Services municipaux
Service propreté urbaine
Adresse: Rue du château d'eau
Horaires :
Du lundi au vendredi
8h30-12h / 13h30-17h
La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.
C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.
Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :
Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.
Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.
Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).
Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.
Le CSP permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé, de bénéficier, après la rupture du contrat de travail, d’un ensemble de mesures lui permettant un reclassement accéléré proposé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Le CSP peut-il être proposé dans toutes les entreprises ? Quelle est l’indemnisation du salarié pendant le CSP ? Le salarié touche-t-il des indemnités par l’employeur s’il accepte le CSP ?
Nous faisons un point sur la réglementation.
Les conditions d’application du CSP varient en fonction de l’ancienneté du salarié : plus d’un an d’ancienneté ou moins.
Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.
L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.
Le CSP doit être proposé.
L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.
Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.
Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.
Le salarié en CDI dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.
Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.
Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.
La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.
Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.
Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.
Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.
L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :
Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la Dreets
Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets
Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.
Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.
La date de remise au salarié du document d’information et la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.
Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.
L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.
Si le salarié refuse d’adhérer au CSP, l’employeur notifie le licenciement.
Le salarié perçoit, s’il remplit les conditions, les indemnités suivantes :
Le salarié peut percevoir l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions.
Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.
L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.
La durée du CSP est de 12 mois maximum.
Indemnité de licenciement
Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.
Indemnité compensatrice de préavis
Le salarié ne perçoit pas d’indemnité compensatrice de préavis, puisque le contrat est rompu dès la fin du délai de réflexion pour accepter le CSP.
L’employeur verse à France Travail (anciennement Pôle emploi) l’équivalent de l’indemnité que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.
Si le montant du préavis est supérieur à 3 mois de salaire, la part d’indemnité supérieure à ces 3 mois sera versée au salarié par l’employeur dès la fin de son contrat de travail.
Le salarié a droit au versement de l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP).
Le salarié bénéficie d’une allocation dont le montant équivaut à 75 % du salaire journalier de référence.
Cette allocation est au moins équivalent au montant de l’allocation de retour à l’emploi (ARE) que le salarié aurait perçu en cas de licenciement sans CSP.
Il est possible d’estimer le montant des allocations chômage en utilisant un simulateur :
Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :
Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation
Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi
Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP
Reprise d’activité en CDD d’au moins 6 mois ou en CDI
Si, à la fin du CSP, le salarié est toujours à la recherche d’un emploi, il peut percevoir l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE).
L’ARE est versée sans différé d’indemnisation, ni délai d’attente.
La durée de l’indemnisation est réduite du nombre de jours durant lesquels le salarié a perçu l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP).
Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.
L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.
Le CSP doit être proposé.
L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.
Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.
Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.
Le salarié en CDI dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.
Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.
Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.
La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.
Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.
Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.
Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.
L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :
Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la Dreets
Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets
Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.
Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.
La date de remise au salarié du document d’information ainsi que la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.
Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.
L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.
Si le salarié refuse d’adhérer au CSP, l’employeur notifie le licenciement.
Le salarié perçoit, s’il remplit les conditions, les indemnités suivantes :
Le salarié peut percevoir l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions.
Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.
L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.
La durée du CSP est de 12 mois maximum.
Indemnité de licenciement
Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.
Indemnité compensatrice de préavis
Le salarié perçoit une indemnité compensatrice de préavis.
Le montant de l’indemnité correspond à ce que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.
Le salarié a droit au versement de l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP)
Son montant équivaut au montant de l’allocation de retour à l’emploi (ARE).
Il est possible d’estimer le montant des allocations chômage en utilisant ce simulateur :
Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :
Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation
Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi
Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP
Reprise d’activité en CDD d’au moins 6 mois ou en CDI
Si, à la fin du CSP, le salarié est toujours à la recherche d’un emploi, il peut percevoir l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE).
L’ARE est versée sans différé d’indemnisation, ni délai d’attente.
La durée de l’indemnisation est réduite du nombre de jours durant lesquels le salarié a perçu l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP).
Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d’emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l’embauche
Par téléphone
39 95
Du lundi au samedi de 7h30 à 20h
Numéro gris ou banalisé : coût d’un appel vers un fixe et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile
Depuis l’étranger et pour les entreprises frontalières, composer le +33 1 77 86 39 95
Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.
De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.
L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.
Le CSP permet au salarié dont le licenciement économique est envisagé, de bénéficier, après la rupture du contrat de travail, d’un ensemble de mesures lui permettant un reclassement accéléré proposé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Le CSP peut-il être proposé dans toutes les entreprises ? Quelle est l’indemnisation du salarié pendant le CSP ? Le salarié touche-t-il des indemnités par l’employeur s’il accepte le CSP ?
Nous faisons un point sur la réglementation.
Les conditions d’application du CSP varient en fonction de l’ancienneté du salarié : plus d’un an d’ancienneté ou moins.
Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.
L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.
Le CSP doit être proposé.
L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.
Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.
Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.
Le salarié en CDI dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.
Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.
Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.
La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.
Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.
Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.
Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.
L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :
Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la Dreets
Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets
Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.
Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.
La date de remise au salarié du document d’information et la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.
Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.
L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.
Si le salarié refuse d’adhérer au CSP, l’employeur notifie le licenciement.
Le salarié perçoit, s’il remplit les conditions, les indemnités suivantes :
Le salarié peut percevoir l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions.
Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.
L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.
La durée du CSP est de 12 mois maximum.
Indemnité de licenciement
Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.
Indemnité compensatrice de préavis
Le salarié ne perçoit pas d’indemnité compensatrice de préavis, puisque le contrat est rompu dès la fin du délai de réflexion pour accepter le CSP.
L’employeur verse à France Travail (anciennement Pôle emploi) l’équivalent de l’indemnité que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.
Si le montant du préavis est supérieur à 3 mois de salaire, la part d’indemnité supérieure à ces 3 mois sera versée au salarié par l’employeur dès la fin de son contrat de travail.
Le salarié a droit au versement de l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP).
Le salarié bénéficie d’une allocation dont le montant équivaut à 75 % du salaire journalier de référence.
Cette allocation est au moins équivalent au montant de l’allocation de retour à l’emploi (ARE) que le salarié aurait perçu en cas de licenciement sans CSP.
Il est possible d’estimer le montant des allocations chômage en utilisant un simulateur :
Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :
Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation
Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi
Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP
Reprise d’activité en CDD d’au moins 6 mois ou en CDI
Si, à la fin du CSP, le salarié est toujours à la recherche d’un emploi, il peut percevoir l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE).
L’ARE est versée sans différé d’indemnisation, ni délai d’attente.
La durée de l’indemnisation est réduite du nombre de jours durant lesquels le salarié a perçu l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP).
Le CSP permet à certains salariés concernés par une procédure de licenciement économique de bénéficier d’un ensemble de mesures destinées à favoriser un retour accéléré vers l’emploi.
L’obligation pour l’employeur de proposer le CSP diffère selon l’effectif de l’entreprise. Toutefois, en cas de liquidation ou de redressement judiciaire, le CSP est obligatoirement proposé.
Le CSP doit être proposé.
L’entreprise ne propose pas le bénéfice du CSP.
Toutefois, l’entreprise doit proposer le congé de reclassement.
Le CSP doit être proposé si l’entreprise est en redressement ou liquidation judiciaire.
Le salarié en CDI dont le licenciement économique est envisagé peut bénéficier du CSP.
Le moment de la proposition du CSP diffère en fonction du nombre de salarié licencié sur une période de 30 jours.
Le CSP est proposé au cours de l’entretien préalable au licenciement.
La moment de la proposition du CSP diffère en fonction de l’effectif de l’entreprise.
Le moment de la proposition du CSP diffère selon la présence ou non d’un CSE dans l’entreprise.
Le document d’information du CSP est remis à chaque salarié concerné, contre récépissé, à la fin de la dernière réunion de consultation des représentants élus du personnel.
Si l’entreprise ne dispose pas d’un CSE, l’employeur remet le document d’information du CSP lors de l’entretien préalable au licenciement.
L’employeur remet le document d’information du CSP à chaque salarié concerné, contre récépissé, au lendemain de la notification :
Soit de la décision de validation de l’accord collectif par la Dreets
Soit de la décision d’homologation du document unilatéral de l’employeur par la Dreets
Oui, le salarié bénéficie d’un délai de réflexion de 21 jours calendaires.
Le point de départ du délai de réflexion est le lendemain du jour de la remise du document d’information du CSP par l’employeur.
La date de remise au salarié du document d’information ainsi que la date de fin du délai de réflexion de 21 jours après la remise de ce document d’information sont indiquées par l’employeur sur le bulletin d’acceptation du CSP.
Pendant ce délai de réflexion, le salarié peut bénéficier d’un entretien d’information réalisé par France Travail (anciennement Pôle emploi).
Lors de cet entretien, il sera notamment vérifié si le salarié peut bénéficier du dispositif CSP. Le salarié est informé du montant de l’allocation de sécurisation professionnelle.
L’écrit qui énonce la cause de la rupture doit être remis au salarié au cours de la procédure de licenciement et au plus tard au moment de l’acceptation du CSP.
Si le salarié refuse d’adhérer au CSP, l’employeur notifie le licenciement.
Le salarié perçoit, s’il remplit les conditions, les indemnités suivantes :
Le salarié peut percevoir l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE) s’il remplit les conditions.
Si le salarié accepte de bénéficier du CSP, son contrat de travail est rompu d’un commun accord à la date de fin du délai de réflexion.
L’employeur remet les documents de fin de contrat au salarié.
La durée du CSP est de 12 mois maximum.
Indemnité de licenciement
Le salarié perçoit l’indemnité de licenciement s’il remplit les conditions d’ancienneté.
Indemnité compensatrice de préavis
Le salarié perçoit une indemnité compensatrice de préavis.
Le montant de l’indemnité correspond à ce que le salarié aurait dû percevoir en cas de licenciement sans CSP.
Le salarié a droit au versement de l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP)
Son montant équivaut au montant de l’allocation de retour à l’emploi (ARE).
Il est possible d’estimer le montant des allocations chômage en utilisant ce simulateur :
Le CSP prend fin avant son terme si le salarié est dans l’une des situations suivantes :
Refus (sans motif légitime) d’une action de reclassement et de formation
Refus à 2 reprises d’une offre raisonnable d’emploi
Déclarations inexactes ou présentation de fausses attestations afin de bénéficier du CSP
Reprise d’activité en CDD d’au moins 6 mois ou en CDI
Si, à la fin du CSP, le salarié est toujours à la recherche d’un emploi, il peut percevoir l’allocation chômage d’aide au retour à l’emploi (ARE).
L’ARE est versée sans différé d’indemnisation, ni délai d’attente.
La durée de l’indemnisation est réduite du nombre de jours durant lesquels le salarié a perçu l’allocation de sécurisation professionnelle (ASP).
Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d’emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l’embauche
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Vous êtes propriétaire ou locataire ?
Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.
De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.
L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.
Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
Les contrevenants s’exposent à une contravention.
Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.
En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.
Services municipaux
Adresse: Rue du château d'eau
Horaires :
Du lundi au vendredi
8h30-12h / 13h30-17h