Propreté urbaine

La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.

C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.

Un service dédié pour un cadre de vie agréable

Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :

  • Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
  • Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
  • Saler et déneiger les chaussées en hiver,
  • Ramasser les feuilles mortes et désherber,
  • Entretenir le mobilier urbain.

Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.

Des gestes simples dans mon quotidien

Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.

Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).

Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.

Comment faire rectifier une erreur dans une décision de justice civile ?

Si vous constatez une erreur ou un oubli dans une décision de justice en matière civile, vous pouvez demander sa rectification. Il est pour cela nécessaire de présenter une requête en rectification d’erreur ou omission matérielle. En général, la rectification doit être faite par le tribunal qui a commis l’erreur. Nous vous présentons les informations à connaître.

    L’erreur ou l’omission doit être purement matérielle. Elle doit résulter d’un fait involontaire du juge (inadvertance, maladresse d’expression ou de rédaction).

    L’erreur ou l’omission doit provenir du tribunal ou de la cour qui a rendu la décision.

    Une erreur ou omission provenant de l’exposé des prétentions des parties (demandeur ou défendeur), puis reprise par le juge, peut parfois également être rectifiée. Par exemple, le juge reprend telle quelle une conversion erronée de devises étrangères en euros contenue dans les conclusions d’une partie.

    L’erreur rectifiable est essentiellement celle qui se trouve dans le dispositif de la décision de justice.

    Exemples d’erreur matérielle

    • Faute de frappe sur le nom d’une partie ou modifiant le sens d’une phrase

    • Faute de calcul

    • Oubli ou ajout par erreur d’un mot

    • Erreur de date

    Exemples d’omission matérielle

    • Oubli de mots ou d’une phrase dans la version originale du jugement (aussi appelée minute ) du moment qu’il s’agit d’une défaillance dans la rédaction

    • Oubli d’une partie de la décision dans le dispositif alors que la demande a été examinée par le juge dans les motifs du jugement

    • Oubli dans le calcul de dommages et intérêts d’une provision déjà versée

    • Oubli du nom d’un juge ayant participé aux débats

    • Oubli de l’indexation d’une pension alimentaire ou une prestation compensatoire

    Ce qui n’est pas une erreur matérielle

    L’erreur n’est pas matérielle quand il s’agit d’une des situations suivantes :

    • Faute d’appréciation des faits

    • Faute d’interprétation ou d’application de la règle de droit

    • Anomalie dans le raisonnement

    Dans ce cas, seules les voies de recours classiques (appel et cassation) sont ouvertes.

    Vous devez déposer votre demande devant le tribunal qui a rendu la décision même si elle est passée en force de chose jugée.

      Si un appel est en cours, vous devez déposer la demande devant la cour d’appel à partir du moment où l’affaire a été mise au rôle (inscrite par le greffier au registre des affaires en cours).

      Si la décision d’appel est rendue, la cour d’appel reste compétente pour recevoir votre demande de rectification.

        La juridiction qui a rendu la décision à rectifier reste compétente.

        Exceptionnellement, la Cour de cassation est compétente pour rectifier une contradiction entre les motifs et le dispositif d’une décision lorsque cette contradiction provient d’une erreur matérielle.

          Qui peut saisir le tribunal ?

          Vous pouvez demander la rectification d’une erreur matérielle si vous êtes une partie (demandeur ou défendeur) dans la décision à corriger.

          Le juge peut également se saisir lui même de la rectification sans une demande de votre part ou de la part de votre adversaire.

          Faut-il un avocat ?

          Vous devez prendre un avocat si l’avocat était déjà obligatoire dans la procédure ayant donné lieu à la décision à rectifier. Si l’avocat n’était pas obligatoire, vous pouvez toutefois en prendre un.

          Où s’adresser ?

           Avocat 

          Comment saisir le tribunal ?

          Vous pouvez saisir le juge au moyen d’une requête simple ou conjointe.

          La requête peut être dématérialisée quand la procédure initiale était ouverte à la requête en ligne (par exemple une requête devant le juge aux affaires familiales).

          Il n’y a pas de délai. Vous pouvez saisir le tribunal à tout moment.

          Le juge statue après avoir convoqué les parties (demandeurs et défendeurs) à une audience afin que chacun puisse faire valoir ses observations sur l’erreur ou l’omission.

          Lorsqu’il est saisi par requête, le juge statue sans audience à moins qu’il n’estime nécessaire d’entendre les parties.

          Une nouvelle décision qui corrige l’erreur est rendue.

          Cette décision rectificative est mentionnée en marge de la décision originale (ou minute).

          À noter

          À partir de ce moment, si vous avez à utiliser votre décision de justice, vous devez présenter la décision initiale accompagnée de la décision rectificative.

          Vous devez régler les éventuels honoraires de votre avocat.

          En revanche, les tels que les dépens sont généralement à la charge de la juridiction.

          Vous pouvez faire appel ou former un pourvoi en cassation.

            Vous pouvez faire appel de la décision rectificative si l’appel contre la décision rectifiée est encore possible.

            Sinon, vous pouvez faire appel si vous estimez que le juge a excédé son pouvoir (lorsque le juge a porté atteinte à l’autorité de la chose jugée en rectifiant la décision).

            Vous pouvez vous pourvoir en cassation si le pourvoi contre la décision rectifiée est possible ou quand le juge a commis un excès de pouvoir.

            Si la décision rectifiée est passée en force de chose jugée, la décision rectificative ne peut être attaquée que par un recours en cassation.

            Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
            Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.

            De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.

            L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
            La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.

            Comment faire rectifier une erreur dans une décision de justice civile ?

            Si vous constatez une erreur ou un oubli dans une décision de justice en matière civile, vous pouvez demander sa rectification. Il est pour cela nécessaire de présenter une requête en rectification d’erreur ou omission matérielle. En général, la rectification doit être faite par le tribunal qui a commis l’erreur. Nous vous présentons les informations à connaître.

              L’erreur ou l’omission doit être purement matérielle. Elle doit résulter d’un fait involontaire du juge (inadvertance, maladresse d’expression ou de rédaction).

              L’erreur ou l’omission doit provenir du tribunal ou de la cour qui a rendu la décision.

              Une erreur ou omission provenant de l’exposé des prétentions des parties (demandeur ou défendeur), puis reprise par le juge, peut parfois également être rectifiée. Par exemple, le juge reprend telle quelle une conversion erronée de devises étrangères en euros contenue dans les conclusions d’une partie.

              L’erreur rectifiable est essentiellement celle qui se trouve dans le dispositif de la décision de justice.

              Exemples d’erreur matérielle

              • Faute de frappe sur le nom d’une partie ou modifiant le sens d’une phrase

              • Faute de calcul

              • Oubli ou ajout par erreur d’un mot

              • Erreur de date

              Exemples d’omission matérielle

              • Oubli de mots ou d’une phrase dans la version originale du jugement (aussi appelée minute ) du moment qu’il s’agit d’une défaillance dans la rédaction

              • Oubli d’une partie de la décision dans le dispositif alors que la demande a été examinée par le juge dans les motifs du jugement

              • Oubli dans le calcul de dommages et intérêts d’une provision déjà versée

              • Oubli du nom d’un juge ayant participé aux débats

              • Oubli de l’indexation d’une pension alimentaire ou une prestation compensatoire

              Ce qui n’est pas une erreur matérielle

              L’erreur n’est pas matérielle quand il s’agit d’une des situations suivantes :

              • Faute d’appréciation des faits

              • Faute d’interprétation ou d’application de la règle de droit

              • Anomalie dans le raisonnement

              Dans ce cas, seules les voies de recours classiques (appel et cassation) sont ouvertes.

              Vous devez déposer votre demande devant le tribunal qui a rendu la décision même si elle est passée en force de chose jugée.

                Si un appel est en cours, vous devez déposer la demande devant la cour d’appel à partir du moment où l’affaire a été mise au rôle (inscrite par le greffier au registre des affaires en cours).

                Si la décision d’appel est rendue, la cour d’appel reste compétente pour recevoir votre demande de rectification.

                  La juridiction qui a rendu la décision à rectifier reste compétente.

                  Exceptionnellement, la Cour de cassation est compétente pour rectifier une contradiction entre les motifs et le dispositif d’une décision lorsque cette contradiction provient d’une erreur matérielle.

                    Qui peut saisir le tribunal ?

                    Vous pouvez demander la rectification d’une erreur matérielle si vous êtes une partie (demandeur ou défendeur) dans la décision à corriger.

                    Le juge peut également se saisir lui même de la rectification sans une demande de votre part ou de la part de votre adversaire.

                    Faut-il un avocat ?

                    Vous devez prendre un avocat si l’avocat était déjà obligatoire dans la procédure ayant donné lieu à la décision à rectifier. Si l’avocat n’était pas obligatoire, vous pouvez toutefois en prendre un.

                    Où s’adresser ?

                     Avocat 

                    Comment saisir le tribunal ?

                    Vous pouvez saisir le juge au moyen d’une requête simple ou conjointe.

                    La requête peut être dématérialisée quand la procédure initiale était ouverte à la requête en ligne (par exemple une requête devant le juge aux affaires familiales).

                    Il n’y a pas de délai. Vous pouvez saisir le tribunal à tout moment.

                    Le juge statue après avoir convoqué les parties (demandeurs et défendeurs) à une audience afin que chacun puisse faire valoir ses observations sur l’erreur ou l’omission.

                    Lorsqu’il est saisi par requête, le juge statue sans audience à moins qu’il n’estime nécessaire d’entendre les parties.

                    Une nouvelle décision qui corrige l’erreur est rendue.

                    Cette décision rectificative est mentionnée en marge de la décision originale (ou minute).

                    À noter

                    À partir de ce moment, si vous avez à utiliser votre décision de justice, vous devez présenter la décision initiale accompagnée de la décision rectificative.

                    Vous devez régler les éventuels honoraires de votre avocat.

                    En revanche, les tels que les dépens sont généralement à la charge de la juridiction.

                    Vous pouvez faire appel ou former un pourvoi en cassation.

                      Vous pouvez faire appel de la décision rectificative si l’appel contre la décision rectifiée est encore possible.

                      Sinon, vous pouvez faire appel si vous estimez que le juge a excédé son pouvoir (lorsque le juge a porté atteinte à l’autorité de la chose jugée en rectifiant la décision).

                      Vous pouvez vous pourvoir en cassation si le pourvoi contre la décision rectifiée est possible ou quand le juge a commis un excès de pouvoir.

                      Si la décision rectifiée est passée en force de chose jugée, la décision rectificative ne peut être attaquée que par un recours en cassation.

                      Vous êtes propriétaire ou locataire ?
                      Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.

                      De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.

                      L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.

                      Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
                      Les contrevenants s’exposent à une contravention.

                      Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.

                      En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.

                      Contact