Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Habitat contenant de l’amiante

Dans les immeubles construits avant le 1er juillet 1997, le propriétaire ou le syndicat de copropriétaires a l’obligation de faire vérifier l’état des matériaux et produits pouvant contenir de l’amiante. Les maisons individuelles ne sont pas concernées. Ces vérifications doivent être réalisées par un professionnel du bâtiment. Des sanctions sont prévues si les vérifications n’ont pas été faites.

    Il s’agit des immeubles construits avant le 1er juillet 1997.

    Les maisons individuelles ne sont pas concernées.

    Lorsqu’il s’agit d’un immeuble en copropriété, les vérifications sont faites sur les parties communes et privatives.

    Le professionnel doit rechercher la présence d’amiante dans  les matériaux et produits de la liste A et B .

    Liste A

    Matériaux et produits à examiner

    Exemples

    Flocages

    Revêtement présentant un aspect fibreux

    Calorifugeages

    Revêtement servant d’isolant thermique

    Faux plafonds

    Revêtement généralement constitué d’une armature suspendue et d’un remplissage de panneaux légers

    Liste B

    Matériaux et produits à examiner

    Exemples

    Parois verticales intérieures (murs, cloisons, poteaux…)

    Enduits, plaques, menuiserie, coffrage, panneaux de cloisons

    Planchers, plafonds, poutres et charpentes, gaines et coffres

    Panneaux collés ou vissés, dalles de sol

    Conduits, canalisations et équipements intérieurs (vide-ordures, par exemple)

    Conduits (eau, air), clapets, volets, joints

    Éléments extérieurs

    Toitures, bardages et façades légères (plaques, ardoises), conduits en toiture

    Le professionnel doit également évaluer l’état de conservation des matériaux et produits qui contiennent de l’amiante.

    Enfin, il doit évaluer le risque de dégradation sur leur environnement des matériaux et produits de la liste B.

    Après les vérifications, le professionnel réalise un rapport.

    Ce rapport peut préconiser certaines actions :

    • Évaluation périodique de l’état de conservation des matériaux et produits contenant de l’amiante

    • Mesure d’empoussièrement dans l’atmosphère pour déterminer la concentration d’amiante

    • Travaux de confinement ou de retrait d’amiante

    Ce rapport est transmis au propriétaire de l’immeuble ou au syndicat de copropriétaires par lettre recommandée avec avis de réception.

    En cas de préconisation de travaux de confinement ou de retrait d’amiante, le professionnel doit transmettre une copie de son rapport au préfet du département du lieu de l’immeuble.

    Le propriétaire de l’immeuble ou le syndic de copropriété doit constituer un dossier intitulé dossier technique amiante (DTA) dans lequel y est inclut le rapport du professionnel qui a réalisé les vérifications.

    Le DTA doit être mis à jour par le propriétaire de l’immeuble ou le syndic de copropriété. Par exemple, en cas de complément de repérage d’amiante ou évaluation périodique de l’état de conservation des matériaux et produits contenant de l’amiante.

    Il est mis à disposition des occupants sur leur demande.

    Il doit être communiqué aux personnes chargées d’organiser ou d’effectuer des travaux sur l’immeuble. Le propriétaire ou le syndic de copropriété conserve une attestation écrite de la communication du DTA à ces personnes.

    Le préfet peut prendre certaines mesures à l’égard du propriétaire ou du syndicat de copropriétaires si les mesures préconisées dans le rapport du professionnel (dont il a reçu une copie) n’ont pas été respectées :

    • Il peut obliger le propriétaire ou le syndicat de copropriétaires à faire exécuter des travaux de désamiantage dans un délai qu’il fixe

    • ll peut faire condamner le propriétaire ou le syndicat de copropriétaires à payer une amende d’au maximum 1 500 €

Risques sanitaires et sécurité du logement

Comment faire si…

Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

Habitat contenant de l’amiante

Dans les immeubles construits avant le 1er juillet 1997, le propriétaire ou le syndicat de copropriétaires a l’obligation de faire vérifier l’état des matériaux et produits pouvant contenir de l’amiante. Les maisons individuelles ne sont pas concernées. Ces vérifications doivent être réalisées par un professionnel du bâtiment. Des sanctions sont prévues si les vérifications n’ont pas été faites.

    Il s’agit des immeubles construits avant le 1er juillet 1997.

    Les maisons individuelles ne sont pas concernées.

    Lorsqu’il s’agit d’un immeuble en copropriété, les vérifications sont faites sur les parties communes et privatives.

    Le professionnel doit rechercher la présence d’amiante dans  les matériaux et produits de la liste A et B .

    Liste A

    Matériaux et produits à examiner

    Exemples

    Flocages

    Revêtement présentant un aspect fibreux

    Calorifugeages

    Revêtement servant d’isolant thermique

    Faux plafonds

    Revêtement généralement constitué d’une armature suspendue et d’un remplissage de panneaux légers

    Liste B

    Matériaux et produits à examiner

    Exemples

    Parois verticales intérieures (murs, cloisons, poteaux…)

    Enduits, plaques, menuiserie, coffrage, panneaux de cloisons

    Planchers, plafonds, poutres et charpentes, gaines et coffres

    Panneaux collés ou vissés, dalles de sol

    Conduits, canalisations et équipements intérieurs (vide-ordures, par exemple)

    Conduits (eau, air), clapets, volets, joints

    Éléments extérieurs

    Toitures, bardages et façades légères (plaques, ardoises), conduits en toiture

    Le professionnel doit également évaluer l’état de conservation des matériaux et produits qui contiennent de l’amiante.

    Enfin, il doit évaluer le risque de dégradation sur leur environnement des matériaux et produits de la liste B.

    Après les vérifications, le professionnel réalise un rapport.

    Ce rapport peut préconiser certaines actions :

    • Évaluation périodique de l’état de conservation des matériaux et produits contenant de l’amiante

    • Mesure d’empoussièrement dans l’atmosphère pour déterminer la concentration d’amiante

    • Travaux de confinement ou de retrait d’amiante

    Ce rapport est transmis au propriétaire de l’immeuble ou au syndicat de copropriétaires par lettre recommandée avec avis de réception.

    En cas de préconisation de travaux de confinement ou de retrait d’amiante, le professionnel doit transmettre une copie de son rapport au préfet du département du lieu de l’immeuble.

    Le propriétaire de l’immeuble ou le syndic de copropriété doit constituer un dossier intitulé dossier technique amiante (DTA) dans lequel y est inclut le rapport du professionnel qui a réalisé les vérifications.

    Le DTA doit être mis à jour par le propriétaire de l’immeuble ou le syndic de copropriété. Par exemple, en cas de complément de repérage d’amiante ou évaluation périodique de l’état de conservation des matériaux et produits contenant de l’amiante.

    Il est mis à disposition des occupants sur leur demande.

    Il doit être communiqué aux personnes chargées d’organiser ou d’effectuer des travaux sur l’immeuble. Le propriétaire ou le syndic de copropriété conserve une attestation écrite de la communication du DTA à ces personnes.

    Le préfet peut prendre certaines mesures à l’égard du propriétaire ou du syndicat de copropriétaires si les mesures préconisées dans le rapport du professionnel (dont il a reçu une copie) n’ont pas été respectées :

    • Il peut obliger le propriétaire ou le syndicat de copropriétaires à faire exécuter des travaux de désamiantage dans un délai qu’il fixe

    • ll peut faire condamner le propriétaire ou le syndicat de copropriétaires à payer une amende d’au maximum 1 500 €

Risques sanitaires et sécurité du logement

Comment faire si…

Vous êtes propriétaire ou locataire ?
Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
Les contrevenants s’exposent à une contravention.

Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

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