Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Saisie-appréhension : livraison ou restitution d’un bien

Grâce à une saisie-appréhension, vous pouvez obtenir la restitution ou la livraison forcée du bien que vous réclamez. Une saisie-appréhension peut être nécessaire, par exemple, lorsqu’un magasin refuse de vous livrer un objet que vous avez déjà payé ou lorsqu’une personne, une fois livrée, ne paie pas le reliquat (c’est-à-dire la somme restant due).

Les règles de la saisie-appréhension diffèrent selon que vous avez ou non un titre exécutoire ordonnant de remettre le bien.

Saisies et recouvrements

Si vous n’avez pas de titre exécutoire ordonnant la remise du bien, alors vous devez demander au juge une injonction de délivrer ou de restituer.

Vous devez faire votre demande par requête et fournir la description du bien réclamé et tous les documents justificatifs.

Le juge compétent est le juge de l’exécution du tribunal dont dépend le domicile du débiteur.

Si le juge accepte votre demande, il rend une ordonnance d’injonction de remettre le bien.

Vous devez charger le commissaire de justice (anciennement huissier de justice et commissaire-priseur judiciaire) de signifier l’ordonnance au débiteur.

La signification contient une sommation.

Elle donne un délai de 15 jours au débiteur pour :

  • Soit transporter à ses frais le bien dans le lieu et aux conditions indiquées dans la sommation

  • Soit contester l’ordonnance auprès du greffe du juge, par déclaration contre récépissé ou par lettre recommandée avec accusé de réception

Si le débiteur n’a pas remis le bien dans le délai de 15 jours, vous pouvez demander au greffe l’apposition de la formule exécutoire sur l’ordonnance.

L’ordonnance devient alors un titre exécutoire.

La suite de la procédure diffère selon que le débiteur est ou non détenteur du bien.

Le commissaire de justice a moins de 2 mois après que l’ordonnance a été rendue exécutoire pour la présenter au débiteur.

Après la saisie du bien, le commissaire de justice rédige un acte d’appréhension du bien.

Il le remet au débiteur.

    Vous devez suivre la procédure prévue en cas de possession d’un titre exécutoire.

        Vous devez saisir le juge dans un délai de 2 mois à partir de la signification de l’ordonnance pour qu’il statue sur la délivrance ou la restitution du bien.

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

          Vous avez un titre exécutoire ordonnant la remise du bien, alors vous pouvez directement vous adresser à un commissaire de justice.

          Le déroulement de la procédure diffère selon que le débiteur est en possession du bien ou que le bien est détenu par une autre personne pour le compte du débiteur.

          Le commissaire de justice signifie au débiteur un commandement de restituer ou de délivrer.

          Ce document indique notamment les informations suivantes :

          • Obligation de transporter le bien dans un délai de 8 jours, dans les conditions et lieu indiqués (si le débiteur ne s’y soumet pas, le bien sera saisi à ses frais)

          • Possibilité de contester le commandement devant le juge de l’exécution du lieu où le débiteur a son domicile

          À savoir

          si le débiteur est présent et qu’il refuse de transporter le bien à ses frais, le commissaire de justice peut saisir le bien immédiatement. Dans ce cas, le commissaire de justice n’a pas besoin de présenter de commandement préalable, la présentation du titre exécutoire suffit.

          Après le remise (ou la saisie) du bien, le commissaire de justice rédige un acte de remise volontaire ou d’appréhension du bien. Cet acte est remis au débiteur.

            Vous devez demander au juge de l’exécution une autorisation spéciale délivrée sur requête.

            Le juge compétent est le juge de l’exécution du lieu où habite le tiers.

            Le commissaire de justice peut procéder à la saisie du bien sur la seule présentation du titre exécutoire et de l’autorisation spéciale.

            Un acte d’appréhension est ensuite adressé au tiers et au débiteur.

              Si le bien est détenu par une autre personne que la débiteur (un tiers ), le commissaire de justice doit signifier à cette personne une sommation de remettre le bien et envoyer la copie de cette sommation au débiteur.

              La sommation doit notamment contenir les éléments suivants :

              • Obligation, dans un délai de 8 jour, de remettre le bien ou de transmettre au commissaire de justice les raisons de son refus de remettre le bien

              • Possibilité de contester la sommation

              Si le bien n’est pas remis volontairement dans le délai de 8 jours, vous pouvez demander au juge de l’exécution du lieu où habite le tiers d’ordonner la remise du bien. Vous devez faire cette démarche dans un délai d’un mois après la sommation.

              Si le juge ordonne la remise, le bien pourra être saisi.

              Un acte d’appréhension est ensuite adressé au tiers et au débiteur.

                  Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
                  Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

                  De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

                  L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
                  La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

                  Saisie-appréhension : livraison ou restitution d’un bien

                  Grâce à une saisie-appréhension, vous pouvez obtenir la restitution ou la livraison forcée du bien que vous réclamez. Une saisie-appréhension peut être nécessaire, par exemple, lorsqu’un magasin refuse de vous livrer un objet que vous avez déjà payé ou lorsqu’une personne, une fois livrée, ne paie pas le reliquat (c’est-à-dire la somme restant due).

                  Les règles de la saisie-appréhension diffèrent selon que vous avez ou non un titre exécutoire ordonnant de remettre le bien.

                  Saisies et recouvrements

                  Si vous n’avez pas de titre exécutoire ordonnant la remise du bien, alors vous devez demander au juge une injonction de délivrer ou de restituer.

                  Vous devez faire votre demande par requête et fournir la description du bien réclamé et tous les documents justificatifs.

                  Le juge compétent est le juge de l’exécution du tribunal dont dépend le domicile du débiteur.

                  Si le juge accepte votre demande, il rend une ordonnance d’injonction de remettre le bien.

                  Vous devez charger le commissaire de justice (anciennement huissier de justice et commissaire-priseur judiciaire) de signifier l’ordonnance au débiteur.

                  La signification contient une sommation.

                  Elle donne un délai de 15 jours au débiteur pour :

                  • Soit transporter à ses frais le bien dans le lieu et aux conditions indiquées dans la sommation

                  • Soit contester l’ordonnance auprès du greffe du juge, par déclaration contre récépissé ou par lettre recommandée avec accusé de réception

                  Si le débiteur n’a pas remis le bien dans le délai de 15 jours, vous pouvez demander au greffe l’apposition de la formule exécutoire sur l’ordonnance.

                  L’ordonnance devient alors un titre exécutoire.

                  La suite de la procédure diffère selon que le débiteur est ou non détenteur du bien.

                  Le commissaire de justice a moins de 2 mois après que l’ordonnance a été rendue exécutoire pour la présenter au débiteur.

                  Après la saisie du bien, le commissaire de justice rédige un acte d’appréhension du bien.

                  Il le remet au débiteur.

                    Vous devez suivre la procédure prévue en cas de possession d’un titre exécutoire.

                        Vous devez saisir le juge dans un délai de 2 mois à partir de la signification de l’ordonnance pour qu’il statue sur la délivrance ou la restitution du bien.

                        Où s’adresser ?

                         Tribunal judiciaire 

                          Vous avez un titre exécutoire ordonnant la remise du bien, alors vous pouvez directement vous adresser à un commissaire de justice.

                          Le déroulement de la procédure diffère selon que le débiteur est en possession du bien ou que le bien est détenu par une autre personne pour le compte du débiteur.

                          Le commissaire de justice signifie au débiteur un commandement de restituer ou de délivrer.

                          Ce document indique notamment les informations suivantes :

                          • Obligation de transporter le bien dans un délai de 8 jours, dans les conditions et lieu indiqués (si le débiteur ne s’y soumet pas, le bien sera saisi à ses frais)

                          • Possibilité de contester le commandement devant le juge de l’exécution du lieu où le débiteur a son domicile

                          À savoir

                          si le débiteur est présent et qu’il refuse de transporter le bien à ses frais, le commissaire de justice peut saisir le bien immédiatement. Dans ce cas, le commissaire de justice n’a pas besoin de présenter de commandement préalable, la présentation du titre exécutoire suffit.

                          Après le remise (ou la saisie) du bien, le commissaire de justice rédige un acte de remise volontaire ou d’appréhension du bien. Cet acte est remis au débiteur.

                            Vous devez demander au juge de l’exécution une autorisation spéciale délivrée sur requête.

                            Le juge compétent est le juge de l’exécution du lieu où habite le tiers.

                            Le commissaire de justice peut procéder à la saisie du bien sur la seule présentation du titre exécutoire et de l’autorisation spéciale.

                            Un acte d’appréhension est ensuite adressé au tiers et au débiteur.

                              Si le bien est détenu par une autre personne que la débiteur (un tiers ), le commissaire de justice doit signifier à cette personne une sommation de remettre le bien et envoyer la copie de cette sommation au débiteur.

                              La sommation doit notamment contenir les éléments suivants :

                              • Obligation, dans un délai de 8 jour, de remettre le bien ou de transmettre au commissaire de justice les raisons de son refus de remettre le bien

                              • Possibilité de contester la sommation

                              Si le bien n’est pas remis volontairement dans le délai de 8 jours, vous pouvez demander au juge de l’exécution du lieu où habite le tiers d’ordonner la remise du bien. Vous devez faire cette démarche dans un délai d’un mois après la sommation.

                              Si le juge ordonne la remise, le bien pourra être saisi.

                              Un acte d’appréhension est ensuite adressé au tiers et au débiteur.

                                  Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                                  Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                                  De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                                  L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                                  Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                                  Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                                  Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                                  En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

                                  Contact