Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Contestation de la filiation (paternité ou maternité)

Vous souhaitez contester le lien de filiation entre un enfant et un parent (marié ou non marié) ? La filiation paternelle ou maternelle d’un enfant peut être contestée devant le juge uniquement par certaines personnes et dans certains délais.

La contestation est possible dans les cas suivants :

  • Filiation par le sang, établie par l’acte de naissance de l’enfant

  • Filiation établie par un acte de notoriété rédigé par un notaire

La contestation est impossible dans les cas suivants :

  • Filiation adoptive

  • Filiation à la suite d’une  AMP 

Naissance et filiation

    La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

    Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

    Attention

    Pour contester la maternité, il faut apporter la preuve que la femme désignée par l’acte de naissance comme étant la mère n’a pas accouché de l’enfant.

    Si la filiation est établie par l’acte de naissance de l’enfant, la contestation dépend des éléments suivants :

    • Le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant (on parle de )

    • Le parent ne s’est pas investi dans l’éducation de l’enfant

    Les personnes pouvant contester la filiation varient selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

    Seul le ministère public peut contester le lien de filiation dans les cas suivants :

    • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

    • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

    Dans les autres cas, le lien de filiation n’est pas contestable.

      Les personnes qui peuvent contester la filiation établie par l’acte de naissance sont les suivantes :

      • Père désigné dans l’acte de naissance

      • Mère désignée dans l’acte de naissance

      • Personne qui se prétend être le véritable parent

      • Enfant lui-même à compter de sa majorité

      Le ministère public peut aussi contester la filiation dans les cas suivants :

      • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

      • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

        Toute personne qui a un intérêt légitime peut contester la filiation entre le père qui figure dans l’acte de naissance ou de reconnaissance et l’enfant. Par exemple, un héritier du père.

        Le ministère public peut aussi contester le lien de filiation dans les cas suivants :

        • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

        • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

          Le délai de contestation de la filiation varie selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

          Vous ne pouvez pas contester le lien de de filiation.

            Le lien de filiation peut être contesté dans un délai de 5 ans à compter du jour où les relations parent/enfant ont cessé, par exemple en cas de décès du père.

            Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 5 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 23 ans.

              La contestation peut être engagée dans un délai de 10 ans à compter de la date de naissance ou de reconnaissance.

              Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 10 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 28 ans.

                La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme mentionné dans la déclaration de naissance ou qui a fait la reconnaissance n’est pas le père biologique de l’enfant.

                Tous les moyens de preuve sont possibles.

                Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (c’est-à-dire son ou ses parents).

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                • Annulation rétroactive du lien de filiation

                • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                À savoir

                Dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                Quand la filiation établie entre un enfant et son père a été établie par un acte de notoriété (rédigé par un notaire), il est possible de la contester.

                La filiation établie par un acte de notoriété peut être contestée par toute personne qui a un intérêt légitime.

                Par exemple, un héritier du père.

                La filiation peut être contestée dans un délai de 10 ans à compter de la date de l’acte de notoriété.

                La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme reconnu comme père dans l’acte de notoriété n’est pas le père biologique de l’enfant.

                Tous les moyens de preuve sont possibles.

                Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                Où s’adresser ?

                 Avocat 

                Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (son ou ses parents).

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                • Annulation rétroactive du lien de filiation

                • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                À savoir

                dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

              Contestation de la filiation (paternité ou maternité)

              Vous souhaitez contester le lien de filiation entre un enfant et un parent (marié ou non marié) ? La filiation paternelle ou maternelle d’un enfant peut être contestée devant le juge uniquement par certaines personnes et dans certains délais.

              La contestation est possible dans les cas suivants :

              • Filiation par le sang, établie par l’acte de naissance de l’enfant

              • Filiation établie par un acte de notoriété rédigé par un notaire

              La contestation est impossible dans les cas suivants :

              • Filiation adoptive

              • Filiation à la suite d’une  AMP 

              Naissance et filiation

                La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                Attention

                Pour contester la maternité, il faut apporter la preuve que la femme désignée par l’acte de naissance comme étant la mère n’a pas accouché de l’enfant.

                Si la filiation est établie par l’acte de naissance de l’enfant, la contestation dépend des éléments suivants :

                • Le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant (on parle de )

                • Le parent ne s’est pas investi dans l’éducation de l’enfant

                Les personnes pouvant contester la filiation varient selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                Seul le ministère public peut contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                Dans les autres cas, le lien de filiation n’est pas contestable.

                  Les personnes qui peuvent contester la filiation établie par l’acte de naissance sont les suivantes :

                  • Père désigné dans l’acte de naissance

                  • Mère désignée dans l’acte de naissance

                  • Personne qui se prétend être le véritable parent

                  • Enfant lui-même à compter de sa majorité

                  Le ministère public peut aussi contester la filiation dans les cas suivants :

                  • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                  • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                    Toute personne qui a un intérêt légitime peut contester la filiation entre le père qui figure dans l’acte de naissance ou de reconnaissance et l’enfant. Par exemple, un héritier du père.

                    Le ministère public peut aussi contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                    • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                    • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                      Le délai de contestation de la filiation varie selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                      Vous ne pouvez pas contester le lien de de filiation.

                        Le lien de filiation peut être contesté dans un délai de 5 ans à compter du jour où les relations parent/enfant ont cessé, par exemple en cas de décès du père.

                        Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 5 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 23 ans.

                          La contestation peut être engagée dans un délai de 10 ans à compter de la date de naissance ou de reconnaissance.

                          Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 10 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 28 ans.

                            La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme mentionné dans la déclaration de naissance ou qui a fait la reconnaissance n’est pas le père biologique de l’enfant.

                            Tous les moyens de preuve sont possibles.

                            Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                            Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                            L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                            Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (c’est-à-dire son ou ses parents).

                            Où s’adresser ?

                             Tribunal judiciaire 

                            Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                            • Annulation rétroactive du lien de filiation

                            • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                            • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                            L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                            Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                            À savoir

                            Dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                            La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                            Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                            Quand la filiation établie entre un enfant et son père a été établie par un acte de notoriété (rédigé par un notaire), il est possible de la contester.

                            La filiation établie par un acte de notoriété peut être contestée par toute personne qui a un intérêt légitime.

                            Par exemple, un héritier du père.

                            La filiation peut être contestée dans un délai de 10 ans à compter de la date de l’acte de notoriété.

                            La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme reconnu comme père dans l’acte de notoriété n’est pas le père biologique de l’enfant.

                            Tous les moyens de preuve sont possibles.

                            Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                            Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                            L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                            Où s’adresser ?

                             Avocat 

                            Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (son ou ses parents).

                            Où s’adresser ?

                             Tribunal judiciaire 

                            Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                            • Annulation rétroactive du lien de filiation

                            • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                            • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                            L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                            Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                            À savoir

                            dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                          Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

                          Contestation de la filiation (paternité ou maternité)

                          Vous souhaitez contester le lien de filiation entre un enfant et un parent (marié ou non marié) ? La filiation paternelle ou maternelle d’un enfant peut être contestée devant le juge uniquement par certaines personnes et dans certains délais.

                          La contestation est possible dans les cas suivants :

                          • Filiation par le sang, établie par l’acte de naissance de l’enfant

                          • Filiation établie par un acte de notoriété rédigé par un notaire

                          La contestation est impossible dans les cas suivants :

                          • Filiation adoptive

                          • Filiation à la suite d’une  AMP 

                          Naissance et filiation

                            La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                            Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                            Attention

                            Pour contester la maternité, il faut apporter la preuve que la femme désignée par l’acte de naissance comme étant la mère n’a pas accouché de l’enfant.

                            Si la filiation est établie par l’acte de naissance de l’enfant, la contestation dépend des éléments suivants :

                            • Le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant (on parle de )

                            • Le parent ne s’est pas investi dans l’éducation de l’enfant

                            Les personnes pouvant contester la filiation varient selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                            Seul le ministère public peut contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                            • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                            • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                            Dans les autres cas, le lien de filiation n’est pas contestable.

                              Les personnes qui peuvent contester la filiation établie par l’acte de naissance sont les suivantes :

                              • Père désigné dans l’acte de naissance

                              • Mère désignée dans l’acte de naissance

                              • Personne qui se prétend être le véritable parent

                              • Enfant lui-même à compter de sa majorité

                              Le ministère public peut aussi contester la filiation dans les cas suivants :

                              • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                              • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                                Toute personne qui a un intérêt légitime peut contester la filiation entre le père qui figure dans l’acte de naissance ou de reconnaissance et l’enfant. Par exemple, un héritier du père.

                                Le ministère public peut aussi contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                                • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                                • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                                  Le délai de contestation de la filiation varie selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                                  Vous ne pouvez pas contester le lien de de filiation.

                                    Le lien de filiation peut être contesté dans un délai de 5 ans à compter du jour où les relations parent/enfant ont cessé, par exemple en cas de décès du père.

                                    Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 5 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 23 ans.

                                      La contestation peut être engagée dans un délai de 10 ans à compter de la date de naissance ou de reconnaissance.

                                      Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 10 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 28 ans.

                                        La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme mentionné dans la déclaration de naissance ou qui a fait la reconnaissance n’est pas le père biologique de l’enfant.

                                        Tous les moyens de preuve sont possibles.

                                        Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                                        Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                                        L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                                        Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (c’est-à-dire son ou ses parents).

                                        Où s’adresser ?

                                         Tribunal judiciaire 

                                        Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                                        • Annulation rétroactive du lien de filiation

                                        • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                                        • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                                        L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                                        Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                                        À savoir

                                        Dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                                        La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                                        Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                                        Quand la filiation établie entre un enfant et son père a été établie par un acte de notoriété (rédigé par un notaire), il est possible de la contester.

                                        La filiation établie par un acte de notoriété peut être contestée par toute personne qui a un intérêt légitime.

                                        Par exemple, un héritier du père.

                                        La filiation peut être contestée dans un délai de 10 ans à compter de la date de l’acte de notoriété.

                                        La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme reconnu comme père dans l’acte de notoriété n’est pas le père biologique de l’enfant.

                                        Tous les moyens de preuve sont possibles.

                                        Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                                        Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                                        L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                                        Où s’adresser ?

                                         Avocat 

                                        Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (son ou ses parents).

                                        Où s’adresser ?

                                         Tribunal judiciaire 

                                        Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                                        • Annulation rétroactive du lien de filiation

                                        • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                                        • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                                        L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                                        Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                                        À savoir

                                        dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                                      Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                      Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

                                      Contestation de la filiation (paternité ou maternité)

                                      Vous souhaitez contester le lien de filiation entre un enfant et un parent (marié ou non marié) ? La filiation paternelle ou maternelle d’un enfant peut être contestée devant le juge uniquement par certaines personnes et dans certains délais.

                                      La contestation est possible dans les cas suivants :

                                      • Filiation par le sang, établie par l’acte de naissance de l’enfant

                                      • Filiation établie par un acte de notoriété rédigé par un notaire

                                      La contestation est impossible dans les cas suivants :

                                      • Filiation adoptive

                                      • Filiation à la suite d’une  AMP 

                                      Naissance et filiation

                                        La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                                        Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                                        Attention

                                        Pour contester la maternité, il faut apporter la preuve que la femme désignée par l’acte de naissance comme étant la mère n’a pas accouché de l’enfant.

                                        Si la filiation est établie par l’acte de naissance de l’enfant, la contestation dépend des éléments suivants :

                                        • Le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant (on parle de )

                                        • Le parent ne s’est pas investi dans l’éducation de l’enfant

                                        Les personnes pouvant contester la filiation varient selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                                        Seul le ministère public peut contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                                        • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                                        • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                                        Dans les autres cas, le lien de filiation n’est pas contestable.

                                          Les personnes qui peuvent contester la filiation établie par l’acte de naissance sont les suivantes :

                                          • Père désigné dans l’acte de naissance

                                          • Mère désignée dans l’acte de naissance

                                          • Personne qui se prétend être le véritable parent

                                          • Enfant lui-même à compter de sa majorité

                                          Le ministère public peut aussi contester la filiation dans les cas suivants :

                                          • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                                          • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                                            Toute personne qui a un intérêt légitime peut contester la filiation entre le père qui figure dans l’acte de naissance ou de reconnaissance et l’enfant. Par exemple, un héritier du père.

                                            Le ministère public peut aussi contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                                            • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                                            • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                                              Le délai de contestation de la filiation varie selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                                              Vous ne pouvez pas contester le lien de de filiation.

                                                Le lien de filiation peut être contesté dans un délai de 5 ans à compter du jour où les relations parent/enfant ont cessé, par exemple en cas de décès du père.

                                                Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 5 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 23 ans.

                                                  La contestation peut être engagée dans un délai de 10 ans à compter de la date de naissance ou de reconnaissance.

                                                  Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 10 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 28 ans.

                                                    La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme mentionné dans la déclaration de naissance ou qui a fait la reconnaissance n’est pas le père biologique de l’enfant.

                                                    Tous les moyens de preuve sont possibles.

                                                    Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                                                    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                                                    L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                                                    Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (c’est-à-dire son ou ses parents).

                                                    Où s’adresser ?

                                                     Tribunal judiciaire 

                                                    Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                                                    • Annulation rétroactive du lien de filiation

                                                    • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                                                    • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                                                    L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                                                    Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                                                    À savoir

                                                    Dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                                                    La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                                                    Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                                                    Quand la filiation établie entre un enfant et son père a été établie par un acte de notoriété (rédigé par un notaire), il est possible de la contester.

                                                    La filiation établie par un acte de notoriété peut être contestée par toute personne qui a un intérêt légitime.

                                                    Par exemple, un héritier du père.

                                                    La filiation peut être contestée dans un délai de 10 ans à compter de la date de l’acte de notoriété.

                                                    La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme reconnu comme père dans l’acte de notoriété n’est pas le père biologique de l’enfant.

                                                    Tous les moyens de preuve sont possibles.

                                                    Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                                                    Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                                                    L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                                                    Où s’adresser ?

                                                     Avocat 

                                                    Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (son ou ses parents).

                                                    Où s’adresser ?

                                                     Tribunal judiciaire 

                                                    Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                                                    • Annulation rétroactive du lien de filiation

                                                    • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                                                    • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                                                    L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                                                    Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                                                    À savoir

                                                    dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                                                  Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

                                                  Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

                                                  Contestation de la filiation (paternité ou maternité)

                                                  Vous souhaitez contester le lien de filiation entre un enfant et un parent (marié ou non marié) ? La filiation paternelle ou maternelle d’un enfant peut être contestée devant le juge uniquement par certaines personnes et dans certains délais.

                                                  La contestation est possible dans les cas suivants :

                                                  • Filiation par le sang, établie par l’acte de naissance de l’enfant

                                                  • Filiation établie par un acte de notoriété rédigé par un notaire

                                                  La contestation est impossible dans les cas suivants :

                                                  • Filiation adoptive

                                                  • Filiation à la suite d’une  AMP 

                                                  Naissance et filiation

                                                    La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                                                    Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                                                    Attention

                                                    Pour contester la maternité, il faut apporter la preuve que la femme désignée par l’acte de naissance comme étant la mère n’a pas accouché de l’enfant.

                                                    Si la filiation est établie par l’acte de naissance de l’enfant, la contestation dépend des éléments suivants :

                                                    • Le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant (on parle de )

                                                    • Le parent ne s’est pas investi dans l’éducation de l’enfant

                                                    Les personnes pouvant contester la filiation varient selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                                                    Seul le ministère public peut contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                                                    • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                                                    • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                                                    Dans les autres cas, le lien de filiation n’est pas contestable.

                                                      Les personnes qui peuvent contester la filiation établie par l’acte de naissance sont les suivantes :

                                                      • Père désigné dans l’acte de naissance

                                                      • Mère désignée dans l’acte de naissance

                                                      • Personne qui se prétend être le véritable parent

                                                      • Enfant lui-même à compter de sa majorité

                                                      Le ministère public peut aussi contester la filiation dans les cas suivants :

                                                      • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                                                      • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                                                        Toute personne qui a un intérêt légitime peut contester la filiation entre le père qui figure dans l’acte de naissance ou de reconnaissance et l’enfant. Par exemple, un héritier du père.

                                                        Le ministère public peut aussi contester le lien de filiation dans les cas suivants :

                                                        • Fraude à la loi (par exemple, fraude à l’adoption ou grossesse pour le compte d’autrui)

                                                        • Indices qui rendent la filiation invraisemblable (par exemple, reconnaissance par une personne bien trop jeune pour être le père de l’enfant)

                                                          Le délai de contestation de la filiation varie selon la façon dont le parent s’investit (ou s’est investi) dans l’éducation de l’enfant.

                                                          Vous ne pouvez pas contester le lien de de filiation.

                                                            Le lien de filiation peut être contesté dans un délai de 5 ans à compter du jour où les relations parent/enfant ont cessé, par exemple en cas de décès du père.

                                                            Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 5 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 23 ans.

                                                              La contestation peut être engagée dans un délai de 10 ans à compter de la date de naissance ou de reconnaissance.

                                                              Si c’est l’enfant qui conteste sa filiation, il peut agir dans un délai de 10 ans à partir de la date de ses 18 ans, soit jusqu’à ses 28 ans.

                                                                La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme mentionné dans la déclaration de naissance ou qui a fait la reconnaissance n’est pas le père biologique de l’enfant.

                                                                Tous les moyens de preuve sont possibles.

                                                                Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                                                                Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                                                                L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                                                                Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (c’est-à-dire son ou ses parents).

                                                                Où s’adresser ?

                                                                 Tribunal judiciaire 

                                                                Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                                                                • Annulation rétroactive du lien de filiation

                                                                • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                                                                • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                                                                L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                                                                Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                                                                À savoir

                                                                Dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                                                                La contestation de paternité est une action en justice pour démontrer qu’il n’y a pas de lien de filiation entre l’enfant et son parent officiel.

                                                                Le plus souvent, c’est la paternité qui est contestée.

                                                                Quand la filiation établie entre un enfant et son père a été établie par un acte de notoriété (rédigé par un notaire), il est possible de la contester.

                                                                La filiation établie par un acte de notoriété peut être contestée par toute personne qui a un intérêt légitime.

                                                                Par exemple, un héritier du père.

                                                                La filiation peut être contestée dans un délai de 10 ans à compter de la date de l’acte de notoriété.

                                                                La paternité peut être contestée en rapportant la preuve que l’homme reconnu comme père dans l’acte de notoriété n’est pas le père biologique de l’enfant.

                                                                Tous les moyens de preuve sont possibles.

                                                                Une expertise biologique (test de paternité) est le plus souvent ordonnée par le juge.

                                                                Le refus de s’y soumettre peut être interprété par le juge comme un aveu de paternité ou, selon le cas, de non paternité.

                                                                L’action en contestation d’une filiation se déroule devant le tribunal judiciaire, avec l’assistance obligatoire d’un avocat.

                                                                Où s’adresser ?

                                                                 Avocat 

                                                                Si l’enfant est mineur, il doit être représenté par un administrateur ad hoc quand ses intérêts sont en contradiction avec ceux de ses représentants légaux (son ou ses parents).

                                                                Où s’adresser ?

                                                                 Tribunal judiciaire 

                                                                Quand la filiation contestée est remise en cause par le juge, les conséquences sont les suivantes :

                                                                • Annulation rétroactive du lien de filiation

                                                                • Mise à jour automatique des actes d’état civil concernés

                                                                • Disparition des droits et obligations du parent dont la filiation est annulée (autorité parentale, obligation alimentaire, etc.)

                                                                L’annulation de la filiation peut entraîner le changement de nom de l’enfant mineur.

                                                                Si l’enfant est majeur, le changement de nom est possible uniquement avec son consentement.

                                                                À savoir

                                                                dans l’intérêt de l’enfant, le juge peut organiser les conditions de relations avec la personne qui l’élevait auparavant, pour préserver les liens affectifs existants.

                                                              Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

                                                              Faire sa demande en ligne

                                                              Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
                                                              Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

                                                              La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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