Urbanisme

Démarches d’urbanisme

Vous avez un projet de construction, d’extension, de modification, d’aménagement ? Désormais, vous pouvez réaliser votre demande en ligne sur la plateforme du Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU).

Quand faire votre demande ?

Prévoyez de réaliser vos démarches administratives au minimum 2 mois avant le début travaux.

Si votre projet est situé dans un périmètre de protection des monuments historiques, il est conseillé de prendre l’attache de l’Unité départementale de l’architecture et du patrimoine (UDAP) en amont du dépôt du dossier pour définir votre projet : comptez un mois de délai supplémentaire pour l’instruction de votre demande.

Ai-je le droit ?

Tout d’abord, il faut définir le champ d’application de votre demande.
La surface de plancher (SP) ou l’emprise au sol (ES) créées vont définir le champ d’application de l’autorisation à déposer en mairie.

  • PROJET < 5m² SP ou ES = Pas de formalité
  • 5m² SP ou ES > PROJET > 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 20 m² SP ou ES = Permis de construire

Les ravalements de façade, changements de menuiseries, réfection de toiture, édification de clôtures sont soumis au dépôt d’une déclaration préalable. Les démolitions sont soumises à permis de démolir.

Il existe une exception pour les extensions (agrandissement de la construction existante présentant des dimensions inférieures à celle-ci et ayant un lien physique et fonctionnel avec la construction existante.) en zone urbanisée : les zones en U = UC, UX, UR, UZ, US.

  • 5m² SP ou ES < PROJET < 40 m² SP ou ES = Déclaration préalable
  • PROJET > 40 m² SP ou ES = permis de construire

Les piscines ne sont pas soumises aux mêmes règles que les constructions (attention les pool House doivent répondre aux règles de constructions classique).

Bassin non couvert ou couverture inférieure à 1.80m de hauteur :

  • 10m² > Bassin > 100 m² = Déclaration préalable
  • Bassin > 100 m² = Permis de construire

Bassin dont la couverture est supérieure à 1.80 m de haut

  • Permis de construire peu importe la superficie du bassin

Emprise au sol

= Projection verticale au sol de la construction

Surface de plancher

= Ensemble des surfaces closes ET couvertes de plus de 1.80m de hauteur

Quand recourir à un architecte ?

  • Lorsque le permis de construire est déposé par une personne morale (entreprise, société, etc.)
  • Lorsque la surface de plancher dépasse 150 m² pour une construction autre qu’à usage agricole.
  • Lorsque les travaux prévus, sur une construction existante, sont soumis à permis de construire et :
    • Qu’ils conduisent la surface de plancher à dépasser le seuil des 150 m²
    • Ou que la construction existante dépasse déjà les 150 m² de surface de plancher

Quelles formalités à accomplir ?

Contrat de mariage

Vous vous mariez et vous voulez choisir votre régime matrimonial ? Vous devez signer un contrat de mariage. Si vous vous mariez sans contrat, vous êtes soumis au régime de la communauté légale. Si vous souhaitez changer de régime, vous devez aussi établir un contrat. Dans les 2 cas, le recours à un notaire est obligatoire. Voici les informations à connaître.

Mariage

    Si vous signez un contrat de mariage, vous pouvez choisir votre régime matrimonial.

    Si vous ne signez pas de contrat, vous êtes d’office sous le régime légal de la communauté réduite aux acquêts.

    Vous devez signer votre contrat de mariage devant un notaire.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    À noter

    le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française ou s’il exerce une activité en tant qu’indépendant.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour les autres dettes, seul l’époux qui les contracte est engagé.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre d’entre vous de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour le règlement des autres dettes, il est notamment tenu compte de la nature de vos biens, communs ou propres à un seul époux.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    À noter

    Tous les biens étant communs, vos créanciers peuvent exiger le remboursement de vos dettes sur l’ensemble de votre patrimoine.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime matrimonial fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule d’abord l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Rôle du notaire

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Il doit établir le contrat avant la célébration de votre mariage.

    Mieux vaut vous y prendre plusieurs semaines à l’avance.

    Le notaire vous interroge notamment sur les éléments suivants :

    • Vos patrimoines respectifs

    • Présence ou non d’enfants (communs ou non)

    • Vos situations professionnelles.

    Il vous conseille, vous propose une rédaction de contrat, puis procède à l’enregistrement de la version finalement adoptée.

    Les règles suivantes, fixées par la loi, doivent toujours être respectées :

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Coût du contrat de mariage

    Les frais dépendent de l’importance et de la nature des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Dans tous les cas, vous devez vous acquitter des frais suivants :

    • Émoluments du notaire pour l’établissement du contrat de mariage

    • Frais de procédure (droit d’enregistrement, copie authentique, etc.) et de publicité

    • Taxes.

    Les émoluments du notaire sont proportionnels à la valeur des biens mentionnés dans le contrat de mariage, si cette valeur dépasse 30 800 € .

    Jusqu’à ce montant, l’émolument du notaire est fixé à 188,68 € (hors taxes).

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Pour changer de régime, vous devez signer votre nouveau contrat de mariage devant un notaire.

Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

Le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française.

    Vous pouvez faire l’un des choix suivants :

    • Établir un contrat après le mariage si vous vous êtes mariés sans contrat

    • Modifier le contrat existant

    • Changer de régime matrimonial.

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Personnes à informer du projet de changement de régime matrimonial

    Vous devez informer de votre projet de changement de régime matrimonial les personnes suivantes :

    • Représentant d’un enfant mineur sous tutelle

    • Enfants majeurs

    • Créanciers (via un journal d’annonces légales)

    • Personnes qui étaient parties au contrat de mariage éventuel modifié.

    Vos enfants majeurs peuvent s’opposer à la modification du régime matrimonial dans un délai de 3 mois.

    Vos créanciers peuvent s’opposer à la modification dans les 3 mois suivant la publication.

    Ils doivent avertir de leur contestation le notaire qui établit l’acte. Celui-ci vous en informera.

    Homologation du tribunal

    Vous devez demander au tribunal judiciaire de votre domicile l’homologation de votre changement de régime, uniquement en cas d’opposition d’une des personnes suivantes :

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    L’avocat présente une requête au tribunal en votre nom à tous les 2, à laquelle est jointe une copie de l’acte notarié.

    Pour homologuer le nouveau régime, le juge doit apprécier les éléments suivants :

    • Intérêt de la famille

    • Préjudice pour les créanciers.

    Il peut recueillir l’avis des enfants, mais il n’est pas obligé de le suivre.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    Coût du changement de contrat

    Le coût dépend de la valeur des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Vous devez payer les frais suivants :

    • Frais de publicité et de procédure

    • Émoluments du notaire calculés sur la valeur des biens

    • Frais de liquidation du régime matrimonial

    • Frais d’avocat en cas d’homologation devant le tribunal

    • Frais d’information auprès des créanciers et des enfants majeurs.

    Vous pouvez changer de régime, que vous soyez mariés sans contrat ou que vous ayez déjà signé un contrat de mariage.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre de vous 2 de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Contrat de mariage

Vous vous mariez et vous voulez choisir votre régime matrimonial ? Vous devez signer un contrat de mariage. Si vous vous mariez sans contrat, vous êtes soumis au régime de la communauté légale. Si vous souhaitez changer de régime, vous devez aussi établir un contrat. Dans les 2 cas, le recours à un notaire est obligatoire. Voici les informations à connaître.

Mariage

    Si vous signez un contrat de mariage, vous pouvez choisir votre régime matrimonial.

    Si vous ne signez pas de contrat, vous êtes d’office sous le régime légal de la communauté réduite aux acquêts.

    Vous devez signer votre contrat de mariage devant un notaire.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    À noter

    le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française ou s’il exerce une activité en tant qu’indépendant.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour les autres dettes, seul l’époux qui les contracte est engagé.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre d’entre vous de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour le règlement des autres dettes, il est notamment tenu compte de la nature de vos biens, communs ou propres à un seul époux.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    À noter

    Tous les biens étant communs, vos créanciers peuvent exiger le remboursement de vos dettes sur l’ensemble de votre patrimoine.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime matrimonial fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule d’abord l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Rôle du notaire

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Il doit établir le contrat avant la célébration de votre mariage.

    Mieux vaut vous y prendre plusieurs semaines à l’avance.

    Le notaire vous interroge notamment sur les éléments suivants :

    • Vos patrimoines respectifs

    • Présence ou non d’enfants (communs ou non)

    • Vos situations professionnelles.

    Il vous conseille, vous propose une rédaction de contrat, puis procède à l’enregistrement de la version finalement adoptée.

    Les règles suivantes, fixées par la loi, doivent toujours être respectées :

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Coût du contrat de mariage

    Les frais dépendent de l’importance et de la nature des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Dans tous les cas, vous devez vous acquitter des frais suivants :

    • Émoluments du notaire pour l’établissement du contrat de mariage

    • Frais de procédure (droit d’enregistrement, copie authentique, etc.) et de publicité

    • Taxes.

    Les émoluments du notaire sont proportionnels à la valeur des biens mentionnés dans le contrat de mariage, si cette valeur dépasse 30 800 € .

    Jusqu’à ce montant, l’émolument du notaire est fixé à 188,68 € (hors taxes).

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Pour changer de régime, vous devez signer votre nouveau contrat de mariage devant un notaire.

Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

Le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française.

    Vous pouvez faire l’un des choix suivants :

    • Établir un contrat après le mariage si vous vous êtes mariés sans contrat

    • Modifier le contrat existant

    • Changer de régime matrimonial.

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Personnes à informer du projet de changement de régime matrimonial

    Vous devez informer de votre projet de changement de régime matrimonial les personnes suivantes :

    • Représentant d’un enfant mineur sous tutelle

    • Enfants majeurs

    • Créanciers (via un journal d’annonces légales)

    • Personnes qui étaient parties au contrat de mariage éventuel modifié.

    Vos enfants majeurs peuvent s’opposer à la modification du régime matrimonial dans un délai de 3 mois.

    Vos créanciers peuvent s’opposer à la modification dans les 3 mois suivant la publication.

    Ils doivent avertir de leur contestation le notaire qui établit l’acte. Celui-ci vous en informera.

    Homologation du tribunal

    Vous devez demander au tribunal judiciaire de votre domicile l’homologation de votre changement de régime, uniquement en cas d’opposition d’une des personnes suivantes :

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    L’avocat présente une requête au tribunal en votre nom à tous les 2, à laquelle est jointe une copie de l’acte notarié.

    Pour homologuer le nouveau régime, le juge doit apprécier les éléments suivants :

    • Intérêt de la famille

    • Préjudice pour les créanciers.

    Il peut recueillir l’avis des enfants, mais il n’est pas obligé de le suivre.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    Coût du changement de contrat

    Le coût dépend de la valeur des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Vous devez payer les frais suivants :

    • Frais de publicité et de procédure

    • Émoluments du notaire calculés sur la valeur des biens

    • Frais de liquidation du régime matrimonial

    • Frais d’avocat en cas d’homologation devant le tribunal

    • Frais d’information auprès des créanciers et des enfants majeurs.

    Vous pouvez changer de régime, que vous soyez mariés sans contrat ou que vous ayez déjà signé un contrat de mariage.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre de vous 2 de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois pour les travaux portant sur une maison individuelle et ses annexes et de 3 mois pour les autres demandes.

Contrat de mariage

Vous vous mariez et vous voulez choisir votre régime matrimonial ? Vous devez signer un contrat de mariage. Si vous vous mariez sans contrat, vous êtes soumis au régime de la communauté légale. Si vous souhaitez changer de régime, vous devez aussi établir un contrat. Dans les 2 cas, le recours à un notaire est obligatoire. Voici les informations à connaître.

Mariage

    Si vous signez un contrat de mariage, vous pouvez choisir votre régime matrimonial.

    Si vous ne signez pas de contrat, vous êtes d’office sous le régime légal de la communauté réduite aux acquêts.

    Vous devez signer votre contrat de mariage devant un notaire.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    À noter

    le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française ou s’il exerce une activité en tant qu’indépendant.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour les autres dettes, seul l’époux qui les contracte est engagé.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre d’entre vous de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour le règlement des autres dettes, il est notamment tenu compte de la nature de vos biens, communs ou propres à un seul époux.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    À noter

    Tous les biens étant communs, vos créanciers peuvent exiger le remboursement de vos dettes sur l’ensemble de votre patrimoine.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime matrimonial fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule d’abord l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Rôle du notaire

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Il doit établir le contrat avant la célébration de votre mariage.

    Mieux vaut vous y prendre plusieurs semaines à l’avance.

    Le notaire vous interroge notamment sur les éléments suivants :

    • Vos patrimoines respectifs

    • Présence ou non d’enfants (communs ou non)

    • Vos situations professionnelles.

    Il vous conseille, vous propose une rédaction de contrat, puis procède à l’enregistrement de la version finalement adoptée.

    Les règles suivantes, fixées par la loi, doivent toujours être respectées :

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Coût du contrat de mariage

    Les frais dépendent de l’importance et de la nature des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Dans tous les cas, vous devez vous acquitter des frais suivants :

    • Émoluments du notaire pour l’établissement du contrat de mariage

    • Frais de procédure (droit d’enregistrement, copie authentique, etc.) et de publicité

    • Taxes.

    Les émoluments du notaire sont proportionnels à la valeur des biens mentionnés dans le contrat de mariage, si cette valeur dépasse 30 800 € .

    Jusqu’à ce montant, l’émolument du notaire est fixé à 188,68 € (hors taxes).

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Pour changer de régime, vous devez signer votre nouveau contrat de mariage devant un notaire.

Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

Le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française.

    Vous pouvez faire l’un des choix suivants :

    • Établir un contrat après le mariage si vous vous êtes mariés sans contrat

    • Modifier le contrat existant

    • Changer de régime matrimonial.

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Personnes à informer du projet de changement de régime matrimonial

    Vous devez informer de votre projet de changement de régime matrimonial les personnes suivantes :

    • Représentant d’un enfant mineur sous tutelle

    • Enfants majeurs

    • Créanciers (via un journal d’annonces légales)

    • Personnes qui étaient parties au contrat de mariage éventuel modifié.

    Vos enfants majeurs peuvent s’opposer à la modification du régime matrimonial dans un délai de 3 mois.

    Vos créanciers peuvent s’opposer à la modification dans les 3 mois suivant la publication.

    Ils doivent avertir de leur contestation le notaire qui établit l’acte. Celui-ci vous en informera.

    Homologation du tribunal

    Vous devez demander au tribunal judiciaire de votre domicile l’homologation de votre changement de régime, uniquement en cas d’opposition d’une des personnes suivantes :

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    L’avocat présente une requête au tribunal en votre nom à tous les 2, à laquelle est jointe une copie de l’acte notarié.

    Pour homologuer le nouveau régime, le juge doit apprécier les éléments suivants :

    • Intérêt de la famille

    • Préjudice pour les créanciers.

    Il peut recueillir l’avis des enfants, mais il n’est pas obligé de le suivre.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    Coût du changement de contrat

    Le coût dépend de la valeur des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Vous devez payer les frais suivants :

    • Frais de publicité et de procédure

    • Émoluments du notaire calculés sur la valeur des biens

    • Frais de liquidation du régime matrimonial

    • Frais d’avocat en cas d’homologation devant le tribunal

    • Frais d’information auprès des créanciers et des enfants majeurs.

    Vous pouvez changer de régime, que vous soyez mariés sans contrat ou que vous ayez déjà signé un contrat de mariage.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre de vous 2 de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 3 mois.

Contrat de mariage

Vous vous mariez et vous voulez choisir votre régime matrimonial ? Vous devez signer un contrat de mariage. Si vous vous mariez sans contrat, vous êtes soumis au régime de la communauté légale. Si vous souhaitez changer de régime, vous devez aussi établir un contrat. Dans les 2 cas, le recours à un notaire est obligatoire. Voici les informations à connaître.

Mariage

    Si vous signez un contrat de mariage, vous pouvez choisir votre régime matrimonial.

    Si vous ne signez pas de contrat, vous êtes d’office sous le régime légal de la communauté réduite aux acquêts.

    Vous devez signer votre contrat de mariage devant un notaire.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    À noter

    le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française ou s’il exerce une activité en tant qu’indépendant.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour les autres dettes, seul l’époux qui les contracte est engagé.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre d’entre vous de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour le règlement des autres dettes, il est notamment tenu compte de la nature de vos biens, communs ou propres à un seul époux.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    À noter

    Tous les biens étant communs, vos créanciers peuvent exiger le remboursement de vos dettes sur l’ensemble de votre patrimoine.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime matrimonial fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule d’abord l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Rôle du notaire

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Il doit établir le contrat avant la célébration de votre mariage.

    Mieux vaut vous y prendre plusieurs semaines à l’avance.

    Le notaire vous interroge notamment sur les éléments suivants :

    • Vos patrimoines respectifs

    • Présence ou non d’enfants (communs ou non)

    • Vos situations professionnelles.

    Il vous conseille, vous propose une rédaction de contrat, puis procède à l’enregistrement de la version finalement adoptée.

    Les règles suivantes, fixées par la loi, doivent toujours être respectées :

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Coût du contrat de mariage

    Les frais dépendent de l’importance et de la nature des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Dans tous les cas, vous devez vous acquitter des frais suivants :

    • Émoluments du notaire pour l’établissement du contrat de mariage

    • Frais de procédure (droit d’enregistrement, copie authentique, etc.) et de publicité

    • Taxes.

    Les émoluments du notaire sont proportionnels à la valeur des biens mentionnés dans le contrat de mariage, si cette valeur dépasse 30 800 € .

    Jusqu’à ce montant, l’émolument du notaire est fixé à 188,68 € (hors taxes).

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Pour changer de régime, vous devez signer votre nouveau contrat de mariage devant un notaire.

Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

Le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française.

    Vous pouvez faire l’un des choix suivants :

    • Établir un contrat après le mariage si vous vous êtes mariés sans contrat

    • Modifier le contrat existant

    • Changer de régime matrimonial.

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Personnes à informer du projet de changement de régime matrimonial

    Vous devez informer de votre projet de changement de régime matrimonial les personnes suivantes :

    • Représentant d’un enfant mineur sous tutelle

    • Enfants majeurs

    • Créanciers (via un journal d’annonces légales)

    • Personnes qui étaient parties au contrat de mariage éventuel modifié.

    Vos enfants majeurs peuvent s’opposer à la modification du régime matrimonial dans un délai de 3 mois.

    Vos créanciers peuvent s’opposer à la modification dans les 3 mois suivant la publication.

    Ils doivent avertir de leur contestation le notaire qui établit l’acte. Celui-ci vous en informera.

    Homologation du tribunal

    Vous devez demander au tribunal judiciaire de votre domicile l’homologation de votre changement de régime, uniquement en cas d’opposition d’une des personnes suivantes :

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    L’avocat présente une requête au tribunal en votre nom à tous les 2, à laquelle est jointe une copie de l’acte notarié.

    Pour homologuer le nouveau régime, le juge doit apprécier les éléments suivants :

    • Intérêt de la famille

    • Préjudice pour les créanciers.

    Il peut recueillir l’avis des enfants, mais il n’est pas obligé de le suivre.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    Coût du changement de contrat

    Le coût dépend de la valeur des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Vous devez payer les frais suivants :

    • Frais de publicité et de procédure

    • Émoluments du notaire calculés sur la valeur des biens

    • Frais de liquidation du régime matrimonial

    • Frais d’avocat en cas d’homologation devant le tribunal

    • Frais d’information auprès des créanciers et des enfants majeurs.

    Vous pouvez changer de régime, que vous soyez mariés sans contrat ou que vous ayez déjà signé un contrat de mariage.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre de vous 2 de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Le recours à un architecte est obligatoire lorsque la surface de plancher de la future construction dépasse 150 m², lorsque le permis est déposé par une personne morale (exemple : SCI, SARL, …) ou que les travaux sur une construction existante conduisent la surface de plancher ou l’emprise au sol à dépasser le seuil des 150 m².

Le délai d’instruction de droit commun est de 2 mois.

Contrat de mariage

Vous vous mariez et vous voulez choisir votre régime matrimonial ? Vous devez signer un contrat de mariage. Si vous vous mariez sans contrat, vous êtes soumis au régime de la communauté légale. Si vous souhaitez changer de régime, vous devez aussi établir un contrat. Dans les 2 cas, le recours à un notaire est obligatoire. Voici les informations à connaître.

Mariage

    Si vous signez un contrat de mariage, vous pouvez choisir votre régime matrimonial.

    Si vous ne signez pas de contrat, vous êtes d’office sous le régime légal de la communauté réduite aux acquêts.

    Vous devez signer votre contrat de mariage devant un notaire.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    À noter

    le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française ou s’il exerce une activité en tant qu’indépendant.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour les autres dettes, seul l’époux qui les contracte est engagé.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre d’entre vous de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Toutes les dettes que l’un de vous 2 contracte vous engagent tous les 2 si elles portent sur l’une des obligations suivantes :

    • Entretien du ménage

    • Éducation des enfants.

    Pour le règlement des autres dettes, il est notamment tenu compte de la nature de vos biens, communs ou propres à un seul époux.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    À noter

    Tous les biens étant communs, vos créanciers peuvent exiger le remboursement de vos dettes sur l’ensemble de votre patrimoine.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime matrimonial fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule d’abord l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Rôle du notaire

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Il doit établir le contrat avant la célébration de votre mariage.

    Mieux vaut vous y prendre plusieurs semaines à l’avance.

    Le notaire vous interroge notamment sur les éléments suivants :

    • Vos patrimoines respectifs

    • Présence ou non d’enfants (communs ou non)

    • Vos situations professionnelles.

    Il vous conseille, vous propose une rédaction de contrat, puis procède à l’enregistrement de la version finalement adoptée.

    Les règles suivantes, fixées par la loi, doivent toujours être respectées :

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Coût du contrat de mariage

    Les frais dépendent de l’importance et de la nature des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Dans tous les cas, vous devez vous acquitter des frais suivants :

    • Émoluments du notaire pour l’établissement du contrat de mariage

    • Frais de procédure (droit d’enregistrement, copie authentique, etc.) et de publicité

    • Taxes.

    Les émoluments du notaire sont proportionnels à la valeur des biens mentionnés dans le contrat de mariage, si cette valeur dépasse 30 800 € .

    Jusqu’à ce montant, l’émolument du notaire est fixé à 188,68 € (hors taxes).

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Pour changer de régime, vous devez signer votre nouveau contrat de mariage devant un notaire.

Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

Le notaire a une obligation de conseil à votre égard. C’est particulièrement important si l’un de vous n’est pas de nationalité française.

    Vous pouvez faire l’un des choix suivants :

    • Établir un contrat après le mariage si vous vous êtes mariés sans contrat

    • Modifier le contrat existant

    • Changer de régime matrimonial.

    Vous devez vous adresser à un notaire.

    Où s’adresser ?

     Notaire 

    Personnes à informer du projet de changement de régime matrimonial

    Vous devez informer de votre projet de changement de régime matrimonial les personnes suivantes :

    • Représentant d’un enfant mineur sous tutelle

    • Enfants majeurs

    • Créanciers (via un journal d’annonces légales)

    • Personnes qui étaient parties au contrat de mariage éventuel modifié.

    Vos enfants majeurs peuvent s’opposer à la modification du régime matrimonial dans un délai de 3 mois.

    Vos créanciers peuvent s’opposer à la modification dans les 3 mois suivant la publication.

    Ils doivent avertir de leur contestation le notaire qui établit l’acte. Celui-ci vous en informera.

    Homologation du tribunal

    Vous devez demander au tribunal judiciaire de votre domicile l’homologation de votre changement de régime, uniquement en cas d’opposition d’une des personnes suivantes :

    L’assistance d’un avocat est obligatoire.

    L’avocat présente une requête au tribunal en votre nom à tous les 2, à laquelle est jointe une copie de l’acte notarié.

    Pour homologuer le nouveau régime, le juge doit apprécier les éléments suivants :

    • Intérêt de la famille

    • Préjudice pour les créanciers.

    Il peut recueillir l’avis des enfants, mais il n’est pas obligé de le suivre.

    Où s’adresser ?

     Tribunal judiciaire 

    Où s’adresser ?

     Avocat 

    Coût du changement de contrat

    Le coût dépend de la valeur des biens mobiliers ou immobiliers qui sont mentionnés dans le contrat.

    Vous devez payer les frais suivants :

    • Frais de publicité et de procédure

    • Émoluments du notaire calculés sur la valeur des biens

    • Frais de liquidation du régime matrimonial

    • Frais d’avocat en cas d’homologation devant le tribunal

    • Frais d’information auprès des créanciers et des enfants majeurs.

    Vous pouvez changer de régime, que vous soyez mariés sans contrat ou que vous ayez déjà signé un contrat de mariage.

    Vous pouvez adopter l’un des régimes matrimoniaux prévus par la loi ou choisir des règles plus adaptées.

    Séparation de biens

    Vos patrimoines restent séparés.

    Vous conservez l’administration, la jouissance et la libre disposition de vos biens personnels.

    À noter

    en fonction de votre situation, vous pouvez faire le choix de clauses adaptées (mise en commun de certains biens par exemple).

    Communauté d’acquêts aménagée

    Vous pouvez adopter le régime de la communauté de meubles et d’acquêts ou le régime de la communauté réduite aux acquêts, mais en modifiant certaines clauses.

    Vous pouvez, par exemple, souhaiter intégrer les éléments suivants :

    • Partage inégal des biens communs entre vous 2

    • Possibilité de rachat par l’un ou l’autre de vous 2 de tout ou partie des biens de l’autre, selon un prix ou des règles fixées à l’avance.

    Communauté universelle

    Tous vos biens (mobiliers ou immobiliers, présents et à venir) sont communs.

    Vous pouvez intégrer ou non une clause d’attribution intégrale de la communauté à l’époux survivant en cas de décès.

    Participation aux acquêts

    Pendant la durée du mariage, ce régime fonctionne comme si vous étiez mariés sous le régime de la séparation de biens.

    À la dissolution de l’union (divorce ou décès), le notaire calcule l’enrichissement de chacun de vous 2 durant le mariage. Il est ensuite partagé de façon équitable entre vous 2.

    Celui qui s’est le moins enrichi a droit à une créance de participation.

    À noter

    un régime de participation aux acquêts spécifique vous est ouvert si vous êtes un couple franco-allemand. Il est aussi accessible plus largement, notamment aux couples de Français ou d’Allemands qui vivent en Allemagne ou en France.

    Le mariage cesse dans les cas suivants :

    Les biens sont partagés en fonction des règles prévues par votre régime matrimonial (on parle de la liquidation du régime matrimonial ).

    L’époux condamné (comme auteur ou complice) pour avoir volontairement donné ou tenté de donner la mort à son époux, ou pour avoir volontairement commis des violences ayant entraîné la mort de son époux sans intention de la donner, est automatiquement déchu des avantages que lui donnent le régime matrimonial.

    L’époux peut aussi être déchu des avantages liés à son régime matrimonial s’il a été condamné dans l’un des cas suivants :

    • Tortures, actes de barbarie, violences volontaires, viol ou agression sexuelle envers son époux

    • Témoignage mensonger porté contre son époux dans une procédure criminelle

    • Abstention volontaire d’empêcher un crime ou un délit contre l’intégrité corporelle de son époux qui en est décédé

    • Dénonciation calomnieuse contre son époux concernant des faits criminels.

    À savoir

    La déchéance doit être prononcée par le tribunal judiciaire.

Pour les travaux portant sur des bâtiments accueillant du public (commerces, restaurants …) se référer à la page spécifique.

Faire sa demande en ligne

Désormais pour réaliser vos démarches d’urbanisme, la commune met à votre disposition un service en ligne, le Guichet numérique des autorisations d’urbanisme (GNAU) sécurisé, gratuit et facilement accessible.
Il vous permet d’accéder aux formulaires en ligne, de remplir la demande d’autorisation d’urbanisme nécessaire et de joindre les annexes puis de télétransmettre le dossier de demande à la commune.

La cellule urbanisme restent vos interlocuteurs privilégiés pour vous accompagner tout au long de la procédure. N’hésitez pas à les solliciter dès la construction de votre dossier : urbanisme01@ussel19.fr

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