Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Divorce : procédure de partage des biens

Vous divorcez ? Vous devez partager vos biens. Nous vous expliquons la procédure de partage en fonction du type de divorce (par consentement mutuel ou judiciaire).

Divorce, séparation de corps

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent obligatoirement s’entendre à l’amiable sur la liquidation et le partage des biens. Si ce n’est pas le cas, ils ne peuvent pas divorcer par consentement mutuel.

    Les règles de liquidation et partage dépendent du régime matrimonial du couple et de la nature des biens possédés.

    Les avocats des époux doivent mentionner dans la convention de divorce par consentement mutuel comment se passe la liquidation du régime matrimonial. Ils doivent faire figurer comment les biens sont partagés (meubles, argent,…).

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire. Dans ce cas, un acte authentique de partage est établi par le notaire. Cet acte est annexé à la convention de divorce par consentement mutuel.

    À savoir

    si les époux ne souhaitent pas partager leurs biens, ils peuvent établir une convention d’indivision.

    La liquidation doit être effectuée pendant le divorce par consentement mutuel, c’est-à-dire avant l’enregistrement de la convention de divorce par consentement mutuel par le notaire.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    Si l’avocat s’est chargé de liquider les biens, ses honoraires intègrent sa prestation quant au partage des biens.

    Si un notaire rédige l’acte de partage (quand il y a un ou plusieurs biens immobiliers), il a droit à des émoluments proportionnels. Ces émoluments sont calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

    À savoir

    Pour un patrimoine inférieur ou égal à 5 000 € , le droit de partage est fixé forfaitairement à 125 € .

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent tenter de s’entendre sur la liquidation et le partage des biens.

    Les règles de partage dépendent de leur régime matrimonial et de la nature des biens.

    S’ils n’ont que des biens meubles, ils peuvent à tout moment opérer le partage de leurs biens sans formalités spécifiques. Cependant, un professionnel du droit (avocat, notaire) peut les aider dans l’opération.

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire.

    S’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord, l’un des époux doit saisir le juge aux affaires familiales (Jaf) par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Pendant la procédure de divorce

    Les époux sont obligés dès l’introduction de l’instance en divorce de proposer un règlement de leurs intérêts pécuniaires et patrimoniaux.

    Le juge peut dès l’audience d’orientation sur les mesures provisoires désigner un notaire en vue d’élaborer un projet de liquidation du régime matrimonial et de formation des lots à partager.

    Lorsqu’il existe un bien immobilier, l’un des époux peut demander que ce bien lui soit attribué : c’est une attribution préférentielle .

    Le juge peut :

    • Homologuer l’accord des époux sur le partage des biens ou le projet établi par le notaire

    • Régler les désaccords persistants entre les époux en ordonnant le partage ou en désignant un notaire. Il peut aussi décider de la vente par licitation (enchères).

    Après le prononcé du divorce

    Si les époux n’ont pas réussi à liquider et à partager leurs biens, ils peuvent le faire à l’amiable après le divorce.

    Si les époux possèdent des biens immobiliers, ils doivent s’adresser à un notaire.

    Si les époux n’arrivent pas à trouver d’accord, le partage amiable devient judiciaire. Ils doivent ressaisir le Jaf par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Le Jaf doit veiller aux opérations de liquidation et de partage des biens. Si la situation patrimoniale est complexe ou le conflit est persistant, le juge peut désigner un notaire, un juge chargé de surveiller les opérations ou un expert.

    Après sa désignation et dans le délai d’un an, le notaire dresse un état liquidatif qui établit les comptes entre époux et compose 2 lots à répartir.

    Après le travail du notaire et en cas de désaccords persistants entre les ex-époux, c’est le jaf qui tranche définitivement. Il peut soit homologuer l’état liquidatif, soit renvoyer les parties devant le notaire pour rédiger l’acte de partage. Parfois, une vente par licitation (aux enchères) est nécessaire.

    Les époux peuvent liquider leur régime matrimonial et partager leurs biens à tout moment.

    Ils peuvent le faire à l’amiable, avant le prononcé du divorce. Dans ce cas, leurs biens sont partagés au moment de l’homologation par le juge.

    Les ex-époux peuvent également partager leurs biens après le divorce, à l’amiable ou avec une procédure judiciaire contentieuse, en cas de désaccord.

    À noter

    La loi ne prévoit pas de délai pour liquider et partager les biens. Le partage des biens peut être long en cas de désaccord des époux divorcés.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    L’avocat qui intervient dans la procédure de partage a droit à des honoraires.

    Des frais de notaire sont également à régler par les ex-époux si ce professionnel est intervenu dans les opérations de partage. Il a notamment droit à des émoluments proportionnels calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

Divorce : procédure de partage des biens

Vous divorcez ? Vous devez partager vos biens. Nous vous expliquons la procédure de partage en fonction du type de divorce (par consentement mutuel ou judiciaire).

Divorce, séparation de corps

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent obligatoirement s’entendre à l’amiable sur la liquidation et le partage des biens. Si ce n’est pas le cas, ils ne peuvent pas divorcer par consentement mutuel.

    Les règles de liquidation et partage dépendent du régime matrimonial du couple et de la nature des biens possédés.

    Les avocats des époux doivent mentionner dans la convention de divorce par consentement mutuel comment se passe la liquidation du régime matrimonial. Ils doivent faire figurer comment les biens sont partagés (meubles, argent,…).

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire. Dans ce cas, un acte authentique de partage est établi par le notaire. Cet acte est annexé à la convention de divorce par consentement mutuel.

    À savoir

    si les époux ne souhaitent pas partager leurs biens, ils peuvent établir une convention d’indivision.

    La liquidation doit être effectuée pendant le divorce par consentement mutuel, c’est-à-dire avant l’enregistrement de la convention de divorce par consentement mutuel par le notaire.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    Si l’avocat s’est chargé de liquider les biens, ses honoraires intègrent sa prestation quant au partage des biens.

    Si un notaire rédige l’acte de partage (quand il y a un ou plusieurs biens immobiliers), il a droit à des émoluments proportionnels. Ces émoluments sont calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

    À savoir

    Pour un patrimoine inférieur ou égal à 5 000 € , le droit de partage est fixé forfaitairement à 125 € .

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent tenter de s’entendre sur la liquidation et le partage des biens.

    Les règles de partage dépendent de leur régime matrimonial et de la nature des biens.

    S’ils n’ont que des biens meubles, ils peuvent à tout moment opérer le partage de leurs biens sans formalités spécifiques. Cependant, un professionnel du droit (avocat, notaire) peut les aider dans l’opération.

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire.

    S’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord, l’un des époux doit saisir le juge aux affaires familiales (Jaf) par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Pendant la procédure de divorce

    Les époux sont obligés dès l’introduction de l’instance en divorce de proposer un règlement de leurs intérêts pécuniaires et patrimoniaux.

    Le juge peut dès l’audience d’orientation sur les mesures provisoires désigner un notaire en vue d’élaborer un projet de liquidation du régime matrimonial et de formation des lots à partager.

    Lorsqu’il existe un bien immobilier, l’un des époux peut demander que ce bien lui soit attribué : c’est une attribution préférentielle .

    Le juge peut :

    • Homologuer l’accord des époux sur le partage des biens ou le projet établi par le notaire

    • Régler les désaccords persistants entre les époux en ordonnant le partage ou en désignant un notaire. Il peut aussi décider de la vente par licitation (enchères).

    Après le prononcé du divorce

    Si les époux n’ont pas réussi à liquider et à partager leurs biens, ils peuvent le faire à l’amiable après le divorce.

    Si les époux possèdent des biens immobiliers, ils doivent s’adresser à un notaire.

    Si les époux n’arrivent pas à trouver d’accord, le partage amiable devient judiciaire. Ils doivent ressaisir le Jaf par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Le Jaf doit veiller aux opérations de liquidation et de partage des biens. Si la situation patrimoniale est complexe ou le conflit est persistant, le juge peut désigner un notaire, un juge chargé de surveiller les opérations ou un expert.

    Après sa désignation et dans le délai d’un an, le notaire dresse un état liquidatif qui établit les comptes entre époux et compose 2 lots à répartir.

    Après le travail du notaire et en cas de désaccords persistants entre les ex-époux, c’est le jaf qui tranche définitivement. Il peut soit homologuer l’état liquidatif, soit renvoyer les parties devant le notaire pour rédiger l’acte de partage. Parfois, une vente par licitation (aux enchères) est nécessaire.

    Les époux peuvent liquider leur régime matrimonial et partager leurs biens à tout moment.

    Ils peuvent le faire à l’amiable, avant le prononcé du divorce. Dans ce cas, leurs biens sont partagés au moment de l’homologation par le juge.

    Les ex-époux peuvent également partager leurs biens après le divorce, à l’amiable ou avec une procédure judiciaire contentieuse, en cas de désaccord.

    À noter

    La loi ne prévoit pas de délai pour liquider et partager les biens. Le partage des biens peut être long en cas de désaccord des époux divorcés.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    L’avocat qui intervient dans la procédure de partage a droit à des honoraires.

    Des frais de notaire sont également à régler par les ex-époux si ce professionnel est intervenu dans les opérations de partage. Il a notamment droit à des émoluments proportionnels calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

Divorce : procédure de partage des biens

Vous divorcez ? Vous devez partager vos biens. Nous vous expliquons la procédure de partage en fonction du type de divorce (par consentement mutuel ou judiciaire).

Divorce, séparation de corps

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent obligatoirement s’entendre à l’amiable sur la liquidation et le partage des biens. Si ce n’est pas le cas, ils ne peuvent pas divorcer par consentement mutuel.

    Les règles de liquidation et partage dépendent du régime matrimonial du couple et de la nature des biens possédés.

    Les avocats des époux doivent mentionner dans la convention de divorce par consentement mutuel comment se passe la liquidation du régime matrimonial. Ils doivent faire figurer comment les biens sont partagés (meubles, argent,…).

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire. Dans ce cas, un acte authentique de partage est établi par le notaire. Cet acte est annexé à la convention de divorce par consentement mutuel.

    À savoir

    si les époux ne souhaitent pas partager leurs biens, ils peuvent établir une convention d’indivision.

    La liquidation doit être effectuée pendant le divorce par consentement mutuel, c’est-à-dire avant l’enregistrement de la convention de divorce par consentement mutuel par le notaire.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    Si l’avocat s’est chargé de liquider les biens, ses honoraires intègrent sa prestation quant au partage des biens.

    Si un notaire rédige l’acte de partage (quand il y a un ou plusieurs biens immobiliers), il a droit à des émoluments proportionnels. Ces émoluments sont calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

    À savoir

    Pour un patrimoine inférieur ou égal à 5 000 € , le droit de partage est fixé forfaitairement à 125 € .

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent tenter de s’entendre sur la liquidation et le partage des biens.

    Les règles de partage dépendent de leur régime matrimonial et de la nature des biens.

    S’ils n’ont que des biens meubles, ils peuvent à tout moment opérer le partage de leurs biens sans formalités spécifiques. Cependant, un professionnel du droit (avocat, notaire) peut les aider dans l’opération.

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire.

    S’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord, l’un des époux doit saisir le juge aux affaires familiales (Jaf) par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Pendant la procédure de divorce

    Les époux sont obligés dès l’introduction de l’instance en divorce de proposer un règlement de leurs intérêts pécuniaires et patrimoniaux.

    Le juge peut dès l’audience d’orientation sur les mesures provisoires désigner un notaire en vue d’élaborer un projet de liquidation du régime matrimonial et de formation des lots à partager.

    Lorsqu’il existe un bien immobilier, l’un des époux peut demander que ce bien lui soit attribué : c’est une attribution préférentielle .

    Le juge peut :

    • Homologuer l’accord des époux sur le partage des biens ou le projet établi par le notaire

    • Régler les désaccords persistants entre les époux en ordonnant le partage ou en désignant un notaire. Il peut aussi décider de la vente par licitation (enchères).

    Après le prononcé du divorce

    Si les époux n’ont pas réussi à liquider et à partager leurs biens, ils peuvent le faire à l’amiable après le divorce.

    Si les époux possèdent des biens immobiliers, ils doivent s’adresser à un notaire.

    Si les époux n’arrivent pas à trouver d’accord, le partage amiable devient judiciaire. Ils doivent ressaisir le Jaf par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Le Jaf doit veiller aux opérations de liquidation et de partage des biens. Si la situation patrimoniale est complexe ou le conflit est persistant, le juge peut désigner un notaire, un juge chargé de surveiller les opérations ou un expert.

    Après sa désignation et dans le délai d’un an, le notaire dresse un état liquidatif qui établit les comptes entre époux et compose 2 lots à répartir.

    Après le travail du notaire et en cas de désaccords persistants entre les ex-époux, c’est le jaf qui tranche définitivement. Il peut soit homologuer l’état liquidatif, soit renvoyer les parties devant le notaire pour rédiger l’acte de partage. Parfois, une vente par licitation (aux enchères) est nécessaire.

    Les époux peuvent liquider leur régime matrimonial et partager leurs biens à tout moment.

    Ils peuvent le faire à l’amiable, avant le prononcé du divorce. Dans ce cas, leurs biens sont partagés au moment de l’homologation par le juge.

    Les ex-époux peuvent également partager leurs biens après le divorce, à l’amiable ou avec une procédure judiciaire contentieuse, en cas de désaccord.

    À noter

    La loi ne prévoit pas de délai pour liquider et partager les biens. Le partage des biens peut être long en cas de désaccord des époux divorcés.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    L’avocat qui intervient dans la procédure de partage a droit à des honoraires.

    Des frais de notaire sont également à régler par les ex-époux si ce professionnel est intervenu dans les opérations de partage. Il a notamment droit à des émoluments proportionnels calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

Divorce : procédure de partage des biens

Vous divorcez ? Vous devez partager vos biens. Nous vous expliquons la procédure de partage en fonction du type de divorce (par consentement mutuel ou judiciaire).

Divorce, séparation de corps

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent obligatoirement s’entendre à l’amiable sur la liquidation et le partage des biens. Si ce n’est pas le cas, ils ne peuvent pas divorcer par consentement mutuel.

    Les règles de liquidation et partage dépendent du régime matrimonial du couple et de la nature des biens possédés.

    Les avocats des époux doivent mentionner dans la convention de divorce par consentement mutuel comment se passe la liquidation du régime matrimonial. Ils doivent faire figurer comment les biens sont partagés (meubles, argent,…).

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire. Dans ce cas, un acte authentique de partage est établi par le notaire. Cet acte est annexé à la convention de divorce par consentement mutuel.

    À savoir

    si les époux ne souhaitent pas partager leurs biens, ils peuvent établir une convention d’indivision.

    La liquidation doit être effectuée pendant le divorce par consentement mutuel, c’est-à-dire avant l’enregistrement de la convention de divorce par consentement mutuel par le notaire.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    Si l’avocat s’est chargé de liquider les biens, ses honoraires intègrent sa prestation quant au partage des biens.

    Si un notaire rédige l’acte de partage (quand il y a un ou plusieurs biens immobiliers), il a droit à des émoluments proportionnels. Ces émoluments sont calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

    À savoir

    Pour un patrimoine inférieur ou égal à 5 000 € , le droit de partage est fixé forfaitairement à 125 € .

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent tenter de s’entendre sur la liquidation et le partage des biens.

    Les règles de partage dépendent de leur régime matrimonial et de la nature des biens.

    S’ils n’ont que des biens meubles, ils peuvent à tout moment opérer le partage de leurs biens sans formalités spécifiques. Cependant, un professionnel du droit (avocat, notaire) peut les aider dans l’opération.

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire.

    S’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord, l’un des époux doit saisir le juge aux affaires familiales (Jaf) par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Pendant la procédure de divorce

    Les époux sont obligés dès l’introduction de l’instance en divorce de proposer un règlement de leurs intérêts pécuniaires et patrimoniaux.

    Le juge peut dès l’audience d’orientation sur les mesures provisoires désigner un notaire en vue d’élaborer un projet de liquidation du régime matrimonial et de formation des lots à partager.

    Lorsqu’il existe un bien immobilier, l’un des époux peut demander que ce bien lui soit attribué : c’est une attribution préférentielle .

    Le juge peut :

    • Homologuer l’accord des époux sur le partage des biens ou le projet établi par le notaire

    • Régler les désaccords persistants entre les époux en ordonnant le partage ou en désignant un notaire. Il peut aussi décider de la vente par licitation (enchères).

    Après le prononcé du divorce

    Si les époux n’ont pas réussi à liquider et à partager leurs biens, ils peuvent le faire à l’amiable après le divorce.

    Si les époux possèdent des biens immobiliers, ils doivent s’adresser à un notaire.

    Si les époux n’arrivent pas à trouver d’accord, le partage amiable devient judiciaire. Ils doivent ressaisir le Jaf par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Le Jaf doit veiller aux opérations de liquidation et de partage des biens. Si la situation patrimoniale est complexe ou le conflit est persistant, le juge peut désigner un notaire, un juge chargé de surveiller les opérations ou un expert.

    Après sa désignation et dans le délai d’un an, le notaire dresse un état liquidatif qui établit les comptes entre époux et compose 2 lots à répartir.

    Après le travail du notaire et en cas de désaccords persistants entre les ex-époux, c’est le jaf qui tranche définitivement. Il peut soit homologuer l’état liquidatif, soit renvoyer les parties devant le notaire pour rédiger l’acte de partage. Parfois, une vente par licitation (aux enchères) est nécessaire.

    Les époux peuvent liquider leur régime matrimonial et partager leurs biens à tout moment.

    Ils peuvent le faire à l’amiable, avant le prononcé du divorce. Dans ce cas, leurs biens sont partagés au moment de l’homologation par le juge.

    Les ex-époux peuvent également partager leurs biens après le divorce, à l’amiable ou avec une procédure judiciaire contentieuse, en cas de désaccord.

    À noter

    La loi ne prévoit pas de délai pour liquider et partager les biens. Le partage des biens peut être long en cas de désaccord des époux divorcés.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    L’avocat qui intervient dans la procédure de partage a droit à des honoraires.

    Des frais de notaire sont également à régler par les ex-époux si ce professionnel est intervenu dans les opérations de partage. Il a notamment droit à des émoluments proportionnels calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

Divorce : procédure de partage des biens

Vous divorcez ? Vous devez partager vos biens. Nous vous expliquons la procédure de partage en fonction du type de divorce (par consentement mutuel ou judiciaire).

Divorce, séparation de corps

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent obligatoirement s’entendre à l’amiable sur la liquidation et le partage des biens. Si ce n’est pas le cas, ils ne peuvent pas divorcer par consentement mutuel.

    Les règles de liquidation et partage dépendent du régime matrimonial du couple et de la nature des biens possédés.

    Les avocats des époux doivent mentionner dans la convention de divorce par consentement mutuel comment se passe la liquidation du régime matrimonial. Ils doivent faire figurer comment les biens sont partagés (meubles, argent,…).

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire. Dans ce cas, un acte authentique de partage est établi par le notaire. Cet acte est annexé à la convention de divorce par consentement mutuel.

    À savoir

    si les époux ne souhaitent pas partager leurs biens, ils peuvent établir une convention d’indivision.

    La liquidation doit être effectuée pendant le divorce par consentement mutuel, c’est-à-dire avant l’enregistrement de la convention de divorce par consentement mutuel par le notaire.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    Si l’avocat s’est chargé de liquider les biens, ses honoraires intègrent sa prestation quant au partage des biens.

    Si un notaire rédige l’acte de partage (quand il y a un ou plusieurs biens immobiliers), il a droit à des émoluments proportionnels. Ces émoluments sont calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

    À savoir

    Pour un patrimoine inférieur ou égal à 5 000 € , le droit de partage est fixé forfaitairement à 125 € .

    Pour partager, il faut faire la liquidation , c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part devant revenir à chacun d’eux.

    D’après ce calcul, un partage en valeur doit se faire. Ce partage est une opération globale qui porte sur l’ensemble du patrimoine des époux (biens mobiliers, biens immobiliers, argent…).

    S’il n’est pas possible de répartir les biens en constituant 2 lots de même valeur, l’ex-époux qui reçoit plus de patrimoine doit dédommager financièrement l’ex-époux qui reçoit le moins.

    À noter

    la prestation compensatoire, les pensions alimentaires pour les enfants, les allocations familiales ne rentrent dans les opérations de partage.

    Les époux doivent tenter de s’entendre sur la liquidation et le partage des biens.

    Les règles de partage dépendent de leur régime matrimonial et de la nature des biens.

    S’ils n’ont que des biens meubles, ils peuvent à tout moment opérer le partage de leurs biens sans formalités spécifiques. Cependant, un professionnel du droit (avocat, notaire) peut les aider dans l’opération.

    Si les époux possèdent un bien immobilier ensemble ou en indivision, les opérations de partage doivent être opérées par un notaire.

    S’ils n’arrivent pas à se mettre d’accord, l’un des époux doit saisir le juge aux affaires familiales (Jaf) par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Pendant la procédure de divorce

    Les époux sont obligés dès l’introduction de l’instance en divorce de proposer un règlement de leurs intérêts pécuniaires et patrimoniaux.

    Le juge peut dès l’audience d’orientation sur les mesures provisoires désigner un notaire en vue d’élaborer un projet de liquidation du régime matrimonial et de formation des lots à partager.

    Lorsqu’il existe un bien immobilier, l’un des époux peut demander que ce bien lui soit attribué : c’est une attribution préférentielle .

    Le juge peut :

    • Homologuer l’accord des époux sur le partage des biens ou le projet établi par le notaire

    • Régler les désaccords persistants entre les époux en ordonnant le partage ou en désignant un notaire. Il peut aussi décider de la vente par licitation (enchères).

    Après le prononcé du divorce

    Si les époux n’ont pas réussi à liquider et à partager leurs biens, ils peuvent le faire à l’amiable après le divorce.

    Si les époux possèdent des biens immobiliers, ils doivent s’adresser à un notaire.

    Si les époux n’arrivent pas à trouver d’accord, le partage amiable devient judiciaire. Ils doivent ressaisir le Jaf par assignation. L’avocat est obligatoire pour toute la procédure.

    Le Jaf doit veiller aux opérations de liquidation et de partage des biens. Si la situation patrimoniale est complexe ou le conflit est persistant, le juge peut désigner un notaire, un juge chargé de surveiller les opérations ou un expert.

    Après sa désignation et dans le délai d’un an, le notaire dresse un état liquidatif qui établit les comptes entre époux et compose 2 lots à répartir.

    Après le travail du notaire et en cas de désaccords persistants entre les ex-époux, c’est le jaf qui tranche définitivement. Il peut soit homologuer l’état liquidatif, soit renvoyer les parties devant le notaire pour rédiger l’acte de partage. Parfois, une vente par licitation (aux enchères) est nécessaire.

    Les époux peuvent liquider leur régime matrimonial et partager leurs biens à tout moment.

    Ils peuvent le faire à l’amiable, avant le prononcé du divorce. Dans ce cas, leurs biens sont partagés au moment de l’homologation par le juge.

    Les ex-époux peuvent également partager leurs biens après le divorce, à l’amiable ou avec une procédure judiciaire contentieuse, en cas de désaccord.

    À noter

    La loi ne prévoit pas de délai pour liquider et partager les biens. Le partage des biens peut être long en cas de désaccord des époux divorcés.

    Le partage des biens meubles et immeubles est soumis à un droit d’enregistrement ou à une taxe de publicité foncière de 1,10 % .

    L’avocat qui intervient dans la procédure de partage a droit à des honoraires.

    Des frais de notaire sont également à régler par les ex-époux si ce professionnel est intervenu dans les opérations de partage. Il a notamment droit à des émoluments proportionnels calculés sur la valeur des biens partagés après déduction des éventuelles dettes.

Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

Faire sa demande en ligne

Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

Contact