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Propreté urbaine
La propreté d’une ville est un élément essentiel de la qualité de vie des habitants et il est de la responsabilité de chacun d’agir pour rendre sa ville plus propre en adoptant les bons gestes.
C’est l’affaire de tous : celle de la municipalité mais aussi celle de tous les habitants de la ville.
Un service dédié pour un cadre de vie agréable
Tous les jours, la ville met ses compétences au service des Ussellois pour :
- Collecter les dépôts sauvages et vider les corbeilles,
- Nettoyer, balayer et laver les espaces publics,
- Saler et déneiger les chaussées en hiver,
- Ramasser les feuilles mortes et désherber,
- Entretenir le mobilier urbain.
Les gestes simples et quotidiens de chacun sont aussi importants pour assurer un cadre de vie agréable.
Des gestes simples dans mon quotidien
Chaque propriétaire de chien est tenu de ramasser les déjections de son animal, de ne pas le laisser divaguer et de le tenir en laisse.
Pour faciliter la vie des propriétaires de chiens, la ville met à votre disposition des sacs canins (à ce jour 12 «toutounets » répartis en centre-ville).
Le non-ramassage des déjections sur la voie publique est passible d’une amende.
Usurpation d’identité
Une personne utilise vos données personnelles et réalise des actes en votre nom (par exemple, ouverture d’un compte ou d’un crédit, démarche administrative) ? Vous êtes victime d’une usurpation d’identité. Nous vous expliquons les démarches à entreprendre et comment vous protéger.
L’usurpation d’identité est le fait de prendre, sans son accord, l’identité ou les données personnelles d’une autre personne et de les utiliser dans un but malveillant.
Les informations volées peuvent servir à réaliser des opérations financières (par exemple, obtention d’un crédit), administratives (par exemple, délivrance d’une carte d’identité…) ou commerciales (par exemple, achat). Elles peuvent servir à commettre des (par exemple, escroquerie) ou à porter atteinte à la réputation de la victime (par exemple, diffamation).
C’est un délit pénal.
En cas d’utilisation malveillante des données personnelles de la victime, on parle d’usurpation d’identité numérique.
L’usurpation d’identité est différente de l’usage d’une fausse identité. La fausse identité consiste à créer de toutes pièces une personne inexistante et à se faire délivrer à ce nom des documents d’identité.
Vol ou perte d’une pièce d’identité
Piratage sur les réseaux sociaux (par exemple, récupération de données personnelles)
Envoi de documents personnels à de fausses annonces de location ou d’emploi
Envoi de renseignements personnels à un faux organisme ou une fausse administration
Récupération de documents sensibles (relevé bancaire, bulletin de salaire…) dans la poubelle
L’usurpation d’identité peut résulter par exemple des situations suivantes :
Ouvrir un compte et utiliser la carte de crédit ou le chéquier pour faire des achats
Souscrire un crédit au nom de la victime et ne pas le rembourser
Bénéficier d’aides sociales auprès de la sécurité sociale ou de la Caf
Ouvrir une ligne téléphonique
Créer des comptes sur les réseaux sociaux
Fabriquer de faux papiers
Commettre une infraction (par exemple, incitation à la violence, chantage, cyberharcèlement sous l’identité de la victime)
L’usurpateur peut utiliser le nom et les données personnelles de la victime pour, par exemple :
Vérifiant ses relevés bancaires
Surveillant la réception de contraventions ou d’amende et s’assurer qu’elle n’a pas personnellement commis l’infraction (par exemple, un excès de vitesse)
Vérifiant si des comptes ont été ouverts à son nom au fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)
Vérifiant auprès de la Banque de France qu’elle n’est pas inscrite sur le fichier central des chèques (FCC) ou le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP)
Tapant régulièrement son nom dans un moteur de recherche pour voir quelles informations circulent sur internet
La victime peut vérifier qu’elle fait l’objet d’une usurpation d’identité en :
En cas de soupçon d’usurpation d’identité, la victime peut déposer une main courante pour signaler les faits (perte de son document d’identité, envoi des documents personnelles à une fausse annonce d’emploi…).
Quand la victime se rend compte qu’on utilise son nom ou ses données personnelles à son insu, elle est victime d’une usurpation d’identité. Elle peut porter plainte et avertir les administrations et organismes concernés.
Déposer une main courante
En cas de soupçon d’une éventuelle usurpation d’identité (par exemple suite à un piratage informatique ou à la perte de documents d’identité), une peut être déposée.
C’est une déclaration qui doit être faite en dans un commissariat ou une gendarmerie.
Les faits (nature, date, lieu…) sont consignés dans un registre de police ou de gendarmerie.
Cette main courante pourra servir à dater les faits ou de justificatif dans une procédure pénale ultérieure.
Porter plainte
La victime peut dès qu’elle se rend compte qu’une infraction a été commise. Par exemple quand elle reçoit une demande de remboursement d’un crédit qu’elle n’a pas souscrit.
La plainte doit être accompagnée de toutes les preuves (capture d’écran, messages, adresses des pages Internet concernées, documents de demande de remboursement…).
Lors du dépôt de plainte, la victime peut donner son accord pour être enregistrée au fichier des personnes recherchées (FPR) pour les besoins de l’enquête.
Prévenir les organismes, administrations …
Si l’usurpation d’identité concerne le domaine financier
La victime doit prévenir les établissements bancaires ou financiers (société de crédit…).
Elle peut obtenir la liste des comptes bancaires ouverts à son nom en consultant le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)
Elle peut vérifier qu’elle n’est pas fichée à la Banque de France en consultant le fichier central des chèques (FCC) et le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP).
La victime peut établir une attestation sur l’honneur aux organismes qui la mettent en cause pour déclarer qu’elle n’est pas l’auteur des actes en joignant une copie de sa plainte.
Si l’usurpation d’identité concerne le domaine administratif
La victime doit informer les organismes et administrations ( Caf , sécurité sociale, caisse de retraite, mutuelle, impôts…) de l’usurpation d’identité.
L’usurpation d’identité concerne une amende
La victime qui reçoit une demande de paiement d’une amende pour des faits qu’elle n’a pas commis doit déposer plainte pour usurpation d’identité.
Elle doit contester l’amende.
Pour les infractions routières (par exemple, excès de vitesse), en cas d’usurpation de plaques d’immatriculation, elle peut demander l’attribution d’un nouveau numéro d’immatriculation et une nouvelle carte grise.
Il s’agit d’une usurpation d’identité numérique
On parle d’usurpation d’identité numérique lorsqu’une personne utilise sur Internet les éléments d’identification d’une autre personne, sans son accord. Il peut s’agir de ses nom et prénom, de photos, de son adresse électronique, mais aussi des adresses IP, des logos…
La victime peut porter plainte et signaler l’usurpation d’identité numérique directement aux plateformes concernées (Facebook, X, Instagram, Snapchat, YouTube…).
La victime peut demander le retrait de la publication malveillante.
L’usurpation d’identité est un délit.
La peine prévue est d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.
Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau social.
Lorsque cette infraction est commise par l’ époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de la victime, la peine est portée à 2 ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende.
Le fait de prendre le nom d’un tiers lors de la commission d’une infraction pouvant entraîner des poursuites pénales est puni de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende. Par exemple, lorsqu’une personne se fait interpeller avec des stupéfiants et qu’elle donne le nom, l’adresse… d’une autre personne qui est par la suite convoquée devant le tribunal pour être jugée.
Installer un logiciel anti-spam, un anti-virus
Mettre régulièrement à jour les appareils, logiciels ou applications de sécurité
Utiliser des mots de passe différents et complexes pour chaque sites et applications
En cas de doute sur l’expéditeur d’un message, vérifier le site Internet en entrant manuellement son adresse (URL) dans le navigateur
Avant de jeter des documents sensibles (relevés bancaires, bulletins de salaire, avis d’imposition….), les déchirer de manière à les rendre illisibles ou impossible à reconstituer
Ajouter une mention sur les documents transmis (filigrane) indiquant le motif de l’envoi, la date et le destinataire afin qu’ils ne soient pas réutilisés à des fins frauduleuses
Bien se déconnecter de tous les comptes lors d’une connexion à un ordinateur ou un réseau Wi-Fi public
Pour éviter une usurpation d’identité, certaines précautions peuvent être prises , comme par exemple :
Vol – Vandalisme – Escroquerie
- Arnaque sur internet (THESEE, Pharos …)
- Porter plainte
- Usurpation de plaque d’immatriculation d’un véhicule
- Amendes
- Carte d’identité d’un majeur : en cas de perte
- Carte d’identité d’un mineur : en cas de perte
- Carte d’identité d’un majeur : en cas de vol
- Fichier des personnes recherchées (FPR)
- Fichier des comptes bancaires (Ficoba)
- Fichier central des chèques (FCC)
- Fichier des incidents de remboursement des crédits aux particuliers (FICP)
- Cybermalveillance.gouv.fr
Source : GIP ACYMA (Actions contre la cybermalveillance)
-
116 006 – Numéro d’aide aux victimes
Écoute, informe et conseille les victimes d’infractions ainsi que leurs proches.
Par téléphone
116 006
Appel gratuit
Ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 19h
Le service est également accessible en composant le +33 (0)1 80 52 33 76 (numéro à tarification normale).
Par courriel
victimes@france-victimes.fr
-
Info Escroqueries
Par téléphone
0 805 805 817
Du lundi au vendredi de 9h à 18h30.
Numéro vert (appel gratuit depuis la France).
- Obtenir une assistance en cas de cybermalveillance
Téléservice
- Filigrane
Téléservice
- Code pénal : article 226-4-1
- Code pénal : articles 226-16 à 226-24
Article 226-18 - Code pénal : articles 434-7-1 à 434-23-1
Article 434-23 - Décret n°2010-569 du 28 mai 2010 relatif au fichier des personnes recherchées (FPR)
Inscription au FPR d’une personne dont l’identité est usurpée
Sortir ses poubelles le jour ou la veille de la collecte et déposer ses sacs d’ordures ménagères (sac noir) dans le container prévu à cet effet.
Collecte des sacs jaunes : tous les mercredis matins.
De nombreux points propres complets servant au tri des déchets et au recyclage sont disposés dans toute la ville.
L’écobuage ou le brûlage des déchets verts (feuilles, branches …) à l’air libre est interdit !
La loi du 18 novembre 2011 et l’arrêté préfectoral pour le département de la Corrèze du 7 avril 2015 mentionne cette interdiction.
Usurpation d’identité
Une personne utilise vos données personnelles et réalise des actes en votre nom (par exemple, ouverture d’un compte ou d’un crédit, démarche administrative) ? Vous êtes victime d’une usurpation d’identité. Nous vous expliquons les démarches à entreprendre et comment vous protéger.
L’usurpation d’identité est le fait de prendre, sans son accord, l’identité ou les données personnelles d’une autre personne et de les utiliser dans un but malveillant.
Les informations volées peuvent servir à réaliser des opérations financières (par exemple, obtention d’un crédit), administratives (par exemple, délivrance d’une carte d’identité…) ou commerciales (par exemple, achat). Elles peuvent servir à commettre des (par exemple, escroquerie) ou à porter atteinte à la réputation de la victime (par exemple, diffamation).
C’est un délit pénal.
En cas d’utilisation malveillante des données personnelles de la victime, on parle d’usurpation d’identité numérique.
L’usurpation d’identité est différente de l’usage d’une fausse identité. La fausse identité consiste à créer de toutes pièces une personne inexistante et à se faire délivrer à ce nom des documents d’identité.
Vol ou perte d’une pièce d’identité
Piratage sur les réseaux sociaux (par exemple, récupération de données personnelles)
Envoi de documents personnels à de fausses annonces de location ou d’emploi
Envoi de renseignements personnels à un faux organisme ou une fausse administration
Récupération de documents sensibles (relevé bancaire, bulletin de salaire…) dans la poubelle
L’usurpation d’identité peut résulter par exemple des situations suivantes :
Ouvrir un compte et utiliser la carte de crédit ou le chéquier pour faire des achats
Souscrire un crédit au nom de la victime et ne pas le rembourser
Bénéficier d’aides sociales auprès de la sécurité sociale ou de la Caf
Ouvrir une ligne téléphonique
Créer des comptes sur les réseaux sociaux
Fabriquer de faux papiers
Commettre une infraction (par exemple, incitation à la violence, chantage, cyberharcèlement sous l’identité de la victime)
L’usurpateur peut utiliser le nom et les données personnelles de la victime pour, par exemple :
Vérifiant ses relevés bancaires
Surveillant la réception de contraventions ou d’amende et s’assurer qu’elle n’a pas personnellement commis l’infraction (par exemple, un excès de vitesse)
Vérifiant si des comptes ont été ouverts à son nom au fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)
Vérifiant auprès de la Banque de France qu’elle n’est pas inscrite sur le fichier central des chèques (FCC) ou le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP)
Tapant régulièrement son nom dans un moteur de recherche pour voir quelles informations circulent sur internet
La victime peut vérifier qu’elle fait l’objet d’une usurpation d’identité en :
En cas de soupçon d’usurpation d’identité, la victime peut déposer une main courante pour signaler les faits (perte de son document d’identité, envoi des documents personnelles à une fausse annonce d’emploi…).
Quand la victime se rend compte qu’on utilise son nom ou ses données personnelles à son insu, elle est victime d’une usurpation d’identité. Elle peut porter plainte et avertir les administrations et organismes concernés.
Déposer une main courante
En cas de soupçon d’une éventuelle usurpation d’identité (par exemple suite à un piratage informatique ou à la perte de documents d’identité), une peut être déposée.
C’est une déclaration qui doit être faite en dans un commissariat ou une gendarmerie.
Les faits (nature, date, lieu…) sont consignés dans un registre de police ou de gendarmerie.
Cette main courante pourra servir à dater les faits ou de justificatif dans une procédure pénale ultérieure.
Porter plainte
La victime peut dès qu’elle se rend compte qu’une infraction a été commise. Par exemple quand elle reçoit une demande de remboursement d’un crédit qu’elle n’a pas souscrit.
La plainte doit être accompagnée de toutes les preuves (capture d’écran, messages, adresses des pages Internet concernées, documents de demande de remboursement…).
Lors du dépôt de plainte, la victime peut donner son accord pour être enregistrée au fichier des personnes recherchées (FPR) pour les besoins de l’enquête.
Prévenir les organismes, administrations …
Si l’usurpation d’identité concerne le domaine financier
La victime doit prévenir les établissements bancaires ou financiers (société de crédit…).
Elle peut obtenir la liste des comptes bancaires ouverts à son nom en consultant le fichier des comptes bancaires et assimilés (Ficoba)
Elle peut vérifier qu’elle n’est pas fichée à la Banque de France en consultant le fichier central des chèques (FCC) et le fichier des incident de remboursement des crédits (FICP).
La victime peut établir une attestation sur l’honneur aux organismes qui la mettent en cause pour déclarer qu’elle n’est pas l’auteur des actes en joignant une copie de sa plainte.
Si l’usurpation d’identité concerne le domaine administratif
La victime doit informer les organismes et administrations ( Caf , sécurité sociale, caisse de retraite, mutuelle, impôts…) de l’usurpation d’identité.
L’usurpation d’identité concerne une amende
La victime qui reçoit une demande de paiement d’une amende pour des faits qu’elle n’a pas commis doit déposer plainte pour usurpation d’identité.
Elle doit contester l’amende.
Pour les infractions routières (par exemple, excès de vitesse), en cas d’usurpation de plaques d’immatriculation, elle peut demander l’attribution d’un nouveau numéro d’immatriculation et une nouvelle carte grise.
Il s’agit d’une usurpation d’identité numérique
On parle d’usurpation d’identité numérique lorsqu’une personne utilise sur Internet les éléments d’identification d’une autre personne, sans son accord. Il peut s’agir de ses nom et prénom, de photos, de son adresse électronique, mais aussi des adresses IP, des logos…
La victime peut porter plainte et signaler l’usurpation d’identité numérique directement aux plateformes concernées (Facebook, X, Instagram, Snapchat, YouTube…).
La victime peut demander le retrait de la publication malveillante.
L’usurpation d’identité est un délit.
La peine prévue est d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende.
Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau social.
Lorsque cette infraction est commise par l’ époux, le partenaire de Pacs ou le concubin de la victime, la peine est portée à 2 ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende.
Le fait de prendre le nom d’un tiers lors de la commission d’une infraction pouvant entraîner des poursuites pénales est puni de 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende. Par exemple, lorsqu’une personne se fait interpeller avec des stupéfiants et qu’elle donne le nom, l’adresse… d’une autre personne qui est par la suite convoquée devant le tribunal pour être jugée.
Installer un logiciel anti-spam, un anti-virus
Mettre régulièrement à jour les appareils, logiciels ou applications de sécurité
Utiliser des mots de passe différents et complexes pour chaque sites et applications
En cas de doute sur l’expéditeur d’un message, vérifier le site Internet en entrant manuellement son adresse (URL) dans le navigateur
Avant de jeter des documents sensibles (relevés bancaires, bulletins de salaire, avis d’imposition….), les déchirer de manière à les rendre illisibles ou impossible à reconstituer
Ajouter une mention sur les documents transmis (filigrane) indiquant le motif de l’envoi, la date et le destinataire afin qu’ils ne soient pas réutilisés à des fins frauduleuses
Bien se déconnecter de tous les comptes lors d’une connexion à un ordinateur ou un réseau Wi-Fi public
Pour éviter une usurpation d’identité, certaines précautions peuvent être prises , comme par exemple :
Vol – Vandalisme – Escroquerie
- Arnaque sur internet (THESEE, Pharos …)
- Porter plainte
- Usurpation de plaque d’immatriculation d’un véhicule
- Amendes
- Carte d’identité d’un majeur : en cas de perte
- Carte d’identité d’un mineur : en cas de perte
- Carte d’identité d’un majeur : en cas de vol
- Fichier des personnes recherchées (FPR)
- Fichier des comptes bancaires (Ficoba)
- Fichier central des chèques (FCC)
- Fichier des incidents de remboursement des crédits aux particuliers (FICP)
- Cybermalveillance.gouv.fr
Source : GIP ACYMA (Actions contre la cybermalveillance)
-
116 006 – Numéro d’aide aux victimes
Écoute, informe et conseille les victimes d’infractions ainsi que leurs proches.
Par téléphone
116 006
Appel gratuit
Ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 19h
Le service est également accessible en composant le +33 (0)1 80 52 33 76 (numéro à tarification normale).
Par courriel
victimes@france-victimes.fr
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Info Escroqueries
Par téléphone
0 805 805 817
Du lundi au vendredi de 9h à 18h30.
Numéro vert (appel gratuit depuis la France).
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Téléservice
- Filigrane
Téléservice
- Code pénal : article 226-4-1
- Code pénal : articles 226-16 à 226-24
Article 226-18 - Code pénal : articles 434-7-1 à 434-23-1
Article 434-23 - Décret n°2010-569 du 28 mai 2010 relatif au fichier des personnes recherchées (FPR)
Inscription au FPR d’une personne dont l’identité est usurpée
Vous êtes propriétaire ou locataire ?
Il vous appartient d’entretenir les trottoirs et caniveaux devant votre porte (balayage, désherbage) ainsi que d’élaguer les branches et les haies dépassant sur la voie publique.
De même, vous devez ramasser les feuilles tombées sur les trottoirs et caniveaux devant votre maison ou immeuble ainsi que déneiger et saler en cas de chute de neige et de gel.
L’entretien des devantures des commerces relève de la responsabilité de l’exploitant.
Ne jetez pas de papiers, mégots ou autres déchets au sol.
Les contrevenants s’exposent à une contravention.
Tout procédé d’affichage destiné à signaler ou faire de la publicité est considéré comme un affichage sauvage et est interdit sur les voies et bâtiments publics, en dehors des espaces d’affichage libre et des emplacements réservés à la publicité ou faisant l’objet d’une autorisation de la part de la commune.
En cas de violation, le contrevenant est mis en demeure d’enlever et de nettoyer tout procédé d’affichage utilisé sous 15 jours, faute de quoi son manquement entraîne le paiement de la facture de nettoyage.
Contact
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Services municipaux
Service propreté urbaine
Adresse: Rue du château d'eau
Horaires : Du lundi au vendredi
8h30-12h / 13h30-17h