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Etat civil
PACS
Traitement de la toxicomanie
La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.
Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).
De plus, la justice peut ordonner des soins.
Nous vous présentons les informations à connaître.
Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues
Assurent un accueil collectif et individuel
Mettent à disposition de matériel de prévention des infections
Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues
Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)
Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.
Services médicaux spécialisés
Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)
Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.
Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).
L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.
Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.
L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.
Structures hospitalières
Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).
Ces structures sont de plus ou moins grande importance.
Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.
Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)
Les Caarud :
Haltes soins addictions (HSA)
Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.
Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.
Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).
Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).
Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.
Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.
Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.
Ou d’une peine complémentaire
Ou d’un sursis avec mise à l’épreuve.
La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.
Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.
L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :
Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).
Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.
Addictions
- Drogues.gouv.fr
Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) - Drogues info service
Source : Santé publique France
-
Drogues info service
Par téléphone
0 800 23 13 13 (appel gratuit et anonyme)
Ouvert de 8h à 2h, 7 jours/7
Informations sur les drogues, l’alcool, les dépendances y compris la dépendance aux jeux.
Écoute, soutien, conseils et orientations.
Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.
Par internet
Accès à la rubrique Vos questions / Nos réponses pour poser des questions aux professionnels du service
Par chat
Ouvert :
De 14h à minuit du lundi au vendredi
Et de 14h à 20h le samedi et le dimanche.
- Code de la santé publique : articles L3411-1 à L3411-6
Mesures de lutte contre la toxicomanie - Code de la santé publique : article L3411-9
Caarud - Code de la santé publique : articles D3121-33 à D3121-33-6
Missions des Caarud - Code de la santé publique : articles L3412-1 à L3412-3
Signalement par les services sociaux - Code de la santé publique : articles L3413-1 à L3413-4
Signalement par l’autorité judiciaire - Code de la santé publique : articles R3413-1 à R3413-9
Médecins relais - Loi n°2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé (article 43)
Expérimentation des salles de consommation à moindre risque - Arrêté du 26 janvier 2022 portant approbation du cahier des charges national relatif aux « haltes “soins addictions” »
- Arrêté du 5 mai 2017 fixant la liste des médicaments pouvant être dispensés dans les centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques et des dommages pour usagers de drogues
Traitement de la toxicomanie
La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.
Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).
De plus, la justice peut ordonner des soins.
Nous vous présentons les informations à connaître.
Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues
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Mettent à disposition de matériel de prévention des infections
Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues
Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)
Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.
Services médicaux spécialisés
Centres de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie (CSAPA)
Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.
Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).
L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.
Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.
L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.
Structures hospitalières
Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).
Ces structures sont de plus ou moins grande importance.
Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.
Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)
Les Caarud :
Haltes soins addictions (HSA)
Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.
Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.
Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).
Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).
Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.
Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.
Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.
Ou d’une peine complémentaire
Ou d’un sursis avec mise à l’épreuve.
La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.
Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.
L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :
Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).
Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.
Addictions
- Drogues.gouv.fr
Source : Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (Mildeca) - Drogues info service
Source : Santé publique France
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Mesures de lutte contre la toxicomanie - Code de la santé publique : article L3411-9
Caarud - Code de la santé publique : articles D3121-33 à D3121-33-6
Missions des Caarud - Code de la santé publique : articles L3412-1 à L3412-3
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Signalement par l’autorité judiciaire - Code de la santé publique : articles R3413-1 à R3413-9
Médecins relais - Loi n°2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé (article 43)
Expérimentation des salles de consommation à moindre risque - Arrêté du 26 janvier 2022 portant approbation du cahier des charges national relatif aux « haltes “soins addictions” »
- Arrêté du 5 mai 2017 fixant la liste des médicaments pouvant être dispensés dans les centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques et des dommages pour usagers de drogues
Traitement de la toxicomanie
La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.
Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).
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Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).
L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.
Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.
L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.
Structures hospitalières
Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).
Ces structures sont de plus ou moins grande importance.
Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.
Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)
Les Caarud :
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Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.
Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.
Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).
Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).
Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.
Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.
Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.
Ou d’une peine complémentaire
Ou d’un sursis avec mise à l’épreuve.
La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.
Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.
L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :
Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).
Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.
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Vous pouvez appeler que vous soyez concerné directement ou indirectement par une consommation de drogues.
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Missions des Caarud - Code de la santé publique : articles L3412-1 à L3412-3
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Médecins relais - Loi n°2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé (article 43)
Expérimentation des salles de consommation à moindre risque - Arrêté du 26 janvier 2022 portant approbation du cahier des charges national relatif aux « haltes “soins addictions” »
- Arrêté du 5 mai 2017 fixant la liste des médicaments pouvant être dispensés dans les centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques et des dommages pour usagers de drogues
Traitement de la toxicomanie
La toxicomanie terme désigne la dépendance aux drogues : cannabis, héroïne, cocaïne, par exemple.
Cette dépendance peut se traiter à l’initiative de la personne toxicomane elle-même ou à la suite d’un signalement d’un professionnel (médecin ou assistante sociale).
De plus, la justice peut ordonner des soins.
Nous vous présentons les informations à connaître.
Proposent une information et un conseil personnalisé pour usagers de drogues
Assurent un accueil collectif et individuel
Mettent à disposition de matériel de prévention des infections
Développent des actions de médiation sociale pour assurer une bonne intégration dans le quartier et de prévenir les nuisances liées à l’usage de drogues
Peuvent délivrer certains médicaments (exemple : eau pour préparations injectales)
Assurent un soutien aux usagers. Par exemple, soutien dans l’accès aux soins, l’accès aux droits, l’accès au logement et à l’insertion ou réinsertion professionnelle.
Services médicaux spécialisés
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Les CSAPA permettent de faire le point avec un professionnel sur les difficultés rencontrées.
Ils proposent un accompagnement vers l’arrêt ou la consommation modérée de drogues ou vers un traitement de substitution (pour les personnes dépendantes aux opiacés).
L’usager pourra choisir l’accompagnement qui lui convient le mieux.
Il pourra notamment opter pour un sevrage ambulatoire (c’est-à-dire sans hospitalisation) ou hospitalier en étant accueilli dans un service partenaire.
L’accompagnement proposé par le CSAPA peut se poursuivre durant toute la durée du sevrage, y compris hospitalier, et au-delà. En effet, la personne sevrée peut continuer à être accueillie dans le cadre d’entretiens ou d’ateliers spécifiques visant à consolider son arrêt.
Structures hospitalières
Il existe également une prise en charge ambulatoire dans des structures hospitalières (unités hospitalières d’addictologie).
Ces structures sont de plus ou moins grande importance.
Elles proposent des consultations externes, du type de ce que peuvent proposer les CSAPA.
Centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques (Caarud)
Les Caarud :
Haltes soins addictions (HSA)
Les HSA sont ouvertes par certains CSAPA et les Caarud jusqu’au 31 décembre 2025.
Ils se situent au sein même des CSAPA et des Caarud ou dans des locaux distincts ou structures mobiles.
Le but est d’aider les usagers majeurs de drogues qui veulent des conseils pour réduire les risques (par exemple : surdose, infection).
Ils peuvent consommer dans des conditions sécurisées et être accompagnés pour les questions liées à la santé (par exemple, rechercher un médecin traitant, obtenir une aide psychiatrique, bénéficier d’un sevrage).
Si l’examen révèle une dépendance, la personne doit suivre une cure de désintoxication dans l’établissement de son choix. Sinon, l’ARS peut en désigner un d’office.
Si l’examen médical ne révèle pas de dépendance, la personne est invitée à demeurer sous surveillance médicale. Cette surveillance sera effectuée soit par un médecin choisi par le directeur général de l’ARS, soit par un dispensaire d’hygiène sociale ou un établissement agréé, public ou privé.
Un médecin ou une assistante sociale peut signaler le cas d’une personne toxicomane à l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS ordonne ensuite la réalisation d’une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale de la personne et demande un examen médical.
Ou d’une peine complémentaire
Ou d’un sursis avec mise à l’épreuve.
La justice peut demander à un ou une toxicomane de se faire soigner.
Ces soins sont appelés injonction thérapeutique (ou injonction de soins ). Ils peuvent comprendre une cure de désintoxication.
L’injonction peut être ordonnée dans le cadre :
Le magistrat ou le tribunal qui a prononcé l’injonction thérapeutique en informe l’Agence régionale de santé (ARS).
L’ARS fait procéder à l’examen médical de l’intéressé par un médecin désigné en tant que médecin relais (et éventuellement à une enquête sur la vie familiale, professionnelle et sociale du toxicomane).
Le professionnel de santé désigné fait connaître à l’autorité judiciaire son avis sur l’opportunité de la mesure d’injonction thérapeutique.
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Mesures de lutte contre la toxicomanie - Code de la santé publique : article L3411-9
Caarud - Code de la santé publique : articles D3121-33 à D3121-33-6
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Signalement par l’autorité judiciaire - Code de la santé publique : articles R3413-1 à R3413-9
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Expérimentation des salles de consommation à moindre risque - Arrêté du 26 janvier 2022 portant approbation du cahier des charges national relatif aux « haltes “soins addictions” »
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Services municipaux
Pôle Affaires Générales | Service État civil
Horaires : Lundi au vendredi : 8h30 -12h / 13h-17h
Mardi : 8h30-12h / 13h30-18h30