Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Enfant en danger : comment le signaler ?

Si vous êtes un enfant en danger ou si vous êtes une personne témoin ou soupçonnant qu’un enfant est en danger, nous vous présentons les informations à connaître.

    Un enfant est considéré en danger si les aspects suivants de sa vie sont gravement compromis ou risquent de l’être :

    • Santé ou développement physique

    • Sécurité

    • Moralité

    • Éducation ou développement intellectuel

    • Développement affectif ou social.

    Exemple

    Un enfant est considéré en danger notamment dans les cas suivants :

    • Manque de nourriture, d’attention et/ou de soins médicaux

    • Violence physique (frapper, brûler,…) et/ou psychologique (isoler, intimider, terroriser,…)

    • Agression et/ou exploitation sexuelle

    • Corruption de mineur, qui consiste pour un adulte à imposer (éventuellement via internet) à un mineur des propos, des actes, des scènes ou des images pouvant le pousser à adopter une attitude ou un comportement sexuel dégradant

    • Incitation à consommer des produits stupéfiants.

    Attention

    Ces exemples ne sont pas exhaustifs. Seules les situations de mise en danger les plus fréquentes sont présentées.

    Toute personne témoin ou soupçonnant un enfant en danger ou risquant de l’être doit signaler les faits. Il peut s’agir d’un particulier (parent, voisin,…) ou d’un professionnel (assistante sociale, médecin…).

    L’enfant peut également signaler lui-même sa situation ou celle d’un autre enfant qu’il connait.

    À savoir

    Le signalement peut être anonyme, qu’il soit fait par courrier ou par téléphone.

    119

    Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d’une situation de maltraitance d’un enfant, vous devez appeler le 119.

    Où s’adresser ?

    Enfance en danger – 119

    Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

    Par téléphone

    119 (appel gratuit et confidentiel)

    24h/24 et 7 jours/7

    Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

    Sur le site www.allo119.gouv.fr

     Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

     Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

    Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

     Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

    Services du département ou cellule de recueil des informations préoccupantes (CRIP)

    Il est également possible de contacter les services du département : aide sociale à l’enfance (ASE) ou cellule de recueil des informations préoccupantes (Crip).

    Où s’adresser ?

     Services du département 

    Il est possible d’adresser directement un courrier au procureur de la République.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    À titre exceptionnel, le juge des enfants peut intervenir de lui-même (on dit qu’il se saisit d’office ). En pratique, le juge se saisit d’office lorsqu’il a reçu un signalement d’une personne autre que l’enfant victime, ses parents, les personnes responsables de lui (tuteur par exemple) ou le procureur de la République.

    Le fait d’alerter volontairement les autorités sur des faits que l’on sait inexacts relève de la dénonciation calomnieuse. Ce délit est puni par une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans et une amende de 45 000 € .

    La non-dénonciation d’une situation de maltraitance dont on a connaissance peut être punie de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.

    Après avoir effectué un signalement, les services compétents (services sociaux, protection de l’enfance, police) interviennent pour examiner la situation de l’enfant et pour évaluer les mesures à prendre. Celles-ci varient selon la gravité des faits signalés.

    Ainsi, les principales étapes mises en place à la suite d’un signalement sont les suivantes :

  1. Enquête sociale : les professionnels se rendent auprès de l’enfant et de sa famille pour comprendre la nature du danger et déterminer s’il est immédiat ou non. L’objectif de cette évaluation est de recueillir des informations sur les conditions de vie de l’enfant et d’apprécier ses besoins en termes de protection.

  2. Mise en place des mesures de protection : si l’enquête confirme que l’enfant est en danger, plusieurs actions peuvent être mises en place.

    Dans les cas où le danger n’est pas immédiat, des services éducatifs accompagnent la famille pour améliorer la situation.

    Si l’enfant est en danger grave, il peut être confié temporairement à un autre membre de la famille, à une famille d’accueil, ou à un établissement spécialisé. Cette décision est prise par le juge des enfants. En cas de violences graves ou répétées, des procédures judiciaires sont engagées contre l’auteur des faits (parents ou tiers).

    Tout au long de cette procédure, l’enfant et sa famille peuvent bénéficier d’accompagnements. L’enfant peut bénéficier d’un suivi psychologique pour l’aider à surmonter les traumatismes liés aux violences subies. Les parents peuvent également bénéficier d’un soutien éducatif ou psychologique pour améliorer les conditions de vie de l’enfant et éviter toute récidive. Même si l’enfant n’est pas placé, des éducateurs sont désignés pour suivre régulièrement la famille et s’assurer que les besoins de l’enfant sont respectés.

  3. L’enfant et les personnes concernées (parents, famille, tiers qui a effectué le signalement) sont informés des décisions prises par les services sociaux ou le juge des enfants. Ils sont régulièrement mis au courant des mesures appliquées et de leur durée.

  4. Si l’enfant reste dans son milieu familial, des visites et des évaluations périodiques sont mises en place pour suivre l’évolution de la situation. Ces réévaluations permettent de s’assurer que l’enfant ne court plus de danger et que la famille respecte les recommandations faites par les services.

Placement d’un enfant

    • Enfance en danger – 119

      Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

      Par téléphone

      119 (appel gratuit et confidentiel)

      24h/24 et 7 jours/7

      Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

      Sur le site www.allo119.gouv.fr

       Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

       Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

      Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

       Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

    Enfant en danger : comment le signaler ?

    Si vous êtes un enfant en danger ou si vous êtes une personne témoin ou soupçonnant qu’un enfant est en danger, nous vous présentons les informations à connaître.

      Un enfant est considéré en danger si les aspects suivants de sa vie sont gravement compromis ou risquent de l’être :

      • Santé ou développement physique

      • Sécurité

      • Moralité

      • Éducation ou développement intellectuel

      • Développement affectif ou social.

      Exemple

      Un enfant est considéré en danger notamment dans les cas suivants :

      • Manque de nourriture, d’attention et/ou de soins médicaux

      • Violence physique (frapper, brûler,…) et/ou psychologique (isoler, intimider, terroriser,…)

      • Agression et/ou exploitation sexuelle

      • Corruption de mineur, qui consiste pour un adulte à imposer (éventuellement via internet) à un mineur des propos, des actes, des scènes ou des images pouvant le pousser à adopter une attitude ou un comportement sexuel dégradant

      • Incitation à consommer des produits stupéfiants.

      Attention

      Ces exemples ne sont pas exhaustifs. Seules les situations de mise en danger les plus fréquentes sont présentées.

      Toute personne témoin ou soupçonnant un enfant en danger ou risquant de l’être doit signaler les faits. Il peut s’agir d’un particulier (parent, voisin,…) ou d’un professionnel (assistante sociale, médecin…).

      L’enfant peut également signaler lui-même sa situation ou celle d’un autre enfant qu’il connait.

      À savoir

      Le signalement peut être anonyme, qu’il soit fait par courrier ou par téléphone.

      119

      Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d’une situation de maltraitance d’un enfant, vous devez appeler le 119.

      Où s’adresser ?

      Enfance en danger – 119

      Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

      Par téléphone

      119 (appel gratuit et confidentiel)

      24h/24 et 7 jours/7

      Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

      Sur le site www.allo119.gouv.fr

       Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

       Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

      Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

       Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

      Services du département ou cellule de recueil des informations préoccupantes (CRIP)

      Il est également possible de contacter les services du département : aide sociale à l’enfance (ASE) ou cellule de recueil des informations préoccupantes (Crip).

      Où s’adresser ?

       Services du département 

      Il est possible d’adresser directement un courrier au procureur de la République.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      À titre exceptionnel, le juge des enfants peut intervenir de lui-même (on dit qu’il se saisit d’office ). En pratique, le juge se saisit d’office lorsqu’il a reçu un signalement d’une personne autre que l’enfant victime, ses parents, les personnes responsables de lui (tuteur par exemple) ou le procureur de la République.

      Le fait d’alerter volontairement les autorités sur des faits que l’on sait inexacts relève de la dénonciation calomnieuse. Ce délit est puni par une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans et une amende de 45 000 € .

      La non-dénonciation d’une situation de maltraitance dont on a connaissance peut être punie de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.

      Après avoir effectué un signalement, les services compétents (services sociaux, protection de l’enfance, police) interviennent pour examiner la situation de l’enfant et pour évaluer les mesures à prendre. Celles-ci varient selon la gravité des faits signalés.

      Ainsi, les principales étapes mises en place à la suite d’un signalement sont les suivantes :

    1. Enquête sociale : les professionnels se rendent auprès de l’enfant et de sa famille pour comprendre la nature du danger et déterminer s’il est immédiat ou non. L’objectif de cette évaluation est de recueillir des informations sur les conditions de vie de l’enfant et d’apprécier ses besoins en termes de protection.

    2. Mise en place des mesures de protection : si l’enquête confirme que l’enfant est en danger, plusieurs actions peuvent être mises en place.

      Dans les cas où le danger n’est pas immédiat, des services éducatifs accompagnent la famille pour améliorer la situation.

      Si l’enfant est en danger grave, il peut être confié temporairement à un autre membre de la famille, à une famille d’accueil, ou à un établissement spécialisé. Cette décision est prise par le juge des enfants. En cas de violences graves ou répétées, des procédures judiciaires sont engagées contre l’auteur des faits (parents ou tiers).

      Tout au long de cette procédure, l’enfant et sa famille peuvent bénéficier d’accompagnements. L’enfant peut bénéficier d’un suivi psychologique pour l’aider à surmonter les traumatismes liés aux violences subies. Les parents peuvent également bénéficier d’un soutien éducatif ou psychologique pour améliorer les conditions de vie de l’enfant et éviter toute récidive. Même si l’enfant n’est pas placé, des éducateurs sont désignés pour suivre régulièrement la famille et s’assurer que les besoins de l’enfant sont respectés.

    3. L’enfant et les personnes concernées (parents, famille, tiers qui a effectué le signalement) sont informés des décisions prises par les services sociaux ou le juge des enfants. Ils sont régulièrement mis au courant des mesures appliquées et de leur durée.

    4. Si l’enfant reste dans son milieu familial, des visites et des évaluations périodiques sont mises en place pour suivre l’évolution de la situation. Ces réévaluations permettent de s’assurer que l’enfant ne court plus de danger et que la famille respecte les recommandations faites par les services.

    Placement d’un enfant

      • Enfance en danger – 119

        Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

        Par téléphone

        119 (appel gratuit et confidentiel)

        24h/24 et 7 jours/7

        Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

        Sur le site www.allo119.gouv.fr

         Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

         Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

        Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

         Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

      Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

      Enfant en danger : comment le signaler ?

      Si vous êtes un enfant en danger ou si vous êtes une personne témoin ou soupçonnant qu’un enfant est en danger, nous vous présentons les informations à connaître.

        Un enfant est considéré en danger si les aspects suivants de sa vie sont gravement compromis ou risquent de l’être :

        • Santé ou développement physique

        • Sécurité

        • Moralité

        • Éducation ou développement intellectuel

        • Développement affectif ou social.

        Exemple

        Un enfant est considéré en danger notamment dans les cas suivants :

        • Manque de nourriture, d’attention et/ou de soins médicaux

        • Violence physique (frapper, brûler,…) et/ou psychologique (isoler, intimider, terroriser,…)

        • Agression et/ou exploitation sexuelle

        • Corruption de mineur, qui consiste pour un adulte à imposer (éventuellement via internet) à un mineur des propos, des actes, des scènes ou des images pouvant le pousser à adopter une attitude ou un comportement sexuel dégradant

        • Incitation à consommer des produits stupéfiants.

        Attention

        Ces exemples ne sont pas exhaustifs. Seules les situations de mise en danger les plus fréquentes sont présentées.

        Toute personne témoin ou soupçonnant un enfant en danger ou risquant de l’être doit signaler les faits. Il peut s’agir d’un particulier (parent, voisin,…) ou d’un professionnel (assistante sociale, médecin…).

        L’enfant peut également signaler lui-même sa situation ou celle d’un autre enfant qu’il connait.

        À savoir

        Le signalement peut être anonyme, qu’il soit fait par courrier ou par téléphone.

        119

        Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d’une situation de maltraitance d’un enfant, vous devez appeler le 119.

        Où s’adresser ?

        Enfance en danger – 119

        Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

        Par téléphone

        119 (appel gratuit et confidentiel)

        24h/24 et 7 jours/7

        Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

        Sur le site www.allo119.gouv.fr

         Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

         Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

        Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

         Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

        Services du département ou cellule de recueil des informations préoccupantes (CRIP)

        Il est également possible de contacter les services du département : aide sociale à l’enfance (ASE) ou cellule de recueil des informations préoccupantes (Crip).

        Où s’adresser ?

         Services du département 

        Il est possible d’adresser directement un courrier au procureur de la République.

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

        À titre exceptionnel, le juge des enfants peut intervenir de lui-même (on dit qu’il se saisit d’office ). En pratique, le juge se saisit d’office lorsqu’il a reçu un signalement d’une personne autre que l’enfant victime, ses parents, les personnes responsables de lui (tuteur par exemple) ou le procureur de la République.

        Le fait d’alerter volontairement les autorités sur des faits que l’on sait inexacts relève de la dénonciation calomnieuse. Ce délit est puni par une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans et une amende de 45 000 € .

        La non-dénonciation d’une situation de maltraitance dont on a connaissance peut être punie de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.

        Après avoir effectué un signalement, les services compétents (services sociaux, protection de l’enfance, police) interviennent pour examiner la situation de l’enfant et pour évaluer les mesures à prendre. Celles-ci varient selon la gravité des faits signalés.

        Ainsi, les principales étapes mises en place à la suite d’un signalement sont les suivantes :

      1. Enquête sociale : les professionnels se rendent auprès de l’enfant et de sa famille pour comprendre la nature du danger et déterminer s’il est immédiat ou non. L’objectif de cette évaluation est de recueillir des informations sur les conditions de vie de l’enfant et d’apprécier ses besoins en termes de protection.

      2. Mise en place des mesures de protection : si l’enquête confirme que l’enfant est en danger, plusieurs actions peuvent être mises en place.

        Dans les cas où le danger n’est pas immédiat, des services éducatifs accompagnent la famille pour améliorer la situation.

        Si l’enfant est en danger grave, il peut être confié temporairement à un autre membre de la famille, à une famille d’accueil, ou à un établissement spécialisé. Cette décision est prise par le juge des enfants. En cas de violences graves ou répétées, des procédures judiciaires sont engagées contre l’auteur des faits (parents ou tiers).

        Tout au long de cette procédure, l’enfant et sa famille peuvent bénéficier d’accompagnements. L’enfant peut bénéficier d’un suivi psychologique pour l’aider à surmonter les traumatismes liés aux violences subies. Les parents peuvent également bénéficier d’un soutien éducatif ou psychologique pour améliorer les conditions de vie de l’enfant et éviter toute récidive. Même si l’enfant n’est pas placé, des éducateurs sont désignés pour suivre régulièrement la famille et s’assurer que les besoins de l’enfant sont respectés.

      3. L’enfant et les personnes concernées (parents, famille, tiers qui a effectué le signalement) sont informés des décisions prises par les services sociaux ou le juge des enfants. Ils sont régulièrement mis au courant des mesures appliquées et de leur durée.

      4. Si l’enfant reste dans son milieu familial, des visites et des évaluations périodiques sont mises en place pour suivre l’évolution de la situation. Ces réévaluations permettent de s’assurer que l’enfant ne court plus de danger et que la famille respecte les recommandations faites par les services.

      Placement d’un enfant

        • Enfance en danger – 119

          Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

          Par téléphone

          119 (appel gratuit et confidentiel)

          24h/24 et 7 jours/7

          Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

          Sur le site www.allo119.gouv.fr

           Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

           Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

          Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

           Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

        Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

        Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

        Enfant en danger : comment le signaler ?

        Si vous êtes un enfant en danger ou si vous êtes une personne témoin ou soupçonnant qu’un enfant est en danger, nous vous présentons les informations à connaître.

          Un enfant est considéré en danger si les aspects suivants de sa vie sont gravement compromis ou risquent de l’être :

          • Santé ou développement physique

          • Sécurité

          • Moralité

          • Éducation ou développement intellectuel

          • Développement affectif ou social.

          Exemple

          Un enfant est considéré en danger notamment dans les cas suivants :

          • Manque de nourriture, d’attention et/ou de soins médicaux

          • Violence physique (frapper, brûler,…) et/ou psychologique (isoler, intimider, terroriser,…)

          • Agression et/ou exploitation sexuelle

          • Corruption de mineur, qui consiste pour un adulte à imposer (éventuellement via internet) à un mineur des propos, des actes, des scènes ou des images pouvant le pousser à adopter une attitude ou un comportement sexuel dégradant

          • Incitation à consommer des produits stupéfiants.

          Attention

          Ces exemples ne sont pas exhaustifs. Seules les situations de mise en danger les plus fréquentes sont présentées.

          Toute personne témoin ou soupçonnant un enfant en danger ou risquant de l’être doit signaler les faits. Il peut s’agir d’un particulier (parent, voisin,…) ou d’un professionnel (assistante sociale, médecin…).

          L’enfant peut également signaler lui-même sa situation ou celle d’un autre enfant qu’il connait.

          À savoir

          Le signalement peut être anonyme, qu’il soit fait par courrier ou par téléphone.

          119

          Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d’une situation de maltraitance d’un enfant, vous devez appeler le 119.

          Où s’adresser ?

          Enfance en danger – 119

          Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

          Par téléphone

          119 (appel gratuit et confidentiel)

          24h/24 et 7 jours/7

          Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

          Sur le site www.allo119.gouv.fr

           Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

           Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

          Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

           Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

          Services du département ou cellule de recueil des informations préoccupantes (CRIP)

          Il est également possible de contacter les services du département : aide sociale à l’enfance (ASE) ou cellule de recueil des informations préoccupantes (Crip).

          Où s’adresser ?

           Services du département 

          Il est possible d’adresser directement un courrier au procureur de la République.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

          À titre exceptionnel, le juge des enfants peut intervenir de lui-même (on dit qu’il se saisit d’office ). En pratique, le juge se saisit d’office lorsqu’il a reçu un signalement d’une personne autre que l’enfant victime, ses parents, les personnes responsables de lui (tuteur par exemple) ou le procureur de la République.

          Le fait d’alerter volontairement les autorités sur des faits que l’on sait inexacts relève de la dénonciation calomnieuse. Ce délit est puni par une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans et une amende de 45 000 € .

          La non-dénonciation d’une situation de maltraitance dont on a connaissance peut être punie de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.

          Après avoir effectué un signalement, les services compétents (services sociaux, protection de l’enfance, police) interviennent pour examiner la situation de l’enfant et pour évaluer les mesures à prendre. Celles-ci varient selon la gravité des faits signalés.

          Ainsi, les principales étapes mises en place à la suite d’un signalement sont les suivantes :

        1. Enquête sociale : les professionnels se rendent auprès de l’enfant et de sa famille pour comprendre la nature du danger et déterminer s’il est immédiat ou non. L’objectif de cette évaluation est de recueillir des informations sur les conditions de vie de l’enfant et d’apprécier ses besoins en termes de protection.

        2. Mise en place des mesures de protection : si l’enquête confirme que l’enfant est en danger, plusieurs actions peuvent être mises en place.

          Dans les cas où le danger n’est pas immédiat, des services éducatifs accompagnent la famille pour améliorer la situation.

          Si l’enfant est en danger grave, il peut être confié temporairement à un autre membre de la famille, à une famille d’accueil, ou à un établissement spécialisé. Cette décision est prise par le juge des enfants. En cas de violences graves ou répétées, des procédures judiciaires sont engagées contre l’auteur des faits (parents ou tiers).

          Tout au long de cette procédure, l’enfant et sa famille peuvent bénéficier d’accompagnements. L’enfant peut bénéficier d’un suivi psychologique pour l’aider à surmonter les traumatismes liés aux violences subies. Les parents peuvent également bénéficier d’un soutien éducatif ou psychologique pour améliorer les conditions de vie de l’enfant et éviter toute récidive. Même si l’enfant n’est pas placé, des éducateurs sont désignés pour suivre régulièrement la famille et s’assurer que les besoins de l’enfant sont respectés.

        3. L’enfant et les personnes concernées (parents, famille, tiers qui a effectué le signalement) sont informés des décisions prises par les services sociaux ou le juge des enfants. Ils sont régulièrement mis au courant des mesures appliquées et de leur durée.

        4. Si l’enfant reste dans son milieu familial, des visites et des évaluations périodiques sont mises en place pour suivre l’évolution de la situation. Ces réévaluations permettent de s’assurer que l’enfant ne court plus de danger et que la famille respecte les recommandations faites par les services.

        Placement d’un enfant

          • Enfance en danger – 119

            Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

            Par téléphone

            119 (appel gratuit et confidentiel)

            24h/24 et 7 jours/7

            Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

            Sur le site www.allo119.gouv.fr

             Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

             Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

            Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

             Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

          Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

          Enfant en danger : comment le signaler ?

          Si vous êtes un enfant en danger ou si vous êtes une personne témoin ou soupçonnant qu’un enfant est en danger, nous vous présentons les informations à connaître.

            Un enfant est considéré en danger si les aspects suivants de sa vie sont gravement compromis ou risquent de l’être :

            • Santé ou développement physique

            • Sécurité

            • Moralité

            • Éducation ou développement intellectuel

            • Développement affectif ou social.

            Exemple

            Un enfant est considéré en danger notamment dans les cas suivants :

            • Manque de nourriture, d’attention et/ou de soins médicaux

            • Violence physique (frapper, brûler,…) et/ou psychologique (isoler, intimider, terroriser,…)

            • Agression et/ou exploitation sexuelle

            • Corruption de mineur, qui consiste pour un adulte à imposer (éventuellement via internet) à un mineur des propos, des actes, des scènes ou des images pouvant le pousser à adopter une attitude ou un comportement sexuel dégradant

            • Incitation à consommer des produits stupéfiants.

            Attention

            Ces exemples ne sont pas exhaustifs. Seules les situations de mise en danger les plus fréquentes sont présentées.

            Toute personne témoin ou soupçonnant un enfant en danger ou risquant de l’être doit signaler les faits. Il peut s’agir d’un particulier (parent, voisin,…) ou d’un professionnel (assistante sociale, médecin…).

            L’enfant peut également signaler lui-même sa situation ou celle d’un autre enfant qu’il connait.

            À savoir

            Le signalement peut être anonyme, qu’il soit fait par courrier ou par téléphone.

            119

            Si vous êtes victime ou si vous avez connaissance d’une situation de maltraitance d’un enfant, vous devez appeler le 119.

            Où s’adresser ?

            Enfance en danger – 119

            Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

            Par téléphone

            119 (appel gratuit et confidentiel)

            24h/24 et 7 jours/7

            Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

            Sur le site www.allo119.gouv.fr

             Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

             Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

            Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

             Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

            Services du département ou cellule de recueil des informations préoccupantes (CRIP)

            Il est également possible de contacter les services du département : aide sociale à l’enfance (ASE) ou cellule de recueil des informations préoccupantes (Crip).

            Où s’adresser ?

             Services du département 

            Il est possible d’adresser directement un courrier au procureur de la République.

            Où s’adresser ?

             Tribunal judiciaire 

            À titre exceptionnel, le juge des enfants peut intervenir de lui-même (on dit qu’il se saisit d’office ). En pratique, le juge se saisit d’office lorsqu’il a reçu un signalement d’une personne autre que l’enfant victime, ses parents, les personnes responsables de lui (tuteur par exemple) ou le procureur de la République.

            Le fait d’alerter volontairement les autorités sur des faits que l’on sait inexacts relève de la dénonciation calomnieuse. Ce délit est puni par une peine de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans et une amende de 45 000 € .

            La non-dénonciation d’une situation de maltraitance dont on a connaissance peut être punie de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.

            Après avoir effectué un signalement, les services compétents (services sociaux, protection de l’enfance, police) interviennent pour examiner la situation de l’enfant et pour évaluer les mesures à prendre. Celles-ci varient selon la gravité des faits signalés.

            Ainsi, les principales étapes mises en place à la suite d’un signalement sont les suivantes :

          1. Enquête sociale : les professionnels se rendent auprès de l’enfant et de sa famille pour comprendre la nature du danger et déterminer s’il est immédiat ou non. L’objectif de cette évaluation est de recueillir des informations sur les conditions de vie de l’enfant et d’apprécier ses besoins en termes de protection.

          2. Mise en place des mesures de protection : si l’enquête confirme que l’enfant est en danger, plusieurs actions peuvent être mises en place.

            Dans les cas où le danger n’est pas immédiat, des services éducatifs accompagnent la famille pour améliorer la situation.

            Si l’enfant est en danger grave, il peut être confié temporairement à un autre membre de la famille, à une famille d’accueil, ou à un établissement spécialisé. Cette décision est prise par le juge des enfants. En cas de violences graves ou répétées, des procédures judiciaires sont engagées contre l’auteur des faits (parents ou tiers).

            Tout au long de cette procédure, l’enfant et sa famille peuvent bénéficier d’accompagnements. L’enfant peut bénéficier d’un suivi psychologique pour l’aider à surmonter les traumatismes liés aux violences subies. Les parents peuvent également bénéficier d’un soutien éducatif ou psychologique pour améliorer les conditions de vie de l’enfant et éviter toute récidive. Même si l’enfant n’est pas placé, des éducateurs sont désignés pour suivre régulièrement la famille et s’assurer que les besoins de l’enfant sont respectés.

          3. L’enfant et les personnes concernées (parents, famille, tiers qui a effectué le signalement) sont informés des décisions prises par les services sociaux ou le juge des enfants. Ils sont régulièrement mis au courant des mesures appliquées et de leur durée.

          4. Si l’enfant reste dans son milieu familial, des visites et des évaluations périodiques sont mises en place pour suivre l’évolution de la situation. Ces réévaluations permettent de s’assurer que l’enfant ne court plus de danger et que la famille respecte les recommandations faites par les services.

          Placement d’un enfant

            • Enfance en danger – 119

              Numéro d’appel destiné à tout enfant ou adolescent victime de violences ou à toute personne préoccupée par une situation d’enfant en danger ou en risque de l’être.

              Par téléphone

              119 (appel gratuit et confidentiel)

              24h/24 et 7 jours/7

              Un appel sur ce numéro est géolocalisé, identifié et priorisé. Il n’apparait pas sur les factures.

              Sur le site www.allo119.gouv.fr

               Tchat en temps réel  destiné aux moins de 21 ans (7 jours/7 de15 h à 21 h)

               Dispositif en langue des signes française  pour les personnes sourdes et malentendantes

              Cette plateforme est ouverte du lundi au vendredi de 8 h 30 à 19 h et le samedi de 9 h à 12 h.

               Formulaire de recueil en ligne  pour déposer une situation si vous êtes adulte

            Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

            Faire sa demande en ligne

            Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
            Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

            La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

            Contact