.

              Par internet

              Accès à  la rubrique Vos questions / Nos réponses  pour poser des questions aux professionnels du service

              Par chat

              Ouvert :

              De 14h à minuit du lundi au vendredi

              Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.

               https://www.drogues-info-service.fr/Drogues/Chat 

            Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

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