Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Qu’est-ce que le recel de vol ?

Le recel de vol est le fait de cacher ou garder une chose volée par quelqu’un d’autre. C’est aussi le fait de donner ou de servir d’intermédiaire pour donner une chose volée, tirer profit de la chose volée. La personne coupable de recel risque les mêmes peines que le voleur. Nous vous présentons les informations à connaître.

    Le recel de vol est la détention, la transmission, la vente ou l’achat d’un bien que l’on sait volé.

    Par exemple, une personne achète un téléphone portable en sachant qu’il est issu d’un «  vol à la tire  » c’est-à-dire qu’il a été tiré de la poche de la victime.

    L’auteur du recel de vol doit savoir que la chose provient d’un vol. Il est appelé le « receleur » .

    Le recel est différent de la complicité de vol. Par exemple, une personne qui garde le butin d’un cambriolage sans y avoir participé est coupable de recel, et non de complicité de vol. Le receleur intervient uniquement après la commission du vol.

    Le recel est aussi le fait de bénéficier de l’argent de la vente d’un objet volé.

    Le recel ne concerne pas la personne de bonne foi qui achète un bien d’occasion en pensant qu’il appartient au revendeur. La bonne foi de l’acheteur sera examinée au cours de l’enquête ou du procès.

    Le recel de vol est puni de 5 ans de prison et de 375 000 € d’amende.

    Le recel de vol aggravé est puni plus sévèrement : 10 ans de prison et 750 000 € d’amende. Cette peine s’applique lorsqu’il est commis de manière habituelle, en utilisant les facilités données par une profession ou en bande organisée.

    Le receleur peut être puni d’une amende supérieure à 375 000 € et qui peut aller jusqu’à la moitié de la valeur des objets recelés. C’est le cas lorsque ces objets ont une valeur supérieure à l’amende maximale encourue.

    Des peines complémentaires peuvent être prononcées, comme par exemple la confiscation de l’objet volé, l’interdiction d’exercer une fonction publique, une activité professionnelle, d’avoir une arme.

    Dans tous les cas, le receleur peut être condamné à réparer le préjudice subi par la victime, tout comme le voleur.

    À noter

    Si le voleur n’a pas été identifié ou trouvé, le receleur peut tout de même être condamné pour recel.

    Le délai de prescription du recel de vol est de 6 ans. Ce délai commence à courir à partir du jour où le receleur ne détient plus l’objet volé.

    Dépôt de plainte

    Si vous êtes victime, vous pouvez déposer plainte contre l’auteur des faits. Si vous ne connaissez pas son identité, vous pouvez porter plainte contre X. Le dépôt de plainte peut se faire même si l’auteur des faits se trouve à l’étranger.

    Pour déposer plainte, vous devez vous rendre au commissariat de police ou à la gendarmerie de votre choix.

    Où s’adresser ?

     Commissariat 

    Où s’adresser ?

     Gendarmerie 

    Les services de police ou de gendarmerie sont obligés d’enregistrer votre plainte si vous êtes victime d’une infraction.

    La plainte est ensuite transmise au procureur de la République pour qu’il décide de la suite (enquête, classement sans suite, etc.).

      Si vous ne connaissez pas l’auteur des faits, vous pouvez remplir une plainte en ligne :

      En fonction des éléments déclarés, vous pouvez être contacté par un policier ou un gendarme pour venir compléter votre déclaration en commissariat ou en gendarmerie.

      Votre déclaration est traitée par un agent. Il détermine si elle remplit les conditions pour faire l’objet d’un procès verbal de plainte.

      Si votre déclaration est acceptée, vous êtes informé qu’une copie numérique du procès-verbal de plainte est mise en ligne.

      Sinon, vous recevez un mail vous indiquant le motif du rejet de votre déclaration.

      Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

      Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l’infraction ou du domicile de l’auteur de l’infraction.

      Où s’adresser ?

       Tribunal judiciaire 

      Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

      • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

      • Récit détaillé des faits, date et lieu de l’infraction

      • Nom de l’auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

      • Nom et adresse des éventuels témoins de l’infraction

      • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

      • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats, etc.

      Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

      Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception, par lettre simple ou par lettre suivie.

      Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l’accueil du tribunal.

      Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

      Vous pouvez être assisté par un avocat si vous le souhaitez.

      Où s’adresser ?

       Avocat 

      À noter

      Si vous avez de faibles ressources, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour payer les frais d’un avocat en totalité ou en partie.

      Vous disposez d’un délai de 6 ans pour déposer plainte.

      Ce délai de prescription commence le dernier jour où l’infraction est commise (c’est-à-dire le jour où le suspect s’est séparé de l’objet du vol).

      Quand vous avez déposé plainte, un service de police ou de gendarmerie est chargé d’enquêter. La décision finale sur l’orientation de la plainte est prise par le procureur de la République.

      Demande de réparation du préjudice

      Vous pouvez demander des pour la réparation du préjudice que le vol vous a causé en vous constituant partie civile à la suite du dépôt de plainte.

      Vous pouvez réclamer une copie du procès-verbal de déposition de plainte.

      Le préjudice à réparer concerne aussi bien l’objet du vol (s’il ne peut pas être restitué) que les dommages annexes (porte fracturée, préjudice moral…).

      Demande de restitution de l’objet volé

      Le bien peut se trouver chez la personne auteur du recel de vol ou avoir été vendu.

      En fonction de la bonne ou de la mauvaise foi de l’acheteur, la démarche à effectuer pour la restitution de l’objet est différente. Seul le véritable propriétaire peut la faire.

      Si l’objet a été retrouvé au cours de l’enquête de police ou de gendarmerie chez l’auteur du recel, vous pouvez demander sa restitution pendant l’enquête.

        Une personne ayant acheté un objet qui a été volé peut être considérée de bonne foi si elle prouve qu’elle ignorait l’origine illégale du bien. Par exemple, c’est le cas si le produit était emballé et que le vendeur a présenté des factures.

        Le propriétaire peut réclamer son objet à l’acheteur, pendant 3 ans à partir du jour du vol.

        Si l’achat a été fait dans une foire, un marché, une vente publique ou chez un marchand vendant ce type d’objet, le propriétaire devra rembourser à l’acheteur le prix qu’il a payé.

        En cas de litige, le propriétaire peut engager une action en justice pour réclamer la restitution de son bien et faire évaluer le montant du remboursement pour l’acheteur.

        La juridiction compétente dépend des sommes en jeu dans le litige.

        • Pour un litige inférieur ou égal à 10 000 € , c’est le tribunal de proximité ou le tribunal judiciaire.

        • Pour un litige supérieur à 10 000 € , c’est le tribunal judiciaire.

        Où s’adresser ?

         Tribunal judiciaire 

          Si l’acheteur est de mauvaise foi, c’est-à-dire qu’il connaît l’origine douteuse du bien, le propriétaire pourra demander la restitution de son bien.

          Il pourra la demander à tout moment, que ce soit au cours de l’enquête de police ou de gendarmerie ou après le procès au tribunal s’il y a eu des poursuites engagées.

          Le tribunal peut refuser la restitution judiciaire lorsque celle-ci présente un danger pour les personnes, les biens ou lorsque le bien saisi a servi à commettre l’infraction.

          Le propriétaire peut demander des dommages-intérêts au revendeur de son bien, s’il prouve que le revendeur était au courant de son origine douteuse.

          Il faut utiliser le formulaire et l’envoyer au tribunal.

          Où s’adresser ?

           Tribunal judiciaire 

        Vol – Vandalisme – Escroquerie

          • Pour s’informer :
            116 006 – Numéro d’aide aux victimes

            Écoute, informe et conseille les victimes d’infractions ainsi que leurs proches.

            Par téléphone

            116 006

            Appel gratuit

            Ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 19h

            Le service est également accessible en composant le +33 (0)1 80 52 33 76 (numéro à tarification normale).

            Par courriel

            victimes@france-victimes.fr

          • Pour être assisté :
             Avocat 

          Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
          Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

          De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

          L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
          La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

          Qu’est-ce que le recel de vol ?

          Le recel de vol est le fait de cacher ou garder une chose volée par quelqu’un d’autre. C’est aussi le fait de donner ou de servir d’intermédiaire pour donner une chose volée, tirer profit de la chose volée. La personne coupable de recel risque les mêmes peines que le voleur. Nous vous présentons les informations à connaître.

            Le recel de vol est la détention, la transmission, la vente ou l’achat d’un bien que l’on sait volé.

            Par exemple, une personne achète un téléphone portable en sachant qu’il est issu d’un «  vol à la tire  » c’est-à-dire qu’il a été tiré de la poche de la victime.

            L’auteur du recel de vol doit savoir que la chose provient d’un vol. Il est appelé le « receleur » .

            Le recel est différent de la complicité de vol. Par exemple, une personne qui garde le butin d’un cambriolage sans y avoir participé est coupable de recel, et non de complicité de vol. Le receleur intervient uniquement après la commission du vol.

            Le recel est aussi le fait de bénéficier de l’argent de la vente d’un objet volé.

            Le recel ne concerne pas la personne de bonne foi qui achète un bien d’occasion en pensant qu’il appartient au revendeur. La bonne foi de l’acheteur sera examinée au cours de l’enquête ou du procès.

            Le recel de vol est puni de 5 ans de prison et de 375 000 € d’amende.

            Le recel de vol aggravé est puni plus sévèrement : 10 ans de prison et 750 000 € d’amende. Cette peine s’applique lorsqu’il est commis de manière habituelle, en utilisant les facilités données par une profession ou en bande organisée.

            Le receleur peut être puni d’une amende supérieure à 375 000 € et qui peut aller jusqu’à la moitié de la valeur des objets recelés. C’est le cas lorsque ces objets ont une valeur supérieure à l’amende maximale encourue.

            Des peines complémentaires peuvent être prononcées, comme par exemple la confiscation de l’objet volé, l’interdiction d’exercer une fonction publique, une activité professionnelle, d’avoir une arme.

            Dans tous les cas, le receleur peut être condamné à réparer le préjudice subi par la victime, tout comme le voleur.

            À noter

            Si le voleur n’a pas été identifié ou trouvé, le receleur peut tout de même être condamné pour recel.

            Le délai de prescription du recel de vol est de 6 ans. Ce délai commence à courir à partir du jour où le receleur ne détient plus l’objet volé.

            Dépôt de plainte

            Si vous êtes victime, vous pouvez déposer plainte contre l’auteur des faits. Si vous ne connaissez pas son identité, vous pouvez porter plainte contre X. Le dépôt de plainte peut se faire même si l’auteur des faits se trouve à l’étranger.

            Pour déposer plainte, vous devez vous rendre au commissariat de police ou à la gendarmerie de votre choix.

            Où s’adresser ?

             Commissariat 

            Où s’adresser ?

             Gendarmerie 

            Les services de police ou de gendarmerie sont obligés d’enregistrer votre plainte si vous êtes victime d’une infraction.

            La plainte est ensuite transmise au procureur de la République pour qu’il décide de la suite (enquête, classement sans suite, etc.).

              Si vous ne connaissez pas l’auteur des faits, vous pouvez remplir une plainte en ligne :

              En fonction des éléments déclarés, vous pouvez être contacté par un policier ou un gendarme pour venir compléter votre déclaration en commissariat ou en gendarmerie.

              Votre déclaration est traitée par un agent. Il détermine si elle remplit les conditions pour faire l’objet d’un procès verbal de plainte.

              Si votre déclaration est acceptée, vous êtes informé qu’une copie numérique du procès-verbal de plainte est mise en ligne.

              Sinon, vous recevez un mail vous indiquant le motif du rejet de votre déclaration.

              Vous pouvez déposer plainte auprès du procureur de la République.

              Pour cela, vous devez envoyer un courrier au tribunal judiciaire du lieu de l’infraction ou du domicile de l’auteur de l’infraction.

              Où s’adresser ?

               Tribunal judiciaire 

              Votre courrier doit préciser les éléments suivants :

              • Votre état civil et vos coordonnées complètes (adresse et numéro de téléphone)

              • Récit détaillé des faits, date et lieu de l’infraction

              • Nom de l’auteur supposé si vous le connaissez (sinon, la plainte sera déposée contre X)

              • Nom et adresse des éventuels témoins de l’infraction

              • Description et estimation provisoire ou définitive du préjudice

              • Vos documents de preuve : certificats médicaux, arrêts de travail, photographies, vidéos, factures diverses, constats, etc.

              Vous pouvez utiliser le modèle de courrier suivant :

              Vous pouvez envoyer votre plainte en lettre recommandée avec accusé de réception, par lettre simple ou par lettre suivie.

              Vous pouvez aussi déposer votre plainte directement à l’accueil du tribunal.

              Dans tous les cas, un récépissé vous est remis dès que les services du procureur de la République ont enregistré votre plainte.

              Vous pouvez être assisté par un avocat si vous le souhaitez.

              Où s’adresser ?

               Avocat 

              À noter

              Si vous avez de faibles ressources, vous pouvez demander à bénéficier de l’aide juridictionnelle pour payer les frais d’un avocat en totalité ou en partie.

              Vous disposez d’un délai de 6 ans pour déposer plainte.

              Ce délai de prescription commence le dernier jour où l’infraction est commise (c’est-à-dire le jour où le suspect s’est séparé de l’objet du vol).

              Quand vous avez déposé plainte, un service de police ou de gendarmerie est chargé d’enquêter. La décision finale sur l’orientation de la plainte est prise par le procureur de la République.

              Demande de réparation du préjudice

              Vous pouvez demander des pour la réparation du préjudice que le vol vous a causé en vous constituant partie civile à la suite du dépôt de plainte.

              Vous pouvez réclamer une copie du procès-verbal de déposition de plainte.

              Le préjudice à réparer concerne aussi bien l’objet du vol (s’il ne peut pas être restitué) que les dommages annexes (porte fracturée, préjudice moral…).

              Demande de restitution de l’objet volé

              Le bien peut se trouver chez la personne auteur du recel de vol ou avoir été vendu.

              En fonction de la bonne ou de la mauvaise foi de l’acheteur, la démarche à effectuer pour la restitution de l’objet est différente. Seul le véritable propriétaire peut la faire.

              Si l’objet a été retrouvé au cours de l’enquête de police ou de gendarmerie chez l’auteur du recel, vous pouvez demander sa restitution pendant l’enquête.

                Une personne ayant acheté un objet qui a été volé peut être considérée de bonne foi si elle prouve qu’elle ignorait l’origine illégale du bien. Par exemple, c’est le cas si le produit était emballé et que le vendeur a présenté des factures.

                Le propriétaire peut réclamer son objet à l’acheteur, pendant 3 ans à partir du jour du vol.

                Si l’achat a été fait dans une foire, un marché, une vente publique ou chez un marchand vendant ce type d’objet, le propriétaire devra rembourser à l’acheteur le prix qu’il a payé.

                En cas de litige, le propriétaire peut engager une action en justice pour réclamer la restitution de son bien et faire évaluer le montant du remboursement pour l’acheteur.

                La juridiction compétente dépend des sommes en jeu dans le litige.

                • Pour un litige inférieur ou égal à 10 000 € , c’est le tribunal de proximité ou le tribunal judiciaire.

                • Pour un litige supérieur à 10 000 € , c’est le tribunal judiciaire.

                Où s’adresser ?

                 Tribunal judiciaire 

                  Si l’acheteur est de mauvaise foi, c’est-à-dire qu’il connaît l’origine douteuse du bien, le propriétaire pourra demander la restitution de son bien.

                  Il pourra la demander à tout moment, que ce soit au cours de l’enquête de police ou de gendarmerie ou après le procès au tribunal s’il y a eu des poursuites engagées.

                  Le tribunal peut refuser la restitution judiciaire lorsque celle-ci présente un danger pour les personnes, les biens ou lorsque le bien saisi a servi à commettre l’infraction.

                  Le propriétaire peut demander des dommages-intérêts au revendeur de son bien, s’il prouve que le revendeur était au courant de son origine douteuse.

                  Il faut utiliser le formulaire et l’envoyer au tribunal.

                  Où s’adresser ?

                   Tribunal judiciaire 

                Vol – Vandalisme – Escroquerie

                  • Pour s’informer :
                    116 006 – Numéro d’aide aux victimes

                    Écoute, informe et conseille les victimes d’infractions ainsi que leurs proches.

                    Par téléphone

                    116 006

                    Appel gratuit

                    Ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 19h

                    Le service est également accessible en composant le +33 (0)1 80 52 33 76 (numéro à tarification normale).

                    Par courriel

                    victimes@france-victimes.fr

                  • Pour être assisté :
                     Avocat 

                  Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                  Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                  De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                  L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                  Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                  Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                  Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                  En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

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